Monde : France
L'éditorialiste Julie Graziani sur le plateau de "24 Pujadas" sur LCI, lundi 4 novembre 2019. (CAPTURE D'ÉCRAN / LCI)
Après ses propos polémiques sur les mères célibataires, l'éditorialiste Julie Graziani renvoyée du magazine "L'incorrect"
"La rédaction a décidé qu'en aucun cas Julie Graziani ne pouvait plus la représenter, à la télévision ni ailleurs, sur les réseaux sociaux ou dans quelques médias", explique le directeur du mensuel sur son site internet.
franceinfoFrance Télévisions
Mis à jour le 07/11/2019 | 10:17
publié le 07/11/2019 | 09:57
"Je cesse ma collaboration avec le magazine L'Incorrect. Effectif dès aujourd'hui." Dans un tweet lapidaire, Julie Graziani, éditorialiste "et polémiste", a annoncé jeudi 7 novembre la fin de son contrat avec le mensuel proche de l'extrême droite.
Sur son site internet, le magazine conservateur confirme la fin de sa collaboration avec Julie Graziani. "Après un délai de réflexion raisonnable, lui laissant à la fois le temps de revenir à la raison et de s’échapper hors la meute médiatique dans la dignité, la rédaction de L'Incorrect a décidé qu’en aucun cas Julie Graziani ne pouvait plus la représenter, à la télévision ni ailleurs, sur les réseaux sociaux ou dans quelques médias", écrit Jacques de Guillebon, le directeur de la rédaction. L'Incorrect précise également que Julie Graziani n'a "par ailleurs jamais été salariée du journal".
Des propos réitérés sur les réseaux sociaux Lundi 4 novembre, invitée de l'émission "24 Pujadas" sur LCI, la chroniqueuse réagissait au témoignage d'une femme célibataire face à Emmanuel Macron lors d'un déplacement à Rouen. "Seule avec deux enfants, au smic, je ne vois pas trop comment on peut s'en sortir", déplorait-elle. "Qu'est-ce qu'elle a fait pour se retrouver au smic ? Est-ce qu'elle a bien travaillé à l'école ? Est-ce qu'elle a suivi des études ? Et puis si on est au smic, il ne faut peut-être pas divorcer non plus dans ces cas-là", avait estimé Julie Graziani.
pour aider Patrick Balkany à payer sa caution
Le Bal du moulin de la Galette est une huile sur toile du peintre impressionniste français Auguste Renoir, réalisée en 1876. Le tableau actuellement conservé au musée d'Orsay, à Paris a été acquis en 1894 par legs du peintre et collectionneur Gustave Caillebotte. Il mesure 131 × 175 cm. La scène, éclairée par une lumière qui passe à travers les feuilles, se déroule au moulin de la Galette, sur la butte Montmartre, à Paris.
La scène se déroule en plein air, contrainte que s'imposaient les impressionnistes, un dimanche après-midi, un jour de beau temps au moulin de la Galette à Montmartre. Les personnes présentes dans la scène sont des amis du peintre : modèles, peintres, habitués du lieu, parmi lesquels on reconnaît l’écrivain Georges Rivière, les peintres Norbert Gœneutte et Franc-Lamy qui sont installés à la table du premier plan et une dénommée Estelle qui est assise sur le banc ainsi que Frédéric Samuel Cordey. Renoir représente ainsi sur sa toile une foule joyeuse de personnes de tous les milieux sociaux, qui partagent du bon temps, dansent à gauche, bavardent à droite, fument et boivent.
On peut définir trois plans : au premier plan, on a la discussion des personnes assises, au deuxième plan les danseurs et au troisième plan des bâtiments où l’on aperçoit l’orchestre.
