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AMC 35

Publié à 17:37 par dessinsagogo55 Tags : homme article png center centerblog prix sur chevaux merci france jeux film
AMC 35

 

L'AMC 35 (de Automitrailleuse de combat Renault modèle 1935), aussi connu sous le nom de Renault ACG-1, était un char moyen français développé dans les années 1930, soit vers la fin de l'entre-deux-guerres. Il servit durant la Seconde Guerre mondiale.

 

Il a été produit dans l'usine Renault d'Issy-les-Moulineaux et a été développé en raison du changement des spécifications qui avaient mené à la conception de l'AMC 34, exigeant un véhicule non seulement bien armé mais également bien blindé.

 

Du fait de problèmes financiers et économiques, la production a été retardée et limitée. La Belgique fut la seule utilisatrice de ce char dans des unités actives avant la guerre. L'AMC 35 était l'un des seuls chars français de l'époque comportant une tourelle pour deux hommes.

 

Développement

 

Renault a développé l'AMC 34 selon les caractéristiques du plan de 1931. Le 26 juin 1934, ceux-ci ont été changés : on exige maintenant que le véhicule atteigne une vitesse maximale de 50 km/h et qu'il soit immunisé contre les armes à feu antichars. Le 7 mars 1936, un nouveau prototype a été fourni par Renault, qui a demandé que le véhicule soit accepté s'il répondait aux nouvelles caractéristiques. Après tout, l'AMC 34 avait été accepté pour la production alors qu'il ne présentait que de légers changements. L'institution faisant alors autorité en la matière, la Commission de Vincennes, s'est montrée méfiante cependant, du fait du changement de l'appellation d'usine, passant de Renault YR à Renault ACG. Quand la commission a inspecté le prototype le 9 mars, les représentants du constructeur précisent que le prototype est d'une conception complètement nouvelle. En conséquence, un programme d'essais est lancé, et il s'achève le 27 novembre. À cette date, la commission a jugé que, en dépit de nombreux changements, le modèle était encore inadapté pour le service à cause de son manque de fiabilité mécanique. Toutefois, au printemps suivant, inquiétée par la remilitarisation de la Rhénanie, la commission passe une première commande de dix-sept véhicules. Plus tard, elle passe à 50 unités. Pour des raisons politiques, la commission n'a pas osé décommander, elle a accepté le modèle ; notant tout de même qu'il serait fortement recommandé d'examiner les modèles et de les tester avant de les recommander. Le premier véhicule de la cavalerie française a été reçu le 1er novembre 1938.

 

Description

 

L'AMC 35 a des dimensions à peu près identiques à celles de l'AMC 34. Cependant, la coque est plus longue, atteignant 4 572 mm, ce qui lui permet d'accueillir un moteur V-4 de 11,08 litres développant 180 chevaux, version raccourcie du moteur V-6 équipant le char B1. L'AMC 35 a cinq roues de route. La suspension utilisée est faite de ressorts horizontaux cylindriques en caoutchouc. N'atteignant que 42 km/h, le véhicule était plus lent que la vitesse exigée par le cahier des charges de la Commission de Vincennes. Un réservoir de carburant de 300 L lui permettait de parcourir environ 160 km. Il pouvait franchir un gué n’excédant pas 60 cm, et sa capacité de franchissement est de 2 m. Son blindage, en plaques de tôle rivetées et boulonnées, n'atteint que 25 mm, la protection offerte étant là encore en deçà de l'exigence au cahier des charges.

 

Le prototype avait une tourelle APX2 pour deux hommes, avec le commandant, chargeur du côté gauche, et l'artilleur du côté droit. La tourelle est composée de deux pièces de métal moulé, soudées et rivetées ensemble.

