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Fusils, mousquetons utilisés (Guerre) : France

Publié à 21:51 par dessinsagogo55 Tags : france centerblog sur merci
Fusils, mousquetons utilisés (Guerre) : France

Seconde Guerre mondiale

France - armée de terre

Fusils, mousquetons

Berthier 1892 M16 (1916 # mousqueton)

Berthier Mle 07-15 M16 / M34 (1916, 1934 # fusils)

Lebel M1886 / M27 (1887, 1934 # fusil)

Lebel M35 (1935 # mousqueton)

 

MAS 36 / MAS 40 (1936, 1940 prototype # fusils)

 

 
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MAS 36

MAS 36

 

Le fusil modèle 1936 est adopté par l'armée française pour remplacer le Lebel modèle 1886/93 ainsi que les armes du système Berthier modèle 07/15M16 et 1892M16. Il était fabriqué par la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. L'arme, utilisée pendant plus de cinq décennies, est appelée simplement MAS 36 par ses utilisateurs militaires.

  Développement

 

À la fin du premier conflit mondial, la cartouche de 8 mm Lebel est considérée comme obsolète et une nouvelle cartouche est adoptée en 1924. Un nouveau programme d'armement est lancé avec comme priorité le développement d'un fusil mitrailleur succédant aux CSRG 1915 Chauchat.

Si le remplacement du FM Chauchat était jugé « prioritaire  », l'armée française jugera la production d'un fusil neuf comme « prohibitif  » et choisira un programme de « transformation » des armes en stock.

L'idée était valable en théorie mais s’avérera un échec, la conversion du fusil modèle 1886 M27 sera jugé comme trop compliquée et coûteuse et il faudra attendre 1934 pour voir le fusil 07-15 (dit Berthier) modifié pour chambrer la nouvelle cartouche. L'histoire n'est pas terminée car l'armée adoptera la transformation R35 applicable aux fusils 1886 « Lebel » et c'est finalement en 1936 qu'une arme moderne est adoptée. Celle ci est conçue pour être facile à produire et peu coûteuse, la première version comporte seulement 65 pièces.

De façon classique le fusil MAS36 est alimenté par un boitier-chargeur de type Mauser tout en possédant des caractéristiques parfaitement françaises.

La culasse est un exemple de simplicité : elle est à corps cylindrique avec levier d'armement coudé et comporte deux tenons de verrouillage dans sa partie arrière, un simple extracteur à griffe robuste, et ne se compose que de 5 éléments démontables :

le corps de la culasse ;

le bouchon arrière ;

le percuteur ;

le ressort du percuteur ;

l'extracteur (non démontable par l'utilisateur)

Une des autres caractéristiques de cette arme est de posséder une baïonnette cruciforme de type Lebel, celle-ci est rentrée dans un logement creusé dans le garde-main. On peut aussi noter l'absence de sûreté, car selon la doctrine française, ce fusil devait être approvisionné en munitions au tout dernier moment.

La crosse est relativement courte, la poignée épaisse, par rapport aux autres fusils, et bien adaptée aux besoins de l'époque. Les derniers descendants du système MAS 36, sont les fusils réglementaires de précision FR-F1 et FR-F2 pour tireurs d'élite (qui ont des pièces compatibles avec le MAS 36, notamment la culasse malgré son levier redessiné, ou la crosse parfaitement interchangeable), dont le lien de parenté avec leur aîné est indéniable.

Il fut remplacé à partir des années 1950 par le fusil semi-automatique MAS 49 puis par le MAS 49/56, pour les premières lignes, mais utilisé encore, après les années 1980 dans les troupes d'Outre-Mer et pour l'armement des unités de réserve de seconde ligne jusqu'à la disparition de la réserve générale de l'armée française après l'adoption du plan « Armées 2000 ». En 2010, des MAS 36 étaient toujours utilisés dans la Marine nationale comme FLA (Fusil Lance Amarre).

 

Versions et dérivés

 

 
Gendarmes équipés avec le MAS 36 durant la Lutte du Larzac
 
 

Il existe huit versions du MAS 1936.

 

MAS 36 « premier modèle »

 

Les garnitures métalliques sont noires, cuites au four. Sa production date d'avant la Seconde Guerre mondiale. Son embouchoir est en métal usiné et comporte deux oreilles de protection pour le guidon qui permettent de l'identifier au premier regard.

MAS 38 TR (Tir Réduit) Calibre 5,5

 

C'est un MAS 36, doté d'un canon de calibre .22, que l'on utilise en chargeant le magasin avec des cartouches-relais utilisant un percuteur décalé transformant la percussion centrale en percussion annulaire et contenant une cartouche de calibre .22 long rifle. Cette transformation, si elle avait le défaut d'exiger l'emploi de ces coûteuses cartouches-relais, permettait d’entraîner les recrues au tir à répétition comme avec l'arme militaire en calibre 7,5 mm. La mise en service de cette arme fut retardée par l'entrée en guerre et ses exigences de fabrication. Les premiers exemplaires ne furent livrés que vers 1942 et servirent à l’entraînement de l'armée d'armistice. Après la guerre, l'armée française préféra utiliser pour l'instruction diverses carabines calibre .22 disponibles en quantité et plus économiques comme la Mauser/MAS 45 ou encore la « Falke modèle 36 »

 

MAS 36 « deuxième modèle »

 

Les garnitures métalliques sont phosphatées, vert olive. Sa production date d'après 1945. C'est la version la plus produite avec sa dérivée, le MAS 36/51. Son embouchoir est en tôle emboutie avec un tunnel de protection pour le guidon, tout comme la plaque de fond de magasin. Elle a équipé tous les régiments et formations de l'armée française à un moment ou à un autre, puis les troupes de réserve, le fusil MAS 49/56 étant affecté prioritairement aux régiments endivisionnés, à la gendarmerie, mais aussi à l'administration pénitentiaire…

 

MAS 36 CR (Crosse Repliable) 39

 

Version munie d'une crosse repliable en aluminium adoptée en 1939 par les chasseurs alpins et les Groupes d'Infanterie de l'Air, précurseurs des régiments parachutistes. Le canon de 45 centimètres est plus court que sur le MAS 36 standard, et même la baïonnette en est raccourcie avec 290 millimètres seulement. Cette arme fut utilisée à Narvik pour la première fois en mai-juin 1940. Après 1945, elle fut distribuée aux troupes aéroportées combattant en Indochine et en Algérie, sa longueur réduite permettant de la fixer sur le dessus du parachute ventral pour les opérations. Toutefois, les utilisateurs lui préféraient l'USM1 semi-automatique aussi précise, quoique beaucoup moins puissante, reprochant au MAS 36 CR 39 un recul violent et désagréable au contact du métal de la crosse, aggravé par les températures négatives de certains théâtres d'opérations. Lors de la guerre du Golfe en 1990, les équipages des avions de transport de l'Armée de l'air, notamment sur C 160 Transall, eurent la surprise de percevoir leurs lots de survie où figuraient encore des MAS 36 CR 39 flambant neufs, avant leur remplacement par des carabines double express de fabrication française.

 

 

MAS 36 LG (Lance-Grenades) 48

 

C'est un MAS 36 muni d'un canon renforcé avec marquage « G » et d'une alidade de visée permettant de tirer la grenade à fusil Modèle 1948, dérivée de l'obus empenné du lance-grenades de 50 MM modèle 1937. Il a été adopté en 1948 et employé en Indochine pour finir sa carrière en Algérie. Les derniers exemplaires en service furent remis au standard général du modèle 36 après 1962, lors du retrait des arsenaux des grenades à fusil modèle 1948.

