Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Carla Gravina, née le 5 août 1941 à Gemona del Friuli, est une actrice de cinéma, de télévision et de théâtre ainsi qu'une femme politique communiste italienne.
Biographie
Fille d'un colonel de l'armée originaire de Montagano, dans le Molise, elle débute au cinéma à l'âge de quinze ans dans Guendalina (1957) d'Alberto Lattuada et entame dès lors une longue carrière qui l'amènera à devenir l'une des interprètes majeures du cinéma et du théâtre italiens. En 1958, alors qu'elle est encore adolescente, elle fait partie des interprètes de Padri e figli (it), un feuilleton télévisé réalisé par Guglielmo Morandi (it), et du film culte Le Pigeon de Mario Monicelli. En 1959, elle est assistante dans l'émission télévisée Il Musichiere — jeu de mots sur musicista (« musicien »), le verbe chiedere (« demander ») et bicchiere (« verre ») —, animée par Mario Riva, avec Patrizia Della Rovere (it).
À partir des années 1960, l'actrice commence à travailler au théâtre. En 1960, elle interprète le rôle de Juliette à Vérone dans le cadre du festival Shakespeare où elle rencontre Gian Maria Volontè, qui sera longtemps son compagnon et dont elle a une fille, Giovanna. Avec Volontè, Carla Gravina partage également un fort engagement politique communiste. Après quelques années d'activité théâtrale, elle revient au cinéma en 1967 dans des rôles plus matures, en jouant dans I sette fratelli Cervi (1967) de Gianni Puccini sur la résistance antifasciste pendant la Seconde Guerre mondiale, dans Alfredo, Alfredo (1972) de Pietro Germi avec Dustin Hoffman, qui revendique la légalisation du divorce2, dans Enquête sur la mort par empoisonnement du détenu Pisciotta Gaspare (1972) d'Eriprando Visconti sur le bras droit de Salvatore Giuliano, dans le western zapata El Chuncho (1966) et dans le poliziottesco Bandits à Milan (1968) de Carlo Lizzani, auprès de Volonté. Carla Gravina choquera le public italien3 en interprétant le rôle de la possédée Ippolita Oderisi dans le film L'Antéchrist d'Alberto De Martino en 1974, qui explore des thèmes semblables à ceux de L'Exorciste (1973) de William Friedkin.
De 1967 à 1974, Gravina joue dans des spots publicitaires réalisés par Mario Fattori pour la marque de chewing-gum Brooklyn, filmés à New York et se terminant par l'image du pont de Brooklyn, qui sont diffusés dans l'émission de télévision Carosello. En 1974, le contrat est rompu par l'acquéreur Egidio Perfetti, qui découvre que Gravina est apparue nue dans un film. En 1971, elle joue avec Jean-Louis Trintignant et Dominique Sanda dans le film Sans mobile apparent de Philippe Labro, un giallo psychologique qui se déroule à Nice. Toujours sous la direction de Labro, elle est deux ans plus tard face à Jean-Paul Belmondo dans L'Héritier (1973). Deux autres films français de ces années-là sont Salut l'artiste (1973) avec Marcello Mastroianni, Jean Rochefort et Françoise Fabian, un film d'Yves Robert qui rend hommage aux petites mains et aux acteurs anonymes du cinéma et du théâtre, le « film sur le xxe siècle » Toute une vie (1974) de Claude Lelouch ou le polar Comme un boomerang (1976), de José Giovanni, face à Alain Delon.
Outre le théâtre et le cinéma, elle participe également à plusieurs feuilletons télévisés, dont Madame Bovary (it) (1978) et le très célèbre Il segno del comando (it) (1971). En 1980-81, elle partage l'affiche avec Gian Maria Volonté dans la pièce La Ronde d'Arthur Schnitzler, mise en scène par Volonté lui-même.
