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Mercedes-Benz Zetros

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Mercedes-Benz Zetros
 

Mammoet

Publié à 05:06 par dessinsagogo55 Tags : sur center centerblog gif merci
Mammoet

 

 

Mammoet est une entreprise néerlandaise spécialisée dans le levage et le transport d'objets lourds sur l'eau et les routes, créée en 1973. Le siège est situé à Schiedam dans un immeuble de bureaux nommé De Bolder (le bollard).

 

L'équipement comprend diverses grues, par exemple, à Cuxhaven (Allemagne), Mammoet Steel Construction a utilisé deux grues mobiles Liebherr LTM 11200 pour le levage simultané d'une poutre, camions, remorques modulaires, barges, plateformes auto-élévatrices (jack-up), vérins et des poulies.

 

En 2000, Mammoet a travaillé pour renflouer le sous-marin russe Koursk K-141.

 

 

SCRd Renault K

Publié à 03:17 par dessinsagogo55 Tags : centerblog merci gif center sur
SCRd Renault K

 

 
 
 

SCRd Renault K

Publié à 02:21 par dessinsagogo55 Tags : travail merci gif centerblog sur center mort cadre
SCRd Renault K

 

 

Service national d'incendie de Varsovie

 

Type : SCRd
Marque : Renault
Modèle : K
Carrosserie : Wawrzaszek - Special Cars Engineering
Année : 2015
Nombre de places : 3
Disposition des places : 2 + 1
Moteur : 460 KM
Entraînement : 8x4

Feux :
- Faisceau PW Gamet - PRISM 54 W - 2 pcs
- Lampes directionnelles PW Gamet - Makroled LL4 - 14 pièces

Signalisation sonore :
- Haut-parleurs Federal AS124 - 2 pièces
- Modulateur - Federal Signal Corporation PA300 Series
- Signal pneumatique d'une tonne

Bras de remorquage

Crane Rotator 1060S :
- zone de travail 180 degrés, rotation technique 360 ​​degrés
- capacité de levage maximale 54 t

Treuils :
- 1 treuil avec une sortie à l'arrière du véhicule 50 mètres de câble, 30 tonnes de traction par 1 bobine,
- 2 treuils par bras rotateur, 50 m de câbles, chacun sur la première bobine 20 tonnes
- 2 treuils sur la colonne rotateur, 50 m de câbles chacun sur la première bobine 9,5 tonnes
- 2 treuils sur les supports avant, 50 m cordes chacune sur la première bobine 12,5 tonnes

 

 

 

Bernard Tapie est mort à l'âge de 78 ans

Bernard Tapie est mort à l'âge de 78 ans
BERNARD TAPIE EST MORT À L'ÂGE DE 78 ANS
 
 
L'homme d'affaires et ancien ministre de la Ville de Pierre Bérégovoy souffrait depuis 2017 d'un cancer de l’estomac.
 
Son état de santé s'était à nouveau dégradé ces derniers mois. Atteint d'un cancer de l'estomac depuis 2017, Bernard Tapie est mort ce dimanche à l'âge de 78 ans.
"Dominique Tapie et ses enfants ont l'infinie douleur de faire part du décès de son mari et de leur père,  Bernard Tapie, ce dimanche 3 octobre à 8h40, des suites d'un cancer", a fait savoir sa famille par un communiqué transmis à BFMTV. "Il est parti paisiblement, entouré de sa femme, ses enfants, ses petits-enfants et son frère, présents à son chevet." La famille précise que le défunt "a fait part de son souhait d'être inhumé à Marseille,  sa ville de coeur".
 
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Dirigeant d'entreprises, propriétaire d'Adidas, de l'Olympique de Marseille, député des Bouches-du-Rhône, député européen, patron de presse mais aussi animateur télé, chanteur et acteur, Bernard Tapie aura connu plusieurs vies et de nombreux rebondissements, et un passage par la prison. Impliqué dans plusieurs scandales judiciaires, il a été condamné pour corruption, subornation de témoins et fraude fiscale. Et aura ainsi passé 165 jours derrière les barreaux.

En 2016, sa fortune est estimée à 150 millions d'euros, classant ainsi l'homme d'affaires au rang de la 400e richesse française. Pourtant, Bernard Tapie est parti de rien. Petit-fils de cheminot, fils d'un ouvrier et d'une aide-soignante, il est né en 1943 à Paris.

Après une brève carrière de chanteur - "Je ne crois plus les filles avec leurs beaux serments, je ne crois plus les filles ce n'est plus comme avant, je ne crois plus les filles avec leurs sentiments, je ne crois plus les filles mais je les aime quand même" chante-t-il en 1966 sur le 45 tours Passeport pour le soleil d'un certain "Bernard Tapy" - et de pilote de Formule 3, il se lance à 24 ans dans la vente de télévisions. Il ouvre un premier magasin, le revend puis s'embarque dans la création et le rachat d'entreprises.

