Trésor Gauthier Makunda (à droite) et son guide Lucas Mathonat apportent la 24e médaille à la France, dimanche 29 août 2021. (NGUYEN TUAN / FRANCE PARALYMPIQUE)
Paralympiques 2021 : Trésor Gauthier Makunda médaillé de bronze sur le 400 mètres
La para-athlète Trésor Gauthier Makunda a décroché le bronze sur le 400 m T11, avec son guide Lucas Mathonat dimanche, à Tokyo.
Louise Gerber - franceinfo: sport
Publié 12:56Mis à jour 13:02
Temps de lecture : 1 min.
Nouvelle médaille française en para-athlétisme. Trésor Gauthier Makunda a remporté le bronze aux Jeux paralympiques de Tokyo sur le 400 m T11 avec son guide Lucas Mathonat, dimanche 29 août. Déjà en bronze sur cette distance à Londres en 2012, le Tricolore de 37 ans décroche sa cinquième médaille paralympique (une en argent, quatre en bronze) depuis ses premiers Jeux à Athènes, en 2004. C'est la 25e médaille du clan français, après notamment le bronze du judoka Hélios Latchoumanaya et l'argent de Matéo Bohéas en tennis de table.
Nouvelle médaille et record personnel
Quatrième et dernier de la finale avant le dernier virage, l'athlète malvoyant, placé dans le couloir numéro 1, est revenu dans la ligne droite pour monter sur la troisième marche du podium. Le Français a bouclé sa course en 51'74, battant son record personnel. Il termine derrière l'Espagnol Gerard Descarrega Puigdevall, sacré champion paralympique, et le Namibien Ananias Shikongo.
Cette nouvelle médaille permet à la France de se rapprocher un peu plus des 28 breloques décrochées à Rio en 2016.
Qualifié pour la finale paralympique, le pongiste Mateo Boheas est assuré d'une médaille à Tokyo. (G. Picout / CPSF)
Paralympiques 2021 : le pongiste Matéo Bohéas décroche l'argent, sixième médaille française en tennis de table
Le pongiste tricolore a décroché l'argent en classe 10 dimanche, aux Jeux paralympiques de Tokyo, remportant la 24e médaille française.
Louise Gerber - franceinfo: sport
France Télévisions
Publié 12:20Mis à jour 12:23
Les pongistes français continuent de briller à Tokyo. Matéo Bohéas a remporté l'argent en tennis de table classe 10, dimanche 29 août. Opposé en finale au numéro un mondial et multi-médaillé aux Jeux, le Polonais Patryk Chojnowski, l'Angevin a manqué de précision dans les fins de sets pour l'emporter, et s'est incliné trois sets à zéro (11-8, 11-5, 12-10). Malgré cette défaite en trois sets, Bohéas, né avec une malformation du pied, décroche sa première médaille paralympique pour sa deuxième participation aux Jeux, à 24 ans.
Le match avait un double enjeu pour le Français, son adversaire du jour l'ayant éliminé en quarts de finale à Rio. Mais le Polonais a fait parler son expérience. Alors que Bohéas avait pris les devants dans la première manche (8-5), il a laissé le Polonais monter en puissance et prendre les deux premiers sets. Prenant des risques pour grapiller des points dans la troisième manche, obtenant même une balle de set, le pongiste de 24 ans a finalement rendu les armes face au champion paralympique de Londres en 2012.
Avec cette nouvelle breloque, la délégation de tennis de table glane sa sixième médaille à Tokyo et devient la plus grande pourvoyeuse de médailles dans ces Jeux - avant un éventuel sacre de Fabien Lamirault en classe 2, lundi 30 août.
L’haltérophile Souhad Ghazouani a décroché, dimanche 29 août, la médaille de bronze dans la catégorie des -73kg. (NGUYEN TUAN / CPSF)
Paralympiques 2021 : Souhad Ghazouani s'offre le bronze en développé-couché des - de 73 kg
La Française a remporté la cinquième médaille paralympique de sa carrière.
franceinfo: sport
France Télévisions
Publié 08:18Mis à jour 09:42
Elle a déjà tout remporté, mais sa volonté de gagner est toujours intacte. L'haltérophile Souhad Ghazouani a décroché, dimanche 29 août, la médaille de bronze dans la catégorie des -73kg, en soulevant 132 kilos au développé-couché. Elle apporte la 22e médaille paralympique à la délégation française.
