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Christine de Lorraine

Publié à 20:31 par dessinsagogo55 Tags : png bienvenue centerblog background sur merci france enfants belle musique mort fille art
Christine de Lorraine

 

Christine de Lorraine (née le 16 août 1565 à Nancy et morte le 19 décembre 1637 à Florence) est la fille aînée de Charles III, duc de Lorraine et de Bar, et de Claude de France. Elle est l'épouse de Ferdinand Ier de Médicis.

 

Biographie
 

Seconde enfant et première fille du couple ducal, elle reçoit le prénom de sa grand-mère paternelle Christine de Danemark, régente des duchés de 1545 à 1552.

 

À la mort de sa mère, Christine a dix ans. Elle est alors élevée par sa grand-mère Catherine de Médicis qui s'attache fort à elle et la considère comme sa fille. Christine vit donc à la cour des Valois de France, dans l'hôtel de la reine à Paris. Malgré un visage disgracieux, ses nobles prétendants sont nombreux. Catherine de Médicis opte pour un sien cousin Médicis Ferdinand Ier, grand-duc de Toscane. Le départ de Christine pour Florence en 1589 se déroule pendant des jours sombres. Outre la guerre et la Ligue, Catherine de Médicis meurt peu de temps avant le grand départ. Christine hérite de tous ses biens meubles, tapisseries et œuvres d'art.

 

Christine de Lorraine fait son entrée à Florence à la cour ducale le 2 mai 1589, pour célébrer son mariage avec Ferdinand, ce qui est l'occasion de festivités somptueuses. Comme un théâtre permanent, le theatro mediceo est installé au palais des offices avec des machines sophistiquées, des célébrations théâtrales intitulées en son honneur La Pellegrina sont organisées par Bernardo Buontalenti le jour même, entrecoupées de six intermèdes ou intermezzi. Le spectacle nécessite 286 costumes, sans compter les masques réalisés par Giulio Parigi avec l'aide de son père Alfonso Parigi. La musique thématique est sous la responsabilité du Giovanni de Bardi, qui est associé aux autres musiciens Luca Marenzio, Giulio Caccini et Jacopo Peri.

 

Veuve en 1609, elle perd son fils en 1621 et se consacre avec sa belle-fille, l'archiduchesse Marie-Madeleine, à l'éducation de ses petits-enfants et au gouvernement de la Toscane. Elle est parfois également présentée, par ses échanges épistolaires, comme un soutien du mathématicien et physicien Galilée, de même Jacques Callot aurait été son protégé durant son séjour à Florence.

 

En 1615, Galilée lui adresse sa Lettre à la grande-duchesse Christine, qui fait suite à une discussion impromptue engagée par la duchesse Christine de Lorraine à la table des Médicis, en décembre 1613, concernant les rapports entre le système de Copernic et les Saintes Écritures. N'ayant pas assisté à la discussion, Galilée s'en était fait donner un compte-rendu par son ancien élève Benedetto Castelli ; Galilée saisit alors l'occasion de donner son opinion sur le sujet.

 

Famille et descendance

Christine de Lorraine et Ferdinand Ier de Médicis ont huit enfants :

 

Cosme II (1590 † 1621), grand-duc de Toscane, marié en 1609 à Marie-Madeleine d'Autriche ,

 

Éléonore (1591 † 1617),

 

Catherine (1593 † 1629), mariée en 1617 à Ferdinand de Gonzague (1587 † 1626), duc de Mantoue,

 

François (1594 † 1614), prince de Capistrano,

 

Charles (1595 † 1666), cardinal, évêque d'Ostie,

 

Philippe (1598 † 1662),

 

Marie-Madeleine (1600 † 1633),

 

Claude (1604 † 1648), mariée en 1621 à Frédéric Ubaldo della Rovere (1605 † 1623), puis en 1626 à Léopold V d'Autriche (1586 † 1632), comte de Tyrol.

 

En 1606, à l'occasion de la naissance de Christine de France, seconde fille du roi Henri IV et de la reine Marie de Médicis, elle est choisie par le couple royal pour être la marraine de la jeune princesse, à laquelle elle donne son prénom. Le père de la grande-duchesse, le duc Charles III de Lorraine est quant à lui choisi comme parrain.

 

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_de_Lorraine

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François II de Lorraine

François II de Lorraine

François II, duc de Lorraine et de Bar, né à Nancy le 27 février 1572, mort le 14 octobre 1632, est le troisième fils du duc Charles III et de Claude de France.

 

Influencé par son fils le co-duc Charles IV de Lorraine, il fut amené à se faire proclamer duc de Lorraine et de Bar brièvement du 21 au 26 novembre 1625.

 

Un cadet talentueux

Sixième enfant et troisième fils du duc Charles III et de Claude de France, il fut d'abord titré comte de Vaudémont. En 1575, la duchesse Claude s'éteint tandis que le roi Henri III de France épouse une cousine de la branche cadette Louise de Vaudémont.

 

Petit-fils d'Henri II de France et de Catherine de Médicis, il est un proche parent des derniers Valois mais aussi des Guise. Prince de Lorraine, il est le beau-frère de l'électeur Maximilien Ier de Bavière et du grand-duc de Toscane Ferdinand Ier de Médicis.

 

Confronté à la faiblesse de son héritier, son père le nomma lieutenant général des États ducaux pendant les voyages qui le menaient en France, en 1594 afin de conclure la paix avec le roi Henri IV de France. La paix avec la France permit au jeune prince de devenir gouverneur et lieutenant général du roi de France dans les villes sous protectorat français de fait depuis 1552,Toul et Verdun.

