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Monde : France

François Bayrou mis en examen

Publié à 01:33 par dessinsagogo55 Tags : center paris france sommaire base monde centerblog sur
François Bayrou mis en examen

 

François Bayrou mis en examen pour complicité de détournement de fonds publics

 
Publié le 06/12/2019 à 22h48. Mis à jour à 22h56.

 

Le président du MoDem et maire de Pau a quitté ce vendredi soir le pôle financier du tribunal de Paris. Il est mis en examen pour complicité de détournement de fonds publics

 

Le président du MoDem et maire de Pau, François Bayrou, a été mis en examen ce vendredi pour complicité de détournement de fonds publics. Il était arrivé peu avant 9 h 30 au pôle financier du tribunal de Paris, accompagné de son avocat, pour être entendu par la juge Charlotte Bilger, chargée de cette enquête au long cours qui ébranle depuis plusieurs semaines le parti centriste.

Avant François Bayrou, une douzaine de responsables du mouvement avaient déjà été poursuivis dans cette affaire depuis la mi-novembre, parmi lesquels Michel Mercier, l’ancien garde des Sceaux du gouvernement Fillon, trésorier du MoDem jusqu’en 2009, Sylvie Goulard, l’éphémère ministre de la Défense du gouvernement Philippe et eurodéputée de 2009 à 2017, et Marielle de Sarnez, numéro 2 du MoDem et actuelle présidente de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale.

 

Les juges, qui enquêtent sur cette affaire depuis 2017, soupçonnent des collaborateurs d’eurodéputés MoDem d’avoir été rémunérés par des fonds du Parlement européen alors qu’ils étaient affectés à d’autres tâches pour le parti centriste, ce qui constituerait un système d’emplois fictifs. L’enquête, ouverte pour « abus de confiance » et « détournement de fonds publics », porte sur la législature 2009–2014 mais aussi, dans une moindre mesure, sur les précédentes.

 
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Les fâcheuses approximations de Darmanin et Ndiaye

Les fâcheuses approximations de Darmanin et Ndiaye

Retraite: les fâcheuses approximations de Darmanin et Ndiaye sur France 2

ANALYSE - Pour défendre la réforme des retraites au soir d’une mobilisation historique, le ministre des Comptes publics et la porte-parole du gouvernement ont développé jeudi dans l’émission «Vous avez la parole» plusieurs arguments erronés qui, il faut l’avouer, ne poussent pas à la clarté du débat. Pis, ils peuvent induire l’opinion en erreur.

Publié il y a 7 heures, mis à jour il y a 2 heures

Être ministre n’est pas un métier, c’est clair, mais cela peut parfois s’apparenter à un sacerdoce surtout quand les intéressés sont dépêchés sur les plateaux télé pour aller défendre une réforme dont ils n’ont pas la charge. Malgré toute la maîtrise et le talent (notamment de communication) qui les caractérisent, c’est ce qui est arrivé ce jeudi soir à deux jeunes talents du gouvernement, Gérald Darmanin et Sibeth Ndiaye, qui ont brillamment apporté le fer de la contradiction sur France 2 à une poignée de Français triés sur le volet (et censés être représentatifs de la grogne) sur la future réforme des retraites.

 

Parmi les deux heures et quelques qu’aura duré l’émission diffusée en direct sur France 2 et animée par le tandem Léa Salamé / Thomas Sotto, les deux ministres (respectivement de l’Action et des comptes publics, et porte-parole du gouvernement) ont en réponse à leurs contradicteurs quelques fois asséné des vérités qui, après examen, n’en sont pas. Et qui, affirmées comme elles l’ont été, non seulement induisent en erreur mais n’aident surtout pas à la compréhension du débat.

 

Darmanin et Ndiaye n’ont pas été les seuls toutefois à faire des approximations ou asséner des contre-vérités sans être une seule fois repris sur le plateau. Quasiment tous les participants à ce débat, à commencer par Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT (sur le système suédois, notamment), la directrice d’école quadra (sur la valeur du point, notamment) ou encore le syndicaliste Sud-Rail (dans à peu près chacune de ses prises de parole), y sont allés de leur intox/infox, le plus souvent par méconnaissance du sujet ou propagande politique mal renseignée. Quoi qu’il en soit, les deux ministres présents ne se sont pas laissés prier. Voici succintement trois exemples, parmi les plus notables de leurs approximations pendant le débat.