Cinquièmes Jeux et autant de médailles
L'haltérophile lilloise, triple médaillée aux championnats du monde, vient d'ajouter une nouvelle ligne à son palmarès. L'athlète, qui a déjà décroché l'argent aux Jeux paralympiques d'Athènes en 2004, le bronze à Pékin en 2008, l'or à Londres en 2012 et l'argent à Rio en 2016, a remporté une médaille lors de chacune de ses participations paralympiques. À 39 ans, l'athlète, paraplégique depuis sa naissance, a encore un peu plus marqué l'histoire de son sport avec une cinquième breloque, dimanche.
Paralympiques 2021 : revivez la course de la rameuse Nathalie Benoit, médaillée de bronze en skiff
Publié 04:51Mis à jour 09:15
franceinfo: sport - Apolline Merle
France Télévisions
La rameuse française a remporté la deuxième médaille paralympique de sa carrière.
Une nouvelle médaille pour la France. La rameuse Nathalie Benoit, repêchée samedi pour participer à la finale dans la catégorie PR1W1x, a remporté la médaille de bronze en skiff dimanche 29 août. Une belle médaille pour la Tricolore tant la concurrence était rude. Elle a en effet accroché le podium (+31''56) derrière la Norvégienne Birgit Skarstein, intouchable, et l'Israélienne Moran Samuel (+21''51).
Une deuxième médaille paralympique
À 41 ans, Nathalie Benoit ne voulait pas rentrer en France sans médaille. "Je vais tout donner pour monter sur le podium et faire partie des trois chanceuses", avait-elle expliqué à nos confrères de France Bleu Bouches-du-Rhône à la veille des Jeux. Pari réussi donc pour la Française. Neuf ans après sa première médaille paralympique en skiff à Londres en 2012, où elle a remporté l'argent, Nathalie Benoit a ainsi renoué avec le podium paralympique.
Joachim von Ribbentrop, né le 30 avril 1893 à Wesel (Empire allemand) et exécuté le 16 octobre 1946 à Nuremberg, est un homme politique et diplomate allemand. Membre du NSDAP, il est ambassadeur d'Allemagne au Royaume-Uni entre 1936 et 1938, puis ministre des Affaires étrangères entre 1938 et 1945 sous le Troisième Reich. Il est à l'été 1939 le signataire du traité de non agression entre l'Union soviétique et l'Allemagne nazie connu sous le nom de pacte Ribbentrop-Molotov, qui prend fin de facto deux ans plus tard avec l'opération Barbarossa. Il fait partie des principaux criminels de guerre nazis poursuivis au procès de Nuremberg, où il est condamné à mort puis exécuté.
Jeunesse et débuts
Suivant les affectations de son père, un officier de carrière, le jeune Ribbentrop passe huit années à Metz, qui était alors la première place forte de l'Empire allemand. Il quitte la ville en 1908, lorsque son père est dégradé pour avoir critiqué le kaiser Guillaume II. S’ensuit alors une vie errante, entre l’Allemagne, la France, puis le Canada en 1910.
Au Canada anglais, il devient trilingue (allemand, anglais, français), ce qui favorisera sa carrière diplomatique et politique après 1933. Arrivé à Montréal en 1910, Ribbentrop travaille notamment à la construction du fameux pont de Québec, comme « manœuvre affecté aux différentes tâches » en 1912. Ensuite, il exerce divers métiers dont celui d'importateur de vins, champagnes et spiritueux. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, en août 1914, il rentre immédiatement en Allemagne en passant par la Hollande et s'engage comme soldat. Il est blessé en 1917.
Il épouse, en 1920, Anna Elisabeth Henkell, fille de Otto Henkell, d’une riche famille de producteur de vins de Wiesbaden. Ils ont ensuite eu cinq enfants. Ribbentrop devient représentant en vin de champagne pour Pommery et voyage dans toute l'Europe.
En 1925, sa parente éloignée Gertrud von Ribbentrop l'adopte, ce qui l'autorise à ajouter la particule nobiliaire « von » à son nom.
Puis il rejoint le NSDAP en 1932, où ses liens avec le milieu politique traditionnel sont appréciés. Ribbentrop est nommé l'année suivante SS-Standartenführer. Il est alors l'ami de Heinrich Himmler, mais leur relation se détériore, quand ce dernier tente d'avoir son propre service diplomatique.
Diplomate
Moscou le 28 septembre 1939, lors de la signature du traité germano-soviétique d'amitié, de coopération et de démarcation, Ribbentrop est à la droite de Staline, à l'arrière-plan.
