Jane Russell reçoit en 1989 le « Women's International Center (WIC) Living Legacy Award ».
Ses empreintes de pieds et de mains sont immortalisées sur le parvis du Grauman's Chinese Theatre ; elle a d'autre part été honorée le 8 février 1960 par une étoile au Hollywood Walk of Fame, au 6850 Hollywood Boulevard
Hommages
En 2001, Renee Henderson fait un portrait de Jane Russell dans la série Blonde, tirée de la nouvelle de Joyce Carol Oates.
Jane Russell est une actrice et chanteuse américaine, née le 21 juin 1921 à Bemidji (Minnesota) et morte le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie).
Jane Russell est la seule fille de Roy William Russell (5 janvier 1890 - 18 juillet 1937) et de Geraldine Jacobi (2 janvier 1891 - 26 décembre 1986). Suivront quatre frères : Thomas Ferris Russell (né le 16 avril 1924), Kenneth Steven Russell (né le 2 septembre 1925), James Hyatt Russell (né le 9 février 1927) et Wallace Jay Russell (né le 31 janvier 1929).
Trois de ses grands parents sont nés au Canada, alors que sa grand-mère maternelle est née en Allemagne. Ses deux parents sont nés dans l'état du Dakota du Nord et se marient en 1917. Son père était lieutenant dans l'armée américaine et sa mère actrice dans une troupe ambulante. Alors que Jane était enfant, la famille déménage temporairement au Canada, puis dans la vallée de San Fernando en Californie du Sud. En 1930, les Russell vivent, à Burbank en Californie. Le père y travaille alors comme directeur d'une manufacture de savon.
La mère de Jane s'occupe de lui trouver des leçons de piano. En plus de la musique, Jane aime le théâtre et participe à des mises en scène à la Van Nuys High School. À ses débuts, elle voulait devenir styliste. À la mort de son père (à l'âge de 46 ans), Jane n'a que seize ans. Elle se décide à travailler comme réceptionniste. Elle est aussi modèle pour quelques photographes et, sur l'insistance de sa mère, étudie l'art dramatique avec la troupe de Max Reinhardt dont faisait partie la célèbre actrice russe Maria Ouspenskaïa
En 1940, Jane Russell signe un contrat de sept ans avec le millionnaire Howard Hughes et fait ses grands débuts dans Le Banni (The Outlaw) en 1943, où son visage somptueux est remarqué. Bien que le film soit tourné en 1941, il n'est diffusé que deux ans plus tard, pour un public limité, en raison de la censure qui trouvait sa poitrine un peu trop avantageusement filmée. Le film est enfin autorisé pour le grand public en 1946. À ce moment-là, l'actrice tournant des publicités, devient célèbre.
Contrairement à ce que disent régulièrement les médias de l'époque et ceux d'aujourd'hui encore, lors du tournage du Banni, Jane ne porte pas de sous-vêtements spéciaux, destinés à mettre sa poitrine en valeur, alors qu'Howard Hughes en a spécialement fait faire pour ce film. Dans son autobiographie publiée en 1988, elle affirme que le soutien-gorge de Hughes n'était pas du tout confortable et qu'elle préférait tourner avec le sien, les bretelles tombantes.
Aux côtés de Lana Turner et de Rita Hayworth, Jane Russell affirme de mieux en mieux son style sensuel, profitant de ses mensurations avantageuses, 90D-61-91 (38D-24-36 en mensurations US) pour 1,70 m. Malgré les railleries venant de la radio et des comiques, notamment Bob Hope qui la présente comme « the two and only Jane Russell » (« la double et unique Jane Russell »), ses photos assombries sur fond de botte de foin, sa jeunesse, sa sensualité, sa poitrine, ses corsages et sa beauté, en font une des pin-ups favorites auprès des soldats américains lors de la Seconde Guerre mondiale.