 
 
Darmanin assure que la pension des enseignants ne baissera pas
 

 

Cette affirmation, tout d’abord énoncée par Sibeth Ndiaye et reprise plus tard par Gérald Darmanin, est erronée car elle laisse penser qu’une femme sur cinq travaille jusqu’à ses 67 ans pour pouvoir bénéficier d’une pension complète, c’est-à-dire sans décote au motif qu’elle n’a pas suffisamment cotisé durant sa carrière pour pouvoir partir en retraite avant. Or ce n’est pas le cas. Les deux ministres confondent travail jusqu’à 67 ans et liquidation à 67 ans, ce qui n’a rien à voir. Si 20% des femmes liquident en effet leurs droits à retraite à 67 ans (parce qu’elles n’ont pas suffisamment cotisé pour le faire avant), toutes ne sont pas obligées de travailler jusque cet âge avancé, bien heureusement. Et surtout ne le font pas. Elles sont pour la plupart déjà inactives et attendent l’âge d’annulation de la décote, fixé à 67 ans depuis la loi Woerth de 2010, pour faire valoir leur droit à la retraite. La nuance est peut-être subtile mais elle est réelle.

 

● «Non, le président n’a pas menti en 2017 lorsqu’il a indiqué aux Français qu’il n’aurait pas besoin de faire de réforme financière des retraites au cours de son quinquennat car il se basait sur des prévisions du COR qui renvoyaient le déficit à la décennie 2040. Or la donne a changé il y a quelques mois quand le COR a constaté qu’il y aurait un déficit au début des années 2020»

Cette affirmation de Gérald Darmanin, en milieu d’émission, est là encore contraire à la vérité. Du moins partiellement. Le ministre de l’Action et des comptes publics dit vrai sur la première partie de la phrase. Lorsqu’Emmanuel Macron a bâti son programme en 2017 et indiqué qu’il n’aurait pas besoin de faire de réforme paramétrique/financière des retraites parce que le système n’afficherait pas de besoin de financement avant les années 2040, il ne faisait en effet que reprendre les prévisions alors disponibles du COR. Mais le conseil d’orientation des retraites -créé par Lionel Jospin en 2001 pour éclairer chaque année en juin le président de la République sur l’état des finances des régimes de retraite- a changé de braquet sitôt Emmanuel Macron installé à l’Élysée. Dès juin 2017, il a en effet fait état d’un besoin de financement finalement bien plus précoce que prévu jusqu’alors, c’est-à-dire dès la décennie 2020. Et il l’a répété en 2018 puis en 2019.

 

Pis, le comité de suivi des retraites (CSR), organe créé après la loi Touraine de 2014 pour indiquer au gouvernement les correctifs à apporter afin de ramener le système des retraites dans les clous en cas de dérapage annoncé, avait alerté Édouard Philippe et Emmanuel Macron sur l’obligation de boucher les trous dès... juillet 2017 (le CSR doit rendre son rapport annuel avant le 14/07 chaque année) et a répété son avertissement en 2018 et 2019. Rapports 2017 et 2018 du COR et du CSR que l’exécutif a ostensiblement ignorés par quatre fois donc (en cumulé), préférant faire l’autruche alors que tout indiquait que la promesse du président ne pourrait pas être tenue. Ce n’est qu’à l’été 2019, alors qu’on entrait dans le dur de la réforme systémique aux termes des quasi deux ans de concertation menées par Jean-Paul Delevoye avec la remise de ses préconisations le 18 juillet, que le gouvernement a semblé découvrir l’ampleur du trou à combler. Ce n’était pourtant pas faute de l’avoir alerté, à plusieurs reprises, depuis deux ans...

