Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
12.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le T-72 est un char de combat conçu à l'origine comme une version simplifiée du T-64, moins chère tout en étant plus fiable et destinée à équiper massivement les armées du pacte de Varsovie. Plus de vingt cinq mille T-72 sont sortis des diverses chaînes de fabrication de la Communauté des États indépendants, d'Europe centrale, du Moyen-Orient et de l'Inde.
Historique
Le T-72 a pour origine une compétition lancée entre deux usines et deux équipes d'ingénieurs en vue de remplacer le T-62 : d'un côté l'usine Morozov KB de Kharkiv en Ukraine avec à sa tête Alexandre Morozov, et de l’autre UralvagonZavod KB de Nijni Taguil dans l'Oblast de Sverdlovsk avec à sa tête Léonid Kartsev.
Les deux modèles et leur philosophie sont assez différentes.
À partir de 1960, du côté UralvagonZavod, Kartsev conçoit trois chars, Objet 165, Objet 166 et Objet 167 très proches des modèles déjà en service et en production. En octobre 1961, les Objet 165 et 166 entrent en production sous les noms respectifs de T-62A et T-62. Kartsev poursuit ses études sur l'Objet 167 mais celles-ci finissent par être définitivement refusées en mai 1964 malgré une nouvelle version, l'Objet 167A, équipée d'un système de chargement automatique.
Du côté de Morozov KB, un modèle au concept original est développé, l'Objet 434. Les dimensions de la caisse sont réduites au minimum. L'équipage passe de 4 à 3 hommes, le chargeur est supprimé et remplacé par un système de chargement automatique. En décembre 1962, le Conseil des ministres de l'Union soviétique ordonne la production de ce modèle sous le nom de T-64, mettant ainsi en péril la pérennité des projets de son concurrent.
Dès les premières séries, les problèmes du T-64 se font jour et Morozov est accusé d'avoir tué toute concurrence par son intense lobbying à Moscou. En effet, la taille réduite de l'Objet 434 implique la mise en place d'un groupe motopropulseur 5TDF de 700 cv très délicat, peu fiable, difficile à réparer et à la durée de vie équivalente à celle des engins de la Seconde Guerre mondiale.
Le T-64 entre quand même en service dans l'Armée soviétique en mai 1968 sous l'appellation T-64A, en dépit de ses défauts.
Pour répondre à ces problèmes, l'équipe de Kartsev travaille sur une synthèse des résultats de ses études sur l'Objet 167 et sur le T-62 avec un canon plus puissant constituant ainsi l'Objet 172 remotorisé avec l'indémodable diesel V-45. L'idée est de consolider le T-64 avec des solutions éprouvées sur les matériels précédents en limitant ses coûts prohibitifs et sans pour autant en modifier ses qualités d'avant-garde. Un premier prototype appelé "Ural" est terminé en janvier 1968 et il est essayé pendant 3 ans. Après maints atermoiements, l'Objet 172 est autorisé à la production le 1er janvier 1972 sous le nom de T-72.
La production des T-72 commence en 1972 à Nijni Taguil sans que celle des T-64 ne soit interrompue à Kharkiv (Ukraine), traduisant en cela le compromis politique trouvé entre l'armée, satisfaite de mettre en service un char d'un coût raisonnable et donc appelé à être largement diffusé, et la direction principale de l'arme blindée, soucieuse de ne pas perdre la face. Alors que le T-64 n'est jamais exporté, le T-72 équipe toutes les armées du pacte de Varsovie et sa fabrication sous licence est accordée à presque tous les pays d'Europe centrale et à quelques non alignés tels que l'Inde.
Histoire opérationnelle
À plusieurs reprises, il a été confronté aux modèles occidentaux avec des résultats plutôt mauvais, par exemple lors de l'invasion du Liban par l'armée israélienne en 1982 et la guerre du Golfe en 1991. Il faut relativiser cependant ces résultats par plusieurs facteurs :
comme toujours l'entraînement et la motivation des équipages ;
les modèles engagés étaient plutôt anciens, principalement des T-72M avec des blindages homogènes en acier, dépourvus souvent de blindage réactif explosif ou autres moyens de protection modernes comme ceux qui sont déployés sur les chars en service dans l'armée russe. Des rapports allemands et américains montrent qu'un T-72BM est impénétrable aux obus occidentaux en service au début des années 1990 (DM53 allemand et M829A1 américain), lorsqu'il est touché sur les parties couvertes par la protection Kontakt-5 ;
les munitions employées étaient moins qu'efficaces et âgées, généralement avec des pénétrateurs en acier. Les munitions russes 3BM42 avec un barreau en tungstène sont d'une autre facture car elles rivalisent avec leurs équivalentes occidentales et peuvent même perforer le blindage des chars de combat de la fin des années 1980 ;
le bon fonctionnement du système de chargement automatique dépend énormément de son état d'entretien et de vétusté. Il est probable que les unités de gardes de l'armée russe ont du matériel en bien meilleur état que les troupes irakiennes ou syriennes.
