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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le lion (Panthera leo) est une espèce de mammifères carnivores de la famille des félidés. La femelle du lion est la lionne, son petit est le lionceau. Le mâle adulte, aisément reconnaissable à son importante crinière, accuse une masse moyenne qui peut être variable selon les zones géographiques où il se trouve, allant de 180 kg pour les lions de Kruger à 230 kg pour les lions de Transvaal. Certains spécimens très rares peuvent dépasser exceptionnellement 250 kg. Un mâle adulte se nourrit de 7 kg de viande chaque jour contre 5 kg chez la femelle. Le lion est un animal grégaire, c'est-à-dire qu'il vit en larges groupes familiaux, contrairement aux autres félins. Son espérance de vie, à l'état sauvage, est comprise entre 7 et 12 ans pour le mâle et 14 à 20 ans pour la femelle, mais il dépasse fréquemment les 30 ans en captivité.
Le lion mâle ne chasse qu'occasionnellement, il est chargé de combattre les intrusions sur le territoire et les menaces contre la troupe. Le lion rugit. Il n'existe plus à l'état sauvage que 16 500 à 30 000 individus dans la savane africaine, répartis en deux sous-espèces et environ 300 au parc national de Gir Forest dans le nord-ouest de l'Inde. Il est surnommé « le roi des animaux » car sa crinière lui donne un aspect semblable au Soleil, qui apparaît comme « le roi des astres ». Entre 1993 et 2017, leur population a baissé de 43 %
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Le puma (Puma concolor), également appelé lion de montagne, ou cougar, est un mammifère carnivore qui appartient à la famille des félidés. C'est un animal solitaire qui vit en Amérique du Nord et du Sud. Difficile à observer, il ressemble à un léopard sans taches, ce qui explique que, par abus de langage, on le désigne parfois également sous le terme de « panthère ».
Le pelage du puma est uniforme (concolor signifie « d'une seule couleur »), même si l'on devine parfois des rayures sur ses membres antérieurs. La couleur reste dans les tons fauves et varie du brun roux dans les régions tropicales au gris jaune dans les régions arides. Le dessous du corps est plus clair, allant de la couleur crème au blanc. La longueur des poils dépend du milieu naturel dans lequel l'animal vit : ils sont rudes et courts dans les régions chaudes et longs en régions froides. Les cas d'albinisme sont rares mais les cas de mélanisme sont fréquents. Un unique cas de leucisme (« Puma blanc ») est observé dans les années 2010 à l'état sauvage dans le parc national de Serra dos Órgãos.
Le puma possède une petite tête de forme arrondie munie d'oreilles courtes, rondes et écartées. Le revers de l'oreille est noir. La fourrure du menton est blanchâtre comme celle du museau. La truffe est rose. La couleur des yeux varie du vert au jaune ambré et son champ de vision est très large.
En moyenne, le mâle mesure entre 1 mètre et 2,30 mètres de longueur, le record étant de 2,90 mètres, queue comprise. Celle-ci représente un tiers de la taille de l'animal. La masse du puma est comprise en moyenne entre 53 et 72 kg pour les mâles ; le plus gros individu connu faisait 120 kg. Sa taille varie de 60 à 76 cm au garrot. La femelle est moins grosse (environ 35 à 48 kg) ; le mâle est de 40 à 60 % plus lourd que la femelle. En outre, il existe une variation géographique de la taille : les plus grands spécimens vivent dans les montagnes Rocheuses et en Patagonie tandis que les plus petits évoluent dans les régions proches de l'équateur. Ainsi, les pumas vivant en région tropicale pèsent deux fois moins que les individus du sud du Chili ou du Canada.
La silhouette du puma est fine et musclée et son postérieur est plus haut que sa tête ce qui lui permet de sauter facilement. Sa longue queue (entre 53 et 81 cm), plus foncée à son extrémité, est l'une des caractéristiques du puma. Enfin, il possède quatre doigts munis de griffes longues, pointues et rétractiles. Ses pieds sont larges, ce qui permet d'avancer aisément dans la neige. Les pattes postérieures plus longues que les antérieures - ces premières étant, proportionnellement à la taille, les plus longues de toutes les espèces de félins - sont une adaptation au bond.
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La panthère noire, appelée aussi léopard noir, est un léopard (Panthera pardus) atteint de mélanisme, qui est une mutation génétique lui conférant une robe globalement noire. Fréquent chez cette espèce, ce phénotype se retrouve aussi chez le Jaguar (P. onca)
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La Rolls-Royce Wraith (spectre) a été construite par Rolls-Royce dans son usine de Derby en 1938-1939.
