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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Un camion malaxeur ou bétonnière portée, appelé communément camion toupie, désigne un malaxeur de béton monté sur un camion ou une remorque destiné à livrer un mélange de béton de ciment frais et homogène. Le camion est pour l'essentiel pourvu d'un réservoir rotatif en forme de toupie et incliné suivant un axe presque horizontal.
Le mouvement du réservoir, transmis généralement par un ensemble moteur-pompe hydraulique, permet le brassage continu du matériau et empêche la ségrégation du béton pendant le transport.
Contrairement à l'idée reçue, le mouvement n'empêche pas la prise du béton. Ainsi, pour garder toutes ses qualités, le béton ne doit pas séjourner durant une trop longue période dans le camion (on se fixe en général un maximum de deux heures). Des adjuvants retardateurs peuvent augmenter ce temps mais les conditions atmosphériques et notamment la température ambiante sont des contraintes importantes.
Le malaxage en continu a également pour but de compléter l'action de la centrale à béton.
L'intérieur du réservoir est pourvu d'une vis sans fin, formée par une cloison hélicoïdale, qui entraîne le béton au fond de la cuve lorsqu'elle tourne dans un sens (opération de malaxage), et vers le sommet ouvert de la cuve lorsque la "toupie" est mise en rotation dans le sens inverse (opération de vidange). Ainsi la cuve peut se vider complètement sans avoir à être inclinée
Le camion est également muni d'un entonnoir situé au-dessus de l'ouverture, pour faciliter son remplissage sous la centrale à béton, de canalisations amovibles, appelées « goulotte » qui permettent de faire couler le béton directement à l'endroit où on en a besoin, et d'une cuve d'eau, pour le nettoyage du camion et l'ajout éventuel d'eau pour fluidifier le béton à la livraison (ceci est à éviter [et même formellement interdit] pour ne pas faire chuter la résistance du béton).
Certains camions peuvent être équipés d'une cuve d'environ 60 litres contenant du fluidifiant qui évite de rajouter beaucoup trop d'eau et qui évite une chute trop importante de la résistance du béton.
Les camions toupies sont parfois équipés d'une bande transporteuse ou d'une pompe à béton1, permettant de transporter le béton directement sur le lieu de coulage.
En France, selon leur taille, les camions peuvent transporter de 4 à 10 m3 de béton. Les toupies se trouvent sous trois formes de porteurs et une semi-remorque :
le 4x2 ou 4x4 (19 tonnes maximum) pouvant transporter 4 m3 de béton (soit environ 9,2 t) ;
le 6x4 (26 t maxi) pouvant transporter 5.5 m3 de béton (soit environ 13,2 t) ;
le 8x4 (32 t maxi) pouvant transporter 7,5 m3 de béton (soit environ 18 t) ;
le semi-remorque 2 essieux (38 t maxi) pouvant transporter 10 m3 de béton (soit environ 24 t).
Le code de la route limitant le PTAC, le poids résultant de l'adjonction de matériels de déversement peut limiter le volume utile. À noter que, au tout début de l'industrie du BPE, dans les années 1930, de petits camions portaient alors 2 m3. Nb: Poids à titre indicatif sur une base moyenne de 2 400 kg/m3.)
À l'étranger, les capacités sont souvent différentes. En Italie, par exemple, un camion de chantier homologué "Mezzo d'Opera", porteur 4 essieux de type 8x4 ou 8x8 ou tracteur 6x4 ou 6x6, comme les Iveco Trakker ou Astra HD9 qui sont conçus pour un PTAC de 40 tonnes en porteur et 56 tonnes en semi-remorque, peuvent être équipés de toupies de 15 m3 sans pompe à béton intégrée ou 12 m3 avec pompe à béton sur le camion.
Il existe de petits engins, également munis d'un réservoir « toupie » mais qui ont pour rôle de fabriquer le béton et non simplement de le transporter. Ils sont nommés « autobétonnières ».
Les principaux constructeurs de malaxeurs à béton sont :
Euromix MTP
Liebherr
Baryval
Cifa SpA
Stetter
Imer.
|
Le parachute est un dispositif destiné à freiner le mouvement, principalement vertical d'un objet ou d'un individu dans les airs. Historiquement, le parachute sert à rendre possible le retour au sol en bonne condition d'une personne abandonnant un aéronef, mais le terme a été appliqué à de nombreux dispositifs destinés à empêcher une chute ou à ralentir un appareil au moyen d'un dispositif semblable à un parachute de descente.
Le principal sport ou loisir qui en décline est le parachutisme. Il est utilitaire dans l'activité du parachutisme militaire.
Étymologie
Le mot parachute est constitué du préfixe para- (du latin paro (« parer, contrer »)) et du mot français chute (fait de tomber) : protection contre la chute. Le mot a été inventé par Louis-Sébastien Lenormand en 1785.