Il n'en reste pas moins que ce char souffre de nombreux défauts traditionnels aux chars russes :
incapacité de pointer le canon assez en site négatif pour tirer en position défilé à contre-pente ;
exiguïté du compartiment de combat et fatigue excessive des équipages ;
stockage des munitions dans la tourelle sans protection adéquate, provoquant la destruction de celle-ci et la mort de l'équipage en cas de pénétration.
Même si le T-90 a remédié partiellement à ces faiblesses, les concepteurs de blindés russes semblent s'acheminer vers une nouvelle révolution dans l'architecture interne des blindés, en regroupant l'équipage en caisse, laissant la tourelle inhabitée et les munitions bien à l'écart, ce qui devrait augmenter la survivabilité, sans entrer dans une inflation de la masse comme celle qui touche le char M1 Abrams américain. Le nouveau modèle, le T-14 Armata, présenté en 2015 pour la première fois, possède effectivement en grande partie ces caractéristiques.
Lors de l'invasion de l'Ukraine par la Russie de 2022, des variantes du T-72 sont données à l'Ukraine par la Pologne et la République tchèque.
Selon le Stockholm International Peace Research Institute International Arms Transfer Database, 7 400 ont été exportés par l'URSS jusqu'en 1991 tandis que l'armée soviétique en disposait de 8 300. Environ 500 ont été exportés par la fédération de Russie en date de 2021.
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" Looking for the Summer " est une chanson de l'auteur-compositeur-interprète britannique Chris Rea , sortie en 1991 en tant que troisième single de son onzième album studio Auberge . Il a été écrit par Rea et produit par Jon Kelly . "Looking for the Summer" a atteint la 49e place au Royaume-Uni et est resté dans les charts pendant trois semaines. Un clip vidéo a été filmé pour promouvoir le single. Il a également figuré dans une scène de dîner dans le blockbuster hollywoodien de 1992 Basic Instinct .
Contexte
Dans une interview avec Dennis Elsas en 1991 , Rea a décrit le message lyrique de la chanson : "L'idée est fondamentalement qu'un homme regarde sa fille, qui est maintenant presque adolescente et il la voit se détourner. Elle regarde son été, elle est au printemps à la recherche de l'été, et lui, puis en automne, regarde en arrière et se souvient de ce que c'était quand il cherchait aussi son été. Le troisième couplet rappelle à sa femme comment ils se sont blessés mutuellement dans leurs douleurs de croissance, pendant qu'ils cherchaient tous les deux leur étés, et à bien des égards, il cherche encore son été. »
Réception critique
Dans une critique d' Auberge , Deborah Hornblow de The Hartford Courant a considéré la chanson comme l'un des « meilleurs morceaux » de l'album, et a noté que la chanson est « imprégnée d'une grande ouverture et d'un désir ardent par les accents du beau travail de guitare de Rea ». Adam Sweeting de The Guardian a commenté : « Les titres de chansons comme « Looking for the Summer » sont des guides précis de leur contenu.
Johnny Loftus d' AllMusic a recommandé la chanson en la qualifiant d'AMG Pick Track. Dans une critique de concert de 2017, Andrew Steel du Yorkshire Evening Post a décrit la chanson comme un « classique » et a ajouté : « Les joyaux du soft-rock de « Julia » et « Looking for the Summer » sont des numéros intelligents et souples dotés de une joie qui tape du pied sous sa voix rauque, rauque et langoureuse. »
Paroles
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Adieu poulet est un film français réalisé par Pierre Granier-Deferre et sorti le 10 décembre 1975.
Le scénario est adapté d'un roman inspiré par un fait divers survenu en 1971 à Puteaux.
Alors que la campagne électorale bat son plein à Rouen, le commissaire Verjeat et les inspecteurs Lefèvre et Moitrier enquêtent dans une maison close : l'un des clients est mort en pleine extase. Avant que Verjeat ne décide quel tour faire prendre à son enquête, la tenancière de la maison le prévient qu'elle connaît nombre de personnalités importantes. Le commissaire comprend que cette enquête n'ira jamais très loin.
Après avoir déposé Verjeat à son domicile et Lefèvre sur la route, Moitrier s'apprête à rentrer chez lui, quand un message du central le prévient d'un délit en cours : des colleurs d'affiche sont en train de se faire agresser, et l'un d'eux est battu à mort par un voyou. Lorsque Moitrier arrive, il tente de les arrêter, mais le voyou lui tire une balle à bout portant. Arrivé à l'hôpital, Moitrier confie à Lefèvre qu'il a reconnu dans son agresseur Antoine Portor, l'un des hommes de Pierre Lardatte, candidat à l'élection. Peu après, Moitrier meurt. Verjeat se rend accompagné à l'une des permanences de Lardatte, où il trouve Roger Portor, le frère d'Antoine. Il le prévient que son frère a intérêt à se rendre rapidement. Puis il se rend à un meeting de Lardatte : celui-ci dit être attristé par la nouvelle, mais ne pas connaître personnellement les membres de son service de sécurité.