En 1884, Henry Royce commence une affaire d'électricité et de mécanique. En 1902, ce mécanicien de génie en grande partie autodidacte construit sa première automobile à Manchester. Il est introduit auprès de Charles Rolls, un ingénieur aristocrate fou de moteurs, donnant naissance à l'entreprise Rolls-Royce fondée le 4 mai 1904. La société Rolls-Royce Limited est créée le 15 mars 1906, elle est transférée à Derby en 1908.
Entre 1904 et 1906, dix-neuf voitures à moteur deux-cylindres, de 2 litres sortent des usines, suivies de quelques exemplaires à moteur trois-cylindres de 3 litres et de la 30 HP, construite à trente exemplaires. Habillée d'une superbe carrosserie en aluminium, la treizième voiture de la série, la Silver Ghost (« fantôme d'argent »), s'inscrit dans l'histoire de l'automobile en parcourant 15 000 miles entre le 1er juillet et le 8 août 1907 sans aucune panne mécanique.
Le nouveau modèle 40/50 ch est propulsé par un moteur six-cylindres en ligne de 7 litres, porté à 7,4 litres en 1910 dont 6 220 exemplaires seront produits.
Le 12 juillet 1910, Charles Rolls se tue dans une démonstration aérienne.
Une plus modeste 20 ch, animée par un moteur six-cylindres de 3,1 litres est vendue à 2 890 exemplaires. En 1929 la 20/25 lui succède.
Entre 1921 et 1931, une usine à Springfield, Massachusetts, produira 1 700 Silver Ghost avec des particularités exclusives.
En 1931, Rolls-Royce achète Bentley, un constructeur concurrent plus petit qui connait des difficultés financières dues à la Grande Dépression.
Henri Royce meurt en 1933 mais il aura encore conçu le moteur Merlin qui équipe notamment le chasseur Supermarine Spitfire.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement mandata Rolls-Royce pour créer une usine de l'ombre à Crewe pour y fabriquer des moteurs d'avion. Après la guerre, en 1946, les productions automobiles de Rolls-Royce et Bentley furent transférées à Crewe où ils purent assembler des véhicules complets avec carrosseries pour la première fois. Seuls des châssis étaient assemblés avant guerre, laissant les carrosseries aux carrossiers spécialisés.
Les carrosseries de série (appelées « Standard Saloon ») sont fabriquées en tôles embouties, le reste des opérations demeure artisanal. D'autres modèles restent fabriqués à la main, majoritairement en tôle d'aluminium. C'est avec la Bentley Mark VI que l'usine de Crewe commence sa longue carrière et, le marché américain étant demandeur, une version Rolls-Royce de la Mark VI voit le jour sous le nom de « Silver Dawn ».
Aux célèbres Silver Ghost et aux prestigieuses Phantom ont succédé les Silver Dawn, Silver Cloud et l'illustre Silver Shadow à carrosserie monocoque et suspension hydropneumatique par Citroën (1965). En 1975, nait la Rolls-Royce Camargue, carrossée par Pininfarina. Le fabricant britannique d'équipement militaire Vickers achète la société en 1980. C'est à cette époque que sortent les Silver Spirit (version courte) et Silver Spur (version longue) qui remplacent les modèles Shadow.
La Corniche, apparue en 1971 (et remplaçant les coupés et cabriolets Silver Shadow Mulliner Park Ward) restera au catalogue jusqu'en 1995, un record de longévité pour une voiture de luxe. La version Fixedhead Coupe sera supprimée du catalogue en 1982 pour tenter de sauver la Camargue qui connait un succès mitigé en Angleterre (la majorité des exemplaires sont vendus aux États-Unis).
Spirit of Ecstasy, le fameux bouchon de radiateur de la marque créé en 1911 par l'artiste anglais Charles Sykes, représentant une jeune femme les bras déployés et la robe flottant au vent, est un joyau de l'art nouveau. On remarquera la forme particulière des calandres, s'inspirant de l'architecture des temples grecs. En 2011, pour célébrer le centenaire de la mascotte, plusieurs événements sont organisés dans le monde, dont un grand tour de Londres avec des Rolls-Royce de toutes les époques.
Les principes fondateurs de la marque, édictés par Henry Royce, étaient simples : « Chercher la perfection en tout. Prendre le meilleur de ce qui existe et l'améliorer. Et quand rien n'existe, le concevoir ».