 

La tourelle hébergeait initialement un canon antichar SA de type « région fortifiée » de 25 mm jumelé à une mitrailleuse de 7,5 mm Reibel. Les canons antichars de 25 ayant tous été livrés dans les ouvrages de la ligne Maginot, c'est finalement le canon SA modèle 35 de 47 mm qui est mis en œuvre dans la tourelle1. Le char emporte 120 obus pour le canon et 5 250 coups pour la mitrailleuse. La variante belge emporte un canon FRC de 47 mm

 

Production et exportation

 

L'armée belge passe commande pour vingt-cinq caisses d'AMC 34 à Renault le 13 septembre 1935, à un prix unitaire de 360 000 francs français, et aussi pour des tourelles APX2 à livrer à Batignolles-Châtillon. Le montant total de la commande atteint 18,5 millions de francs belges. Les caisses livrées sont définies comme étant des coques « de deuxième série », c'est-à-dire des caisses d'AMC 35, par opposition à l'AMC 34. Leur livraison était censée débuter en octobre 1935. Cependant, c'est lors de ce mois-ci que Renault a commencé la production de l'AMC 34 d'origine ; jusqu'à présent il ne pouvait pas fabriquer la version améliorée. En décembre 1936, la division militaire de Renault est nationalisée et restructurée, devenant la nouvelle usine AMX. Des problèmes technologiques, financiers et sociaux ont donné lieu à des retards de livraison lors de la même année. Comme les commandes militaires importantes étaient devenus rares, le projet est devenu secondaire. Une seule automitrailleuse est livrée le 4 juin 1937 et est testé par les chasseurs ardennais

 

Ce résultat embarrassait cependant le gouvernement français puisqu'il mettait Renault sous pression afin d'accepter un nouvel arrangement. Au milieu des années 1930, l'usine Renault disposait des matériels nécessaires pour construire 75 chars ; elle en construit d'abord 50. Il a ensuite été accepté le 21 avril 1938 d'achever les 25 véhicules possibles restants, dont 9 sont livrés à la Belgique (en plus de celui déjà livré). La Belgique devait également recevoir cinq jeux de pièces de rechange et huit lots de plaques de blindage. Le nouveau contrat est signé le 15 juin et stipule que les chars seraient livrés avant le 31 juillet

 

Historique opérationne Belgique

 

 
Un des véhicules belges immobilisé en mai 1940 et incendié pour les besoins du film de propagande Sieg im Westen (en).
 
 

Quand chacune des neuf coques est enfin arrivée en Belgique, on a bientôt découvert que l'usage de moteur, de transmission et de suspension était excessif. En janvier 1940 les deux chars qui étaient en plus mauvaise condition ont été sélectionnés pour le transport à l'arsenal d'Etterbeek, afin d'être cannibalisés et garder les autres en fonction; l'un des deux a été employé pour la formation des conducteurs.

 

Les huit autres chars ont été concentrés dans l'Escadron d'Auto Blindés du Corps de Cavalerie qui a été créé le 1er septembre 1939 à Watermael-Boitsfort. Le terme de véhicule blindé lourd ou Zware Pantserwagen, a été employé pour éviter le terme politiquement sensible de char. L'unité s'est ensuite déplacée à Gand pour sa première formation, recevant plus de véhicules de Carels. Plus tard, elle s'est déplacée de nouveau à Bruxelles. L'escadron a eu trois pelotons : un peloton « personnel et services » et deux pelotons de quatre chars chacun. Le personnel était un mélange des soldats du 2e régiment de Lancers et le premier régiment de guide francophone, les deux unités partageant la même caserne (Caserne de Witte-De Haelen) à Etterbeek.

 

Quand la guerre a éclaté le 10 mai, le char de formation des conducteurs a été uni aux sept autres pour rapporter à l'escadron à sa force de huit. Ceux-ci ont lutté contre les forces terrestres de l'Allemagne entre les 17 et 27 mai 1940. Quatre ont été détruits par des canons PAK de 37 mm en contre-attaquant, deux ont été décomposés et deux ont été rendus à l'armée allemande le 28 mai 1940 quand l'armée belge a déposé ses armes.

 

Le musée de l'armée à Bruxelles montre une tourelle simple prise d'une des deux qui ont défendu l'entrée du port de Zeebrugge. La tourelle est propriété de la ville de Bruges qui l'a prêtée au musée de l’armée de Bruxelles pendant 99 ans.

 

 

France

 

 
AMC 35 au musée des Blindés de Saumur.
 