 

MAS 36/51

 

Ce modèle est doté d'un canon étoffé et d'une alidade à deux inclinaisons, 45 et 90 degrés, rabattable et s'incluant dans le garde-main pour lancer des grenades à empennage aux normes OTAN ayant un tube de propulsion au diamètre de 22 mm, modèles F1 dans la nomenclature armée française, pour l'engagement en tir antipersonnel, antichar et d'exercice, en tir tendu et tir vertical. Certains exemplaires ont été équipés d'un manchon de type tromblon destiné au tir de lacrymogènes et fumigènes pour les opérations de maintien de l'ordre et figurent encore dans les registres d'armureries de la Gendarmerie et des Compagnies Républicaines de Sécurité. C'est pour ce modèle que les patins caoutchouc de crosse seront fabriqués par la MAS.

 

MAS FUSTAN

 

C'est un MAS 36 d'instruction au tir de calibre 22 Long Rifle fonctionnant sans nécessiter l'emploi de cartouches-relais, comme sur le MAS 36 calibre 5,5 de tir réduit (TR) fabriqué en petites quantités par la MAS pour l'armée d'armistice. Le MAS FUSTAN est une arme à un coup, dotée d'un canon lourd, sous lequel se trouve un tube pouvant être lesté pour servir de contrepoids. Il est équipé d'une hausse micrométrique à dioptre copiée sur la hausse Lyman n° 48. Cette arme a probablement été fabriquée à la MAS après guerre, en utilisant des pièces de présérie fabriquée par la section d'essai (SE) de la MAS, en vue de l'adoption d'un fusil d’entraînement en calibre .22 plus simple d'emploi que le MAS 36 calibre 5,5 T.R. : le MAS 36 au calibre 5,5 type S.E MAS 1942. Cette arme n'ayant jamais été adoptée, un petit lot de pièces restait disponibles, qui furent assemblées à la MAS sur commande de la Fédération des Unions et Sociétés de Tir d'Afrique du Nord (FUSTAN). Le nombre d'armes remontées fut probablement inférieur à 200, le numéro de série le plus élevé connu est 191. Beaucoup furent détruites lorsque les pieds noirs durent quitter hâtivement l'Algérie après les accords d'Évian. C'est donc une version très rare, les troupes françaises ayant délesté les rapatriés des quelques exemplaires sauvegardés à leur débarquement à Marseille.

Neutralisations des fusils MAS 36

 

Le fusil MAS 36 comporte une baïonnette cruciforme de type Lebel est rentrée dans un tube du garde main, sous le canon. Pour la fixer on la sort par le bouchon et on la retourne en encliquetant le bouchon dans le tube.

En cas de prise imminente par l'ennemi, le MAS 36 peut être neutralisé de manière quasi-définitive. Il suffit d'enlever les baïonnettes de deux MAS 36, de se faire face avec ces deux armes, d'en retourner une et d'enfiler les canons dans les logements de baïonnette de l'arme faisant face.

Ce système complète la destruction de la culasse, trop facilement remplaçable car très simple de fabrication.

Des trous ont toutefois été aménagés afin que les armuriers puissent quand même agir.

 

 

Sabots de crosse

 

Le MAS 36 est une arme relativement courte si on la compare aux autres armes modernes en service à cette époque. Placé à côté d'un fusil M1 Garand, la différence est significative.

Afin de pouvoir amortir le recul lors de son adaptation au tir des grenades à fusil, un sabot de crosse en caoutchouc est fourni dans l'unité de conditionnement à partir de 1951. Des cales de cinq et dix millimètres pouvaient alors même être intercalées à l'intérieur du sabot afin d'adapter l'arme aux différentes morphologies des utilisateurs.

Il existe deux tailles de sabot de crosse qui comportent la mention MAS et l'année de fabrication. Il semble que le sabot de crosse réglementaire n'existe sous cette forme que pour le MAS.

 

Organes de visée

 

Les organes de visée semblent rudimentaires. Le guidon est un trapèze, presque un rectangle, entouré par deux oreilles ou par un tunnel, selon la version de l'arme. Le guidon est très peu dérivable, fixé au canon par un système de tenon-mortaise et souvent soudé à l'étain par l'atelier APC (Atelier Petit Calibre), armement petit calibre, pour éviter les déréglages dus aux manipulations subies par une arme en service, chute lors des séances d'ordre serré, par exemple...

La hausse réglable en hauteur et fixée sur l'arrière de la carcasse est une planchette avec une œilleton percé en son centre.

C'est en fait un système plus fiable et précis que celui du Mauser, du fait de l'allongement de la ligne de mire offerte au tireur.

La planchette de hausse d'origine est frappée d'un « N » pour neutre.

Lors des tirs d'essai, si le MAS tire trop haut, trop bas à droite ou à gauche, la planchette de hausse pouvait être remplacée en régiment par un armurier à l'atelier APC (Atelier Petit Calibre), aussi dénommé premier échelon, selon un tableau fourni par la MAS afin d’affiner la précision de l'arme.

Ce système est inédit et il faut le dire peu pratique. Toutes les autres armes, hormis le Carcano à visée fixe, sont réglables par le tireur, finement comme sur le Garand ou le Lee-Enfield ou plus grossièrement comme sur le Mauser ou le Mosin-Nagant.

 

Diffusion

 

En plus de la France (armée de terre, armée de l'air, Marine nationale, Gendarmerie), il était encore utilisé dans le milieu des années 1980, notamment comme arme d'instruction en école de gendarmes auxiliaires, les 1 200 000 fusils MAS 36 furent réglementaires dans les armées de nombreuses anciennes colonies françaises en Afrique (Algérie, Bénin, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo, Côte d'Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Guinée-Bissau, Madagascar, Maroc, Mauritanie, Niger, Sénégal, Seychelles et Tchad. De même, il a été fourni aux supplétifs levés au Cambodge, Laos et dans l'État du Viêt Nam lors de la guerre d'Indochine. Il se retrouva ainsi aux mains du Viêt Minh. Pendant la guerre du Viêt Nam, il termina sa carrière militaire indochinoise dans les rangs des frères ennemis du Viêtcong et de l'ARVN. De nos jours, rechambré ou avec un canon neuf, il fait la joie d'amateurs d'armes règlementaires françaises dans les stands de tir sportifs, avec l'apparition en 2006 de la discipline de Tir aux Armes Réglementaires (TAR) au sein de la Fédération Française de Tir.

De plus, dans le domaine de la chasse, l'armurier français Fournier a reconstruit des MAS 36 chambrés en calibre civil 7x54 à partir d'armes de surplus. Ces carabines de chasse étaient fabriquées en diverses finitions et profils, avec divers organes de visée, certaines sur commande. Leur utilisation est problématique car la cartouche 7x54 n'est plus fabriquée industriellement et les outils de rechargement ne sont disponibles que sur commande spéciale auprès de fabricants américains depuis la disparition de la marque française Lynx, ce qui complique encore le rechargement de ce calibre.

On ignore encore à ce jour le nombre exact de fusils MAS 36 de tous les types fabriqués par les Manufactures Françaises.