En janvier 1933, Ribbentrop organise à son domicile des négociations pour la nomination d'Adolf Hitler comme chancelier ; s'y retrouvent Hitler, Franz von Papen, le chancelier démissionnaire, et Oskar von Hindenburg, le fils du président Hindenburg. En 1935, Ribbentrop devient ministre sans portefeuille et conseiller officieux de Hitler pour les affaires étrangères, parce qu'il parlait couramment le français et l'anglais et qu'il se prévalait d'entregent international. Il accroît son influence en prenant systématiquement le parti le plus extrême, le seul que voulait entendre Hitler, ce qui revient à marginaliser le ministre des Affaires étrangères en titre, Konstantin von Neurath. Ce dernier, pour tenter de le discréditer, interdit aux services de son ministère de corriger les fréquentes fautes de syntaxe de son rival, dans ses notes adressées à Hitler, en vain. En juin 1935, il négocie, sur un coup de bluff, un accord naval germano-britannique permettant au Troisième Reich d’accroître sensiblement sa flotte : pour cela, il affirma à John Simon, secrétaire au Foreign Office, que si les propositions allemandes n'étaient pas acceptées dans leur intégralité, il repartirait immédiatement. Il permit ainsi à la Kriegsmarine d'atteindre 35 % du tonnage de la Royal Navy en navires de surface et 45 % pour les sous-marins. Il devint à ce moment le spécialiste du parti nazi pour la diplomatie et augmenta son influence sur Hitler.
D'abord ambassadeur à Londres en 1936, il y laisse une réputation d'incompétence et le surnom de Brickendrop, de l’anglais to drop a brick, faire une gaffe. Il pensait, à tort, que le roi Édouard VIII, réputé pro-allemand, dirigerait la politique étrangère britannique et vit dans son abdication un complot « judéo-maçonnique » ; il montrait ainsi une méconnaissance marquée du système constitutionnel du Royaume-Uni. Les quelques contacts établis avec des membres de la Chambre des lords, notamment Lord Lothian, Lord Cecil ou Lord Londonderry, lui firent croire que l'opinion britannique souhaitait une alliance avec l'Allemagne, ce qui était faux : Sir Robert Vansittart, sous-secrétaire permanent du Foreign Office diplomate professionnel et très antinazi, écrivit des mots très durs contre ces Lords qu'il qualifiait d’« amateurs ambulants ».
Il devient cependant ministre des Affaires étrangères en 1938 à la place de Neurath, dont les prises de positions contre la marche à la guerre exaspèrent Hitler. En effet, le chancelier pensait que les contacts qu'il avait établis à Londres lui permettraient d'amadouer le Royaume-Uni.
Il prépare aussi le terrain diplomatique de l’annexion des Sudètes en traduisant les menaces d'Hitler en termes euphémiques et joue un rôle essentiel dans le rapprochement entre Hitler et Mussolini qui aboutit au Pacte d'acier signé le 22 mai 1939.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, il est l'artisan, avec Viatcheslav Molotov, du Pacte germano-soviétique (de non-agression) signé le 23 août 1939 qui aboutit notamment à la fin de l'année 1939 à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
Il est régulièrement critiqué par Goebbels, qui lui reproche de « n'être venu au parti que sur le tard et en quelque sorte par hasard. Son aristocratie aux origines douteuses, le snobisme voyant qui lui avait valu le sobriquet de « Ribbensnob », de même que sa distinction forcée et son attitude hautaine, provoquaient les moqueries des anciens membres du parti ».
Au cours de l'automne 1940, il monte le « complot Windsor » pour s'emparer de l'ex-roi Édouard VIII et le remettre sur son trône pour amener le Royaume-Uni à la paix. Winston Churchill sent néanmoins le danger suffisant pour envoyer le duc de Windsor aux Bahamas comme gouverneur.
Ribbentrop ne pousse pas au déclenchement de la guerre contre l'URSS en 1941, mais ne fait rien pour l'empêcher par servilité vis-à-vis d'Hitler. Selon l'historien Antony Beevor, juste après avoir remis la déclaration de guerre à l'ambassadeur soviétique Dekanozov, il lui souffle : « Vous ferez savoir à Moscou que j'étais contre cette guerre ».
Perte d'influence
Au fur et à mesure que la guerre se poursuit, l'influence de Ribbentrop diminue d'autant plus qu'Hitler ne s'embarrasse plus de précautions diplomatiques. De plus, la plupart de ceux qu'il nomme dans les ambassades sont incompétents. Hitler le marginalise mais le maintient dans son entourage où il est fréquemment moqué. Ribbentrop aménage un train qui suit tout le temps Hitler dans ses déplacements, pour se montrer avec lui. Cette marginalisation est aussi liée au fait qu'il s'est montré un piètre ministre dans la période 1939-1941, que chacune de ses initiatives ou prédictions a tourné au désastre, et que, dans les faits, son domaine de compétence, les relations extérieures, est très clairement relégué à l'arrière plan de la politique allemande durant le conflit.