Bien que Le Banni ne soit pas un western spectaculaire, il a les honneurs du box office. Le seul intérêt d'Howard Hughes est sa nouvelle recrue, le film étant la vitrine de son incroyable visage. Elle refuse par la suite d'interpréter le rôle de Doña Sol dans Arènes sanglantes (Blood and sand) de Darryl F. Zanuck (le rôle fut confié à Rita Hayworth).
Elle ne tourne pas d'autre film jusqu'en 1946, où elle joue Joan Kenwood dans L'Esclave du souvenir (Young Widow) pour la RKO Pictures. Bien que ses premiers films ne rendent pas tellement justice à son jeu d’actrice, ils aident à orienter sa carrière vers une élégance que l’on peut définir par un mélange de cynisme et de simplicité.
En 1947, elle tente de se lancer dans une carrière musicale, elle enregistre un disque avec l'orchestre de Kay Kyser : As Long As I Live. Elle joue avec talent de nombreux rôles, dont Calamity Jane aux côtés de Bob Hope dans Visage pâle (The Pale face, 1948) et avec Mike Delroy dans Le Fils de visage pâle (Son of Paleface, 1952), le tout, sous contrat avec la Paramount Pictures.
Jane Russell arrive au sommet de sa carrière comique avec le rôle de Dorothy Shaw dans Les hommes préfèrent les blondes de 1953 avec Marilyn Monroe, à la 20th Century Fox, probablement son meilleur rôle. Le film a eu et a toujours un énorme succès et la révéla comme actrice de talent.
Elle apparaît dans deux films aux côtés de Robert Mitchum : Fini de rire (His kind of woman) (1951) et Le Paradis des mauvais garçons (Macao) (1952). D'autres grandes stars furent à ses côtés : Frank Sinatra et Groucho Marx dans la comédie Une veine de... (Double dynamite) (1951) ; Victor Mature, Vincent Price et Hoagy Carmichael dans Scandale à Las Vegas (The Las vegas story) (1952) ; Jeff Chandler dans La Muraille d'or (Foxfire) (1955) ; Clark Gable et Robert Ryan dans Les Implacables (The Tall man) (1955).
La production d'Howard Hughes, French line (The french line) (1954) montre une Jane Russell pour l'une des dernières fois dans un maillot de bain une pièce, avec une coupe toutefois stratégique, dont elle tire avantage en exécutant un numéro provocateur, intitulé Lookin' for Trouble. Dans son autobiographie, elle révèle que ce maillot de bain n'était qu'une alternative à la suggestion initiale d'Howard Hughes qu'était le bikini, un choix osé pour un film de 1954. L'actrice affirme avoir initialement porté le bikini devant les techniciens alors « horrifiés », tout en se sentant très dénudée.
Jane Russell et son premier mari, ancien quarterback au football américain, Bob Waterfield, fondent la Russ-Field productions en 1955. Ils produisent Les hommes épousent les brunes (Gentlemen marry brunettes, 1955), Le Roi et Quatre Reines (The King and Four Queens, 1956) avec Clark Gable et Eleanor Parker, ainsi que Run for the Sun (1956) et The Fuzzy Pink Nightgown (1957).
Ses apparitions dans Les hommes épousent les brunes avec Jeanne Crain et dans le drame Bungalow pour femmes (The Revolt of Mamie Stover) (1956) mettent en valeur son jeu d'actrice. Cependant, à la suite de Kidnapping en dentelles (The Fuzzy pink night gown, 1957) qui ne tient pas le haut de l'affiche, elle n'apparaît plus à l'écran pendant sept ans.
En octobre 1957, Jane Russell commence un numéro dans un célèbre nightclub de Las Vegas, le Sands Hotel. Elle signe par la suite des tournées aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Amérique du Sud et en Europe. À l'été 1961, elle fait ses débuts dans Janus[Quoi ?]. À la fin de l'année, elle se produit à Chicago au Drury Lane Theatre. En novembre 1962 elle est à l'affiche de Bells Are Ringing à New York.