 

Les châteaux de Bokassa

 

Il fait parler de lui pour la première fois en 1979 en rachetant les châteaux du dictateur de la République centrafricaine, Jean-Bedel Bokassa, après lui avoir fait croire qu'ils allaient être saisis par la justice française - châteaux qu'il a par la suite dû rendre à son propriétaire. Dès le début des années 1980, il rachète de nombreuses entreprises, parfois pour un franc symbolique. Comme Terraillon, un des leaders du pèse-personne revendu 33 millions de francs, ou Look, fabricant de fixations de ski, revendu 260 millions.

Bernard Tapie n'hésite pas à se mettre en scène, comme dans une publicité pour les piles Wonder, entreprise achetée pour 30 millions de francs et revendue quatre ans plus tard 470 millions. Dans ce clip, alors que tous les hommes et femmes en costumes qui l'entourent s'effondrent d'épuisement les uns après les autres, il fonce d'un pas assuré et clame le slogan:

"Je marche à la Wonder."

Dans les années 1980, il est incontournable. Il figure dans les vingt premières fortunes de France. Il fonde plusieurs écoles de commerce réservées aux jeunes au chômage ou sans formation - qui fermeront lorsqu'il sera déclaré en faillite - et devient l'une des personnalités préférées des Français. Il fréquente les stars, apparaît régulièrement dans les médias. Son style direct et son franc-parler plaisent. Bernard Tapie est invité dans de nombreuses émissions télévisées, comme Gym tonic.

À la même époque, il reprend le micro avec Réussir sa vie, chanson écrite par Didier Barbelivien. "Réussir sa vie, c'est traverser un océan, sans savoir pourquoi ni pour qui, à l'aventure tout simplement. C'est d'être un président, ou bien n'importe qui, et de prendre le temps d'aider un ami", chante-t-il alors.

 

Tour de France et recordman

 

Souvent, les sociétés qu'il rachète sont mal en point. "Redresser des entreprises, j'ai fait ça pendant vingt ans", clamait-il il y a quelques années. En 2012, il affirme avoir racheté 41 entreprises en dépôt de bilan. Mais en réalité, le résultat est plus contrasté. Comme le prouvent les échecs de Manufrance, articles de chasse et de pêche, ou encore Testut, une entreprise de pesage qui l'a conduit à être condamné à deux ans de prison avec sursis pour abus de biens sociaux, rappelle L'Express.

Bernard Tapie s'est aussi passionné pour le sport. Au début des années 1980, il monte une équipe cycliste - La Vie claire, du nom de l'entreprise de magasins biologiques qu'il a rachetée - avec Bernard Hinault et gagne le Tour de France. Quelques années plus tard, il bat le record de la traversée de l'Atlantique nord avec son yatch de luxe, le Phocéa, qu'il vendra ensuite pour solder ses dettes.

Il se tourne aussi vers le ballon rond. À la tête de l'OM entre 1986 et 1993, il fait briller l'équipe marseillaise. Il remporte quatre titres de champion de France, gagne une finale de Coupe de France et décroche la Ligue des champions. Mais l'ère Tapie s'arrête brusquement lorsqu'un joueur de Valenciennes révèle l'existence d'une tentative de corruption.

 

Plusieurs condamnations

 

Les affaires judiciaires, un autre aspect de la vie tumultueuse de Bernard Tapie. En 1995, l'affaire du match truqué contre Valenciennes lui vaut d’être condamné à deux ans d'emprisonnement dont huit mois ferme et trois ans d'inéligibilité. Alors patron du club de football de la cité phocéenne, il est reconnu coupable de complicité de corruption et subornation de témoins - il a toujours clamé son innocence. Il passe près de six mois en prison.

Deux ans plus tard, il est à nouveau condamné, cette fois pour fraude fiscale. Au cœur de cette affaire: un navire de luxe appartenant à une filiale de la Financière immobilière Bernard Tapie. En 1998, nouvelle condamnation pour ses pratiques financières lorsqu'il était à la tête de l'OM. Les détournements sont évalués à plus de 15 millions d'euros. Il écope de trois ans d'emprisonnement avec sursis, un peu plus de 45.000 euros d'amende et cinq ans de privation de ses droits civils et civiques.

Autre affaire et pas des moindres: Adidas. Bernard Tapie disait lui-même que c'était "l'affaire de (s)a vie". En 1990, il rachète la marque sportive pour 1,6 milliard de francs. Deux ans plus tard, alors qu'il est ministre, il en confie la vente à une filiale du Crédit lyonnais. La marque aux trois bandes est revendue 4,4 milliards de francs à Robert Louis-Dreyfus. Mais Tapie estime qu'il s'est fait flouer. Il attaque le Crédit lyonnais, qui a réalisé une plus-value sur la vente. Il obtient réparation en 2008 après douze années de procédure: quelque 404 millions d'euros lui sont versés. Mais en mai 2017, nouveau revers pour l’homme d’affaires, qui est définitivement condamné à rembourser cette somme.

