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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Bob Marley : À Kingston | |||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : L'héritage | |||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : Deux jours après l'attentat | |||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : Bob a reconnu treize enfants | |||||||||||||||||||||||||||
CITATION | Bob Marley : One Love | ||||||||||||||||||||||||||
MUSIQUE | Bob Marley : Could You Be Loved | ||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : Is This Love | |||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : No Woman, No Cry | |||||||||||||||||||||||||||
Bob Marley : One Love | |||||||||||||||||||||||||||
DESSIN | Bob Marley | ||||||||||||||||||||||||||
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CREATION | Bob Marley | ||||||||||||||||||||||||||
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Japauto 1000 VX 1974
Histoire constructeur : Japauto Triple vainqueur du Bol d'Or
La structure Japauto nait de l’association de Christian Vilaseca et de Robert Assante suite à la victoire de Michel Rougerie et Danul Urdich au Bol d’Or sur la toute nouvelle Honda 750 Four préparée par Vilaseca en 1969. En 1970, la structure engage sa première machine en compétition. Il s’agit d’une moto conçue sur la base d’une CB750 qui écope bientôt du surnom de « monstre du bol ». A son guidon Daniel Rouge et Robert Assante terminent 20ème après une chute et quelques mécaniques.
En 1971, deux Japauto sont engagées aux côtés des pilotes Thierry Tchernine, Christian Bourgeois et Robert Assante. Hélas, la première moto se voit contrainte d’abandonner en raison de casse tandis que la seconde se classe 12ème.
L’année suivante, ce ne sont plus deux mais trois Japauto qui prennent le départ du Bol d’Or. La machine de Tchernine et Bourgeois est teintée de bleu, celle d’Assante et Bettiol arbore une jolie robe blanche tandis que la dernière montée par Ruiz et Debrock se pare de rouge. Un bel hommage au drapeau tricolore.
Pourtant, à l’issue de la course c’est bel et bien la moto rouge qui franchit la ligne d’arrivée en première tandis que la blanche s’offre une 9ème place. Pour sa part, Tchernine et Bourgeois sont une fois encore victime d’une casse et doivent abandonner. Désormais, les Japauto se teintent d’un rouge éclatant.
En 1973, c’est donc une Japauto rouge qui s’élance depuis la ligne de départ avec à ses commandes Thierry Tchernine et Gérard Debrock. Les deux pilotes frappés de malchance durant les éditions précédentes font forte impression sur leur machine et s’octroient même une surprenante victoire.
Pour la saison 1974, Japauto espère une troisième victoire consécutive mais malheureusement le sacre leur échappe.
En 1975, Japauto voit plus grand et s’engage au championnat d’Europe d’Endurance dont le calendrier comporte cinq épreuves. Au programme, les motos Japauto doivent courir aux 24h de Barcelone, aux 1000 km de Mugello, aux 24h de Francorchamps, au Bol d’Or et aux 500 miles de Thruxton.
La machine pilotée par Ruiz et Huguet se montre régulière et cède d’un point seulement le titre de Champion d’Europe.
Après ce coup dur, Japauto reprend du service au Bol d’Or avec deux machines dotées de deux motorisations différentes. L’une est mue par un moteur maison tandis que la seconde se dote de mécaniques Honda usine identiques à celles des machines officielles. Si la première doit bien vite abandonner la course, la seconde parvient à se hisser à la 9ème place.
En 1977, l’équipage Japauto formé par Gary Green et Christian Maingret termine premier aux 1000km de Misano et se classe troisième aux 8h de Nurburgring.
L’année 1978 est marquée pour sa part par la création de la première édition des 24h du Mans Moto. Au cours de cette même saison, le Bol d’Or déménage sur le circuit du Castellet tandis que se crée le premier Bol d’Argent. Les Japauto démarrent fort aux 24h du Mans avec une 6ème et 8ème place. Parallèlement, les motos adoptent de nouveaux cadres PEM, s’équipent de fourches Cériani et se dotent de réservoir d’huile sous la selle.
Jusqu’en 1989, Japauto engage des machines et prépare des motos destinées à briller en endurance.
Au total, Japauto aura couru près d’une centaine de courses, sera monté plus de quarante fois sur le podium et surtout aura remporté trois inoubliables victoires au Bol d’Or. Parmi ses machines les plus remarquables, nul n’a oublié la 1000 VX avec son carénage en polyester.