Au début les chars français n'ont équipé aucune unité ; aucun équipage n'a été formé pour utiliser ce type de char. Après la percée allemande à Sedan, il a été décidé d'envoyer au front toute la réserve de matériel de char. Plusieurs unités ont été formées à la hâte. Douze premiers AMC 35 ont été employés pour équiper le 11e Groupement de Cavalerie; alors cinq Corps-francs motorisés ont été formés, chacun a été équipé de sept chars, mais seulement cinq AMC 35 pourraient d'abord être préparés pour eux ; sept autres ont été livrés plus tard. Les équipages ont rapporté que le matériel était peu fiable, et qu'ils ont extrêmement souffert de leur courte portée en terrain accidenté. Le CFM a livré une bataille retardatrice entre les rivières de la Seine et de la Loire.

 

Dans la littérature anglophone, l'AMC 35 est souvent dépeint comme une occasion manquée importante pour les Français qui auraient pu retourner la situation avec l'Allemagne. La tourelle pour deux hommes de l'AMC 35 était mieux adaptée aux exigences de la guerre moderne de manœuvre. Toutefois, une telle tourelle n'était blindée qu'à 25 mm, alors que la tourelle monoplace du S35 était blindée à plus de 40 mm.

 

Ce type de char peut cependant également être interprété comme un exemple des contraintes de conception de la France.

 

Une épave d'AMC 35 a été récupérée et restaurée au musée des blindés de Saumur, où elle est exposée depuis 2006

 

Allemagne

 

Des véhicules capturés par l'Allemagne pendant la chute de la France ont été employés par la Wehrmacht comme PzKpfw AMC 738 (f), pour la formation des conducteurs.

 

Projets

 

Une caisse d'AMC 35 a été convertie en véhicule d'appui pour les unités de cavalerie. Nommé Renault ACG-2, il était équipé du même canon de 75mm que le Char B1 Bis.

 

Un prototype de véhicule générateur de fumée fut transformé à partir de l'ACG2. Il était équipé de dix-neuf conteneurs, chacun avec 165 litres contenant un liquide produisant une fumée grâce à un compresseur.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/AMC_35

 
     
     
     
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Chasseurs utilisés (Guerre) : France

Publié à 16:16 par dessinsagogo55 Tags : merci sur centerblog france center air
Chasseurs utilisés (Guerre) : France


Seconde Guerre mondiale


France - armée de l'air

Chasseurs

 

Arsenal VG 33 (1940)
Arsensal VG 33-02 (VG 34) / VG 33-03 / VG 33-04 (VG 35) / VG 33-05 (VG 32) (1940 -projets ou prototypes)
Arsenal-Delanne 10 (1940 -prototype)
Blériot-SPAD S.510 (1936)
Bloch MB.151 (1939)
Bloch MB.152 (1940)
Bloch MB.153 / MB.154 (1940 ~prototype et projet)
Bloch MB.155 (1940)
Bloch MB.156 / MB.157 (1940 et 1942 -projet et prototype)
Bloch MB.700 (1940 -prototype)
Bloch MB.800 (1940 -prototype)
Caudron C.714 / C.715 Cyclone (1939)
Curtiss H.75 Hawk (1938 aux U.S.A., 1939 en France) 59
Dewoitine D.500 / D.501 (1935)
Dewoitine D.510 (1936)
Dewoitine D.520 (1940)
Dewoitine D.521 / D.522 / D.523 / D.524 / D.525 / D.530 / D.550 / D.551 / D.553 / D.554 (1940 - projets ou prototypes)
Hanriot NC-600 (1940 -prototype)
Koolhoven F.K.58 (1939 # fabriqué aux Pays-Bas pour la France)
Loire 46 (1936)
Morane-Saulnier MS.225 (1934)
Morane-Saulnier MS.405 (1937)
Morane-Saulnier MS.406 (1938)
Morane-Saulnier MS.410 (1940)
Morane-Saulnier MS.411 / MS.412 / MS.435 / MS.450 (1940 -projets ou prototypes)
Morane-Saulnier MS.540 / Doflug D-3803 (1944 -Suisse) 60
Morane-Saulnier "Mörkö Moraani" (1943 -Finlande) 61
Nieuport-Delage NiD.622 (1931)
Nieuport-Delage NiD.629 (1933)
Potez 630 / 631 / 633 (1938)