La Centenary Phantom, un modèle qui ne sera produit qu'à quarante exemplaires, va marquer le centenaire de Rolls-Royce. En un siècle, la firme a fabriqué quelque 130 000 voitures.
En 1998, Vickers vend la branche automobile de Rolls-Royce au constructeur allemand BMW qui la renomme Rolls-Royce Motors Cars⇔Rolls-Royce Motor Cars.
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BIOGRAPHIE | Henry Royce | ||||||||||||||||||||||||||
Rolls-Royce Limited | |||||||||||||||||||||||||||
Rolls-Royce Silver Ghost | |||||||||||||||||||||||||||
Rolls-Royce Silver Ghost 1914 | |||||||||||||||||||||||||||
Rolls-Royce Silver Ghost 1914 | |||||||||||||||||||||||||||
Rolls-Royce Silver Ghost 1926 | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
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Marie Trintignant, née le 21 janvier 1962 à Boulogne-Billancourt et morte le 1er août 2003 à Neuilly-sur-Seine, est une actrice française. Elle a été tuée par son compagnon Bertrand Cantat. Sa carrière de comédienne a commencé très tôt et devient fructueuse durant les années 90 notamment grâce à sa prestation dans le film Une affaire de femmes. Elle reçoit plusieurs nominations au César.
Fille de l'acteur Jean-Louis Trintignant et de la réalisatrice Nadine Trintignant, Marie Trintignant commence sa carrière d'actrice en 1966, à l'âge de quatre ans, dans Mon amour, mon amour de sa mère, aux côtés de son père, puis enchaîne d'autres films avec sa mère.
En 1978, à 16 ans, elle tourne dans Série noire d'Alain Corneau, qui entre dans les annales du film noir grâce à l'ambiance sombre et désespérée qui en émane et surtout l'interprétation de Patrick Dewaere sans qui le film « n'aurait pas existé », selon le réalisateur.
Dans les années 1980, sa notoriété bondit grâce à Etienne Périer, qui réalise La Garçonne, téléfilm en deux parties pour France 2 d'après le roman de Victor Margueritte en 1922, et à Claude Chabrol avec Une affaire de femmes — film dans lequel elle incarne une prostituée, amie du personnage principal interprété par Isabelle Huppert — puis Betty, en 1992, dans lequel elle tient le premier rôle, un personnage d'alcoolique en rupture avec sa famille bourgeoise et qui provoque le désordre dans le couple qui la recueille. Tous deux y ont mis en valeur son timbre de voix grave et son regard profond.
Dans les années 1990, elle obtient le premier rôle dans Nuit d'été en ville de Michel Deville. Elle se met à la comédie avec des films comme Cible émouvante ou encore … Comme elle respire, deux films de Pierre Salvadori où elle donne la réplique à Jean Rochefort et Guillaume Depardieu.
En 2000, sous la direction de sa mère Nadine Trintignant, elle joue le rôle d'une militante du droit à l'avortement dans le téléfilm Victoire ou la Douleur des femmes. La même année, elle est membre du jury au Festival du cinéma américain de Deauville.
Elle est nommée cinq fois aux César du cinéma (1989 pour Une affaire de femmes, 1994 pour Les Marmottes, 1997 pour Le Cri de la soie, 1998 pour Le Cousin et 1999 pour … Comme elle respire), sans obtenir le trophée.
Décès
Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003 dans leur chambre d'hôtel de Domina Plaza de Vilnius en Lituanie où elle tourne le téléfilm Colette, une femme libre, une dispute au sujet d'un message envoyé par son mari Samuel Benchetrit, dont elle est séparée, éclate avec son compagnon Bertrand Cantat. Ce dernier et Marie Trintignant ont une relation tumulteuse depuis 18 mois. Lors de cette dispute, Bertrand Cantat la frappe à plusieurs reprises, « une vingtaine de traces de coups ». La comédienne tombe au sol, inanimée. Bertrand Cantat la porte alors jusque dans son lit, sans appeler les secours. Au cœur de la nuit seulement, il appelle au téléphone Vincent Trintignant, le frère de Marie. Celui-ci rejoint le chanteur, mais ne peut mesurer la gravité de la situation et est dissuadé d'appeler un médecin à plusieurs reprises. Ce n'est qu'à 7 h 15 du matin que Vincent Trintignant, constatant que sa sœur ne réagit pas, se décide, lui, à appeler les secours. Marie Trintignant est admise à l'hôpital universitaire de Vilnius dans un coma profond.