Convaincue que le cinéma et la télévision n'ont plus besoin d'actrices de son âge et de son calibre, elle les abandonne progressivement à partir de la quarantaine pour se consacrer principalement au théâtre, où elle est dirigée par les plus grands metteurs en scène italiens parmi lesquels Giorgio Strehler, Luca Ronconi et Giancarlo Cobelli. Parmi ses interprétations les plus significatives se détache celle de Mirandolina dans La locandiera (L'aubergiste) de Carlo Goldoni. Elle termine sa carrière cinématographique en 1993, avec le film Le Long Silence, de Margarethe von Trotta, et en novembre 1998, elle fait partie du jury de la 13e édition de France Cinéma à Florence, aux côtés des réalisateurs Giuliano Montaldo, Mario Brenta, Ennio Marzocchini, et de l'acteur Massimo Ghini, dans un hommage à Henri-Georges Clouzot et Anouk Aimée.
Ayant également abandonné le théâtre, elle quitte la scène et se retire dans la vie privée à la fin du siècle. En décembre 2012, après des années de silence, elle accorde une interview dans laquelle l'ancienne actrice évoque les choix qui l'ont amenée à prendre la décision de quitter la scène.
Candidate pour le Parti communiste italien dans la circonscription de Milan-Pavie aux élections générales du 4 juin 1979, elle succède, en qualité de première sur liste complémentaire, à Luigi Longo, après son décès, et siège à la Camera dei deputati du 23 octobre 1980 au 11 juillet 1983.
Carla Gravina a eu une longue relation avec l'acteur Gian Maria Volonté, dont est née sa fille Giovanna Gravina (1961), qui a pris le nom de famille de sa mère, car Volonté était marié à Tiziana Mischi à l'époque et la loi ne lui permettait pas de reconnaître sa fille. Ce fut un scandale, à tel point que Gravina perdit plusieurs contrats pour cette raison.
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Le 2S5 Guiatsint-S (en russe : 2С5 «Гиацинт-С» qui signifie jacinthe) est un canon automoteur soviétique puis russe de 152 mm.
Il est protégé contre les attaques NRBC.
Le 2S5 est capable d'engager des cibles avec un plus long rayon d'action et à une cadence de tir plus élevée que le canon automoteur 2S3 Akatsiya de 152 mm plus largement produit. De plus, il est capable de tirer des projectiles nucléaires.
Historique
La production du 2S5 Guiatsint-S a commencé en 1976 avec la version remorquée 2A36 Giatsint-B. Le 2S5 a été mis en service en 1978, remplaçant les bataillons de canon de 130 mm M46 dans les brigades d'artillerie soviétiques, et a également été connu sous le nom de M1981 par les États-Unis. La production a cessé en 1991.
Description
Il utilise un châssis GM sans tourelle modifié à partir du système de missiles sol-air Krug SA-4, ce châssis est également utilisé pour les 2S3 Akatsiya. Il offre une bonne mobilité de fond et peut transporter 30 obus de 152 mm avec une portée de 28 km, ou 33-40 km pour les projectiles assistés par fusée. En plus des explosifs puissants, le canon peut également tirer des projectiles incendiaires, à sous-munitions, fumigènes et nucléaires1. Le châssis du Guiatsint est blindé, il offre une protection contre les tirs d'armes légères et les éclats d'obus d'artillerie. Le blindage avant peut résister aux coups de canons automatiques de petit calibre.
Ce canon est équipé d'un système d'assistance au chargement. Fait intéressant, il n'est pas compatible avec les anciennes munitions d'artillerie soviétiques de 152 mm et utilise un nouveau type de munitions, qui a été spécialement développé pour les canons Giatsint-B et Giatsint-S.
Déployer le canon pour tirer prend 3 minutes, il peut soutenir une cadence de tir de 5 à 6 tirs par minute. La majeure partie de l'équipage, à l'exception du tireur, se déploie à l'extérieur du véhicule pendant le tir.
Il est généralement accompagné d'un porteur de munitions avec 30 obus supplémentaires.
Conflits
Le 2S5 a été utilisé pour la première fois au combat par l'Union soviétique lors de la guerre soviéto-afghane. Plus tard, les forces russes l'ont utilisé dans la première guerre de Tchétchénie.