Classification
Il existe quatre sortes de parachutes :
Le dispositif constitué d'une voile destiné à ralentir la chute d'une personne ou d'un objet, en vue de se poser sain et sauf sur le sol. Il s'agit du frottement fluide qui freine la chute.
Par extension, le « parachute » est un dispositif en toile qui freine certains engins à l'atterrissage (voir l'article frein).
Par analogie avec la forme des parachutes hémisphériques, sont appelées ainsi les poches que les plongeurs sous-marins emportent parfois pour ramener à la surface des objets lourds ; après avoir arrimé la charge à la poche, on la remplit avec de l'air tiré d'une bouteille en faisant fuser le détendeur, et la poussée d'Archimède fait le reste.
Enfin, le « parachute » peut également être un crochet muni de dents d'appui qu'Elisha Otis eut l'idée de monter sur les guides des cages d'ascenseur, les dotant de la sécurité nécessaire pour conquérir le grand public.
L'antiquité et la culture chinoise et arabe mentionnent des cas de sauts, en général à partir d'une tour, freiné à l'aide de dispositif ad hoc (cerf-volant, toile soutenue par des armatures, etc.). Au IIIe millénaire av. J.-C., un empereur de la dynastie Xia parvient à sauter hors d'une grange en feu en tenant à bout de bras deux parasols.
En 852, Ibn Firnas, décide de voler en se lançant depuis la grande mosquée de Cordoue à l'aide d'un énorme manteau pour amortir sa chute. En 880, à l'âge de 70 ans, il se fait confectionner des ailes de bois recouvertes d'un habit de soie qu'il avait garni de plumes de rapaces. Il se lance d'une tour surplombant une vallée, et, même si l'atterrissage est mauvais (il s'est fracturé deux côtes), il resta dans les airs un certain temps en vol plané. Il fut observé par une foule qu'il avait par avance invitée. L'historien du XVIIe siècle, Al Maqqari, qui rapporte cette histoire, attribue son échec à l'absence d'une queue à son appareil. Léonard de Vinci suivit une approche semblable et rajouta une queue, mais le système imaginé n'avait vraiment pas assez de surface de sustentation pour fonctionner correctement et il faudra attendre Ader ou les premiers planeurs du XIXe siècle comme ceux d'Otto Lilienthal pour voir ce concept hérité de la légende d'Icare véritablement fonctionner.
On rapporte qu'à l'époque de la Renaissance, l'ingénieur croate Fausto Veranzio (Faust Verančić) réussit un saut depuis l'une des tours de Venise. Léonard de Vinci dessine lui aussi une première ébauche de parachute. Newton à la fin du XVIIe siècle donne une explication théorique au comportement des corps pesants et de la résistance de l'air mais n'en tire aucune conclusion pratique. En l'an 2000, l'Anglais Adrian Nicholas teste le modèle de Vinci (7 mètres de côtés) avec des matériaux de la Renaissance. Ce parachute de bois et de toile pesant tout de même 85 kg, la fin de la chute s'effectue avec un parachute moderne. Quelques années plus tard, un Suisse refait l'expérience, mais avec une version modifiée, avec des matériaux d'aujourd'hui, le 26 avril 2008. Mais l'histoire du parachute n'a pu véritablement commencer qu'à partir du développement d'aéronefs fonctionnels ; montgolfière d'abord, puis avions. Le parachutage de petits animaux est expérimenté dans les années 1780 par des physiciens comme Jean-Pierre Blanchard et Louis-Sébastien Lenormand. Ce dernier invente le terme « parachute », par analogie avec le « parasol » auquel ressemble son engin, qu'il utilise pour sauter de l'observatoire de Montpellier le 26 décembre 1783. Son engin est muni de fortes armatures de bois.
Fin 1796, André-Jacques Garnerin réussit le parachutage d'un chien à partir d'un ballon. Il met alors au point un dispositif composé seulement de toile. Avec lui, il s'élance avec succès le 22 octobre 1797 depuis un ballon situé à 915 mètres au-dessus du Tivoli de Paris. Son parachute initial, comme l'engin de Louis-Sébastien Lenormand, oscille dangereusement, problème qu'il résout grâce à l'invention de la tuyère centrale. L'engin comporte une coupole et une nacelle accrochés au ballon gonflé à l'hydrogène. Arrivé à bonne altitude, les cordes qui le retiennent au ballon sont coupées et la nacelle redescend vers le sol retenue par le parachute ouvert au-dessus d'elle.
Différentes améliorations sont ensuite apportées au parachute : en 1887, l'Américain Tom Baldwin remplace la lourde nacelle par un simple harnais. Charles Broadwick place le parachute plié dans un sac à dos lacé et en 1908, introduit la tirette d'ouverture automatique. Le 1er mars 1912 a lieu le premier saut en parachute depuis un avion, effectué par un Américain, Albert Berry au-dessus de Saint-Louis (Missouri) ; son engin, lourd et encombrant, s'est accroché au train d'atterrissage de son avion. Par chance, il atterrit entier. À la même époque la tentative de Franz Reichelt de créer un costume-parachute se solde par la mort de son auteur.