 

Données numériques

MAS 36

 

Munition : 7,5 mm 1929C

Longueur : 1,02 m

Canon : 57,5 cm

Masse du fusil vide : 3,7 kg

Masse du fusil chargée : 3,95 kg

Magasin : 5 cartouches

MAS 36 CR 39

 

Munition : 7,5 mm 1929C

Longueur de l'arme : 88,3 cm

Longueur de l'arme crosse repliée: 62,5 cm

Longueur du canon : 45 cm

Masse du fusil vide : 3,745 kg

Masse du fusil chargé : 3,995 kg

Magasin : 5 cartouches

 

MAS 36 LG 48

 

Munition : 7,5 mm 1929C

Longueur de l'arme : 1,02 m

Longueur du canon : 57,5 cm

Masse du fusil vide : 3,8 kg

Masse du fusil chargé : 3,92 kg

Magasin : 5 cartouches

 

MAS 36 M 51

 

Munition : 7,5 mm 1929C

Longueur de l'arme : 1,07 m

Longueur du canon : 62 cm

Masse du fusil vide : 4,22 kg

Masse du fusil chargé : 4,34 kg

Magasin : 5 cartouches

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/MAS_36

 
     
     
     
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Margaret Thatcher

Publié à 16:38 par dessinsagogo55 Tags : gain femme sur center place monde fille pouvoir centerblog merci
Margaret Thatcher

 

 

Margaret Thatcher, baronne Thatcher, née Margaret Hilda Roberts le 13 octobre 1925 à Grantham et morte le 8 avril 2013 à Londres, est une femme d'État britannique.

 

Fille d'un épicier et d'une couturière, elle est chimiste au Somerville College (Oxford), puis avocate de profession. Elle fait son entrée au Parlement du Royaume-Uni en 1959 et exerce la fonction de secrétaire d'État à l'Éducation et aux Sciences dans le gouvernement Heath, de 1970 à 1974.

 

Elle est la première femme à diriger le Parti conservateur, de 1975 à 1990. Elle est également la première femme à exercer les fonctions de Premier ministre du Royaume-Uni, du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990. Arrivée au pouvoir dans un pays en situation d'instabilité, Margaret Thatcher en redresse l'économie en mettant en place une série de réformes radicales. Remportant trois élections générales consécutives, elle effectue le plus long mandat ininterrompu de Premier ministre au Royaume-Uni depuis Robert Jenkinson (1812 à 1827), et est considérée comme étant la plus renommée des dirigeants politiques britanniques depuis Winston Churchill.

 

Attachée à ses convictions chrétiennes méthodistes, conservatrices et libérales, invoquant la souveraineté britannique, la protection de l'intérêt de ses administrés et les principes de droit, elle mène une politique étrangère marquée par l'opposition à l'URSS, la promotion de l'atlantisme, la guerre des Malouines (en 1982), et la promotion d'une Europe libre-échangiste au sein de la Communauté économique européenne. Sa politique économique, fortement influencée par les idées issues du libéralisme économique, se distingue par d'importantes privatisations, la baisse des impôts directs, la maîtrise de l'inflation et du déficit public, ainsi que par l'affaiblissement des syndicats. Elle s'accompagne d'une hausse puis d'une baisse du chômage, d'une augmentation significative du produit intérieur brut, d'un accroissement des inégalités économiques, d'une augmentation des impôts indirects et prélèvements obligatoires. L'ensemble de ses politiques, et notamment sa politique économique libérale, est connu sous le nom de « thatchérisme ».

 

Margaret Thatcher est l'une des figures politiques britanniques à la fois les plus admirées et les plus détestées. Le surnom de « Dame de fer », que le journal L'Étoile rouge, organe de l'armée soviétique, lui décerne en 1976 dans le but de stigmatiser son anticommunisme, symbolise sa fermeté face aux grévistes de la faim de l'IRA provisoire en 1981 ou aux mineurs grévistes en 1984-1985 et se répandra dans le monde entier. Elle reste associée à la « révolution conservatrice » des années 1980. En effet, l'influence de son passage au gouvernement du Royaume-Uni est souvent qualifiée de « révolution » sur les plans politique, idéologique et économique.

 

Au-delà des conservateurs, elle a influencé une partie des travaillistes, notamment Tony Blair.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christophe_Colomb

 
     
     
     
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    13 octobre : Naissances
   
   
 
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Jagdpanzer 38(t)

Publié à 23:05 par dessinsagogo55 Tags : center prix chevaux sur base place histoire divers centerblog merci
Jagdpanzer 38(t)

Le Jagdpanzer 38(t), officiellement 7,5 cm PaK 39 L/48 auf Panzerjäger 38(t) (Sd.Kfz. 138/2) connu sous la mauvaise désignation de Hetzer (que l'on peut traduire par « traqueur » ou « piqueur » en allemand), est un chasseur de chars allemand de la Seconde Guerre mondiale, construit sur la base du châssis du Panzer 38(t) tchèque.

 

Histoire du nom

 

Le nom de Hetzer n’est au début pas utilisé pour désigner ce véhicule, mais est le nom de baptême choisi pour un projet devant à terme le remplacer courant 1946, le E-10. La fabrique Škoda mélangea les deux noms pendant une courte période de temps dans sa documentation et la première unité équipée avec ce modèle utilisa le mauvais nom pendant quelques semaines ; le temps que la correction soit faite, le Jagdpanzer 38(t) fut définitivement surnommé Hetzer. Pour l’histoire, on a retrouvé une note de Heinz Guderian adressée à Adolf Hitler dans laquelle il prétend que le nom a été spontanément donné par les troupes. Cette affirmation a été reprise plus tard par les historiens, rendant ainsi le nom populaire.

 

Cependant, le nom de Hetzer n’a jamais été un nom officiel, comme les noms d’animaux utilisés sur d’autres chars mais est devenu populaire après-guerre.

 

Développement et utilisation au combat

 

Le Jagdpanzer 38(t) est conçu pour obtenir un meilleur rapport qualité-prix que les ambitieux programmes des Jagdpanther et Jagdtiger de la même période. Basé sur un châssis existant et fiable, il évite ainsi les problèmes mécaniques inhérents aux blindés plus lourds.

 

Entièrement fermé, il est protégé par une plaque blindée frontale supérieure de 60 mm d'épaisseur inclinée à 60° ; par une plaque frontale inférieure de 60 mm inclinée à 40° ; les côtés ont 20 mm d'épaisseur inclinés à 40° ; le blindage du toit et du plancher sont de 10 mm ; le blindage arrière est de 8 mm pour la superstructure (à 20°) et de 20 mm pour la caisse. Armé d'un canon 7,5 cm PaK 39 L/48 dérivé du 7,5 cm StuK 40 capable de percer 97 mm de blindage incliné à 60° à 1 000 mètres, et d'une MG-34 sur le toit télécommandée de l'intérieur du véhicule, ce blindé est destiné à la chasse à l'affût, profitant de son petit gabarit pour se cacher, et se retirant après avoir effectué son tir, il ne peut en aucun cas engager de longs combats à découvert, au risque d'être débordé et rapidement détruit, son blindage latéral et arrière ne le protégeant véritablement que contre les projectiles de très faible calibre.

 

Ce Jagdpanzer était majoritairement en dotation au sein des Panzerjäger-Abteilungen des divisions d'infanterie, leur conférant ainsi une certaine capacité antichar mobile à la fin de la guerre.