 

 
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Pistolet automatique modèle 1935A

Publié à 14:56 par dessinsagogo55 Tags : article platine centerblog sur merci france
Pistolet automatique modèle 1935A

 

 

Le pistolet automatique modèle 1935A (« A » pour Alsace) fut réglementaire dans l'Armée française de 1937 à 1962. Ses brevets rachetés par SIG donnèrent naissance au P210.

 

Présentation

 

Conçu par l'ingénieur franco-suisse Charles Petter (capitaine dans la Légion étrangère et chevalier de la Légion d'honneur), le 1935A fut produit par l'usine de Cholet de la SACM (85 000 exemplaires). Son mécanisme est celui du Colt M1911 légèrement modifié. Il tire en simple action. Sa platine est amovible. La production du PA 35A débuta en 1937, mais de façon limitée et, après correction des défauts de jeunesse, les premières armes ne furent livrées que durant l'été 1939. Cela retarda sa mise en service et au jour de l'armistice en juin 1940 seulement 10 000 exemplaires avaient été fabriqués. L'occupant l'adopta également sous le nom de pistole 625 (f) et s'en fit livrer 24 600 entre 1940 et 1944. L'usine de Cholet en livra 50 400 neufs entre 1946 et 1950. L'arme fut également en service dans la gendarmerie nationale, les CRS et la préfecture de police de Paris. Il souffrait uniquement d'une munition "faible".

 

  Données numériques

 

Munition : 7,65 mm Long

Longueur : 19,5 cm

Canon : 11 cm

Masse à vide : 670 g

Chargeur : 8 cartouches

 

Pour en savoir plus

 

Les Armes de Poing de L'Armee française 1858-2004 par J. Huon & E. Medlin, Editions Crepin Leblond, Avril 2005.

Revolvers & pistolets automatiques français par Daniel Casanova, Etai, Septembre 2015.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pistolet_automatique_mod%C3%A8le_1935A

 
     
     
     
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Pistolets et revolvers utilisés (Guerre) : France

Publié à 12:25 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog france center sport saint merci
Pistolets et revolvers utilisés (Guerre) : France

 

Seconde Guerre mondiale

France - armée de terre
Pistolets et revolvers

 

 

Browning 10/22 (1922 en Belgique, 1945 en France # pistolet)

 


SACM 1935A (1937 # pistolet)

 

MAS 1935S (1940 # pistolet)
Ruby (1903 ? # pistolet)
Star (1914 en Espagne et en France # pistolet)
MAS 1873 / 1874 (1873 et 1874 # revolvers)
MAS 1892 (1892 # revolver)

 

 
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Panhard

Publié à 01:16 par dessinsagogo55 Tags : france merci centerblog sur center saint
Panhard

 

Panhard & Levassor X19

 

 

Panhard & Levassor est un constructeur automobile français dont l'activité civile a été arrêtée en 1967, après sa reprise par Citroën. L'entreprise poursuit la production des véhicules militaires, essentiellement des blindés légers 4 × 4, produits en France dans deux usines à Marolles-en-Hurepoix (Essonne) et Saint-Germain-Laval (Loire). Prenant le nom de Panhard Defense en 2012, elle est rachetée par Renault Trucks Defense et absorbée par Arquus en 2018.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panhard

 
     
     
     
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Mortier modèle 27/31

Publié à 22:56 par dessinsagogo55 Tags : center france centerblog sur merci fond
Mortier modèle 27/31

 

 

Le mortier Stokes-Brandt de 81 mm Mle 27/31 fut réglementaire dans l'armée de terre française durant la Seconde Guerre mondiale. Conçu par Edgar Brandt, il est une amélioration du mortier britannique Stokes. Bien conçu, il a été construit sous licence et copié par de nombreux pays.