 

  Acteur et animateur

 

Obligé de se reconvertir à la fin des années 1990, étant inéligible et en faillite personnelle, Bernard Tapie s'essaie à la scène. Il joue l'un des deux rôles principaux dans le film de Claude Lelouch Hommes, femmes, mode d'emploi. Il brûle ensuite les planches dans plusieurs pièces de théâtre, dont Vol au-dessus d'un nid de coucou, Oscar ou plus récemment Les Montagnes Russes. Il écrit aussi plusieurs livres, dont Gagner ou encore un roman qui se déroule dans le milieu du football.

En 1998, il enregistre son dernier single avec Doc Gynéco, C'est beau la vie. Bernard Tapie passe aussi par le petit écran. Il anime plusieurs émissions, à la télévision et à la radio, et tient le rôle principal de téléfilms et d’une série policière, Commissaire Valence, diffusée entre 2003 et 2008.

 

  Député, ministre et président?

 

Parmi les multiples vies de Bernard Tapie: sa carrière d'homme politique. Il s'est illustré à de nombreuses reprises dans sa bataille contre le Front national. Il lui est notamment arrivé d'insulter Jean-Marie Le Pen ainsi que des militants frontistes lors d'un meeting à Orange. En 1989, il devient député des Bouches-du-Rhône sous l'étiquette de la majorité présidentielle de François Mitterrand. Trois ans plus tard, il prend la tête du ministère de la Ville dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy. Mais une mise en examen l'oblige à démissionner. Quelques années plus tard, en 1994, il est élu au Parlement européen. Sa peine d'inéligibilité entrave ses ambitions, il est déchu de son mandat.

Après avoir racheté les titres du groupe Hersant médias, dont La Provence et Nice Matin, on lui prête en 2012 des velléités à la mairie de Marseille. "C'est pas une mauvaise idée", jugeait l'ancien ministre Bernard Kouchner. Son éventuel retour en politique fait alors grand bruit: 40% des Marseillais se disent même favorables à sa candidature. Rumeurs qu'il douche rapidement.

Dernier coup d'éclat en 2015, lorsqu'il envisage de postuler aux plus hautes fonctions de l'État: se présenter à l'élection présidentielle. Si aucun des prétendants dans la course à l'Élysée ne lui convient, "j'y vais moi", assure-t-il sur France 2. Il ne sera finalement pas candidat. Mais il concédait alors: "La vie m'a gâté."

Céline Hussonnois-Alaya
 

 

 

Panzerkampfwagen VIII Maus

Panzerkampfwagen VIII Maus

 

 

Le Maus (« souris » en allemand) est un char allemand de la Seconde Guerre mondiale. Il est le char le plus lourd jamais développé jusqu'au stade de prototype, état où il est resté.

Le projet mené par Ferdinand Porsche est présenté à Hitler en juin 1942. Le premier prototype fut prêt en 1943 sous le nom de « Mammut » puis devint finalement « Maus » en février 1943, avant que le projet soit abandonné.

Histoire

En novembre 1941, le Waffenamt, le service chargé du développement des armes de l’armée allemande, avait rédigé des spécifications pour un char de 70 t, dont le développement fut confié à Krupp en février 1942, donnant naissance au Panzerkampfwagen VII Löwe. Hitler fut impressionné par ce projet et confia dès mars 1942 à la même entreprise le soin de développer un char de 100 t avant le printemps 1943. Dans un premier temps, les ingénieurs de Krupp proposèrent un projet de 90 t, mais Hitler se montra intraitable : il était convaincu que les Soviétiques allaient bientôt mettre en service des chars plus lourds que ce qu’ils avaient eu jusqu’alors et qu’un char de 100 t était indispensable pour les contrer.

À la fin du mois de mars 1942, Porsche reçut également, en concurrence donc avec Krupp, un contrat pour le développement d’un char de 100 t, et les plans de ce véhicule, baptisé Mauschen (« petite souris ») furent approuvés en juin. La conception de la tourelle resta toutefois entièrement entre les mains de Krupp, qui reçut le contrat le 17 juillet 1942. Hitler trancha définitivement au moment de lancer la phase de production en janvier 1943 : les plans de Porsche seraient retenus pour le châssis, avec la tourelle de Krupp, tandis que l’assemblage serait réalisé par l’entreprise Alkett ; six prototypes devaient être réalisés puis cent trente-cinq véhicules, au rythme de dix unités par mois. Le châssis conçu par Krupp fut toutefois réutilisé pour la conception de l’E-100 ou Tiger Maus. À cette date fut également choisi quel serait l’armement principal, qui avait fait l’objet de nombreuses hésitations dans les mois précédents : ce serait un canon de 128 mm, mais la tourelle devait être compatible avec un canon de150 mm pour de futurs développements.

