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20 février : Naissances

20 février : Naissances

 

 

Naissances

 

1518 : Georges de Palatinat-Simmern-Sponheim, comte palatin du Rhin de Simmern-Sponheim († 17 mai 1569).
1543 (ou 2 mars) : Kōsa, 11e chef du Hongan-ji de Kyoto et abbé en chef du Ishiyama Hongan-ji († 27 décembre 1592).
1549 : François Marie II della Rovere, condottiere et dernier duc d'Urbino († 28 avril 1631).
1552 : Sengoku Hidehisa, samouraï de la fin de la période Sengoku et du début de l'époque d'Edo († 13 juin 1614).
1586 : Hachisuka Yoshishige, daimyo de l'époque d'Edo († 29 mars 1620).
1589 : Sophie-Élisabeth d'Anhalt-Dessau, princesse allemande († 9 février 1622).
1632 : Thomas Osborne, 1er duc de Leeds, homme d'État anglais († 26 juillet 1712).
1633 : Jan de Baen, peintre néerlandais du siècle d'or († 1702, inhumé le 8 mars).
1634 : René Boudier, traducteur, historien et poète français († 16 novembre 1723).
1640 : Pierre II Mignard, peintre et architecte français († 10 avril 1725).
1659 : Niccolò Spinola, cardinal italien († 12 avril 1735).
1660 : Leonhard Dientzenhofer, architecte et constructeur allemand († 26 novembre 1707).
1669 : Cornelis Sweerts, poète, parolier, dramaturge et libraire hollandais († 23 mars 1749).
1683 : Guy Nicolas de Durfort de Lorges, 2e duc de Quintin, 1er duc de Lorges († 3 mars 1758).
1697 : Charles Paul Sigismond de Montmorency-Luxembourg, duc de Châtillon, gouverneur, lieutenant général des armées († 28 février 1769).
1698 : Bernardo Tanucci, homme d'État italien († 29 avril 1783).
1702 : Jean-Ange Brun, architecte français († 1793).
1734 :
Franz Beck, compositeur allemand ayant œuvré principalement en France († 31 décembre 1809).
François-Armand de Saige, homme politique français († exécuté le 23 octobre 1793, 2 brumaire an II).
1736 : David-Alexis Tholosé, général de brigade français († 12 juillet 1802).
1745 : Johann Peter Salomon, compositeur, violoniste et chef d'orchestre allemand († 25 novembre 1815).
1749 : Germain Félix Tennet de Laubadère, général de brigade français († 8 août 1799).
1751 : Johann Heinrich Voß, critique littéraire et poète allemand († 29 mars 1826).
1752 : Charles Broche, organiste et compositeur français († 30 septembre 1803).
1754 : Jean-Pierre Duval, homme politique français († 25 août 1817).
1768 : David-Maurice-Joseph Mathieu de La Redorte, général de division français († 1er mars 1833).
1775 : Guy-Victor Duperré, baron et amiral français († 2 novembre 1846).
1784 : John E. Wool, général de brigade américain († 10 novembre 1869).
1788 :
Jean-Baptiste Pellissier, auteur dramatique et journaliste français († 11 décembre 1856).
Valentin Zwierkowski, officier polonais († 15 décembre 1859).
1791 :
Carl Czerny, compositeur autrichien († 15 juillet 1857).
Émile Deschamps, poète français († 22 avril 1871).
1797 : Jules Bourcier, ornithologue français († 9 mars 1873).
1802 : Charles Giraud, juriste français académicien ès sciences morales et politiques et doyen de la faculté de droit de Paris († 13 juillet 1881).
1808 : Pierre Dumoulin-Borie missionnaire des Missions Étrangères de Paris martyr en l'ancien Tonkin au Vietnam († 24 novembre 1838).
1810 : Henri Martin, politicien et historien français († 14 décembre 1883).
1820 : Gustave Nadaud, goguettier, poète et chansonnier français († 28 avril 1893).
1828 : Edmond Roche, poète, auteur dramatique, librettiste et violoniste français († 23 décembre 1861).
1830 : Albert Lefaivre, homme politique, diplomate et écrivain français († 23 mars 1902).
1834 : Nikolaï Kauffmann, botaniste russe réputé pour ses travaux sur la floristique († 27 décembre 1870).
1844 :
Ludwig Boltzmann, physicien autrichien († 5 septembre 1906).
Mihály Munkácsy, peintre hongrois de l'École de Barbizon († 1er mai 1900).
Joshua Slocum (Slocombe), 1er navigateur (nord-américain) à réaliser le tour du monde en solitaire à la voile († 14 novembre 1909 en mer).
1849 : Ernest Dupuy, professeur, écrivain, critique littéraire et poète français († 5 septembre 1918).
1850 : Nérée Beauchemin, poète et médecin québécois († 29 juin 1931).
1853 : Amanda Röntgen-Maier, violoniste et compositrice suédoise († 15 juillet 1894).
1857 : Leonida Bissolati, homme politique italien († 6 mars 1920).
1860 : Paul Margueritte, écrivain français († 29 décembre 1918).
1866 : George Bonnamour, journaliste, écrivain et homme politique français († 22 février 1954).
1867 : Louise du Royaume-Uni, fille du roi Édouard VII († 4 janvier 1931).
1870 : Gustave Michaut, romaniste, grammairien, latiniste et chercheur en littérature français († 1er septembre 1946).
1871 : Amélie Diéterle, actrice, cantatrice et collectionneuse d'art française († 20 janvier 1941).
1874 : Mary Garden, soprano écossaise († 3 janvier 1967).
1875 :
Albert Dalimier, homme politique français († 6 mai 1936).
Marie Marvingt, aviatrice française († 14 décembre 1963).
1876 : Théodore Akimenko, pianiste et compositeur ukrainien († 8 janvier 1945).
1879 : Bombita (Ricardo Torres Reina), matador espagnol († 29 novembre 1936).
1881 : Bernard Gravier, escrimeur français champion olympique en 1908 († 13 août 1923).
1885 : Robert Monier, skipper français († 6 décembre 1944).
1887 : Vincent Massey, 18e gouverneur général du Canada († 30 décembre 1967).
1888 :
Georges Bernanos, écrivain français († 5 juillet 1948).
Marie Rambert, danseuse et professeur de danse britannique d'origine polonaise († 12 juin 1982).
1890 : Alma Richards, athlète américain, vainqueur de l'épreuve de saut en hauteur aux Jeux olympiques de 1912 († 3 avril 1963).
1893 : Gabrielle Petit, infirmière et résistante belge († fusillée le 1er avril 1916).
1894 :
Jarosław Iwaszkiewicz, écrivain et dramaturge polonais († 2 mars 1980).
Jimmy Yancey, pianiste afro-américain de boogie-woogie († 17 septembre 1951).
1895 :
« Fortuna » (Diego Mazquiarán Torróntegui), matador espagnol († 10 mai 1940).
Louis Zborowski, pilote automobile britannique d'origine polonaise († 19 octobre 1924).
1896 :
Auguste Chantraine, français, fondateur de la Fédération Paysanne en 1933, résistant († 15 mars 1945).
Henri de Lubac, jésuite, théologien et cardinal français († 4 septembre 1991).
1897 : Ivan Albright, peintre américain († 18 novembre 1983).
1901 :
Marc Detton, rameur français († 24 janvier 1977).
René Dubos, agronome, biologiste et écologue français († 20 février 1982).
Henry Eyring, chimiste théoricien américain († 26 décembre 1981).
Louis Kahn, architecte américain († 17 mars 1974).
Mohammed Naguib, militaire et homme politique égyptien († 29 août 1984).
1902 : Ansel Adams, photographe américain († 22 avril 1984).
1903 :
Ella Maillart, écrivain et photographe suisse († 27 mars 1997).
Charles Pélissier, coureur cycliste français († 28 mai 1959).
Joseph Schröffer, cardinal allemand de la curie romaine († 7 septembre 1983).
1904 : Oliver MacDonald, athlète américain spécialiste du 400 mètres († 14 avril 1973).
1906 :
Gale Gordon, acteur américain († 30 juin 1995).
Frédéric Curie, résistant français († 16 décembre 1956).
1907 : Malcolm Atterbury, acteur américain († 16 août 1992).
1909 : Dorette Ardenne, actrice française († 5 novembre 2001).
1911 :
István Énekes, boxeur hongrois († 2 janvier 1940).
André Gauthier, homme politique et agriculteur français († 14 août 1994).
Paul Grammont, religieux bénédictin français († 30 juillet 1989).
Margot Grahame, actrice anglaise († 1er janvier 1982).
Gyula Gyenes, athlète hongrois spécialiste du sprint († 26 juin 1988).
André Saeys, footballeur belge († 22 mars 1988).
1912 : Pierre Boulle, écrivain français († 30 janvier 1994).
1914 : John Daly (en), journaliste et animateur de radio et de télévision américain († 24 février 1991).
1915 : Élie Mélia, résistant, recteur, professeur, auteur œcuménique orthodoxe franco-géorgien à Paris († 15 mars 1988).
1917 : Tana Hoban, photographe américaine († 20 janvier 2006).
1918 : Joseph Jadrejak, footballeur français († 24 novembre 1990).
1919 : Luis Bedoya Reyes, avocat et homme politique péruvien († 18 mars 2021).
1920 : Karl Albrecht, homme d'affaires allemand († 16 juillet 2014).
1921 :
Roger Coekelbergs, chimiste belge († 4 mars 2021).
Ruth Gipps, compositrice, hautboïste, pianiste et imprésario britannique († 23 février 1999)
René Jalbert, militaire canadien et sergent d’armes à l’Assemblée nationale du Québec († 21 janvier 1996).
Joseph A. Walker, pilote d'essai et astronaute américain († 8 juin 1966).
1924 : Mordechai Ofer, homme politique israélien († 1er septembre 1971).
1925 : Robert Altman, réalisateur, producteur et scénariste américain († 20 novembre 2006).
1926 :
Richard Matheson, écrivain et scénariste américain († 23 juin 2013).
Bob Richards, athlète américain, spécialiste du saut à la perche († 23 juin 2013).
1927 :
Hubert de Givenchy, couturier français († 10 mars 2018).