 

Historique

 

Il entra en service en France à partir du début des années 1930 et est tellement bien conçu que tous les mortiers de calibres 3", 8 cm, 81,4 mm, 82 mm de la Seconde Guerre mondiale en sont des copies plus ou moins conformes construites on non sous licence. Les munitions utilisées par les différentes armées étaient souvent compatibles. On trouve notamment les Granatwerfer 34 allemand, l'Ordnance ML 3 inch Mortar britannique[réf. nécessaire], le mortier 82-PM-41 soviétique, le mortier M1 de 81 mm américain, le mortier Type 99 81 mm japonais et le mortier M1935 italien.

 

Des versions pour fortifications avec chargement par l'arrière fut créées, en France, c'est le mortier de 81 mm modèle 1932.

 

Technique

 

Amélioration du mortier britannique Stokes, il est conçu et fabriqué par les Établissements Brandt. C'est une arme simple et efficace, chargé par la bouche, la munition étant mise à feu en tombant sur un percuteur fixe. Il nécessite une équipe de 3 hommes. Il est démontable en 3 fardeaux et muni d'un bipied.

 

L'appareil de pointage du mortier construit aux États-Unis diffère de celui du mortier français qui est semblable à celui du mortier de 60 mm.

 

Munitions

 

Les différents obus sont amorcés avec deux types de fusées :

 

Les fusées instantanées qui provoquent l'explosion dès que le projectile touche le sol. La nappe d'éclats est par conséquent très rasante et fauche une surface très importante. Cet amorçage convient pour attaquer des épaulements peu enterrés et non couverts ou bien contre de l'infanterie à découvert.

 

Les fusées à retard provoquent l'explosion quand le projectile est déjà enfoncé dans le sol. Ce type d'amorçage convient pour détruire des emplacements enterrés. Mais tout obus qui n'atteint pas l'objectif projette des éclats qui pour la plupart restent au fond de l'excavation. La gerbe dangereuse est donc très limitée.

 

Obus explosifs légers

 

Ils possèdent une charge relativement faible en explosif, leur donnant un effet analogue à celui d'un obus de 75 mm (mais avec une pénétration moindre). Ces projectiles sont employés normalement.

 

Projectiles français :

FA 1924-1927; poids complet: 3,250 kg; portée maximale : 2 000 m.

FA 1932; caractéristiques similaire à l'obus précédent, mais avec 6 ailettes au lieu de 8.

Projectile américain :

HE M43; poids complet: 3,130 kg, portée maximale : 3 200 m.

Obus explosifs à grande capacité

 

Leur forte charge explosive provoque des effets similaires à celui d'un obus de 155 mm. Mais leur poids important diminue fortement leur portée.

 

Projectile français:

M1935, poids complet: 6 kg 900; portée maximum : 1 000 m.

Projectiles américain:

HE M45; poids complet: 6,080 kg ; portée maximale : 1 275 m;

HE M45B1; poids complet: 6,820 kg ; portée maximale : 1 275 m ; projectile amorcé avec retard;

FS M57 (fumigène), poids complet: 5,400 kg ;

WP M57 (phosphore), poids complet: 5,150 kg ;

HS M57 (obus à gaz), poids complet: 4,700 kg .

 

Organigramme

 

Dans l'armée de terre française des années 1930/1940, on trouve un groupe de 2 mortiers au sein de la section d'engin, dans la compagnie d'armes lourdes de chaque bataillon d'infanterie

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortier_mod%C3%A8le_27/31

 
     
     
     
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Saint-Étienne modèle 1907

Publié à 22:11 par dessinsagogo55 Tags : center pouvoir centerblog sur merci france saint animaux coup société histoire air
Saint-Étienne modèle 1907

 

 

La mitrailleuse Saint-Étienne modèle 1907 est la mitrailleuse lourde standard de l'armée française en 1914.

 

Histoire

 

 
Mitrailleuse Saint Étienne Mle 1907 utilisée par des soldats français au début de la première Guerre mondiale.
 

En 1893, le capitaine baron Adolf Odkolek von Újezd (de), un officier austro-hongrois, invente et construit un modèle de mitrailleuse qui utilise les gaz de propulsion des cartouches pour mouvoir la culasse et lancer le mouvement automatique, système dit « par emprunt des gaz ». Il propose cette invention à la société privée Hotchkiss qui l'adopte et construit le modèle 1897 et 1900.