Le projet subit un premier coup dans la nuit du 5 au 6 mars 1943, quand un bombardement de la RAF visa les installations de Krupp à Essen et entraîna la destruction de tous les plans de la tourelle, ainsi que de la maquette en bois de celle-ci. Une autre maquette, du char complet et à taille réelle, fut présentée à Hitler le 13 mars 1943, mais il ne fut pas possible de lancer la production en mai comme il l’avait exigé, et celle-ci fut repoussée à septembre, quatre unités devant être livrées avant la fin de l’année. Si ce planning était initialement tenable pour le châssis, il ne l’était en revanche pas pour la tourelle du fait des problèmes de Krupp, et les prévisions pour la livraison de la première tourelle glissèrent progressivement d’octobre à décembre.

Un second raid aérien début août sonna le glas du projet : deux châssis purent être sauvés des ruines et il restait des composants pour trente autres, mais, une fois de plus, la majeure partie des composants et des ateliers de production de la tourelle avaient été détruits et seule une pouvait encore être assemblée dans un délai raisonnable. Finalement, Krupp ayant estimé qu’il faudrait jusqu’à huit mois pour relancer la production, l’armée décida d’abandonner le projet le 27 octobre 1943 : seuls les deux châssis et la tourelle restante devaient être complétés et envoyés à Alkett pour l’assemblage final. Un premier châssis y arriva le 26 septembre 1943 et fut terminé à la fin de l’année puis envoyé au terrain d’essai de Böblingen en janvier 1944.

Ce premier véhicule n’ayant pas de tourelle, un simulateur de même forme, taille et masse fut installé à la place afin de pouvoir conduire les essais dans les conditions les plus proches de la réalité. Les premiers essais de mobilité se passèrent assez bien, malgré une certaine tendance du char à s’enfoncer dans le sol : en une occasion, l’équipage s’engagea par erreur dans une zone humide et le véhicule se retrouva embourbé sur la moitié de la hauteur du châssis, nécessitant des travaux de terrassement intensifs pour le dégager. La poursuite des essais révéla toutefois rapidement des défauts majeurs de motricité. Tout d’abord au niveau des chenilles, le modèle plat initialement prévu manquant de capacité de traction ; leur poids les rendaient par ailleurs difficiles à manipuler et le remplacement d’un segment prenait en moyenne huit heures de travail exténuant aux six membres d’équipage. Ensuite, la consommation de carburant, établie à 35 L/km, était colossale et bien au-dessus de ce qui avait été estimé.

L’assemblage final du second véhicule eut lieu directement à Böblingen en juin 1944, Alkett s’étant déchargé de cette tâche dès mars 1944. Les essais réalisés sur ce prototype complet montrèrent d’autres problèmes, en particulier que la rotation de la tourelle n’était pas possible sur une pente de 10 % : le moteur électrique affecté à cette tâche ne parvenait pas à délivrer suffisamment d’énergie, tandis qu’en manuel il fallait exercer une force de plus de 30 kg sur la manivelle pour faire bouger la tourelle.

Tout travail sur le projet fut arrêté le 19 novembre 1944 et les deux véhicules furent envoyés à Kummersdorf pour y être stockés. À l’approche de l’Armée rouge en avril 1945, les Allemands les détruisirent à l’explosif avant de se replier. Les Soviétiques récupèrent les restes qu’ils expédièrent au terrain d’essai de Koubinka, puis la tourelle fut placée sur le premier châssis et l’ensemble est désormais exposé au musée des Blindés de Koubinka

 

Caractéristiques

Motricité

Motorisation

La propulsion du Maus était assurée par un système hybride constitué de deux moteurs électriques, eux-mêmes alimentés par le biais d’un générateur couplé au moteur principal, qui fonctionnait à l’essence ou Diesel, selon les versions. Dans un premier projet, daté du 5 octobre 1942, Porsche proposait deux moteurs Diesel : soit un Daimler-Benz de 44,5 L et 12 cylindres, refroidi à l’eau et développant 1 000 ch, soit un Porsche Type 205/2 de 41,5 L refroidi à l’air fournissant 780 ch. Par la suite, en novembre 1942, le choix se porta sur un Daimler-Benz DB 603, qui devait être produit dans une version spéciale, qui prit le nom de MB 509 et dont la puissance devait être augmentée à 1 500 ch (revu par la suite à 1 200 ch) par l’ajout d’un compresseur

La position du moteur était inhabituelle, étant situé au milieu de la caisse, ce qui avait pour effet de séparer le conducteur, placé à l’avant, du reste de l’équipage installé dans la tourelle. Les moteurs électriques étaient eux positionnés directement sous la tourelle, à proximité des barbotins

 

Armement

Armement principal

 

L’armement principal envisagé évolua considérablement au fur et à mesure de l’avancée du projet. Initialement, en avril 1942, la tourelle devait être équipée d’un canon de 15 cm L/40, mais Krupp fut invité à tout de même étudier si un canon de 12,8 cm L/50 ne serait pas préférable. Au début du mois de juin 1942, il était désormais question d’un 15 cm L/37 ou d’un 10,5 cm L/70. Finalement, le premier contrat pour la conception de la tourelle attribué à Krupp le 25 juin 1942 précisait qu’elle devait être armée d’un canon 15 cm L/31 ; celui-ci devait être en mesure de tirer un projectile de 43,5 kg à une vitesse minimale de 750 m/s et à une distance de 16 km

.