 

Il fut un temps généralissime de la république de Venise et demanda en vain la main de la nièce du grand-duc de Toscane, Marie de Médicis (qui épousa Henri IV de France).

 

De retour dans les duchés, il y épousa en 1597 Christine, comtesse héritière de Salm qui lui apportait en dot la souveraineté du comté de Salm, une fortune considérable et lui donna six enfants.

 

De septembre à octobre 1606, il effectua également pour son père un voyage diplomatique en Angleterre.

 

La mort du père

En 1608, le duc Charles III s'éteignit laissant le trône à son fils aîné Henri II. En 1608, également naquit Nicole de Lorraine, première enfant viable du duc Henri. François et ses enfants n'étaient plus héritiers des trônes ducaux.

 

L'héritière de Lorraine

Déjà, le puissant roi de France songeait à marier la future duchesse de Lorraine et de Bar à son fils le futur Louis XIII afin que Lorraine et Barrois soient naturellement et légitimement unis à la couronne de France. Le roi de France fut assassiné en 1610 et sa veuve Marie de Médicis dont François avait en vain convoité la main, assumant la régence, délaissa l'alliance lorraine pour l'alliance espagnole.

 

François espérait que la future duchesse épouserait son fils aîné Charles, le plus proche héritier en ligne masculine.

 

Or le duc Henri II songeait à marier sa fille qui avait treize ans. Il fixa son choix sur son favori, le talentueux baron d'Ancerville, Louis de Guise. Malgré les nombreux talents du baron et bien qu'il soit apparenté à la Maison de Lorraine, le choix du duc heurtait les membres de la famille ducale, de la noblesse lorraine et de la cour souveraine ; en effet, le baron, fils adultérin du défunt cardinal de Guise, n'était pas un prince légitime.

 

En 1621, brouillé avec son frère et pour montrer sa désapprobation à l'Europe entière, le comte de Vaudémont et sa famille quittèrent les duchés et demandèrent sa protection à l'empereur.

 

Il rejoignit l'armée impériale et combat les Protestants allemands. Son fils aîné, Charles, âgé d'à peine seize ans, se distinguera à la bataille de la Montagne Blanche.

 

Un accord fut conclu entre les deux frères : la fille du duc épousait son cousin Charles, fils de François, tandis que le favori du duc épousait Henriette, fille de François qui recevait les principautés de Phalsbourg et de Lixheim.

 

Charles s'engageait à régner avec Nicole mais reconnaissait qu'il tenait ses pouvoirs de son épouse.

 

Fils de duc, père de duc, duc

Le duc Henri II mourut le 31 juillet 1624, et, n'ayant pas de fils, il avait désigné pour lui succéder sa fille Nicole de Lorraine, mariée à Charles de Vaudémont, le fils aîné de François, en précisant que Charles tenait son autorité de sa femme.

 

Une nouvelle dynastie était censée naître de mariage : la Maison de Lorraine-Vaudémont mais l'héritier tardait à venir.

 

Ainsi défini, commença le règne des co-souverains, une duchesse de seize ans et son mari de vingt ans. La jeune souveraine signait les décrets, son jeune époux les contresignait. Les pièces de monnaie montraient de profil au premier plan la souveraine, au second le co-duc.

 

Une telle situation gênait le fringant jeune homme peu fait pour le métier de prince consort et préférait régner seul. Son père, notre François, se résolut à lui permettre d'arriver à ses fins.

 

Un testament du duc René II, le glorieux vainqueur du Téméraire - daté de 1506 et retrouvé fort à propos - spécifiait que les duchés ne pouvaient se transmettre qu'en lignée masculine (cette loi salique, pour le duché de Lorraine, correspondait à la tradition des seigneuries du St-Empire dont il relevait ; le duché de Bar s'était transmis deux fois par les femmes : par Yolande de Bar-Yolande d'Aragon-René d'Anjou, puis Yolande d'Anjou-René II et le duché de Lorraine par Isabelle Ire de Lorraine). La cour souveraine, favorable au comte de Vaudémont, attesta de l'authenticité du document et le prince François se trouva être le véritable héritier des duchés au détriment de sa nièce.

 

En novembre 1625, François de Vaudémont, s'appuyant sur ledit testament de René II, revendiqua les duchés. Les États Généraux de Lorraine estimèrent sa requête légitime. La duchesse Nicole et le duc Charles abdiquèrent et François de Vaudémont devint duc le 21 novembre 1625. Il quitta le comté de Salm et sa capitale Badonviller où il avait soutenu la politique pro-catholique du rhingrave Othon-Henri co-comte de Salm, récemment converti, pour Nancy.

 

Il en profita pour rembourser ses dettes avec les finances ducales. Cinq jours plus tard, il abdiqua en faveur de son fils, qui devint le duc Charles IV.

Celui-ci en profita pour se séparer de son épouse Nicole, principale victime de cette conjuration politico-familiale. Il tenta en vain de faire annuler son mariage par le pape. A bout d'argument, il alla jusqu'à prétendre que le baptême de Nicole n'était pas valide et fit condamner pour sorcellerie et brûler vif le prêtre qui avait baptisé la princesse.

 

Une retraite dorée

François, qui perdit son épouse en 1627, se consacra à la gestion de ses comtés de Vaudémont et de Salm.

 

Il protégea le compositeur Nicolas Signac qui lui dédia son recueil de psaumes publié en 1630, et peut-être également son troisième livre d'airs à quatre parties de 1625.

 

En 1632, les intrigues de son fils et sa politique étrangère désastreuse ayant indisposé le puissant voisin français, celui-ci fit envahir les duchés par son armée. L'occupation étrangère dura jusqu'à la fin du siècle et les populations des duchés souffrirent grandement des ravages de la guerre de Trente Ans et de l'inconséquence de leur duc.