 

2 047 exemplaires seront produits par BMM et 780 par Škoda de mars 1944 jusqu'à la fin de la guerre. La Tchécoslovaquie en récupéra plus de 300, en continua la production - 180 exemplaires par les usines Škoda - et en exporta 158 vers la Suisse (il y restera jusque dans les années 1970), où ils prirent le nom de « Jagdpanzer G-13 » après de profondes modifications effectuées sur l'ensemble du véhicule.

 

A la fin du conflit, une variante proprement nationale (notée (d) ou (D) pour « deutsch » ou « Deutschland » à la place de « tschechisch ») était en cours d'élaboration, pour être construite par Alkett et non plus dans le Protectorat de Bohême-Moravie : le Jagdpanzer 38(d) reprend les grandes lignes et une silhouette similaire à son prédécesseur, avec une caisse allongée, des chenilles plus larges et un moteur Tatra 103 de 210 chevaux. Le blindage avant diffère, avec 50 mm ou 80 mm d'épaisseur selon les sources. Plus notable, il est prévu d'équiper l'engin avec le puissant 7,5-cm Pak 42 L/70 du Panther. Le châssis doit servir de base pour un char antiaérien, le Flakpanzer 38(d) Kugelblitz II doté de la tourelle du Flakpanzer IV Kugelblitz ; un chenillé de transport d'infanterie (schützenpanzerwagen) dit MTW Kätzchen ; une plate-forme porte-canon de 8,8-cm Waffenträger ; ainsi que divers types d'engins de reconnaissance (aufklärer 38(d)). Deux prototypes sont en cours d'assemblage en avril 1945. Le Jagdpanzer 38(D) ne fait pas partie des Entwiclungstypen.

 

 

Variantes :

 

Panzerbefehlswagen 38(t) : char de commandement emportant une radio supplémentaire FuG-8 et une deuxième antenne.

Bergepanzer 38(t) : char de dépannage fabriqué à 181 exemplaires.

Flammpanzer 38(t) : char lance-flammes dont le canon est remplacé par un Flammenwerfer 41 de 14 mm de diamètre. Vingt exemplaires fabriqués fin 1944 .

Jagdpanzer 38(t) Starr : début de production précipitée d'un Hetzer dont le canon se voit privé d'amortisseur. Une fois les résultats analysés, la production est rapidement arrêtée, après 14 exemplaires.

Jagdpanzer 38(D), et déclinaisons.

ST-1 : char tchèque d'après-guerre.

Panzerjäger G 13 / Chasseur de chars G 13 : char suisse d'après-guerre.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jagdpanzer_38(t)

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
   
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Renault Celtaquatre

Publié à 17:15 par dessinsagogo55 Tags : chez centerblog center merci france course sur place
Renault Celtaquatre

La Celtaquatre est une automobile fabriquée par Renault de 1934 à 1938.

Le 26 avril 1934, une Celtaquatre tourne sur l'anneau de vitesse du circuit de Montlhéry pendant 6 heures, à la moyenne de 111,466 km/h.

 

Détails et évolutions

 

1934-1938 : moteur 4 cylindres de 1 463 cm3 à soupapes latérales, 30 ch, alésage - course 70×95 mm.

En mai 1934, est dévoilée la Celtaquatre. Elle était destinée à concurrencer la Traction Avant de Citroën.

Sa silhouette toute en rondeur lui valut le surnom de « Celtaboule ».

En 1935, des retouches sont apportées au capot, dont les parties latérales sont désormais décorées de joncs chromés horizontaux à la place des 3 volets.

Elles sont toutes proposées dans une livrée en bi-ton (les ailes étaient systématiquement peintes en noir, ce qui était courant à l'époque, par exemple chez Citroën). Un supplément de 400 francs est demandé pour une couleur unique.

En 1936, la Celtaquatre perd ses rondeurs et prend une forme plus aérodynamique. Apparition de deux nouveaux types de carrosserie : un cabriolet et un coach.

En 1937, la Celtaquatre reçoit une calandre en V d'inspiration américaine, que l'on retrouvera sur toute la gamme.

En 1938, apparition du pare-chocs à lames droites. Disparition du coupé.

1939 : la Celtaquatre laisse la place à la Juvaquatre.

 

 
Renault Celtaquatre
 

Caractéristiques

 

Consommation : 8 litres aux 100 km

Vitesse : 100 km/h

Puissance : 30 ch SAE (8 CV)

Freins : à câbles sur tambours AV et AR

Batterie 6 V

 

 
Renault Celtaquatre Berline de 1935
 

Types

 

ZR1

ZR2

AEC1 (conduite commerciale)

ADC1

ADC2

ADC3

BCR

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_Celtaquatre

 
     
     
     
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12 octobre : Décès

Publié à 16:58 par dessinsagogo55 Tags : art centerblog prix sur merci france homme histoire
12 octobre : Décès

 

 

 

Décès

 

1328 : Clémence de Hongrie, reine de France, veuve du roi Louis X (° 1293)

1492 : Piero della Francesca, peintre italien (° entre 1412 et 1420).

1590 : Kanô Eitoku (狩野 永徳), peintre japonais (° 16 février 1543).

1646 : François de Bassompierre, militaire français (° 12 avril 1579).

 

1682 : Jean Picard, astronome et géodésien français (° 21 juillet 1620).

 

1692 : Giovanni Battista Vitali, musicien et compositeur italien (° 18 février 1632).

1806 : Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault, architecte français (° 28 mai 1739).

1844 : Claude Tillier, pamphlétaire et romancier français (° 11 avril 1801).

1863 : Andrei Mureşanu, poète roumain (° 16 novembre 1816).

1870 : Robert Edward Lee, militaire américain (° 19 janvier 1807).

1915 :

Edith Cavell, infirmière britannique (° 4 décembre 1865).

Jean Juster, avocat français (° 9 décembre 1881).

1924 : Anatole France, romancier français, prix Nobel de littérature en 1921 (° 16 avril 1844).

1940 : Thomas Hezikiah « Tom » Mix, acteur américain (° 6 janvier 1880).

1942 : Édouard Nanny, joueur et professeur de contrebasse français (° 24 mars 1872).

1946 : Joseph Stilwell, général de l'Armée américaine (° 19 mars 1883).

1950 : Charles Gmelin, athlète de sprint britannique (° 28 mai 1872).

1951 : Simon Kimbangu, après 30 ans de prison à Elisabethville, au Congo belge.

1960 :

Inejirō Asanuma (浅沼 稲次郎), homme politique japonais assassiné supra (° 27 décembre 1898).

Pierre Véry, romancier et scénariste français (° 17 novembre 1900).

1961 : Marguerite Monnot, pianiste et compositrice française (° 28 mai 1903).

1965 : Hermann Joseph Muller, généticien suisse, prix Nobel de médecine en 1948 (° 12 janvier 1899).

1968 : Suzanne Dehelly, actrice française (° 1er octobre 1896).

1969 :

Sonja Henie, patineuse norvégienne (° 8 avril 1912).

Serge Poliakoff, peintre français (° 8 janvier 1900).

1971 :

Dean Acheson, juriste et homme politique américain, secrétaire d'État des États-Unis de 1949 à 1953 (° 11 avril 1893).

Gene Vincent (Vincent Eugene Craddock, dit), chanteur américain (° 11 février 1935).