Dans le film Fate Is the Hunter (1964), elle joue son propre rôle. Seuls quatre autres films suivent. En 1971, elle joue dans la comédie musicale Company on Broadway où elle remplace Elaine Stritch.
En 1985 elle écrit son autobiographie : Jane Russell: My Path and My Detours.
Vie privée et mort
Bien que son image à l'écran fut celle d'une pin-up provocante, la vie privée de Jane Russell ne connaissait pas de scandales, contrairement à ce qui se passait pour certaines autres actrices de cette époque (Lana Turner par exemple).
L'actrice s'est mariée trois fois : avec Bob Waterfield, un ancien joueur de football américain entré au Hall of Fame (mariés le 24 avril 1943, divorcés en juillet 1968), avec l'acteur Roger Barrett (mariés le 25 août 1968, décédé le 18 novembre 1968) et enfin avec l'agent immobilier John Calvin Peoples (mariés le 31 janvier 1974, décédé le 9 août 1999), avec qui elle vécut à Sedona en Arizona.
Dans son autobiographie de 1985, elle révèle qu'elle fut enceinte à l'âge de 19 ans. S'ensuivit un avortement illégal qui fut si mal mené que sa vie fut en danger pendant quelques jours. En l'examinant aux urgences de l'hôpital, un médecin s'exclama : « Quel boucher vous a fait ça !? » Après ces évènements, Jane Russell fut incapable d'enfanter. Elle milita alors contre l'avortement. En février 1952, elle et Bob Waterfield adoptent une petite fille, Tracy, puis un bébé de 15 mois, Thomas ; en 1956, ils adoptent un bébé de neuf mois, Robert John. En 1955, elle fonde la « World Adoption International Fund » (WAIF), une organisation chargée de placer les enfants dans les familles qui fait beaucoup pour l'adoption d'enfants étrangers par les Américains.
Dans son autobiographie, elle dit avoir échappé à deux tentatives de viol sans traumatisme. Elle affirme aussi que son premier mariage fut détruit par des soupçons d'adultère (des deux côtés) et par la violence, mais aussi qu'elle était alcoolique dès son adolescence. Elle révèle que la religion chrétienne l'a aidée à se reconstruire.
Alors qu'elle est au sommet de sa carrière, elle fonde le « Hollywood Christian Group » qui se rassemble une fois par semaine chez elle pour étudier la Bible. De grandes célébrités s'y rendent.
Républicaine engagée, elle participe à la campagne et à l'élection de « Ike » Eisenhower aux côtés de Lou Costello, Dick Powell, June Allyson, Anita Louise, Louella Parsons et d'autres personnalités conservatrices.
Jane Russell meurt le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie) à l'âge de 89 ans
Sibeth Ndiaye nommée à la "Commission nationale des talents", une instance de LREM
Par SudOuest.fr
Publié à 14h59
L’ex-porte-parole du gouvernement sera chargée de désigner les nouveaux "talents" et référents de La République en marche dans les territoires
À peine a-t-elle quitté le gouvernement qu’elle reprend déjà du service au sein de la République en Marche. L’ex-porte-parole Sibeth Ndiaye a été nommée pour faire partie de la "Commission nationale des talents" (CNT), une nouvelle instance du mouvement présidentiel, affirme Le Figaro.
Le rôle de la CNT est de choisir les futurs référents du mouvement présidentiel dans les territoires. L’objectif est "d’améliorer la parité, la représentation de la diversité et l’émergence de nouveaux talents dans le mouvement" précise Jean-Marc Borello, membre du bureau exécutif de LREM et co-président de cette commission. Elle sera composée de 11 membres titulaires et de 8 suppléants.
Binômes paritaires
Une soixantaine de référents seront nommés d’ici la fin de l’année, sous forme de binômes paritaires. Avec cette instance, LREM souhaite corriger son manque d’implantation dans les territoires et préparer ainsi les prochaines élections départementales et régionales de 2021, après l’échec des municipales. La participation de Sibeth Ndiaye à cette mission "témoigne de son attachement au mouvement et de sa volonté de rester présente aux côtés des marcheurs", indique l’entourage de Stanislas Guerini.
