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Alamo (film, 1960)

Alamo (film, 1960)

 

 

Alamo (The Alamo) est un film américain réalisé par John Wayne, sorti en 1960.

 

Synopsis

 

En 1836, cent quatre-vingt-cinq civils américains insoumis au Mexique, parmi lesquels Davy Crockett et James (Jim) Bowie, se sacrifient pour faire face aux assauts des troupes régulières mexicaines en attendant l'arrivée de l'armée texane.

 

 

 

Fiche technique

 

Titre français: Alamo

Réalisation : John Wayne

Scénario : James Edward Grant

Direction artistique : Alfred Ybarra

Décors : Alfred Ybarra, Victor A. Gangelin

Costumes : Frank C. Beetson, Ann Peck

Photographie : William H. Clothier

Son : Jack Solomon

Supervision son : Fred Hynes, Gordon Sawyer

Montage : Stuart Wilmore

Musique : Dimitri Tiomkin

Production : John Wayne, assisté de Michael Wayne

Sociétés de production : The Alamo Company (États-Unis), Batjac Productions (États-Unis)

Sociétés de distribution : United Artists, Artistes Associés (France), Les Grands Films Classiques (France)

Pays d'origine :  États-Unis

Langues : anglais, espagnol

Format : couleur (Technicolor) — 70 mm — 2.20:1 Todd-AO — son stéréo 6 pistes (Westrex Recording System) - Copies 35mm au ratio : 2,35:1 - Son Mono

Genre : Western, film de guerre

Durée : 167 minutes (cinéma) / 203 minutes (director's cut)

Dates de sortie :

 États-Unis : 24 octobre 1960

 France : 8 février 1961

(fr) Classifications CNC : tous publics, Art et Essai (visa d'exploitation no 23902 délivré le 2 décembre 1960)

 

Distribution

 

 

John Wayne (VF : Claude Bertrand) : Davy Crockett

 


Richard Widmark (VF : Jean Claudio) : Colonel James (Jim) Bowie


Laurence Harvey (VF : Jean-Claude Michel) : Colonel William Travis
Frankie Avalon (VF : Christian Fourcade) : Smitty
Patrick Wayne (VF : Jacques Ferrière) : Capitaine James Bonham
Linda Cristal (VF : Jeanine Freson) : « Flaca »
Richard Boone (VF : Jean Martinelli) : Général Sam Houston
Joan O'Brien (VF : Nadine Alari) : Susanna « Sue » Dickinson
Chill Wills (VF : Jacques Berlioz) : Beekeeper
Joseph Calleia (VF : Fernand Rauzena) : Juan Seguin
Denver Pyle (VF : Lucien Bryonne) : Thimblerig
Hank Worden : Parson
Guinn Williams (VF : Serge Nadaud) : Lieutenant « Irish » Finn
Ken Curtis (VF : Jean-Pierre Duclos) : Capitaine Almeron Dickinson
Carlos Arruza (VF : Jean-Henri Chambois) : le lieutenant mexicain
Jester Hairston (en) (VF : Gérald Castrix) : Jethro (le serviteur noir de Bowie)
Veda Ann Borg (VF : Lita Recio) : Nell Robertson, la femme aveugle
John Dierkes (VF : André Valmy) : Jocko Robertson
Aissa Wayne : Angelina (Lisa) Dickinson
William Henry : le docteur Sutherland
Bill Daniels (VF : Jean Berton) : le colonel Neill
Wesley Lau (VF : Yves Brainville) : Emile Sande
Chuck Roberson (VF : Henry Djanik) : un homme du Tennessee
Olive Carey : Mrs. Dennisson
Ruben Padilla (VF : Jean-Henri Chambois) : Général Santa Anna
Carol Baxter : l'adolescent texan
Jack Pennick : Sergent Lightfoot
Red Morgan : un homme du Tennessee
Julian Trevino : Silvero Seguin
Tom Hennessey : Bull
Cy Malis : Pete
Fred Graham : le volontaire barbu
Le Jeanne Guy : une femme

 

Cascades

Bill Babcock, Buff Brady, Jim Burk, Joe Canutt, Tap Canutt, Philip Crawford, Harry Froboess, Glen Gamble, Fred Graham, Bob Harris, Bill Hart, Chuck Hayward, Tom Hennesy, Tex Hill, John Hudkins, Leroy Johnson, Eddie Juaregui, Cliff Lyons, Bob Morgan, Boyd 'Red' Morgan, Gil Perkins, Rudy Robbins, Chuck Roberson, Bob Rose, Bill Shannon, Dean Smith, Gibb Stepp, Ted White, Bill Williams, Jack Williams, Thomas Worrell, Jack N. Young

 

Production

Scénario

 
Le Fort Alamo à San Antonio (Texas)

John Wayne en s'inspirant d'un épisode de la Révolution texane, celui du siège de Fort Alamo, souhaita dans son œuvre montrer l'héroïsme d'un groupe d'individus qui se sacrifièrent pour la création d'une république indépendante, la république du Texas.

Pour sublimer ce courage, il se permit quelques libertés avec les faits, aussi ce film comporte des erreurs historiques, des faits imaginaires, ainsi que des anachronismes dans les événements, l'armement, les costumes, etc. Ce qui fit que des collaborateurs du film, dont l'écrivain, folkloriste et journaliste J. Frank Dobie et le spécialiste de l'histoire du Texas Lon Tinkle (en), refusèrent que leurs noms figurent dans la liste des collaborateurs historiques du film.

 

Tournage

 

Période prises de vue : 9 septembre 1959 au 15 décembre 1959 et août 1960

Intérieurs : Samuel Goldwyn Studios (août 1960)

Extérieurs : Alamo Village à Brackettville au Texas et au Mexique

 

BO

 

Chansons :

The Green Leaves of Summer, paroles de Paul Francis Webster et musique de Dimitri Tiomkin, interprétée par des chœurs

Tennessee Babe, paroles de Paul Francis Webster et musique de Dimitri Tiomkin, interprétée par des chœurs

Ballad of the Alamo, paroles de Paul Francis Webster et musique de Dimitri Tiomkin, interprétée par des chœurs

Here's to the Ladies, paroles de Paul Francis Webster et musique de Dimitri Tiomkin, interprétée par Frankie Avalon et par Chill Wills

Musique additionnelle : hymne The Eyes of Texas (en), paroles et musique de John Sinclair (alma mater de l'Université du Texas à Austin)

 

Distinctions

 

Récompenses

 

 Oscars 1961

Oscar du meilleur mixage de son pour Fred Hynes et Gordon Sawyer.

 Golden Globes 1961

Golden Globe de la meilleure musique de film pour Dimitri Tiomkin.

 

Nominations

 

 Oscars 1961

Oscar du meilleur film pour John Wayne.

Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Chill Wills.

Oscar de la meilleure musique de film pour Dimitri Tiomkin.

Oscar de la meilleure chanson originale pour Dimitri Tiomkin (musique) et Paul Francis Webster (paroles) pour la chanson The Green Leaves of Summer.

Oscar de la meilleure photographie pour William H. Clothier.

Oscar du meilleur montage pour Stuart Gilmore.

 

Autour du film

 

Une figurante du film (Lejean Elthridge) a été assassinée sur le tournage du film à coups de couteau par son compagnon qui jouait également dans le film

Les combattants du fort chantent Happy birthday to you, chanson composée 57 ans plus tard.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alamo_(film,_1960)

 
 

https://youtu.be/AGRUd4IIna8

 
     
     
     
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John William : Le bleu de l’été

Publié à 22:58 par dessinsagogo55 Tags : search google france centerblog sur merci moi amour monde musique sourire bleu enfant film
John William : Le bleu de l’été

 

 

 

Le Bleu de l'été (Green Leaves of Summer) du film Alamo (Henri Contet / Dimitri Tiomkin)

1960 - Polydor 21 766

Le temps d'une larme
Le temps d'un sourire
Le temps les efface
Mais toi tu es là

Et c'est moi qui regarde
Dans tes yeux où s'attarde
Cet amour qui nous garde
Le bleu de l'été

Le temps s'éparpille
Le temps se gaspille
De fil en aiguille
Les jours font les nuits

Mais des nuits éternelles
Quand c'est toi qui m'appelles
Jusqu'à la citadelle
Du bleu de l'été

Le temps d'une larme
Le temps qui l'efface
Le temps qui désarme
Le temps d'en finir

Et c'est moi qui regarde
Dans tes yeux où s'attarde
Cet amour qui nous garde
Le bleu de l'été
Le bleu de l'été

Source : Musixmatch

Paroliers : Charles Trenet

Paroles de Le Bleu de l’été © Raoul Breton Ed.

 
   
   
   
   

John William enchaîne les succès avec des génériques de films qui feront le tour du monde

   
 
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Liens externes                                                  
 

 

 
 

https://youtu.be/AyLmvq-z0Vs

 
     
     
     
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Messerschmitt Bf 109

Publié à 22:10 par dessinsagogo55 Tags : air france centerblog sur merci société mort
Messerschmitt Bf 109

Le Messerschmitt Bf 109 est un chasseur monomoteur monoplace allemand conçu par l'ingénieur allemand Willy Messerschmitt en réponse à un appel d'offres du RLM pour la conception d'un chasseur moderne devant équiper la Luftwaffe naissante en 1935.