 

La même année, l'ex-duc François II de Lorraine et de Bar, comte de Vaudémont, marquis de Hattonchattel, comte de Salm, de Chaligny, baron de Viviers, Ruppes, Brandebourg, Turquestein et Monthureux-sur-Saône, s'éteignit paisiblement dans son château de Badonviller à l'âge de soixante ans. Dans son testament, il précisait qu'il n'avait « jamais eu l'ambition de porter la couronne en ce monde ».

 

Mariage et enfants

N'ayant pu épouser la richissime Marie de Médicis, il fit néanmoins un mariage lucratif en épousant le 12 mars 1597 la très riche Christine de Salm, fille de Paul de Salm et de Marie Le Veneur de Tillières (1575-1627).

 

Ils eurent :

 

Henri (1602 † 1611), marquis de Hattonchâtel ;

Charles IV (1604-1675) qui épouse :

en 1621 sa cousine Nicole Ire, duchesse de Lorraine et de Bar (1608-1657) fille de Henri II, duc de Lorraine et de Bar dont il cherche très vite à se séparer. Le pape ayant refusé d'annuler ce premier mariage, il répudia sous divers prétextes son épouse légitime pour épouser en 1637, Béatrix de Cusance, jeune et jolie veuve d'Eugène Léopold Perrenot de Granvelle, prince de Cantecroix.

puis en 1663, confirmation du premier mariage d'avec Béatrix de Cusance (1614-1663),dont il eut deux enfants (légitimés mais non dynastes). Excommunié en 1642 pour cause de bigamie, il dut se séparer temporairement de Béatrix. Le duc accepta cette confirmation dans le but de légitimer ses enfants.

enfin en 1665, Marie-Louise d'Apremont (1651-1693), sa cadette de quarante-sept ans (sans postérité) ;

Henriette (1605-1660), dame de Neufchâteau, Hombourg, St-Avold, Sampigny..., mariée en 1621 à Louis de Guise († 1631), prince de Phalsbourg et Lixheim, puis en 1643 à Charles/Carlos Guasco marquis de Sallario et un peu plus tard à Christophe de Moura, enfin en 1652 à François-Joseph Grimaldi († 1693 ; son neveu Alexandre Grimaldi hérite de la principauté de Lixheim jusqu'à sa mort en 1702) ;

 

Nicolas II François (1609-1670), cardinal, puis duc de Lorraine et de Bar ;

 

Marguerite (1615-1672), mariée en 1632 à Gaston de France (1608-1660), duc d'Orléans ;

 

Christine (1621-1622).

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_II_de_Lorraine

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Philip de László

Publié à 17:50 par dessinsagogo55 Tags : center arthur centerblog background sur bonne merci monde chez enfants belle maison mort fille nuit
Philip de László

 

Philip de László, né Fülöp Laub, est un peintre britannique d'origine hongroise né à Pest le 30 avril 1869 et mort à Hampstead (Londres) le 22 novembre 1937.

 

Biographie

 

Né Fülöp Laub, Philip Alexius de László est le fils aîné d'un modeste tailleur d'origine juive de Budapest du nom de Laub. Il change son nom de Laub en László en 1891.

 

Philip de László étudie à Budapest avec Bertalan Székely et Károly Lotz, à Munich à l'Académie bavaroise des beaux-arts, puis à Paris, à l'Académie Julian. Il établit sa réputation de portraitiste dans les années 1890, en Hongrie, en Autriche et en Allemagne et obtient sa première commande d'un portrait pour la cour de Bulgarie en 1893. Il travaille d'abord à Munich, puis à Budapest et à Vienne. Il est anobli par l'empereur et roi François-Joseph en 1912 et s'appelle désormais Philip Alexius de László de Lombos.

 

En 1900, il épouse Lucy Madeline Guinness ; tous deux étaient amants depuis 1892, mais la famille de la jeune fille réussit longtemps à empêcher le mariage. Le couple a six enfants dont plusieurs contractèrent mariage au sein de l'aristocratie anglaise. Il oriente son activité vers l'Irlande et l'Angleterre. Il s'installe à Londres en 1907 et devient le peintre préféré de l'aristocratie, considéré comme le successeur naturel de John Singer Sargent. Le roi Édouard VII l'agrége à son ordre dynastique, l'ordre royal de Victoria. Il peint de nombreux portraits de membres de la famille royale britannique. En 1908, il est invité aux États-Unis pour peindre à la Maison-Blanche un portrait du président Theodore Roosevelt. Il obtient la nationalité britannique en 1914.

 

En 1917, il est arrêté et emprisonné pendant un an par les autorités britanniques pour suspicion d'intelligence avec l'ennemi, sous prétexte qu'il avait correspondu avec sa mère et son frère ; on lui reproche aussi son anoblissement par le souverain hongrois François-Joseph et le simple fait qu'il avait réalisé le portrait du comte Berchtold, ministre des Affaires étrangères de la monarchie austro-hongroise, particulièrement haï par le gouvernement britannique. Il est libéré pour raisons de santé et interné dans une maison de repos. Il est réhabilité en 1919. Après la Première Guerre mondiale, il redevient l'un des portraitistes en vue en Europe. Au terme de sa carrière, il aura peint plus de 2 700 portraits.

 

Il se lie avec Armand de Gramont, duc de Guiche, ami de Marcel Proust, à qui il enseigne la peinture et qui héberge son atelier dans son hôtel particulier parisien. Devenu un familier de la famille, il peint leurs portraits en 1902, ainsi que celui de la comtesse Greffulhe, belle-mère d'Armand, et passe dorénavant chaque année quelques jours dans leur château de Vallière à Mortefontaine.