Ibrahim Ferrer, chanteur cubain († 6 août 2005).
Sidney Poitier, acteur et réalisateur américano-bahaméen († 6 janvier 2022).
1928 :
Roy Face (en), lanceur de baseball américain.
Jean Kennedy Smith, diplomate américaine († 17 juin 2020).
Friedrich Wetter, cardinal allemand, archevêque émérite de Munich.
1929 : Amanda Blake, actrice américaine († 16 août 1989).
1930 : Jacques Degats, athlète français spécialiste du 400 mètres († 29 mars 2015).
1931 : Karl Spiehs, producteur de cinéma autrichien († 27 janvier 2022).
1933 : Ioukhym Zviahilsky, homme d'État ukrainien († 6 novembre 2021).
1934 :
Paavo Rantanen, diplomate finlandais.
Bobby Unser, pilote de course automobile américain († 2 mai 2021).
1935 : Peter Barrett, skipper américain champion olympique († 17 décembre 2000).
1936 :
Marj Dusay, actrice américaine († 29 janvier 2020).
Mohamed Taki Abdoulkarim, homme d'État comorien († 6 novembre 1998).
1937 : Nancy Wilson, chanteuse de jazz américaine († 13 décembre 2018).
1938 :
(ou 21 février 1939) Richard Beymer, acteur américain.
André Chorda, footballeur professionnel français († 18 juin 1998).
Nicole Lattès Cousin, éditrice française († 31 janvier 2023).
1940 :
Christoph Eschenbach, pianiste et chef d'orchestre allemand.
Jimmy Greaves, footballeur anglais († 19 septembre 2021).
Francesco Stacchino, footballeur italien.
1941 :
Jean-Pierre Dupuy, ingénieur, épistémologue et philosophe français.
Alan Furst, écrivain américain.
Buffy Sainte-Marie, chanteuse et compositrice canadienne.
1942 :
Phil Esposito, joueur de hockey sur glace canadien.
Ernâni Lopes, professeur et homme politique portugais († 2 décembre 2010).
Mitch McConnell, sénateur républicain américain.
Claude Miller, cinéaste et scénariste français († 4 avril 2012).
1943 :
Aleksandr Pavlovitch Aleksandrov, cosmonaute russe.
Carlos (Yvan-Chrysostome Dolto dit), chanteur français († 17 janvier 2008).
Jean-Pierre Giudicelli, pentathlonien français.
Mike Leigh, réalisateur britannique et anglais.
1944 :
Robert de Cotret, homme politique canadien († 9 juillet 1999).
Michel Hommell, grand patron de presse et directeur de musée et de circuit automobiles français.
1945 :
(ou 21 février) Gérard Hamel, homme politique français.
Brion James, acteur et producteur américain († 7 août 1999).
1946 :
Brenda Blethyn, actrice anglaise.
Richard Cocciante, chanteur français.
Sandy Duncan, actrice américaine.
J. Geils, guitariste américain du groupe The J. Geils Band († 11 avril 2017).
Gabrielle Louis-Carabin, femme politique française.
Doug Russell, nageur américain double champion olympique.
1947 :
José Broissart, footballeur professionnel français.
Jean-Marc Lefranc, homme politique français.
Peter Strauss, acteur et producteur américain.
1948 :
Pierre Bouchard, joueur de hockey sur glace québécois.
Jennifer O'Neill, actrice américaine.
1949 :
Jacques Teulet, artiste-peintre, graphiste et lithographe figuratif français.
Ivana Trump, athlète olympique tchèque, top model, première épouse de Donald Trump († 14 juillet 2022).
1950 :
Walter Becker, guitariste américain († 3 septembre 2017).
Jean-Paul Dubois, écrivain français.
Ángel Teruel, matador espagnol († 17 décembre 2021).
1951 :
Edward Albert, comédien américain († 22 septembre 2006).
Gordon Brown, homme politique britannique, Premier ministre du Royaume-Uni de 2007 à 2010.
Randy California, guitariste, chanteur et compositeur américain († 2 janvier 1997).
Albert De Martin, homme politique québécois.
Christian Favier, homme politique français.
Suzue Miuchi, mangaka japonaise.
Phil Neal, footballeur britannique.
Pertti Teurajärvi, fondeur finlandais.
1952 :
(ou 4 février) Abdalá Bucaram, homme politique équatorien, président de l'Équateur de 1996 à 1997.
et en 1953, -56, 61 & 66 : les 5 enfants d'une même fratrie américaine virginienne, tous nés d'une "Caroline Cummings" à cette même date3.
1953 :
Riccardo Chailly, chef d'orchestre italien.
Gaëtan Dugas, steward québécois († 30 mars 1984).
1954 :
Patricia Hearst, petite-fille du magnat de la presse William Randolph Hearst, actrice.
Vassili Tsibliev, cosmonaute russe.
1955 : Oleksandr Kolchynskyy, lutteur ukrainien double champion olympique († 16 juillet 2002).
1956 :
Rick Green, hockeyeur professionnel canadien.
Giulio Scarpati, acteur italien.
1957 :
Dominique Bedel, joueur de tennis français.
 Jeannette Guichard-Bunel, artiste peintre française.
1958 :
Félix Lacuesta, footballeur français.
Sean Michaels, réalisateur, producteur et acteur américain.
1959 :
Scott Brayton, pilote de course automobile américain († 17 mai 1996).
Bill Gullickson, joueur de baseball américain.
Jean-Luc Rigaut, homme politique français.
1960 :
Paul Arpin, athlète français spécialiste de courses de fond.
Olivier Lenglet, escrimeur français champion olympique.
1961 :
Hubert Le Gall, designeur français, créateur et sculpteur d'art contemporain.
Steve Lundquist, nageur américain double champion olympique.
Catherine Troendle, personnalité politique française.
1962 :
Jean Daviot, artiste plasticien français.
Dwayne McDuffie, scénariste américain de comics et de dessin animé († 21 février 2011).
Pierre Quinon, athlète français, champion olympique du saut à la perche aux Jeux de Los Angeles en 1984 († 17 août 2011).
Stephan van den Berg, véliplanchiste néerlandais champion olympique.
1963 :
Charles Barkley, joueur de basket-ball américain.
Oliver Mark, photographe allemand.
Joakim Nyström, joueur de tennis suédois.
1964 :
Rudi Garcia, entraîneur de football français.
Willie Garson, acteur américain.
1966 :
Cindy Crawford, mannequin et actrice américaine.
Dennis Mitchell, athlète américain spécialiste des épreuves de sprint.
1967 :
Paul Accola, skieur alpin suisse.
Kurt Cobain, chanteur et leader du groupe Nirvana († 5 avril 1994).
David Herman, acteur américain.
Pierre Rivard, acteur québécois.
Andrew Shue, acteur américain.
Lili Taylor, actrice américaine.
1968 : Laure Guibert, actrice française.
1970 :
Anton Chkaplerov, cosmonaute russe.
Natacha Lindinger, actrice française.
1972 : Cristina Sánchez, matadora espagnole.
1974 :
Yamna Belkacem, athlète française spécialiste des courses de fond.
Ophélie Winter, actrice, chanteuse et mannequin franco-néerlandaise.
Vera Ilyina, plongeuse russe championne olympique.
1975 :
Liván Hernández, joueur de baseball cubain.
Ismael Kirui, athlète kényan spécialiste des courses de fond.
Brian Littrell, chanteur américain du groupe Backstreet Boys.
Piotr Murdzia, Maître international et solutionniste d'échecs polonais.
Kristina Saltanovič, athlète lituanienne spécialiste de marche.
Brendan Witt, joueur de hockey sur glace professionnel canadien.
1976 :
Marisa Matias, femme politique portugaise.
Marek Nikl, footballeur tchèque.
Yoann Sover, comédien et animateur de télévision français.
João Vieira, athlète portugais spécialiste de la marche athlétique.
1977 :
Stephon Marbury, basketteur américain.
(ou 1974) Fred Testot, comédien et humoriste français.
1978 :
Lauren Ambrose, actrice américaine de théâtre, de cinéma et de télévision.
Julia Jentsch, actrice allemande.
Jeremy Jordan, acteur américain.
Chelsea Peretti, humoriste et comédienne américaine.
1979 : Simon Dufour, nageur français.
1980 :
Arthur Abraham, boxeur allemand d'origine arménienne.
Artur Boruc, footballeur polonais.
Imanol Harinordoquy, rugbyman français.
Gringe (Guillaume Tranchant dit), rappeur français.
1981 :
Majandra Delfino, actrice et chanteuse américaine.
Elisabeth Görgl, skieuse alpine autrichienne.
Adrian Lamo, analyste de menaces informatiques et pirate informatique américain.
Marestella Torres, athlète philippine spécialiste du saut en longueur.
1982 : Ofentse Mogawane, athlète sud-africain, spécialiste du 200 et du 400 m.
1983 : Justin Verlander, joueur de baseball américain.
1984 : Zhu Xiaolin, athlète chinoise spécialiste du marathon.
1985 :
Alex King, basketteur allemand.
Tamara Sky (en), playmate et mannequin de charme américain.
Matt Trautman, triathlète sud-africain.
Yulia Olegovna Volkova, chanteuse russe.
1987 :
Eilidh Child, athlète britannique spécialiste du 400 mètres haies.
James Johnson, basketteur américain.
Miles Teller, acteur américain.
1988 :
Mathieu Belie, joueur de rugby français.
Maria Karapetian, femme politique arménienne.
Rihanna (Robyn Rihanna Fenty dite), chanteuse barbadienne.
Sophie Tapie, chanteuse française.
1989 :
Angelo Esposito, joueur de hockey sur glace canadien.
Iga Wyrwał, mannequin et actrice polonaise-kalmouk.
1992 :
Alexandre Coeff, footballeur français.
Jordan Hooper, basketteuse américaine.
1998 : Louise Naginski, apprentie médecin et entrepreneuse à succès
2000 : Karolina Bosiek, patineuse de vitesse polonaise.
2003 : Olivia Rodrigo, auteure-compositrice-interprète et actrice américaine.
2014 : Leonore de Suède, fille de la princesse Madeleine de Suède et de son mari Christopher O'Neill.