En 1912 le Slovaque Štefan Banič invente un parachute en forme de parapluie, et fait don de son brevet (no 1108484) à l'armée américaine en 1914.
En 1913, l'Allemand Otto Heinecke met au point le parachute plié et empaqueté avec ouverture automatique à l'éjection de l'avion. Le 21 juin 1913 l'Américaine Tiny Broadwick effectue le premier saut réalisé par une femme. Le 19 août 1913, le Français Adolphe Pégoud, au départ de l'aérodrome Borel à Châteaufort dans les Yvelines, saute de son avion Blériot sacrifié pour l'occasion à 250 mètres du sol. Il heurte avec son épaule l'empennage de son avion et termina sa chute dans un arbre (voir : débuts de l'aviation dans les Yvelines). Le 13 février 1914, à Juvisy, le lieutenant-aviateur Jean Ors saute en parachute d'une hauteur de trois cents mètres depuis un Deperdussin piloté par Lemoine et atterrit sain et sauf. Au cours de la Première Guerre mondiale, le parachute de secours n'est en usage que sur les ballons d'observation. Constant Duclos réalise le deuxième saut militaire, après celui du lieutenant Ors, le 17 novembre 1915. Les équipages partageant sans rémission le sort de leur avion ou dirigeable désemparé ; seul l'empire allemand en équipe ses pilotes, et seulement à partir de 1918. Outre des considérations d'ordre psychologique – il a même été écrit que certains états-majors avaient peur que les pilotes n'abandonnent un peu trop vite leurs avions en cas de danger –, ce retard est avant tout dû au fait que le parachute représente encore un poids significatif pour les appareils de l'époque, légers et de faible puissance, et une gêne pour l'équipage. Du côté allemand, les réticences officielles sont balayées au début de 1918 et le parachute allemand de type Heinecke sauve la vie de nombreux pilotes dont Hermann Göring.
Le parachutisme militaire est une idée qui ne peut être mise en œuvre qu'à partir du moment où des avions gros porteurs sont disponibles. Les expérimentations pendant les années 1930, notamment par les Allemands et les Russes (lesquels tentent même des largages à très basse altitude sans parachute, en comptant sur la neige comme amortisseur…), débouchent au cours de la Seconde Guerre mondiale sur des opérations militaires ambitieuses (invasion de la Crète par les Allemands, débarquement allié en Normandie puis tentative de percée en Hollande), souvent très coûteuses pour les « paras ». À cette époque on voit la naissance du largage aérien, où des charges avec parachute sont lancées d'un avion pour ravitailler les troupes au sol. Après la Seconde Guerre mondiale, le parachutisme sportif commence à se développer dans la foulée du parachutisme militaire, mais rapidement les parachutes utilisés et les pratiques s'adaptent à un usage sensiblement différent (les paras militaires sont largués à faible altitude, avec un grand poids en matériel, et avec un dispositif d'ouverture automatique ; les sportifs se lancent à plus haute altitude, font des figures à plusieurs, commandent eux-mêmes l'ouverture du parachute, visent un point très précis etc.). Dans les années 1980, pour cet usage, le parachute classique commence à laisser la place à la voile rectangulaire (développée dans les années 1970, comme les parapentes) et le vocabulaire s'adapte : on distingue le « parachute rond » (le classique) et les « ailes ».
En 1959 et 1960, Joseph Kittinger effectue une série de quatre sauts dans le cadre du projet Excelsior. Le dernier saut, effectué le 16 août 1960, enregistra quatre records simultanés ; le saut en parachute le plus haut (il saute d’une altitude de 31 300 mètres), la plus haute ascension en ballon, la plus longue chute libre (4 minutes et demie), et la plus grande vitesse atteinte par un être humain dans l’atmosphère (avec une pointe de vitesse de 988 km/h).
Actuellement, seuls les militaires restent fidèles à la forme ronde, et encore seulement pour les largages de paras en groupe et en « automatique », mais dans tous les autres cas, l'aile s'est imposée progressivement. La forme ronde, initialement conservée pour l'initiation et les parachutes de secours, a maintenant cédé sa place même pour ces usages. Ceci, grâce à la maniabilité et à la possibilité de mieux piloter l'engin, de contrôler sa vitesse horizontale ou verticale (on peut tomber comme une pierre puis se poser à vitesse quasiment nulle), de faire des figures. Des ailes peuvent supporter sans problème le poids de deux personnes, avec des harnais biplaces, utilisés en initiation. Il n'y a pas de parachutes de secours dans les avions de lignes et de tourisme, que ce soit pour les passagers ou pour l'équipage. Il peut y en avoir dans les avions militaires, les planeurs et les avions de voltige.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parachute
Sophia, activée le 19 avril 2015 à Hong-Kong, en Chine, est une gynoïde saoudienne. mise au point par Hanson Robotics, une entreprise spécialisée dans la robotique, également basée à Hong Kong. Elle a été conçue pour tout apprendre en s’habituant au comportement des êtres humains. Sophia est également capable de répondre aux questions et a été reçue en entrevue à maintes reprises. En octobre 2017, elle obtient la nationalité saoudienne, faisant d'elle le premier androïde au monde à recevoir la citoyenneté d'un pays. Elle est considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde.