De plus, en 1944, la population du Reich le méprise souverainement pour sa politique qui n'a pas su éviter la guerre. Dans le même temps, par opposition à d'autres dirigeants, qui se réfugient dans le travail bureaucratique, comme Martin Bormann, ou dans l'alcool, comme Robert Ley, il s’occupe à travailler sur une analyse tronquée des rapports de force internationaux, affirmant en janvier 1945 à l'ambassadeur japonais que le Reich et le Japon seraient sauvés, s’ils parvenaient à tenir jusqu'à la fin de l'année 1945.
À partir du début de l'année 1945, il tente de négocier une paix séparée : au mois de mars, il convoque à Berlin Werner Dankwort, diplomate en poste à Stockholm, pour lui expliquer le sens des négociations de paix qu'il mène : celles-ci sont destinées à donner au Reich le temps nécessaire pour achever les nouveaux armements, puisque les alliés occidentaux continuaient à rester fidèles à l'alliance de 1941 ; mais cette tentative tourne court, en raison du refus de Hitler de toute négociation et de sa propre répugnance à braver ouvertement le dictateur.
Il est complètement exclu de la préparation du complot du 20 juillet 1944 contre Adolf Hitler, pourtant mené par la classe sociale à laquelle il cherchait à s'identifier.
Tout au long de la guerre, et surtout à son début, a lieu par exemple un violent antagonisme réciproque entre Ribbentrop et le Dr Joseph Goebbels ainsi qu'entre leurs ministères respectifs ; en effet, à de nombreuses reprises durant le conflit ce dernier préconise le renvoi du ministre des Affaires étrangères, considéré comme un « raté ».
Après le suicide d'Hitler, il est démis de ses fonctions lors de la constitution du cabinet Goebbels, le 30 avril 1945 et remplacé par Arthur Seyss-Inquart. Démissionné malgré son souhait, il souhaite cependant continuer à jouer un rôle dans le gouvernement qui se met en place dans le Nord du Reich, et définit, dans un courrier non envoyé à Karl Dönitz, sa vision du futur du continent européen.
Il est arrêté le 14 juin 1945 près de Hambourg par des volontaires belges au service de l'armée britannique ; on trouve alors sur lui une lettre non expédiée à « Mr. Vincent (sic) Churchill » pour le mettre en garde contre le risque de voir le bolchevisme se répandre en Europe.
Jugement et exécution
Procès des principaux responsables politiques et militaires du Reich à Nuremberg, 1946. Au premier rang, de gauche à droite : Göring, Hess, Ribbentrop, le maréchal Keitel ; au second rang : les deux amiraux Dönitz et Raeder, Schirach, Sauckel.D’autres procès ont suivi.
Lors du procès de Nuremberg, il nie toute responsabilité au sujet des camps de concentration. Cependant, il aurait poussé, en septembre 1942, les diplomates allemands en poste dans les pays occupés à accélérer les déportations de Juifs. Ribbentrop se serait plaint auprès des Italiens des lenteurs dans la déportation des Juifs de la zone d'occupation italienne en France. Les diplomates ont joué un rôle important dans l'organisation de la déportation, négociée, comme en France avec le régime de Vichy en juin 1942, lorsque le représentant allemand auprès du régime de Vichy exige de Pierre Laval la déportation de 50 000 Juifs. D'autre part, il fut prouvé pendant le procès qu'il s'empara des biens de certaines personnes dont il avait ordonné la déportation.
Au cours du procès, c'est le procureur français Edgar Faure qui mène le contre-interrogatoire : il lit à l'accusé un extrait d'une lettre de l'ambassade d'Allemagne du 27 juin 1942, adressée au chef de la Sipo en France.
Fiche de détention de Ribbentrop après son arrestation par des soldats américains.
« Le Hauptsturmführer Dannecker m'a indiqué qu’il avait besoin au plus tôt de 50 000 Juifs de la zone libre pour être déportés vers l'Est, et qu'il convenait de soutenir l'action de Darquier de Pellepoix, commissaire général aux Questions juives ».
À gauche, assis, Ribbentrop durant le procès de Nuremberg.
Dans sa réponse, Ribbentrop s'embrouille et se laisse piéger par Edgar Faure. Il commence par nier avoir eu connaissance du travail de ses propres services, avant d'essayer de dire qu'il a tenté de temporiser, ce qui indique qu'il connaissait parfaitement la situation.