Autour du moteur le plus puissant disponible à cette date, le Junkers Jumo 210 A (mais le premier prototype vola avec un Rolls-Royce Kestrel, en septembre 1935, le Jumo 210 A étant en phase de finition), Messerschmitt dessina la cellule la plus fine possible, reprenant des techniques très novatrices qu'il avait développées pour l'avion léger Bf 108.

C'est donc avec un moteur anglais que le prototype Bf 109 V-1 fit ses essais comparatifs, et fut accepté pour une production en série, trois autres prototypes équipés de moteurs allemands étant cependant réalisés pour des tests d'armements.

À la suite de sa participation à la guerre d'Espagne, le Bf 109 fut remotorisé avec un Daimler-Benz DB 600 pour pratiquer de façon encore plus efficace les nouvelles tactiques de combat aérien qu'il avait permis de mettre au point. La première partie de la Seconde Guerre mondiale vit une domination sans partage de cet avion et de sa doctrine d'emploi.

Durant la bataille de France il surclassa tous ses adversaires directs : le Bloch 152, mais pas le Dewoitine D.520 (moins rapide mais plus maniable que le Bf 109), ainsi que le Hurricane anglais. Les Morane-Saulnier MS.406 qui représentaient l'essentiel de la chasse française avec les Curtiss H75, étaient nettement dépassés. Seul le Supermarine Spitfire britannique put lui tenir tête, dès le début de la bataille d'Angleterre.

Le Bf 109 fut le chasseur préféré de nombreux pilotes allemands, dont des as tels qu'Adolf Galland ou Hans-Joachim Marseille, et cela même après le déploiement du Focke-Wulf 190, pourtant plus performant.

Cependant l'avion arriva vite au bout de son potentiel d'évolution : les versions suivantes ne parvinrent pas à maintenir l'avantage acquis, l'avion était trop étroit pour qu'on lui adapte un armement plus puissant, et il se révéla d'un pilotage difficile lorsque de nouveaux moteurs augmentèrent sa vitesse. Aux mains de pilotes chevronnés il resta néanmoins un adversaire redoutable jusqu'à la fin de la guerre, et fut le principal chasseur allemand de cette époque. Il continua à être fabriqué en Tchécoslovaquie après le conflit.

Le Bf 109 peut s'enorgueillir d'avoir été l'avion de chasse muni d'un moteur à piston le plus longtemps utilisé, et le plus produit avec plus de 33 000 exemplaires sortis d'usine de 1935 à 1956.

 

Naissance
 
 

   

 
Messerschmitt Bf 109 C-1 du Jagdgruppe 88 de la Légion Condor
 
 

Willy Messerschmitt avait fondé sa société Messerschmitt Flugzeugbau GmbH en mars 1926, en partie financée par le gouvernement bavarois. À la suite de problèmes économiques, ce dernier lui demanda en septembre 1927 d'intégrer comme concepteur principal la Bayerische Flugzeugwerke (BFW) d'Augsburg, déjà existante. Après de nombreux déboires, cette association obtient enfin un succès commercial avec le Messerschmitt Bf 108 Taifun, un quadriplace léger, conçu en hâte pour participer au Challenge international des avions de tourisme de 1934. Cet avion, très en avance sur son époque, permit à Messerschmitt d'expérimenter les solutions qui allaient faire le succès de son futur chasseur : la formule monoplan à aile basse cantilever, le train d'atterrissage rentrant, une construction semi-monocoque légère en alliage d'aluminium s'articulant autour d'un unique longeron d'aile et d'une forte cloison pare-feu, ainsi que les dispositifs hyper-sustentateurs, combinant des becs à fente automatiques sur le bord d'attaque et des volets sur le bord de fuite, permettant de décoller et d'atterrir malgré une charge alaire très élevée.

Le Bf 108, très populaire, assura Messerschmitt d'un soutien inconditionnel de nombreux officiers et pilotes de la Luftwaffe. Cependant il s'était aussi trouvé un ennemi acharné en la personne d'Erhard Milch, qui venait de prendre la tête du tout nouveau Reichsluftfahrtministerium (RLM). Cet antagonisme était le résultat de la mort de l'ami personnel de Milch, Hans Hackman, au cours des essais du Messerschmitt M20, mais aussi de l'exploitation désastreuse de l'avion par la suite, au sein de la Deutsche Lufthansa, dont Milch était alors directeur. Cette inimitié explique sans doute pourquoi Bayerische Flugzeugwerke n'a pas été conviée dans un premier temps à répondre au programme de chasseur monoplace Rüstungsflugzeug IV, lancé par le Technisches Amt (le département technique) du RLM en juin 1934. Finalement au début de 1935, grâce à sa popularité au sein des hautes instances de la Luftwaffe, Messerschmitt fut enfin invité à présenter un prototype, bien que Milch assurât que jamais il ne pourrait remporter le concours.

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Messerschmitt_Bf_109

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
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    Luftwaffe : La Seconde Guerre mondiale
    Messerschmitt Bf 109
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Luftwaffe : La Seconde Guerre mondiale

Publié à 21:43 par dessinsagogo55 Tags : center saint article pouvoir centerblog sur mer afrique merci vie france place monde png mort air nuit
Luftwaffe : La Seconde Guerre mondiale

Pendant l'été 1939, à la veille du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, la Luftwaffe devient l'armée de l'air la plus puissante du monde.

Elle aligne environ quatre mille avions, dont 1 100 monomoteurs de chasse Messerschmitt Bf 109400 chasseurs-bombardiers bimoteurs Messerschmitt Bf 110, 1 100 bombardiers moyens Dornier Do 17Junkers Ju 88 et Heinkel He 111, et 290 bombardiers en piqué Junkers Ju 87 (Stuka). Ce qui lui donne un rôle significatif pendant les premières campagnes de la guerre et contribue pour beaucoup au succès final des forces armées allemandes pendant la période du 1er septembre 1939 jusqu'à la mi-juin 1940, prouvant aux armées ennemies l'efficacité tactique du Blitzkrieg (« guerre éclair ») formulé par la Wehrmacht pendant la période de l'entre-deux-guerres.

Avec l'Italie, le Japon, la Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie, l'Allemagne nazie fait partie des forces de l'Axe. En dix mois, elle se rend victorieuse de la Pologne, de la Norvège, du Danemark, du Luxembourg, de la Belgique et de la France, grâce à l'étroite collaboration de la Luftwaffe avec les divisions blindées, les Panzer, coordonnés par une radiotélégraphie novatrice, cryptée. C'est donc une armée de l'air limitée à un rôle tactique qui a fait gagner l'Allemagne.

La Luftwaffe perd 1 470 avions sur le front occidental en mai-juin 1940 dont 1 290 durant l'invasion des Pays-Bas, de la Belgique et de la France ; entre deux cent cinquante et trois cents appareils sont perdus lors d'accidents.

Mais le commandant en chef de la Luftwaffe, le Reichsmarschall Hermann Göring commence à surestimer la capacité de ses escadrilles à apporter une victoire rapide et complète à l'Allemagne nazie. Il se vante de pouvoir détruire en un mois l'aviation britannique avant le déclenchement de l'invasion prévue du Royaume-Uni, l'opération dont le nom de code est « Seelöwe » (« Otarie »). Mais la Manche sépare la France occupée du Royaume-Uni, qui est aussi séparé de la Norvège occupée par la mer du Nord. Cette frontière maritime contribue dans une grande mesure au maintien de la liberté du Royaume-Uni, de même que la résistance courageuse des pilotes de la RAF et du « Fighter Command », qui comporte non seulement des pilotes britanniques, mais aussi des pilotes de beaucoup d'autres nationalités, y compris des Français, tous aidés par l'emploi systématique du radar et la coordination des alertes.

 

 
Le Heinkel He 111 était un des principaux types d'avions de bombardement bimoteurs au sein de la Luftwaffe en 1940, mais beaucoup d'entre eux furent abattus par les avions de chasse de la RAF pendant la bataille d'Angleterre et leurs équipages tués ou faits prisonniers.
 

Ultérieurement, l'incapacité de la Luftwaffe à conquérir la maîtrise du ciel pendant la bataille d'Angleterre est vue comme la conséquence d'un changement de tactique. Après avoir attaqué les aérodromes militaires et affaibli la R.A.F. , la Luftwaffe change de cible et commence à bombarder des cibles industrielles et des villes telles que Londres après un raid aérien sur Berlin le 25 août 1940 des bombardiers du RAF Bomber Command (lui-même déclenché en représailles d'un bombardement probablement accidentel de Londres par la Luftwaffe). C'est un moment clé de la conduite de la guerre. La puissance aérienne allemande commence petit à petit à diminuer à la suite de l'attaque de l’URSS en juin 1941 et de l'entrée en guerre des États-Unis en décembre 1941. L'Allemagne nazie éprouve des difficultés grandissantes d'approvisionnement en matériaux stratégiques, surtout l'aluminium, sans lesquels il devient de plus en plus difficile de construire des avions et d'autres armes pour les forces armées allemandes. Pire chose encore pour la Luftwaffe, la direction de Göring est vraiment défectueuse, bien que celui-ci réussisse toujours à rejeter la responsabilité de ses défaites sur ses subordonnés comme Ernst Udet (qui se suicide en novembre 1941).

