Publié à 19:40 par dessinsagogo55
whc.unesco.org/fr/list/1214/
Description : Ville minière de Sewell (Chili)
Date : 11/03/2007
Auteur : Francesco Bandarin
Copyright : © UNESCO
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Description : Ville minière de Sewell (Chili)
Date : 11/03/2007
Auteur : Francesco Bandarin
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Description : Ville minière de Sewell (Chili)
Date : 11/03/2007
Auteur : Francesco Bandarin
Copyright : © UNESCO
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Description : Ville minière de Sewell (Chili)
Date : 11/03/2007
Auteur : Francesco Bandarin
Copyright : © UNESCO
Située à plus de 2 000 m d’altitude dans les Andes, à 60 km à l’est de Rancagua, dans un environnement marqué par un climat extrême, la ville minière de Sewell a été construite par la société Bradden Copper en 1905 pour héberger les mineurs travaillant dans ce qui était en train de devenir la plus grande mine souterraine de cuivre du monde, El Teniente. C’est un exemple exceptionnel de ces villes qui ont été « implantées » dans de nombreuses parties reculées du monde pour exploiter une mine et transformer des ressources naturelles de grande valeur, en utilisant à la fois une main d’œuvre locale et les moyens financiers et techniques d’un pays industrialisé. Installée sur un terrain trop abrupt pour les véhicules à roues, la ville a été construite autour d’un grand escalier central partant de la gare. Le long de la pente, des places de forme irrégulière, embellies par des arbres et des plantes, constituaient les principaux espaces publics de la ville. Les immeubles construits le long des rues sont en bois, souvent peints dans des tons vifs de vert, jaune, rouge et bleu. A son apogée, Sewell a compté jusqu’à 15 000 habitants mais elle a été largement abandonnée dans les années 1970.
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Description : Ville minière de Sewell (Chili)
Date : 11/03/2007
Auteur : Francesco Bandarin
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La danse de Patrick Balkany pour la Fête de la musique surprend
Sorti de prison pour raisons de santé il y a quatre mois et encore "extrêmement fatigué" durant le confinement, l'ancien maire de Levallois-Perret semble avoir recouvré toutes ses capacités physiques.
JUSTICE - “Lunettes sur le nez, j’essaye de passer incognito. Sur le B, j’esquive les condés, le comico...” Dimanche 21 juin, c’est au son du tube de Bosh “Djomb” que Patrick Balkany a fait un retour fracassant dans l’actualité.
À l’occasion de la Fête de la musique, le maire déchu de Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine a effectivement été filmé par plusieurs passants alors qu’il se déhanchait comme rarement, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.
Une scène qui interpelle forcément alors que l’ancien député du 92 a été libéré en février de prison -où il purgeait les peines infligées du fait de ses condamnations pour fraude fiscale et blanchiment- pour des raisons de santé. La cour d’appel de Paris avait accédé à sa demande, arguant du fait que la dégradation de son état de santé était “difficilement compatible avec la détention”.
Revenu au meilleur de sa forme
À l’époque, sa médiatique épouse Isabelle Balkany n’avait pas hésité à clamer que le multirécidiviste avait “failli mourir” en prison, relatant notamment un “infarctus du myocarde” survenu dans sa cellule de la prison de la Santé.
Sauf que les images tournées ce dimanche dépeignent un homme qui aurait incontestablement repris du poil de la bête, après avoir passé le confinement au vert du côté de Giverny, dans l’Eure. “II est extrêmement fatigué, il se repose, il ne bouge pas”, confiait d’ailleurs son épouse au mois d’avril.
Mais à voir ses pas de danse endiablés, il semble que Patrick Balkany soit donc revenu au meilleur de sa forme. Une chose est sûre, la famille la plus connue de Levallois-Perret a une fois de plus inspiré Internet, qui préfère rire de cette situation ubuesque...
Station thermale déployée aux pieds du mont Hiyori, Noboribetsu est connue pour ses multiples onsen. Eaux chaudes ou froides, bassins en extérieur ou en intérieur, sauna et hammam, les différents établissements qui exploitent les sources rivalisent d’inventivité pour vous promettre une détente maximale. Une fois relaxé, vous prendrez la route de Jigokudani, la « vallée de l’Enfer ». Vous arpenterez les sentiers qui longent des fumerolles, mènent à un lac sulfureux et côtoient la rivière Yokoyu.
Sur la côte de la mer d’Okhotsk, Abashiri est un ancien village de pêcheurs presque inaccessible pendant la saison froide, vers lequel des bagnards ont été déportés. Ceux-ci ont bâti de leurs mains les prisons dans lesquelles ils ont été enfermés, ainsi qu’une route longue de 230 kilomètres conduisant à Asahikawa. En plus de rencontrer les habitants autour d’un plat de saumon et de sébaste, vous viendrez ici pour le cadre grandiose, dans lequel observer des dauphins et des baleines en été et des glaces flottantes en hiver. Provenant du fleuve Amour en Russie, ces dernières oscillent gracieusement sur la mer. Le brise-glace Aurora appelle à partir pour des excursions poétiques, dans un panorama où le blanc du ciel et de l’eau se répondent à l’infini.
Si vous allez à Hokkaido en hiver, ne manquez pas de faire un détour par Sapporo. Encore préservée du tourisme de masse, la ville se niche à proximité de pistes de ski qu’il fait bon descendre en petit comité. Dans l’Odori Park, vous pourrez admirer des œuvres composées de glace ou applaudir les snowboardeurs qui s’adonnent à des sauts tout en adresse. La cité abrite également un musée de la bière, dont la visite se conclut par une dégustation, et un musée du chocolat, l’idéal si vous voyagez avec de jeunes enfants. Autre spécialité à goûter à Sapporo : la tarte au fromage, confectionnée avec du lait d’Hokkaido.
Publié à 22:36 par dessinsagogo55
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La péninsule de Shiretoko offre des paysages somptueux et constitue un refuge pour diverses espèces d’oiseaux. Ses forêts primaires absolument sauvages n’auraient pas toutes été explorées et ont été classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Depuis Utoro, vous rejoindrez les fabuleuses chutes d’eau chaude de Kamuiwakka, dont le bassin a été transformé en onsen (bain thermal japonais). Un peu plus loin, vous découvrirez les chutes d’Oshin-Koshin, hautes de 80 mètres et figurant parmi les cent plus belles cascades du pays. Empruntez ensuite les chemins de randonnée qui vous mèneront vers les cinq lacs de Shiretoko. Si vous avez de la chance, vous pourrez croiser un ours brun, ceux-ci étant nombreux dans la péninsule de mi-mai à fin juillet.