Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Manfred Albrecht, Freiherr von Richthofen, né le 2 mai 1892 à Breslau et mort le 21 avril 1918 à Vaux-sur-Somme, est un aviateur allemand devenu une légende de l'aviation de la Première Guerre mondiale. À l'époque, il était connu en France sous les surnoms de « Baron rouge » ou de « Diable rouge », mais depuis, le surnom donné par les aviateurs britanniques (« the Red Baron » soit « le Baron rouge ») a fini par s'imposer au point de remplacer en popularité son nom authentique.
Avec quatre-vingts victoires confirmées, selon le système de comptage allemand, il est l'as des as de l'aviation allemande de la Première Guerre mondiale. Hauptmann dans la célèbre Jasta 11, sa célébrité est liée à celle de son Fokker Dr.I Triplan peint en rouge vif au lieu des traditionnelles couleurs de camouflage, d'où son surnom. Il a pour frère cadet Lothar von Richthofen, autre pilote chevronné de l'armée de l'air allemande.
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L'Aichi D3A, ou « Bombardier embarqué de Marine Type 99 » (en japonais : « 99式艦上爆撃機 »), est un bombardier en piqué biplace en tandem japonais, en service de 1940 à 1945, pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dénommé Val par le code des Alliés du Pacifique, il fut le premier avion japonais à bombarder des objectifs américains, et aussi celui qui parvint à couler la plus grande quantité de navires de combat alliés. Cet appareil a participé à pratiquement toutes les opérations aéronavales japonaises de la Seconde Guerre mondiale.
Origine
Au cours de l'été 1936, la Marine impériale japonaise lança une fiche-programme (11-Shi) concernant un monoplan d'attaque en piqué embarqué destiné à remplacer les biplans Aichi D1A. Aichi, Nakajima et Mitsubishi se portèrent candidats, seuls les deux premiers se voyant commander chacun deux prototypes. Le projet développé par Aichi Tokei Denki Seizo Co associait une voilure elliptique, inspirée du Heinkel He 70, et un fuselage au dessin assez proche de celui du Mitsubishi A6M Zero, malgré un poste de pilotage biplace en tandem. De construction entièrement métallique avec surfaces mobiles entoilées, il était conçu pour résister à une attaque en piqué, et pour simplifier la construction, un train d'atterrissage classique fixe caréné fut retenu, la traînée engendrée ne devant pas influer de façon importante sur les performances.
Propulsé par un moteur 9 cylindres en étoile Nakajima Hikari 1 (en) d'une puissance de 710 ch au décollage entraînant une hélice tripale métallique, le prototype débuta ses essais en janvier 1938. Les premiers essais se révélèrent décevants : sous-motorisé, l'Aichi AM-17 (désignation constructeur) était instable en évolutions larges, se mettait facilement en vrille en virage serré, les freins de piqué vibraient de façon dangereuse à 370 km/h, alors que la Marine demandait de porter la vitesse d'attaque à 440 km/h.
Le second prototype subit donc toute une série de modifications avant de voler à son tour : Le moteur Hikari fut remplacé par un 14 cylindres en étoile Mitsubishi Kinsei 3 de 840 ch sous un capot-moteur plus profond, l'empennage vertical fut agrandi pour améliorer la stabilité de l'appareil, la voilure fut légèrement allongée avec modification du dessin du bord d'attaque, et les aérofreins consolidés. Si la stabilité longitudinale laissait encore à désirer, ces modifications furent jugées suffisantes pour que l'Aichi AM-17 soit préféré à ses concurrents, et le biplace Aichi fut commandé en décembre 1939 comme « Bombardier embarqué de Marine Type 99, modèle 11 », ou « D3A1-11 ».
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Jacques Cartier, né vers 1491 à Saint-Malo alors dans le duché de Bretagne où il meurt le 1er septembre 1557, est un navigateur et explorateur breton puis français. Mandaté par le roi de France François Ier, il atteint en 1534 le golfe du Saint-Laurent et explore les territoires alentour, auxquels il donne le nom de « Canada », tiré du mot iroquoien kanata (« village »). Il y effectue un second voyage en 1535-1536 et un troisième en 1541-1542.
Auteur de cartes aujourd'hui perdues et de Relations, récits de ses voyages, Jacques Cartier est le premier Européen à décrire et nommer cette région et ses habitants, à une époque où les Espagnols sont déjà installés dans les îles Caraïbes, au Mexique et en Amérique centrale, et commencent la conquête du Pérou.
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En 1923, Albert Londres se rend en Guyane où il visite le bagne aux Îles du Salut, à Cayenne et à Saint-Laurent-du-Maroni. Décrivant les horreurs de ce qu'il voit, son reportage suscite de vives réactions dans l'opinion mais aussi au sein des autorités.