Armement secondaire

 

L’élément le plus proéminent de l’armement secondaire était un canon coaxial de 7,5 cm, qui fut envisagé dès juin 1942. Les spécifications initiales exigeaient une portée d’au moins 7 km et une longueur de tube de 24 calibres. Cette configuration évolua peu par la suite, si ce n’est que le tube fut rallongé à 31 calibres en décembre 1942 puis 36 en janvier 1943, afin d’éviter que la bouche se trouve directement au-dessus des prises d’air du moteur.

Une mitrailleuse MG-34 installée en proue fut initialement envisagée, mais finalement abandonnée au début de l’année 1943

.

Protection

 

Le blindage de la partie frontale du char présentait une inclinaison de 35 % par rapport à la verticale. Le blindage de la caisse était de 200 mm à l'avant et 160 mm à l'arrière. Celui de la tourelle était de 250 mm à l'avant, 200 mm à l'arrière et 60 mm sur le toit.

 

Équipage

 

L'équipage était constitué de six hommes : un conducteur et un opérateur radio prenant place dans la caisse, et le chef de char, le canonnier ainsi que les deux chargeurs dans la tourelle.

 

Bilan

 

Comme pour le Tigre II, son principal problème de développement se situait dans la nécessité de trouver un moteur fiable et extrêmement puissant pour mouvoir une telle masse, ce qui explique sa faible vitesse de déplacement. Un autre problème était d'ordre logistique : avec ce poids, peu de ponts lui seraient ouverts, limitant ainsi ses actions ; on prévoyait de lui ajouter, comme pour les sous-marins ou les premiers exemplaires du Tiger I, des schnorkels afin de franchir des rivières en immersion.

Ces problèmes auraient réduit au minimum ses fonctions offensives mais en revanche auraient pu faire de lui un engin meurtrier en défense de zone vitale, lorsque l'aviation ne pouvait pas agir car sa faible mobilité en fait une cible pour les avions d'attaques au sol.

Le Maus du musée des Blindés de Koubinka en Russie, à 80 km à l'ouest de Moscou, est le fruit de l'assemblage après-guerre du châssis et de la tourelle des deux chars produits (la tourelle V2 montée sur la coque V1). Il est donc unique au monde. Situé au fond du hangar, derrière le mortier Karl, le char sera prochainement déplacé pour rejoindre (avec toute la collection) le Patriot Park (en). Le hangar devra être démonté pour pouvoir le sortir.

Les traces de tir sont dues à des essais de munitions par les Soviétiques. Un marteau et une faucille ont été peints par les soldats allemands sur le côté droit pour tromper les Soviétiques. Le pochoir a été mis à l'envers .Son prix est d'environ deux milliards de deutschemarks.

Il fut le tank le plus blindé de la Deuxième Guerre mondiale.

 

L'estimation du projet

Documentaires télévisés

 

Tank XXL : 4e épisode de la série Nazi Mégastructures, sur National Geographic.

 

Jeux vidéo

 

Le Maus fait son apparition dans le jeu vidéo World of Tanks, en tant que char super-lourd de tier X, dans l'arbre technologique Allemand.

Il fait également son apparition dans le jeu War Thunder, en tant que char super-lourd de tier V et un BR de 8.0 en bataille arcade et un BR de 7.7 en bataille réaliste (battle rating / cote de bataille) il est supprimé du jeu lors de la mise à jour 1.91 le char n'avait pas sa place par manque de réalisme et par équilibrage il était trop puissant pour ses concurrents lors de la deuxième guerre mondiale mais inutile face aux chars modernes disponibles misant sur la mobilité et la puissance de feu.

C'est un prototype de l'armée allemande dans le jeu R.U.S.E. Il est jouable en mode bataille après construction d'une base de prototype.

On peut également le retrouver dans le jeu Compagny of heroes.

On le trouve également dans l'anime Girls und Panzer.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panzerkampfwagen_VIII_Maus

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
    Chars utilisés (Guerre) : Allemagne
   
   
   
    Panzerkampfwagen E-100
    Panzerkampfwagen VIII Maus
    Panzerkampfwagen V Panther
    Panzerkampfwagen VI Tiger
    Panzerkampfwagen VI Königstiger
   
   
   
   
   
    Première guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
 
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Benito Mussolini

Publié à 10:26 par dessinsagogo55 Tags : center coup merci centerblog sur homme mort pouvoir
Benito Mussolini

Benito Mussolini, né le 29 juillet 1883 à Predappio et mort le 28 avril 1945 à Giulino di Mezzegra, est un journaliste, idéologue et homme d'État italien.