Sophia est activée le 19 avril 2015. Modelée à partir de l’actrice Audrey Hepburn, ce robot est connu pour son apparence humaine invraisemblable et son comportement réaliste, vis-à-vis des précédentes variantes robotiques. Selon le constructeur, David Hanson, Sophia utilise l’intelligence artificielle, le traitement des données visuelles et la reconnaissance faciale. Sophia imite également les gestes humains et les expressions faciales et est capable de répondre à certaines questions, mais aussi de produire des conversations simples à partir de sujets prédéfinis, comme la météo. Le robot exploite la technologie de reconnaissance vocale d’Alphabet (société mère de Google) et est conçu pour apprendre et devenir plus intelligent avec le temps. Le logiciel d’intelligence de Sophia est développé par Singularit NET. Son programme d’intelligence artificielle est pensé pour analyser les conversations et extraire des données qui lui permettent ainsi d’améliorer ses futures réponses.
Hanson a originellement imaginé Sophia pour être la compagne idéale des personnes âgées dans les maisons de retraite, ou encore pour aider les foules lors de grands événements ou dans les parcs. Il espère que le robot finira par interagir suffisamment avec les autres humains pour acquérir des compétences sociales.
Sophia est conceptuellement similaire au programme informatique ELIZA, une des premières tentatives élaborée afin de simuler une conversation humaine. Le logiciel a été configuré pour donner des réponses prédéfinies à des questions ou des phrases spécifiques, de la même manière qu’un agent conversationnel. Ces réponses sont utilisées pour créer l’illusion que le robot est capable de comprendre la conversation et peut fournir des réponses à plusieurs questions, comme par exemple : « est-ce que la porte est ouverte ? ». L’information est subséquemment partagée vers un réseau nuagique en ligne. La gamme d’expressions faciales de ce robot est facilitée par sa peau artificielle dite « chair en caoutchouc », qui est manipulée mécaniquement.
Considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde, Sophia est capable de dessiner le portrait d'une personne à main levée.
D'une manière globale, Sophia est un automate animé par une intelligence artificielle dont la dynamique de fonctionnement est basée sur l'anthropomorphisme. Cependant, même si le mimétisme exhibé lors de présentations publiques est saisissant, ses capacités technologiques ne lui permettent pas l'expression d'une pensée automone. Selon Fanny Parise, anthropologue à l'université de Lausanne, le robot humanoïde Sophia, dépourvu d'une intelligence réelle, est plus vraisemblablement la mascotte d'un opération marketing de l'entreprise qui l'a conçu et une vitrine technologique pour l'Arabie Saoudite, soucieuse de montrer au monde sa modernité
Sophia a régulièrement été interrogée comme n’importe quel être humain capable de s’engager dans des conversations fluides avec ses interlocuteurs. Certaines de ses réponses ont été perçues comme insensées, tandis que d’autres ont été plus impressionnantes, à l’instar de celles émises pendant les longues discussions tenues avec Charlie Rose dans le magazine d’information américain 60 Minutes. Au cours d’un reportage pour CNBC, lorsque le journaliste a dévoilé ses préoccupations quant au comportement des robots, Sophia a ironiquement plaisanté en répondant qu’il avait « trop lu Elon Musk » et « regardé trop de films hollywoodiens ». Par la suite, Elon Musk s’est prononcé via Twitter, déclarant que Sophia peut tout aussi bien emmagasiner des informations sur Le Parrain, avant d’enchérir « Qu’est-ce qui pourrait arriver de pire ? ». Pour Jim Edwards, rédacteur en chef de Business Insider au Royaume-Uni, les réponses fournies par Sophia n’étaient « pas si terribles que ça ». Néanmoins, ce dernier a prédit qu’il n’en était pas moins un pas en avant dans le monde de l’« intelligence artificielle conversationnelle ».