1972 : Robert Le Vigan (Robert-Charles-Alexandre Coquillaud, dit), acteur français (° 7 janvier 1900).

1977 : Juan Carlos Calvo, footballeur uruguayen (° 26 juin 1906).

1978 :

Alfred DesRochers, poète canadien (° 5 août 1901).

Nancy Spungen, américaine, compagne du musicien Sid Vicious (° 27 février 1958).

1987 : Fahri Korutürk, homme politique, militaire et diplomate turc, président de la République de 1973 à 1980 (° 13 août 1903).

1993 : Leon Ames, acteur américain (° 20 janvier 1902).

1994 :

Gérald Godin, écrivain et homme politique canadien (° 13 novembre 1938).

Sady Rebbot, comédien français (° 27 avril 1935).

1996 :

René Lacoste, joueur de tennis français (° 2 juillet 1904).

Roger Lapébie, cycliste sur route français (° 16 janvier 1911).

1997 : John Denver (Henry John Deutschendorf, Jr., dit), chanteur et compositeur américain (° 31 décembre 1943).

1998 : Matthew Shepard, étudiant américain (° 1er décembre 1976).

1999 :

Wilton Norman « Wilt » Chamberlain, basketteur américain (° 21 août 1936).

Clément Perron, cinéaste canadien (° 3 juillet 1929).

2000 : Igor Correa Luna, judoka uruguayen (° 12 décembre 1919).

2002 :

Joseph Raymond « Ray » Conniff, musicien et chef d'orchestre américain (° 6 novembre 1916).

Audrey Mestre, apnéiste française (° 11 août 1974).

2004 : Claude Pichois, universitaire français (° 21 juillet 1925).

2005 : Ghazi Kanaan, homme politique syrien (° 1942).

2006 :

Dino Monduzzi, cardinal italien (° 2 avril 1922).

Gillo Pontecorvo, réalisateur italien (° 19 novembre 1919).

Douk Saga, chanteur ivoirien (° 23 mai 1974).

2007 :

Lonny Chapman, acteur américain (° 1er octobre 1920).

Kisho Kurokawa (黒川 紀章), architecte japonais (° 8 avril 1934).

Soe Win, homme politique birman (° 10 mai 1947).

2008 : Léo Major, héros de guerre québécois (° 23 janvier 1921).

2009 :

Alain Crombecque, directeur de théâtre français (° 5 octobre 1939).

Frank Vandenbroucke, coureur cycliste belge (° 6 novembre 1974).

2011 :

Raymond Barthelmebs, footballeur français (° 11 avril 1934).

Heinz Bennent, acteur allemand (° 18 juillet 1921).

Patricia Breslin, actrice américaine (° 17 mars 1931).

János Herskó, réalisateur hongrois (° 9 avril 1926).

Pierre Lelong, mathématicien français (° 14 mars 1912).

Dennis Ritchie, informaticien et développeur américain, inventeur du langage C, codéveloppeur d’Unix (° 9 septembre 1941).

2012 :

Jean-Charles Cavaillé, homme politique français (° 17 décembre 1930).

Jean-Pierre Hautier, présentateur de télévision belge (° 18 octobre 1955).

Ervin Kassai, arbitre de basket hongrois (° 16 mars 1925).

Torkom II Manougian, patriarche arménien de Jérusalem (° 16 février 1919).

Břetislav Pojar, illustrateur, animateur et réalisateur tchèque (° 7 octobre 1923).

2013 :

George Herbig, astronome et professeur d'université américain (° 2 janvier 1920).

Oscar Hijuelos, romancier américain (° 24 août 1951).

Ulf Linde, critique d'art suédois (° 15 avril 1929).

Bernard Merdrignac, professeur émérite d'histoire médiévale français (° 25 juin 1947).

2014 :

Mark Bell, DJ, compositeur et producteur (° 1971).

Gabriel Richet, néphrologue français (° 26 décembre 1916).

Roberto Telch, footballeur argentin (° 6 novembre 1943).

Nouri Zorgati, ingénieur, statisticien, économiste et homme politique tunisien (° 25 août 1937).

2015 :

Sergio Caprari, boxeur italien (° 11 juillet 1932).

Levent Kırca, acteur, journaliste et homme politique turc (° 28 septembre 1948).

2020 :

Eric Assous, réalisateur, scénariste et dialoguiste français (° 30 mars 1956).

Robert Jammes, éminent hispaniste du Lauragais (° 26 avril 1927).

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_octobre

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
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12 octobre : Naissances

Publié à 16:28 par dessinsagogo55 Tags : 2010 centerblog prix sur france monde homme maison
12 octobre : Naissances

Naissances

 

1537 : Édouard VI, roi d'Angleterre de 1547 à 1553 († 6 juillet 1553)

1753 : Antoine de Morlhon, prélat français († 14 janvier 1828).

1792 : Christian Gmelin, chimiste allemand († 13 mai 1860).

1798 : Pierre Ier, empereur du Brésil de 1822 à 1831, roi du Portugal en 1826 puis régent du même pays de 1832 à 1834 († 24 septembre 1834).

1804 : Charles Louis Spilthoorn, avocat et homme politique belge († 12 septembre 1872).

1844 : Helena Modjeska, actrice polonaise († 8 avril 1909).

1855 : Arthur Nikisch, chef d'orchestre et musicien hongrois († 23 janvier 1922).

1865 : Arthur Harden, biochimiste britannique († 17 juin 1940).

1866 : Ramsay MacDonald, homme politique britannique, Premier ministre en 1924 puis de 1929 à 1935 († 9 novembre 1937).

1872 : Ralph Vaughan Williams, compositeur britannique († 26 août 1958).

1874 : Joseph Claussat, homme politique français († 9 novembre 1925).

1880 : Louis Hémon, écrivain français († 8 juillet 1913).

1891 : Édith Stein, philosophe, théologienne, religieuse allemande et sainte catholique († 9 août 1942).

1893 : George Hodgson, nageur canadien, double champion olympique († 1er mai 1983).

1896 : Eugenio Montale, poète italien, prix Nobel de littérature en 1975 († 12 septembre 1981).

1901 : Gabriel-Marie Garrone, prélat français († 15 janvier 1994).

1904 : Jean Minjoz, homme politique français († 18 novembre 1987).

1906 :

Joseph Edward « Joe » Cronin, joueur de baseball américain († 7 septembre 1984).

Piero Taruffi, pilote de vitesse moto puis pilote de F1 italien († 12 janvier 1988).

1907 : Jean-Louis Tixier-Vignancour, avocat et homme politique français († 29 septembre 1989).

1908 : Arthur Space, acteur américain († 13 janvier 1983).

1910 : Norbert Glanzberg, compositeur français († 25 février 2001).

1911 : Félix Lévitan, journaliste sportif français et directeur du Tour de France de 1962 à 1986 († 18 février 2007).

1917 :

Thomas George Jones, footballeur gallois († 3 janvier 2004).

Roque Máspoli, footballeur puis entraîneur uruguayen († 22 février 2004).

1919 : Gilles Beaudoin, homme politique québécois († 22 août 2007).

1920 : Raoul Billerey, ancien sportif professionnel, et attachant second rôle du cinéma français († 28 juillet 2010).

1925 :

Denis Lazure, psychiatre et homme politique canadien, plusieurs fois ministre († 23 février 2008).

William Steinkraus, cavalier américain, champion olympique († 29 novembre 2017).