Au lieu d’utiliser, comme le font la plupart des peintres, la netteté au premier plan puis progressivement un flou, le flou est présent partout et la seule distinction de profondeur se fait par la taille des personnes représentées. Renoir décide de représenter cette scène dans une ambiance bleutée parsemée de taches de lumière réparties inégalement comme si elles traversaient le feuillage des arbres pour parvenir à la foule. C’est grâce à la lumière que Renoir fait ressortir ses personnages, par exemple le couple à gauche de la scène semble être entouré de lumière au sol et la robe rose clair de la femme renforce cet effet et les met en avant. Renoir utilise des couleurs pastel plus ou moins vives à certains endroits.
« Pendant toute la durée de l'exécution du Moulin de la Galette, Renoir s'installa dans une vieille bicoque de la rue Cortot. »
Elle a été présentée à la troisième exposition impressionniste en avril 1877. À cette occasion, le critique d'art Georges Rivière écrivit au sujet de cette toile : « C'est une page d'histoire, un monument précieux de la vie parisienne, d'une exactitude rigoureuse. »
La peinture est achetée en 1879 par Gustave Caillebotte, lui-même peintre et ami de Renoir, qui la lègue en 1894 à l'État français. Le tableau est maintenant conservé au musée d’Orsay, au niveau supérieur, salle 32.
Le tableau fait partie des « 105 œuvres décisives de la peinture occidentale » constituant le musée imaginaire de Michel Butor.
Autres versions
Renoir a peint une autre version du tableau, plus petite (78 × 114 cm), propriété de la collection privée Whitney et vendu en 1990 à un riche industriel japonais pour 78 millions de dollars, également possesseur du tableau de Vincent van Gogh, Portrait du docteur Gachet avec branche de digitale.
L'Origine du monde est un tableau de nu féminin réalisé par Gustave Courbet en 1866. Il s'agit d'une huile sur toile de 46 × 55 cm, exposée au musée d'Orsay depuis 1995
Le tableau représente le sexe et le torse d'une femme allongée nue sur un lit, les cuisses écartées, et cadré de sorte qu'on ne voit rien au-dessus des seins (en partie couverts d'un drap) ni en dessous des cuisses.
Bien que l’œuvre n'ait pas été exposée en public avant la fin du XXe siècle, elle est connue et décrite par les commentateurs du monde artistique et littéraire de son époque, et en premier lieu par Maxime Du Camp qui la voit, vers 1867, chez son premier propriétaire et la présente en ces termes :
« Dans le cabinet de toilette du personnage étranger, on voyait un petit tableau caché sous un voile vert. Lorsque l’on écartait le voile, on demeurait stupéfait d’apercevoir une femme de grandeur naturelle, vue de face, émue et convulsée, remarquablement peinte, reproduite con amore, ainsi que disent les Italiens, et donnant le dernier mot du réalisme. Mais, par un inconcevable oubli, l’artisan qui avait copié son modèle d’après nature, avait négligé de représenter les pieds, les jambes, les cuisses, le ventre, les hanches, la poitrine, les mains, les bras, les épaules, le cou et la tête. »
Un modèle anonyme qui suscite bien des fantasmes d’identité
Aucune source historique ne documente les circonstances de la réalisation du tableau par Courbet. Celui-ci n’en fait nulle part mention dans sa correspondance, et les témoignages de ses contemporains, qui sont rares et parcellaires, n’apportent aucune certitude formelle sur l’identité du modèle. Pour autant, les spéculations sont allées bon train, amplifiées depuis que le tableau est entré dans les collections publiques, comme si l’anonymat du modèle était particulièrement insupportable et/ou un puissant stimulant de fantasmes pour les enquêteurs. C’est ainsi qu’une multitude d’hypothèses, plus ou moins sérieuses et étayées, ont voulu donner un nom, et surtout un visage, à ce sexe anonyme.
Le Déjeuner sur l'herbe est un tableau d'Édouard Manet achevé en 1863, d'abord intitulé Le Bain, puis La Partie carrée. Exposé brièvement pour la première fois au Salon des refusés le 15 mai 1863 puis décroché, re-exposé l'année suivante non sans scandale en marge du Salon, il entra dans le patrimoine public en 1906 grâce à la donation du collectionneur Étienne Moreau-Nélaton.