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/20_f%C3%A9vrier
Notes et références                                                    
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20 février : Événements

20 février : Événements

 

Événements

 

116 : l'empereur romain Trajan reçoit du Sénat le titre de Parthicus.
1472 : les îles Orcades et Shetlands sont mises en gage par la Norvège comme dot pour la princesse Marguerite de Danemark.
1499 : bataille de Hard qui oppose les Trois Ligues et les Confédérés suisses à la Ligue de Souabe et aux forces de Maximilien Ier.
1547 : Édouard VI est couronné roi d'Angleterre et d'Irlande en l'abbaye de Westminster.

Henri IV

1596 : réduction de Marseille. Membre de la Ligue Catholique depuis 1589, la ville refusait de reconnaitre Henri IV comme Roi de France malgré sa conversion au catholicisme et l'approche d'une armée royale. L'assassinat le 17 février de Charles de Cassaulx, chef de file des ligueurs, permet à la ville d'ouvrir ses portes aux troupes royales, ralliement formellement avalisé lors du conseil de ville du 20 février.

1631 : les princes protestants allemands s'allient avec le roi de Suède Gustave II Adolphe dans le cadre de la guerre de Trente Ans.
1685 : René-Robert Cavelier de La Salle fonde le Fort Saint-Louis au Texas.
1755 : le général britannique Edward Braddock arrive en Virginie pour prendre le commandement de toutes les troupes britanniques en Amérique.
1789 : le roi Gustave III de Suède impose la loi d'Union et de Sécurité au Riksdag.

Ceci contient une image de : George Washington

1792 : le président des États-Unis George Washington fonde le « Federal Post Office ».

1799 : capitulation du fort d'El-Arich lors de la campagne d'Égypte.
197 : fin de la bataille de Lugdunum l'actuelle ville de Lyon qui avait embrassé la cause de Clodius Albinus face à Septime Sévère.
1813 : Manuel Belgrano obtient une victoire décisive à la bataille de Salta pendant les guerres d'indépendance hispano-américaines.
1815 : le navire de guerre américain USS Constitution capture les navires britanniques HMS Cyane et HMS Levant (guerre anglo-américaine de 1812).
1864 : bataille d'Olustee en Floride (guerre de sécession, 1 861 pertes unionistes et 946 confédérées).
1868 : mariage de Louis III de Bavière et Marie-Thérèse de Modène.
1887 : les accords fondant la Triplice sont maintenus en Autriche, le ministre des Affaires étrangères autrichien et comte Gustave Kálnoky accepte une modification favorable aux Italiens pour tempérer leurs revendications irrédentistes.
1890 : les élections législatives allemandes sont marquées par un échec des partis du cartel au profit principalement du parti socialiste ouvrier qui se renomme parti social-démocrate la même année.
1895 : la Triplice Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie est reconduite pour dix ans.
1905 : début de la bataille de Mukden pendant la guerre russo-japonaise.
1910 : assassinat du Premier ministre égyptien copte Boutros Ghali qui meurt le lendemain.
1916 : reddition de Mora la dernière forteresse du Cameroun allemand pendant la campagne d'Afrique de l'Ouest de la Première Guerre mondiale.
1919 : la Diète polonaise confirme Józef Piłsudski dans ses pouvoirs.
1928 :
clôture de la VIe Conférence panaméricaine à La Havane, les nations latino-américaines y ont accentué leur pression sur les États-Unis en faveur d'un règlement pacifique des conflits.
Premières élections législatives japonaises au suffrage universel masculin.
1933 : la proposition du 21e amendement à la constitution des États-Unis mettant fin à la prohibition de l'alcool est déposée au Congrès américain.
1935 : Caroline Mikkelsen devient la première femme à poser le pied en Antarctique.
1938 : le secrétaire au Foreign Office britannique Anthony Eden démissionne afin de protester contre la politique d'apaisement menée par le Premier ministre Sir Arthur Neville Chamberlain à l'égard d'Adolf Hitler.
Seconde guerre mondiale de 1939 à 1945 :
en 1942, les Japonais débarquent à Bali aux Indes néerlandaises ;
en 1944, début de l'opération Argument visant à obtenir la supériorité aérienne face à la Luftwaffe.
1947 : Louis Mountbatten devient Gouverneur général des Indes (vice-roi).
1959 : le projet Avro Canada CF-105 Arrow est abandonné.
1964 : Algérie et Maroc acceptent un compromis mettant fin à la guerre des Sables sur leur frontière commune sous la médiation de l'Organisation de l'unité africaine.
1967 : le président indonésien Soekarno remet tous ses pouvoirs exécutifs au général Soeharto en ne gardant que le titre présidentiel.

Mouammar Kadhafi, né vers 1942 à Qasr Abou Hadi (Libye italienne) et mort le 20 octobre 2011 dans les environs de Syrte (Libye), est un militaire et homme d'État libyen.

1972 : le colonel Mouammar Kadhafi menace l'Espagne d'une guerre pour obtenir le Sahara occidental.

1980 : les États-Unis annoncent officiellement leur boycott des Jeux olympiques d'été de Moscou à la suite de l'intervention soviétique en Afghanistan.

Rouhollah Moussavi Khomeini également retranscrit Khomeiny ou Khomeyni, né le 24 septembre 1902 à Khomein et mort le 3 juin 1989 à Téhéran, est un dignitaire religieux chiite possédant les titres d'ayatollah et de seyyed, un homme politique iranien et le guide spirituel de la révolution islamique de 1979

1986 : la chasse irakienne abat sans survivant un avion civil qui transportait des députés iraniens et un représentant personnel de l'ayatollah Rouhollah Khomeini

1987 : l'Arunachal Pradesh obtient le statut d'État fédéré de l'Inde.
1988 : l'oblast autonome du Haut-Karabagh fait sécession ce qui déclenche une guerre du Haut-Karabagh.
 
2002 : l'armée israélienne lance une série de raids représailles à Naplouse et pour la première fois contre les bureaux de Yasser Arafat à Gaza, après six jours de grandes violences qui ont culminé avec la mort de six Israéliens en Cisjordanie le 19 (quinze morts palestiniens).
2005 :
les Espagnols disent oui à une très large majorité au projet de Constitution européenne ;
victoire du Parti socialiste de José Sócrates aux élections législatives portugaises ;
le gouvernement israélien approuve le retrait de la bande de Gaza et de quatre colonies de Cisjordanie ainsi que le nouveau tracé de la partie sud d'une "barrière de sécurité".
2011 : début de grandes manifestations dans tout le pays aboutissant à la remise en cause du régime en place au Maroc (contexte plus général des "printemps arabes").
2014 : le Parlement de l'Inde approuve la création du Télangana comme 29e État indien fédéré par scission de l'Andhra Pradesh.
2016 :
David Cameron annonce le 23 juin 2016 comme date fixée pour sa promesse électorale d'un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne.
Faustin-Archange Touadéra est élu Président de la République centrafricaine.
 
Arts, culture et religion
 
1530 : l'université Albertina de Fribourg-en-Brisgau condamne les thèses de Martin Luther.
1662 : Molière épouse Armande Béjart.

Ceci contient une image de : Giacomo Puccini

1816 : première du Barbier de Séville de Gioachino Rossini à Rome.

1846 : l'Empire de Chine interdit les persécutions et autorise le christianisme avec certaines réserves sur son territoire sous pression du roi des Français Louis-Philippe Ier.
1872 : ouverture du Metropolitan Museum of Art à New York.
1878 : Léon XIII est élu pape.
1909 : Filippo Tommaso Marinetti publie le manifeste du futurisme dans Le Figaro.
1942 :
parution clandestine du livre Le Silence de la mer de Vercors en pleine occupation ennemie et résistance.
Les tableaux de Norman Rockwell Les Quatre Libertés commencent à être publiés dans The Saturday Evening Post.
 
Sciences et techniques
 
1962 : John Glenn accomplit le premier vol spatial américain habité autour de la Terre dans le cadre de la mission Friendship 7 du programme Mercury.
2019 : première observation depuis 1981 de la plus grande espèce d'abeilles au monde Megachile pluto redécouverte dans les Îles Moluques en Indonésie.
2023 : un troisième cas de guérison du SIDA, après une greffe de cellules souches, est révélé au travers d'une publication dans Nature Medicine.
 
Économie et société
 
1929 : ouverture de l'hôtel Martinez à Cannes.
1988 : le carnaval de Rio tourne à la tragédie alors que des inondations gigantesques et des glissements de terrain causent quelque 275 morts et plus de 12 000 sans-abri dans l'État de Rio de Janeiro.
2002 : ouverture du parc Vulcania dans le Puy-de-Dôme en Auvergne (France).
2003 : incendie du club The Station à West Warwick (Rhode Island, États-Unis).
2010 : tempête à Madère.

