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25.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
L'AMX-13 est un char léger français produit à 7 700 exemplaires (dont 3 400 exportés dans 35 pays) entre 1953 et 1985. Son châssis est décliné en plusieurs versions : char de combat, lance-missile antichars, transport de troupes (AMX-13 VCI), canon automoteur de 105 ou 155 mm, postes de commandement, engins du génie, ambulance, etc.
Sa conception est très avancée notamment grâce à sa tourelle oscillante FL 10 qui permet de monter sur un châssis de char léger des canons longs à grande vitesse initiale de calibre 75, puis 90, et même 105 mm. Elle permet notamment de concilier, légèreté, petite taille, rapidité et puissance de feu.
Historique
Dès l'automne 1944, l'état-major des armées françaises relance un programme de rééquipement de l'armée avec du matériel français. Une réunion décisive a lieu en février 1945 pour définir les spécifications de nouveaux chars, et demande aux structures de production d'armement d'envisager trois types de matériels : un char principal de combat (Main Battle Tank - MBT); un char léger; un véhicule blindé de reconnaissance.
En septembre 1946 un avant-projet est émis par la direction des études et fabrications d'armement (DEFA) pour un char léger destiné à la reconnaissance et à la mission antichar. Peu à peu, le cahier des charges s'affine et s'avère être à contresens des développements des autres puissances qui alourdissent leurs nouveaux chars (T-10 en URSS, M 48 aux États-Unis, Centurion en Grande-Bretagne) dans le sens d'une protection renforcée et d'une puissance de feu accrue. Il se tourne délibérément vers un engin léger qui doit avoir :
une forte puissance de feu ;
un poids inférieur ou égal à 12 t pour être aérotransportable ;
une très bonne mobilité ;
une grande autonomie ;
le châssis doit être polyvalent et doit pouvoir accueillir une gamme complète d'armement.
Le principe d'une tourelle oscillante est adopté et validé par la section technique de l'armée (STA), et en avril 1947 quatre constructeurs sont mis en compétition : AMX, Renault, les Forges et chantiers de la Méditerranée (FCM), la Compagnie générale de construction de locomotives (Batignolles-Chatillon). La tourelle FL 4 de chez Fives-Lille équipée d'un canon long de 75 mm à haute vitesse initiale est adoptée.
En décembre 1949, la société AMX remporte le marché. Cinq prototypes sont construits, mais fin 1949 l'exigence d'aérotransportabilité est abandonnée.
De février à avril 1950 les prototypes sont essayés en corps de troupe avec des tourelles FL 4 ou FL 5. 135 blindés de pré-série avec tourelle FL 10 sont commandés.
En octobre 1950, le prototype no 2 est envoyé aux États-Unis pour concourir aux financements ouverts dans le cadre des offshore procurement programs, qu'il obtient.
Début 1951, le char est adopté sous le nom de « char de 13 tonnes modèle 1951 » ou « char AMX-13 ». Au premier semestre 1952 les premiers exemplaires de série sont livrés au 8e régiment de hussards à Epernay. Des tests sont, par ailleurs, poursuivis en Afrique du Nord.
La firme Mathis est déclarée en faillite alors que son moteur, choisi à l'origine pour le blindé, demande encore une longue mise au point. Est alors adopté un moteur fabriqué par la Sofam (Société de fabrication d'armements et de moteurs), qui sera finalement produit par SAVIEM.
Les dernières mises au point et expérimentations durent jusqu'en 1955. Les modèles de série sortent des ateliers de Roanne (ARE) jusqu'en 1964, puis de chez Creusot-Loire à Chalon-sur-Saône. Une troisième ligne de montage est ouverte aux Forges et chantiers de la Méditerranée à la Seyne-sur-Mer. La fabrication se termine en 1985.
Description
Très original dans son concept, la coque de l'AMX-13 est entièrement soudée. Le conducteur est assis à l'avant gauche et dispose de trois épiscopes qui lui donnent une visibilité panoramique, et d'une trappe blindée d'une seule pièce qui s'écarte du côté gauche. Le moteur est placé à droite du conducteur. Il est à l'origine un moteur d'avion Mathis 8GB.20 à essence de 8 cylindres horizontaux, développant 250 ch à 3 000 tr/min, et qui équipe notamment le Morane-Saulnier MS-733 Alcyon et l'hydravion SCAN 30. Mais, avec la faillite de Mathis, il est remplacé par un 8GXB de 8 cylindres à plat, développant 270 ch à 3 200 tr/min. Le rapport poids-puissance est de 15 ch par tonne.
La tourelle oscillante FL-10 est placée à l'arrière du conducteur et du bloc moteur. Elle comprend une pièce longue de calibre 75 mm.