« Il faut vous dire que nous nous trompons en France. Quand quelqu'un – de notre connaissance parfois – est envoyé aux travaux forcés, on dit : il va à Cayenne. Le bagne n'est plus à Cayenne, mais à Saint-Laurent-du-Maroni d'abord et aux îles du Salut ensuite. Je demande, en passant, que l'on débaptise ces îles. Ce n'est pas le salut, là-bas, mais le châtiment. La loi nous permet de couper la tête des assassins, non de nous la payer.
Cayenne est bien cependant la capitale du bagne. (...) Enfin, me voici au camp ; là, c'est le bagne. Le bagne n'est pas une machine à châtiment bien définie, réglée, invariable. C'est une usine à malheur qui travaille sans plan ni matrice. On y chercherait vainement le gabarit qui sert à façonner le forçat. Elle les broie, c'est tout, et les morceaux vont où ils peuvent. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 35-37.
Et le récit se poursuit :
« On me conduisit dans les locaux. D'abord je fis un pas en arrière. C'est la nouveauté du fait qui me suffoquait. Je n'avais encore jamais vu d'hommes en cage par cinquantaine.
Ils se préparaient pour leur nuit. Cela grouillait dans le local. De cinq heures du soir à cinq heures du matin ils sont libres – dans leur cage. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 39-40.
Albert Londres dénonce aussi un fait que l'on ignore souvent : le « doublage ».
« Quand un homme est condamné de cinq à sept ans de travaux forcés, cette peine achevée, il doit rester un même nombre d'années en Guyane. S'il est condamné à plus de sept ans, c'est la résidence perpétuelle. Combien de jurés savent cela ? [...] »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 43.
Et ici, voici la formule :
« Le bagne commence à la libération. Tant qu'ils sont en cours de peine, on les nourrit (mal), on les couche (mal), on les habille (mal). Brillant minimum quand on regarde la suite. Leurs cinq ou sept ans achevés, on les met à la porte du camp. »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 44.
Son livre est une galerie de portraits : Hespel, Bel-Ami, Ullmo, Duez, Eugène Dieudonné, Roussenq, Marcheras... les bagnards sont des hommes ! – même si dans ce lieu, ils tendent à devenir des animaux. En 1924, il poursuit ses enquêtes sur les travaux forcés et se rend en Afrique du Nord où des bagnes militaires accueillent les condamnés des conseils de guerre qui n'en finissent pas d'expier leur très grande faute (publication de Dante n'avait rien vu).
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Jean-Guillaume de Neubourg-Wittelsbach, né le 19 avril 1658 à Düsseldorf et mort le 8 juin 1716 dans la même ville, est prince-électeur du Palatinat. Il est le fils de Philippe-Guillaume de Neubourg et d'Élisabeth de Hesse-Darmstadt. Duc de Juliers et de Berg en 1679, il devient comte palatin et électeur à la mort de son père en 1690.
Biographie
Jean-Guillaume ne réside pas à Heidelberg, capitale historique de l'électorat détruite par les Français, mais reste à Düsseldorf.
Frère de l'impératrice Éléonore, il épouse en 1678 Marie-Anne-Josèphe d'Autriche (1654-1689), fille de l'empereur Ferdinand III et d'Éléonore de Nevers-Mantoue, qui lui donne deux fils qui meurent à la naissance.
1689, il se remarie en 1691 à Anne-Marie-Louise de Médicis (1667-1743), fille du grand-duc de Toscane Cosme III de Médicis et de Marguerite-Louise d'Orléans mais cette union se révèle stérile. Le peintre italien Giovanni Antonio Pellegrini immortalise ce mariage dans une Allégorie du Mariage de l'Électeur Palatin qui fait partie d'une série de quatorze tableaux célébrant la vie et le règne de Johann Wilhelm réalisée entre 1713 et 1714. Cette série destinée au palais de Bensberg, près de Düsseldorf, est aujourd'hui au château de Schleissheim, près de Munich. Une esquisse de ce tableau est conservé à la National Gallery à Londres.
Entre 1706 et 1713, la pastelliste italienne Rosalba Carriera peint pour lui de nombreux portraits.
Il était également le beau-frère de l'empereur Léopold Ier, du roi d'Espagne Charles II et du roi de Portugal Pierre II. Son frère François-Louis devint archevêque-électeur de Trêves.
Son frère cadet Charles III Philippe du Palatinat lui succéda.
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Joseph Antoine Poniatowski (en polonais : Józef Antoni Poniatowski), né le 7 mai 1763 à Vienne dans l'archiduché d'Autriche et mort noyé le 19 octobre 1813 près de Leipzig dans le royaume de Saxe, est un prince, militaire et homme d'État polonais de la fin du xviiie siècle et du début du xixe siècle.