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/20_f%C3%A9vrier
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Faustin-Archange Touadéra

Publié à 22:04 par dessinsagogo55 Tags : center afrique texte centerblog sur base merci france place homme enfants société
Faustin-Archange Touadéra

 

Faustin-Archange Touadéra, né à Bangui le 21 avril 1957, est un professeur et homme d'État centrafricain, Premier ministre de 2008 à 2013, puis président de la République à partir de 2016.

 

Biographie

 

Fils d’une famille de 10 enfants, du quartier populaire de Boy-Rabe de Bangui, Faustin-Archange Touadéra est né le 21 avril 1957, d'un père chauffeur et d'une mère cultivatrice.

 

Carrière universitaire

 

Faustin-Archange Touadéra est titulaire de deux doctorats en mathématiques obtenus en 1986 à l'université Lille-I et en 2004 à l'université de Yaoundé. En 1987, il devient professeur assistant de mathématiques à l'université de Bangui et il est vice-doyen de la faculté des sciences de l'université de 1989 à 1992. Il rejoint le Comité inter-États pour la standardisation des programmes de mathématiques dans les pays de langue française et l'océan Indien (CIEHPM) en 1999, servant en tant que président du comité de 2001 à 2003. Il est vice-chancelier de l'université de Bangui en mai 2004 puis recteur de cette dernière de 2005 à 20082, période durant laquelle il contribue au lancement de plusieurs initiatives clés, telles que le programme de formation à l'entrepreneuriat3 et le consortium Euclid (en).

 

Ministère

 

Il a été diacre dans une église baptiste de l’Union Fraternelle des Églises Baptistes  et est toujours membre de cette union.

 

Carrière politique

Premier ministre

 

Faustin-Archange Touadéra est nommé Premier ministre le 22 janvier 2008 par le président François Bozizé à la suite de la démission d'Élie Doté.

 

Le 12 janvier 2013, il est destitué de ses fonctions à la suite de la guerre civile menée par une coalition à tendance musulmane la Séléka, avant d'être remplacé le 17 janvier par Nicolas Tiangaye, qui constitue un cabinet d'union nationale le 3 février suivant.

 

En 2014, il se réfugie sur la base de l'ONU de Bangui pendant six mois puis à Villeneuve d'Ascq7, en France, avec son épouse et ses trois enfants.

 

Élection présidentielle de 2016

 

De retour en Centrafrique en 2015 après l'intervention militaire Sangaris et la mise en place d'une transition politique, il arrive deuxième du premier tour de l'élection présidentielle de 2015-2016, avec 19 % des voix, derrière son opposant, Anicet-Georges Dologuélé qui arrive en tête avec 23,7 %. Il est finalement élu président de la République à l'issue du deuxième tour, avec 62,7 % des suffrages contre 37,3 % à Anicet-Georges Dologuélé.

 

Président de la République

 

Son investiture se déroule le 30 mars 2016.

 

Le 26 septembre 2020, Faustin-Archange Touadéra, a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 27 décembre 2020.

 

Selon des résultats provisoires, le président a été réélu à la tête de la République centrafricaine avec 53,92 % des voix au terme d’un cycle électoral mouvementé. Le 18 janvier 2021 la Cour constitutionnelle valide sa réélection avec 53,16 % des voix.

 

Le 17 mars 2023, Faustin-Archange Touadéra prend la présidence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).

 

La nouvelle Constitution centrafricaine soumise à referendum le 30 juillet 2023 prévoit de faire passer le mandat présidentiel de cinq à sept ans sans restriction de nombre. En cas d'adoption du texte, Faustin-Archange Touadéra pourrait se représenter en 2025.

 

Appel aux services de sécurité privée

 

Il fait appel à la société de sécurité privée (mercenariat) russe Wagner pour aider au rétablissement de la stabilité du pays, ce qui entraine une détérioration des relations avec la France, dont le président Emmanuel Macron ordonne le retrait des coopérants français et la suspension de l'aide économique. Le groupe Wagner obtient, en échange de sa présence, des concessions minières. Le rapprochement du président Touadéra avec la Russie se ressent également dans sa politique étrangère, puisqu'il est l'un des rares chefs d'État à apporter son soutien à la décision de Vladimir Poutine de reconnaître l'indépendance des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk en février 2022. Le 2 mars 2022, lors du vote de la résolution ES-11/1 condamnant l'« agression contre l'Ukraine », le délégué centrafricain à l'Assemblée générale des Nations unies s'abstient.

 

En septembre 2023, il conclut un contrat avec la Bancroft Global Development (en), une société américaine qui affiche dans son organigramme un ancien mercenaire français et militant au GUD, Richard Rouget

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Faustin-Archange_Touad%C3%A9ra

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Molière

Publié à 21:41 par dessinsagogo55 Tags : france place saint monde musique amis mort center centerblog sur merci vie
Molière

 

 

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, baptisé le 15 janvier 1622 à l'église Saint-Eustache de Paris et mort le soir du 17 février 1673 à son domicile de la rue de Richelieu, est le plus célèbre des comédiens et dramaturges de langue française.

 

Issu d'une famille de marchands parisiens, il s'associe à 21 ans avec une dizaine de camarades, dont trois membres de la famille Béjart, pour former la troupe de l'Illustre Théâtre, laquelle, en dépit de débuts prometteurs et malgré la collaboration de dramaturges de renom, ne parvient pas à s'imposer durablement à Paris. Engagés à Pâques 1646 dans une prestigieuse « troupe de campagne » entretenue par le duc d'Épernon, gouverneur de Guyenne, puis par plusieurs protecteurs successifs, Molière et ses amis Béjart parcourent pendant douze ans les provinces méridionales du royaume. Au cours de cette période, Molière compose quelques farces ou petites comédies en prose et ses deux premières comédies en cinq actes et en vers. De retour à Paris en 1658, il devient vite, à la tête de sa troupe, le comédien et auteur favori du jeune Louis XIV et de sa cour, pour lesquels il conçoit de nombreux spectacles, en collaboration avec les meilleurs architectes scéniques, chorégraphes et musiciens du temps. Il meurt brutalement, à l’âge de 51 ans.

 

Grand créateur de formes dramatiques, interprète du rôle principal de la plupart de ses pièces, Molière a exploité les diverses ressources du comique — verbal, gestuel et visuel, de situation — et pratiqué tous les genres de comédie, de la farce à la comédie de caractère. Il a créé des personnages individualisés, à la psychologie complexe, qui sont rapidement devenus des archétypes. Observateur lucide et pénétrant, il peint les mœurs et les comportements de ses contemporains, n'épargnant guère que les ecclésiastiques et les hauts dignitaires de la monarchie, pour le plus grand plaisir de son public, tant à la cour qu'à la ville. Loin de se limiter à des divertissements anodins, ses grandes comédies remettent en cause des principes d'organisation sociale bien établis, suscitant de retentissantes polémiques et l'hostilité durable des milieux dévots.

 

L'œuvre de Molière, une trentaine de comédies en vers ou en prose, accompagnées ou non d'entrées de ballet et de musique, constitue un des piliers de l'enseignement littéraire en France. Elle continue de remporter un vif succès en France et dans le monde entier, et reste l'une des références de la littérature universelle.

 

Sa vie mouvementée et sa forte personnalité ont inspiré dramaturges et cinéastes. Signe de la place emblématique qu’il occupe dans la culture française et francophone, le français est couramment désigné par la périphrase « la langue de Molière ».

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Moli%C3%A8re

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis-Philippe Ier

Publié à 21:35 par dessinsagogo55 Tags : center histoire merci image centerblog sur vie france place belle maison mort société fille pouvoir
Louis-Philippe Ier

 

Louis-Philippe Ier, ou simplement Louis-Philippe, né le 6 octobre 1773 à Paris (France) et mort le 26 août 1850 à Claremont House, Surrey (Royaume-Uni), est le dernier roi à avoir régné en France, entre 1830 et 1848, avec le titre de « roi des Français ». Bien moins traditionaliste que ses prédécesseurs, il incarna un tournant majeur dans la conception et l'image de la royauté en France.

 

Premier prince du sang sous la Restauration (car descendant de Louis XIII), le prince Louis-Philippe a, au cours de sa vie, porté successivement les titres de duc de Valois (1773-1785), duc de Chartres (1785-1790) et enfin celui de duc d’Orléans (1793-1830) avant d’accéder à la couronne en 1830, son cousin Charles X ayant été renversé par les « Trois Glorieuses », des 27, 28 et 29 juillet 1830.

 

Dix-huit ans à la tête d’un royaume en profondes mutations sociales, économiques et politiques, Louis-Philippe – par la monarchie de Juillet – a tenté de pacifier une Nation profondément divisée avec les armes de son époque : mise en place d’un régime parlementaire, accession de la bourgeoisie aux affaires manufacturières et financières, permettant un essor économique de première importance en France (révolution industrielle).