Le 2S5 a été employé par l'armée ukrainienne lors de la guerre du Donbass. Il est également utilisé par la Russie lors de l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022.
Utilisateurs
Actuels :
Biélorussie : 107 véhicules opérationnels en 2022.
Éthiopie : 10
Érythrée : 13 véhicules en 2022
Finlande : 18 (sous le nom 152 TELAK 91)
Russie : 100 véhicules en service pour l'Armée de Terre et 850 en stock en 2022. Perte confirmée de 17 véhicules.
Ukraine : 18 en 2022 avant le début de la guerre. Perte confirmée de 17 véhicules. Perte confirmée de 3 véhicules au 17 mai 2023.
Ouzbékistan : Nombre inconnu de véhicules en 2022.
Anciens :
Union soviétique
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Les kalachnikovs sont une série de fusils automatiques conçus par l'ingénieur et général de corps d'armée russe Mikhaïl Kalachnikov.
Ils sont officiellement appelés en Russie « avtomat Kalachnikova » (russe : автома́т Кала́шникова ; traduction littérale : « Machine automatique de Kalachnikov »), et sont aussi connus sous le nom de kalachnikovs, AK, ou en argot russe, « Kalach ». Ils ont été initialement fabriqués dans l'Union soviétique, principalement par Izhmash, mais ces fusils et leurs variantes sont maintenant fabriqués dans de nombreux autres pays.
Entreprise Kalachnikov
En Union soviétique, la production d'armes était totalement sous contrôle étatique.
En 2020, l’armurier Kalachnikov produit 95 % des armes légères en Russie et a un chiffre d'affaires en 2018 de 267 millions de dollars américains. L’actionnaire majoritaire du groupe le 6 novembre 2020 est le vice-ministre de la Défense, Alexeï Krivorouchko, qui vend 75 % des parts à Alan Louchnikov, ministre adjoint des Transports entre 2017 et 2018. Ce dernier récupère le contrôle de Kalachnikov, via la société TKH-Invest, pour un montant d'un milliard de roubles (10,9 millions d'euros) selon des médias russes, modeste au regard des 267 millions de dollars de chiffre d’affaires de 2018. Outre son actionnaire « privé », Kalachnikov est contrôlé à hauteur de 25 % par Rostec, une entreprise publique de l’armement.
Types
Les principaux types de kalachnikovs sont les suivants :
Modèle | Cartouche | Année | Fabricant |
---|---|---|---|
AK-47 | De 7,62×39 mm M43 | 1947 | Izhmash et autres |
AKM | De 7,62×39 mm M43 | 1959 | Izhmash, Toulski Oroujeïny Zavod et d'autres |
AK-74 | De 5,45×39 mm M74 | 1974 | Izhmash |
AK-105 | De 5,45×39 mm M74 | 1994 | Izhmash |
AK-103, AK-104 | De 7,62×39 mm M43 | 1994 | Izhmash |
AK-101, AK-102 | De 5,56×45 mm NATO | 1994 | Izhmash |
AK-12 | De 5,45×39 mm M74 | 2012 | |
AK-15 | De 7,62×39 mm M43 | 2015 |
Variantes
Premières variantes (de 7,62×39 mm)
Modèle 1948/49 – Les premiers modèles, avec une queue de détente métallique type 1, sont maintenant très rares.
Modèle 1951 – Le canon et la chambre sont chromés pour résister à la corrosion.
Modèle 1954 (1955) – Fusil d'un poids de 3,47 kg.
L'AKS – Possédant une crosse métallique rétractable semblable à celle du MP40, pour une utilisation dans les espaces restreints dans le BMP ,véhicule de combat d'infanterie, ainsi que pour les parachutistes.
AKN (AKSN) – Possédant une mire métallique nocturne
Modernisé (7.×39mm)
AKM – version simplifiée et plus légère du AK-47 ; avec une queue de détente de type 4. Une pente de chanfrein périphérique a été ajoutée pour contrer la montée en tir automatique. Le fusil est plus léger, 2,93 kg C'est la variante de l'AK-47 la plus répandue.[réf. nécessaire]
AKMS – Sous-crosse repliable version de l'AKM prévu pour les troupes aéroportés.