 

Fondateur du fascisme, il est président du Conseil du royaume d'Italie, du 31 octobre 1922 au 25 juillet 1943, premier maréchal d'Empire du 30 mars 1938 au 25 juillet 1943, et chef de l'État de la République sociale italienne (RSI) de septembre 1943 à avril 1945. Il est couramment désigné par le terme « Duce », mot italien dérivé du latin Dux et signifiant « Chef » ou « Guide ».

 

Il est d'abord membre du Parti socialiste italien (PSI) et directeur du quotidien socialiste Avanti! à partir de 1912. Anti-interventionniste convaincu avant la Première Guerre mondiale, il change d'opinion en 1914, se déclarant favorable à l'entrée en guerre de l'Italie. Expulsé du PSI en novembre 1914, il crée son propre journal, Il Popolo d'Italia (Le peuple d'Italie) qui prend des positions nationalistes proches de celles de la petite bourgeoisie. Dans l'immédiate après-guerre, profitant du mécontentement de la « victoire mutilée », il crée le Parti national fasciste (PNF) en 1921 et se présente au pays avec un programme politique nationaliste, autoritaire, antisocialiste et antisyndical, ce qui lui vaut l'appui de la petite bourgeoisie et d'une partie des classes moyennes industrielles et agraires.

 

Dans le contexte de forte instabilité politique et sociale qui suit la Grande Guerre, il vise la prise du pouvoir en forçant la main aux institutions avec l'aide des paramilitaires squadristi et l'intimidation qui culminent le 28 octobre 1922 avec la marche sur Rome. Mussolini obtient la charge de constituer le gouvernement le 30 octobre 1922. En 1924, après la victoire contestée des élections et l'assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti, Mussolini assume l'entière responsabilité de la situation. La série de lois fascistissimes lui attribue, à partir de 1925, des pouvoirs dictatoriaux et fait de l'Italie un régime fasciste à parti unique.

 

Après 1935, il se rapproche du régime nazi d'Adolf Hitler, avec qui il établit le pacte d'acier (1939). Convaincu d'un conflit à l'issue rapide, il entre dans la Seconde Guerre mondiale au côté de l'Allemagne nazie. Les défaites militaires de l'Italie et le débarquement des Alliés sur le sol italien entraînent sa mise en minorité par le Grand Conseil du fascisme le 24 juillet 1943 : il est alors destitué et arrêté par ordre du roi. Libéré par les Allemands, il instaure en Italie septentrionale la République sociale italienne. Le 25 avril 1945, alors qu'il tente de fuir pour la Valteline déguisé en soldat allemand, il est capturé par un groupe de partisans. Il est ensuite fusillé avec sa maîtresse Clara Petacci ; leurs corps sont livrés à une foule en colère et pendus par les pieds au carrefour de Piazzale Loreto, à Milan.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Benito_Mussolini

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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La Vache et le Prisonnier

La Vache et le Prisonnier

 

 

La Vache et le Prisonnier est un film franco-italien réalisé par Henri Verneuil en 1959.

 

Synopsis

 

 
Un char fleuri inspiré du film à Cosne-Cours-sur-Loire en 2015
 

En 1943, Charles Bailly (Fernandel), un Français prisonnier de guerre en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, décide de s'évader de la ferme où il est employé. Sa ruse, grossière et folle en apparence, consiste à traverser le pays, la vache Marguerite tenue au licol et un seau de lait dans l'autre main.

Ayant presque réussi, il se sépare de l'animal, non sans lui avoir promis de ne plus jamais « manger de veau ». Il se dissimule sous un train pour franchir la frontière germano-française.

Alors qu'il se retrouve à la gare de Lunéville, il prend la fuite devant deux policiers français, et saute dans un train qui, à son insu, est en partance pour… l'Allemagne. Ce n'est que deux ans plus tard que cet héroïque anti-héros reviendra de captivité « comme tout le monde ».

 

 

Fiche technique

 

Titre : La Vache et le Prisonnier

Réalisation : Henri Verneuil

Scénario : d'après le récit de Jacques Antoine Une histoire vraie (histoire originale publiée en 1945 dans le livre de Maurice Dekobra La Perruche Bleuep. 211-215, Édition Brentano's.)