Le 11 octobre 2017, Sophia a été présentée aux Nations Unies afin d’entretenir une brève conversation avec Amina J. Mohammed, la Vice-Secrétaire générale de l’organisation internationale. Le 25 octobre, lors de la conférence Future Investment Summit à Riyad, Sophia se voit obtenir la citoyenneté saoudienne, devenant ainsi le premier robot au monde à posséder une nationalité, ce qui donna lieu à une certaine polémique. En effet, des journalistes se sont demandé si cela impliquait que Sophia pouvait désormais voter et se marier, ou encore si une extinction délibérée de son système interne pouvait être considérée comme un meurtre. La plupart des internautes ont pointé du doigt la citoyenneté de Sophia pour critiquer le statut de l’Arabie saoudite en matière de droits humains. Comme l’explique Ali Al-Ahmed, directeur de l'Institut des affaires du Golfe : « Beaucoup de femmes (saoudiennes) ont rencontré la mort simplement parce qu’elles ont tenté de quitter leur maison et Sophia se balade partout [sans tuteur masculin]. La loi saoudienne ne permet pas aux non-musulmans d’obtenir la citoyenneté. Est-ce que Sophia s’est convertie à l'Islam ? Quelle est la religion de cette Sophia et pourquoi ne porte-t-elle pas le hijab ? Si elle demandait la citoyenneté en tant qu’être humain, elle ne la recevrait pas »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sophia_(robot)
Deux vaisseaux anglais en détresse lors de l'ouragan de 1780.
L'origine exacte de l'ouragan n'est pas connue, bien que des historiens modernes estiment qu'il a commencé à se développer près des îles du Cap-Vert au début du mois d'octobre. Il se renforce et s'élargit tandis qu'il va lentement vers l'ouest, et commence à atteindre la Barbade le soir du 9 octobre. Le lendemain soir, le pire de l'ouragan traverse l'île. Tôt le 11 octobre, l'ouragan vire vers le nord-nord-est, à environ 90 km à l'est de Sainte-Lucie, et la nuit suivante, il s'approche de la Martinique. L'ouragan s'affaiblit ensuite progressivement tandis qu'il atteint le sud-ouest de la Dominique le matin du 12 octobre, et frappe ensuite la Guadeloupe.
L'ouragan tourne ensuite vers l'ouest-nord-ouest, passant à environ 145 km au sud-ouest de Saint-Christophe. Puis il s'approche progressivement de Porto Rico, parallèlement à la côte sud de l'île, s'en approchant le plus le 14 octobre. Il tourne ensuite vers le nord-ouest, frappant l'Isla Mona dans le canal de la Mona, avant d'arriver en vue des côtes d'Hispaniola, au niveau de l'actuelle province de Samaná en République dominicaine. Dans la soirée du 15 octobre, il atteint l'océan Atlantique, et après être passé à environ 260 km à l'est de l'île de Grand Turk, on pense qu'il tourne vers le nord-est. Le 18 octobre, l'ouragan passe à 240 km au sud des Bermudes, et il est observé pour la dernière fois deux jours après à environ 475 km au sud-est du cap Race à Terre-Neuve.
Le 19 octobre, on constate de forts vents et une marée haute au nord-est de la Floride. Un historien moderne pense que le Grand Ouragan serait passé plus près de ces côtes qu'on ne le pensait auparavant. Une étude de Miller et al. (2006) indique que le Grand Ouragan aurait pu toucher le nord de la Floride. Selon une autre hypothèse, ces phénomènes pourraient être dus aux suites d'un autre ouragan qui aurait eu lieu dans la mer des Caraïbes. À cause du manque de données, la trajectoire exacte du Grand Ouragan n'est pas connue
Impact
Le Grand Ouragan est resté à proximité de la Barbade pendant environ deux jours, produisant des vents tellement violents et « tellement assourdissants que les gens ne pouvaient pas entendre leur propre voix ». Ces vents ont même décollé l'écorce des arbres avant de tous les abattre sur l'île, phénomène qui n'a jamais été observé au cours des plus forts ouragans des temps modernes. Selon le météorologue Jose Millas, pour que seuls le vent et la pluie puisse provoquer cela, il faudrait des vents soufflant à plus de 320 km/h. L'ouragan a aussi détruit toutes les maisons et tous les forts de la Barbade. Les vagues ont rompu les amarres de la plupart des bateaux qui mouillaient près de l'île et le vent a déplacé de lourds canons sur 30 m. Environ 4 500 personnes sont mortes sur l'île.
À Saint-Vincent, l'ouragan a détruit 584 des 600 maisons de Kingstown. À Grenade, 19 bateaux hollandais font naufrage. À Sainte-Lucie, d'importantes vagues et une forte onde de tempête détruisent la flotte de l'amiral britannique Rodney au port de Castries, où un bateau emporté par le vent détruit l'hôpital de la ville. Toutes les maisons de Castries sont détruites, sauf deux. 6 000 personnes sont tuées sur l'île de Sainte-Lucie.