AKMN (AKMSN) – avec un rail de nuit.
AKML (AKMSL) – avec un cache-flamme et un rail de nuit
RPK – Principale version de la mitrailleuse à canon long et bipied. Les variantes – PKP, RPKN (RPKSN), RPKL (RPKSL).
Faible impulsion variantes (de 5,45×39 mm)
AK-74 – Fusil d'assaut.
L'AKS-74 – Crosse repliable.
AK-74N (AKS-74N) – Rail de nuit.
L'AKS-74U (Krinkov) – Version compacte.
L'AKS-74UN – Rail de nuit.
AKS-74UB – version réduite au silence.
AK-74M
AK-74 + AKS-74 + AK-74N en une arme.
RPK-74 – Mitrailleuse légère.
PKP-74 – Crosse repliable.
RPK-74N (PKP-74N) – Rail de nuit.
La Série 100
5,45×39 mm / 5,56×45 mm / 7,62×39 mm
AK-74/AK-101/AK-103 – Version modernisée de AK-74. Crosse repliable et rail de visée.
AK-107/AK-108 –
AK-105/AK-102/AK-104 – Carabine.
RPK-74M / RPK-201 / RPKM et RPK-203 – Mitrailleuse légère.
Autres armes
PK(M) – 7.62×54mmR mitrailleuse.
Saïga-12 – Fusil de chasse .12.
Saiga-12S – Poignée pistolet et crosse repliable
Saiga-12K –
Saiga-20 (S/K) – .20.
Saiga-410 (S/K) – .410.
Saiga fusil semi-automatique
KSK shotgun – .12 fusil à pompe de combat (basé sur la Saïga-12).
Vepr-12 Molot – .12 fusil à pompe de combat.
Bizon – pistolet mitrailleur à magasin hélicoïdales. Emprunte de 60 % des détails de l'AKS-74U. 9×18mm H, 9×19 mm Luger, .380 ACP; 7.62×25 mm TT (boîte de magazine).
Vityaz-SN – Mitraillette. 9×19 mm Parabellum.
OTs-14 Groza – Bullpup fusil d'assaut. 9×39 mm, 7.62×39 mm.
AK-12 de la série
AK-12 – Une famille d'armes dans une variété de calibres. En cours de tests.
Production en dehors de l'URSS / la Russie
Ces fusils ont été fabriqués dans de nombreux pays, avec et sans permis.
Pays | Variante(s) |
---|---|
Finlande | RK 62, (7.62×39mm) RK 95 TP, (7.62×39mm) |
Albanie | Automatiku Shqiptar model 56 (ASH-78 Tipi-1) Fusil d'assaut.Copie du Fusil modèle 56 avec baïonnette pliante chinois. Automatiku Shqiptar Tipi 1982 (ASH-82) Fusil d'assaut. Copie du modèle 56-1 (version 1965) sans baïonnette pliante (l'AKMchinoise pour l'exportation) Automatiku Shqiptar model 56 (ASH-78 Tip-2) Mitrailleuse légère. Proche du FM Type 86 (le RPK chinois) Automatiku Shqiptar model 56 (ASH-78 Tip-3) Fusil d'assaut. Copie du modèle 56 Type-3. |
Arménie | K-3 (bullpup, 5.45×39mm) |
Azerbaïdjan | Khazri (AK-74M) |
Bangladesh | Type 56 fabriqué par les Arsenaux banglashis |
Bulgarie | AKK/AKKS AKKMS (AKMS), AKKN-47 AK-47M1 AK-47MA1/AR-M1 AKS-47M1 (AKMS en 5.56×45mm) AKS-47S AKS-47UF AKS-93SM6 RKKS (RPK), AKT-47 |
Cambodge | Type 56, AK-47, et AKM |