Adaptation : Henri Verneuil, Henri Jeanson, Jean Manse

Dialogue : Henri Jeanson

Assistant réalisateur : Ulrich Picard

Images : Roger Hubert

Opérateur : Adolphe Charlet

Montage : Jacques Cuenet

Décors : Franz Bi, Max Seefelder, Jacques Chauvet

Musique : Paul Durand

Son : Antoine Petitjean

Photographe de plateau : Fred Rotzinger

Script-girl : Lucile Costa

Régisseur général : Harry Dettman

Production : Da-Ma Cinematografica (Rome), Les films du Cyclope (Paris)

Chef de production : Roland Girard

Directeur de production : Walter Rupp, René G. Vuattoux

Distribution : Pathé Consortium

Format : 35 mm, noir et blanc

Tournage du 8 juin au 15 août 1959 en Allemagne, dans le Bade-Wurtemberg et en Bavière, et en Ardèche dans le village d'Alboussière

Genre : Comédie dramatique

Durée : 119 minutes

Date de sortie :

France - 16 décembre 1959

 

Distribution

 

Fernandel : Charles Bailly

René Havard : Bussière

Bernard Musson : Pommier

Maurice Nasil : Bertoux

Ellen Schwiers : Josépha dite Marlène, la fermière

Ingeborg Schöner : Helga

Albert Rémy : Collinet, le prisonnier du stalag

Pierre Louis : Hauptmann Müller, un évadé déguisé en SS

Richard Winckler : Hauptmann Rupp, l'autre évadé

Franziska Kinz : la mère d'Helga

Benno Hoffmann : le garde du camp

Heinrich Gretler : Bockmann, le fermier à la camionnette

Til Kiwe : l'officier qui traduit

Hugo Lindinger : le soldat qui compte les prisonniers

Marcel Rouzé

Franz Muxeneder (coupé au montage)

Marguerite : la vache

 

Accueil critique

 

Plus gros succès au box-office de 1959 avec 8 844 199 entrées.

À sa sortie, Jean de Baroncelli dans l'édition du quotidien Le Monde datée du 1er janvier 1960 est indulgent :

 

 

« Un bon point de départ ne suffit pas toujours à faire un bon film. En l'occurrence, il s'agissait de meubler d'anecdotes et de gags le long voyage du prisonnier. Responsables de l'adaptation, Henri Jeanson, Henri Verneuil et Jean Manse ont exploité avec ingéniosité la situation initiale. Travaillant pour Fernandel, ils ont naturellement tiré le sujet vers la farce, non sans ménager ici ou là quelques moments d'émotion. Tout n'est pas de qualité égale dans ce qu'ils ont trouvé, et certains sketches de la seconde partie du film languissent un peu, mais à deux ou trois reprises ils ont, comme on dit, mis dans le mille. La visite de Fernandel au stalag des « tire-au-flanc », le gag du voisin charitable, et surtout l'épisode où le prisonnier et sa vache défilent devant une compagnie de soldats allemands rangés au garde-à-vous sur un pont pour les laisser passer, sont d'excellents morceaux comiques.

L'histoire ne se prêtait pas aux fioritures techniques : Henri Verneuil a eu raison de la raconter avec simplicité et bonhomie. Je ne lui reprocherai guère que de n'avoir pas suffisamment resserré sa fin. Sans la pirouette finale, qui est amusante, on partirait sur une impression de longueur. Dans un rôle taillé à sa mesure, Fernandel s'efforce visiblement de rester sobre. Et il sait émouvoir quand il veut. Dialogue efficace d'Henri Jeanson (« Toutes les mères se ressemblent ; dommage que les pères soient si bêtes ! »etc.).

Bref, un film qui est très exactement ce que les auteurs ont voulu qu'il soit. Un spectacle familial certainement promis au succès. »

 

Pierre Murat, de la revue Télérama, confirmait en 2017 :

 

« Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain.

 

La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse. »

 

 

À noter

 

Le trajet de Charles Bailly part vraisemblablement de Bavière (« on décidait de passer notre première nuit, sous ces beaux arbres, tout près du lac de Tegernsee, ou peut-être Würmsee ou A

mmersee, je ne me souviens plus très bien. » (33-34 min)). Le lieu suivant explicitement mentionné est le Danube, sur lequel un pont a été détruit par des bombardements Alliés. Le prisonnier passe ensuite à Esslingen (« Esslingen était la seule ville qui fît partie de mon itinéraire » (90 min)), avant de rejoindre la gare de Stuttgart, d'où il prend un train pour Paris.

Pour égayer leurs soirées, le prisonnier Bertoux déclame des poèmes érotiques : Les Bijoux de Charles Baudelaire et Chansons pour elle, X de Paul Verlaine.

Lors du tournage du film, Fernandel est âgé de 56 ans, alors que les mobilisés en 1940 étaient âgés de 20 à 45 ans légalement. Mais au vu de son interprétation, le public ne portera pas attention à ce détail. Le général de Gaulle dira lui-même qu'en 1940, il avait bien plus que 45 ans, comme tant d'autres personnes qui participèrent au conflit.