Les suspensions sont à barre de torsion, avec un total de cinq galets de roulement, la poulie de tension étant à l'arrière et le barbotin à l'avant, trois rouleaux supportent la chenille sur le dessus. La suspension du premier et du cinquième galet de roulement est renforcée par un amortisseur hydraulique. La boite de vitesses est manuelle et possède cinq vitesses avant et une marche arrière. Une boite automatique a été développée. Le différentiel est du type Cleveland. La direction et le freinage sont assurés par un système de bandes sèches et de bandes humides mise en œuvre par quatre leviers en fonction de l'effet à obtenir. Le système électrique est alimenté par 4 batteries de 12 volts (100 Ah) et un générateur de 4,5 kW.
L'AMX-13 n'a pas de capacité amphibie, ni de franchissement en eau profonde, ni de protection NBC
.
Participations aux opérations
L'armée française utilise des AMX-13 de manière limitée pendant la guerre d'Algérie : en mars 1958, 114 sont déployés.
Le 2e escadron du 2e régiment étranger de cavalerie en renforcement du 1er régiment étranger de parachutistes met en œuvre des AMX-13 lors de la crise de Suez en 1956.
L'armée israélienne l'emploie durant la même campagne au sein de la 7e brigade blindée. L'AMX-13 est le premier char moderne de l'après-guerre qu'elle reçoit, la France étant le seul pays qui s'autorise à lui fournir des armes pour contrebalancer le poids de l'accord d'armement entre les Tchécoslovaques et les Égyptiens. En 1956 elle en possède 180, et les emploie comme chars de bataille faute de chars plus lourds.
L'AMX-13 est aussi utilisé lors de la guerre civile dominicaine aussi bien du coté loyaliste que du coté rebelle. Deux AMX-13 saisis par les rebelles sont détruits par les M50 Ontos de l'United States Marine Corps à la suite de l'intervention des États-Unis.
En 1967 lors de la guerre des Six Jours, Israël en possède environ 400 qui sont articulés en trois bataillons :
le premier est employé contre les Jordaniens vers le sud en Cisjordanie dans la région de Taluzi, de Tubas et de Naplouse ;
le deuxième est employé contre les Égyptiens et capture les points fortifiés qui protègent la bande de Gaza et la route côtière dans le nord de la péninsule du Sinaï ;
le troisième est employé contre les Syriens et participe à l'attaque du plateau du Golan.
La leçon qui en est tirée est que l'AMX-13 n'est pas assez blindé et que son canon est trop faible. Des pertes importantes sont subies à Rafah et sur le col de Jiradi. Les israéliens décident alors de retirer leurs AMX-13 et de les vendre à Singapour en 1969.
Lors de la deuxième guerre indo-pakistanaise en 1965, la 1re division blindée pakistanaise dotée de 264 M47 et M48 Patton américains est défaite lors de la bataille d'Asal Uttar (en), le 10 septembre. Elle est opposée à trois régiments de l'armée indienne, dont l'un, le 8e régiment de cavalerie, est équipé d'AMX-13. Cette bataille fut le plus grand engagement de chars depuis la Seconde Guerre mondiale.
Les AMX-13 sont très actifs dans et autour de Beyrouth pendant la guerre du Liban, de 1975 à 1990, aussi bien entre les mains de l'armée libanaise que dans celles des groupes armés belligérants : la plupart des AMX-13 de l'armée régulière libanaise tombent entre les mains des milices chrétiennes du Front Libanais, entre celles des musulmans du Mouvement national libanais (LNM), et entre celles de factions rebelles dissidentes telles l'Armée arabe libanaise (LAA), l'Armée du Liban libre (AFL), la milice Kataeb (KRF), les milices Tigre, les Forces libanaises (LF), l'Armée du Sud-Liban (SLA), le mouvement Amal, l'Armée populaire de libération.
Entre 1979 et 1981, la France livre à nouveau des AMX-13 à l'armée libanaise, et la plupart de ceux saisis par les factions sont restitués à l'armée libanaise entre 1990 et 1993. En juillet 2018, six d'entre eux servent à la constitution d'un brise-lames au large de Sidon avec d'autres véhicules militaires.
Le Maroc utilise ses AMX-13 pendant la guerre des Sables en 1963. Lors de la guerre du Sahara occidental contre le Polisario, il les utilise concurremment avec des SK-105 Kürassier, chars autrichiens également équipés d'une tourelle oscillante.
En France, au début des années 1980, environ 1 010 chars sont en parc dans l'armée de terre française, et sont alors en cours de remplacement dans les régiments mécanisés par les AMX-30. Un escadron de 16 AMX-13/90 et des AMX-VCI restent en service jusqu'en 1990 au 30e groupe de chasseurs de la 7e division blindée et au 5e RIAOM à Djibouti.