Éric Dupond-Moretti, un "amateur" au ministère de la Justice?
Le nouveau garde des Sceaux se vante d'une "connaissance charnelle" de l'institution judiciaire. Quitte à laisser apparaître certaines lacunes techniques.
Par Anthony Berthelier
POLITIQUE - Il s’est fait tout petit devant l’Assemblée. Prenant la parole pour la première fois au Palais Bourbon, Éric Dupond-Moretti n’a pas chanté de couplet de Georges Brassens, comme il lui était arrivé de le faire aux Assises pour surprendre et séduire son auditoire. Il a balbutié, s’est arrêté, réclamant l’indulgence des députés, visiblement déstabilisé par le chahut permanent de l’hémicycle de la chambre basse.
Champion des acquittements, admiré pour sa verve mais critiqué pour ses excès de langage dans sa précédente vie de ténor du Barreau, le nouveau garde des Sceaux effectue des premiers pas scrutés aux responsabilités. Loin du silence feutré des cours d’assises et des tribunaux, Éric Dupond-Moretti est notamment dans le viseur des associations féministes qui l’accusent de sexisme après ses réticences à l’égard du mouvement #MeToo.
Mais au-delà de ces polémiques, celui qui vante sa “connaissance charnelle” de la justice française a déjà trébuché sur plusieurs de ses dossiers, des violences conjugales à la réforme du parquet. Rien de surprenant pour un ancien avocat pénaliste de ne pas maîtriser à la perfection l’ensemble des sujets touchant à l’institution judiciaire.
Des réformes ”à l’instinct”
“C’est un ministère qui est plus complexe qu’on ne le pense. Quand on dit garde des Sceaux, on voit le côté justice, magistrats mais c’est très divers”, raconte au HuffPost l’ancien ministre de la Justice Michel Mercier (2010-2012), ajoutant: “c’est un ministère où le temps long est très important sinon on est très rattrapé par les sujets d’actualités.”
Éric Dupond-Moretti a déjà lui-même reconnu que cette mandature ne lui permettrait pas d’aller au bout de certains projets dont il rêvait. “Je souhaite être le garde des Sceaux qui portera enfin la réforme du parquet tant attendue”, promettait-il lors de la passation de pouvoir avec sa prédécesseur Nicole Belloubet. Réviser la Constitution reste son objectif pour revoir la nomination des magistrats.
Mais deux semaines plus tard, il n’est plus question de réformer l’École nationale de la magistrature ni de toucher à la séparation du siège et du parquet, deux points qui lui sont chers. Comme il ne pourra pas tout faire en 600 jours, il confie au JDD aborder ses missions ”à l’instinct” et avec “des idées.” Quitte à ne pas cacher certaines lacunes.
“Si ces chiffres sont avérés...”
Auditionné par la Commission des lois de l’Assemblée nationale, Éric Dupond-Moretti a souvent demandé de l’aide ou des précisions à ses “professeurs”, selon ses termes pour désigner deux de ses collaborateurs. Réclamant, comme dans l’hémicycle, l’indulgence des députés, pour sa “première”, le nouveau garde des Sceaux a fait montre d’une grande humilité... et d’une méconnaissance de certains sujets.
Il a notamment remis en cause les chiffres des viols et tentatives de viol pourtant diffusés par le gouvernement. “Je ne sais pas d’où vous tenez ces chiffres. Je souhaiterais savoir comment on obtient ces chiffres parce que c’est assez curieux de pouvoir dire qu’autant de faits ont été avérés sans que des plaintes aient été déposées. Ils me paraissent effrayants s’ils correspondent à une réalité, effrayants”, réagissait-il face à un député socialiste, lui expliquant que, sur 93.000 viols ou tentatives par an, seules 1000 condamnations étaient prononcées.