1930 :

Denis Brodeur, photographe canadien († 26 septembre 2013).

Robert Quibel, surnommé Bob Quibel, contrebassiste, arrangeur et chef d'orchestre français († 17 janvier 2013).

1932 :

Edwin Jacob « Jake » Garn, astronaute américain.

Vitold Kreyer (Витольд Анатольевич Креер), athlète de triple-saut soviétique puis russe († 1er août 2020).

1933 : Guido Molinari, peintre canadien († 21 février 2004).

1934 : Richard Meier, architecte américain.

1935 :

Simone Balazard, romancière, dramaturge et éditrice française.

Samuel David Moore, chanteur américain, membre du duo Sam & Dave.

Luciano Pavarotti, artiste lyrique italien († 6 septembre 2007).

1936 :

Pascale Audret, actrice française († 17 juillet 2000).

Charles Mwando Nsimba, homme politique congolais († 12 décembre 2016).

1937 : Paul Hawkins, pilote de courses automobile australien († 26 mai 1969).

1939 : Clément Rosset, philosophe français († 27 mars 2018).

 

 

1941 : Frank Alamo (Jean-François Grandin, dit), chanteur français († 11 octobre 2012).

 

1942 : Tiburce Darou (Jean-Claude Darrou, dit), préparateur physique français († 2 juillet 2015).

1943 : Abdulwahab Darawshe, homme politique israélien.

1944 : Joan Fraser, journaliste, éditorialiste en chef et sénatrice canadienne.

1945 :

Aurore Clément, actrice française.

Claude Lemesle, parolier français (en particulier avec Joe Dassin), président d'honneur de la SACEM.

1946 : Luis Peirano, ministre péruvien de la culture, metteur en scène, journaliste.

1949 : Ilich Ramírez Sánchez, dit Carlos, ou le chacal, terroriste vénézuélien incarcéré en France.

1950 :

Knut Knudsen, cycliste sur piste et sur route norvégien.

Miguel Oviedo, footballeur argentin.

1952 : Danielle Proulx, actrice canadienne.

1953 : Serge Lepeltier, homme politique français.

1954 : Norbert Klaar, tireur sportif est-allemand, champion olympique.

 

 

1955 : Brigitte Lahaie (Brigitte Vanmeerhaeghe, dite), actrice française.

 

1955 : Serge Venturini, poète français.

1957 :

Clémentine Célarié (Meryem Célarié, dite), actrice française.

Rémi Laurent, acteur français († 14 novembre 1989).

1960 : Gerald Kazanowski, basketteur canadien.

1962 : Patrick Bosso, humoriste et acteur français.

1963 : Alan McDonald, footballeur puis entraîneur nord-irlandais († 23 juin 2012).

1965 :

Jean-Jacques Daigneault, hockeyeur canadien.

Marie-Jo Thério, musicienne canadienne.

1967 :

Tonton David (David Grammont, dit), chanteur français († 16 février 2021).

Franck Ferrand, animateur de radio français.

Mick Harris (Michael John Harris, dit), musicien britannique.

1968 : Hugh Jackman, acteur australien.

1969 :

Judit Mascó, mannequin et animatrice de télévision espagnole.

Cary Mullen, skieur alpin canadien.

1972 : Oleg Novitskiy (Олег Викторович Новицкий), cosmonaute russe.

1975 :

Marion Jones, athlète américaine.

Jorane (Jorane Pelletier, dite), chanteuse et musicienne canadienne.

1976 : Maurice Carter, basketteur américain.

1977 :

Jessica Barker, actrice canadienne.

Young Jeezy (Jay Wayne Jenkins, dit), chanteur américain.

Samuel Bode Miller, skieur américain.

1978 :

Baden Cooke, cycliste sur route australien.

Marko Jarić (Марко Јарић), basketteur serbe.

1979 :

Meriem Adjmi, judokate algérienne.

Renato Sulić, handballeur croate, champion du monde de handball 2003.

1980 :

Ann Wauters, basketteuse belge.

Vincent Zouaoui-Dandrieux, athlète de steeple français.

1981 : Guillaume Boussès, joueur de rugby français.

1982 : Émile Parisien, saxophoniste occitan et français soprano et alto, musicien et compositeur de jazz.

1984 : Cyril Stacul, joueur de rugby à XIII français.

1985 :

Michael David « Mike » Green, hockeyeur canadien.

Carl Söderberg, hockeyeur professionnel suédois.

1986 :

Tyler Blackburn, acteur et chanteur américain.

Adam McQuaid, hockeyeur professionnel canadien.

1987 : Arnaud Bingo, handballeur français.

1988 : Valérie Grand'Maison, nageuse paralympique québécoise.

1991 : Michael Carter-Williams, basketteur américain.

1992 : Joshua « Josh » Hutcherson, acteur américain.

1996 : Marjan Salahshouri, taekwondoïste iranienne.

1999 : le bébé bosnien prénommé Hadnan(e), "adoubé" comme peut-être le six-milliardième être humain sur la Terre par le secrétaire général de l'ONU Koffi Annan

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_octobre

 
     
     
     
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12 octobre : Événements

12 octobre : Événements


Événements

633 : victoire décisive gallo-mercienne, à la bataille de Hatfield Chase.
 900 : couronnement de Louis III l'Aveugle comme roi d'Italie.
1398 : signature du traité de Salynas.
1427 : bataille de Maclodio.
1428 : début du siège d'Orléans, lors de la guerre de Cent Ans.

 


1492 : débarquement de Christophe Colomb, sur l'actuelle San Salvador.

 

1748 : bataille de La Havane, pendant la guerre de l’oreille de Jenkins.
1787 : victoire de Souvorov à la bataille de Kinburn, pendant la guerre russo-turque de 1787-1792.
1789 : pendant la Révolution française, l'Assemblée constituante décide de transférer son siège de Versailles à Paris, quelques jours après qu'il en a été fait de même à l'égard de la famille royale.
1793 : prise de Noirmoutier par les Vendéens, pendant la guerre de Vendée.
1798 :
bataille de Nicopolis. Les troupes françaises et la population grecque de la ville de Preveza (Épire), possession française depuis le traité de Campo-Formio, sont massacrées par Ali Pacha de Janina.
Bataille de l'île de Toraigh.
Début de la guerre des Paysans, dans les Départements réunis.
1799 : Jeanne Labrosse est la première femme à effectuer un saut en parachute, inventé par son mari.

 

1804 : sur ordre de Napoléon, le préfet de police de Paris Louis Dubois prescrit l'organisation officielle de maisons closes, en France.