Chine | Type 56 |
Croatie | APS-95 |
Cuba | AKM |
RDA | MPi-K/MPi-KS (AK-47/AKS) MPi-KM, MPi-KMS-72 , MPi-KMS-K. MPi-AK-74N (AK-74), MPi-AKS-74N, MPi-AKS-74NK KK-MPi Mod.69 |
Egypte | AK-47, (AKM), Maadi |
Ethiopie | AK-47, AK-103 (connu sous Et-97/1) |
Hongrie | AK-55 AKM-63, AMD-65M, AMP-69 AK-63F/D, AK-63MF NGM-81 |
Inde | AK-7 |
Iran | KLS/KLF (AK-47/AKS), KLT (AKMS) |
Irak | Tabuk/Tabuk Sniper |
Kosovo | AK Sopmod |
Nigeria | OBJ-006 |
Corée du Nord | Type 58A/B, Type 68A/B (AKM/AKMS), Type 88 (AKS-74) |
Pakistan | AK-47/AKM, PK-10 |
Pologne | PMK (Kbk AK) / PMKS (Kbk AKS) "pistolet maszynowy Kałasznikowa", Kalashnikov SMG AK – "karabinek AK", Kalashnikov, (AK-47/AKS) Kbkg wz. 1960 , kbkg wz. 1960/72 Kbk AKM / kbk AKMS (AKM/AKMS) Kbk wz. 1988 Tantal (5.45×39mm) Kbs wz. 1996 Beryl (5.56×45mm), Kbk wz. 1996 Mini-Beryl |
Roumanie | PM md. 63/65 (AKM/AKMS), PM md. 80, PM md. 90 PA md. 86 (AK-74) PSL |
Soudan | MAZ19 (Type 56) |
Ukraine | Vepr (bullpup, 5.45×39mm), Malyuk (bullpup) |
États-Unis | US132 (7.62×39mm), US132Z (7.62×39mm), US109L (12 Gauge) & US109T(12 Gauge). |
Vietnam | AKM-1, AKM-VN (AKM), TUL-1 (RPK), Galil ACE 31/32 |
Venezuela | AK-103 |
Yougoslavie / Serbie | M64, M70, M72, M76, M77, M80, M82, M85, M90, M91, M92, M99, M21 |
Fusils similaires
Ces fusils d'assaut sont soit basés sur les AK, soit ont une forte ressemblance :
Bernardelli VB-STD/VB-SR (Italie)
IMI Galil (Israël) et Galil ACE (Israël et Colombie)
INSAS (Inde)
Rk 62, Valmet M76 (autres noms Rk 62 76, M62/76), Valmet M78 (mitrailleuse légère), Rk 95 Tp (Finlande)
StG 44 (Allemagne). Développé avant l'AK-47
Type de 81 fusil d'assaut (Chine), BD-08 (Bangladesh)
Vektor R4, Truvelo Raptor (Afrique du Sud)
vz. 58 (Tchécoslovaquie/République tchèque)
Diffusion
Avec une production de 50 à 100 millions de Kalashnikov, l'AK 47 et ses dérivés équipe la plupart des armées africaines ou asiatiques après avoir armé les soldats du Pacte de Varsovie ou les guérillas sud-américaines.
Ainsi, le Kalachnikov (et ses clones) ont connu de nombreux conflits armés depuis la Guerre du Viêt Nam jusqu'à la Guerre contre le terrorisme (armant à la fois les alliés et les ennemis des États-Unis) en passant par la Guerre du Liban, Guerre de Bosnie et le Conflit israélo-arabe.
La Kalachnikov et la France
En dehors des militaires servant au sein de la Finul, le grand public français découvre l'AK-47 à travers les faits divers. Ainsi, Mesrine apparaît armé d'un AKS-47 sur la couverture du Paris Match n°1590 paru .