Des doutes qui n’ont pas franchement rassuré les associations féministes, même si le ministre a confessé, après une interruption, avoir mal compris les chiffres avancés par Hervé Saulignac.
“Il fait un travail qu’il n’a jamais fait”
Quelques minutes plus tard, c’est une question du garde des Sceaux lui-même qui a attiré l’attention. Interrogé par un élu sur la haine en ligne, Éric Dupond-Moretti s’est demandé, à haute voix, si “techniquement” on pouvait “intervenir pour interdire l’anonymat.” Et d’ajouter: “ma question est celle-là et si vous pouvez m’aider à la résoudre, je suis tout à fait preneur.”
Le lendemain, c’est au Sénat que le garde des Sceaux s’est pris les pieds dans le tapis. Il a d’abord affirmé que le président de la République avait “dit” qu’il allait convoquer le Congrès pour réviser la Constitution, avant de revenir sur ses propos.
Devant ces quelques exemples, l’entourage d’Éric Dupond-Moretti plaide une sorte d’effet de loupe grossissante. “Il fait l’objet d’une très grande attention médiatique que peu de gardes des Sceaux, dans leur installation, ont connu. Des auditions parlementaires au Sénat comme à l’Assemblée nationale on peut retenir qu’il n’a pas été parfait. On peut aussi se dire que deux questions qui obtiennent des réponses pas totalement exactes sur 5 heures d’audition, c’est vraiment honorable”, assume-t-on au ministère de la Justice.
Et d’ajouter, pour montrer l’activité du ministre: “quinze jours après sa nomination il a défendu trois projets et propositions de loi, il a été auditionné par deux commissions parlementaires dont la première a duré trois heures sous un feu nourri de questions. Il a effectué de nombreux déplacements le tout en constituant son équipe, rencontrant les représentants des magistrats ou encore des syndicats et en travaillant avec son administration.”
“Il faut énormément travailler”
Un rythme auquel le garde des Sceaux va devoir s’habituer. “Quoi qu’on pense des responsables politiques, quand on est dans un ministère comme celui-là, il faut énormément travailler. Il y a beaucoup de choses à faire et des choses très diverses. Il faut à la fois préparer le droit pénal de demain, être un peu dans l’actualité, dans le numérique et jongler avec le plus classique”, raconte Michel Mercier au HuffPost.
“Il doit encore bosser ses dossiers”, confirme à Libération le magistrat honoraire Luc Frémiot, qui fréquentait Éric Dupond-Moretti à Lille, devant l’immensité de la tâche. Et d’ajouter: “même si on ne peut pas plonger comme ça quelqu’un dans le grand bain et attendre de lui une attitude cohérente et une connaissance encyclopédique sur chaque sujet.”
Reconnaissant certaines lacunes dès la passation de pouvoir, le nouveau garde des Sceaux oppose de son côté une “connaissance humaine” de l’institution. “Pendant près de 36 ans, j’ai sillonné la France dont je connais tous les tribunaux. Je le confesse, je n’ai pas de la justice une connaissance technocratique”, avançait le ministre lors de son premier discours place Vendôme, ajoutant avec émotion: “je la connais humainement, je la connais intimement, je la connais charnellement.”
De quoi expliquer le choix d’Emmanuel Macron pour la Chancellerie? En février dernier, le chef de l’État exigeait de ses députés qu’ils soient “fiers d’être des amateurs.” Éric Dupond-Moretti l’avait visiblement entendu.
Laëtitia Milot, née le 5 juillet 1980 à Limoges est une actrice, mannequin et écrivain française. Elle est principalement connue pour son rôle de Mélanie Rinato dans le feuilleton populaire Plus belle la vie. Elle a participé à la quatrième saison de Danse avec les stars et a fini 3e.
Fille d'un militaire et d'une infirmière elle passe son enfance à Saint-Gence près de Limoges. Elle suit des études en section sports-études aux conservatoires de Tours (1990-1994) puis d'Aix-en-Provence (1994-1997).