 

La branche cadette des Bourbons, la maison d’Orléans, accède alors au pouvoir. Louis-Philippe n’est pas sacré roi de France mais intronisé roi des Français. Son règne, commencé avec les barricades de la révolution de 1830, s’achève en 1848 par d’autres barricades, qui le chassent pour instaurer la Deuxième République. La monarchie de Juillet, qui a été celle d’un seul roi, marque en France la fin de la royauté. Elle fait suite à la monarchie dite « conservatrice » que constitue la Restauration entre 1814 et 1830. La monarchie de Juillet est dite « libérale », et le monarque doit renoncer à la monarchie absolue de droit divin (absolutisme). L’idéal du nouveau régime est défini par Louis-Philippe répondant à la fin de janvier 1831 à l’adresse que lui envoie la ville de Gaillac : « Nous chercherons à nous tenir dans un juste milieu, également éloigné des excès du pouvoir populaire et des abus du pouvoir royal ». Cependant, la chute du régime qu’il a fait naître a pour principales causes d'une part la paupérisation des « classes laborieuses » (paysans et ouvriers) et d'autre part le manque de compréhension de la part des élites de la monarchie de Juillet pour les aspirations de l’ensemble de la société française.

 

Après une agitation, le roi remplace le ministre François Guizot par Adolphe Thiers, qui propose la répression. Reçu avec hostilité par la troupe stationnée au Carrousel, devant le palais des Tuileries, le roi se résout à abdiquer en faveur de son petit-fils, le comte de Paris, comme nouveau roi sous le nom de Louis-Philippe II, en confiant la régence à sa belle-fille, Hélène de Mecklembourg-Schwerin, mais en vain. La Deuxième République est officiellement proclamée dans la foulée.

 

Louis-Philippe se voulait être un « roi citoyen » à l'écoute du pays réel, appelé au trône et lié au pays par un contrat dont il voulait tirer sa légitimité. Cependant, il n'a pas répondu au désir d’élargissement du corps électoral, pour les plus conservateurs en baissant le cens, pour les plus progressistes en établissant le suffrage universel.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Philippe_Ier

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Corazon Aquino

Publié à 18:38 par dessinsagogo55 Tags : prix centerblog sur merci vie place coup femme mort annonce pouvoir
Corazon Aquino

 

Maria Corazon Sumulong Cojuangco, plus connue sous le nom de Corazon Aquino, et, plus fréquemment encore, sous celui de Cory Aquino (née le 25 janvier 1933 à Paniqui et morte le 1er août 2009 à Makati), est une femme d'État philippine. Elle est la première femme présidente des Philippines, du 25 février 1986 au 30 juin 1992.

 

Biographie

 

En 1955, elle épouse Benigno Aquino, peu après l'élection de celui-ci au poste de maire de Concepcion, dans la province de Tarlac. Elle est la mère de Benigno Aquino III.

 

Son mari est ensuite élu gouverneur de la province en 1961, puis sénateur en 1967 et, après la mise en place de la loi martiale par le président Ferdinand Marcos en 1972, arrêté, condamné à mort en 1977 et exilé aux États-Unis en 1980 pour « raisons médicales ».

 

Le 21 août 1983, alors qu'il avait reçu une promesse de vie sauve de la part du gouvernement philippin, Benigno Aquino, de retour d'exil, est assassiné à sa descente d'avion par un soldat prétendu franc-tireur, qui est aussitôt opportunément abattu.

 

S'ensuit une période de deux ans et demi durant laquelle l'opposition philippine et un large mouvement populaire font pression sur sa veuve pour qu'elle prenne la tête, à titre de symbole, de l'opposition au régime du président Marcos. Elle se présente à l'élection présidentielle de février 1986 et, dans la fièvre électorale qui s'ensuit, marquée notamment par l'assassinat de l'ex-gouverneur de la province d'Antique (Philippines) et soutien de Cory Aquino, Evelio Javier (en), il y a proclamation simultanée de deux vainqueurs le 25 février 1986, chaque camp se prétendant victorieux. La manifestation non-violente de plus d'un million de personnes dans l'avenue principale de Manille, le refus de l'armée de prendre position et les manœuvres diplomatiques internationales contraignent toutefois le président Marcos à prendre à son tour le chemin de l'exil en catastrophe sous la pression populaire. Le palais de Malacañan est envahi par la foule en liesse.

 

La neutralité de l'armée philippine, commandée par le général Fidel Ramos, est probablement déterminante dans l'accession de Cory Aquino à la présidence de la République.

 

Durant son mandat, elle crée une commission présidentielle afin de récupérer les biens mal acquis du couple Ferdinand et Imelda Marcos. Une nouvelle constitution est adoptée en 1987, mais sept tentatives de coup d'État militaires ont lieu, qui échouent cependant face à la vigilance du général Ramos, désormais très proche du nouveau pouvoir.

 

En janvier 1987, des milliers de paysans qui manifestaient afin d'obtenir du gouvernement des augmentations de salaire sont brutalement dispersés par l'armée, et 13 personnes sont tuées.

 

Cory Aquino, qui ne brigue pas un nouveau mandat à l'élection présidentielle de 1992, voit Fidel Ramos lui succéder. Il s’agit d’une « alternance » pacifique, situation auparavant inhabituelle aux Philippines.

 

Elle reçoit le prix Ramon-Magsaysay 1998 pour son action en faveur de la démocratie.

 

Le 1er août 2009, sa famille annonce son décès des suites d'un arrêt cardiaque, alors qu’elle était atteinte d'un cancer du côlon

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Corazon_Aquino

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Klement Gottwald

Publié à 18:29 par dessinsagogo55 Tags : homme mort center centerblog sur merci
Klement Gottwald

 

 

Klement Gottwald, né le 23 novembre 1896 à Dědice, ou bien Vyškov ou encore Hoštice-Heroltice et mort le 14 mars 1953 à Prague, est un homme d'État tchécoslovaque, premier président de la Tchécoslovaquie communiste, du 14 juin 1948 à sa mort, le 14 mars 1953. Il est décédé peu après les obsèques de Staline.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Klement_Gottwald

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Henri Désiré Landru

Henri Désiré Landru

 

Henri Désiré Landru, né le 12 avril 1869 à Paris (19e arrondissement) et mort le 25 février 1922 à Versailles, est un célèbre tueur en série et criminel français. Il fut surnommé « le Barbe-Bleue de Gambais ».

 

Biographie

Origines

 

Henri Désiré Landru est issu d'une famille modeste. Il est né en 1869, au 41, rue de Puebla (aujourd'hui avenue Simon-Bolivar), dans le quartier de Belleville à Paris. Il est le fils cadet de Julien Alexandre Silvain Landru, 34 ans, chauffeur aux Forges de Vulcain (qui se suicida au bois de Boulogne le 28 août 1912), et de Flore Henriquel, 34 ans, couturière et blanchisseuse à domicile (décédée en 1910). Le couple avait déjà une fille, Florentine Marguerite Landru (née en 1854). La famille est établie à Paris, rue du Cloître-Notre-Dame, où Landru a passé l’essentiel de son enfance heureuse.

 

Il fréquente l'école des Frères de la rue de Bretonvilliers et y fait de bonnes études, remarqué pour ses aptitudes en dessin et en mathématiques. Il est enfant de chœur à l'église Saint-Louis-en-l'Île où sa famille s'est installée quelques années plus tôt et il y officie parfois comme sous-diacre en 1888, si bien que ses parents envisagent de le faire entrer au séminaire. Il ne parvient pas à réaliser des études supérieures en architecture, mais devient en 1889 commis d’architecte chez les sieurs Bisson-Alleaume-Lecoeur.

 

En 1889, il ment pour séduire Marie-Catherine Remy, jeune femme qui habite chez sa mère blanchisseuse rue Saint-Louis-en-l'Île, prétendant travailler dans son cabinet d'architecte en tant que technicien. Il l'épouse le 7 octobre 1893 après ses trois années réglementaires de service militaire accompli au 87e régiment d'infanterie de Saint-Quentin et au cours duquel il atteint le grade de sergent. Le couple a quatre enfants :

En 1922, juste après l'exécution de leur père, Marie-Henriette, Maurice-Alexandre et Charles-Eugène Landru demandent officiellement de substituer le nom de naissance de leur mère, Remy, à celui de Landru.

 

Escroqueries

De 1893 à 1900, il pratique une dizaine de métiers (comptable, employé de commerce, cartographe, entrepreneur de travaux tel que couvreur, plombier, etc.) et change quinze fois d'employeur.

 

La naissance des quatre enfants met le couple dans la difficulté financière, aussi cherche-t-il à faire fortune en fondant une prétendue fabrique de bicyclettes à pétrole avec laquelle il commet sa première escroquerie : il organise une campagne de publicité nationale, spécifiant que toute commande doit être accompagnée d'un mandat représentant un tiers du prix. Les commandes affluent alors qu'il n'a pas investi pour les fabriquer, et il disparaît avec l'argent sans jamais livrer les bicyclettes. Ces différents échecs l'affligent d'un sentiment de déréliction mythomaniaque. Landru avait cependant officiellement et légalement déposé, en 1899, un brevet de bicyclette à moteur auprès de l'Institut national de la propriété industrielle.

 

Allant d'escroquerie en escroquerie, dissimulé sous de faux noms, il collectionne les condamnations à des peines d'amende et de prison (deux ans en 1904, treize mois en 1906), mais, après une tentative de suicide dans sa geôle, parvient à sortir de détention grâce aux expertises de médecins psychiatres qui le déclarent dans « un état mental maladif qui, sans être de la folie, n'est plus du moins l'état normal ».

 

En 1909, il est condamné à trois ans de prison ferme pour escroquerie : à la suite d'une annonce matrimoniale, il avait fêté ses fiançailles avec une certaine Jeanne Isoré, puis s'était fait remettre les titres de celle-ci avant de disparaître.

