Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
15.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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Le mot allô ou allo est une interjection servant à commencer une conversation téléphonique au début d'un appel.
Dans un tout autre contexte, les personnels de restauration et de service en salle en particulier disent allô ou allo avant d'annoncer la commande au comptoir ou en cuisine
Les dictionnaires français, à la fois le dictionnaire Larousse et le dictionnaire Robert font remonter l'origine de ce mot à la déformation du mot d'origine anglo-américaine utilisé pour la mise en relation entre personnes : hallo venu de halloo, salutation prononcée au début des conversations dans le pays d'origine du téléphone. Ce hallo perdit ensuite son « h » pour devenir allô ou allo, la francisation de ce mot en « allô » datant de 1890
L'origine du mot « halloo » anglais est incertaine. Plusieurs explications en ont été données.
Il remonterait à très loin, aux bergers normands installés en Angleterre après l'invasion de Guillaume le Conquérant au XIe siècle, bergers qui s'appelaient ou rassemblaient leurs troupeaux par des halloo (l'anglo-normand halloer signifiait « poursuivre en criant »).
« Allô » pourrait venir de Hallow, qui est également une salutation que les marins britanniques se lançaient d'un navire à l'autre
Selon d'autres sources, le mot « Allô ! » viendrait de l'expression hongroise hallom, qui signifierait « Je vous entends », employée par Tivadar Puskás, pionnier du téléphone et inventeur du central téléphonique, lors de l'entrée en service de la première ligne téléphonique, en avril 1877. Il était ainsi possible de dire: «Hallod?» (Tu m’entends?), «Hallom!» (Je t’entends!) et «Halló...» (J’écoute...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/All%C3%B4
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En 1571, le comte de Leicester offre un bracelet muni d'une petite montre à la reine Élisabeth Ire En 1722, un artisan parisien aurait fabriqué des montres-bracelets ou des bracelets-montres. En 1790, Jaquet-Droz propose des montres-bracelets à Genève. En 1806, l'impératrice Joséphine commande à François-Régnault Nitot deux bracelets-montres ornés de perles et d'émeraudes afin de les offrir comme cadeau de mariage à sa future belle-fille la princesse Augusta-Amélie de Bavière qui épouse son fils Eugène de Beauharnais.
En 1811, Abraham-Louis Breguet remet une montre-bracelet à complications - dont il a reçu commande en juin 1810 - à la reine consort de Naples, Caroline Bonaparte.
Les horlogers de l'époque proposaient aussi, pour la clientèle féminine, des montres-pendentifs, de taille plus réduite, que l'on suspendait au cou à l'aide d'une chaîne ou d'un ruban. Dans certains cas, c'était plus un bijou qu'un objet fonctionnel : il est en effet peu commode pour celle qui la porte d'y lire l'heure si le XII (12 heures) est du côté de l'anneau bélière, mais cette difficulté a été résolue par certains horlogers qui ont placé le VI (6 heures) du cadran du côté de l'anneau : en relevant devant soi la montre avec l'anneau en bas, on lit le cadran normalement.
Certains horlogers ont réussi au XIXe siècle à miniaturiser le mouvement et le boîtier et à créer ainsi une montre-bague.
La première production en série semble remonter à 1880 : la firme Girard-Perregaux à La Chaux-de-Fonds livre une commande de 2 000 montres-bracelets (munies d'une grille de protection) à l'armée impériale allemande.
« C'est vraisemblablement tout d'abord au cours de la guerre des Boers (1899-1902) que la montre-bracelet fit ses preuves dans la pratique en tant qu'objet d'équipement militaire. Ces expériences se répercutèrent plus tard sur le marché civil en Angleterre. [...] ».
Une montre-bracelet de fortune s'obtient en fixant au poignet leurs montres de gousset par des anses soudées à douze heures et à six heures, ou par fixation du boîtier sur un « berceau » métallique fabriqué spécialement, à un bracelet en cuir ou en tissu muni d'un fermoir ou d'une boucle. Cette transformation permettait à l'utilisateur de consulter son garde-temps d'une manière plus rapide et plus pratique, tout en le rendant moins vulnérable aux chocs ou aux chutes. Le remontoir (et donc la couronne de remontoir) commencèrent à être placés latéralement à 3 heures.
On trouve cependant un grand nombre de montres-bracelets (souvent des montres de gousset modifiées, « demi-savonnettes », etc.) bien avant la fin du XIXe siècle. Au départ, il s'agit plutôt d'articles de prestige. Ainsi la firme suisse Omega produit-elle la première montre-bracelet à répétition-minutes en 1892 (la montre est équipée d'un mouvement Audemars Piguet). La première montre-bracelet de série de la même firme remonte à 1900. Au début, il est assez courant de porter la montre au poignet droit : on fixe donc la couronne du remontoir à 9 heures (et non à 3 heures comme aujourd'hui)
Les premières montres-bracelets pour hommes sont considérées comme farfelues, voire très efféminées.
En 1914, la montre-bracelet fait encore figure de nouveauté, mais est très répandue :
« L'exposition nationale suisse de Berne (1914) est la consécration de la montre-bracelet dans toute sa variété, dans toute sa richesse et avec la décoration modeste et de bon goût que permet le peu de matière employée. Aucun des exposants ne s'est soustrait à la mode bracelet. Touchante unanimité ! »
— Adrien Brandt (vice-président d'Omega).
Pendant la Première Guerre mondiale, Omega produit des montres-bracelets militaires (équipées d'une grille métallique ajourée devant le cadran) : le calibre 13" équipe certaines troupes du corps expéditionnaire américain. La Grande Guerre achève d'ailleurs de populariser la montre-bracelet, qui ne cesse de se miniaturiser et de se perfectionner par la suite.
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