 

Le gouvernement français achète une série limitée de modèles 1900 mais préfère faire produire ses mitrailleuses par ses arsenaux, pour éviter d'avoir à payer une redevance à une société privée. À sa demande, l'atelier de construction de Puteaux (APX) produit donc le modèle 1905 qui bénéficie de deux innovations : un système de récupération des gaz vers l'avant et un mécanisme qui permet de régler la cadence de tir de 8 à 650 coups par minute. Toutefois, ce modèle souffre de problèmes de refroidissement et s'avère techniquement très compliqué à produire et à entretenir. C'est pourquoi les modèles déjà commandés sont envoyés aux colonies ou équipent les fortifications.

 

Le gouvernement commande alors à la Manufacture d'armes de Saint-Étienne (MAS) une version améliorée et simplifiée, le modèle 1907, qui comprend cependant deux fois plus de pièces que le modèle Hotchkiss concurrent (64 pour 32).

 

En 1916, le modèle 1907 est modifié et devient le modèle 1907 T (T pour "transformé"). Il reçoit notamment un grand régulateur annulaire des gaz, pour modifier la cadence de tir, un système de visée qui compense les effets de la chaleur et un engrenage d'alimentation modifié pour s'adapter aux bandes d'alimentation en tissu de 300 cartouches. Toutes les mitrailleuses sont peu à peu modifiées.

 

Le modèle 1907 est construit par les manufactures d'armes de Saint-Étienne (30 000) et de de Châtellerault (11 000) avec une cadence de production mensuelle maximum de 1 900 armes. Ses problèmes de refroidissement et d'entretien demeurent sur le terrain et en font une arme peu appréciée. Le métal dans lequel il est produit ne résiste pas à la surchauffe. La complexité de son mécanisme est incompatible avec l'environnement boueux et poussiéreux des tranchées. À partir de juillet 1917, il est retiré des unités de première ligne et remplacé par la mitrailleuse Hotchkiss modèle 1914. La production cesse en novembre 1917.

 

Les exemplaires restants sont envoyés aux colonies et 4 720 exemplaires sont destinés à équiper l'armée italienne. L'automitrailleuse Autoblinda Ansaldo-Lancia 1ZM en intègre trois qui seront rapidement remplacées par des Fiat-Revelli Mod. 1914 (it). Certains exemplaires remis à l'armée américaine auraient servi lors de l'opération du Mexique en 1917. En 1917 aussi, pour aider à sa reconstitution, l'armée grecque en reçoit environ 2 000 exemplaires dont un certain nombre sont installés ultérieurement sur la ligne Metaxas et qui sont utilisés jusqu'à l'invasion allemande de 1941. En 1940, elle est toujours en service en petit nombre dans l'armée française, auprès des unités de deuxième catégorie comme arme de fortification ou comme arme antiaérienne

 

Autres caractéristiques

 

Parmi les autres caractéristiques :

rayures : 4 rayures à gauche

refroidissement : par air

pièce de sécurité : le levier d'armement ou la crémaillère du système d'inversion du mouvement.

conditionnement des munitions : barrettes rigides de 25 coups et, à partir de 1916, bandes flexibles en tissus de 300 cartouches (Mle 1907 T)

poids du tripode :

Mle 1907 : 32,7 kg

Mle 1915 : 26,5 kg

 

Principes de fonctionnement

 

 

 
Mitrailleuse
Saint Étienne Mle 1907 prise par la Wehrmacht en 1940.
 

Le principe de fonctionnement de la mitrailleuse modèle 1907 est celui de l'emprunt des gaz vers l'avant.

 

Un orifice (évent) situé à mi-canon capte les gaz de propulsion de la balle qui poussent un piston vers l'avant. Le mouvement se transmet alors à une tige reliée à un système d'axe et de came destiné à transformer le mouvement avant en mouvement arrière afin de déverrouiller la culasse et la faire reculer. Dans la phase de recul de la culasse, l'étui utilisé est éjecté.