La brutalité du style et surtout la juxtaposition d'une femme nue « ordinaire », regardant le public, et de deux hommes tout habillés, ont suscité un scandale autant esthétique que moral et des critiques acerbes lorsque l'œuvre a été proposée au Salon. Manet bouscule en effet le bon goût des bourgeois qui visitent les expositions et tue d'une certaine manière la peinture mythologique. Cette toile peut ainsi être considérée comme l'une des premières œuvres de la peinture moderne
Le Radeau de La Méduse est une peinture à l'huile sur toile, réalisée entre 1818 et 1819 par le peintre et lithographe romantique français Théodore Géricault (1791-1824). Son titre initial, donné par Géricault lors de sa première présentation, est Scène d'un naufrage. Ce tableau, de très grande dimension (491 cm de hauteur et 716 cm de largeur), représente un épisode tragique de l'histoire de la marine coloniale française : le naufrage de la frégate Méduse. Celle-ci est chargée d'acheminer le matériel administratif, les fonctionnaires et les militaires affectés à ce qui deviendra la colonie du Sénégal. Elle s'est échouée le 2 juillet 1816 sur un banc de sable, un obstacle bien connu des navigateurs situé à une soixantaine de kilomètres des côtes de l'actuelle Mauritanie. Au moins 147 personnes se maintiennent à la surface de l'eau sur un radeau de fortune et seuls quinze embarquent le 17 juillet à bord de L’Argus, un bateau venu les secourir. Cinq personnes meurent peu après leur arrivée à Saint-Louis du Sénégal, après avoir enduré la faim, la déshydratation, la folie et même l'anthropophagie. L’événement devient un scandale d'ampleur internationale, en partie parce qu'un capitaine français servant la monarchie restaurée depuis peu est jugé responsable du désastre, en raison de son incompétence.
Le Radeau de La Méduse présente une certaine continuité avec les courants picturaux antérieurs au romantisme, notamment dans le choix du sujet et le caractère dramatique de la représentation, mais rompt de manière nette avec l'ordre et la quiétude de la peinture néo-classique. En choisissant de représenter cet épisode tragique pour sa première œuvre d'importance, Géricault a conscience que le caractère récent du naufrage suscitera l'intérêt du public et lui permettra de lancer sa jeune carrière. Cependant, l'artiste s'est également pris de fascination pour cet événement, et réalise ainsi d'abondantes recherches préparatoires et plusieurs esquisses avant d'entamer la création du tableau. Il rencontre en effet deux des survivants de la catastrophe, construit un modèle réduit très détaillé de la structure du radeau, et se rend même dans des morgues et des hôpitaux afin de voir de ses propres yeux la couleur et la texture de la peau des mourants.
Ainsi que Géricault le pressent, le tableau provoque la controverse lors de sa première présentation à Paris, au salon de 1819 : certains s'en font les ardents défenseurs, tandis que d'autres le fustigent immédiatement. Peu après, l’œuvre est exposée à Londres, ce qui achève d'établir la réputation du jeune peintre en Europe. Aujourd'hui, elle compte parmi les œuvres les plus admirées du romantisme français, et son influence est perceptible dans les créations de peintres tels que Joseph William Turner, Eugène Delacroix, Gustave Courbet ou encore Édouard Manet. Le tableau, qui souffre d'un assombrissement irréversible dû à un apprêt au bitume de Judée ou à une huile rendue trop siccative par un ajout abondant d'oxyde de plomb et de cire, est conservé au musée du Louvre, qui l'achète à un ami de l'artiste peu après sa mort en 1824.
Quand on arpente les allées du Louvre, on a souvent l’impression que l’on ne pourra jamais tout voir… Et c’est un peu vrai ! En effet, le Louvre est le plus grand musée du monde et il faudrait environ quatre jours complets (soit 96 heures) pour visiter tout ce musée à raison de 10 secondes devant chaque oeuvre. Une affaire pas si facile quand on ne lui consacre pas tout le temps qu’il mériterait.
