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Publié à 16:00 par dessinsagogo55 Tags : gif center
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Naissances et taux de natalité en Belgique

Publié à 18:10 par dessinsagogo55 Tags : image sur vie monde homme chez enfants article femme femmes center
Naissances et taux de natalité en Belgique

Natalité : la Belgique est en plein "baby-bug"

 
 
 
A.F.
 Publié le mercredi 04 mars 2020 à 15h51

Vous ne connaissez pas le mot "baby-bug" et c’est bien normal. Ce néologisme est tout droit sorti du dernier rapport du bureau du plan sur les perspectives démographiques 2019-2070 en Belgique. Pas besoin d’être un grand linguiste pour comprendre que, du côté des naissances, ce n’est pas vraiment la fête chez nous.

 

Parmi les causes, la crise de 2008

 

Depuis 10 ans, le taux de fécondité ne cesse de diminuer. En 2008, une femme avait en moyenne 1,8 enfant. Aujourd’hui, une femme n’a "plus" que 1,6 enfant en moyenne. Pour cette baisse de la fécondité, les experts pointent la crise financière 2008. La chute a en effet commencé juste après celle-ci. Ainsi, l’insécurité en matière d’emploi, la difficulté d’accès à la propriété, les loyers élevés contribuaient à retarder les projets d’enfants de certains (jusqu’à ce que la situation financière et matérielle de la personne soit meilleure). Cette baisse de fécondité se concentre surtout chez les femmes de moins de 30 ans, sans enfant.

 

Les experts perplexes

 

En toute logique, la fécondité aurait dû repartir à la hausse avec la fin de la crise et la reprise économique. Et pourtant, ce n’a pas été le cas en Belgique. De quoi laisser les experts plutôt perplexes. Aujourd’hui, par manque de recul, ils ne parviennent pas vraiment à expliquer ce phénomène. Est-ce lié aux questions climatiques qui pousseraient les gens à faire moins d’enfants ? Est-ce dû à l’hyperconnectivité qui rend plus visible les difficultés du monde et... qui pousse les gens à faire moins d'enfants? Ces questions restent ouvertes. Mais une chose est sûre, la natalité n’a toujours pas grimpé.

 

Amélioration possible à venir

 

Cela dit, tout n’est pas perdu. Dans les prochaines années, les spécialistes s’attendent tout de même à une légère hausse des naissances. Il s’agit en fait d’un effet de rattrapage. Si depuis plusieurs années les jeunes femmes retardent le moment où elles donneront naissance (à cause de la crise, mais aussi parce qu’elles étudient plus qu’avant ou travaillent plus qu’avant), ce moment devrait bien arriver un jour, ce qui pourrait selon les projections porter le taux de fécondité à 1,7 enfant par femme dès 2030.

Au-delà de ce rattrapage, les démographes pointent aussi un effet possible de l’amélioration de l’égalité homme femme, qui, grâce à un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle, pourrait soutenir la natalité. C’est le cas aussi de l’évolution des techniques d’aide à la procréation.

Mais les experts restent prudents. Comme ils n’arrivent pas tout à fait à expliquer pourquoi la natalité n’a pas repris après la crise, ils ne s’avancent pas trop non plus sur une hausse future de la fécondité. C’est plutôt logique.

 

De plus en plus de personnes âgées

 

S’il y a moins de bébés, il y a par contre de plus en plus de personnes âgées en Belgique et l’augmentation des 67 ans et plus va se poursuivre à l’avenir. Aujourd’hui, 17% de la population a l’âge de la retraite, cela représente près d’une personne sur six. Dans 50 ans, en 2070, on sera à une personne sur quatre qui a au moins 67 printemps. La part d’actifs par rapport aux retraités diminuant, cela aura un impact certain en matière de finances (pour payer les pensions), de mobilité, logement, santé ou encore d’environnement. La natalité étant ce qu’elle est, elle ne permet pas d’équilibrer les choses. C’est finalement grâce à l’immigration que la Belgique voit son solde démographique rester positif. Chaque année, la Belgique voit arriver 20.000 nouveaux habitants, parmi lesquels bien sûr des jeunes et des actifs.

Si la tendance se poursuit, entre naissances, décès et immigration, en 2070, il y aura 12.719.189 habitants en Belgique, c’est près de 1, 2 million de plus qu’aujourd’hui.

