Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Aganetha Dyck
Le Bal MMasked 2008
nids d'abeilles de la ruche, de la céramique
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Aganetha Dyck
Le Bal MMasked 2008
nids d'abeilles de la ruche, de la céramique
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Aganetha Dyck
Le Bal MMasked 2008
nids d'abeilles de la ruche, de la céramique
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François Truffaut a réalisé un film sur l'adultère avec La Peau douce (1964) dans lequel Pierre Lachenay, écrivain à succès, trompe sa femme avec Nicole, une hôtesse de l'air, mais multiplie les maladresses de sorte que sa femme découvre l'adultère et que sa maîtresse refuse de s'installer avec lui. La même année, Jean-Luc Godard représente l'infidélité féminine dans Une femme mariée. Le thème de l'infidélité se retrouve dans d'autres films de Truffaut par exemple dans Domicile conjugal où Antoine Doinel quitte le domicile conjugal. Éric Rohmer s'est intéressé à l'adultère dans L'Amour l'après-midi (1972) dans lequel Frédéric, un jeune homme marié, est tenté par l'adultère mais se ravise au dernier moment et rentre chez sa femme. En 2012, on retrouve le thème dans Les Infidèles, un film qui analyse l'adultère sous le point de vue de sept réalisateurs différents.
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Gérard Leleu, médecin psychothérapeute explique que l'adultère est l'expression d'un manque dans le couple. Ses origines proviennent de besoins légitimes insatisfaits. Les raisons invoquées sont :
quand l'un rend la vie impossible à l'autre
quand l'un ressent un manque d'attention et de tendresse
quand l'un n'a pas l'appétit sexuel rassasié
quand l'un ressent la perte de désir dans le couple
Le recours à la prostitution par un des époux est aussi vu comme une violation du devoir de fidélité.
Il est difficile d'avoir des statistiques précises sur le pourcentage d'hommes et de femmes adultères. En effet, lors des sondages, les hommes ont tendance à exagérer et les femmes à minimiser le nombre de leurs relations adultérines.
Gérard Mermet indique que, en France, en moyenne, les hommes revendiquent 11,3 partenaires dans leur vie, et pour les femmes 3,4. Un sondage réalisé en 2005 établissait que 39 % des hommes et 25 % des femmes avaient trompé leur partenaire.
Le célèbre rapport Hite indique qu'aux États-Unis, 70 % des femmes ayant plus de cinq ans de mariage déclarent avoir été infidèles au moins une fois, et 72 % des hommes.
Selon des études sur les groupes sanguins, confirmées par des tests de paternité résultant de l'étude de l'ADN, on estime qu'environ 4 % des enfants ne sont pas ceux du père de famille. Évelyne Sullerot donne une estimation qui se monte au double.
Jusqu'en 1810, très peu de sociétés civiles semblent avoir criminalisé l'adultère masculin, la femme étant traditionnellement considérée comme une ressource et le mariage, un échange de propriété contracté entre hommes (cf. Claude Lévi-Strauss). Sur le plan religieux en revanche, l'adultère est condamné dans le judaïsme, le christianisme et l'islam.
Le Code d'Hammurabi condamne la femme adultérine à la noyade.
L'adultère masculin et féminin est condamné dans le judaïsme, « Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s'est point trouvée vierge, on fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père ; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra [...] Si l'on trouve un homme couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l'homme qui a couché avec la femme, et la femme aussi [...] Si une jeune fille vierge est fiancée, et qu'un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle, vous les amènerez tous deux à la porte de la ville, vous les lapiderez, et ils mourront, la jeune fille pour n'avoir pas crié dans la ville, et l'homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. » Dt 22. 20-24. Dans le christianisme, l'adultère est tout aussi condamné formellement dans le Nouveau Testament, tout en affirmant le pardon de Dieu en cas de repentance dans l'épisode de la femme adultère (Jn 8,2-11).
Depuis la fin du Moyen Âge, l'État royal récupère à son profit toutes les causes matrimoniales et impose une législation inégalitaire pour la femme adultérine (jusqu'à la loi Naquet sur le divorce pour faute en 1884 et la dépénalisation totale en 1975 en France) : la peine de « l'authentique » consiste à l'enfermer dans un couvent après lui avoir fait subir certains châtiments (crâne rasé, fouet jusqu'au XVIIe siècle). La Révolution française constitue à cet égard une parenthèse puisqu'elle en dépénalise l'adultère.
L'adultère est « le fait pour un époux d'avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint ».
L'homme avec qui une personne, qui n'est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelé amant.
La femme avec qui une personne, qui n'est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelée maîtresse ou amante.
Dans certains textes, le mot adultère désigne n'importe quelle relation sexuelle hors mariage (donc par exemple entre célibataires), cependant, en français, le terme consacré pour ceci est fornication. La confusion est d'autant plus fréquente que dans les pays islamiques qui ont hérité de culture anglo-saxonne (Koweït, Arabie saoudite...), les textes locaux en anglais utilisent le mot adultery pour désigner à la fois adultère et fornication, et le terme français adultère est repris, par proximité, dans les textes français.
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