Dans la culture populaire
La famille de l'AK-47 (AKM, AK-74, AK-12, etc.) est largement connue et représentée dans la culture générale :
Au cinéma :
Dans le film Lord of War, le personnage principal, Yuri Orlov, un marchand d'armes joué par Nicolas Cage, mentionne la kalachnikov : « De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connu sous le nom de AK-47 ou kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tous les combattants. [...] Depuis la fin de la Guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaires. »
La Mort de Staline pour l'AK-47
Otages à Entebbe pour l'AKM
GoldenEye pour l'AK-74
Dans les jeux vidéo :
007: The World is Not Enough pour l'AK-47
ArmA II pour AKM
GoldenEye pour l'AK-74
Battlefield 3 pour l'AKSU-74
Operation 7 pour l'AK-12 (produite récemment l'AK-12 est encore rare à la TV et au cinéma)
Dans la bande Dessinée
À la télévision :
dans la saison 1 de Columbo (épisode Poids mort), un AK-47 (dans sa version AKS-47) apparaît pour la première fois dans une série américaine
la série d'espionnage DOS : Division des opérations spéciales montre des personnages armés de la plupart des modèles de la famille des AK :
AKM et AKMS
AK-74M
AKS-74U
En musique :
la chanson Kalasnjikov composé par Goran Bregović pour le film Underground en 1995
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Tommaso Buscetta, né le 13 juillet 1928 à Palerme et mort le 2 avril 2000 en Floride est un mafioso sicilien. Ayant été actif en Amérique comme en Italie, il était surnommé « le boss des deux mondes ».
Bien qu’il n’ait pas été le premier pentito (repenti de la Mafia) dans le programme italien de protection des témoins, il est largement reconnu comme le premier d’importance à avoir brisé l’omerta. De nombreux mafiosi ont suivi son exemple. En 2019 sort le film Le Traître relatant son histoire et sa repentance.
Biographie
Fils d'un artisan verrier, Buscetta est le plus jeune d’une famille de 17 enfants élevés dans un quartier très pauvre de Palerme dont il s’est extirpé en démarrant une carrière précoce dans le crime organisé. Il commence à s’impliquer dans la Mafia en 1945, et l’année suivante, il est initié au sein de la famille de Porta Nuova, famille qui fera partie de la fraction Corleonesi dans les années 1980, lors de la Seconde Guerre de la Mafia, mais dont Tommaso Buscetta sera dans la fraction dit des "perdants", car il sera proche des Bontade et des Inzerillo. Son premier chef est Giuseppe « Pippo » Calò. Il fait alors ses premières armes essentiellement dans la contrebande de cigarettes.
Après le massacre de Ciaculli en 1963, épisode déterminant de la « première guerre de la Mafia », Buscetta fuit aux États-Unis, où la famille Gambino l’aide à démarrer une affaire de pizzas. En 1968, il est condamné pour double meurtre en Italie par contumace.
En 1970, Buscetta est arrêté à New York. Les autorités italiennes n’ayant pas réclamé son extradition, il est relâché. Buscetta part au Brésil où il met en place un réseau de trafic de drogue. En 1972, il est arrêté et torturé par les autorités du régime militaire brésilien puis extradé vers l’Italie, où il entame une peine de prison à perpétuité. En 1980, lors d’une permission de sortie, il fuit de nouveau vers le Brésil, échappant ainsi à la Seconde Guerre de la Mafia sur le point d’être déclenchée par le clan des Corleonesi de Toto Riina. Celle-ci cause la mort de nombreux amis et alliés de Buscetta, dont le chef Stefano Bontate. Ne pouvant atteindre Buscetta réfugié au Brésil, Toto Riina fait assassiner les deux fils, le frère, le gendre et quatre neveux de celui-ci, tous étrangers à la Mafia.
Arrêté une nouvelle fois en 1983, au Brésil, Buscetta est interrogé et rencontre le juge Giovanni Falcone, en 1984, à Brasilia. Il est alors renvoyé en Italie. Il commet une tentative de suicide. Il paraît dès lors profondément dégoûté de la Mafia. Ne pouvant venger l'assassinat des siens, Buscetta se décide à répondre aux questions du juge Giovanni Falcone. Décidé à donner toutes les informations qui permettront l'arrestation de Toto Riina, il commence sa « carrière » de pentito, de repenti, dont les témoignages seront cruciaux. Deux mois de conversations tenues dans le plus grand secret permettent à la police de comprendre enfin le fonctionnement de Cosa Nostra et de lancer simultanément trois cent quatre-vingt-quinze mandats d'arrêt.