À deux reprises, les chirurgiens de Vilnius opèrent la jeune femme pour décompresser le cerveau. Elle est rapatriée en France le 31 juillet 2003 en état de mort cérébrale, à la suite d'un œdème cérébral suivi d'un coma profond provoqué par les coups portés. Une opération de la dernière chance est tentée par le neurochirurgien Stéphane Delajoux, mais elle meurt le lendemain, le vendredi 1er août 2003, à Neuilly-sur-Seine.
Marie Trintignant est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (45e division) le 6 août 2003, en présence d'une assistance vêtue de blanc comme l’a demandé la famille, ont rapporté les journaux. Son cercueil est recouvert de tournesols, sa fleur favorite. Le matin, un hommage réunit des proches au théâtre Édouard VII pour des lectures de textes et chansons joués ou appréciés par Marie Trintignant.
Installée tantôt à Uzès, tantôt à Paris, Marie Trintignant est la mère de quatre enfants : Roman, né en 1986 de Richard Kolinka, Paul né en 1993 de François Cluzet, Léon né en 1996 de Mathias Othnin-Girard, et Jules né en 1998 de Samuel Benchetrit.
En 1998, sa mère, Nadine Trintignant, épouse son compagnon de longue date, le réalisateur Alain Corneau, qui adopte dans la foulée Marie et son frère Vincent, avec le consentement de leur père biologique, Jean-Louis Trintignant.
Le 4 septembre 2010, Alain Corneau est inhumé auprès de Marie au Père-Lachaise. Leur sépulture porte en épitaphe une citation signée de Percy Shelley : « Paix, paix, ils ne sont pas morts, ils ne sont pas endormis, ils se sont réveillés du rêve de la vie. »
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Le Moyen Âge voit se développer, dans les monastères en particulier, l'usage de la pierre de lecture, loupe grossissante posée sur le texte écrit, destinée à combattre les effets de la presbytie. Leur invention est parfois attribuée à Abbas Ibn Firnas, berbère andalou du IVe siècle, connu pour avoir mis au point la technique de taille du cristal de roche. Les travaux d'Alhazen, fondateur de l'optique physiologique, autour de l'an mille, donnent un fondement scientifique à cette technologie. Son traité a été traduit en latin au XIIe siècle, peu avant l'invention des lunettes de correction de la vue en Italie, sans que le lien entre les deux évènements soit cependant clairement attesté. Avant d'être en verre, les « pierres de lecture » étaient réalisées en pierre semi-précieuse (lentille surfacée de béryl) ou en cristal de roche, la technique de fabrication du verre produisant encore trop de bulles et d'impuretés.
Le moine franciscain Roger Bacon s'appuie sur les travaux d'Alhazen pour expérimenter des « pierres de lecture » en verre : dans son Opus Majus de 1268, il apporte la preuve scientifique que le surfaçage particulier de verres lenticulaires permet d'agrandir les petites lettres. Son invention aurait été vulgarisée par les moines dominicains Allessandro della Spina et Giordano da Pisa (Jourdain de Pise) rencontrés lors de son séjour à Pise. C'est au XIIIe siècle à Florence que le physicien Salvino degli Armati met au point une paire de verres enchâssés dans un cercle de bois, dont l'épaisseur et la courbure permettent de grossir les objets et les textes. La lunetterie et l'ophtalmologie se développent dès lors en Italie. Les premières besicles, lunettes sans branches et qui se fixent sur le nez, apparaissent à Venise à la fin du XIIIe siècle. Elles consistent en deux lentilles convexes rondes, en verre de Murano aux qualités optiques supérieures, enchâssées dans des cercles en bois, en corne ou en cuir, et attachées individuellement à des manchons rivetés par un clou : ces lourdes « besicles clouantes », principalement utilisées par les moines copistes, permettent ainsi la vision binoculaire mais n'améliorent que la presbytie. Les besicles clouantes symbolisent progressivement l'érudition, de nombreuses œuvres d'art représentant philosophes, moines ou médecins portant ces « clouants ». L’invention de l’imprimerie accroît la demande en lunettes. Au XVe siècle, les besicles évoluent avec le remplacement du clou par un pont qui peut être en bois, en métal, en corne, en cuir, en écaille de tortue ou en fanon de baleine : ce sont les « besicles à pont arrondi ». Elles seront munies, dans les siècles suivants, d'un ruban noué derrière le crâne ou d'une ficelle autour de l'oreille pour assurer un meilleur maintien.