De 2001 à 2002, elle fait partie d'une troupe de théâtre avec la Compagnie du Ruban vert.
Denzel Hayes Washington, Jr. est un acteur et réalisateur américain, né le 28 décembre 1954 à Mount Vernon (État de New York).
Denzel Washington est connu pour ses films engagés comme Glory (qui lui valut l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle), Malcolm X et Philadelphia. Il est aussi connu pour être le deuxième acteur afro-américain, après Sidney Poitier, à avoir remporté l'Oscar du meilleur acteur, pour son rôle de flic ripoux dans le thriller Training Day.
Acteur fétiche des réalisateurs Tony Scott (USS Alabama, Man on Fire, Déjà vu, L'Attaque du métro 123, Unstoppable) et Spike Lee (Mo' Better Blues, Malcolm X, He Got Game, Inside Man : L'Homme de l'intérieur), il a également collaboré à plusieurs reprises avec Edward Zwick (Glory, À l'épreuve du feu, Couvre-feu), Jonathan Demme (Philadelphia, Un crime dans la tête), Norman Jewison (A Soldier's Story, Hurricane Carter) ou encore Carl Franklin (Le Diable en robe bleue, Out of Time).
Denzel Washington est le fils d'un pasteur protestant, Denzel Washington Sr, originaire du comté de Buckingham, dans le Commonwealth de Virginie, et de Lennis « Lynne », esthéticienne et propriétaire d'un salon de beauté, née en Géorgie et ayant passé son enfance à Harlem.
Il est scolarisé à la Pennington-Grimes Elementary School de Mount Vernon jusqu'au divorce de ses parents, en 1968, alors qu'il est âgé de 14 ans. Il est alors envoyé dans une école privée, la Oakland Military Academy, à New Windsor dans l'État de New York.
À partir du début des années 1970, il fait ses études secondaires à la High School Maryland à Daytona Beach, en Floride. Par la suite, il fait ses études universitaires à l'université Fordham, où il étudie d'abord la biologie et la médecine, mais préfère s'orienter vers le journalisme et le théâtre. Durant ses études de théâtre, il a incarné des personnages tels The Emperor Jones de Eugene O'Neill et Othello (de William Shakespeare) et obtient par la suite son Bachelor of Arts en théâtre et en journalisme. L'année suivante, il découvre aussi l'art dramatique et prend la décision de devenir comédien ; il s'inscrit à la Lincoln Center campus de la Fordham University et reçoit des encouragements pour suivre des études en art dramatique. Une fois diplômé, il quitte New York pour parfaire ses études en art dramatique à l'American Conservatory Theater San Francisco qui lui accorde une bourse pour étudier l'art dramatique pendant deux ans. Il débute en jouant des grandes pièces comme When the Chickens Come Home to Roost, dans laquelle il est déjà dans la peau de Malcolm X ; et pour son interprétation dans cette pièce dans laquelle il incarne Malcolm X, il reçoit l'Audelco Award. Après ses études, il retourne à New York pour entamer sa carrière d'acteur.
En 1977, il débute à la télévision avec le téléfilm Wilma. En 1981, il enchaîne par la suite avec le téléfilm Flesh and Blood réalisé par Jud Taylor ; il débute au cinéma avec le film Carbon Copy. En 1982, il apparaît dans la série télévisée St. Elsewhere.
En 1987, il incarne Steve Biko un leader noir qui lutte contre l'Apartheid. En 1989, Pour sa performance dans Glory, il reçoit l'Oscar du meilleur second rôle masculin.
En 1990, Denzel Washington rencontre Spike Lee qui le fera jouer dans Mo' Better Blues. Le succès du film Do the Right Thing (1989) permettra à Spike Lee de réaliser le film Malcolm X, après avoir évincé du projet le cinéaste Norman Jewison. Il offre par la suite le rôle de Malcolm X à Denzel Washington et y dresse un portrait favorable de l'activiste afro-américain « violent, insolent, et provocant» comme l'indique le slogan du film sorti en 1992.