De retour au central, le contrôleur général Ledoux, supérieur de Verjeat, lui conseille « amicalement » de se concentrer sur Portor, lui s'occupant de Lardatte. Quelques jours après, Mercier, le père du colleur d'affiches, fait irruption dans le bureau de Lardatte, à la mairie, et prend en otage avec deux autres hommes les employés qui s'y trouvent. Verjeat, sous la surveillance de Ledoux et de Lardatte, est chargé de le ramener à la raison de façon pacifique : pour ce faire, il lui propose par téléphone de profiter du haut-parleur de la police pour faire passer son message. Mercier s'adresse alors violemment à Lardatte, le traitant d'assassin ; la foule alentour ne perd pas une miette du discours. Puis Verjeat se rend dans la mairie et convainc de manière un peu brusque Mercier et ses complices de se rendre. Mais Lardatte est bien décidé à faire payer cette humiliation au commissaire : grâce à ses relations, il parvient à le faire nommer contrôleur général à Montpellier. Il doit partir la semaine suivante, en laissant l'affaire en cours à son successeur, le commissaire Pignol, plus adepte des méthodes de cow-boy que de celles réclamant de la subtilité. Après son pot de départ, Verjeat explique à Lefèvre qu'il ne peut refuser une telle promotion mais qu'il a bien l'intention de s'amuser un peu avant de s'en aller.
Pendant ce temps, les bureaux de Lardatte sont cambriolés par des complices d'Antoine Portor, aidés de sa femme. Mais à un barrage de gendarmerie, leur voiture part en tonneau : les deux hommes sont tués, la femme grièvement blessée. Verjeat apprend de la bouche de Roger Portor que le cambriolage était destiné à mettre la main sur la comptabilité de Lardatte, pour qu'il aide son frère à quitter la France. La comptabilité a brûlé dans l'accident mais le commissaire cache la vérité aux journalistes. Puis Verjeat met en place à l'hôpital une surveillance de la blessée, dans l'espoir de coincer son mari : en fait, c'est l'un de ses inspecteurs qui est dans le lit, Marie Portor étant décédée. Ledoux et Pignol sont laissés dans l'ignorance de la supercherie.
Alors qu'il doit être de surveillance à l'hôpital, Lefèvre passe à la maison close pour informer la patronne de la teneur de son rapport. Il lui explique que Verjeat, frustré d'être obligé de partir de Rouen, lui a demandé de la charger au maximum : ses protections ne pourront rien contre un fonctionnaire sur le point d'être muté. Après avoir refusé de coucher avec lui, la tenancière de l'établissement lui propose de l'argent. Le soir même, trois complices de Portor tentent d'enlever sa femme à l'hôpital : l'un d'eux est blessé, les deux autres tués par les inspecteurs en embuscade. Le lendemain, Lefèvre est sommé par Verjeat de s'expliquer sur son absence de la nuit. Il lui répond qu'il s'était endormi puis lui remet le rapport sur le décès à la maison close. Verjeat est furieux, et lui demande de revoir le rapport ; Lefèvre appelle la patronne pour lui avouer son échec. Celle-ci se rue au tribunal, où elle est reçue par le juge Delmesse pour répondre d'une accusation de proxénétisme. Très calme, elle lui répond qu'il faut ajouter la corruption de fonctionnaire à cet acte d'accusation puisqu'elle a donné de l'argent à Lefèvre. Celui-ci se défend mal devant le juge, qui apprécie fortement les affaires de corruption ; l'inspecteur poussé à bout finit par dire qu'il n'est pas le seul corrompu dans cette affaire.