Les verres concaves apparaissent pour les myopes à Florence vers 1440. Ils sont mentionnés pour la première fois le 25 août 1451 dans une lettre datée de Ferrare et adressée à Cosme de Médicis, et leur première description se trouve dans le De Beryllo de Nicolas de Cues, paru en 1458. En 1645, Jacques Bourgeois améliore les besicles en imaginant des verres concaves d'un côté de l'œil et convexes de l'autre. En 1728, l'opticien anglais Edward Scarlett (en) crée les premières montures avec de courtes branches terminées par un anneau métallique (parfois recouvert de velours) qui se plaque sur les tempes : ces « lunettes à tempes » sont portées essentiellement par les nobles, les courtes branches permettant le retrait des lunettes sans déranger la perruque. Lorsque la perruque cesse d'être à la mode, Scarlett innove encore en rallongeant les branches et en les courbant aux extrémités de façon qu'elles se fixent derrière les oreilles : les lunettes modernes sont nées. Les bourgeois quant à eux utilisent plutôt le binocle au XVIIe siècle puis le face à main au XVIIIe siècle, ce dernier étant concurrencé par le monocle et le pince-nez au XIXe siècle. En France, sieur Thomin, miroitier lunetier parisien, fabrique en 1746 ces « lunettes à tempes » appelées « lunettes à tempes permettant de respirer à l'aise » car elles remplacent les pince-nez. Toutefois, leur pression provoque des maux de tête. En 1752, l'opticien anglais James Ayscough (en) crée les premières lunettes à verres teintés. Ce sont pour lui des lunettes correctrices et non des lunettes de soleil car il pensait que les teintes bleues ou vertes corrigeaient la vision. Elles sont munies de branches articulées par une charnière, ce qui diminue l'inconfort de la pression des branches sur le nez et les tempes. Ces lunettes dont les branches passent par-dessus les oreilles sont appelées « lunettes à oreilles »
Les verres étaient ronds jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, qui voit alors se développer la mode des verres ovales venue d'Angleterre : plus petits et de meilleure qualité optique, ces verres allègent considérablement la monture. Les lunettes à double foyer sont créées en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle. En 1796, Pierre-Hyacinthe Caseaux maître-cloutier à Morez s'inspire des Anglais qui produisent déjà des montures en métal et adapte des techniques propres à l'art du métal pour réaliser une fine monture : du fil de fer encercle les verres et des tenons (faisant également office de charnière) soudés de chaque côté des cercles de la monture sont traversés par une vis qui permet de serrer les cercles autour du verre. Ces lunettes « fils » ont un grand succès et Morez est depuis devenue la capitale de la lunetterie française, représentant à elle seule 55 % de son chiffre d'affaires. Ensemble, les villes de Morez et Oyonnax, cette dernière étant spécialisée dans les montures plastiques, représentent 80 % de la lunetterie française.
En 1959, Bernard Maitenaz crée Varilux, le premier verre progressif pour corriger la presbytie.
Au milieu des années 1950, le design fait son apparition dans le domaine de la lunetterie, qui fait alors appel aux plastiques dont le moulage et les propriétés se prêtent à l'inventivité des créateurs : la lunette n'est désormais plus simplement une prothèse médicale. Ce mouvement s'accentue dans les années 1980-1990, de nombreux designers lançant leur collection, et les lunettes deviennent un accessoire de mode, mêlant ergonomie et esthétique. Chaque année, les nouvelles collections de montures sont présentées lors de salons internationaux de l'optique, tels le SILMO à Paris ou le MIDO à Milan.
Avec le développement du dépistage, de la fatigue oculaire et le remboursement des lunettes par les mutuelles, leur marché est devenu important dans les pays développés. Ainsi selon l'UFC-Que Choisir, en France, 13 millions de paires de lunettes sont vendues en 2012, représentant un marché de 4,7 milliards d'euros (1,38 milliard pour les montures et 3,29 pour les verres) avec une fréquence de renouvellement moyenne de 3,5 ans et des marges qui corresponde entre 2 et 3 fois selon les équipements à leur prix d'achat par les magasins d'opticiens. Des niches à valeur ajoutés (options tels que verres durcis, amincis, traitement des verres antirelflet, antisalissure, antibuée) ou le développement de nouvelles niches (lunettes pour enfants) font que le marché de l'optique pèse dix fois plus que les dépenses de santé ophtalmologique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lunettes