 

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_natalite-la-belgique-est-en-plein-baby-bug?id=10447553

 

 



Femme

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Violence : Légitimation et points de vue éthiques

Publié à 17:56 par dessinsagogo55 Tags : center animal centerblog sur merci soi
Violence : Légitimation et points de vue éthiques

 

 

L'usage de la force peut être légitimé. La légitime défense est invoquée quand une victime de violences se défend par la force. Un groupe humain (ethnie, classe sociale ou membres d'une religion) peut agir violemment lorsqu'une idéologie, une foi ou une autorité le justifie.
L'usage de la force peut ne pas être légitimé. Néanmoins des causes psychiques internes sont juridiquement invocables pour décharger la responsabilité de l'auteur des violences ; auquel cas un traitement psychiatrique pourrait être requis. Aux crimes et délits de droit commun (vol, kidnapping), une réplique juridique est nécessaire.
Les motivations de la violence sont l'objet de débats dans les champs scientifique, juridique, philosophique et politique. Dans l'approche de beaucoup de praticiens[Qui ?] de la psychologie, de l'aide sociale ou du droit (côté défense), la plupart des personnes adoptant des comportements de prédation et/ou de violence relèvent de la sociopathie ou d'une problématique sociale et/ou économique. D'autres approches, notamment en éthologie appliquée à l'espèce humaine, et certains chercheurs (dont Konrad Lorenz, ainsi que beaucoup de behavioristes) estiment que les personnes adoptant des comportements de prédation et/ou de violence ne le font pas forcément par manque de ressources, d'éducation, d'émotion ou d'empathie (les séducteurs et les manipulateurs n'en manquent souvent pas, soulignent-ils) mais par choix narcissique, en vertu du principe du plus grand plaisir et/ou de la plus grande facilité/rentabilité. Les points de vue les plus extrêmes (qui ressurgissent régulièrement malgré la réprobation de la communauté scientifique) vont jusqu'à affirmer que ces comportements seraient génétiquement inscrits et héréditaires. D'autres spécialistes de l'éthologie humaine, tels Boris Cyrulnik et les cognitivistes, nuancent ces points de vue et récusent tout héritage génétique de la violence. Plusieurs spécialistes de la psychologie développementale tels Richard Tremblay et Daniel Schechter soulignent l'importance de multiples facteurs de risque pour le développement de la violence, surtout les interactions entre la biologie en incluant les gènes et l'environnement familial.


Une partie des prescriptions religieuses vise à maintenir la paix interne, la cohésion dans la communauté, en prévenant ou en ritualisant sa violence. Les prêtres entrent en scène lorsque la violence ou le désordre menacent, soit sur le plan interne (discorde civile) soit sur le plan externe (agression ou menace extérieure). Pour apaiser le « courroux de la divinité », la réponse sera la mise en œuvre d'une violence rituelle : le sacrifice, humain ou animal, ou le recours à la guerre extérieure. Dans les deux cas, le recours à la violence est perçu comme défensif, comme un moyen de se protéger d'une autre violence pouvant détruire la communauté. René Girard a montré que l'évolution culturelle conduisant vers les religions monothéistes à vocation universelle, s'est accompagnée d'une évolution des rites sacrificiels du concret vers l'abstrait, qui deviennent de plus en plus symboliques, sans disparaître. Le christianisme, dans certains de ses textes originels, n'abolit pas le sacrifice, mais il préconise le « sacrifice de soi » comme alternative au sacrifice de l'autre.

 

 

 

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Violence

Publié à 17:45 par dessinsagogo55 Tags : soi image sur vie monde center place société mort divers nature cadre pouvoir
Violence
 