Buscetta est le témoin clé dans le Maxi-Procès qui aboutit à la condamnation de près de 350 mafiosi. Il révèle l’existence et le fonctionnement de la Cupola (la Commission de la Mafia sicilienne). Il donne à Falcone les éléments pour affirmer que Cosa Nostra est une structure hiérarchique unifiée dirigée par la Commission, et que ses chefs, qui ne se salissent pas les mains en personne, peuvent être tenus pour responsables des activités criminelles commises au profit de l’organisation. Ces prémices sont connues sous le nom de « théorème de Buscetta » et sa reconnaissance légale a été confirmée par la sentence, en dernière instance du Maxi-Procès, par la cour de cassation italienne en janvier 1992, quelques mois avant les assassinats par la Mafia des juges Falcone et Borsellino.
Le témoignage de Buscetta au procès de la Pizza Connection, à New York, au milieu des années 1980, permet la condamnation de centaines de mafiosi aux États-Unis et en Italie, dont Gaetano Badalamenti.
En récompense de cette aide, Buscetta a pu vivre aux États-Unis sous une nouvelle identité, grâce au programme de protection des témoins. Il aurait eu recours à la chirurgie esthétique pour mieux dissimuler son identité réelle. Il est apparu dans plusieurs documentaires, interviewé par des journalistes, mais son visage y était flouté ou pixellisé.
Les juges et les policiers ont décrit Buscetta comme quelqu’un de très poli et intelligent, quoique parfois enclin à la vanité. Comme la plupart des repentis, Buscetta distillait la vérité avec parcimonie. Il a prétendu qu’il n’avait jamais été impliqué dans un trafic de drogue, bien qu’il se soit contredit en disant une fois que tout le monde dans la Mafia était impliqué dans la drogue sans préciser cette fois-là qu’il y faisait exception. Initialement, il a nié avoir tué qui que ce soit, mais il a plus tard admis à la télévision qu’il était un meurtrier.
Enzo Biagi publie en 1986 un livre sur Buscetta. En 1988, la RAI diffuse une interview par Biagi de Buscetta filmé en ombre chinoise. Ils se revoient à New York le 21 juillet 1992 après les assassinats des juges Falcone et Borsellino. En 2000, Biagi dit de lui :
« Il ne m'a probablement pas tout dit, mais je suis sûr qu'il ne m'a jamais menti. »
Certains des mensonges de Buscetta ont des motivations compréhensibles. Dans les années 1980, il dit qu’il n’a aucune connaissance des liens que divers hommes politiques, comme Salvo Lima et Giulio Andreotti ont avec la Mafia. Cependant, dans les années 1990, il admet avoir eu connaissance de tels liens, mais qu’il avait prétendu le contraire parce que les personnalités politiques concernées étaient encore aux affaires, et qu’il avait craint pour sa vie, malgré le programme de protection des témoins.
Ce n’est qu’après les assassinats des juges Giovanni Falcone et Paolo Borsellino, en 1992, que Buscetta décide de parler des liens entre la Mafia et les personnalités politiques. Le 16 novembre 1992, Buscetta témoigne devant la Commission parlementaire antimafia présidée par Luciano Violante sur les liens entre Cosa Nostra et Salvo Lima ainsi que Giulio Andreotti. Il indique que Salvo Lima était le contact de la Mafia dans la politique italienne. « Salvo Lima était, en fait, l'homme politique vers qui Cosa Nostra se tournait le plus souvent pour résoudre les problèmes de l’organisation dont la solution résidait à Rome », a affirmé Buscetta.