 

Selon l'archiviste Sandra de Laszlo, qui a épousé un petit-fils du peintre, si l'on voit si peu souvent ses œuvres dans les musées et les ventes, c'est que, en raison de l'extraordinaire ressemblance que l'artiste savait donner à ses portraits, les familles des personnes représentées préféraient garder chez elles ces représentations et répugnaient à les vendre. Chacun, disait-il, « a le visage qu’il tourne vers le monde, mais derrière ce masque, se cache un ego intérieur jalousement gardé qui garde les espoirs et les terreurs, les aspirations et les limites, et qui constitue l’atmosphère de sa personnalité2 ». La petite-fille d'un de ses modèles confiait qu'avant de se coucher, elle souhaitait toujours une bonne nuit à sa grand-mère qu'elle pouvait encore voir en peinture.

 

Postérité

 

En mars 2024, une « activiste » projette de la peinture et déchire le portrait de Lord Arthur Balfour réalisé par Philip de László et présent dans l'université de Cambridge

 

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philip_de_L%C3%A1szl%C3%B

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    Cécile de Mecklembourg-Schwerin
   
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Cécile de Mecklembourg-Schwerin

Publié à 17:31 par dessinsagogo55 Tags : maison centerblog background sur vie merci france monde enfants femme fille
Cécile de Mecklembourg-Schwerin

Cécilie Augusta Marie de Mecklembourg-Schwerin, née le 20 septembre 1886 à Schwerin et morte le 6 mai 1954 à Bad Kissingen, est une duchesse de Mecklembourg-Schwerin, devenue par son mariage princesse royale (Kronprinzessin) de Prusse et de l'Empire allemand.

 

Troisième enfant et benjamine du grand-duc Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin et de la grande-duchesse née Anastasia Mikhaïlovna de Russie, son prénom est un hommage à sa grand-mère maternelle, la princesse Cécile de Bade devenue par mariage grande-duchesse de Russie. Le mariage de ses parents est malheureux.

 

Membre de la maison impériale de Russie, la grande-duchesse Anastasia est une femme capricieuse qui s'ennuie en Mecklembourg et préfère résider sur la Riviera française où son mari, de santé très fragile, doit la suivre malgré elle. C'est dans sa villa de Cannes qu'elle donnera le jour à ses deux premiers enfants, la princesse Alexandrine en 1879 et le prince héritier Frédéric-François en 1882. C'est également à Cannes, que le grand-duc meurt dans des circonstances troubles en 1897 (on parle de suicide). La grande-duchesse choisit de rester en France plutôt que de retrouver ses trois enfants dont son fils Frédéric-François IV de Mecklembourg-Schwerin, adolescent qui se retrouve à la tête du grand-duché. La régence est confié à un oncle du jeune prince, le duc Jean-Albert. Née en 1886, la princesse Cécilie, benjamine de sa fratrie, est alors âgée de 11 ans.

 

Très imbue de son rang, la grand-mère maternelle de la princesse était morte subitement en 1891 en apprenant le mariage morganatique d'un de ses fils.

 

En 1898, l'aînée de la fratrie, la princesse Alexandrine épouse le futur Christian X de Danemark. En 1901, leur oncle, Henri, épouse la reine Wilhelmine des Pays-Bas. En 1904, le grand-duc Frédéric-François IV épouse la princesse Alexandra de Hanovre. En 1902, la grande-duchesse Anastasia, toute à sa vie mondaine en France, met au monde un enfant adultérin; elle est déclarée persona non grata en Allemagne et en Russie.

 

Mariage et descendance

 

Le 6 juin 1905, la duchesse Cécilie, 18 ans, épouse à Berlin le prince héritier Guillaume de Prusse, 23 ans, fils de l'empereur Guillaume II et de l'impératrice Augusta-Victoria de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg.

 

À cette occasion, la grande-duchesse douairière Anastasia est autorisée à titre exceptionnel à se rendre à la cour de Berlin. L'autorisation est de nouveau accordée, pour la dernière fois, lors de la naissance de son premier petit-fils.

 

Son mariage fait de la princesse Cécilie la seconde dame de l'Empire allemand après l'impératrice qui, de santé fragile, se montre peu.

 

Six enfants naissent de cette union :

Guillaume (1906-1940), en 1933, il épouse Dorothée von Salviati (1907-1972)

Louis-Ferdinand (1907-1994), en 1938, il épouse Kira Kirillovna de Russie (1909-1967), fille du grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie et de Victoria-Mélita de Saxe-Cobourg-Gotha, d'où descendance.

Hubert (1909-1950), en 1941, il épouse la baronne Marie-Anne de Humboldt-Dachrœden (1916-2003). Après avoir divorcé en 1943, il épouse la princesse Madeleine Reuss (1920-2009), d'où descendance.

Frédéric (1911-1966), en 1945, il épouse Lady Brigitte Guiness (1920-1995), d'où descendance.

Alexandrine (1915-1980), atteinte de trisomie 21.

Cécilie (1917-1975).

 

 

 

 
   
   
Liens externes                                                  
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Claude Chabrol

Claude Chabrol

 

Claude Chabrol, né le 24 juin 1930 à Paris où il est mort le 12 septembre 2010, est un réalisateur français, également producteur, scénariste, dialoguiste et à l'occasion acteur.

