Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Minoru Genda (源田 実, Genda Minoru ), né le 16 août 1904 à Hiroshima et décédé le 15 août 1989 à Matsuyama est un militaire japonais. Pilote dans l'aéronavale, il servit dans la Marine impériale japonaise avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Il fut le stratège de l'attaque de Pearl Harbor le 7 décembre 1941. Après la guerre, il dirigera la nouvelle Force aérienne d'autodéfense japonaise.
L'attaque de Pearl Harbor
L'amiral Isoroku Yamamoto reprit les idées de Minoru Genda pour l'attaque sur Pearl Harbor, accomplie le 7 décembre 1941. Les deux hommes se connaissaient depuis 1933 lorsque Genda servait à bord du porte-avions Ryūjō. Ils se rencontrèrent au début du mois de février 1941 et Yamamoto lui proposa son plan. Genda avait déjà réfléchi à une attaque sur la base de Hawaï dès 1934 et en avait discuté avec Takijirō Ōnishi. Genda pensait que le secret et la surprise de l'attaque étaient les facteurs les plus importants pour la réussite de l'expédition. Il considérait que la mission était risquée mais pas impossible et commença à travailler sur les détails du plan. Genda était responsable de la préparation de l'attaque, en particulier de la mise en œuvre de nouvelles torpilles et de la coordination de l'opération.
L'attaque de Pearl Harbor fut couronnée de succès : les forces japonaises ne perdirent que 64 hommes, un sous-marin de croisière et cinq sous-marins de poche. Sur les 441 avions japonais disponibles, 350 prirent part à l’attaque et 29 furent abattus durant la bataille. Le plan audacieux de Yamamoto avait atteint ses objectifs, mais provoqua l'entrée en guerre de la première puissance industrielle du monde.
Genda participa par la suite à la bataille de Midway, ainsi qu'à plusieurs autres batailles des campagnes du Pacifique et se consacra aux unités de chasse d'élite.
Après-guerre
Il devint en 1959 le chef de la Force aérienne d'autodéfense japonaise. Il fut compromis dans l'affaire de corruption Lockheed et entama ensuite une carrière politique dans les rangs ultranationalistes.
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Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre, est un avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde). Il est l'une des principales figures de la Révolution française et demeure l'un des personnages les plus controversés de cette période.
Maximilien de Robespierre est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants. Il perd sa mère à l'âge de six ans. Son père abandonne le foyer et dès lors, Maximilien est pris en charge par son grand-père maternel. Après d'excellentes études au collège d'Arras et au collège Louis-le-Grand de Paris, licencié en droit, il devient avocat et s'inscrit en 1781 au Conseil provincial d'Artois, occupant même un temps la charge de juge au tribunal épiscopal.
Élu député du tiers état aux États généraux de 1789, il devient bientôt l'une des principales figures des « démocrates » à l'Assemblée constituante, défendant l'abolition de la peine de mort et de l'esclavage, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel (masculin) et l'égalité des droits contre le suffrage censitaire. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en devient progressivement l'une des figures de proue.
Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Membre de la Commune insurrectionnelle de Paris, il est élu à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée…).
Au printemps 1794, Robespierre et ses collègues du Comité de salut public font arrêter successivement les hébertistes, meneurs du club des Cordeliers, puis Danton et les indulgents, mesures suivies de la condamnation et de l'exécution des dirigeants des deux « factions ». Il contribue ensuite à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême et l’immortalité de l’âme », ainsi que la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ».
Robespierre est sans doute le personnage le plus controversé de la Révolution française. Ses détracteurs (les thermidoriens, les fondateurs de la IIIe République et les historiens de l'« école libérale » dont le chef de file fut François Furet) soulignent son rôle dans l'instauration de la Terreur et la nature autoritaire du Comité de salut public. Pour d'autres, Robespierre tenta de limiter les excès de la Terreur, et fut avant tout un défenseur de la paix, de la démocratie directe et de la justice sociale, un porte-parole des pauvres, et l'un des acteurs de la première abolition de l'esclavage en France.
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Vassiliï Nikititch Tatichtchev (en russe : Василий Никитич Татищев) est un historien et géographe russe né le 19 avril 1686 et mort le 26 juillet 1750.
Biographie
Il est attaché au collège des mines et remplit pour ce service diverses missions en Sibérie et en Suède. En 1734, il établit un formulaire de 82 questions traitant de la géographie, de la nature, de l'histoire, des peuples et des langues de la Russie qu'il envoie aux voïvodes et aux chancelleries avant de le faire traduire en allemand pour Gerhard Friedrich Müller et Johann Georg Gmelin.