Contrairement à l'armée de l'air des États-Unis (USAAF), à cette époque sous la direction du général Henry H. Arnold, surnommé « Hap », les Allemands ne développent aucune force de bombardement stratégique. Et pourtant, avant la guerre, la Lufthansa employait des quadrimoteurs à longue portée (les Focke-Wulf Fw 200) pour des vols transatlantiques vers les États-Unis. Si les Allemands en avaient construit beaucoup au lieu de consacrer tant de ressources à la construction de bimoteurs, il est vraisemblable que de tels quadrimoteurs auraient pu infliger beaucoup plus de dégâts aux cibles dans le Royaume-Uni. Heureusement pour les Alliés, ils ne le feront pas, mais la Luftwaffe utilisera quand même le Fw 200 pour des missions sur l'Atlantique du Nord afin d'y détruire les navires de commerce qui apportaient les vivres indispensables aux îles britanniques assiégées. En revanche, les avions de bombardement lourds de l'USAAF, escortés par des avions de chasse comme le P-51 Mustang équipés de réservoirs d'essence supplémentaires largués une fois engagé le combat aérien avec des chasseurs ennemis, ont une assez longue portée pour pouvoir voler à l'intérieur du territoire du Reich pendant les opérations conduites en pleine journée, pendant que leurs collègues de la RAF continuent à attaquer de nuit les cibles ennemies.

Néanmoins, la Luftwaffe restait forte et avec le renforcement de la Flak qui eut un effectif dépassant les 2/3 de l'ensemble de l'armée et la Nachtjagd (Chasse de nuit) continua à abattre de nombreux avions de bombardement alliés, y compris, ce qui est étonnant, cent-huit avions britanniques pendant une nuit unique (du 30 au 31 octobre 1944) quand la RAF attaque la ville de Nuremberg, célèbre lieu des rassemblements du parti nazi NSDAP pendant la période d'avant-guerre.

On ressent la supériorité aérienne allemande surtout sur le front de l'Est en 1941 et 1942, car la Luftwaffe jouissait d'un niveau de tactique et de technologie globalement supérieur à celui des Soviétiques, ainsi que de la présence de beaucoup d’Experten, c'est-à-dire, des pilotes hautement expérimentés. Cependant des cas comme Erich Hartmann, qui terminera la guerre avec un palmarès incroyable — 352 victoires homologuées, dont 345 soviétiques, doivent être considérés avec la plus grande circonspection car elle ne correspondrait qu'à environ quatre-vingts avions ennemis réellement abattus après consultation des archives adverses. En revanche, le palmarès le plus élevé d'un pilote hors de la Luftwaffe n'est que de soixante-deux avions ennemis (y compris un exemplaire d'un Messerschmitt Me 262) ; il est revendiqué par un pilote soviétique, le colonel Ivan Kojiédoub (qui pilotait des chasseurs Lavotchkine La-5FN et La-7 plus rapides et plus capables de manœuvres que les Bf-109G et FW-190A adverses aux basses altitudes, lui laissant les plus grandes chances de succès dans les conditions de combat particulières du front de l'Est). Néanmoins, l'immensité du territoire russe autorisait les Soviétiques à reconstruire les usines à grande distance du front pour y fabriquer des milliers d'avions et d'autres armes qui permettaient à leurs forces armées d'arrêter et de repousser l'armée allemande en lui infligeant deux grandes défaites à Koursk et à Stalingrad (Volgograd), tout en empêchant la prise de Léningrad. Ainsi, les VVS-RKKA brutalement réduites de vingt à douze mille avions de combat du 22 juin au 31 décembre 1941, vont rapidement croître en 1942 et 1943 pour atteindre 21 900 appareils au 1er janvier 1943 puis 32 500 dont 13 400 dans les armées actives l'année suivante, établissant ainsi une supériorité aérienne incontestée jusqu'à la fin du conflit.

La Luftwaffe est active sur beaucoup de fronts, y compris en Afrique du Nord où elle donne un appui aérien à l'Afrika-Korps, qui est sous la direction du général Erwin Rommel, et également durant les offensives contre la Yougoslavie et la Grèce avant le déclenchement de l'invasion de l’Union soviétiques le 22 juin 1941. Beaucoup d'unités de la Luftwaffe se trouvent aussi en Italie, même après l'armistice italien avec les Alliés en septembre 1943, et elles restent dans le pays jusqu'à la fin de la guerre en Europe en mai 1945. Il existe aussi en Roumanie quelques escadrilles de chasseurs de la Luftwaffe, ayant pour mission de protéger les gisements de Ploiești, qui fournissent à la machine de guerre nazie le carburant vital pour son offensive contre l'URSS.

 

 
Un Fallschirmjäger lourdement armé, porte un Panzerfaust et la très caractéristique « blouse de saut » camouflée Splittermuster 41 « éclat » en Normandie.
 

Une des particularités uniques de la Luftwaffe (contrairement à d'autres armées de l'air), est l'existence d'une force spécifique de troupes parachutistes d'élite, les Fallschirmjägers. Les opérations aéroportées sont nombreuses en 1940 et 1941, par exemple la capture habile et rapide du fort d'Ében-Émael (Wallonie, Belgique) en mai 1940 et celle plus âpre de la Crète en mai 1941. Mais les pertes importantes subies par les parachutistes et leurs avions de transport Junkers Ju 52 pendant la bataille de Crète convaincront Adolf Hitler que le largage de parachutistes en masse fut une grave erreur. Désormais, les Fallschirmjägers ne participeront plus à des opérations aéroportées de grande envergure, mais plutôt à des opérations spéciales tel que le sauvetage réussi du dictateur fasciste italien Benito Mussolini lors de l'opération Eiche en 1943. À partir de l’année 1944, les Fallschirmjägers n’étaient plus vraiment engagés dans des opérations aéroportées, notamment en raison de la réalité de la situation stratégique. Ils ont cependant continué de s'illustrer dans le seul rôle de troupes d'élite lors de batailles importantes telle que par exemple la bataille du mont Cassin où les Fallschirmjägers ont infligé des pertes très importantes aux forces alliées de janvier à mai 1944. Ces parachutistes formèrent, entre autres, la Fallschirm-Panzer-Division 1. Hermann Göring, une Panzerdivision, mettant de facto en évidence le fonctionnement « féodal » du régime nazi.

Quoique les Allemands aient fait des tentatives pour combattre les bombardiers lourds britanniques pendant la Première Guerre mondiale, la force de chasseurs de nuit allemande - la Nachtjagd - doit réinventer les tactiques à utiliser contre eux quand ils commencent à attaquer puissamment des cibles situées dans le territoire du Reich. Une chaîne de stations radar est établie sur toute la longueur du territoire, de la Norvège jusqu'à la frontière suisse, sous le nom de « ligne Kammhuber », ainsi nommée d'après le Generalleutnant Josef Kammhuber. Les escadres avoisinantes de chasseurs de nuit, les Nachtjagdgeschwaders (NJG), reçoivent l'alerte pour décoller et intercepter les bombardiers ennemis. Ces escadres sont équipées d'avions tels que le Messerschmitt BF 110 et le Junkers Ju 88, qui seront fournis plus tard avec le système de radar connu sous le nom de « Liechtenstein », installé dans le nez.

On considère le Heinkel He 219 Uhu (« hibou ») comme le meilleur des chasseurs de nuit allemands. Mais les Allemands ne les construisent pas en grand nombre. Les vagues de bombardiers anglais larguent pendant chaque mission des centaines de bandelettes d'aluminium appelées en français paillettes (et à l'époque en anglais par le nom de code de « Window » (« fenêtre »), aujourd'hui « chaff », « ivraie ») dont la taille est calculée (en fonction de la longueur d'onde de ceux-ci) pour brouiller et rendre inutile le système de radars défensifs et donc le guidage des chasseurs de nuit. Deux noms notables parmi les as des chasseurs de nuit : Helmut Lent, qui réussit à abattre cent quatre avions ennemis de nuit (sur un total de cent onze) avant de perdre la vie dans un accident à l'atterrissage en octobre 1944, et Heinz-Wolfgang Schnaufer, qui réussit à en abattre cent vingt et un et à survivre à la guerre, mais qui perdra la vie à la suite d'un accident de voiture en France en 1950.