● «Le nombre de chômeurs a baissé de 500.000 en deux ans»

Là encore, Gérald Darmanin a fait une fâcheuse confusion quand, en réponse à une interpellation de l’avocat présent sur le plateau (avec lequel clairement le courant ne passait pas), il a affirmé que le nombre de chômeurs a baissé de 500.000 en deux ans. Pour le coup, c’est totalement faux. Si on prend les statistiques des inscrits à Pole emploi, les fameux DEFM communiqués désormais à un rythme trimestriel, la décrue depuis l’élection d’Emmanuel Macron est limitée à 126.600, soit plus de trois fois moins que ne le dit le ministre des Comptes publics. L’erreur est un peu moindre si on se réfère à la baisse du nombre de chômeurs au sens du BIT et comptabilisés par l’Insee: dans ce cas, le reflux est plus net (-313.000 depuis la fin du 2è trimestre 2017) mais pas au point d’approcher le demi-million annoncé.

 

En fait, Gérald Darmanin confond avec le nombre de créations d’emplois dans les entreprises qui, depuis l’élection d’Emmanuel Macron, dépasse effectivement les 500.000 (545.700 précisément depuis la mi-2017). Et c’est en l’occurrence plus une erreur qu’un mensonge intentionnel puisque le ministre de l’Action et des comptes publics l’a déjà affirmé dans ses prises de parole précédentes. Omettant alors simplement de rappeler que cette bonne tendance de l’emploi n’a pas démarré en mai 2017 avec l’élection du président de la République mais deux ans plus, début 2015, avec le virage de la politique de l’offre de François Hollande dont le ministre de l’Économie était à l’époque un certain... Emmanuel Macron.

 

 
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Réforme des retraites

Publié à 13:04 par dessinsagogo55 Tags : center video article paris centerblog place sur france monde merci
 
Réforme des retraites : grève encore massive dans les transports, nouvel appel à manifester mardi

La journée de vendredi s’annonce décisive pour la suite du mouvement de contestation. Les syndicats veulent garder la main face à l’exécutif, qui a prévu de s’exprimer au cours de la semaine prochaine.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 06h02, mis à jour à 12h37

 

 
 
 

C’est le jour d’après. Ragaillardie par la mobilisation massive contre la réforme des retraites, qui a vu au moins 800 000 personnes dans les rues de France le 5 décembre (1,5 million selon la CGT), l’intersyndicale interprofessionnelle (CGT, FO, Solidaires, FSU et organisations étudiantes et lycéennes, UNL, MNL et UNEF), réunie vendredi matin au siège de FO, a appelé à une nouvelle journée de grève et manifestations mardi 10 décembre.

La CFE-CGC, qui était représentée, n’a pas souhaité s’associer à cet appel. La centrale des cadres, qui avait rejoint le mouvement du 5 décembre en cours de route en appelant à manifester ce jour-là, attend désormais « la réponse du gouvernement » pour décider de la suite.

 

Les transports toujours très perturbés

Vendredi, les transports restent très perturbés : à la SNCF, 90 % de TGV et 70 % de TER ont été annulés. Le taux de grévistes au sein de la compagnie ferroviaire a atteint 55,6 % jeudi, du jamais-vu depuis 2007. A la RATP, la reconduction du mouvement a été votée jusqu’à lundi et dix lignes de métro sont fermées, comme jeudi.

 

Du côté de la route, alors que le périphérique francilien connaissait une accalmie inhabituelle jeudi, il est au contraire très perturbé vendredi, avec un cumul de bouchons exceptionnel de 347 kilomètres.

« 10 % de grévistes » dans les écoles vendredi

Au lendemain d’une mobilisation massive (51,15 % de grévistes dans les écoles, 42,32 % dans les collèges et lycées), la mobilisation est moindre, vendredi. Le taux de grévistes dans l’éducation nationale atteint « 10 %, peut-être un peu moins », a déclaré le ministre, Jean-Michel Blanquer, sur RMC et BFM-TV.