Depuis ses heures de gloire en compétition, Japauto est devenu un concessionnaire Honda réputé et a même présenté en 2001 un concept-bike baptisé Adrenaline qui resta sans suite.
http://www.lerepairedesmotards.com/dossiers/constructeurs/japauto.php
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Monument à Robert-Espagne.
Le massacre de la vallée de la Saulx est le meurtre, le 29 août 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, de 86 habitants des communes de Couvonges, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Mognéville, et Trémont-sur-Saulx dans le département de la Meuse.
La tuerie de la vallée de la Saulx figure parmi les six grands massacres commis en France par des soldats allemands en 1944. Alors que les massacres d'Oradour-sur-Glane, du Vercors, de Maillé, Tulle et Ascq sont l’œuvre des SS, celui de la vallée de la Saulx a été commis par des militaires de la Wehrmacht.
Au début août 1944, Hitler décide de faire venir en France la 3e division de Panzergrenadiers qui est alors en Italie, dans la région de Florence. L'un de ses régiments, le 29e régiment de Panzergrenadiers, arrive ainsi au sud-ouest de Bar-le-Duc (Meuse) le 28 août. Il répartit ses différentes unités dans plusieurs villages situés entre Bar-le-Duc et Saint-Dizier (Haute-Marne), notamment dans la vallée de la Saulx. Compte tenu de l'avance alliée, la mission de ce régiment n'est plus d'engager le combat contre les Américains mais de couvrir la retraite d'autres unités allemandes. Il s'agit de leurrer les Alliés en faisant croire à une présence ennemie plus importante qu'elle n'est en réalité.
Dès le 29 août au matin, plusieurs unités de ce régiment, équipées de véhicules blindés légers, se préparent à remplir leur mission. Elles quittent leur cantonnement pour faire mouvement vers l'ouest, en direction de Vitry-le-François. Un de leurs convois circule dans la forêt à proximité de Robert-Espagne mais il est attaqué par un petit groupe de résistants locaux. Cela est attesté par des procès-verbaux de gendarmerie dressés quelques jours plus tard Un officier allemand est sans doute blessé. Il donne aussitôt l'ordre de bloquer l'accès aux villages qu'il allait traverser, tous dans la Meuse et dans la vallée de la Saulx.
Quatre villages sont particulièrement visés : Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville. À chaque fois, les soldats empêchent toute personne d’en sortir ou d’y pénétrer. À midi, ils raflent les hommes rentrés manger chez eux. Ils fouillent systématiquement les maisons et mettent le feu aux maisons en lançant des plaquettes incendiaires. Les femmes et les enfants fuient sur les hauteurs dominant la vallée. À Robert-Espagne, Couvonges et Mognéville, les hommes raflés sont rassemblés sous bonne garde. Dans les deux premières localités, ils seront abattus vers 15 heures à l’aide de mitrailleuses. À Mognéville, un notaire qui parle allemand parvient à négocier la libération des otages mais une femme et deux hommes perdront néanmoins la vie dans ce village. À Beurey-sur-Saulx, plusieurs Malgré-nous parviennent discrètement à dire aux villageois de fuir. Dans ce village, les 6 victimes du 29 août seront 5 vieillards et une jeune fille, abattus devant leur maison en flammes ou tués dans une tranchée-abri. À Robert-Espagne, on dénombre 51 victimes, 49 hommes sont fusillés près de la gare, un autre est abattu dans une ferme, puis la 51eme victime est abattue le 31 août dans les bois. À Couvonges, 26 hommes sont fusillés. À Trémont-sur-Saulx, une localité voisine de Robert-Espagne, une jeune fille de 16 ans a eu la malchance d'être aperçue par des soldats du 29e qui l'abattent.
Dans la seule vallée de la Saulx meusienne (Trémont-sur-Saulx, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Convonges, Mognéville), cette journée du 29 août, le bilan est lourd : 88 morts et plusieurs centaines de maisons brûlées (54 maisons sur 60 détruites à Couvonges, 200 sur 300 à Robert-Espagne).
À noter qu'à Robert-Espagne, trois gendarmes de la brigade locale ont été fusillés : le maréchal des logis-chef Robert Delahaye (commandant de la brigade) et les gendarmes Raymont Bilot et Gaston Dagonnet. Les deux autres gendarmes (Albrecht et Hubert) ont réussi à s’enfuir et à se réfugier dans la forêt voisine.