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Nélia Barbosa, médaillée d'argent des Jeux paralympiques de Tokyo en para canoë sur le 200 mètres en catégorie KL3, samedi 4 septembre 2021. (@G.MIRAND)
Jeux paralympiques : l'argent en para canoë pour Nélia Barbosa, Lucas Mazur en finale du para badminton, déception pour Nantenin Keïta... Ce qu'il faut retenir de la nuit à Tokyo
À la veille de la clôture de ces Jeux paralympiques de Tokyo, plusieurs Français(es) étaient en piste dans la nuit de vendredi à samedi. Nélia Barbosa, en para canöe, est venue apporter une 52e médaille au clan français.
Si les épreuves de ces Jeux paralympiques se font de moins en moins nombreuses à mesure que les jours passent et nous rapprochent inéluctablement de la fin de l'événement, les Français(es) encore engagé(e)s à Tokyo continuent de marquer les esprits. Dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 septembre, c'est Nélia Barbosa qui est venue prendre la lumière en arrachant une belle médaille d'argent en para canoë sur le 200 mètres KL3.
Rémy Boullé, médaillé de bronze en para canoë sur le 200 mètres en catégorie KL1, lors des Jeux paralympiques de Tokyo. (G.MIRAND)
Jeux paralympiques : Rémy Boullé décroche le bronze, première médaille française en para canoë
L'athlète paralympique de 33 ans est monté sur la troisième marche du podium sur 200 mètres en catégorie KL1, vendredi.
Une première breloque pour le canoë ! Vendredi 3 septembre, sur le plan d'eau du Sea Forest Waterway à Tokyo, dans des conditions climatiques une nouvelle fois très pluvieuses, Rémy Boullé est venu accrocher la médaille de bronze en finale du 200 mètres, catégorie KL1. Il s'agit de la première médaille tricolore en para canoë lors de ces Jeux paralympiques.
L'ancien commando para, devenu paraplégique suite à un accident de parachutisme au cours d'un entraînement il y a sept ans, avait signé le meilleur temps des demi-finales, en 48''645. De quoi légitimement prétendre à un joli métal en finale. Mais l'homme à la crête bleue est tombé sur un os nommé Peter Kiss. Le Hongrois a survolé la course, pulvérisant son record personnel de près de trois secondes (45''447) sur la distance. Derrière le médaillé d'or, c'est le Brésilien Luis Carlos Cardoso da Silva qui a devancé le Français pour l'argent.
5e à Rio en 2016, Rémy Boullé monte cette fois sur la boîte et remporte sa première médaille aux Jeux paralympiques.
Jeux paralympiques : deuxième médaille pour le tandem Alexandre Lloveras et Corentin Ermenault, en bronze dans la course en ligne
Les Français ont remporté leur deuxième médaille vendredi après leur titre olympique lors du contre-la-montre.
Pas de deuxième médaille d’or pour Alexandre Lloveras mais une médaille quand même. Le Français, accompagné de son pilote Corentin Ermenault, a décroché le bronze vendredi 3 septembre lors de l’épreuve en ligne. Le tandem a completé les 118,8 km de course en 3'06"14, sept minutes derrière un duo en or néerlandais Vincent ter Schure-Timo Fransen intouchable. Un autre tandem batave, Tristan Bangma-Patrick Bos, a devancé les Français dans les derniers instants pour accrocher la médaille argent.
C'est la deuxième médaille pour Alexandre Lloveras après son titre lors du contre-la-montre sur route de la catégorie B. À 21 ans et pour ses premiers JO, le Lyonnais a marqué de son empreinte Tokyo et il sera l'une des valeurs sûres dans trois ans à Paris.
Jeux paralympiques 2021 : revivez la Marseillaise et le podium de la paire Houdet-Peifer, médaillés d'or pour la deuxième fois consécutive
Après l'or à Rio, les Français ont conservé leur titre à Tokyo.
Stéphane Houdet et Nicolas Peifer ont fait plier les Britanniques. Lors de la finale de double messieurs en tennis-fauteuil, vendredi 3 septembre, la paire tricolore a brillé à Tokyo, en remportant le titre paralympique. Un nouveau sacre qui s'ajoute à celui obtenu à Rio il y a cinq ans. Pour la deuxième fois de la journée, la Marseillaise française retenti sur l'archipel nippon.
Deuxième titre paralympique ensemble
L'expérience de leur précédent titre a fait la différence face à des Britanniques tenaces. La paire anglaise composée d'Alfie Hewett et de Gordon Reid, têtes de série numéro 1, a déstabilisé les Français lors de la deuxième manche, remportant le set par un très sévère 6-0. Mais les Tricolores n'ont jamais baissé les bras et ont tenu dans la troisième et dernière manche. Les deux hommes partagent ainsi leur deuxième titre paralympique. Stéphane Houdet décroche, lui, sa troisième médaille paralympique en double, la première ayant été obtenue avec Michaël Jeremiasz en 2008 à Pékin.