 
La violence peut être instituante et instituée. Les relations sociales évoluent dans le cadre de rapports de force généralement inégalitaires qui se traduisent par des impositions et l'établissement temporaire d'un statu quo fondé sur cette violence initiale.
Karl Marx a décrit la violence qu'a représentée l'accumulation primitive.
Michel Foucault a montré la violence instituée sous la forme de la répression étatique.
Pierre Bourdieu a démontré que la violence symbolique recouvre une situation de domination légitime ou non d'une personne sur une autre, d'un groupe de personnes sur un autre, mal vécue par l'une des deux parties. Exemples : autoritarisme d'une hiérarchie d'entreprise ou d'armée, organisation politique d'un pays, vie de famille mal vécue par un membre de la famille.
Max Weber considère que tout État possède le monopole de la violence physique légitime. Celle-ci s'exprime par le fait que les sujets de l'État consentent, soit par tradition ou par un désir d'égalité, à ce que l'État soit le seul pouvant, de façon légitime, exercer une violence sur son territoire, que ce soit par les forces policières, militaires ou bien juridiques.
Pour Michel Maffesoli, la violence serait consubstantielle à la dynamique de toute société qui, dès lors, se doit de la gérer. C'est pourquoi la violence est tantôt assumée institutionnellement dans le droit de mort que s'arrogent les États (guerres, exécutions capitales), tantôt ritualisée et canalisée dans la vie sociale à travers les arbitrages sociaux (syndicaux, politiques), les extases sportives ou les débordements juvéniles en tous genres ;
Michel Maffesoli, à la suite de Georges Sorel, a montré la violence réactionnelle qui, d'en bas, s'oppose à la violence instituante et instituée ; Karl Marx a légitimé la violence révolutionnaire.
Pour Charles Rojzman la violence est à distinguer impérativement du conflit : « Les mots « violence » et « conflit » sont souvent pris l'un pour l'autre. Ainsi par peur de la violence, ce sont les conflits que nous taisons. Et c'est l'impossibilité d'exprimer ces conflits qui provoque la violence. Au cours d'un conflit, nous envisageons la personne avec laquelle nous avons un différend et non plus seulement le groupe qu'elle est supposée représenter ou l'image que nous nous faisons d'elle. Nous ne considérons pas l'autre comme mauvais par essence. » Ainsi préconise-t-il la nécessité de « transformer la violence destructrice en conflit constructif ».
Le philosophe Krishnamurti affirme que « le conformisme est une forme de violence. » Être soi même naturellement serait une maladie, une déviance, sortir des rangs être créatif et penser c'est-à-dire être anticonformiste et libre-penseur est un crime car c'est un danger pour le pouvoir et le système en place, qui par nature est une force conformiste, force centripète.
Le conformisme des personnes conformiste punit d'eux-mêmes les personnes sortant des rangs (pression ou force sociale), le pouvoir et la violence de l'"état" n'a généralement pas besoin d'intervenir. Pour Krishnamurti le conformisme est un facteur des idéologies, idéologies qui sont pour lui la cause de la quasi totalité des problèmes de société, ainsi que des conflits, et des actes de violence à l'échelle humaine ou à l'échelle des états, les guerres.
Krishnamurti propose également des écoles et systèmes éducatifs plus ouvert, s'éloignant de la conception de l'éducation comme 'processus de socialisation' ou d'institution disciplinaire'. La socialisation des organismes sociaux obligent à se conformer, le synonyme en biologie est ici domestication avec des exemples de domestication génétique sur plusieurs génération, de même que tout système organisé doit dans la pensée humaine ainsi que dans la pensée de celui qui veut avoir l'ascendant est de contrôler et d'exercer un pouvoir - sans pouvoir de plus s'en empêcher (non-agir) -, ce qui équivaut dans la forme à un système fermé et hiérarchique conduisant à une vision du monde, qui peut même être à l'opposé des intentions des personnes composant cette organisation (ex : la gauche).
Pour Theodore Kaczynski, la sur-socialisation est parmi les pires choses, la pire violence, qu'un être humain peut infliger à un autre.
« La pensée et le comportement d'une personne sur-socialisée sont bien plus aliénées que celles d'une autre modérément socialisée. »
« La personne sur-socialisée ne peut même pas avoir une expérience, sans culpabilité, de pensées ou sentiments qui soient contraires à la morale en place ; elle ne peut avoir de « mauvaises » pensées. Et la socialisation n'est pas juste une question de morale ; nous sommes socialisés pour nous adapter à de nombreuses normes qui n'ont rien à voir avec la morale proprement dite. Ainsi, la personne sur-socialisée est maintenue en laisse et sa vie avance sur les rails que la société a construit pour elle. Pour beaucoup de personnes sur-socialisées, cela se traduit par un sentiment de contrainte et de faiblesse qui peut être un terrible handicap. Nous affirmons que la sur-socialisation est parmi les pires choses qu'un être humain peut infliger à un autre." »
Le tiqqun invite à s'éloigner de toute "organisation", et à se diriger vers des "non-organisations", des systèmes ouverts et libre, et des auto-organisations.
Les libertaires placent la liberté comme valeur sine qua non pour un humain, et reconnaissant la violence systémique présente dans la société et les organisations, ils proposent également des sociétés plus ouvertes, humanistes, et libres.
La violence froide est un terme utilisé en opposition à la violence agressive. Elle consiste à contraindre directement ou par exécutants interposés, autrui à entrer et demeurer dans une situation de souffrance (par exemple : séquestration, déportation, extermination).
Elle peut être retournée contre soi-même par une personne qui décide de ne pas tenir compte de tous ses besoin dans ses actions et d'accepter des tâches qui l'écrasent.
La violence éducative est perpétrée à des fins éducatives, à ne pas confondre avec la maltraitance laissant des marques sur le corps et qui n'ont pas de but éducatif.
La violence primitive est celle qui découle d'une simple opportunité de prédation hors de toute catégorie décrite ci-dessus, qu'il s'agisse de prédation matérielle (appropriation de biens) ou narcissique (appropriation du corps d'autrui, voir ci-dessous).
La violence sexuelle est le fait d'une personne consciente d'avoir un {{wikt:ascendant|ascendant}}(hiérarchique, parental, physique, psychologique) qui impose à une autre des actes sexuels non désirés ;
La domination par une personne ou un organisme : après avoir établi un {{wikt:ascendant|ascendant}}, impose à une autre des souffrances psychiques et/ou physiques, pouvant avoir pour conséquences :
Des suicides
L'assassinat ;
La violence conjugale et/ou familiale dont la maltraitance laissant des marques sur le corps, sans but éducatif : le comportement d'un conjoint ou d'un autre membre de la famille, est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus sur l'autre conjoint ou sur divers membres de la famille.
 