Il devient grand maître des mines en 1737 et rédige le code minier de la Russie ainsi que la deuxième version de son formulaire comprenant cette fois 98 questions dont la paléontologie, les maladies, l'artisanat, mœurs des indigènes , etc.. Il est considéré comme cofondateur de la ville d'Ekaterinbourg avec Georg Wilhelm Henning et un monument leur est élevé en leur hommage dans cette ville, place du Travail.
Il est connu pour avoir été le premier à proposer que l'on considère que l'Europe s'étende à l'Est jusqu'aux monts de l'Oural. Jusqu'alors, les cartographes européens la bornaient au cours du fleuve Don. Il répondait ainsi à la volonté du tsar Pierre Le Grand d'y faire inclure la Russie moscovite, dans un contexte où les géographes de l'époque des Lumières valorisaient les reliefs comme supports de limites régionales.
Il a laissé une Histoire de Russie, qu'il n'a pu achever et qui a été publiée par Gerhard Friedrich Müller, à Moscou, 1769-1784, en 4 volumes in-4°. Il est aussi l'auteur d'un Atlas de la Sibérie, 1745.
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Sissi face à son destin (Sissi - Schicksalsjahre einer Kaiserin) est un film autrichien réalisé par Ernst Marischka, sorti en 1957. Il a été nommé en 1958 pour la Palme d'or du Festival de Cannes.
Le film se base sur l'histoire amoureuse de l'impératrice Sissi jouée par Romy Schneider et de l'empereur François-Joseph joué par Karlheinz Böhm.
L'Empire est agité par des révolutionnaires hongrois mécontents de leur rattachement à la Maison d'Autriche. Sissi réussit à convaincre Franz à partir en Hongrie afin de calmer les esprits. Cependant le comte Andrassi lui avoue qu'il est amoureux d'elle, Sissi décide alors de quitter la Hongrie. Sur le chemin du retour elle retrouve Franz dans une auberge qui était partie a sa rencontre. Ils décident de repasser quelques jours tous les deux loin de Vienne mais sont obligés de rentrer plus vite que prévu car Sissi est malade. Les médecins la déclarent poitrinaire, elle a très peu de chances de guérir. Ils l'envoient se soigner a Madère et, avec l'aide de sa mère Ludovica, Sissi reprend gout a la vie et guéri. Elle rentre a Vienne ou Franz lui annonce qu'ils doivent traverser l'Italie, pays ou l'Autriche est très mal perçu. Le cortège nautique passe dans Venise sans être acclamé par qui que ce soit, jusqu'a ce qu'une fois arrivée sur la place, Sissi remarque que sa fille l'attend au loin et court la rejpoindre. Les italiens ému crient alors " Viva la mama" !
Le film fait partie d'un triptyque avec Sissi (1955) et Sissi impératrice (1957). Suite au succès de Sissi face à son destin Ernst Marischka proposa à Romy Schneider une suite des aventures de la jeune Impératrice, mais malgré un cachet très élevé Romy refusera, voulant faire autre chose, et ne supportant plus l'image de Sissi à laquelle ont l'associe trop souvent. Mais elle ne s'en défera jamais, toute sa vie elle restera celle qui a interprété la célèbre Impératrice d'Autriche.
Fiche technique
Titre original : Sissi - Schicksalsjahre einer Kaiserin
Titre français : Sissi face à son destin
Réalisation : Ernst Marischka
Scénario : Ernst Marischka
Photographie : Bruno Mondi
Décors : Fritz Juptner-Jonstorff
Costumes : Geradago et Franz Szivats
Musique : Anton Profes
Producteur : Karl Ehrlich
Distribution : SNC
Pays d'origine : Autriche
Format : Couleurs
Genre : Comédie dramatique, Film romantique, historique
Durée : 106 minutes
Dates de sortie : 1957 (Autriche)
Distribution
Romy Schneider (VF : Gilberte Aubry) : Impératrice Élisabeth dite Sissi
Karl-Heinz Böhm (VF : Jean-Pierre Duclos) : François-Joseph dit Franz
Magda Schneider (VF : Lita Recio) : La duchesse Ludovika de Bavière
Gustav Knuth (VF : André Valmy) : Le duc Max de Bavière
Uta Franz (VF : Lily Baron) : La princesse Helene
Walther Reyer (VF : René Arrieu) : Le comte Andrassy
Peter Weck (VF : Jacques Thébault) : L'archiduc Karl-Ludwig
Vilma Degischer (VF : Lucienne Givry) : L'archiduchesse Sophie
Erich Nicowithz (VF : Gérard Férat) : L'archiduc Franz-Karl
Josef Meinrad (VF : Michel Roux) : Le colonel Böckl
Senta Wengraf : La comtesse Bellegarde
Helene Lauterböck : La comtesse Esterhazy
Sonja Sorell : Henriette Mendel
Peter Neusser : Le comte Batthyani
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