Après avoir joué un rôle pionnier dans le développement des avions munis de turboréacteur avec des prototypes tels que le Heinkel He 178 et le Heinkel He 280, la Luftwaffe devient la première armée de l'air au monde à mettre en service - mais à la hâte - un avion à réaction opérationnel, le Messerschmitt Me 262 dit « Schwalbe » (« hirondelle »). L'avion rencontre de nombreux problèmes de fiabilité avec ses moteurs : bien que ceux-ci bénéficient du tout nouveau concept d'écoulement axial, il leur manque néanmoins les matériaux stratégiques de haute qualité requis pour leur fabrication, résultat des bombardements alliés et de l'évolution négative de la guerre pour l'Allemagne. En plus du Me 262, l'industrie aérienne allemande produit d'autres appareils assez avancés tels que l'Arado Ar 234, un avion à réaction (soit bimoteur soit quadrimoteur) dédié au bombardement et à la reconnaissance, le Heinkel He 162 dit « Volksjäger » (« chasseur populaire »), un chasseur à réaction monomoteur (le moteur est un BMW 003), le Messerschmitt Me 163 dit « Komet » (« comète »), un chasseur propulsé par une fusée (la Walther 509), parmi d'autres. D'autres types d'avion avancés, tels que l'aile volante, le Horten Ho 229 (à l'origine le Horten Ho IX), que les Allemands fabriqueront dans l'usine de la Gothaer Waggonfabrik (Gotha), se trouvent soit au stade des essais, soit même sur le point d'entrer en production à la fin de la guerre en Europe. L'industrie aéronautique allemande développe également le premier missile de croisière du monde, le Fieseler Fi-103, baptisé le V-1 (« V » étant utilisé ici pour « Vergeltung », « représailles » en français), et le premier missile sol-sol (ou « missile balistique ») baptisé le V-2.

Ces machines sont modernes, mais elles ne peuvent pas empêcher la défaite aérienne complète du Troisième Reich. La Luftwaffe manque de carburant, de pilotes entraînés et expérimentés, d'organisation et d'aérodromes sûrs (c'est-à-dire cachés).

L'allocation de carburant passant par exemple de 180 000 tonnes en avril 1944 à 50 000 tonnes en juin 1944, l’entraînement des nouveaux pilotes passant de deux cents heures en 1942 à cent dix, voire cinquante en 1944. Les pertes deviennent lourdes avec 1 311 appareils perdus en janvier 1944, 2 121 en février et 2 115 en mars ; les pertes en pilotes hors de combat se montant en avril 1944 à 2 540 et en mai à 2 461.

La dernière grande offensive lancée par la Luftwaffe a lieu le 1er janvier 1945 : l'opération Bodenplatte, dont le but est de détruire au sol autant d'avions ennemis que possible. Mais de leur côté, les Allemands perdent plus de trois cents appareils et sont désormais partout sur la défensive pendant que les Alliés occidentaux et les Soviétiques envahissent le territoire du Reich lui-même et s'approchent de Berlin pour mettre fin au régime nazi. Les Alliés bénéficient des efforts de la technologie allemande en saisissant beaucoup d'avions abandonnés sur place après avoir été presque ou complètement détruits par l'ennemi pendant sa retraite vers l'intérieur de l'Allemagne. Par exemple, l'opération Paperclip (« trombone de bureau »), en 1944-1945, a pour but la saisie d'informations et de matériels de toutes sortes dans le domaine des technologies militaires allemandes innovantes ainsi que la capture de spécialistes et d'ingénieurs pour les « évacuer » aux États-Unis. L'URSS, la France et le Royaume Uni ont également monté des opérations ayant le même objectif.

Parmi ceux qui vont en Russie, le professeur Hans Wocke, responsable du dessin du premier bombardier à réaction aux ailes à flèche négative du monde, le Junkers Ju 287, dont le premier prototype, le Ju 287 V1, faisait des vols d'essai pendant la guerre. Le dessin du Ju 287 s'incorpore dans le dessin du prototype du Junkers EF (« Erprobungsflugzeug », ou « avion d'essai »). En tout cas, ni celui-ci ni aucun autre avion dessiné par les Allemands ne sera accepté au sein des forces armées soviétiques parce que les Allemands sont encore des prisonniers et que les autorités leur interdisent d'accéder aux installations modernes nécessaires pour dessiner et perfectionner les avions militaires. Les Soviétiques permettent à la plupart des dessinateurs captifs de revenir en Allemagne, soit occidentale soit orientale, vers la fin de 1953.

Pendant le cours du Troisième Reich, la Luftwaffe n'a que deux commandants en chef: Le premier est Hermann Göring. Mais Hitler le limoge à la fin de la guerre après avoir appris qu'il tentait de prendre contact sans autorisation avec les Alliés occidentaux dans le but de négocier un cessez-le-feu avant la chute de Berlin aux mains des Soviétiques. Hitler désigne donc le Generaloberst Robert von Greim comme le second (et dernier) commandant en chef de la Luftwaffe. En même temps, il promeut celui-ci au grade de Generalfeldmarschall. Ainsi, celui-ci devient le dernier officier allemand de la Seconde Guerre mondiale à recevoir une telle promotion au grade le plus élevé de la Wehrmacht.

Peu avant le déclenchement de la guerre, le ministre de la Propagande nazi avait publié un magazine spécialisé dans les activités de la Luftwaffe. Il s'appelait « Der Adler » (« L'Aigle ») et paraissait non seulement en allemand mais aussi dans d'autres langues, y compris ultérieurement celles des pays qui seront incorporés dans le territoire du Reich pendant la guerre elle-même, y compris en français. Tant que les États-Unis restent neutres (de septembre 1939 à décembre 1941), le magazine est également publié en anglais. Beaucoup d'images en couleurs prises à cette époque-ci viennent de cette publication.

Organisation des unités opérationnelles

Les escadres de chasseurs, les Jagdgeschwader (JG), se composent de trois ou quatre groupes (Gruppen), qui se composent eux-mêmes de trois escadrilles (Jagdstaffel), chacune composée de douze avions. Donc l'escadre de chasseurs no 1 est la JG 1, le premier groupe de cette escadre est le I/JG 1 et la première escadrille est la 1./JG 1. (La JG 1 utilisait les Heinkel He 162 mentionnés ci-dessus vers la fin de la guerre en Europe. Pendant les deux derniers mois de la guerre, elle en perdit 22 ; dix pilotes trouvèrent la mort et six autres furent gravement blessés.)

 
 
Exemple d'un Bf 109-E4 avec les marquages de Geschwaderkommodore, ici du JG 26.
 
 

De même, la Luftwaffe appelle les escadres de bombardiers les Kampfgeschwader (KG), celles de chasseurs de nuit les Nachtjagdgeschwader (NJG), celles de bombardiers en piqué les Stukageschwader (StG) et celles ayant de patrouille maritime et de sauvetage des équipages abattus en mer les Küstenfliegergruppen (Kü.Fl.Gr.). On appelle les groupes de bombardiers spécialistes les Kampfgruppen (KGr).

À la tête d'une Geschwader se trouve un Geschwaderkommodore, d'un Gruppe un Gruppenkommandeur et d'une Staffel un Staffelkapitän. Mais ces noms définissent des fonctions au sein de l'unité et non des grades d'officier dans la Luftwaffe. Généralement, c'est un Oberstleutnant - ou, ce qui est exceptionnel, un Oberst - qui est à la tête d'un Geschwader. Le Gruppe est en général commandé par un Major ou un Oberstleutnant mais il arrive aussi que ce soit un Hauptmann (capitaine). Et en théorie c'est un Hauptmann ou un Oberleutnant et parfois même un Leutnant (sous-lieutenant) qui se trouve à la tête d'une Staffel. Un marquage spécifique sur le fuselage des avions identifie la fonction du pilote. Ainsi l'avion du Gruppenkommandeur comporte deux chevrons devant la Balkenkreuz alors que celui du Geschwaderkommodore comporte un chevron et deux barres horizontales qui entourent la Balkenkreuz.

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Luftwaffe#La_Seconde_Guerre_mondiale

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
    Luftwaffe : La Seconde Guerre mondiale
    Messerschmitt Bf 109
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Opération Market Garden

Opération Market Garden

L'opération Market Garden est une opération militaire alliée essentiellement aéroportée de la Seconde Guerre mondiale qui se déroula en septembre 1944. Il s'agissait d'une tentative principalement menée par les armées britanniques de prendre des ponts franchissant les principaux fleuves des Pays-Bas occupés par les Allemands. Le succès aurait permis aux Alliés de contourner la ligne Siegfried et d'accéder à l'un des principaux centres industriels du IIIe Reich, la Ruhr, et donc de terminer plus rapidement la guerre.

Cette opération, proposée par le maréchal britannique Montgomery, avait rencontré l'opposition des généraux américains Patton et Bradley, qui voulaient continuer leur offensive au sud. Ils avaient encore en mémoire les paroles du vainqueur d'El-Alamein qui se faisait fort de s'emparer de Caen dès le soir du 6 juin 1944, alors que la ville n'était tombée que le 21 juillet. Selon les témoignages rapportés par le journaliste américano-irlandais Cornelius Ryan, la mésentente entre le commandant en chef du 21e groupe d’armées britanno-canadiennes et le général Dwight Eisenhower, commandant en chef des forces alliées en Europe, atteignait à cette époque des sommets et l'on n'était pas loin du point de rupture entre ces deux personnalités.

Ainsi, Montgomery se propose de lancer une puissante offensive au nord du front, manœuvre qui devra permettre de contourner le Westwall et de déboucher ultérieurement sur le bassin de la Ruhr, cœur économique du Troisième Reich. Ce plan est soutenu par le cabinet de guerre et l'état major impérial. Winston Churchill est loin d'adhérer aux prévisions des services de renseignements qui décrivent une Wehrmacht au bord de la rupture. Le Premier ministre de sa Majesté tempère donc l'excès d'optimisme de ses généraux, en adressant une note au Général Ismay, secrétaire du comité des Chefs d'état-major, dans laquelle il avertit notamment : « Il ne faut pas sous estimer l'effet galvanisant que produira sur le moral de l'ennemi le fait de faire front à la lisière du sol natal ».