 

1810 : mariage du futur roi Louis Ier de Bavière avec la princesse Thérèse de Saxe-Hildburghausen. C'est à cette occasion que sera créée la première fête de la bière à Munich, le 17 octobre suivant.
1822 : Pierre Ier s'autoproclame empereur du Brésil.
1895 : couronnement canonique de l'Image de Notre-Dame de Guadalupe, dans la Basilique de Guadalupe (Mexico)1.
1915 : l'infirmière et espionne britannique Edith Cavell est exécutée à Bruxelles par les Allemands (première guerre mondiale, décès infra).
1928 : première utilisation d'un poumon d'acier.
1929 : signature de la convention de Varsovie.
1940 : création du ghetto de Varsovie.
1942 : victoire américaine, à la bataille du cap Espérance, pendant la Seconde Guerre mondiale.
1943 : fondation de la chaîne de télévision ABC, aux Etats-Unis.
1951 : mort de Simon Kimbangu, après 30 ans de prison à Elisabethville, au Congo belge.
1957 : le Canadien Lester B. Pearson reçoit le prix Nobel de la paix.
1960 : Inejirō Asanuma est tué au wakizashi , par Otoya Yamaguchi.
1964 : coup d'État contre le général Nguyên Khanh, l'armée prend le pouvoir au Sud-Viêt Nam.
1964 : Voskhod 1, le premier vaisseau spatial multiplace, est lancé par les Russes.
1968 : indépendance de la Guinée équatoriale.
1971 : début de la célébration du 2 500e anniversaire de la fondation de l'empire perse.
1975 : Paul VI canonise l'archevêque irlandais Olivier Plunket (cf. 12 juillet).
1976 : consécration de la Basilique Notre-Dame-de-Guadalupe de Mexico (Mexique).
1984 : attentat de Brighton (Angleterre), par l'Armée républicaine irlandaise provisoire.
1999 :
coup d'État militaire au Pakistan
Naissance symbolique ci-après (démographie mondiale) à Sarajevo.
1999 : naissance ci-après du six-milliardième être humain officiel sur la Terre.
2000 : attentat contre l'USS Cole.
2002 : attentats à Bali.
2007 : consécration de la Basilique de la Sainte Trinité du Sanctuaire de Fátima (Portugal).
2008 : référendum lituanien sur la construction d'une nouvelle centrale nucléaire.
2012 : l'Union européenne reçoit le prix Nobel de la paix, décerné par le comité norvégien qui récompense « plus de six décennies à promouvoir la paix et la réconciliation, la démocratie et les droits de l'homme en Europe », et ailleurs.
2012 : sortie du film Argo de Ben Affleck, thriller géopolitique tiré d’une histoire vraie située à Téhéran en 1979
2014 : Evo Morales est réélu président de la Bolivie.
2017 : l'astéroïde 2012 TC4 passe à 50 150 km de la Terre.
2017 : les États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, accusant l'organisation d'être « anti-israélienne ». Conformément aux statuts de l’organisation, cette mesure prendra effet le 31 décembre 2018. Néanmoins, le pays sera toujours représenté au siège de l'organisation, puisqu'il conservera un statut d’observateur. Quelques heures plus tard, Israël annonce à son tour son retrait de l'organisation.
2018 : en République tchèque, 1er jour du second tour des élections sénatoriales.
2020 : le prix Nobel d'économie est attribué aux Américains Paul Milgrom et Robert B. Wilson pour leurs travaux sur la théorie des enchères

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_octobre

 
     
     
     
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Le Bon, la Brute et le Truand

Le Bon, la Brute et le Truand

 

 

Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo) est un film germano-hispano-italien réalisé par Sergio Leone et sorti en 1966. Parmi les plus célèbres westerns de l'histoire du cinéma, il est considéré comme la quintessence du style « western spaghetti ».

 

Pour conclure sa Trilogie du dollar (également appelée Trilogie de l’homme sans nom) et pour éviter de se répéter, Sergio Leone augmente de deux à trois le nombre de protagonistes : Clint Eastwood et Lee Van Cleef, qui partageaient la vedette dans Et pour quelques dollars de plus, se voient adjoindre Eli Wallach dans ce troisième film.

 

Le scénario introduit une autre nouveauté : l'irruption de l'Histoire, avec la guerre de Sécession comme toile de fond. Il s'agit donc chronologiquement d'un retour en arrière par rapport aux deux autres films de la trilogie, autrement dit un préquel. De même, le personnage de « l'homme sans nom », joué par Clint Eastwood (la constante qui lie les trois films), ne se présente pas dans sa tenue habituelle : il y porte un long manteau de type cache-poussière, et ce n'est qu'à la fin du film qu'il endosse un poncho, adoptant alors l'apparence extérieure du personnage des deux premiers films et matérialisant, selon l'idée de Leone, l'aspect cyclique de la trilogie

 

Synopsis

 

 
« Le Bon » (Clint Eastwood).
 

Le film raconte l'histoire de trois as de la gachette qui, durant la guerre de Sécession, sont à la recherche d'un chargement d'or disparu. Le premier à être présenté est Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez, un criminel ayant commis de nombreux délits et dont la tête est mise à prix. Tuco est de connivence avec Blondin : ce dernier livre Tuco aux autorités, encaisse la prime de l'arrestation et libère ensuite son complice au moment où celui-ci va être pendu en coupant la corde avec une balle de fusil. Les deux acolytes se partagent ensuite le butin et refont la même opération plusieurs fois dans les comtés voisins. Durant ce temps, un troisième personnage nommé Sentenza, un tueur sans pitié, apprend l'existence d'un coffre rempli de pièces d'or des Confédérés, caché par un soldat nommé Bill Carson. Il commence donc à chercher plus d'informations à ce sujet.

 

Blondin décide de rompre son partenariat avec Tuco, l'abandonnant dans le désert. Tuco réussit cependant à survivre et après une traversée de plus de 100 km, il arrive, assoiffé et complètement épuisé, dans un petit village. Décidé à se venger, il retrouve rapidement Blondin et le capture, profitant d'une diversion offerte par la retraite des Confédérés de Californie. Il inverse alors les rôles, contraignant son ex-compagnon à le suivre à pied dans le désert. Alors que Tuco est sur le point d'abattre Blondin, il aperçoit une diligence remplie de soldats confédérés, morts ou mourants. Parmi ceux-ci se trouve Bill Carson, l'homme recherché par Sentenza. Carson révèle à Tuco le nom du cimetière où est caché l'or, mais demande de l'eau en échange du nom sur la tombe. Pendant que Tuco va chercher une gourde, Carson meurt, non sans avoir donné le nom de la tombe à Blondin, qui tout à coup devient très important pour Tuco. Celui-ci devra donc le soigner pour connaître le nom en question. Tuco conduit alors Blondin mourant dans un monastère franciscain, dans lequel son frère est père supérieur. Après avoir quitté la mission, Tuco et Blondin guéri, déguisés en soldats confédérés, sont capturés par un groupe de soldats de l'Union et sont conduits dans un camp de prisonniers

 

Entre-temps, Sentenza a suivi la trace de Bill Carson jusqu'à ce camp, où il est devenu sergent gardien en uniforme. Avec l'aide du caporal Wallace, il torture et frappe violemment Tuco pour connaître le nom du cimetière. Lorsqu'il apprend que seul Blondin connaît le nom et le numéro de la tombe, il change de tactique. Il propose une alliance à ce dernier qui accepte. Accompagnés par cinq autres complices, ils s'enfuient tous les deux du camp et partent à la recherche de l'or. De son côté, Tuco est conduit et emmené dans un train de prisonniers, escorté par le caporal Wallace, qui s'occupe de lui personnellement, sachant que sa tête est mise à prix. Lors du trajet en train, Tuco réussit à s'évader en sautant du train en marche, entraînant avec lui le caporal, dont il se débarrasse rapidement. Dans un village voisin, dévasté par l'artillerie des deux armées, Tuco rencontre un chasseur de primes qu'il a blessé au début du film et qui cherche à se venger. Tuco l'abat. Blondin, qui était dans le même village, entend les coups de feu et reconnaît le son du revolver de son acolyte. Il part à sa recherche, et le retrouve. Les deux compères décident de s'associer à nouveau pour éliminer Sentenza. Ils réussissent à se débarrasser des membres de son gang, mais Sentenza s'échappe.