 

Membre de la génération de la Nouvelle Vague, il est d'abord critique de cinéma, puis producteur, avant de passer à la réalisation. Se signalant par son humour volontiers sarcastique et son érudition cinéphile, il alterne, en plus de cinquante ans de carrière, comédie de mœurs, drames, films noirs, films de genre et adaptations cinématographiques littéraires.

 

eunesse, et affabulations

 

Fils unique de Madeleine, née Delarbre, et Yves Chabrol, il naît malgré les conseils de médecins qui recommandent à sa mère alors enceinte de trois mois d'avorter, les époux Chabrol ayant été trouvés inanimés à la suite d'une asphyxie due à un chauffe-eau défectueux. Grandissant dans l'appartement familial du 14e arrondissement, situé au-dessus de la pharmacie paternelle, il fréquente les salles de cinéma parisiennes à partir de l'âge de 4 ans. Son père, résistant, envoie l'enfant, durant la Seconde Guerre mondiale, dans la maison de famille de sa grand-mère maternelle, à Sardent, dans la Creuse.

 

Plus tard, devenu célèbre, Claude Chabrol affabule excessivement autour d'évènements survenus durant son séjour de quatre ans à Sardent. En particulier il raconte maintes fois (et finit par croire ?) qu'à l'âge de seulement 11 ans il créa lui-même dans ce village une société civile immobilière, récolta des fonds importants parmi les notables, puis fut projectionniste et programmeur dans la salle de cinéma qu'il improvisa dans un garage désaffecté. En réalité le « Cinéma sardentais » fut créé en 1942 (et animé jusqu'en 1948) par un adulte, Georges Mercier (1910-1975), ingénieur des arts et métiers, passionné entre autres par le cinéma et ses techniques. Pour d'obscures raisons, Chabrol a souvent occulté l'existence et le rôle de cet homme inventif. Après un premier récit flatteur dans son autobiographie Et pourtant je tourne, l'épisode du cinéma sardentais a été relaté dans l'ouvrage de Wilfrid Alexandre La Traversée des apparences. Par la suite Michel Pascal puis François Guérif recueillent des récits plus proches de la réalité. Néanmoins la légende du marmot-cinéaste est encore amplifiée en 2012 dans un album composé par Michel Pascal. En 2013, Daniel Domec met heureusement fin au colportage de cette invention naïve, dans une étude méticuleusement documentée publiée par le conseil général de la Creuse, intitulée À chacun son cinéma : Histoire et petites histoires du cinéma dans la Creuse.

 

Études et débuts dans le cinéma

 

De retour à Paris après la Libération, il fait des études de lettres et de droit (au cours desquelles il côtoie Jean-Marie Le Pen) puis, sous l'influence parentale, et sans conviction, des études de pharmacie, qu'il abandonne après avoir quadruplé sa première année. C'est le cinéma qui lui sourit : il entre à la Fox (en 1955) comme attaché de presse, tout en agissant comme critique de cinéma dès l'aurore de la Nouvelle Vaguefrançaise, aux côtés de François Truffaut et de Jacques Rivette, ses collègues aux Cahiers du cinéma. De 1953à 1957, dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, le maître du suspense et celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Une autre rencontre est, pour la suite, également déterminante : celle du romancier Paul Gégauff, son futur scénariste, dont l'univers l'éloigne de l'éducation bourgeoise reçue, bien qu'il s'en avoue toujours encore marqué de traces profondes, indélébiles.

 

Mariage(s)

 

Il épouse, le 26 juin 1952 Agnès Goute, fille d'un haut fonctionnaire et petite-fille du banquier et caricaturiste Paul Goute. Agnès Goute reçoit en 1957 une donation de son père de 35 millions d'anciens francs, ce qui permet au nouveau cinéaste de financer leur maison de production, Ajym (1956-1961), sigle formé des initiales du prénom de son épouse Agnès et de celles de leurs deux fils, Jean-Yves (né en 1954 et futur architecte) et Matthieu (né en 1956 et futur compositeur de la musique de ses films). Agnès et Claude Chabrol ayant déjà coproduit un court métrage de Jacques Rivette, Le Coup du berger (1956), avec Jean-Claude Brialy. Et, dès la fin de 1957, Claude Chabrol tourne avec ce dernier son premier film, Le Beau Serge à Sardent, puis Les Cousins, sortis en 1959, qui deviennent les premiers longs métrages — « le manifeste inaugural » — de la Nouvelle Vague.

 

Il divorce en 1964 et convole en secondes noces le 4 décembre 1964 avec l'actrice Stéphane Audran (née Colette Dacheville), qu'il connaît depuis 1958 et qui est la mère de son troisième fils, Thomas (né en 1963, futur acteur). Avec elle, il poursuit une fructueuse coopération, jusque très au-delà de leur séparation en 1980. Durant cette période, il se fait spécialiste de l'analyse féroce de la bourgeoisie française, dont l'apparent conformisme sert de couvercle à un bouillonnement de vices et de haines. Que ce soit sur le registre de la comédie grinçante ou du polar, souvent de concert avec le romancier scénariste Paul Gégauff, il ne cesse d'en traquer l'hypocrisie, les coups bas et la bêtise, avec une délectation rare et jubilatoire, à laquelle participent activement ses acteurs fétiches : Stéphane Audran, Michel Bouquet, Jean Yanne. Il dresse ainsi le portrait de la France des années 1970 dans La Femme infidèle, Le Boucher, Juste avant la nuit, Les Biches.