 
 
 


Violence criminelle

Publié à 17:40 par dessinsagogo55 Tags : soi société center bonne sur nature
Violence criminelle
 
 
Ces violences criminelles sont également en relation d'inférence avec la violence globale (institutionnelle, structurelle, systémique...), elle en sont donc lié parfois plus ou moins directement, et parfois sont de réel écho ou feedback/retour de la violence globale.
Les quatre causes majeures identifiées comme favorisant la violence criminelle:
L'urbanisme,
Les conflits, (violence institutionnelle, structurelle, systémique, patronale, interpersonnelle...)
La pauvreté,
Les inégalités.
La nature humaine n'est ni bonne ni mauvaise, ces facteurs sociétaux sont la cause du retour de violence. Il existe des cas de criminels ayant de réel problème psychologique, n'ayant pas pour cause ces facteurs sociétaux, ceci représente un pourcentage minime de ce que l'on considère aujourd'hui comme la violence criminelle.
Les criminels font partie et sont issus de la société, contrairement au processus mental qui voudrait que l'on rejette le mal pour ne pas comprendre l'implication de soi ou du système/société à laquelle on appartient, et que l'on défend alors consciemment ou inconsciemment le statu quo (hypocrisie, cynisme). Ce déni de la réalité et le refus de prendre ses responsabilités, le refus de voir les relations, en éjectant le mal hors et loin de nous est analysé notamment par le sociologue Slavoj Žižek. "La vérité n'est pas hors de nous, elle est en nous. La vérité n'est pas à chercher ou à repousser loin de nous, la vérité est en nous" (ou dans la société).
Ce déni du mal et de ces causes est également décrite par Georges Bernanos au sujet des totalitarismes et fascismes avec pour conséquences des crimes contre l'humanité26 : « Les imbéciles mettent le nez sur le bubons et ils se disent entre eux : ” Comment diables ces choses violacées, dont la plus grosse atteint à peine la taille d'un œuf de pigeon, peuvent elle contenir tant de pus ! ” L'idée ne vient pas aux imbéciles que le corps tout entier refait à mesure cette purulence, qu'il faut en tarir la source. Et si par hasard, une telle idée leur était venue, ils se seraient bien gardés de l'avouer, car ils sont un des éléments de cette pourriture. La Bêtise, en effet, m'apparait de plus en plus comme la cause première et principale de la corruption des Nations. La seconde, c'est l'avarice. L'ambition des dictateurs ne vient qu'au troisième rang. »