En avril 1943, Ribbentrop participe aussi à une conférence entre Hitler et le Hongrois Miklós Horthy durant laquelle ce dernier est informé que les Juifs devaient être exterminés ou envoyés en camp de concentration
Ribbentrop après son exécution.
Il est condamné à mort lors du procès de Nuremberg en 1946 pour plan concerté ou complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crime contre l'humanité. Il est le premier des condamnés à être exécuté par pendaison dans la nuit du 16 octobre 1946 à 1 h 10.
Ses dernières paroles sur l'échafaud : « Mon dernier souhait est que se réalisent l'unité de l'Allemagne et l'union entre l'Est et l'Ouest de l'Europe, et que la paix règne sur le monde. »
L'exécution est mal préparée par le bourreau en chef de l’US Army, le sergent John C. Woods : « Ribbentrop, qui est le premier à monter sur l'échafaud, met 17 minutes à mourir ».
Dans la littérature
Dans le roman uchronique Le Complot contre l'Amérique de Philip Roth (2004), il est accueilli par le président américain Charles Lindbergh et la Première dame Anne Morrow Lindbergh à la Maison-Blanche. Dans l'adaptation en mini-série The Plot Against America (2020), son rôle est joué par Orest Ludwig.
Le pont de Québec est un pont mixte ferroviaire et routier qui traverse le fleuve Saint-Laurent à l'ouest de la ville de Québec (rive nord) jusqu'à Lévis (quartier Saint-Nicolas) sur la rive sud. Il est encore considéré aujourd'hui comme une œuvre majeure d'ingénierie. Il est situé à un peu moins de 200 m en aval du pont Pierre-Laporte.
Le pont de Québec est la propriété de la compagnie ferroviaire Canadien National (CN). Il a été désigné lieu historique national du Canada en 1995.
Origine du nom Historique
Motivation et début des travaux
Avant la construction du pont de Québec, la seule façon de traverser de Québec à Lévis et vice-versa était de prendre un traversier. L'hiver, un pont de glace permettait de joindre les deux rives. En 1852, la ville de Québec souhaite établir un lien ferroviaire avec la rive sud du Saint-Laurent vers les États-Unis. Vers les années 1890, il devint de plus en plus évident qu'un pont ferroviaire était nécessaire.
Le défi est cependant de taille : construire le plus long pont de type cantilever au monde près de l'embouchure de la rivière Chaudière. Ce type de pont en porte-à-faux est favorisé, car il permet des portées plus grandes entre deux piliers. L'embouchure de la rivière Chaudière est choisi en raison de l'étroitesse du fleuve à cet endroit et de la hauteur des falaises qui permet le passage des bateaux.
Le pont fut construit par la Quebec Bridge and Railway Company, de propriété fédérale puisque faisant partie du National Transcontinental Railway. La construction, confiée à la Phoenix Bridge Company de Pennsylvanie, débuta en 1903 sous la direction de l'ingénieur américain Theodore Cooper après que le gouvernement fédéral eut alloué les fonds nécessaires au début des travaux. Le pont avait été conçu pour mesurer 26,5 mètres de large, et comporter deux voies ferrées, deux voies de tramway et deux voies pour la circulation automobile.
Les travaux de la première mouture du pont débutent en 1903. Cette photo montre l'avancement des travaux en 1907, peu avant la première catastrophe.
L'endroit choisi constitue le point le plus étroit du fleuve entre Québec et Montréal (Kebec en algonquin signifie là où le fleuve se rétrécit). À cet endroit le fleuve a une profondeur moyenne de 45 mètres avec une faille atteignant 58 mètres. L'opinion publique locale, ainsi que des journaux tel le The Quebec Chronicle-Telegraph de Québec, auraient en 1897 préféré avoir un pont piétonnier, routier et ferroviaire plus près du centre-ville de chaque rive afin d'encourager les échanges locaux. Les coûts supplémentaires d'un pont plus large et la vocation uniquement ferroviaire choisie firent porter le choix du site à l'emplacement actuel.
Vers 1904, la structure prenait graduellement forme. Cependant, à cause d'erreurs de calcul faites durant la phase de planification du pont, le poids réel du pont excédait de beaucoup sa capacité portante. Lorsque le pont fut presque terminé, certains problèmes structurels furent remarqués par l'équipe locale d'ingénieurs, mais personne ne tint compte de la gravité de la situation à l'époque. Les travaux continuèrent malgré l'arrêt complet des travaux, ordonné par un ingénieur responsable, le 27 août 1907.