Les rapports entre Henri Verneuil et Fernandel furent difficiles, les exigences de l'acteur exaspérant le réalisateur à ce point que ce dernier regretta de ne pas avoir confié le rôle à Bourvil.

Il s'agit du premier long métrage français qui a été colorisé et diffusé le 23 septembre 1990 sur TF1

Après le tournage, la vache devait être rendue et envoyée à l'abattoir. Henri Verneuil s’y opposa farouchement et lui trouva un pré en Normandie où elle put finir sa vie tranquillement.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vache_et_le_Prisonnier

Notes et références                                                    
   
   
   
    La Vache et le Prisonnier
   
   
   
   
   
CREATION   La vache et le prisonnier
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Lion : Crinière

Publié à 02:53 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog bonne afrique merci vie animal chez
Lion : Crinière

 

Crinière

 

Les mâles possèdent une longue crinière, le plus souvent brun foncé, mais également dans certains cas, noire, brun clair ou fauve. Les lions du Tsavo, sont quant à eux dépourvus de crinières. La crinière apparaît vers l'âge de trois ans et s'étend des joues jusqu'au-dessus des épaules, quelquefois aussi sur le ventre et sur la poitrine. La forme et la couleur des mâles peuvent varier non seulement entre les individus, mais également chez un même individu au cours de sa vie en fonction de sa constitution physique.

 

Une crinière longue et foncée est un indicateur d'une bonne constitution et d'une grande force de combat, car le statut hormonal et la nutrition ont des conséquences sur l'épaisseur ainsi que sur la longueur de la crinière. Des examens expérimentaux avec des crinières empaillées ont montré que les femelles réagissent positivement aux modèles avec une crinière longue et sombre, et que les mâles évitent les modèles aux crinières prononcées. L'explication en est qu'une crinière foncée et épaisse constitue un handicap, car elle capte et conserve la chaleur. Les mâles ainsi handicapés, mais néanmoins « survivants », se révèlent donc être les porteurs de meilleurs gènes. Cela est avéré par le fait qu'un animal affaibli d'une manière ou d'une autre présente une crinière plus claire et moins importante (des changements d'aspect de la crinière ont été observés chez un même individu au cours du temps).

 

En pratique, la crinière pourrait être une protection contre les coups de griffes lors de combats contre des mâles rivaux.

 

Par ailleurs, les dernières recherches ont également prouvé que la température a aussi un effet important sur la longueur de la crinière, et les mâles de régions plus froides, même indépendamment de leur sous-espèce, forment une crinière plus importante que ceux vivant dans des régions très chaudes. Ainsi, les individus mâles des zoos de régions au climat plus continental forment le plus souvent une crinière bien plus importante que celle de leurs congénères restés dans des pays plus chauds.

 

Chez les lions d'Asie, ainsi que certains spécimens d'Afrique de l'Ouest (au parc de la Pendjari au Bénin, par exemple), la crinière est clairement moins prononcée que chez leurs cousins d'Afrique, les poils ont la particularité d'être également plus fins.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lion

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Lion : Description

Publié à 02:50 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog sur image base afrique vie monde animaux animal png chez article nature livre
Lion : Description

 

 

Biométrie

Le lion est le deuxième plus grand félidé, après le tigre, et ainsi le plus grand carnivore d'Afrique. Un mâle mesure de 172 à 250 centimètres de long du bout du museau à la base de la queue et possède une queue d’en moyenne 90 centimètres. Les mâles atteignent une masse comprise entre 145 et 225 kilogrammes à l'âge adulte. Les femelles adultes mesurent de 158 à 192 centimètres sans la queue et possède une queue mesurant environ 85 cm. Elles pèsent entre 83 et 168 kg et ont une corpulence en moyenne 20 à 50 % moins importante que celle d'un mâle.

 

La taille au garrot peut varier de 100–128 cm (en moyenne, 123 cm pour les mâles et 107 cm pour les femelles). Les plus grands mâles pouvant exceptionnellement atteindre une taille à l'épaule de 1,50 m. Ils peuvent ainsi avoir une taille à l'épaule de 30 cm plus importante que celle des tigres mais sont moins longs que ces derniers. Si une taille de 189–300 cm du bout du museau à la base de la queue a souvent été évoqué pour le tigre, il est admis que le tigre est au maximum de 30 cm plus long que le lion soit une longueur de 2,80 m du bout du museau à la base de la queue. Les plus grands lions vivent dans le sud de l’Afrique, les plus petits en Asie. Le record du monde dans la vie sauvage est détenu par un lion du Transvaal de 313 kg. Les lions en captivité ont tendance à être plus gros que les lions vivant dans la nature, dans certains cas, les lions ont atteint en captivité un poids de 375 kg, notamment le célèbre lion à crinière noire « Simba » du zoo de Colchester en Angleterre dont la masse a été reconnue par le Livre Guinness des records

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lion

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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