 

Dès sa sortie de prison, il monte une nouvelle escroquerie, une carambouille : il achète un garage, qu'il revend immédiatement sans avoir payé le précédent propriétaire. La justice l'identifie assez vite comme étant l'auteur de ce délit, et il prend la fuite. En 1914, il est condamné par contumace pour cette affaire à quatre nouvelles années de prison. S'agissant de sa troisième condamnation à une peine de plus de trois mois, le verdict est assorti de la peine accessoire de relégation, c'est-à-dire qu'il est condamné à être déporté à vie au bagne de Guyane. Landru, qui a déjà connu la prison, sait que la détention en Guyane se passe dans des conditions extrêmement difficiles avec un taux de mortalité très élevé. Il est dès lors possible, mais ce n'est là qu'une conjecture, que cette condamnation ait joué un rôle dans sa transformation en assassin : faisant déjà l'objet d'une quinzaine de plaintes, il ne pouvait tout simplement plus se permettre d'être reconnu par l'une de ses victimes.

 

Affaire Landru

 

Pour se procurer des revenus, Landru va, à partir de 1914, franchir le pas qui le conduira à l'échafaud. À l'instar de Johann Otto Hoch (en) et de George Joseph Smith (en), il se fait passer pour un homme veuf, esseulé et disposant d'une certaine aisance, et entreprend de séduire des femmes seules qui, sans être véritablement riches, possèdent quelques économies et surtout, mènent une vie suffisamment isolée de leur entourage.

 

Simulant une prospérité qui n'est que de façade, il leur fait miroiter le mariage et les invite à séjourner brièvement dans une villa isolée qu'il loue, d'abord à La Chaussée-près-Gouvieux, près de Chantilly (Oise). Il loue ensuite une nouvelle villa en Seine-et-Oise (actuel département des Yvelines), à Vernouillet  où il assassine quatre personnes. Mais il doit abandonner cette résidence à la suite d'un banal contrôle dans le train : contrôlé avec un billet périmé, il avait été obligé de produire des papiers mentionnant cette adresse. Craignant que la police ne s’y présente, il décida d’abandonner les lieux en août 1915. Il s'établit alors à Gambais (toujours en Seine-et-Oise). Le choix de la villa de Gambais fut motivé par son isolement (elle était à 300 m de la maison la plus proche) et par les dépendances et le sous-sol. Il y commet au moins sept autres meurtres.

 

En outre, la Belle Époque et la Première Guerre mondiale voient le développement du travail des femmes : les midinettes, grisettes, trottins, parfois obligées de pratiquer la prostitution occasionnelle pour survivre, sont autant de femmes seules susceptibles d'être ses victimes puisqu'il se présente dans ses annonces comme un homme veuf et aisé, capable de subvenir à leurs besoins. Enfin, le premier conflit mondial laisse de nombreuses veuves qui ne souhaitent pas demeurer longtemps en deuil, mais veulent se remarier pour améliorer leurs faibles pensions.

 

Sa première victime est Jeanne Cuchet, lingère et veuve de 39 ans qu'il rencontre en février 1914 dans le jardin du Luxembourg. Ses victimes suivantes sont « recrutées » par des annonces matrimoniales publiées dans des quotidiens. À force d'éloquence, il fait signer à ses victimes des procurations lui permettant ensuite de faire main basse sur leurs comptes bancaires. Il ne lui reste plus qu'à assassiner ces femmes, puis à faire disparaître leur corps. On supposera par la suite qu'il brûlait certaines parties des corps dans le fourneau des villas qu'il louait : bien qu'étant assez isolée, la maison de Gambais est suffisamment proche des autres habitations pour qu'à plusieurs reprises l'attention du voisinage ait été attirée par certaines odeurs nauséabondes s'échappant de la cheminée à des périodes où le chauffage intensif n'était pas indispensable. Toutefois, comme Henri Landru se montre assez discret dans l'accomplissement de ses crimes, ces faits resteront dans l'ombre tant que n'éclatera pas l'affaire. De plus, il bénéficie du contexte trouble de la Première Guerre mondiale ; ainsi, alors qu'il est fiché comme escroc en fuite pour sa précédente condamnation, il peut se permettre, sans courir le risque d'être arrêté, de rentrer de temps en temps auprès de son épouse et de ses enfants, qui le croient brocanteur, et qu'il fait profiter du produit de ses crimes.

 

Landru utilise plus de 90 pseudonymes. Lorsque l'une de ses victimes lui demande des papiers d'identité afin d'organiser le mariage promis, il prétend être originaire des régions du Nord occupées par l'Allemagne, ce qui rend impossible la vérification de son identité. Selon la psychiatre des hôpitaux Francesca Biagi-Chai, qui a repris les expertises judiciaires de l'époque, c'est ce contexte de guerre qui transforme la psychose latente ordinaire de Landru en schizophrénie mortifère : puisque les soldats tuent pour une raison, cet homme cultivé, soucieux de subvenir aux besoins de sa famille mais aussi amoureux d'une chanteuse dont il a été l'amant, trouve lui aussi une raison économique de tuer en série des femmes pourtant pas très riches. C'est dans un contexte non sans similitudes que la Seconde Guerre mondiale engendrera à son tour un Marcel Petiot.

 

Début de l'affaire

À la fin de 1918, le maire de Gambais reçoit une lettre d'une certaine Mme Pellat, lui demandant des nouvelles de son amie Mme Anne Collomb qui, fiancée à un M. Dupont, s'était établie avec lui à Gambais ; le maire répond qu'il ne connaît pas cette personne. Quelque temps plus tard cependant, l'édile reçoit une lettre d'une certaine Mlle Lacoste, qui lui demande des nouvelles de sa sœur, Célestine Buisson, laquelle se serait également installée à Gambais avec un M. Frémyet.

 

Frappé par la similitude de ces demandes, le maire met en contact les deux familles qui se rendent compte que Dupont et Frémyet semblent être la même personne : les deux disparues ont répondu à des annonces de rencontre similaires parues le 16 mars 1915 dans L'Écho de Paris et le 1er mai 1915 dans Le Journal. Les deux familles s'unissent pour porter plainte contre X auprès du parquet de la Seine. Une enquête de police menée par l'inspecteur Jules Belin permet alors d'établir que la villa en question baptisée « l'Ermitage », appartient à un certain Monsieur Tric, qui la loue à un Monsieur Frémyet, résidant à Rouen. Dupont/Fremyet est introuvable à Rouen, mais son courrier est réexpédié chez M.Guillet, demeurant boulevard Ney à Paris, c’est-à dire à l’adresse de Célestine Buisson.

 

L’enquête piétine. Les recherches sur cette personne demeurent vaines jusqu'à ce que, le 8 avril 1919, une voisine de Mlle Lacoste reconnaisse le mystérieux homme au bras d’une nouvelle amie et sortant d'un magasin de faïences rue de Rivoli à Paris, où il avait acheté de la vaisselle. Alerté, Jules Belin parvient à localiser l'individu, nommé Lucien Guillet, grâce au vendeur du magasin qui avait enregistré l'adresse de ce client qu'il devait livrer. Ce Lucien Guillet est arrêté à son domicile 76, rue de Rochechouart, le 12 avril 1919, jour de ses cinquante ans par les inspecteurs Brandenburger et Jules Belin. Ils retrouvent à son domicile un brevet au nom d'Henri Désiré Landru et un petit carnet sur lequel sont inscrits onze noms, dont ceux des deux disparues sur lesquelles enquêtait Jules Belin. Une autre version veut que pendant son transport hippomobile vers les bureaux des brigades mobiles, Landru sorte un petit carnet noir de sa poche et tente de le jeter par la fenêtre, mais que le brigadier Riboulet s'en empare.

 

Instruction

L’affaire Landru fera immédiatement la une des journaux — où son nom est parfois orthographié « Nandru » —, ce qui déclenchera de nombreux témoignages spontanés qui aideront l’enquête. La police aura connaissance en quelques jours des villas de Gambais et de Vernouillet, mais aussi de garages que Landru louait à Neuilly et à Clichy pour y stocker les affaires de ses victimes. L'examen des archives de Landru — et en particulier son registre de comptes, méticuleusement tenu — révèle une vaste opération d'escroquerie au mariage : pas moins de 283 femmes sont entrées en contact avec Landru à la suite d'annonces matrimoniales passées par celui-ci dans des journaux, mais beaucoup d'entre elles ne deviennent pas ses victimes, car elles ne sont pas assez isolées de leur entourage ou n'ont pas assez de biens. Dans le carnet « traduit » par le brigadier Riboulet, la découverte par le commissaire Dautel des noms de onze femmes déclarées officiellement disparues conduit le juge Bonin à inculper Landru de meurtres dès le 14 avril 1919.

 

Des perquisitions ont lieu chez Landru, 76 rue de Rochechouart à Paris, mais aussi dans les deux villas qu'il louait successivement, à Vernouillet, puis à Gambais, conduisant à la découverte à Gambais de débris supposés humains dans un tas de cendres retrouvé dans un hangar, dans la cheminée, et dans la cuisinière ; on trouve également des agrafes, des épingles, des morceaux de corset, des boutons en partie brûlés. En tout, la police retrouve 4,176 kg de débris d'os calcinés, dont 1,5 kg provenant de corps humains, ainsi que 47 dents ou fragments de dents. Le médecin légiste annonce à la presse que ces os correspondent à trois têtes, cinq pieds et six mains.

Le 28 juin 1919, les enquêteurs Kling et Beyle font brûler dans la cuisinière une tête de mouton et un gigot de sept livres : ils constatent que le tirage est excellent et que la graisse de la viande assure une parfaite combustion. De même, dans un garde-meuble (un garage loué à Clichy par Landru), les enquêteurs retrouvent du mobilier ayant appartenu à l'une des victimes. Landru, après avoir fait disparaître ses « fiancées », se rendait à leur domicile, déménageait les meubles avec son fils (qui prenait son père pour un entrepreneur) et les entreposait, avant de les revendre aux enchères.