Un pont construit en trois prises
Premier effondrement
Les débris de l'effondrement de 1907 et le fleuve Saint-Laurent.
Vestiges de l'effondrement de 1907.
Le 29 août 1907 à 17 h 37, après quatre années de construction, la partie sud du pont s'effondre dans le fleuve St-Laurent en à peine 15 secondes, et à peine 20 minutes avant la fin de la journée de travail. Vingt mille tonnes d'acier croulent dans le fleuve. Des 100 travailleurs qui s'y trouvaient, 76 sont tués, et les autres blessés. Trente-trois des victimes sont des travailleurs Mohawks de la réserve de Kahnawake, qui sont enterrés à Kahnawake sous des croix faites de poutres d'acier. Dix-sept autres victimes sont originaires des États-Unis, et vingt-six sont des Québécois en majorité de Saint-Romuald ou de New Liverpool, maintenant des quartiers de Lévis. La tradition orale des Hurons-Wendat de Wendake fait également état de six ou sept victimes provenant de leurs rangs.
Depuis les années 2000, on peut apercevoir des pièces de ferraille provenant de cet effondrement à marée basse sur la rive du fleuve. En effet, bien que la compagnie Charles Koenig de Québec ait effectué à l'époque le nettoyage de toutes les pièces qui étaient visibles, les marées basses actuelles atteignent un niveau inférieur à celles du début des années 1900.
Un monument dédié aux victimes, construit lui aussi à partir du métal du pont effondré, a été érigé dans le cimetière de Saint-Romuald par la Société historique de Saint-Romuald.
Deuxième effondrement
Élévation de la travée centrale en 1916, juste avant l'effondrement.
Après une commission royale d'enquête sur le désastre de 1907, la construction d'un deuxième pont suivant la même conception commence. Le contrat est accordé à la St. Lawrence Bridge Company avec Ralph Modjeski comme ingénieur en chef, qui corrige toutes les erreurs de calcul des forces. Le malheur frappe à nouveau le 11 septembre 1916 alors que la partie centrale préfabriquée était en train d'être élevée par des crics hydrauliques pour être attachée aux deux sections rebâties. L'effondrement tue treize personnes. La travée repose toujours au fond du fleuve. L'échec est dû à des défauts de fabrication de cette partie centrale ou, selon une autre version, au bris d'une pièce de support de l'appareil de levage
Conséquences des effondrements
Au Canada et dans plusieurs autres pays, les effondrements du pont de Québec ont démontré les dangers de l'autorité absolue d'un ingénieur sur un projet, amenant plusieurs commentateurs à reconsidérer l'exercice de cette autorité. Les ingénieurs ont précédé une possible intervention gouvernementale en créant de multiples associations d'ingénieurs indépendantes.
Ces groupes se sont finalement rassemblés dans leurs domaines respectifs en créant des ordres professionnels tel l'Ordre des Ingénieurs du Québec (OIQ) dont le rôle principal est la protection du public d'abord, et la préservation de la crédibilité des ingénieurs ensuite. Les exigences générales de ce type d'ordre professionnel incluent un code de déontologie, une standardisation de la formation et un système de mentorat avec des ingénieurs certifiés.
Parachèvement du pont
La construction est finalement achevée le 20 septembre 1917, au coût total de 25 millions de dollars par la St. Lawrence Bridge Company. Le 17 octobre 1917, une première locomotive le franchissait. Le 3 décembre 1917, le pont de Québec fut ouvert au trafic ferroviaire après avoir été en construction durant presque deux décennies.
Le 22 août 1919, il fut inauguré officiellement par le Prince Édouard de Galles.
Premières décennies d'utilisation
En 1923, le gouvernement du Canada crée le Canadien National et lui confie l'entretien et la gestion du pont. Conçu et construit principalement pour servir de pont ferroviaire, les voies de tramway furent transformées en voies pour l'automobile et en voie pédestre et cyclable dix ans après son inauguration. Les premières voitures purent traverser le pont le 22 septembre 1929 sur une voie de 4,27 mètres de large située entre les deux voies ferrées. Cette largeur n'étant pas suffisante, cependant, pour que des véhicules lourds comme des camions ou des autobus puissent se rencontrer sur le pont, des gardiens communiquant par téléphone devaient stopper la circulation à une extrémité du pont lorsqu'un véhicule lourd s'engageait à partir de l'autre rive. La vitesse sur le pont était alors limitée à 15 milles à l'heure, soit environ 24 kilomètres à l'heure.