Denzel Washington incarna avec virtuosité le leader charismatique des musulmans noirs et c'est ce film qui le rend célèbre ; il est nommé aux Oscars pour ce rôle.
Ce film aura pour effet que Denzel Washington s'imposera comme un leader charismatique des acteurs noirs supplantant ainsi Eddie Murphy qui l'était durant toutes les années 1980
Après son interprétation de Malcolm X, il a refusé d'incarner Martin Luther King, car à l'époque, l'acteur ne voulait pas se laisser cataloguer dans un type de personnage.
En 1993, il joue le rôle d'un noble shakespearien dans Beaucoup de bruit pour rien; c'est dans L'Affaire Pélican (avec Julia Roberts) que Denzel Washington explose aux yeux du grand public. Après ce film, il joue la même année le rôle d'un avocat de la défense dans Philadelphia. Il enchainera par la suite de nombreux films jusqu'en 1999 et c'est Training Day (aux côtés d'Ethan Hawke) qui lui apportera l'Oscar du meilleur acteur pour le rôle d'Alonzo Harris en 2002. Il gagne l'Oscar du meilleur acteur face à Will Smith qui est l'acteur noir le plus bankable, et confirme son statut de nouveau symbole noir d'Hollywood.
Fort de son expérience d'acteur, il décide de passer à la réalisation en 2003 avec un premier long métrage intitulé Antwone Fisher qui raconte l'histoire d'un jeune noir de la marine américaine forcé de consulter un psychiatre de la Navy.
Après 2003, il trouve sa voie dans les reprises, comme en témoignent ses prestations dans Man on Fire, Un crime dans la tête (aux côtés de Meryl Streep), deux thrillers sortis en salles en 2004, de même que dans L'Attaque du métro 123 de Tony Scott.
Denzel Washington s'est surtout spécialisé dans les représentations de figures réelles, comme Steve Biko, Malcolm X, Rubin Carter, Frank Lucas, et bien d'autres.
Depuis 1983, il est marié avec l'actrice Pauletta Pearson.
Michael Sylvester Gardenzio Stallone, dit Sylvester Stallone né le 6 juillet 1946 à New York, dans le quartier de Hell's Kitchen, dans l'État de New York, aux (États-Unis), est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain.
Après avoir commencé dans des petits rôles au début des années 1970, il se révèle au grand public en 1976 dans Rocky où sa prestation lui vaut d'être nommé aux Oscars, aux Golden Globes et aux BAFTA du meilleur acteur et du meilleur scénario original. Ce succès considérable lance sa carrière, engendre une série de huit films rencontrant un important succès critique et commercial, dont le récit narre l'histoire d'un boxeur originaire de Philadelphie. Outre l'incarnation du rôle principal, il y assure régulièrement la réalisation et l'écriture. Son interprétation de Rocky Balboa s'étale sur plus de quarante ans et lui permet de remporter le Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle en 2016 ainsi qu'une troisième nomination aux Oscars dans la même catégorie.
En parallèle, il poursuit dans le registre sérieux et dramatique avec des films comme F.I.S.T. (1978), La Taverne de l'enfer (1978), Les Faucons de la nuit (1981) et travaille pour des réalisateurs réputés tels Norman Jewison et John Huston. En 1982, son incarnation d'un soldat traumatisé par la guerre du Viêt Nam dans Rambo lui permet d'obtenir le deuxième rôle le plus emblématique de sa carrière. Le succès du film entraine la production d'une série de quatre suites centrées autour du personnage éponyme. À partir du milieu des années 1980, il s'oriente vers les productions à gros budget : les suites de Rambo, Tango et Cash, Cliffhanger, Demolition Man ou encore la série de films Expendables. Hormis quelques drames tels Copland, les suites de Rocky et plusieurs tentatives dans la comédie, les films d'action deviennent son principal genre d'interprétation.
Il possède depuis 1984 son étoile sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.
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