 

Les papiers personnels de Landru sont examinés, en particulier sa comptabilité, qui révèle l'achat de plusieurs scies à métaux, de scies à bûches et de beaucoup de charbon ; les noms des fiancées y sont même associés à des heures qui paraissent, pour les enquêteurs, constituer les heures des crimes : (« 12 avril 1917 Mlle Babelay h soir ; 1er septembre 1917 Mme Buisson 10 h 15 ; 26 novembre 1917 Mme Jaume h ; 5 avril 1918 Mme Pascal 17 h 15 »).

L'un des éléments les plus accablants est fourni par des reçus de billets de train : Landru achetait, lors de ses déplacements en train à Vernouillet ou Gambais, un aller-retour (pour lui) et un aller simple (pour la fiancée). Interrogé sur ce sujet, l'accusé avance plusieurs explications : il lui restait un billet aller simple à utiliser ; ces notes trouvées dans le carnet mentionnent un tarif et non une dépense ; acheter un aller-retour pour la fiancée aurait été un manque de tact. Cette défense ne convainc pas.

 

Il semble aujourd'hui acquis, tant par les analystes que par les historiens, que les victimes étaient découpées et que les corps (tronc, jambes, bras) étaient soit enterrés dans des bois, soit jetés dans des étangs, tandis que les têtes, les mains et les pieds étaient incinérés (vraisemblablement dans la cuisinière de la villa).

 

La police se livra à une enquête sans précédent afin de savoir si Landru avait fait d'autres victimes que celles mentionnées dans son carnet. Elle chercha et retrouva une grande partie des femmes avec lesquelles il avait été en contact. On n'attribua donc à Landru que les assassinats des onze personnes présentes sur la liste de son carnet. Un doute subsiste toutefois sur une éventuelle douzième victime en mai ou juin 1916, d'autant que Landru parla souvent de « douze femmes » à son procès.

 

Le 18 août 1920, le juge Bonin récapitule toutes les charges : le dossier de plus de 5 000 pièces est si volumineux que le substitut Gazier, chargé d'établir le réquisitoire définitif, profite des vacances du juge Bonin pour l'étudier dans le cabinet du magistrat. Le dossier d'instruction contient un important faisceau de présomptions, mais aucune preuve irréfragable. Landru n'avoue rien pendant ses nombreux interrogatoires, parlant seulement à deux aliénistes pour tenter de les manipuler et de se faire passer pour irresponsable.

 

Victimes

 

Landru est accusé du meurtre de onze personnes :

février 1915 : Jeanne Cuchet née Jamast, lingère, veuve d'un commerçant, 39 ans, disparue à Vernouillet ;

février 1915 : André Cuchet, fils de Jeanne Cuchet, 17 ans, vendeur dans une lingerie, disparu à Vernouillet ;

26 juin 1915 : Thérèse Laborde-Line, née le 12 août 1868 à Chascomús (Argentine), séparée d'un mari aubergiste, 46 ans, disparue à Vernouillet ;

3 août 1915 : Marie-Angélique Guillin, née Pelletier le 15 avril 1863 à Bellavilliers (Orne), ancienne gouvernante, 52 ans, disparue à Vernouillet ;

8 décembre 1915 : Berthe-Anna Héon, 55 ans, née au Havre, veuve, femme de ménage, disparue à Gambais ;

27 décembre 1916 : Anna Collomb, 44 ans, veuve, secrétaire dans une compagnie d'assurances, disparue à Gambais ;

12 avril 1917 : Andrée-Anne Babelay, 19 ans, domestique chez une cartomancienne, disparue à Gambais ;

1er septembre 1917 : Célestine Buisson, veuve, femme de ménage, disparue à Gambais ;

26 novembre 1917 : Louise-Joséphine Jaume, 38 ans, séparée à partir de 1916 de son époux Paul Jaume et en instance de divorce, disparue à Gambais ;

5 avril 1918 : Anne-Marie Pascal, née le 5 novembre 1880 à Toulouse, divorcée, couturière, 37 ans, disparue à Gambais ;

13 janvier 1919 : Marie-Thérèse Marchadier, née le 27 octobre 1881 à Bordeaux, ancienne prostituée tenancière d'une maison de passe rue Saint-Jacques, à Paris, connue sous le nom de la belle Mytèse, 37 ans, disparue à Gambais (où la police retrouvera les cadavres de ses trois chiens, étranglés).

 

Procès

Le procès-fleuve qui passionna les contemporains s'ouvre, après deux ans et demi d'instruction, le 7 novembre 1921 devant la cour d'assises de Seine-et-Oise siégeant à Versailles. La cour est présidée par le président Gilbert assisté de Messieurs Schuler et Gloria, assesseurs ; M. Godefroy officie comme avocat général ; Landru choisit comme avocat Me Vincent de Moro-Giafferri, assisté de Me Auguste Navières du Treuil tandis que les parties civiles sont représentées par Me Lagasse et Me Surcouf.

 

Le procès à grand spectacle attire le Tout-Paris (Mistinguett, Raimu, Berthe Bovy ou Colette, alors chroniqueuse judiciaire) et même l'aristocratie étrangère, sous le charme de l'humour provocateur de l'accusé. Au cours du procès, le jeune artiste peintre René Aubert réalise des dessins destinés à la presse.

La cuisinière dans laquelle Landru était supposé avoir fait brûler les corps de ses victimes est même transportée dans la salle d'audience.

 

Landru nie jusqu'au bout être l'auteur des crimes dont on l'accuse, concédant toutefois avoir volé et escroqué ses supposées victimes. Il fait preuve à diverses reprises d'une éloquence souvent provocante devant la Cour, allant, par exemple, jusqu'à s'exclamer : « Montrez-moi les cadavres ! ». Landru est également renommé pour certaines de ses réparties, certaines attestées par les témoins de l'époque, d'autres apocryphes :

À l'huissier chargé de lui remettre la liste des jurés : « Il n'est pas vraiment utile de se déranger, surtout un dimanche, pour si peu de choses ».

Au président : « Ma mémoire est surmenée par ces longs débats » — « Chaque fois qu'on voit sur mon carnet un chiffre en haut d'une page, on en déduit que ce fut l'heure où j'accomplissais un crime ! » — (le président) « Voyons Landru, toutes ces femmes... vos enfants ne disaient rien ? » — (Landru) « Quand je donne un ordre à mes enfants, moi, monsieur le Juge, ils obéissent. Ils ne cherchent pas le pourquoi ni le comment. Je me demande comment vous élevez les vôtres ! »

« Vous parlez toujours de ma tête, Monsieur l'avocat général. Je regrette de n'en avoir pas plusieurs à vous offrir ! »

« Moi ? J'ai fait disparaître quelqu'un ? Eh bien, ça alors ! Si vous croyez ce que racontent les journaux ! »

(Le président) « Vous pleurez, Landru : vous éprouvez le besoin de libérer votre conscience ? » — (Landru) « Oui, je pleure mes fautes, je me repens... j'ai des remords... je pleure parce que je pense qu'avec tout le scandale fait autour de mon nom, on a appris à ma pauvre femme que je l'avais trompée. »

« Si les femmes que j'ai connues ont quelque chose à me reprocher, elles n'ont qu'à déposer plainte ! »

Alors que Landru vient de déclencher l'hilarité du public par une nouvelle repartie, le président menace : « Si les rires continuent, je vais demander à chacun de rentrer chez soi ! », ce à quoi Landru réplique : « Pour mon compte, monsieur le Président, ce n'est pas de refus ».

Son avocat, Vincent de Moro-Giafferri, le défendit en mettant en place une scène qui eut lieu pendant sa plaidoirie : il affirma que des victimes avaient été retrouvées et allaient venir se présenter devant la cour d'assises. Le public et les jurés tournèrent la tête vers la porte que le « ténor du barreau » avait alors désignée, et après avoir laissé planer le suspense, souligna le fait que tous ceux qui avaient tourné la tête vers la sortie avaient ainsi démontré leur manque de conviction concernant la réalité des assassinats imputés à son client, mettant en évidence l'absence de preuves formelles contre Landru, faute de cadavre retrouvé. L'avocat général rétorqua du tac au tac que Landru, lui, n'avait pas tourné la tête vers la porte…

 

Mais, face à une série de témoignages accablants et un faisceau de présomptions convaincantes, Moro-Giafferi ne peut lui éviter d'être condamné à mort : au terme de huit heures de délibérations, les jurés déclarent Henri Désiré Landru coupable de onze meurtres et le condamnent à la guillotine le 30 novembre 1921. Le président de la République Alexandre Millerand rejette le 24 février suivant le recours en grâce déposé.

 

Alors qu'on vient chercher Landru dans sa cellule à h 25 du matin pour le conduire à l'échafaud, l'aumônier se serait approché et lui aurait demandé « Mon fils, croyez-vous en Dieu ? », Landru lui ayant répondu « Monsieur le curé, je vais mourir et vous jouez aux devinettes ». Landru est guillotiné à l'entrée de la prison de Versailles à l'aube du 25 février 1922 par le bourreau Anatole Deibler, qui note dans son carnet « h 10. Temps clair ». Landru a demandé comme dernière volonté de pouvoir se laver les pieds, ce qui lui a été refusé par peur d'un suicide. Peu avant son exécution, alors qu'on lui propose un verre de rhum et une dernière cigarette, Landru décline l'offre et répond : « Ce n'est pas bon pour la santé. ». À son avocat qui, avant son exécution, lui demandait si, finalement, il avouait avoir assassiné ces femmes, Landru répondit : « Cela, Maître, c'est mon petit bagage... ».