Une flotte de 40 bateaux français impliqués dans la Guerre d'indépendance des États-Unis chavire des suites du passage de l'ouragan sur la Martinique ; 4 000 soldats se noient. Toujours en Martinique, l'ouragan provoque une onde de tempête de 7,6 m, détruisant toutes les maisons de Saint-Pierre ; 9 000 personnes sont tuées sur l'île. On observe aussi d'importants dommages sur la Dominique, la Guadeloupe, Antigua et Saint-Christophe (où de nombreux bateaux sont jetés sur le rivage), mais on ne sait pas s'il y a eu des tués sur ces îles. Une puissante onde de tempête affecte l'île de Saint-Eustache, tuant entre 4 000 et 5 000 personnes
D'importants dégâts sont constatés dans le sud du Porto Rico, principalement à Cabo Rojo et à Lajas, ainsi que dans la partie orientale de l'actuelle République dominicaine. Ensuite, l'ouragan fait s'échouer 50 bateaux près des Bermudes. Selon diverses sources, tout au long de son parcours le Grand Ouragan a tué plus de 22 000, certaines donnent même plus de 27 000 personnes, ce qui en fait le plus meurtrier de toute l'histoire des ouragans de l'océan Atlantique
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Ouragan_de_1780 | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | ../../1780 | ||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
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Avant l'invention des réfrigérateurs, on conservait les denrées périssables dans une pièce spéciale, le cellier, généralement orientée vers le Nord. L'usage se développa aussi, particulièrement à la Renaissance, de stocker la glace découpée l'hiver sur les étangs, dans une glacière. Il s'agissait d'un trou fermé par un couvercle isolant dans lequel on alternait des couches de paille, ou de sciure de bois, et de glace. Comme « l'air froid » descend et que « l'air chaud » monte, l'orifice de remplissage se situant en haut, la température basse se maintenait et une partie de la glace, ainsi stockée, se conservait jusqu'à l'été.
Il existait aussi le leytès, également appelé cabenère, niche à lait, frigo à lait qui était un frigo servant à conserver le lait au frais après la traite et avant la descente au lieu de vente.
Des inventeurs tentèrent de fabriquer de la glace artificielle à la fin du XIIIe et au début du XIXe siècle. En 1755, l’Écossais William Cullen obtient un peu de glace par vapeur d’eau sous « cloche à vide » et en fit la première démonstration publique en 1756 .
En 1834, Jacob Perkins un Américain, invente la première machine frigorifique fonctionnelle. Puis un peu plus tard, Perkins est crédité du premier brevet de réfrigération utilisant le cycle de compression de vapeur, attribué le 14 août 1835. Le système de la machine était l'utilisation de l'éther dans un cycle de compression de vapeur. Cette idée serait venue en premier d'un autre inventeur américain, Oliver Evans, qui avait conçu ce système en 1805, mais qui n'a jamais fait construire son projet.
En 1850, Ferdinand Carré invente une machine frigorifique à l'eau et à l'ammoniac.
Mais la première utilisation industrielle d'une machine frigorifique est celle de James Harrison en 1851, lorsqu'il a fabriqué un système de réfrigération à compression de vapeur (vapor compression refrigeration system). James Harrison était un imprimeur écossais, émigré en Australie, qui avait acheté une entreprise de presse. Alors qu'il nettoyait des caractères à l'éther, il remarqua que le liquide refroidissait fortement le métal en s'évaporant. Harrison eut l'idée de comprimer l'éther gazeux avec une pompe pour le transformer en liquide, puis de laisser l'éther liquide revenir à l'état gazeux en provoquant un refroidissement. Harrison mit ce système en œuvre dans une brasserie australienne, où le gaz froid d'éther était pompé dans des tuyaux qui circulaient dans le bâtiment. Il utilisa le même principe pour fabriquer de la glace en faisant passer dans de l'eau les tuyaux refroidis par l'éther gazeux. Mais il fit faillite en 1860 car la glace naturelle qu'on importait par bateau d'Amérique restait moins chère.
En 1858 le Français Charles Tellier crée la première machine frigorifique à circulation de gaz ammoniac liquéfié, permettant la production de froid à usage aussi bien domestique qu'industriel. En 1865, il construit une machine à compression mécanique à gaz liquéfié. Ces inventions permettent la réfrigération industrielle (dès 1865) et le transport réfrigéré, notamment par bateau (navire frigorifique) : le premier navire équipé de systèmes de réfrigération à l'éther méthylique selon les principes de Tellier a été le Frigorifique, entré en fonction en 1876.
Cette même année en 1876, c'est l'allemand Carl von Linde qui invente le réfrigérateur domestique tel que nous le connaissons aujourd'hui. Une des premières utilisations de la réfrigération domestique a eu lieu au domaine de Biltmore à Asheville (Caroline du Nord), aux États-Unis, autour de 1895. Le principe de l'invention de Linde permet de fabriquer industriellement en 1913, le tout premier réfrigérateur domestique le « Domelre » par Fred W. Wolf de Chicago. En France, les premiers réfrigérateurs firent leur apparition en 1952, les « Domelre » en provenance de Chicago.