 

En 1983, il se marie en troisièmes noces, avec Aurore Pajot (aussi dite « Aurore Paquiss » ou « Maistre », puis Chabrol), qui est sa scripte sur pratiquement tous ses films depuis Les Biches (1968). La fille de celle-ci et de l'acteur François Maistre, Cécile Maistre (née en 1967), est son assistante sur de nombreux films. Il donne régulièrement des rôles à son fils cadet Thomas, tandis qu'un autre fils, Matthieu, est compositeur de la musique de ses films à partir du milieu des années 1980. Des quatre enfants de la famille recomposée, Claude Chabrol n'a donc que son fils aîné, Jean-Yves, architecte, qui ne travaille pas sur ses films.

 

Réalisateur reconnu

 

À la fin de la décennie, il effectue un tournant en optant pour des sujets plus éclectiques dans lesquels son inspiration s'émousse parfois, il l'avoue. Mais sa rencontre en 1978 avec la jeune Isabelle Huppert, qu'il contribue à révéler, est décisive. Violette Nozière, l'empoisonneuse parricide qui fit scandale dans les années 1930, ajoute une dimension supplémentaire à la galerie de monstres jusqu'ici filmés par Chabrol (il avait déjà adapté un autre fait divers sanglant dans Landru avec Charles Denner). En même temps, il entame avec l'actrice un duo redoutablement efficace, qui touchera tant les rives de la comédie policière (Rien ne va plus) que celles de l'adaptation littéraire (Madame Bovary), du film politique (L'Ivresse du pouvoir), ou du fait divers sanglant (La Cérémonie), adaptée du roman A Judgment in Stone (L'Analphabète) de Ruth Rendell.

 

Sur un registre plus léger, il aura également entre-temps fait jouer Jean Poiret dans le rôle-titre de Inspecteur Lavardin ainsi que dans Poulet au vinaigre, de la même manière qu'il revient régulièrement au « polar provincial », par des films tels que Au cœur du mensonge ou La Demoiselle d'honneur. Dans un registre fantastique inattendu, il réalise en 1976 Alice ou la Dernière Fugue, avec Sylvia Kristel, un genre qu'il n'abordera qu'à cette unique occasion.

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Chabrol

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
    Claude Chabrol
    Claude Chabrol : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Claude Chabrol : Filmographie

Claude Chabrol : Filmographie

 

Filmographie

Réalisateur au cinéma

1958 : Le Beau Serge
(Voile d'argent au Festival de Locarno, en 1958, et prix Jean-Vigo en 1959)

1959 : Les Cousins
(Ours d'or du Festival de Berlin)

1959 : À double tour

1960 : Les Bonnes Femmes

1961 : Les Godelureaux

1962 :  Les Sept Péchés capitaux
(segment L'Avarice avec J.-C. Brialy)

1962 : L'Œil du Malin

1963 : Ophélia

1963 : Landru

1964 : L'Homme qui vendit la tour Eiffel
(segment dans Les Plus Belles Escroqueries du monde)

1964 : Le Tigre aime la chair fraîche

1965 : Paris vu par... (segment La Muette)

1965 : Marie-Chantal contre docteur Kha

1965 : Le Tigre se parfume à la dynamite

1966 : La Ligne de démarcation

1967 : Le Scandale

1967 : La Route de Corinthe

1968 : Les Biches

1969 : La Femme infidèle

1969 : Que la bête meure

1970 : Le Boucher

1970 : La Rupture

1971 : Juste avant la nuit

1971 : La Décade prodigieuse

1972 : Docteur Popaul

1973 : Les Noces rouges

1974 : Nada

1975 : Une partie de plaisir

1975 : Les Innocents aux mains sales

1976 : Les Magiciens

1976 : Folies bourgeoises

1977 : Alice ou la Dernière Fugue

1978 : Les Liens de sang

1978 : Violette Nozière

1980 : Le Cheval d'orgueil

1982 : Les Fantômes du chapelier

1984 : Le Sang des autres

1985 : Poulet au vinaigre

1986 : Inspecteur Lavardin

1987 : Masques

1988 : Le Cri du hibou

1988 : Une affaire de femmes

1990 : Jours tranquilles à Clichy

1990 : Docteur M

1991 : Madame Bovary

1992 : Betty

1993 : L'Œil de Vichy
(une sélection des actualités du régime de Vichy)

1994 : L'Enfer

1995 : La Cérémonie

1997 : Rien ne va plus

1999 : Au cœur du mensonge

2000 : Merci pour le chocolat (prix Louis-Delluc)

2002 : La Fleur du mal

2004 : La Demoiselle d'honneur

2006 : L'Ivresse du pouvoir

2007 : La Fille coupée en deux

2009 : Bellamy

 

Réalisateur pour la télévision

Il a réalisé 26 fictions pour la télévision

 

1973 : Le Père (série Réalité-Fiction de Jean Frapat- Service de la recherche de ORTF) 1980 : Le Tramway fantôme (série Fantômas)
1974 : Le Banc de la désolation (série Nouvelles de Henry James) 1980 : L'Échafaud magique (série Fantômas)
1974 : Nul n'est parfait (série Histoires insolites) 1981 : Le Système du docteur Goudron et du professeur Plume
1974 : Monsieur Bébé (série Histoires insolites) 1981 : Les Affinités électives
1974 : Les Gens de l'été (série Histoires insolites) 1982 : La Danse de mort
1974 : Une invitation à la chasse (série Histoires insolites) 1982 : M. le maudit
1976 : De Grey, un récit romanesque (série Nouvelles de Henry James) 1988 : L'Escargot noir (série Les Dossiers de l'inspecteur Lavardin)
1978 : Monsieur Saint-Saëns (série Il était un musicien) 1989 : Maux croisés
1978 : 2 + 2 = 4 (série Madame le juge) 2001 : Les Redoutables
1979 : La Boucle d'oreille (série Histoires insolites) 2007 : La Parure (série Chez Maupassant)
1979 : Monsieur Liszt (série Il était un musicien) 2008 : Le Petit Fût (série Chez Maupassant)
1979 : Monsieur Prokofiev (série Il était un musicien) 2009 : Le Petit Vieux des Batignolles (série Au siècle de Maupassant)
1979 : Jeunesse et Spiritualité Cyprien Katsaris (7 juillet 1979) 2009 : Le Fauteuil hanté (série Au siècle de Maupassant)