Fabien Lamirault est champion olympique par équipe pour la deuxième fois consécutive. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)
Jeux paralympiques : Stéphane Molliens et Fabien Lamirault décrochent l'or en fauteuil-tennis de table et rapportent une 51e médaille à la France
Comme il y a cinq ans, Stéphane Molliens et Fabien Lamirault ont fait chuter la Corée du Sud vendredi pour s'emparer de l'or.
Comme leurs homologues Stéphane Houdet et Nicolas Peifer en fauteuil-tennis, Stéphane Molliens et Fabien Lamirault ont aussi réalisé le doublé paralympique en fauteuil-tennis de table en remportant pour la deuxième fois consécutive la médaille d'or vendredi 3 septembre. Et comme un signe, les Bleus se sont imposés face à la même nation qu'il y a cinq ans, la Corée du Sud.
Après avoir remporté le double, trois manches à deux, la France a fait plier les Coréens en simple, trois manches à une. Une rencontre qui a duré 1h28. C'est la deuxième médaille d'or pour Fabian Lamirault après son titre en simple plus tôt cette semaine.
Ils permettent à la France de largement dépasser son objectif initial de 35 médailles, puisque la délégation tricolore affiche désormais un bilan de 51 breloques, dont 10 en or.
Le para cycliste français Kevin Le Cunff, sacré champion paralympique à Tokyo en catégorie C4-5, le 3 septembre 2021. (Capture d'écran France TV Sport)
Jeux paralympiques : le para cycliste Kévin Le Cunff remporte la médaille d'or sur la course en ligne
Impressionnant de maîtrise tout au long de la course, le Français de 33 ans a fait la différence dans les deux derniers kilomètres pour s'imposer en catégorie C4-5.
Envolés les regrets de la médaille en chocolat (4e) lors de la poursuite individuelle sur piste, le 27 août dernier. Sur un parcours une nouvelle fois détrempée sur le parcours du Fuji Speedway, Kévin Le Cunff a pris une éclatante revanche sur route en se parant d'or, vendredi 3 septembre, lors de l'épreuve en ligne de la catégorie C4-5. Une nouvelle breloque pour le para cyclisme tricolore.
Un an après son passage en handisport, Le Cunff a réussi son pari
Le coureur de 33 ans, licencié à Dunkerque, a parfaitement géré sa course. Présent dans un groupe de tête rapidement réduit à cinq hommes, Le Cunff a fait le forcing pour le réduire à trois, puis deux éléments. Battu sur piste par l'Ukrainien Yehor Dementyev, le Français a pris les devants à deux kilomètres de l'arrivée pour laisser sur place son seul rival. Le Néerlandais Daniel Abraham Gebru complète le podium. Le Nordiste a même eu le temps de récupérer un drapeau tricolore pour passer la ligne en héros, sous les yeux de la ministre déléguée chargée des sports Roxana Maracineanu, présente sur place.
Après trois années passées au sein du peloton professionnel chez les valides, dans l’équipe Saint-Michel-Auber 93, Kévin Le Cunff, né avec deux pieds bots et un mollet atrophié, avait pris le pari l'an passé de se lancer dans l'handisport. Un pari réussi dans les grandes largeurs pour celui qui vient de remporter sa première médaille d'or dans des Jeux paralympiques.
Paroles
Can you hear the drums Fernando
I remember long ago another starry night like this
In the firelight Fernando
You were humming to yourself and softly strumming your guitar
I could hear the distant drums
And sounds of bugle calls were coming from afar
They were closer now Fernando
Every hour every minute seemed to last eternally
I was so afraid Fernando
We were young and full of life and none of us prepared to die
And I'm not ashamed to say
The roar of guns and cannons almost made me cry
There was something in the air that night
The stars were bright, Fernando
They were shining there for you and me
For liberty, Fernando
Though I never thought that we could lose
There's no regret
If I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
If I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
Now we're old and grey Fernando
And since many years I haven't seen a rifle in your hand
Can you hear the drums Fernando
Do you still recall the frightful night we crossed the Rio Grande
I can see it in your eyes
How proud you were to fight for freedom in this land
There was something in the air that night
The stars were bright, Fernando
They were shining there for you and me
For liberty, Fernando
Though I never thought that we could lose
There's no regret
If I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
There was something in the air that night
The stars were bright, Fernando
They were shining there for you and me
For liberty, Fernando
Though I never thought that we could lose
There's no regret
If I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
Yes, if I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
If I had to do the same again
I would, my friend, Fernando
Source : LyricFind
Paroliers : Stig Erik Leopold Anderson / Benny Goran Bror Andersson / Bjoern K Ulvaeus
Paroles de Fernando © Universal Music Publishing Group, Tratore
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