 

Dans la phase de retour provoquée par un ressort de rappel le long de la tige de transmission, la cartouche qui est au-dessus de la plaquette rigide d'alimentation est alors introduite sur une rampe par un système d'engrenage. Elle est introduite dans la chambre, la culasse se verrouille puis le percuteur frappe l'amorce pour faire partir la balle.

 

L'arme comprend deux détentes, une détente fixe pour le coup par coup et une détente mobile pour le tir en rafale. Le système de réglage de la cadence intervient au niveau de la quantité de gaz admis dans le tube d'emprunt des gaz grâce à des trous de taille variable mis en correspondance et commandés par un anneau autour du canon.

 

Ce système a pour effet de limiter le recul de la mitrailleuse puisque mouvement vers l'avant et mouvement vers l'arrière se contrarient ce qui donne une stabilité certaine pour le tir.

 

En revanche, il est assez compliqué, s'adapte mal aux conditions des tranchées et la boue le contrarie facilement.

 

De plus, il a des difficultés sérieuses de refroidissement. Pour les limiter, le constructeur a prévu une alimentation par plaquettes rigides, qui limitent la consommation de munitions et permet ainsi, dans les phases de rechargement, de laisser se refroidir le dispositif de manière satisfaisante. En 1916, un système d'alimentation par bande en tissus de 300 cartouches est introduit. Ce système n'est employé que pour les armes de fortification ou à usage antiaérien.

 

Mise en œuvre

 

L'arme est servie par quatre hommes, un caporal chef de pièce, un tireur, un chargeur et un aide chargeur. Deux pièces constituent une section commandée par un lieutenant, secondé par un sergent adjoint auxquels s'ajoutent un télémétreur et un armurier. En 1914, chaque division d'infanterie est ainsi dotée de 24 mitrailleuses (4 fois 6), indifféremment St Étienne Mle 1907, Hotchkiss Mle 1900 ou 1914 voire des mitrailleuses Puteaux Mle 1905 à raison d'une section par bataillon soit trois sections par régiment d'active (3 bataillons) et deux par régiment de réserve (2 bataillons).

 

Unité collective

 

L'unité collective comprend un tripode dénommé « Affut-trépied modèle 1907C » composé d'un trépied stable, d'une partie pivotante, d'une vis pour régler la hausse de la mitrailleuse et d'un petit siège pour le tireur.

 

En 1915, ce tripode est standardisé pour pouvoir servir indifféremment le modèle 1907 et le modèle 1914 Hotchkiss pour laquelle un adaptateur est toutefois nécessaire au niveau de la vis de hausse. Il peut être employé en position « dressé » avec les deux pieds avant déployés ou « à genou » avec les deux pieds avant repliés. Il reçoit le nom de modèle 1915 « omnibus ». À cette occasion, il est allégé de 6,2 kg.

 

Parmi les autres accessoires : un cache flamme, un affut antiaérien et un dispositif de visée avant et arrière, un périscope et des pièces détachées dont un canon de rechange et un kit d'entretien. Il y a aussi, dans chaque deuxième section de la compagnie de mitrailleuses, un télémètre à coïncidence de 80 cm Barr & Stroud ou Bauch & Lomb. La mitrailleuse peut être portée sur un bat. L'arme se divise alors en trois fardeaux.

 

Elle peut être aussi portée sur une voiturette tractée par 2 animaux

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-%C3%89tienne_mod%C3%A8le_1907  
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
   
    Mitrailleuses, Fusils-mitrailleurs utilisés (Guerre): France
   
   
    Première guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Browning 10/22

Publié à 21:47 par dessinsagogo55 Tags : png jeux centerblog sur merci afrique france platine
Browning 10/22

 

 

Le FN Browning Modèle 10/22 est le principal dérivé du Browning M1910 dont il est la version hypertrophiée. Il fut conçu en 1922 à la demande du Royaume yougoslave et commercialisé jusqu'en 1978. Il connut le feu durant la Seconde Guerre mondiale.