Au tribunal, Buscetta a également dessiné avec beaucoup de détails les échanges secrets qui liaient des personnalités politiques et la Mafia. Il a déclaré : « Ce n’est pas Cosa Nostra qui contacte l'homme politique. Au lieu de cela, un membre de Cosa Nostra dit : ce président est à moi (è cosa mia), et si vous avez besoin d’une faveur, vous devez vous adresser à moi. En d’autres termes, la personne de Cosa Nostra maintient une sorte de monopole sur cet homme politique. Chaque responsable de famille dans la Mafia sélectionne un homme dont les caractéristiques semblent déjà faire de lui quelqu’un d’approchable. Oubliez l’idée qu’un quelconque pacte est conclu au préalable. Au contraire, on va vers ce candidat et on dit : « Onorevole, je peux faire ceci et cela pour vous, et nous espérons que quand vous serez élu, vous vous souviendrez de nous. » Le candidat gagne et il a une dette à rembourser. Vous lui dites : « Nous avons besoin de cela, le ferez-vous ou non ? ». L'homme politique comprend immédiatement et agit toujours en conséquence ».
Quand un autre mafioso, Salvatore Cancemi, confesse à Buscetta, lors d’un procès en 1993, qu’il a étranglé les deux fils de Buscetta, ce dernier lui pardonne et lui dit qu’il sait qu’il ne pouvait pas refuser cet ordre.
Buscetta s’est marié trois fois et a eu huit enfants. Après avoir trompé sa première femme, il a été brièvement suspendu de la Mafia, l’adultère étant prohibé par le code d’honneur des mafiosi. En prison dans les années 1970, il apprend que son chef veut l’exclure pour de bon de la Mafia à cause de son comportement avec ses femmes.
Lorsqu'il part vivre au Brésil en 1982 avec sa troisième épouse et ses derniers enfants, il abandonne ses deux fils ainés, Benedetto Buscetta et Antonio Buscetta, qui seront torturés par la Mafia qui veut savoir où se cache leur père. Ses deux fils seront assassinés et leurs corps dissous dans de l’acide le 11 septembre 1982 par des membres de la Mafia qu'ils côtoyaient depuis leur enfance. En fait, ils ne connaissaient pas le lieu où se trouvait leur père.
Buscetta meurt d’un cancer en Floride en 2000, âgé de 71 ans, après avoir vécu paisiblement ses dernières années aux États-Unis.
Il est enterré aux côtés de son fils Stefano (décédé en 2007 dans un accident de moto), mais tous deux sont inhumés sous une fausse identité.
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Vincenzo Gioacchino Raffaele Luigi Pecci, né le 2 mars 1810 à Carpineto Romano et mort le 20 juillet 1903 à Rome, est le 256e évêque de Rome et donc « successeur de Pierre » et pape de l'Église catholique, qu'il gouverna sous le nom de Léon XIII (nom latin : Leo XIII ; nom italien : Leone XIII) de 1878 à 1903. Il est enterré dans la basilique Saint-Jean-de-Latran, cathédrale de Rome.
Son pontificat aura été l'un des plus longs de l'histoire, avec ceux de Pie IX et de Jean-Paul II. Ce pontificat est marqué par diverses initiatives, notamment 86 encycliques, la relance des études thomistes et surtout l'encyclique Rerum novarum (1891), consacrée à la doctrine sociale de l'Église catholique.
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Samantha Karen Fox est un mannequin, une chanteuse et une actrice britannique, née le 15 avril 1966 à Mile End (Londres) en Angleterre, qui a connu son heure de gloire dans les années 1980.
C'est surtout sa carrière de chanteuse qui l'a fait connaître dans le monde entier. Elle a vendu plus de 35 millions de disques en seulement trois albums.
Issue d'une modeste famille londonienne, Samantha Fox termine seconde d'une compétition de photographies de seins nus. Elle décroche ainsi à l'âge de 16 ans (1983) un contrat pour poser en qualité de pin-up pour le tabloïd The Sun. Elle y incarnera pendant trois ans la Page-three girl, une « institution » en Grande-Bretagne. À cette époque, elle est la troisième femme la plus photographiée d'Angleterre après Lady Di et Margaret Thatcher. Elle pose également pour le magazine Playboy en 1996 et devient, par la même occasion, la marraine du magazine.
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