Côté universités, les syndicats qui ont appelé à la « première journée » de mobilisation étaient réunis vendredi pour « faire entrer le mouvement dans la durée », ont assuré leurs responsables, juste avant l’intersyndicale. La réunion se déroule dans les locaux de FO à Paris, avec des représentants de la CGT, FO, FSU, Solidaires, les organisations lycéennes FIDL, MNL, UNL et étudiante UNEF. La CFE-CGC, qui n’était pas organisatrice de la première mobilisation mais avait rejoint l’appel à manifester, s’est jointe vendredi à l’intersyndicale.

La direction de Lumière Lyon-II (lettres, langues, sciences humaines et sociales) a annoncé le maintien de la fermeture de ses deux sites à la suite d’un appel au blocage la veille par une assemblée générale étudiante.

 

Les partenaires sociaux reçus lundi

La ministre des solidarités, Agnès Buzyn, a annoncé vendredi matin qu’elle recevrait lundi avec le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, tous les partenaires sociaux. Et d’ajouter :

« En fonction de tout ce qui aura été remonté par ces concertations, ces négociations avec les partenaires sociaux sur les différents points, le premier ministre fera des annonces en fin de semaine prochaine pour dessiner les contours définitifs de cette réforme. »

Interrogée sur les concessions que pourrait faire l’exécutif, Mme Buzyn a déclaré qu’« il y a effectivement une discussion sur l’âge d’application, l’âge de bascule, quelle génération serait concernée, tout cela est encore sur la table »« Il reste des marges de négociation », avait assuré la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye.

 

Le « système par points » au cœur des critiques

A l’origine de la colère : le « système universel » par points censé remplacer à partir de 2025 les 42 régimes de retraites existants (général, des fonctionnaires, privés, spéciaux, autonomes, complémentaires). L’exécutif promet un dispositif « plus juste », quand les opposants redoutent une « précarisation » des retraités. Des sondages récents ont montré que le mouvement était majoritairement soutenu par les Français.

Seule la CFDT continue de soutenir l’idée d’un régime « universel ». Mais son secrétaire général, Laurent Berger, a regretté que « la logique qui prévaut », c’est « de se mettre (…) sur la figure avant de commencer à discuter ».

Le premier syndicat français pourrait cependant avoir été entendu sur un point dont il avait fait un casus belli : la mise en œuvre d’une mesure « paramétrique » (allongement de la durée de cotisation, mesure d’âge…) pour équilibrer les comptes avant le changement de système. L’une des grandes incertitudes concerne en effet la mise en place, à côté de la réforme structurelle, de mesures budgétaires destinées à résorber le déficit à venir du système, estimé à une dizaine de milliards d’euros en 2025.

 

Puisque l’exécutif ne veut ni augmenter les cotisations, ni baisser les pensions, ni relever l’âge légal de départ, il reste la possibilité d’allonger la durée de cotisation. « Il ne faut pas être bêtement budgétaire, pas tout de suite », a tempéré jeudi soir, sur France 2, le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin. « Notre proposition, c’est pas de baisser les pensions, c’est pas d’augmenter les cotisations, mais c’est de travailler plus longtemps, puisqu’on vit plus longtemps », a confirmé M. Darmanin tout en s’interrogeant :

« Est-ce qu’on est pressé au point qu’il faut le faire (…) dès l’année prochaine ? Il ne faut pas casser la réforme sociale que nous voulons porter (…) en faisant effectivement une réforme budgétaire immédiatement. »

Jusqu’à maintenant, l’entourage du premier ministre a toutefois plutôt défendu la mise en place d’un volet budgétaire, estimant qu’il fallait s’attaquer au déficit en même temps qu’au système de retraites dans son ensemble. Un report à 2021 des mesures d’économies, notamment, « n’est pas arbitré » à ce stade, assurait-on jeudi soir autour de M. Philippe.

 
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Grève du 5 décembre

Publié à 00:53 par dessinsagogo55 Tags : chez paris center centerblog monde annonce sur merci france nuit
Grève du 5 décembre

Grève du 5 décembre : TGV, TER, Intercités, Transilien... Retrouvez toutes les prévisions de trafic de la SNCF

La SNCF a fait le point sur vos conditions de circulation pour cette grande journée de mobilisation contre la réforme des retraites.