Jusqu'au 1er avril 1942, les véhicules devaient acquitter un péage pour traverser le pont (50 ¢ par véhicule et 10 ¢ par passager, gratuit pour les piétons). Le bâtiment des percepteurs est toujours debout, sur le terrain du Parc-aquarium du Québec. Entre 1948 et 1952, une des deux voies ferrées est démantelée et l'autre déplacée afin d'élargir la voie carrossable à 9,15 mètres. Plus tard, une reconfiguration a permis de créer trois voies, la voie centrale alternant d'une direction à l'autre selon les heures
Époque récente
En 1970, un deuxième pont a été ouvert juste en amont du pont de Québec, le pont Pierre-Laporte, pour permettre le passage du trafic autoroutier de l'autoroute 73.
Le premier pont fut déclaré Monument historique international le 23 mai 1987 par les Sociétés canadienne et américaine des ingénieurs civils (CSCE et ACSE), et fut le quatrième ouvrage de génie civil à recevoir cet honneur. Le 24 novembre 1995, le pont fut inclus dans la liste des lieux historiques nationaux du Canada
Le pont est toujours la propriété du transporteur ferroviaire Canadien National (CN), qui fut privatisé durant les années 1990. Il reçoit cependant des fonds des gouvernements fédéral et provincial pour les réparations et l'entretien de la structure. Depuis les années 1990, une controverse est en cours sur le partage des coûts de l'entretien du pont entre le CN, le gouvernement du Canada et le gouvernement du Québec ; on estime à 140 millions de dollars canadiens la facture totale de la réfection du pont. Les travaux de réfection ont été stoppés en 2005 par le CN après qu'ils eurent été effectués à 40 % pour un coût de 60 millions de dollars canadiens, dont 36 millions défrayés par l'entreprise de transport. Le montant nécessaire au complément des travaux est estimé entre 65 et 80 millions de dollars. L'affaire est devant les tribunaux
Le 16 avril 2021, le gouvernement du Canada s'engage à acheter le pont.
Le Saint-Laurent et les ponts de Québec
Description
Le pont de Québec en 2012.
Le second plus long pont de type porte-à-faux est le Pont du Forth qui traverse le fleuve Firth of Forth en Écosse, achevé en 1890. Ses deux structures de soutien ont chacune 27 m de moins que celles du pont de Québec.
C'est une structure rivetée en acier de 987 m de long, 28,7 m de large et 104 m de haut. Chaque envergure en porte-à-faux est de 178 m, la travée centrale suspendue étant de 195,07 m. C'est le pont de type porte-à-faux ayant la plus longue portée libre au monde, avec 549 mètres entre ses piliers principaux et sa travée centrale longue de 576 mètres. La hauteur libre sous sa travée centrale est de 45,72 mètres à marée haute et de 52,42 mètres à marée basse. Le poids total de la structure d'acier est de 67 546 tonnes métriques.
Culture populaire
Légendes urbaines
Selon une légende urbaine, un boulon d'or a été fixé quelque part sur la structure du pont lors de sa construction. De nombreuses recherches, tant physiques que documentaires, ont été effectuées au cours des années, sans toutefois prouver son existence. Par contre, Bernard Pelchat s'est approprié cette légende du boulon d'or en 2014 pour l'interpréter à sa façon dans un roman intitulé Le Boulon d'or du pont de Québec. Selon une autre légende, le diable, sous la forme d'une personne mystérieuse, aurait conclu un pacte avec le contremaître responsable de la construction : en échange de l’âme du premier être vivant à traverser le pont, le diable ferait en sorte que le pont ne tombe plus. Le contremaître, sans trop réfléchir, aurait accepté le pacte. Lors de l’inauguration, le contremaître, se souvenant du serment, lança un chat sur le pont qui le traversa pour se sauver. Au milieu du pont, l’animal disparut. Le diable dut se contenter de l’âme de l’animal, le contremaître s’étant joué de lui.
Bagues d'acier
Durant les années suivant sa construction, il était monnaie courante pour les gens habitant à proximité du pont de Québec d'y faire une promenade dominicale sur les plus hautes parties de sa structure, une telle pratique étant à l'époque tolérée. Une fausse rumeur prétend que des morceaux du pont effondré auraient servi au fil des ans pour forger les bagues d'acier remises aux étudiants futurs ingénieurs canadiens lors de la cérémonie d'assermentation des Sept Gardiens. Ces bagues, portées sur l'auriculaire de la main de travail des ingénieurs professionnels, sont destinées à rappeler aux ingénieurs leurs responsabilités sociales de respecter l'éthique de leur profession. L'anneau d'acier est au départ rugueux, c'est avec le temps qu'il se fait polir par le travail, représentant l'expérience qui vient avec l'âge.