De plus, comment rester seulement dix secondes devant des chefs-d’oeuvres comme La Venus de Milo, La Liberté guidant le peuple de Delacroix, La Joconde, ou encore Les Noces de Cana ? Prêt à vous lancer le défi de tout découvrir ?
* Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soit des interrogations importantes sur la capitale, son histoire ou ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société. Avec ses “Le saviez-vous”, Paris ZigZag essaie de lever le mystère sur tout ce que l’on a toujours voulu savoir sans jamais oser le demander…
Le 16 septembre 1792 au soir, des gardes patrouillant sur la place de la Révolution se rendent compte que des individus se trouvent à l’intérieur du Garde-meuble de la Couronne. Dans ce bâtiment est entreposé le plus grand trésor français : près de 9000 diamants et d’innombrables pierres précieuses amassés par les rois de France depuis François 1er. Le constat est édifiant, la scène improbable : les bijoux ont presque tous disparu, remplacés par des cadavres de bouteilles, des restes de nourriture… et des prostituées. Retour sur ce spectaculaire cambriolage.
Le Garde-meuble de la Couronne, entrepôt du trésor royal Construit entre 1757 et 1774, ce grand bâtiment situé sur la place de la Révolution (ancienne place Louis XV, devenue place de la Concorde) est l’oeuvre d’Ange-Jacques Gabriel, premier architecte du roi, également constructeur de la place attenante. La bâtisse abrite, depuis 1772, le Garde-meuble de la Couronne, chargé de la gestion du mobilier et des objets d’art destinés à l’ornement des appartements royaux. Depuis le retour du roi Louis XVI à Paris le 6 octobre 1789, les bijoux de la Couronne y sont également conservés.
L’ancien garde-meuble national, place de la Concorde. Paris (VIIIème arr.). Lithographie de Villain d’après Bacler d’Albe (vers 1830). Bibliothèque historique de la ville de Paris. © Maurice-Louis Branger / Roger-Viollet Ce bâtiment contient donc un trésor exceptionnel, tant par sa valeur financière qu’historique : des diamants, joyaux et pierres précieuses parmi les plus rares du monde, accumulés au fil des siècles par les souverains français. Parmi ces milliers de bijoux, se trouvent le “Bleu de France”, le plus gros diamant bleu connu ou encore le “Sancy”, considéré comme l’un des plus purs diamants blancs d’Europe. Mais la pièce la plus remarquable de la collection est le “Régent”, le plus gros et pur diamant du monde.
Le plus grand casse de l’Histoire de France L’affaire débute dans la nuit du 11 au 12 septembre 1792. Ce soir là, une bande de malfrats menés par Paul Miette, professionnel du cambriolage libéré de prison pendant les massacres de Septembre, s’introduit dans le Garde-meuble. Sans que personne ne vienne les déranger, ils s’emparent de centaines de bijoux et des plus grosses gemmes de la Couronne, dont le “Régent”.
Le lendemain, un autre groupe s’introduit dans le bâtiment et y dérobe d’autres bijoux. Les deux soirs suivants, toute la pègre parisienne y fera son marché, profitant de l’occasion pour festoyer allègrement. Il faudra attendre le 16 septembre au soir pour que les gardes chargés de la protection du trésor, alertés par la présence de voleurs enivrés et bruyants, ne se rendent compte de l’effraction.
Exécution de Louis XVI sur la place de la Révolution, où ont été guillotinés les voleurs des joyaux de la Couronne de France Pris en flagrant délit, les poches remplies de pierres précieuses, quelques brigands dénoncent des complices. 17 personnes seront accusées, 12 seront condamnées à mort, mais seulement 5 seront effectivement exécutées le 13 octobre 1792. Paul Miette, cerveau avéré de l’affaire et probable détenteur du “Régent”, échappera non seulement à la guillotine, mais sera intégralement relaxé. Une décision qui surprend et ouvre la porte à une multitude de théories.