 

  Mécanisme

 

Le Browning 1910/22 fonctionne grâce à une platine simple action, un percuteur lancé et à une culasse non calée. Il possède une sûreté manuelle située derrière la plaquette de crosse gauche à laquelle est associé une pédale qu'il faut enfoncer avec la paume pour tirer. Le ressort récupérateur est autour du canon. La culasse est celle du M1910 prolongé par un bouchon creux. Les organes de visées sont fixes formé d'un guidon demi-lune et d'un cran de mire en forme de U. Ce pistolet possédait également un crochet de chargeur sis sous la poignée.

 

Avantages et inconvénient en usage policier

 

Entre 1945 et 1970, le M10/22 fut en service dans la Gendarmerie nationale et la Police française (Polices urbaines, Renseignements Généraux, Police Judiciaire) ainsi que les Douanes (au côté des MAB D et Unique). En 1983, Michel Malherbe (policier, tireur sportif et journaliste spécialisé) dans "Les Armes de la Police Nationale" juge le FN 10/22 comme un pistolet relativement précis, d'une masse assez faible. Mais il souffre de son mécanisme aujourd'hui dépassé et de l'absence de chien externe. [contexte nécessaire] De plus la 7,65 mm est une munition trop faible. Enfin, le percuteur est fragile et il existe des jeux importants entre la culasse et la glissière.

 

Appellations belges et françaises

 

En Belgique, ce pistolet est dénomme Browning Modèle 1922. En France, ses utilisateurs l'appelaient FN Herstal, Herstal Modèle 10/22 ou FN 10/22.

 

Quelques utilisateurs du Browning 1922

 

Le Browning 10/22 équipa de nombreux militaires et policiers en Europe et en Afrique (anciennes colonies belges)


 Reich allemand
 Allemagne de l'Ouest
 Belgique
 Burundi
 République démocratique du Congo
 Danemark
 Finlande
 France
 Grèce
 Pays-Bas
 Roumanie
 Rwanda
 Turquie
 Yougoslavie

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Browning_10/22  
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
   
   
   
   
    Première guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
   
   
   
   
    Pistolets et revolvers utilisés (Guerre) : France
   
   
   
   
   
 
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Iliouchine Il-20

Publié à 20:01 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur photos air
Iliouchine Il-20

 

 

L'Iliouchine Il-20 est un avion de reconnaissance et de renseignement d'origine électromagnétique quadrimoteur utilisé par l'aviation soviétique puis russe. C'est la version militaire de l'Iliouchine Il-18.

 

  Caractéristiques

 

Il était utilisé pour les observations avec un radar à visée latérale ou radar à synthèse d'ouverture, l'écoute d'origine électromagnétique et la prise de photos aériennes le long des frontières de l'Union Soviétique pendant la guerre froide. L'avion a des instruments de bord qui reconnaissent un large spectre de rayonnement électromagnétique.

 

Historique

 

Le premier vol du premier prototype basé sur la carlingue d’un Il-18D eut lieu le 5 décembre 1968. Dix-huit exemplaires de série sont construits à l'usine Znamya Truda (près de Moscou). Les estimations les plus fiables tablent sur une douzaine d’appareils toujours en service en 2018 au sein des VKS où ils appartiennent aux ORAO (escadrons indépendants de reconnaissance) basés à Koubinka près de Moscou.

 

Lors de l’intervention militaire de la Russie en Syrie, le Il-20M codé RF-93610, portant le numéro d’usine 173011504 et le numéro de série 115-04 qui fut produit en 1973, avec un équipage de 15 personnes est abattu le soir du 18 septembre 2018 à 35 km au large de la Syrie par un missile sol-air S-200. Cette erreur de tir de la défense aérienne syrienne qui est sous un « commandement conjoint » russo-syrien a lieu à la suite d'un raid de la Force aérienne et spatiale israélienne contre des cibles à Lattaquié.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Iliouchine_Il-20

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Le Moment Meurice : Remboursez la dette !

Publié à 21:12 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur merci
Le Moment Meurice : Remboursez la dette !

 

 

Remboursez la dette ! - Le Moment Meurice

 

 

 
Liens externes                                                  
     
 

https://youtu.be/kJ7nGggvGrs

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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