Personnalités liées
En 1912, le futur haut dignitaire nazi Joachim von Ribbentrop a participé à la construction du pont, en tant que manœuvre affecté aux différentes tâches
1973
Wé da da da ! Ya ya ya, ya ya ya ya !
Wé da da da ! Ya ya ya, ya ya ya ya !
Da ! Da da da ! Ya Ya ! Ya ya ya ya !
Toi !
Da ! Dé da da da Da ! Da da ! Wé da da !
Toi !
Wé da da da ! Ya ya ya, ya ya ya ya !
Wé da da da ! Ya ya ya, ya ya ya ya !
Da ! Dé da da da Da ! Da Da ! Yé Yé da da !
Da ! Dé da da da Da ! Da Da ! Ya ya ya !
Ya ya…Da ! Dé da da da Da ! Da Da ! Da da da da !
Toi !
Yé da da da !
Da da da da…!
Toi !
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Chanson française | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson internationale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Hymne national | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique classique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique de film | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique instrumentale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Parodie | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson paillarde | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson pour enfant | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Dessin animé | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Générique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Série TV | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
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Somebody's Watching Me est une chanson de Rockwell sortie en 1983 en single. Elle est extraite de son album du même nom sorti en 1984 sous le label Motown. Le titre traite de la paranoïa (« Somebody's Watching Me » signifiant « Quelqu'un m'observe » dans le refrain).
Le titre comprend une participation de Michael Jackson dans le refrain. Au départ, Michael Jackson avait enregistré sa voix dans un chœur (avec son frère Jermaine) à la demande de Berry Gordy. Rockwell décida ensuite d'extraire la voix de Michael pour la diffuser seule dans le refrain.
Somebody's Watching Me est le plus gros succès de Rockwell. Le titre se classa en bonne position dans les classements musicaux de nombreux pays.
Paroles
Who's watching?
Tell me, who's watching?
Who's watching me?
I'm just an average man with an average life
I work from nine to five, hey, hell, I pay the price
All I want is to be left alone in my average home
But why do I always feel like I'm in the Twilight zone and?
I always feel like somebody's watching me
And I have no privacy (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Tell me is it just a dream?
When I come home at night
I bolt the door real tight
People call me on the phone, I'm trying to avoid
But can the people on TV see me or am I just paranoid?
When I'm in the shower I'm afraid to wash my hair
'Cause I might open my eyes and find someone standing there
People say I'm crazy, just a little touched
But maybe showers remind me of Psycho too much
That's why
I always feel like somebody's watching me
And I have no privacy (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Who's playing tricks on me?
I don't know anymore
Are the neighbors watching me?
(Who's watching?)
Well, is the mailman watching me?
(Tell me who's watching?)
And I don't feel safe anymore, oh, what a mess
I wonder who's watching me now (who?), the IRS?
I always feel like somebody's watching me
And I have no privacy (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Tell me is it just a dream?
I always feel like somebody's watching me
And I have no privacy (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Who's playing tricks on me?
I always feel like somebody's watching me (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
(Who's watching me?)
I always feel like somebody's watching me (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Who's playing tricks on me?
I always feel like somebody's watching me
Can I have my privacy? (ooh ooh)
I always feel like somebody's watching me
Who's playing tricks on me?
Source : LyricFind
Paroliers : Kennedy Gordy
Paroles de Somebody's Watching Me © Sony/ATV Music Publishing LLC
Paroles
Ô, quelle cérémonie
Pour grand-père et grand maman,
La famille est réunie
Pour leurs noces de diamant
Le champagne qui pétille
Fait pétiller tous les yeux
Quand une petite fille
Dit en riant aux bons vieux
Refrain :Voulez-vous danser grand-mère,Voulez-vous valser grand-père,Tout comme au bon vieux tempsQuand vous aviez vingt ansSur un air qui vous rappelleCombien la vie était belle,Pour votre anniversaire
Voulez-vous danser grand-mère
Comme la joie est immense
On fait jouer au phono
Le disque d'une romance
Aux accents doux et vieillots
Alors oubliant leurs rides
En souvenir du passé
Les deux aïeux se décident
Et s'enlacent pour danser :
Refrain
Source : LyricFind
Paroliers : Alex BADOU / Jean Bernard Neuburger / J R Baltel
Paroles de Voulez vous danser grand-mère © Les Nouvelles Editions Meridian
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