 

 

Acteur

Longs métrages

 

1959 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca

1960 : Saint-Tropez Blues de Marcel Moussy

1961 : Les Menteurs d'Edmond T. Gréville

1961 : Les Sept Péchés capitaux, sketch « L'Avarice » + (réalisation)

1961 : L'Œil du Malin (+ réalisation)

1962 : Les Ennemis d'Édouard Molinaro

1963 : Les Durs à cuire de Jack Pinoteau

1965 : Paris vu par..., sketch « La Muette » (+ réalisation)

1965 : Marie-Chantal contre le Docteur Kha (+ réalisation)

1965 : Le Tigre se parfume à la dynamite (+ réalisation)

1965 : Brigitte et Brigitte de Luc Moullet

1967 : La Route de Corinthe (+ réalisation)

1968 : Les Biches (+ réalisation)

1968 : La Femme écarlate de Jean Valère

1970 : Sortie de secours de Roger Kahane

1970 : Aussi loin que l'amour de Frédéric Rossif

1972 : The Other Side of the Wind d'Orson Welles(inachevé)

1972 : Un meurtre est un meurtre d'Étienne Périer

1973 : Le Permis de conduire de Jean Girault

1976 : Folies bourgeoises (+ réalisation)

1977 : L'Animal de Claude Zidi

1981 : Les Folies d'Élodie d'André Génovès

1982 : Les Voleurs de la nuit de Samuel Fuller

1983 : Polar de Jacques Bral

1985 : Suivez mon regard de Jean Curtelin

1986 : Je hais les acteurs de Gérard Krawczyk

1986 : Sale Destin de Sylvain Madigan

1987 : Jeux d'artifices de Virginie Thévenet

1987 : L'Été en pente douce de Gérard Krawczyk

1987 : Alouette je te plumerai de Pierre Zucca

1988 : Sueurs froides (série télévisée) : le présentateur

1992 : Sam suffit de Virginie Thévenet

1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier

2002 : La Deuxième Vérité de Philippe Monnier : Julien Lecoeur, un médecin

2005 : Lucifer et moi de Jean-Jacques Grand-Jouan

2006 : Avida de Benoît Delépine et Gustave Kervern

2010 : Gainsbourg, vie héroïque de Joann Sfar : le producteur

2010 : Le Jour des corneilles (voix) de Jean Christophe Dessaint

 

Courts métrages

 

1969 : Et crac de Jean Douchet

1974 : La Bonne Nouvelle d'André Weinfeld

1984 : Homicide by night de Gérard Krawczyk

2001 : Tu devrais faire du cinéma de Michel Vereecken

2009 : À bicyclette de Jean Douchet

 

Producteur

 

Chabrol avait, au début de sa carrière, produit des films avec sa société Ajym Films

1956 : Le Coup du berger de Jacques Rivette

1958 : Véronique et son cancre de Eric Rohmer

1958 : Un Américain de Alain Cavalier

1959 : Le Beau Serge de Claude Chabrol

1959 : Les Cousins de Claude Chabrol

1960 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca

1961 : Le Farceur de Philippe de Broca

1961 : Paris nous appartient de Jacques Rivette

1962 : Le Signe du Lion de Éric Rohmer

1964 : La Ligne droite de Jacques Gaillard

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Chabrol

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
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Claude Monet

Claude Monet

 

 

Oscar-Claude Monet (14 novembre 1840 à Paris - 5 décembre 1926 à Giverny), dit Claude Monet, est un artiste-peintre français lié au mouvement impressionniste, peintre de paysages et de portraits

Claude Monet est né à Paris le 14 novembre 1840 au 45, rue Laffitte dans le 9e arrondissement. Il est le second fils d'Adolphe et Louise-Justine Monet, née Aubrée après Léon (1836-1917). Baptisé sous le nom d'Oscar-Claude à Notre-Dame de Lorette, il est appelé Oscar par ses parents1. Il aime à dire plus tard qu'il est un vrai Parisien comme ses grands-parents et ses parents, tous quatre nés à Paris. La famille, grands-parents paternels compris, s'installe au Havre en Normandie vers 1845, l'année de ses cinq ans. C'est probablement un déménagement décidé sous l'influence de sa tante Marie-Jeanne Lecadre, épouse d'un commerçant havrais qui accueille son beau-frère dans sa maison. Son père y tenait un commerce d'articles coloniaux.


Le jeune Oscar n'est pas un élève très appliqué selon ses propres dires, mais il apparaît dans les annales du collège havrais qu'il fréquente comme « une excellente nature très sympathique à ses condisciples ». De manière précoce, il développe un goût pour le dessin et il suit avec intérêt le cours d'Ochard, un ancien élève de David. Ses premiers dessins sont des caricatures (appelées « portraits-charges ») de personnages (professeurs, hommes politiques) dont Monet « enguirlande la marge de ses livres... en déformant le plus possible la face ou le profil de ses maîtres » selon ses propres termes. Il fait déjà des croquis de bateau et des paysages en « plein air » sur le motif.