 

Une France à l'arrêt. C'est ce qui se profile, mercredi 4 décembre, à la veille de la grande journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Franceinfo fait le point sur vos conditions de circulation sur le réseau SNCF : 

>> Grève du 5 décembre : 6 000 policiers et gendarmes mobilisés pour encadrer le cortège parisien. Suivez la situation en direct

• Pour les TGV : la SNCF annonce un train sur dix, avec un léger mieux sur le Nord et l'Est, où un train sur six devrait circuler.

• Pour les TER : de fortes perturbations sont à prévoir sur tout le territoire. Il y aura 3 à 5% de trafic, complété par des cars (20-23% de trafic, au-delà de 40% dans certaines régions).

• Pour le Transilien : il y aura un train sur dix avec une priorité en heure de pointe. Pour les lignes A et D, il y aura deux trains par heure, mais aucun train sur les lignes R et U.

• Pour les Intercités : il n'y aura pas de train de nuit. En journée, seul un train sur dix circulera. Vers la Normandie par exemple, la SNCF n'assurera que deux allers-retours entre Paris, Rouen et Le Havre. La compagnie a annoncé mercredi qu'elle maintenait également un aller-retour vers l'Auvergne et un aller-retour vers la Corrèze.

 



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Castaner : "l'usage adapté et réglementaire" de la force

Publié à 00:15 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center video centerblog sur france monde article nuit message merci
Castaner : "l'usage adapté et réglementaire" de la force
 
Christophe Castaner appelle les policiers et gendarmes à "l'usage adapté et réglementaire" de la force
 04/12/2019 à 10h58
 
Invité sur BFMTV-RMC, le ministre de l'Intérieur a concédé qu'"il y a pu y avoir des fautes" dans l'usage de LBD et grenades de désencerclement.

Patrick Balkany annonce être candidat à sa succession

Publié à 15:11 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog livre sur plat france place monde article annonce
Patrick Balkany annonce être candidat à sa succession
 
Municipales: depuis sa cellule, Patrick Balkany annonce être candidat à sa succession à Levallois
 03/12/2019 à 13h27
 
Depuis sa cellule de la prison de la Santé, le maire de Levallois-Perret a fait part de son intention de se présenter aux élections municipales de 2020, indiquent des sources concordantes à BFMTV. Son épouse Isabelle livre un autre récit de cette annonce.

Blanquer réagit au classement Pisa

Publié à 14:56 par dessinsagogo55 Tags : sommaire monde center centerblog sur merci france
Blanquer réagit au classement Pisa

Blanquer réagit au classement Pisa: «Il faudrait rester ministre de l’Éducation pendant dix ans!»

INTERVIEW EXCLUSIVE - Le ministre estime que sa politique s’inscrit «dans le temps long» et qu’elle a déjà produit des résultats «à court terme», alors que la France stagne dans le dernier classement Pisa.

Par Caroline Beyer, Marie-Estelle Pech et Vincent Tremolet de Villers
Publié il y a 4 heures, mis à jour il y a 3 heures

Si les résultats de Pisa, ce classement international qui juge les résultats des élèves de 15 ans, ne sont pas glorieux pour la France, le ministre assure que sa politique va dans le bon sens. Il l’estime, point par point, «cohérente» avec les enseignements de Pisa. Alors que la réforme des retraites suscite l’inquiétude, le ministre promet une revalorisation de la rémunération des enseignants et une réflexion sur le métier.