Ces exactions ne se limitent pas à ces seuls villages. Dans la vallée de la Saulx, en aval de Mognéville, les soldats du 29. Pz. Gr. Régiment sèment aussi la terreur. À Andernay (Meuse), ils prennent par exemple des hommes en otages en les enfermant dans la mairie. À Sermaize-les-Bains, ils traversent la localité en mitraillant les maisons et en abattant des personnes qui étaient dans la rue, dont le chef de la résistance locale, le Dr Fritsch. 13 morts sont dénombrés dans cette localité. Et le 30 août, lorsqu'ils se décident à se replier, le même dispositif de terreur est employé : prise d'otages, hommes enfermés, maisons brûlées. Des maquisards faits prisonniers près de Vitry-le-François sont aussi fusillés à Naives-devant-Bar, près de Bar-le-Duc .
Le 29. Pz. Gr. Regiment multiplie les exactions sur son parcours en direction de Saint-Mihiel et de Pont-à-Mousson. Il met ainsi à feu et à sang les villages de Mamey et de Martincourt (Meurthe-et-Moselle) où 17 personnes perdent la vie, abattues ou mortes dans l'incendie de leur maison.
Commémorations
Le Général de Gaulle est venu se recueillir, le 28 juillet 1946, sur le lieu d'exécution, sur invitation du Comité du Souvenir de la vallée de la Saulx et par la ville de Bar-le-Duc
Robert-Espagne : le tertre des fusillés, annexe du cimetière, est dominé par une croix faite de poutres calcinées récupérées dans les ruines du village.
Robert-Espagne : Le 28 juillet 1946, à la sortie de Robert-Espagne vers Beurey-sur-Saulx, le général de Gaulle a posé la première pierre d'un monument qui devait rendre hommage aux victimes des quatre villages meusiens martyres de la vallée de la Saulx (Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville). Ce monument n'a jamais été construit, chaque village privilégiant son propre monument.
Couvonges : un monument commémoratif, également avec une croix calcinée, a été inauguré, le 29 août 1949, par le général Zeller, commandant de la 6e région militaire. Ce monument se situe en direction de la commune de Beurey-sur-Saulx
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Suzuki GSX-R 250
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La GSX-R400 fut la première de la famille, puisque apparue en 1984. En 1988, la 400 évolue sérieusement et si la version de base GSX-R400 reste au catalogue une version GSX-R400SP (Sports Production) fait son apparition. L'année suivante en 1989, il n'existe plus que la GSX-R400R et la GSX-R400R SP au catalogue, cette dernière reprend le style de la mythique GSX-R 750 RR (Race Replica). Le moteur de 398 cm3 développe 59 chevaux puis à cause des nouvelles normes au Japon la puissance est abaissée à 53 chevaux dès 1993. L'histoire de la GSX-R400R prend fin en 1999.
Présentée en septembre 1984 au Salon de la Moto de Cologne, la GSX-R 750 arrive sur le marché français en 1985 au tarif de 42 500 F, soit un an après sa petite sœur de 400 cm3. Les constructeurs japonais ne proposaient alors que des réplica 2 temps de leurs machines de course, telles que les Yamaha RD500LC, Honda NSR 400 et Suzuki RG500.
Etsuo Yokouchi, directeur de course chez Suzuki, est l'instigateur de cette machine exploitant un moteur 4 temps et s'affirmant être « une moto de course sur route ». Le cahier des charges est de concevoir une moto sportive de 100 chevaux qui soit 20 % plus légère que ses rivales.
Un an après l'apparition de la 750, Suzuki lance la GSX-R 1100. Elle reprend la même base moteur mais porté à 1 052 cm3 pour 130 ch puis 1 127 cm3 pour 145 ch en 1989. Comme son aînée, elle utilise un refroidissement par air et huile (SACS). En 1991, toujours animée par un moteur SACS elle passe a une distribution par 16 linguets simples au lieu de 8 dédoublés jusqu'en 1993 où elle sera remplacée par un refroidissement liquide. À cette occasion, sa dénomination changera en GSX-R 1100 W (pour water-cooled). La cylindrée du moteur variera fréquemment passant à 1 127 cm3 en 1989, puis à 1 074 cm3 trois ans plus tard et jusqu'à l'arrêt de la production en 1999. C'est cette moto qui fut utilisée par le Prince noir pour sa "course".
La RB 50 GAG a été commercialisée au Royaume-Uni sous le nom de GSX-R 50. La petite RB 50 GAG fut commercialisée au Japon plusieurs années mais elle apparait aussi au catalogue français Suzuki en 1988.