En 1857, sa mère décède et il abandonne ses études. Sa tante Lecadre l'accueille et l'encourage à continuer le dessin. Il vend ses caricatures signées O. Monet chez un commerçant spécialisé dans le matériel pour peintres, où expose également Eugène Boudin, ancien associé du propriétaire. C'est là qu'il va faire sa connaissance, déterminante pour sa carrière artistique : « Si je suis devenu un peintre, c'est à Eugène Boudin que je le dois ». Il conseille aussi à son jeune comparse à quitter Le Havre pour Paris dans le but d'y prendre des cours et d'y rencontrer d'autres artistes.


En 1861 et 1862, Monet sert dans l'armée en Algérie. Sa tante hâvraise, Mme Lecadre, accepte de l'en faire sortir s'il prend des cours d'art à l'université. Il quitte donc l'armée, mais n'aime pas les styles traditionnels de peinture enseignés à l'académie. En 1862, il se lie d'amitié avec Johan Barthold Jongkind et retrouve Eugène Boudin, lors de son séjour à Sainte-Adresse et à la ferme Saint-Siméon à Honfleur. De sa période honfleuraise en compagnie de ces deux peintres, Monet conservera un attachement et ils auront une influence essentielle dans la genèse de son art.

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

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Barthélémy Remix à Noumea : Dis moi Tiau

Publié à 23:50 par dessinsagogo55 Tags : centerblog background sur merci france musique blogs you
Barthélémy Remix à Noumea : Dis moi Tiau

 

 
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Boulevard : Miss Belinda

Publié à 23:19 par dessinsagogo55 Tags : you france blogs centerblog background sur merci musique
Boulevard : Miss Belinda

 

 

 
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Claude de France (1547-1575)

Publié à 21:54 par dessinsagogo55 Tags : center france centerblog background sur roman merci saint monde enfants mort rose fille
Claude de France (1547-1575)

 

Claude de France, née le 12 novembre 1547 à Fontainebleau et décédée le 21 février 1575 à Nancy, est la fille d'Henri II, roi de France, et de Catherine de Médicis ainsi que duchesse de Lorraine et de Bar par son mariage avec le duc Charles III, duc de Lorraine et de Bar (État indépendant du royaume de France).

 

Biographie

 

Claude est la deuxième fille du roi de France Henri II et de son épouse d'origine franco-italienne Catherine de Médicis. Elle est née au château de Fontainebleau le 12 novembre 1547 et est baptisée dans la religion catholique. Elle reçoit pour parrains, l'ensemble des députés suisses et pour marraines, Antoinette de Bourbon, duchesse de Guise et sa grand-tante Marguerite d'Angoulême, reine de Navarre et sœur de son grand-père François Ier. Elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle, la reine Claude.

 

Elle est élevée aux côtés de sa sœur aînée Élisabeth de France, future reine d'Espagne, et de Marie Stuart, reine d'Écosse, qui épouse plus tard son frère François. Elle épouse en 1559 alors qu'elle est âgée de onze ans, le duc de Lorraine et de Bar, Charles III, duc de Lorraine et de Bar, fils du duc François Ier et de Christine de Danemark, elle-même nièce de Charles Quint.

 

Cette princesse fort discrète quittait souvent Nancy, la capitale de Lorraine pour vivre avec son époux au côté de sa mère qui l'appréciait beaucoup. Elle est présente à la cour de France durant les événements de la conjuration d'Amboise (1560) et du massacre de la Saint-Barthélemy (1572). De son côté, Catherine de Médicis s'est déplacée en Lorraine à plusieurs reprises. En 1563, elle assiste au baptême de Henri, son premier petit-fils.

 

Claude meurt à Nancy le 21 février 1575. Elle fut très regrettée par sa mère qui prit en charge l'éducation de sa fille Christine.

 

Descendance
 

Claude épousa Charles III de Lorraine à onze ans et est morte en couches à vingt-sept ans. Elle mit au monde neuf enfants, dont sept survécurent à l'âge adulte.

 

Henri II (1563 † 1624), duc de Lorraine et de Bar,

 

Christine (1565 † 1637), mariée en 1587 à Ferdinand Ier de Médicis, grand-duc de Toscane (1549 † 1609). Elle vécut à la cour après la mort de sa mère aux côtés de sa grand-mère Catherine de Médicis,

 

Charles (1567 † 1607), cardinal de Lorraine, évêque de Metz (1578-1607), et de Strasbourg (1604-1607),

 

Antoinette de Lorraine (1568 † 1610), mariée en 1599 à Jean-Guillaume de Clèves (1562 † 1609), duc de Juliers et de Berg,

 

Anne (1569 † 1576),

 

François, comte de Vaudémont (1572 † 1632), duc de Lorraine et de Bar,

 

Catherine (1573 † 1648), abbesse de Remiremont ,

 

Élisabeth (1574 † 1635), mariée en 1599 à Maximilien Ier (1573 † 1651), électeur de Bavière, sans postérité,

 

Claude (1575 † 1576).

 

Dans la culture
 

Dans le roman La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, c'est lors des fiançailles de Mlle Claude de France, seconde fille du roi, et du duc de Lorraine, que Mme de Clèves rencontre pour la première fois M. de Nemours. Mme de La Fayette décrit ainsi la première rencontre des deux protagonistes : "Quand ils commencèrent à danser, il s'éleva dans la salle un murmure de louange. Le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de les voir danser ensemble sans se connaître."

 

Claude apparaît dans la série Reign. Elle est jouée par Rose Williams.

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_de_France_(1547-1575)#:~:text=Claude%20de%20France%2C%20n%C3%A9e%20le,ind%C3%A9pendant%20du%20royaume%20de%20France).

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