 

Tuco et Blondin, en route vers le cimetière, savent qu'ils doivent bientôt traverser un pont. Alors que Blondin déclare à son acolyte qu'il leur faudrait attendre la nuit, ils sont inopinément capturés une nouvelle fois par une patrouille de l'armée nordiste. En effet, le pont qu'ils doivent traverser est alors âprement disputé entre les forces confédérées et celles de l'Union. Ne sachant comment expliquer leur présence là, Tuco affirme aux militaires qu'ils sont venus s'enrôler. Le capitaine de la compagnie qui les accueille leur explique que les combats durent depuis des jours, car les deux parties veulent s'emparer de ce pont stratégique, qu'elles prennent soin de préserver des bombardements. À la suite d'un assaut, le capitaine, blessé et ivre, révèle aux deux hommes qu'il rêve de détruire le pont, pour faire cesser ce massacre insensé. Ce projet plaît immédiatement aux deux forbans : si le pont disparaît, les deux armées s'en iront, et ils auront le champ libre pour continuer leurs recherches. Ils s'emparent d'explosifs et, discrètement, vont procéder au minage du pont. Pendant qu'ils effectuent ce travail, à moitié immergés dans la rivière, Tuco et Blondin décident de se révéler leurs secrets. Tuco donne le nom du cimetière : Sad Hill ; Blondin donne le nom sur la tombe : Arch Stanton. Après l'explosion du pont, le calme revenu, les deux armées se retirent comme prévu ; les deux associés traversent et arrivent finalement de l'autre côté de la rivière. Pendant que Blondin s'arrête près des ruines d'une église et réconforte un soldat confédéré mourant, Tuco en profite pour partir au galop jusqu'au cimetière.

 

Il court à droite et à gauche parmi les centaines de tombes ; et découvrant enfin la tombe d'Arch Stanton, il commence à creuser furieusement le monticule de terre poudreuse avec une planche trouvé sur place. Avant d'avoir trouvé quoi que ce soit, il est rejoint par Blondin, revolver au poing, qui lui ordonne de creuser avec une pelle qu'il jette à ses pieds. Sentenza arrive, armé lui aussi, et ordonne à Blondin d'aider Tuco. Blondin révèle alors que l'or n'est pas enterré dans cette tombe, qui ne contient qu'un squelette. Il inscrit le véritable nom de la tombe où est caché l'or sur une pierre, qu'il dépose au milieu de l'esplanade circulaire qui forme le centre du cimetière. Les trois hommes se mettent en place et se font face pour l'affrontement final. Blondin tire le premier et abat Sentenza, tandis que Tuco s'aperçoit que son revolver n'est pas chargé : Blondin lui avoue l'avoir déchargé la nuit précédente. Il montre aussi qu'il n'avait rien écrit sur la pierre, puisque la tombe recherchée est la sépulture sans nom placée à côté de celle d'Arch Stanton. Tuco est contraint de creuser à nouveau (« Tu vois, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses. »), et dès qu'il a trouvé l'or, il est forcé par Blondin à se passer un nœud coulant autour du cou, puis à se tenir debout en équilibre sur la traverse d'une croix, les mains liées derrière le dos. Blondin, partageant le butin, en charge la moitié sur son cheval et s'éloigne, pendant que Tuco crie à l'aide, perdant peu à peu l'équilibre. Arrivé à bonne distance, Blondin fait feu sur la corde et libère Tuco comme il le faisait au début du film. Blondin s'en va avec la moitié de l'or, laissant l'autre moitié, mais pas de cheval, à un Tuco fou de rage, courant avec la corde autour du cou. Les dernières images montrent Blondin s'éloignant sur sa monture à travers les collines.

 

 

 

Fiche technique

 


Titre original : Il buono, il brutto, il cattivo
Titre international : The Good, the Bad and the Ugly
Titre français et québécois : Le Bon, la Brute et le Truand
Réalisation : Sergio Leone
Scénario : Agenore Incrocci, Furio Scarpelli, Luciano Vincenzoni et Sergio Leone, d'après une histoire de Luciano Vincenzoni et Sergio Leone
Musique : Ennio Morricone
Décors et costumes : Carlo Simi
Photographie : Tonino Delli Colli
Son : Elio Pacella et Vittorio De Sisti
Montage : Eugenio Alabiso et Nino Baragli
Production : Alberto Grimaldi
Sociétés de production : Produzioni Europee Associati, Arturo González Producciones Cinematográficas et Constantin Film Produktion
Sociétés de distribution : Produzioni Europee Associati (Italie), United Artists (États-Unis), Les Artistes Associés (
France)
Budget : 1 200 000 dollars US
Pays d'origine :  Italie,  Espagne et  Allemagne de l'Ouest
Langue originale : italien
Format : couleur (Technicolor) — 35 mm — 2,33:1 (Techniscope) — son mono
Genre : western spaghetti
Durée : 161 minutes (178 minutes pour la version longue de 2002)
Dates de sortie :
Italie : 23 décembre 1966
États-Unis : 29 décembre 1967
France : 8 mars 1968

 

Distribution


Légende : Doublage de la version cinéma (1968) ; Doublage des scènes supplémentaires de la version longue (2003)

Clint Eastwood (VF : Jacques Deschamps,Jean Lagache) ) : Blondin, « le Bon » (Blondie dans la version américaine)
Lee Van Cleef (VF : Georges Atlas,François Siener) : Sergent Sentenza, « la Brute » (Angel Eyes dans la version américaine)
Eli Wallach (VF : Claude Bertrand, Paul Borne) : Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez, « le Truand »
Aldo Giuffré (VF : André Valmy, Philippe Catoire) : Clinton, le capitaine alcoolique
Luigi Pistilli (VF : René Bériard) : le père Pablo Ramirez, frère de Tuco
Rada Rassimov (VF : Anne Carrère) : Maria
Mario Brega : le caporal Wallace
Antonio Molino Rojo (VF : Roger Rudel) : le capitaine Harper
Antonio Casale (VF : Georges Aubert) : Bill Carson dit Jackson
Antonio Casas (VF : Jean Daurand) : Stevens
Livio Lorenzon (VF : Paul Bonifas) : Baker
Al Mulock (VF : Duncan Elliott) : Elam, le chasseur manchot
Sergio Mendizábal (en) : le chasseur de primes blond
Enzo Petito (VF : Paul Villé) : l'armurier
John Bartha : le shérif
Angelo Novi (it) : le moine
Claudio Scarchilli : un péon
Sandro Scarchilli (en) : un péon
Jesús Guzmán (VF : Serge Sauvion) : Pardue, le propriétaire de l'hôtel
Lorenzo Robledo : un membre du gang de Sentenza
Aldo Sambrell (VF : Pierre Collet) : un membre du gang de Sentenza
Benito Stefanelli : un membre du gang de Sentenza
Victor Israel (VF : Gabriel Le Doze) : le sergent du fort des confédérés

 

 
   
   
   
   

 

   
 
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Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Bon,_la_Brute_et_le_Truand#Liens_externes

 
 

https://youtu.be/gnuMUGNRSu4

 
 

https://youtu.be/DXXooxGOibE

 
     
     
Notes et références                                                    
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