Le plan a été soumis à Eisenhower dès le 13 août 1944. Les trois mois de batailles ayant suivi le débarquement du 6 juin en Normandie se sont traduits par une consommation énorme en munitions, en carburant et en ravitaillement. Une situation d'autant plus préoccupante que les ports de déchargement, ceux d'Arromanches et de Cherbourg, sont trop loin du front, et que les villes portuaires les plus proches sont inutilisables : Rouen est en ruine, Le Havre et Dunkerque sont encore solidement tenues par les garnisons allemandes. Enfin, libérée le 5 septembre, Anvers est inexploitable car la 70e division d'infanterie allemande occupe encore les rives de l'Escaut. À la lumière de ces éléments, sachant qu'une offensive généralisée au sud ne peut être déclenchée, Eisenhower accepte le plan de Montgomery.

Si l'opération Market Garden avait entièrement réussi, elle aurait peut-être raccourci la durée de la guerre et ouvert de nombreuses opportunités militaires et politiques aux Alliés. Mais ses objectifs finaux ne furent pas atteints malgré la libération d'une partie du territoire néerlandais, et la création d'une base d'opérations qui nécessitera un nombre important de troupes pour la conserver lors de la bataille de l'Escaut, menée par les forces canadiennes.

 

Préludes

Avance alliée la première quinzaine de septembre

 

Fin août 1944, les Alliés viennent de libérer Paris, la Seine est franchie, une avance de 15 jours sur le calendrier est constatée. Dès lors, le général Eisenhower estime que la pause prévue sur le fleuve n'est plus nécessaire. En un peu plus de deux semaines, le nord-est de la France (à l'exception de l'Alsace-Lorraine et des Vosges) et une grande partie de la Belgique sont libérés. Un temps d'arrêt est marqué.

 

Objectif : la Ruhr

 

L'objectif initial pour l'entrée en Allemagne est la région industrielle de la Ruhr, mais deux approches sont proposées : les Américains Patton et Bradley proposent de percer en direction de la ligne Siegfried qu'ils pensent être une coquille vide au moment des opérations. Le Britannique Montgomery suggère, quant à lui, de contourner cette ligne par une audacieuse opération combinée aux Pays-Bas. Eisenhower tranche en faveur du Britannique et laisse Patton sur le carreau en allouant le gros du carburant au maréchal britannique.

L'objectif secondaire est de prendre assez de terrain aux Allemands en sécurisant la Hollande pour s'assurer de la prise d'un port en eaux profondes comme Rotterdam ou Anvers en Belgique afin de raccourcir les lignes de ravitaillement alliées qui s'étirent de plus en plus depuis la Normandie.

Ainsi la prise de la Hollande permettrait non seulement d'atteindre rapidement le cœur industriel de l'Allemagne, et donc d'espérer écourter les opérations occidentales à Noël 1944, mais aussi de raccourcir la chaîne logistique, vitale pour atteindre Berlin avant l'Armée rouge.

Cette opération répond à la tradition britannique de l'approche indirecte des opérations militaires. Déjà développée au cours de la Première Guerre mondiale par Winston Churchill, qui en restera un fervent défenseur tout au long de sa carrière politique, elle avait donné lieu au débarquement des Dardanelles en 1915 face à la Turquie. Au cours du deuxième conflit mondial, elle s'était déjà manifestée par l'insistance britannique pour une approche par le théâtre d'opération méditerranéen (débarquement en Afrique du Nord, en Sicile, puis conquête de l'Italie) tandis que les Américains privilégiaient l'approche directe, consistant en un débarquement rapide en France. En suggérant donc d'éviter et de contourner le point fort du front allemand, la ligne Siegfried, Montgomery pensait pouvoir affaiblir la position stratégique allemande en la privant d'un appui territorial important aux Pays-Bas tout en créant une menace de long terme sur le centre industriel de la Ruhr.

 

  Les plans des opérations Market et Garden

 

L'objectif final de l'opération combinée est de faire passer les blindés de l'autre côté du Rhin à Arnhem afin de se diriger directement vers la Ruhr et de terminer ainsi le conflit plus rapidement. Pour cela, ces derniers doivent franchir les nombreux fleuves et canaux que comptent les Pays-Bas. Les troupes aéroportées ont donc pour mission de s'emparer des ponts intacts situés sur la route Eindhoven-Grave-Nimègue-Arnhem tandis que les blindés devront parcourir les 107 km qui les séparent d'Arnhem le plus rapidement possible. Les renseignements qui parviennent à l'état-major (en provenance notamment de la résistance néerlandaise et également des reconnaissances aériennes) font état de mouvements de blindés SS sur Arnhem, pourtant, aucune mesure particulière n'est prise. Pire, la troupe n'est nullement informée du risque qu'elle court. Le général britannique Frederick Browning commet là une erreur monumentale, qui va avoir de funestes conséquences. Ses hommes vont sauter sur un secteur où stationnent les restes de deux divisions blindées SS, sans rien en savoir. Tout est fait comme si les Allemands n'avaient rien à opposer aux parachutistes sur le sol des Pays-Bas. Le déclenchement est avancé au 17 septembre 1944. Ce qui laisse une semaine aux Alliés pour en régler tous les détails, chose peu aisée lorsque l'on sait qu'il s'agit de l'opération aéroportée la plus vaste de la guerre.

 

Market : offensive aéroportée

 

 
L'opération Market-Garden.
 
 

Pour cette opération, l'essentiel des unités de la 1re armée aéroportée alliée sont engagées, le tout étant coiffé par le général Browning. Tirant les enseignements des parachutages du débarquement de Normandie, Browning choisit de lancer l'opération le jour afin d'éviter la dispersion des sticks (nombre de parachutistes sortant en un passage par une porte d'avion) que les sauts de nuit rendraient inévitable. Ce choix a l'inconvénient de son avantage, à savoir qu'il facilite les tirs de Flak, les batteries antiaériennes allemandes, auxquels les C-47 Dakota sont très vulnérables.

La 101e division aéroportée américaine du major-général Taylor sera larguée au nord d'Eindhoven pour s'emparer du pont du village de Son sur le canal Wilhelmine et du pont de Veghel Zuid-Willemsvaart ;

la 82e division aéroportée américaine du brigadier-général Gavin sera larguée au sud de Nimègue pour prendre possession des ponts de Grave sur la Meuse et de Nimègue sur la Waal ainsi que du canal reliant ces deux fleuves ;

enfin la 1re division aéroportée britannique du major-général Urquhart sera larguée au nord-ouest d'Arnhem afin de s'emparer de son pont. Ultérieurement devra être déposée la 52e division d'infanterie britannique.

Ce dispositif est complété par la 1re brigade indépendante de parachutistes polonais du brigadier-général Sosabowski. Après la prise des objectifs, les troupes aéroportées devront attendre la venue des blindés. La 1re DAB hérite ainsi de la mission de tenir Arnhem pendant quatre jours. Au total, ce sont 34 000 combattants qui viendront du ciel (soit largués en parachute, soit transportés en planeurs) pour ce qui sera la plus grande opération aéroportée de tous les temps. Ne sont pas inclus les effectifs de la 52e division d'infanterie britannique car elle doit intervenir en dernier échelon à Arnhem.

 

Garden : offensive blindée

 

C'est au XXXe corps d'armée britannique du général Horrocks qu'incombe la tâche d'effectuer la percée jusqu'à Arnhem depuis la tête de pont de Neerpelt, le XIIe corps d'armée couvrant son flanc gauche et le VIIIe corps d'armée son flanc droit. Dans le même temps, la Ire armée américaine lancera une offensive sur la Meuse. Le XXXe corps est censé rejoindre la 101e division aéroportée la première journée, la 82e la deuxième journée et la 1re division aéroportée le quatrième jour au plus tard.

 

Forces allemandes

 

La déroute de la Wehrmacht au cours des mois de juillet et août 1944 conduit les Alliés à estimer que l'armée allemande n'aligne plus que 48 divisions sur le front de l'Ouest, dont le potentiel équivaut à celui de seulement 20 divisions et 4 Panzerdivision. Pendant ces deux mois, la Wehrmacht a en effet subi une série de défaites avec de lourdes pertes. Entre le 6 juin et 14 août, les pertes allemandes s'élèvent à 23 019 tués au combat, 198 616 disparus ou faits prisonniers et 67 240 blessés. La Wehrmacht qui se replie vers la frontière allemande est harcelée par des attaques des avions de la RAF et l'USAAF. L'avance alliée est ralentie par des coups d'arrêt et des contre-attaques.

Début septembre, la situation évolue. L'échec de la fermeture de la zone de l'estuaire de l'Escaut par le 21e groupe d’armées britannique permet à 65 000 soldats de la quinzième armée allemande d'échapper à l'encerclement avec 225 canons et 750 camions grâce à une flottille de cargos, péniches et bateaux réquisitionnés. De là, ils tiennent les rives et les îles de l'Escaut.