La GSX-R 250 fut produite de 1987 à 1989. La GSX-R 250 R la remplaça jusqu'à l'arrêt de la production en 1991. Une version SP fit une courte carrière en 1989. Elle ne dépassa que rarement les frontières du Japon. On y trouve un moteur de 248 cm3 annoncé à 45 ch.
La 600 n'est apparue en France qu'en 1996 pour seconder la 750. Par exemple la série W était commercialisée depuis quelques années aux États-Unis. Côté design, elle conserve, pendant toute sa carrière, le look de sa grande sœur.
Les premiers modèles SRAD, sont extrêmement creux à bas régimes. Ce défaut a été corrigé rapidement, dès 1998, puis, par la suite, avec l'arrivée de l'injection. Le dernier modèle, conçu en 2006 revendique 123 chevaux en version libre (106 chevaux pour la France).
En 2001, la GSX-R 1000 vient compléter l'offre, pour contrer le succès de la Yamaha R1. Ce modèle a une puissance de 160 ch en version libre pour 168 kg. Elle dispose d'étriers de frein à 6 pistons et d'une injection.
Comme toutes les sportives modernes, c'est une vitrine du savoir-faire du constructeur. Elle ne cesse donc d'évoluer. Le modèle 2005 propose 178 ch pour 166 kg. Le modèle 2006 est identique au 2005. Le modèle 2007-2008 propose 185 ch pour 173 kg (modèle deux fois champion du monde d'endurance en 2007 et 2008 avec le (Team SERT). Et le modèle 2009 qui atteint 191 ch pour 203 kg (tous pleins faits).
La GSXR 1000, depuis son lancement en 2001, a remporté huit fois les 24 Heures du Mans moto, en 2001, 2002, 2003, 2004, 2007, 2008, 2014 et 2015.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Suzuki_GSX-R
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Suzuki GSX-R 250
Les Suzuki GSX-R sont des motos de type sportives dérivées des engins de circuit de la marque Suzuki.
Apparue en 1984 au Japon, la GSX-R 400 est la première hypersport de la marque Suzuki. La GSX-R 750 apparue l'année suivante est l'instigatrice de la mode des « réplicas » de grosses cylindrées 4 temps, le 2 temps étant réservé aux séries RG Gamma (RG 125, RG 250 et RG 500).
À cette époque, seuls quelques préparateurs comme le français Martin proposaient des motos avec les caractéristiques proches des modèles de compétition. La production restait donc très confidentielle. Suzuki franchit le pas et commercialisa en grande série une machine directement issue de la piste plus particulièrement des courses d'endurance moto.
Toutes les machines, de la 250 à la 1100, utilisent la même architecture moteur, à savoir un 4 cylindres en ligne 4-temps à double arbre à cames en tête et 16 soupapes. Dans les années 1980, la 400 était mue par un moteur à refroidissement liquide lorsque la 750 et la 1100 étaient pourvues du moteur "SACS" (Suzuki Advanced Cooling System) appelé aussi "air/huile". La 750 est passée au refroidissement liquide en 1992, suivra la 1100. Un cadre périmétrique aluminium équipait les petites 400 dès 1986 lorsque les 750 et 1100 étaient équipées d'un cadre MR-Albox certes en aluminium mais au dessin classique.
Il faut attendre 1996 et la 750 SRAD pour que la GSX-R soit enfin équipée du cadre périmétrique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Suzuki_GSX-R
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Sophie Vlaming est repérée à 14 ans en pleine séance de shopping avec sa mère a Amsterdam. Sophie Vlaming est née le 3 juillet 1988 à Breda au Pays bas.
Ses atouts? Son teint de porcelaine, ses immenses yeux verts, et son visage de poupée qui lui donne un charme étrange. Depuis mars 2006, Sophie Vlaming a enchaîné pas moins de 25 shootings avec les plus grands photographes et magazines (vogue, numéro, w...) elle a également été le visage de « Balenciaga ».
Présente aussi sur les podiums, Sophie Vlaming défile pour Chanel, Marc Jacobs, Givenchy... Nathalie, sa bookeuse, la décrit comme douce et polie « Ca compte beaucoup pour les photographes! ». Son secret avant chaque séance est un bon jogging de 30 minutes.
Ses passions sont le water-polo et le dessin, Sophie Vlaming aime mener une vie saine et sans excès et adore les aubergine! Si on lui prédit un avenir au top, elle éclate de rire "Je veux y aller a mon rythme. Pas question de me mettre la pression!".
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