 

Il fut enterré dans la partie réservée aux condamnés à mort du cimetière des Gonards à Versailles. Sa famille prit en charge l'inhumation et la mise en place de sa tombe surmontée d'une simple croix en bois mentionnant les seuls prénoms Henri Désiré comme requis par la loi pour tout supplicié. La concession ne fut plus redemandée par la famille au terme des cinq ans, fin octobre 1927 et la tombe fut dépouillée de ses ornements.

 

Landru est toujours inhumé dans le même cimetière, mais rien n'indique l'emplacement de sa tombe, comme de nombreuses autres tombes de condamnés, inhumés en ce cimetière.

 

De son incarcération en 1919 jusqu'à son exécution en 1922, il aurait reçu plus de 4 000 lettres d'admiratrices dont 800 demandes en mariage. Cette fascination érotique porte un nom, l'hybristophilie.

 

Conséquences de l'affaire

Fernande Segret

Fernande Segret, artiste lyrique, dernière maîtresse de Landru avec qui il vivait maritalement lors de son arrestation, avouera pendant l'instruction que celui-ci avait tenté de l'empoisonner par deux fois. Après l'affaire, elle fit carrière dans un cabaret parisien, puis partit travailler comme institutrice au Liban. S'estimant diffamée par le film Landru de Claude Chabrol en 1963, elle obtint 10 000 francs de dommages et intérêts de la part du producteur du film. À la date anniversaire de la demande en mariage faite par Landru, le 21 janvier 1968, elle se jeta dans les douves du château de Flers, non loin de la maison de retraite où elle s'était retirée. Dans sa chambre, il y avait deux photos : l'une de sa mère, l'autre de Henri Désiré Landru.

 

Reliques

La Villa Tric de Gambais fut pillée par la foule, puis vendue à un restaurateur qui la rebaptisa Au Grillon du Foyer et aménagea une partie de la bâtisse en musée. Le restaurant ferma ses portes en 1940 et la maison fut ensuite revendue à des particuliers.

 

La cuisinière de la villa de Gambais aurait été acquise dans un premier temps par un collectionneur américain. Deux journaux français des années 1950 affirment au contraire qu'elle aurait été vendue aux enchères le 23 janvier 1923 par le palais de justice de Versailles pour 4 200 francs, à Anglade, directeur du Musée Grévin, la fonction du commissaire-priseur étant tenue par Béguin, receveur des Domaines en Seine-et-Oise. Depuis, elle a été rachetée par l'animateur, producteur et humoriste Laurent Ruquier. Passionné par le personnage, il a écrit une pièce sur le sujet, en 2005, mise en scène par Jean-Luc Tardieu au théâtre Marigny avec Régis Laspalès dans le rôle principal.

 

Un ancien médecin légiste aurait conservé un carton contenant des restes humains numérotés supposés être les os découverts dans la cuisinière de Gambais. En 1955, à la demande de ce médecin légiste, ce carton aurait été enterré au pied d'un saule pleureur du jardin des plantes de Paris.

 

Un dessin, représentant le fameux fourneau à charbon de la villa de Gambais, exécuté de la main même de Landru et intitulé non sans humour : Les Causes célèbres, un accusé témoigne fut remis par ce dernier à son avocat, Me Navières du Treuil, assistant de Me de Moro Giafferi, alors que ce dernier le pressait de lui dire s'il était ou non coupable. Il portait au dos, écrit de façon assez sibylline, une phrase qui est une forme d'aveu. Longtemps après, selon les dernières volontés de Me Navières du Treuil et après un délai de circonstance, le document fut transmis au Garde des Sceaux de l'époque (1981) Me Robert Badinter, qui à son tour en avertit l'historien et homme de télévision Alain Decaux, lequel relata l'affaire Landru dans une de ses émissions historiques ainsi que dans sa série de chroniques C'était le xxe siècle.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_D%C3%A9sir%C3%A9_Landru

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Polaroid Corporation

Polaroid Corporation

 

 

Polaroid Corporation est une multinationale d'origine américaine d'abord spécialisée dans la fabrication de lunettes de soleil à verres polarisants puis d'appareils photographiques à développement instantané.

 

Histoire

 

La société a été fondée en 1937 par l'inventeur et scientifique américain Edwin H. Land dans le but d'exploiter sa propre invention, le Polaroid, un matériau polarisant aux très nombreux débouchés dans le domaine de l'optique. Elle est surtout connue pour un procédé de photographie à développement instantané unique au monde qu'elle a mis au point et développé à partir de 1948. Le procédé, destiné au grand public, a connu plusieurs évolutions, dont l'introduction de la couleur en 1963.

 

Très populaire chez les amateurs, l'image instantanée de Polaroid trouve aussi sa place dans le domaine médical, où elle est largement utilisée. Elle est aussi utilisée par les photographes professionnels, qui adaptent des dos recevant les films polaroid sur leur caméra pour tester l'éclairage et le cadrage de leurs photos argentiques.

 

En 1974, la société Polaroid estime à un milliard le nombre de photos réalisées avec le SX-70 et commence à concurrencer Kodak.

 

En 1977, Polaroid lance la Polavision, un procédé révolutionnaire permettant de réaliser des films 8 mm à développement instantané, vite dépassé par l'essor de la vidéo.

 

Dans les années 1970, le régime ségrégationniste sud-africain utilise le système de photographie instantanée de la marque pour la fabrication des passeports intérieurs imposés aux populations noires. Deux employés afro-américains, Ken Williams et Caroline Hunter, créent un mouvement (le Polaroid Revolutionary Workers Movement, ou PRWM) demandant l'arrêt des exportations vers l'Afrique du Sud jusqu'à la fin de l'apartheid. En réponse et après enquête menée sur place, la firme américaine interdira toutes vente aux agences gouvernementales sud-africaines dont les forces armées et la police. En 1977, quand Polaroid est informé que des importateurs vendent toujours des films servant à la fabrication des « passbooks », en violation avec sa politique, la firme stoppera la totalité de ses exportations vers l'Afrique du Sud et cessera toute relation avec les importateurs.

 

En 1979, le fonds d'investissements de Roy E. Disney, Shamrock Holdings lance une OPA hostile sur Polaroid Corporation. En mai 1979, Shamrock augmente son offre initiale pour Polaroid de 2,6 milliards d'USD à 3,2 milliards d'USD. La tentative d'achat s'arrête fin septembre 1979 avec une décision de la cour suprême du Delaware autorisant Polaroid à effectuer un rachat d'actions portant sur 16 millions d'actions. L'OPA hostile a duré huit mois et Shamrock annonce revendre les 4,96 millions d'actions achetées durant cette période.

Les difficultés dues à la percée de la photographie numérique conduisent la firme à se restructurer en 2001.

 

La fabrication des appareils à développement instantané cesse en 2007 avant de recommencer en juin 2009 avec la sortie du Polaroid Two, un appareil photo numérique de 5 Mpx avec imprimante, au format Polaroid, incorporée. Il permet de sélectionner les photos à imprimer.

 

En 2010, la chanteuse américaine Lady Gaga devient la directrice artistique de l'entreprise et le restera jusqu'en 2014 après avoir participé au lancement de nouveaux produits.

 

En 2012, Polaroid produit des imprimantes comme la Polaroid Pogo (une imprimante Bluetooth qui permet d'imprimer des photos directement à partir de son téléphone portable ou bien à partir d'un appareil photo compatible Pictbridge), du papier instantané pour ses imprimantes, des appareils photo instantané et un film instantané.

 

En janvier 2013, Polaroid présente au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas l'iM1836, prototype d'un appareil photographique hybride fonctionnant sous système Android. À la suite d'une action en justice pour contrefaçon menée par Nikon pour sa ressemblance avec ses modèles J1 et J2, l'iM1836 (fabriqué par la société américaine Sakar et estampillé « Polaroid ») est interdit à la vente en décembre 2013. Il a été remplacé par l'iM1030W au look plus rétro présenté au CES 2014.

 

En mai 2017, Polaroid Corporation est racheté par l'un des actionnaires de l'Impossible Project, qui devient Polaroid Originals

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Polaroid_Corporation

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Charles VIII (roi de France)

Publié à 01:21 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci france saint maison mort fille
Charles VIII (roi de France)

 

Charles VIII, dit « l'Affable », né le 30 juin 1470 au château d'Amboise, où il est mort le 7 avril 1498, est roi de France de 1483 à 1498.

 

Fils de Louis XI, il est le septième et dernier roi de la succession directe de la maison capétienne de Valois, qui règne sur la France depuis 1328 (Philippe VI).

 

Âgé de treize ans à la mort de son père (30 août 1483), Charles est placé sous la tutelle de sa sœur Anne, régente du royaume, qui continue de gouverner après la majorité du roi avec son époux Pierre II de Bourbon, sire de Beaujeu.

 

Fiancé en 1482 (traité d'Arras) à Marguerite, fille de Maximilien d'Autriche, alors régent de l'État bourguignon, Charles VIII entre en conflit avec celui-ci à propos du mariage de la duchesse Anne de Bretagne, qu'il épouse en 1491, rompant ses fiançailles avec Marguerite et cassant le mariage de Maximilien avec Anne. En contrepartie, il signe le traité de Senlis (1493), par lequel il restitue à Maximilien le comté d'Artois et le comté de Bourgogne (actuelle Franche-Comté).

 

En 1494, au nom des droits de la maison d'Anjou sur le royaume de Naples, il lance la France dans la première guerre d'Italie (1494-1497).

 

Il meurt accidentellement à la suite d'un choc de sa tête contre le linteau d'une porte du château d'Amboise.

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_VIII_(roi_de_France)

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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