Neveu du roi de Pologne Stanislas Auguste Poniatowski et prince du Saint-Empire romain germanique par sa naissance, il intègre l'armée autrichienne où il sert jusqu'au grade de lieutenant-colonel. Rejoignant la Pologne en 1789, il prend le commandement des troupes polonaises en Ukraine lors de la guerre russo-polonaise de 1792. En 1794, il rejoint l'insurrection de Kościuszko puis, après l'échec de cette révolte, se retire sur ses terres.
Au cours du Premier Empire, il se rallie à Napoléon Ier qui le nomme ministre de la Guerre du duché de Varsovie et généralissime des Polonais. Outre une réorganisation profonde de l'armée, Poniatowski participe aux guerres napoléoniennes. Ayant combattu les Autrichiens pendant la campagne de 1809, il s'illustre en Russie à la tête du 5e corps polonais de la Grande Armée, notamment aux batailles de la Moskova et de la Bérézina. Il se bat encore lors de la campagne d'Allemagne de 1813.
En récompense de ses faits d'armes et de sa fidélité, Napoléon l'élève à la dignité de maréchal d'Empire le 16 octobre 1813, au début de la bataille de Leipzig. Il est ainsi le seul général étranger à avoir reçu cet honneur. Trois jours plus tard, lors de la retraite française, il se noie en tentant de traverser l'Elster. Son corps n'est retrouvé que cinq jours après. À Sainte-Hélène, l'Empereur se souvient de son allié polonais : « le vrai roi de Pologne, c'était Poniatowski ; il en réunissait tous les titres et en avait tous les talents ».
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Miguel Díaz-Canel Bermúdez, né le 20 avril 1960 à Santa Clara, est un militant communiste et homme d'État cubain, président de la république depuis le 10 octobre 2019.
Ingénieur de formation, il a lentement gravi les marches du pouvoir au sein du Parti communiste cubain jusqu’à succéder à son mentor Raúl Castro. Premier vice-président du Conseil d'État et du Conseil des ministres de 2013 à 2018, il est élu président du Conseil d'État (chef de l'État) en 2018, président de la République en 2019 puis Premier secrétaire du Parti communiste de Cuba en 2021. Candidat unique, il est réélu président de la République, en avril 2023, par l'Assemblée nationale avec 97,66 % des voix.
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Raúl Castro, né le 3 juin 1931 à Birán, est un homme d'État cubain.
Après avoir participé à la révolution cubaine, il fut l'un des membres du Mouvement du 26 Juillet, ministre de la Défense de 1959 à 2008 et premier vice-président du Conseil d'État et président du Conseil des ministres de 1976 à 2008.
Il est président par intérim à partir du 31 juillet 2006, puis est élu président des Conseils d'État et des ministres le 24 février 2008, succédant à son frère Fidel Castro. Il occupe le poste jusqu'au 19 avril 2018. Membre du Parti socialiste populaire depuis 1953, il adhère au Parti communiste de Cuba en 1965 et en est Premier secrétaire du 19 avril 2011 au 19 avril 2021.
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Le vol Air Philippines 541 entre l'aéroport international Ninoy Aquino, à Manille, et l'aéroport international Francisco Bangoy, à Davao, s'est écrasé le 19 avril 2000 contre une colline, alors qu'il s'apprêtait à atterrir à Davao, ne laissant aucun survivant parmi les 131 passagers et membres d'équipage à bord. C’est l'accident d'avion le plus meurtrier de l'histoire des Philippines
Avion
L'appareil impliqué est un Boeing 737-2H4, immatriculé RP-C3010 et précédemment détenu par Southwest Airlines, avec comme immatriculation N50SW. Il est livré pour la première fois en février 1978 et vendu à Air Philippines après 20 ans de service chez Southwest Airlines.
Chronologie du drame
Le vol 541, avec 131 passagers et membres d'équipage à bord, a quitté Manille vers 5h30 du matin, à destination de Davao. Vers 7 heures du matin, l'avion s'approche de la piste 05 derrière un Airbus A320 exploité par Philippine Airlines. Lorsque le vol 541 sort des nuages, l'équipage s'aperçoit que l'A320 n'a pas encore dégagé la piste. Il informe alors le contrôle aérien qu'une procédure d'approche interrompue doit être effectuée.
Le vol 541 a commencé à reprendre de l'altitude et est de nouveau rentré dans les nuages. La procédure standard consiste à grimper à 4 000 pieds (1 200 m), en se servant des instruments de vol, et de faire le tour pour intercepter une nouvelle pente de descente. Au lieu de cela, les pilotes ont tenté de voler en mode VFR, alors qu'ils naviguaient à basse altitude, dans des conditions météorologiques de vol IFR.
Le vol 541 s'est écrasé dans une plantation de cocotiers, à flanc de colline, à quelques kilomètres à l'est de l'aéroport international Francisco Bangoy. L'appareil s'est désintégré lors de l'impact et a pris feu immédiatement après le crash, tuant sur le coup les 124 passagers et les 7 membres d'équipages à bord de l'avion.
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