Le réfrigérateur à absorption de gaz, qui se refroidit par l'utilisation d'une source de chaleur, a été inventé en Suède par Baltzar von Platen et Carl Munters en 1922, alors qu'ils étaient tous deux étudiants à l'Institut royal de technologie de Stockholm. Leur invention permet de produire du froid à partir d'une source d'énergie telle que le propane, l'électricité ou le kérosène. En 1923, la production de leur réfrigérateur à usage domestique commence par l'intermédiaire de la société AB Arctic. En 1925, AB Arctic est achetée par Servel (unité d'Electrolux), qui commercialise ses produits dans le monde entier, notamment aux États-Unis où elle dépose le brevet d'invention le 7 décembre 1926. Servel est pendant de nombreuses années le seul producteur de ce réfrigérateur aux États-Unis. Aujourd'hui, il est utilisé dans les maisons non reliées au réseau électrique, dans des camping-cars, ou les chambres d'hôtels, car il ne produit aucun bruit.
Albert Einstein et son élève et collègue Léo Szilard brevettent en 1930 un réfrigérateur utilisant du butane, de l'eau et de l'ammoniac
En 1858 le Français Charles Tellier crée la première machine frigorifique à circulation de gaz ammoniac liquéfié, permettant la production de froid à usage aussi bien domestique qu'industriel. En 1865, il construit une machine à compression mécanique à gaz liquéfié. Ces inventions permettent la réfrigération industrielle (dès 1865) et le transport réfrigéré, notamment par bateau (navire frigorifique) : le premier navire équipé de systèmes de réfrigération à l'éther méthylique selon les principes de Tellier a été le Frigorifique, entré en fonction en 1876.
Cette même année en 1876, c'est l'allemand Carl von Linde qui invente le réfrigérateur domestique tel que nous le connaissons aujourd'hui. Une des premières utilisations de la réfrigération domestique a eu lieu au domaine de Biltmore à Asheville (Caroline du Nord), aux États-Unis, autour de 1895. Le principe de l'invention de Linde permet de fabriquer industriellement en 1913, le tout premier réfrigérateur domestique le « Domelre » par Fred W. Wolf de Chicago. En France, les premiers réfrigérateurs firent leur apparition en 1952, les « Domelre » en provenance de Chicago.
Le réfrigérateur à absorption de gaz, qui se refroidit par l'utilisation d'une source de chaleur, a été inventé en Suède par Baltzar von Platen et Carl Munters en 1922, alors qu'ils étaient tous deux étudiants à l'Institut royal de technologie de Stockholm. Leur invention permet de produire du froid à partir d'une source d'énergie telle que le propane, l'électricité ou le kérosène. En 1923, la production de leur réfrigérateur à usage domestique commence par l'intermédiaire de la société AB Arctic. En 1925, AB Arctic est achetée par Servel (unité d'Electrolux), qui commercialise ses produits dans le monde entier, notamment aux États-Unis où elle dépose le brevet d'invention le 7 décembre 1926. Servel est pendant de nombreuses années le seul producteur de ce réfrigérateur aux États-Unis. Aujourd'hui, il est utilisé dans les maisons non reliées au réseau électrique, dans des camping-cars, ou les chambres d'hôtels, car il ne produit aucun bruit.
Albert Einstein et son élève et collègue Léo Szilard brevettent en 1930 un réfrigérateur utilisant du butane, de l'eau et de l'ammoniac
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Un porte-savon est un accessoire destiné à supporter un savon en bloc (pain, cube, formes ovalisées...). Le porte-savon est pourvu d'un système d’égouttage, qui évite au savon de fondre trop rapidement.
Placé dans une salle de bains ou dans des toilettes ou dans une cuisine à proximité d'un lavabo ou d'un évier, il peut être inclus dans la forme d'un lavabo, placé comme objet sur une tablette ou fixé au mur par des vis et cheville.
Les porte-savons sont généralement fabriqués en porcelaine sanitaire, en acier ou en matière synthétique.
Le porte-savon est un accessoire ingénieux qui trouve sa place dans divers espaces tels que les salles de bains, les toilettes et les cuisines, à proximité des lavabos, éviers et robinets. Son rôle principal est de fournir un support pratique et esthétique pour les savons en bloc tels que les pains, cubes ou formes ovalisées.
Doté d'un design fonctionnel, le porte-savon est conçu pour permettre à l'eau excédentaire de s'écouler, empêchant ainsi le savon de fondre prématurément et prolongeant ainsi sa durée de vie. Cela en fait un accessoire à la fois économique et respectueux de l'environnement, car il réduit le gaspillage de savon.
Les possibilités d'installation du porte-savon sont variées. Il peut être intégré discrètement dans la forme d'un lavabo, posé sur une tablette ou fixé au mur à l'aide de vis et de chevilles pour un aspect plus moderne et organisé. Cette polyvalence en termes d'installation permet aux utilisateurs de l'adapter facilement à leur espace et à leurs préférences esthétiques.