Qui est à l’origine de ce vol rocambolesque ? Comment l’intendant du Garde-Meuble a-t-il pu ne pas entendre les voleurs alors que son logement se trouve dans le bâtiment ? Pourquoi le lieu n’était-il pas plus protégé ? Pourquoi le ministre de l’Intérieur Roland de La Platière n’a-t-il pas répondu aux demandes de l’intendant qui réclamait un renfort de quarante hommes ? Y a t-il eu une volonté de ne pas intervenir pendant le vol ? Les questions ne manquent pas et, dans ce contexte de confusion insurrectionnelle, tout le monde semble accuser son voisin.
Jean-Louis Prieur (le jeune) (1759-1795). “Pillage des armes au garde-meuble, place Louis XV, le 13 juillet 1789”. Paris, musée Carnavalet. © Musée Carnavalet / Roger-Viollet Pour certains, la relaxe de Paul Miette s’expliquerait par le rôle joué par le ministre de la justice Danton. Ce dernier aurait manipulé le voleur afin qu’il s’empare des bijoux, puis se serait servi des joyaux pour soudoyer le duc de Brunswick pour qu’il laisse la victoire à la France lors de la bataille de Valmy. Pour d’autres, le vol des bijoux de la Couronne aurait été commandité par les Anglais. D’autres encore soupçonnent le gouvernement. Enfin, l’effraction peut simplement avoir été l’oeuvre de malfrats profitant du chaos généré par la Révolution… Plus de deux siècles après, les historiens n’ont toujours pas levé le voile sur l’affaire.
Danton, commanditaire présumé du vol des joyaux de la Couronne de France Où sont les joyaux aujourd’hui ? Dernière bizarrerie, et non des moindres, les trois quarts des diamants ont été retrouvés, dans des circonstances souvent inattendues et au quatre coins de France, dans les deux ans qui ont suivi l’affaire. Vendue par l’État en 1887, la collection est aujourd’hui dispersée. Seule une infime partie de ce trésor appartient encore à la France et est désormais entreposée dans la galerie d’Apollon du musée du Louvre.
Association pour aider Patrick Balkany à payer sa caution : "On le fait avec le cœur, on ne force personne"
Simone Roques, Levalloisienne à l'origine de cette association, affirme que "l'idée est venue de Levalloisiens qui parlaient entre eux" et qu'ils n'en ont "pas parlé" avec Patrick Balkany.
franceinfoRadio France
Mis à jour le 05/11/2019 | 22:42
publié le 05/11/2019 | 22:21
À Levallois, une "Association en soutien à Patrick Balkany" a été créée par trois Levalloisiens pour l'aider à payer la caution de leur maire. "On le fait avec le cœur, on ne force personne, ceux qui ne veulent pas participer ne participent pas", a déclaré mardi 5 novembre à franceinfo Simone Roques, à l'origine de cette association, dont elle déposé le statut lundi 4 novembre. "On aime notre maire, mais aussi l'homme. C'est quelqu'un de très généreux. On veut qu'il voie qu'on est là."
Lors de son audience mardi 5 novembre, Patrick Balkany et son avocat, Eric Dupond-Moretti, ont expliqué qu’il était difficile pour le prévenu de payer la caution de 500 000 euros fixée par la cour d’appel lundi 28 octobre, lors de sa première demande de remise en liberté liée à sa condamnation à quatre ans de prison pour fraude fiscale.
Isabelle Balkany "a validé" l'association Certaines personnes critiquent fortement cette association. "On s'y attendait. Ce qui est indigne, ce sont toutes les insultes." Simone Roques précise qu'elle n'a pas vu Patrick Balkany. "On n'a pas parlé avec lui, on ne sait même pas où il est. L'idée est venue de Levalloisiens qui parlaient entre eux. C'est notre idée, si elle ne plaît pas tant pis." Avant de créer l'association, Simone Roques a quand même demandé l'autorisation à Isabelle Balkany : "Elle a validé."
La deuxième demande de libération de Patrick Balkany, concernant sa condamnation à cinq ans de prison pour blanchiment de fraude fiscale, a été examinée par la cour d'appel de Paris mardi 5 novembre. La décision du tribunal sera connue le 13 novembre.