Adolf Hitler s'intéresse à la décomposition du groupe d'armées B, qui comprend les armées allemandes dans le Nord de la France, la Belgique et les Pays-Bas. Le 4 septembre, Hitler rappelle le Generalfeldmarschall Gerd von Rundstedt de sa retraite, et le réintègre au commandement de l'OB West, dont il l'avait écarté le 2 juillet. Gerd von Rundstedt remplace le Generalfeldmarschall Walter Model, qui avait pris le commandement à peine 18 jours auparavant. Ce dernier prend alors le commandement du groupe d'armées B.

 
 
Soldats allemands à Arnhem en septembre 1944.
 

Le 4 septembre, le LXXXVI Armee-Korps est responsable du secteur Eindhoven-Grave-Veghel il est constitué de la 719e Infanterie-Division de la Fallschirmjäger-Division Erdmann (une division d'entraînement parachutiste) de la Panzerbrigade 107 (36 Panther et 11 Jagdpanzer IV/70), du Kampfgruppe Walther qui rassemble un bataillon de Fallschirmjäger-Regiment 2, le Luftwaffe Strafbataillon 6 (un bataillon disciplinaire), le Fallschirmjäger-Regiment 6 de l'Oberst von der Heydte rescapé de la bataille de Normandie, le SS-Grenadier-Regiment « Heinke » et de nombreuses unités de services des parachutistes. La 719e Infanterie-Division commence à se retrancher le long du canal Albert, où elle est bientôt rejointe par les forces du lieutenant-général Kurt Chill. Bien que Chill commande officiellement la 85e division d'infanterie (qui avait subi de lourdes pertes pendant la bataille de Normandie), il prend le commandement des restes de la 84e et 89e divisions d'infanterie au cours de la retraite.

Kurt Student reçoit d'Alfred Jodl l'ordre de se rendre aux Pays-Bas, où il devra rassembler toutes les unités disponibles et consolider le front près du canal Albert, qui doit être tenu à tout prix. Ce rassemblement aboutit à la création théorique d'une Première Armée parachutiste. À ce stade, l'effectif d'une petite division appuyée par des batteries antiaériennes et 25 chasseurs de chars et canons automoteurs.

Le 5 septembre, Model reçoit le renfort du 2e SS-Panzerkorps, qui se compose des 9e et 10e SS Panzerdivision SS. Model met les deux divisions au repos dans des zones de sûreté, derrière la ligne de front, entre Eindhoven et Arnhem. Quelques milliers d'hommes, sans matériel lourd, une trentaine d'automitrailleuses, quelques SPW, quelques canons d'assaut et une vingtaine de chars Mk IV. Les engins chenillés sont déjà conditionnés sur des trains à destination de l'Allemagne. Face à des armées alliées au complet, ces unités sont surclassées. Face à des parachutistes légèrement armés, elles représentent une menace mortelle.

D'autres formations tiennent garnison dans la future zone de saut. Plusieurs unités SS, dont un bataillon d'élèves sous-officiers et un bataillon d'instruction de Panzergrenadier. Un certain nombre d'unités en formation, plusieurs compagnies de dépôt de la Panzerdivision Hermann Goering. Diverses unités anti-aériennes, artillerie et police réparties dans tout le Nord des Pays-Bas. Une unité étrangère de la Waffen-SS dans le secteur : une partie de la 34e division SS de grenadiers volontaires Landstorm Nederland composée d'un bataillon du SS-Grenadier-Regiment 1 sous les ordres du SS-Hauptsturmführer Stocker est à l'entraînement à Hoogeveen, à 110 km environ d'Arnhem. Le bataillon Stocker (600 hommes) marchera au canon, dès l'annonce des parachutages britanniques

 

La bataille d'Arnhem : opération Market Garden

 

Ordre de bataille

Renseignements

Alliés

 

Un certain nombre de rapports sur les mouvements des troupes allemandes a atteint le haut commandement des forces alliées, y compris des détails sur l'identité et la localisation des formations blindées allemandes. Le 16 septembre, Bletchley Park décrypte le mouvement de la 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen de Harzer et de la 10e Panzerdivision SS Frundsberg de Harmel, des divisions blindées stationnées à Nimègue et Arnhem, mais Montgomery refuse de modifier les plans d'atterrissage. Ces informations sur l'emplacement des Panzerdivisions ont été complétées par des photographies aériennes d'Arnhem prises par un vol de reconnaissance de la RAF, ainsi que par des messages de la résistance néerlandaise. Craignant que la 1re division aéroportée puisse être en danger si elle atterrit à Arnhem, l'officier de renseignement de la division, le major Brian Urquhart, organise une réunion avec le lieutenant général Frederick Browning et lui présente les défenses à Arnhem. Browning rejette ses demandes et ordonne au médecin de la division d'envoyer Urquhart en congé maladie en raison de « tension nerveuse et d'épuisement ».

 

Allemands

 

Von Rundstedt et Model prévoient une grande offensive alliée imminente en raison du grand nombre de rapports de renseignement qu'ils reçoivent. L'officier de renseignement du groupe d'armées B croit que la seconde armée va lancer une offensive dans la direction de Nimègue, Arnhem et Wesel avec pour principal objectif de parvenir à la zone industrielle de la Ruhr. Il est convaincu que les troupes aéroportées seront utilisées dans cette offensive, mais n'est pas sûr de l'endroit où elles seraient déployées ; il soupçonne la région de la ligne Siegfried, au nord d'Aix-la Chapelle ou peut-être même près de la Sarre. Il est important de noter que les Allemands auraient également été prévenus des détails de l’opération peu de temps avant son déclenchement par un de leurs agents doubles, Christiaan Lindemans

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Market_Garden

 
 

https://youtu.be/UYwoZGexpdY

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
13 août 1944   Opération Market Garden
15 juin1977   Un pont trop loin
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Erwin Rommel

Erwin Rommel

Erwin Rommel est un Generalfeldmarschall allemand de la Seconde Guerre mondiale, né le 15 novembre 1891 à Heidenheim et mort le 14 octobre 1944 à Herrlingen.

Il est officier pendant plus de trente ans et sa carrière se déroule dans l'armée de terre allemande au service des régimes politiques qui se succèdent alors : Empire allemand, république de Weimar, Troisième Reich. N'ayant pas commandé de troupes sur le front de l'Est, il est réputé être l'un des rares généraux du Troisième Reich à n'avoir pas commis de crime de guerre ou de crime contre l'humanité.

Rommel, à la tête de la 7e Panzerdivision, fait partie de ceux qui ont permis la percée sur la Meuse au cours de l'invasion de la France en mai 1940. De 1941 à 1943, il dirige le corps expéditionnaire allemand d'Afrique du Nord, l'Afrikakorps. C'est là qu'il acquiert le surnom de « Renard du Désert », attribué aussi bien par ses compatriotes que ses adversaires. Il améliore les défenses du mur de l'Atlantique en 1944 et commande le groupe d'armées stationné en France, Belgique et Pays-Bas au moment de la bataille de Normandie.

Admirateur du Führer jusqu'à ses derniers jours selon certains historiens, il a su se servir du régime nazi pour se placer au sommet de la hiérarchie militaire, de la même manière que le régime a su exploiter son image de soldat allemand exemplaire pour sa propagande. Rommel a toutefois reconsidéré les aptitudes d'Adolf Hitler après la seconde bataille d'El Alamein.

Son attitude devient ambiguë quand, la situation militaire se détériorant, il se trouve en contact avec certains des conspirateurs sans toutefois jouer aucun rôle dans la préparation de l'attentat du 20 juillet 1944 visant à assassiner Hitler. Ayant lui-même été grièvement blessé trois jours plus tôt dans un accident de son véhicule alors poursuivi par un avion allié en Normandie, il paye son comportement en se trouvant contraint au suicide le 14 octobre suivant, pendant sa convalescence chez lui en Allemagne. Pour respecter sa popularité, il est déclaré mort d’un problème cardiovasculaire et des funérailles nationales lui sont organisées à Ulm, son collègue Rundstedt prononçant l’éloge funèbre.

La figure de Rommel acquiert un caractère mythique après-guerre.

 

  Jeunesse

Famille et éducation

 

Erwin Rommel nait le 15 novembre 1891 à Heidenheim an der Brenz, une petite ville du royaume de Wurtemberg, proche d'Ulm et Stuttgart. Son père, professeur de mathématiques, prénommé Erwin, avait épousé en 1886 Helena von Luz, la fille du président du gouvernement du Wurtemberg, Karl von Luz. Leur union donna naissance à cinq enfants. Le premier enfant, Manfred, meurt en bas âge. La deuxième est une fille, Helena, qui devient ensuite enseignante à l'école Steiner-Waldorf de Stuttgart. Erwin Rommel est le troisième et suivent deux frères cadets : Karl, pilote d'un avion de reconnaissance en Turquie pendant la Première Guerre mondiale puis dentiste, et Gerhard, agriculteur puis chanteur d'opéra à Ulm.