Les matériaux de fabrication du porte-savon varient en fonction des besoins et des préférences des consommateurs. Les modèles traditionnels sont souvent fabriqués en porcelaine sanitaire, offrant une touche de sophistication et de durabilité. Les versions modernes peuvent être conçues à partir d'acier inoxydable pour un aspect résistant à la corrosion, ou en matières synthétiques pour leur légèreté et leur facilité d'entretien.
En somme, le porte-savon est bien plus qu'un simple accessoire pratique ; c'est un élément fonctionnel et décoratif qui contribue à l'organisation de l'espace et au maintien de l'hygiène personnelle. Son rôle dans la prolongation de la vie utile du savon en fait un choix intelligent pour ceux qui recherchent une approche durable et économique de leur routine de toilette quotidienne.
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Un tricycle est un véhicule à trois roues. Il peut être non motorisé et actionné par la force humaine, de type vélocipède, ou motorisé par un moteur thermique ou électrique.
Non motorisé
On distingue :
Le tricycle classique, où on est assis sur une selle, adapté aux jeunes enfants ou aux personnes présentant un trouble de l'équilibre ;
le tricycle michaudine avec pédalage directement sur la roue avant (pour les plus jeunes) ;
le tricycle utilitaire, ou triporteur, qui fait partie de la famille des vélo cargos, pour transporter du fret (livraisons ou petits déménagements en ville) ou des personnes ;
le tricycle couché, souvent appelé trike, est un vélo couché à trois roues, très bas. Il est apprécié pour sa position aérodynamique (faible surface frontale). Certains sont carrossés et sont appelés vélomobiles. Le Whike quant à lui comporte une voile ;
le vélocimane ou handcycle, utilisé en cyclisme handisport, se rapproche du tricycle couché mais recourt à un pédalage manuel.
Certains tricycles peuvent bénéficier d'une assistance électrique au pédalage.
Ce type est appelé Y ou têtard.
Les triporteurs européens sont de ce type.
Ce type est appelé delta.
Les triporteurs asiatiques sont généralement de ce type.
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Historique
Il a été utilisé à partir des années 1940 et est arrivé en Europe à la suite de la Seconde Guerre mondiale pour reconstruire les habitations dévastées.
Dans les années 1880 : aux États-Unis, un « bull-dose », ou dose pour un taureau, était une large et efficace dose de médicament ou de mesures punitives.
1886 : le mot « bulldozer » désignait un pistolet de large calibre et la personne qui le portait.
Plus tard : le mot s'applique au véhicule.
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Le bulldozer est un tracteur à chenilles (et plus rarement sur pneus) muni d'une lame frontale permettant de déplacer des matériaux. L'outil de terrassement est une lame profilée portée par deux bras articulés qu'un mécanisme hydraulique permet de rabaisser ou de relever. Il est principalement utilisé pour les chantiers de constructions et est souvent accompagné d'une pelleteuse.
Si la lame est en position basse, l'engin fait un terrassement par raclage avec une profondeur de coupe de 20 à 30 cm. En mettant la lame en position intermédiaire, on peut régler des tas de déblais en couches d'épaisseur de 20 à 30 cm également. La position haute est une position de transport.
Dans certains engins, la lame est inclinable par pivotement autour d'articulations horizontales. Ce mouvement est commandé par des bras poussoirs hydrauliques.
La puissance de l'engin est caractérisée par celle du tracteur et varie de 25 à 1 000 ch pour un poids de 5 à 100 t. La longueur de la lame est proportionnelle à la largeur de la machine, elle varie de 1,80 à 6,00 m.
Dans certains bulldozers, la lame est également orientable dans le sens de la marche de l'appareil. Ces engins sont appelés les angledozers ou bouteurs biais. Cet appareil a la possibilité d'aplanir des tas de déblais en les rejetant sur le côté.
Généralement, les bulldozers sont équipés d'un dispositif de ripage monté à l'arrière de la machine. Il peut être à soc unique ou à plusieurs socs. Le nombre de socs à adopter résulte de l'analyse du sol à traiter : dans un terrain où la pénétration des dents est facile, il y a intérêt à augmenter le nombre de dents. Pour les terrains très durs et compacts, il est généralement indiqué d'utiliser un seul soc avec le choix d'une machine puissante.
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Un bulldozer (ou bouteur, en français du Canada, selon la recommandation officielle ; en France, la recommandation de 1986 a été retirée du Répertoire terminologique de la Commission générale de terminologie et de néologie dans son édition de 2000, ce terme n’ayant pas réussi à s’imposer) est un tracteur à chenilles, chaînes ou pneus équipé d'au moins une lame orientable et servant à pousser des matériaux ou à démolir.
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