De retour au central, il est reçu par une gifle magistrale de Verjeat : pour se sauver, il a accusé son supérieur d'avoir reçu des pots-de-vin bien supérieurs à ceux qui lui sont reprochés. Devant Ledoux, Verjeat clame son innocence, mais cette nouvelle fait le tour de la ville : les indicateurs de police, puis les détenus de la prison de Rouen, le traitent rapidement comme un pourri et refusent de traiter avec lui. Devant Delmesse, le commissaire se défend mais le juge semble convaincu de sa culpabilité. Le temps de l'enquête, le magistrat lui demande de ne pas quitter Rouen mais lui permet de continuer l'enquête sur Portor. Puis Verjeat se rend au domicile de Lefèvre et fête avec lui cette première réussite : il n'est plus obligé de partir pour Montpellier et peut récupérer l'enquête que Ledoux avait fini par confier à Pignol. En fait, les deux policiers avaient organisé cette mise en scène de corruption afin de permettre à Verjeat de pouvoir rester à Rouen par ordonnance judiciaire. Cerise sur le gâteau : Lardatte lui a téléphoné. Lorsqu'il le rencontre, le candidat lui explique qu'il pourrait l'aider dans cette affaire avec Delmesse, en échange de quoi Verjeat pourrait aider Lardatte à son tour. Le jour suivant, les deux policiers apprennent que Portor a été « logé ». En dépit des précautions prises, celui-ci arrive tout de même à s'enfuir. De retour au central, Ledoux les convoque et leur apprend que Pignol est passé voir « Madame Portor » à l'hôpital. Verjeat et Lefèvre sont obligés de lui avouer que l'affaire de corruption n'était qu'un plan monté par le commissaire pour pouvoir continuer l'enquête et coffrer à la fois Portor et Lardatte ; l'argent extorqué à la tenancière du lupanar a été déposé chez un huissier, il n'y a donc pas d'affaire. Sans Portor, impossible de s'occuper de Lardatte ; le plan a échoué. Ledoux, furieux, lui ordonne de partir dès le lendemain pour Montpellier ; il expliquera au juge Delmesse de quoi il retourne dans son affaire, mais prévient Verjeat qu'il n'empêchera pas le juge de l'accuser d'outrage à magistrat si Delmesse le souhaite.
Pignol apprend à ce moment que Portor est dans la maison de Lardatte et l'a pris en otage. Le criminel réclame Verjeat et refuse de discuter tant avec Pignol qu'avec Ledoux. Le contrôleur demande alors à Verjeat de parlementer avec Portor ; le commissaire se saisit du haut-parleur et dit : Verjeat, il est à Montpellier, Verjeat !
Puis il se tourne vers Lefèvre et le salue : Adieu poulet…
Fiche technique
Titre : Adieu poulet
Réalisation : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Francis Veber, d'après Adieu poulet !, un roman de Raf Vallet, éditions Gallimard, collection Super noire no 1
Production: Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers pour Les Films Ariane et Mondex Films
Photographie : Jean Collomb
Décors : Maurice Sergent
Montage : Jean Ravel
Son: Bernard Bats
Musique: Philippe Sarde
Genre : policier
Durée : 87 minutes
Pays : France
Date de sortie : 10 décembre 1975(France)
Lieux de tournage : Rouen et ses environs.
Distribution
Lino Ventura: le commissaire principal Verjeat
Patrick Dewaere : l'inspecteur Lefèvre
Victor Lanoux : Pierre Lardatte
Julien Guiomar : le contrôleur général Ledoux, le directeur de la police
Pierre Tornade : le commissaire Pignol
Françoise Brion : Marthe, la tenancière du bordel
Claude Rich : le juge Delmesse
Claude Brosset : Antoine Portor
Michel Peyrelon : Roger Portor
Gérard Hérold : l'inspecteur Moitrier
Gérard Dessalles : l'inspecteur Ransac
Michel Beaune : l'inspecteur Dupuy
Jacques Serres : l'inspecteur Martin
Henri Attal : un homme de Lardatte
Jacques Rispal : Mercier
Dominique Zardi : le blessé hospitalisé
Valérie Mairesse : la fille cocarde
Christine Laurent : la prostituée
Patrick Feigelson : Louis
Jean-Yves Gautier : Letellier
Pierre Londiche : Jeanvier, l'indicateur au chien
Christiane Tissot : Marie Portor
André Malfuson : Estève
Charles Dalin : Sergio
Lionel Vitrant : le pompiste
Sylvie Meyer : une infirmière
Ève Francis : la vieille dame
Marie-Pierre de Gérando : le commandant de gendarmerie
Raoul Curet : le président
Jean Turlier : Moissat, le cafetier
Henri Lambert : Norbert
Sylvain Lévignac : Le faux blessé
Jean Collomb : Le garçon de café
Michel Robin
Production
Le fait divers dont s'inspire le scénario est la fusillade de Puteaux, qui a lieu en 1971.
Autour du film
Ève Francis, qui apparaît dans un petit rôle de vieille dame, est une ancienne star du cinéma muet : elle interprétait le rôle principal dans Le Silence de Louis Delluc en 1920 ou El Dorado de Marcel L'Herbier en 1921.
Lors de sa sortie DVD en France en avril 2009, le film est classé sur le verso de la jaquette « interdit aux moins de 12 ans », alors que le film est sorti en salles « tout public ».
Distinctions
Césars 1976 :
Double nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Victor Lanoux et pour Patrick Dewaere
Nomination au César du meilleur montage pour Jean Ravel
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