Son père devient directeur en novembre 1898 du Realgymnasium (en) d'Aalen, où il effectue la majeure partie de sa scolarité. Sa sœur le décrit comme « un enfant très gentil et docile, qui tenait beaucoup de sa mère ». Passionné d'histoire, il n'est, en revanche, guère attentif dans le reste des matières, son côté rêveur faisant de lui la tête de Turc de sa classe. Il éprouve également des difficultés à s'adapter à une discipline plus stricte que dans l'école de sa petite enfance. À quatorze ans, en 1905, le jeune Erwin change radicalement et s'améliore en mathématiques. Il se met aussi au sport et en particulier au ski, au tennis et à l'aviron. L'année suivante, il se découvre aussi une passion pour l'aviation naissante, qu'il partage avec son meilleur ami August Keitel. Erwin émet le souhait d'étudier l'aéronautique et de travailler à terme dans les usines Zeppelin de Friedrichshafen, mais son père préfère qu'il fasse carrière dans l'armée de terre5. En 1910, il s'engage enfin dans l'armée, comme élève officier.

 

Dans l'armée impériale

 

Il rejoint le 6e bataillon du 124e régiment d'infanterie (de), basé à Weingarten. Comme tous les élèves officiers du Reich, il doit d'abord servir dans le rang avant de pouvoir suivre les cours de l'école militaire ; sa forte endurance impressionne ses instructeurs à cette occasion. En octobre 1910, il est promu caporal et, dès décembre, il est nommé sergent. L'un de ses instructeurs commente : « Rommel est fait pour commander et conduire des hommes à la guerre. Il est discipliné et ne semble jamais fatigué. Il fera sans aucun doute un officier hors du commun. Son audace en manœuvres a été particulièrement remarquée. » En mars 1911, Erwin Rommel rejoint l'école militaire de Dantzig. En fin d'année, il réussit ses examens avec des notes légèrement au-dessus de la moyenne ; ses résultats ont été très bons aux examens pratiques mais moins bons en théorie. En janvier 1912, il reçoit son brevet de sous-lieutenant et retourne à son régiment, le 124e régiment d'infanterie, où il est chargé de l'instruction. Il gagne rapidement une réputation d'ascète du fait qu'il ne fume pas, ne boit pas et ses camarades officiers le trouvent d'ailleurs trop sérieux pour son âge : sa vie se partage entre l'entraînement des recrues et les lettres qu'il écrit quotidiennement à sa fiancée Lucie.

Le 5 mars 1914, il est détaché auprès du 49e régiment d'artillerie de campagne (de) à Ulm, où il apprend les manœuvres d'artillerie, avec intérêt. Il retourne au 124e régiment d'infanterie, le 31 juillet, pour le commandement d'une section de la 7e compagnie.

 

Vie privée

 

 
Afrique du Nord, juin 1942 : Rommel en compagnie du Generalmajor Georg von Bismarck ;
Rommel portait souvent l’écharpe qui lui aurait été tricotée par sa fille illégitime Gertrud, alors âgée de 28 ans, que Rommel présentait comme étant sa nièce.
 

Dès son arrivée à Weingarten en 1912, Rommel fait la connaissance de Walburga Stemmer (en), une jeune marchande de fruits et légumes. De leur idylle naît le 8 décembre 1913 une fille, Gertrud. Face à l'opposition de sa famille et surtout à la pression sociale exercée par ses camarades officiers, Rommel renonce à quitter l'armée et à épouser Walburga. Finalement, il épouse une étudiante en langues, fille d'un grand propriétaire terrien de Prusse-Orientale, Lucia Maria Mollin (née le 6 juin 1894 et morte en 1971), plus communément appelée « Lucie », qu'il avait rencontrée en avril 1911 à Dantzig.

Walburga quant à elle, meurt en octobre 1928, âgée de 36 ans, peu avant la naissance du fils de Lucie, Manfred Rommel (1928-2013). La cause officielle de son décès a été une pneumonie, mais le fils de Gertrud, Josef Pan, a révélé par la suite qu'il s'agissait d'un suicide par surconsommation de médicaments. Selon lui, tant que l'épouse de Rommel, Lucie, n'avait pas eu d'enfant, Walburga pensait qu'Erwin Rommel pourrait lui revenir. D'ailleurs Rommel, tout au long de sa vie, avait gardé un contact étroit avec sa fille illégitime Gertrud, qui était officiellement présentée comme sa nièce.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Erwin_Rommel

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
6 juin 1944   Débarquement de Normandie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Dalida : Que sont devenues les fleurs

Publié à 03:32 par dessinsagogo55 Tags : google film centerblog sur base bonne roman merci france monde musique air 2010 texte you enfant
Dalida : Que sont devenues les fleurs

 

 

 

Where Have All the Flowers Gone? est une chanson composée et écrite en 1955 par le musicien folk américain Pete Seeger. Son texte a été complété plus tard par Joe Hickerson (en), qui en a fait un hymne pacifiste universel, bientôt repris par les principaux groupes vocaux américains et popularisé en Europe par Marlene Dietrich.

Cette chanson, certainement la plus célèbre de Pete Seeger avec If I Had a Hammer, a connu un immense succès dans les années 1960 grâce à sa limpide mélodie élégiaque, mais aussi, à l'époque de la Guerre du Vietnam, en raison de sa dénonciation des massacres auxquels donnent lieu les conflits armés. Elle a vite pris figure de classique intemporel, a été reprise par une foule d'artistes du monde entier et déclinée dans un grand nombre de langues.

En 2010, le magazine britannique New Statesman a classé Where Have All the Flowers Gone? parmi les « 20 plus grandes chansons politiques », un palmarès où elle côtoie rien moins que La MarseillaiseWon't Get Fooled Again (des Who) et L'Internationale.

 

 

 

Naissance d'un classique

 

 

 

Pete Seeger raconte qu'un jour d'octobre 1955, à bord d'un avion en route vers l'Ohio où il devait donner un spectacle à l'Oberlin College, il avait retrouvé dans ses notes une ébauche de chanson : « Où sont les fleurs, les filles les ont cueillies — où sont les filles, elles ont toutes pris des maris — où sont les hommes, ils sont tous à l'armée »

 

 

 

La source russe

 

 

 

Ces lignes lui avaient été inspirées par Koloda Douda, une comptine russe en forme de questions et réponses enchaînées appartenant au folklore cosaque (elle est citée dans le roman de Cholokhov Le Don paisible (1934) que Seeger avait lu un an ou deux plus tôt), en particulier les lignes suivantes :

А иде ж гуси?
В камыш ушли.
А иде ж камыш?
Девки выжали.
А иде ж девки?
Девки замуж ушли.
А иде ж казаки?
На войну пошли.

Et où sont les oies ?
Parties dans les joncs.
Et où sont les joncs ?
Les filles les ont coupés.
Et où sont les filles ?
Mariées avec leurs hommes.
Et où sont leurs Cosaques ?
Partis à la guerre.

Trois, puis cinq (ou six) strophes

 

 

 

Sur cette base, Pete Seeger a l'idée d'ajouter des évocations répétitives sur le temps qui passe (« "Long time passing", voilà trois mots vraiment chantants »), ce qui donne la version initiale de la chanson, relevant typiquement de la rhétorique ubi sunt (les éléments récurrents sont donnés en italique) :

Where have all the flowers gone
Long time passing?
Where have all the flowers gone
Long time ago?
Where have all the flowers gone
— The girls have picked them everyone.
Oh when will you ever learn? (bis)

Where have all the young girls gone?
— They've taken husbands everyone.

Where have all the young men gone?
—They're all in uniform.

Où sont allées toutes les fleurs
Après si longtemps ?
Où sont allées toutes les fleurs
Il y a longtemps ?
Où sont allées toutes les fleurs ?
— Les filles les ont toutes cueillies
Quand le saurez-vous jamais ? (bis)

Où sont allées toutes les jeunes filles ?
— Elles ont toutes pris des maris.

Où sont allés tous les jeunes hommes ?
— Ils sont tous en uniforme.

Pete Seeger affirme avoir vite laissé tomber cette chanson, qu'il jugeait comme « une de plus plutôt ratée ». Le premier enregistrement n'a été publié qu'en juillet 1960, dans une version a cappella se bornant aux trois strophes ci-dessus, sur le disque 33 tours The Rainbow Quest (Folkways LP FA 2454).

Mais c'est à la même époque que le spécialiste de la musique folk américaine Joe Hickerson s'y intéresse, et ajoute deux nouvelles strophes :

Where have all the soldiers gone
— Gone to graveyards everyone.

Where have all the graveyards gone
— Gone to flowers everyone.

Où sont allés tous les soldats ?
— Tous partis au cimetière.

Où sont allés tous les cimetières ?
— Tous transformés en fleurs.

Cette adjonction permet d'enchaîner sur la première strophe et donne à la chanson une structure cyclique, mais surtout, avec l'évocation des cimetières, elle lui imprime une tonalité sombre et poignante. Au lieu d'être une simple complainte nostalgique sur la jeunesse évanouie, Where Have All the Flowers Gone? va devenir un immortel chant de protestation contre les hécatombes guerrières.

 

 

 

Un succès planétaire

 

 

 

La chanson, dans sa version complète et avec des paroles très légèrement modifiées, est reprise une première fois par le populaire groupe californien The Kingston Trio, qui l'enregistre sur un single sorti le 18 décembre 1961 et l'inclut sur l'album College Concert édité en février 1962. Croyant de bonne foi avoir arrangé un air traditionnel, ils en auraient dans un premier temps revendiqué la paternité, avant que Pete Seeger leur fasse savoir qu'il en est l'auteur. L'album arrive en n° 3 au Billboard.

La chanson est désormais lancée, entre au répertoire des principaux groupes folk américains. Peter, Paul & Mary livrent leur version en mai 1962, les Brothers Four font de même en 1964. Des artistes britanniques s'en emparent, comme les Searchers en 1963.

Dès juillet 1962, Marlene Dietrich sort en disque 45 tours une version en français. Le 6 octobre suivant, lors d'un gala de l'UNICEF à Düsseldorf, elle présente une version en allemand (sur un texte adapté par Max Colpet) qui sera plus tard reprise par Lolita (1963), Nana Mouskouri (1978), Hildegarde Knef (1993). Dans un entretien accordé en 2005, Pete Seeger déclare que cette version allemande (Sag mir, wo die Blumen sind) « sonne mieux que la mienne anglaise »

Au cours des années suivantes vont apparaître des versions en néerlandais, suédois, italien etc., tandis que des dizaines de groupes et chanteurs anglo-américains livrent leurs interprétations. Where Have All the Flowers Gone? devient un hymne universel, que chantent des artistes relevant aussi bien du folk (Joan Baez) que du rock (Roy Orbison, Johnny Rivers), de la musique country (Eddie Arnold, Dolly Parton), de la variété populaire (Vera Lynn, Bobby Darin), mais aussi du folklore irlandais (Tommy Sands) voire antillais (Harry Belafonte), et même de l'avant-garde « indus » allemande (comme Einstürzende Neubauten en 2014).

 

 

 

Adaptations en français

 

 

 

La version française créée par Marlene Dietrich et intitulée Où vont les fleurs repose sur un texte de René Rouzaud et Francis Lemarque. Elle sera reprise notamment par Jean-Jacques Debout (septembre 1962) et Eva en 1967. Bien plus tard, elle va être interprétée par Francis Lemarque lui-même (avec un accompagnement inattendu de style techno-pop) et publiée sur le CD Mes années 50 sorti en 1996.

En novembre 1962 est parue sous le titre Que sont devenues les fleurs ?, une version différente, chantée par Dalida. Son texte plus concis condense en quatre strophes seulement le cycle complet des six strophes de P. Seeger et J. Hickerson (si on inclut la répétition de la première à la fin). Cette adaptation est généralement attribuée à Guy Béart, qui n'est toutefois pas crédité sur le disque

 

 

 

Paroles

Que sont devenues les fleurs

 

Que sont devenues les fleurs du temps qui passe
Que sont devenues les fleurs du temps passé
Les filles les ont coupées, elles en ont fait des bouquets
Apprendrons-nous un jour, apprendrons-nous jamais

 

Que sont devenues les filles du temps qui passe
Que sont devenues les filles du temps passé
Elles ont donné leur bouquet aux gars qu'elles rencontraient
Apprendrons-nous un jour, apprendrons-nous jamais

 

Que sont devenus les gars du temps qui passe
Que sont devenus les gars du temps passé
À la guerre ils sont allés, à la guerre ils sont tombés
Apprendrons-nous un jour, apprendrons-nous jamais

 

Que sont devenues les fleurs du temps qui passe
Que sont devenues les fleurs du temps passé
Sur les tombes elles ont poussé, d'autres filles les vont les couper
Apprendrons-nous un jour, apprendrons-nous jamais

 

Source : Musixmatch

Paroliers : Peter Seeger

 
   
   
   
   

   
 
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Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Where_Have_All_the_Flowers_Gone%3F

 
 

https://youtu.be/trzeCQfrx7c

 
     
     
     
Notes et références                                                    
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Buzzy Bus : You Don't Stop

Publié à 03:32 par dessinsagogo55 Tags : enfant you musique merci sur centerblog art base bonne roman france google monde air 2010 texte film
Buzzy Bus : You Don't Stop

 

 

 

Paroles

Once again I was back the incredible.
To get you goin I'm not forgettable.

 

I heard you on the radio.
Talkin bout rap, saying all that crap
About how we actually sample.
We give an example.

 

Think we'd let you get away with that?
You criticize out methods.
Although we make records.

 

You said it wasn't art.
Sou now we're gonna rip you apart.
Cause I'm not a great pretender.
I never surrender.

 

But tell me what you wanna do, whatever I can.
But getting busy with the crowd.
Movin it up and down.

 

Just another cool night.
Everybody was rockin bang bang.

 

The boogie to the boogie said I'll join you.
Boogie to the bang bang.

 

Baby lets rock, you don't stop.
Rock the rhythm, gonna make your body drop.

 

The miracle man is back on the microphone.
Because I wanna make you go in alone unknown.
This is the rhythm the rhymer's wisdom.
Whatever happens the rhyme is your business.

 

Me and the boys, the Buzzy Bus crew.
Back on the scene, we'll show you what to do.
Everybody in the halls, jump up the walls.
Because I'm ready to rock, enough to break your balls now.

 

The beat is wackin, the bass is slappin.
Don't wanna see you sitin the sofa relaxin.
But its fantastic when you're dancin.
Freestylin, but not collapsin to my beat.
Because you rockin to the the rhythm of the boogie to beat in me.

 

I'll give you a shot before you droppin them?
This is the end so don't you dare stop.

 

Source : Musixmatch

 
   
   
   
   

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Wamdue Project : King of My Castle

Publié à 02:44 par dessinsagogo55 Tags : you musique monde merci sur centerblog enfant google film
Wamdue Project : King of My Castle

King of My Castle est une chanson du producteur de musique électronique américain Chris Brann sous l'alias Wamdue Project, avec la participation de la chanteuse américaine Gaelle Adisson. À l'origine la chanson sortie en 1997 est de style downtempo, cependant grâce au remix du producteur de musique house Roy Malone (Aka Mauro Ferrucci) en 1999 la chanson a rencontré un grand succès dans les clubs du monde entier. Il existe deux clips vidéos, un clip contient des images du film d'animation japonais Ghost in the Shell (1995).

Le single est numéro un au Royaume-Uni et aux États-Unis dans le classement Billboard Hot Dance Club Songs.

King of My Castle ressort en 2009 incluant les remixes des DJs Rowald Steyn, Mischa Daniëls et Armin van Buuren.

 

 

 

Paroles

Ahum, ahum

Must be the reason why I'm king of my castle
Must be the reason why I'm free in my trapped soul
Must be the reason why I'm king of my castle
Must be a reason why I'm making examples of you

 

Must be the reason why I'm king of my castle
Must be the reason why I'm free in my trapped soul
Must be the reason why I'm king of my castle
Must be a reason why I'm making examples of you

 

Ahum, ahum

 

Must be a reason why I'm king of
Must be a reason why I'm king of

 

Must be he the reason why I'm king of my castle
Must be he the reason why I'm free in my trapped soul
Must be he the reason why I'm king of my castle
Must be he a reason why I'm making examples of you

 

Ahum, ahum

 

Must be the reason why I'm king of my castle
Must be the reason why I'm free in my trapped soul
Must be the reason why I'm king of my castle
Must be a reason why I'm making examples of you

 

Must be the reason why I'm king of my castle
Must be the reason why I'm free in my trapped soul
Must be the reason why I'm king of my castle
Must be a reason why I'm making examples of you

 

Must be the reason why I'm king of my castle
Must be the reason why I'm free in my trapped soul
Must be the reason why I'm king of my castle
Must be a reason why I'm making examples of you

 

Source : Musixmatch

Paroliers : Chris Brann

Paroles de King of My Castle - original album mix © Doorn Music Publishing, Jessica Michael Music, Inc.

 

 
   
   
   
   

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https://fr.wikipedia.org/wiki/King_of_My_Castle

 
 

https://youtu.be/DXSyQjppqG0

 
     
     
     
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Ms. Project : You're A Woman

Publié à 02:01 par dessinsagogo55 Tags : you musique merci film centerblog sur enfant
Ms. Project : You're A Woman

 

 

 

 

 

Paroles
 
Tonight,
They'll be no darkness tonight.
Hold tight,
Let your love light shine bright.
 
 
Listen to my heart,
And lay your body next to mine.
Let me fill your soul,
With all my tears.
 
 
You're a woman, I'm a man.
This is more than just a game.
I can make you feel so right.
Be my lady of the night.
 
 
You're a woman, I'm a man.
You're my fortune, I'm your fame.
These are things we can't disguise.
Be my lady of the night.
 
 
Lay back,
Back in my tenderness.
And take,
Take all of my sweet caress.
 
 
You've got all of me.
It can't go wrong if you agree.
Soon two hearts will beat in ecstasy.
You're a woman, I'm a man.
 
 
This is more than just a game.
I can make you feel so right.
Be my lady of the night.
You're a woman, I'm a man.
 
 
You're my fortune, I'm your fame.
These are things we can't disguise.
Be my lady
You're a woman, I'm a man.
 
 
This is more than just a game.
I can make you feel so right.
Be my lady of the night.
You're a woman, I'm a man.
 
 
You're my fortune, I'm your fame.
These are things we can't disguise.
Be my lady...
You're a woman, I'm a man...
 
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Applegate Mary Susan / Haaren Van K / Hendrik Tony
Paroles de You’re a Woman © Hanseatic Musikverlag Gmbh & Co Kg

 

 
   
   
   
   

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