 
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faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Publié à 14:20 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center centerblog france prix sur monde carte pouvoir
faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Blocages des dépôts pétroliers : faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Les professionnels du BTP bloquent des dépôts pétroliers pour protester contre la fin de l'exonération de taxe dont ils bénéficient sur le gazole non routier. Franceinfo fait le point sur leur revendication et leur mobilisation.

avatar
Kocila MakdecheAnne BrigaudeauFrance Télévisions

Mis à jour le 03/12/2019 | 12:00
publié le 03/12/2019 | 10:40

 

En plus des perturbations provoquées par la grève du 5 décembre, faut-il craindre une pénurie de carburant ? C'est le risque que font planer les professionnels du BTP. Ces artisans et entrepreneurs bloquent depuis le 29 novembre des dépôts pétroliers pour protester contre la fin de l'exonération de taxe dont il bénéficie sur le gazole non routier utilisé pour les appareils de chantier. Mercredi 3 décembre, les gendarmes sont intervenus pour libérer l'accès à un dépôt à Rennes (Ille-et-Vilaine).

 

La veille, les manifestants ont été reçus par Bruno Le Maire. Ils ont obtenu du ministre de l'Economie quelques avancées, mais Bercy leur a refusé un nouveau délai concernant la suppression de l'avantage fiscal pour le gazole non routier (GNR). Que réclament les professionnels du BTP ? Où se trouvent les stations-services fermées ? La pénurie risque-t-elle de perdurer jusqu'au 5 décembre ? Franceinfo fait le point.

Pourquoi les professionnels du BTP bloquent les dépôts pétroliers ?

Depuis le 29 avril, des professionnels du BTP bloquent des dépôts pétroliers avec leurs camions et leurs tracteurs, principalement dans l'ouest de la France. C'est en Bretagne que le mouvement est le plus conséquent, autour de Rennes notamment, où de nombreuses stations-services ne sont pas approvisionnées et sont donc fermées.

 

Les professionnels du BTP protestent contre la suppression d'un avantage fiscal dont ils bénéficiaient jusque-là : l'exonération de taxe sur le gazole non routier. Ce carburant, moins cher que celui que l'on trouve en station-service, est utilisé dans le secteur agricole et dans les travaux publics pour faire fonctionner les engins de chantier.

Dès septembre, la ministre de la Transition écologique et des Transports, Elisabeth Borne, avait dit la volonté du gouvernement de supprimer cette exonération de taxe pour les professionnels du BTP. Pour ces derniers, cette décision représenterait une hausse de 45% du prix au litre et donc une baisse de leur marge. De quoi pénaliser, selon eux, les plus petites entreprises du bâtiment au détriment des géants du secteur. "Cette augmentation va représenter jusqu'à 10% du chiffre d'affaire des entrepreneurs, c'est-à-dire plus que leur marge", explique à franceinfo David Lemaire, secrétaire nationale de la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP).

Concrètement, cela veut dire que de nombreuses entreprises ne seront plus viables.David Lemaireà franceinfo

Que répond le gouvernement ? 

A l'approche de la grève du 5 décembre, lors de laquelle d'importantes perturbations sont attendues sur le réseau ferroviaire et dans les régies de transports de grandes villes de France, les professionnels du BTP souhaitent mettre la pression sur le gouvernement. Ils réclamaient d'être reçus par le Premier ministre, mais ont finalement décroché lundi un rendez-vous à Bercy avec Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie.

A l'issue de cette réunion, la présidente de la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP), Françoise Despret, s'est félicitée de certaines avancées : "Nous avons obtenu un contrôle renforcé confié à la gendarmerie, un carburant spécifique avec une coloration pour le BTP, une liste des engins qui ne pourront employer que ce carburant." "Cette coloration spécifique permettra d'éviter le vol", tandis que la liste d'engins qui seront dans l'obligation d'utiliser le dit carburant "nous évitera la concurrence déloyale" provenant surtout d'agriculteurs, a-t-elle ajouté.

En revanche, Bercy n'a rien cédé sur leur demande de nouveau délai concernant la suppression de l'avantage fiscal pour le gazole non routier. Les entreprises réclamaient un délai de 10 ans pour pouvoir se tourner vers des engins de chantier plus propres. Mais le gouvernement tient à son calendrier, qui prévoit une disparition progressive de l'avantage fiscal sur le gazole non routier en trois paliers à partir du 1er juillet prochain et jusqu'en 2022.

"C'est vraiment une ligne rouge", indique-t-on à Bercy où on met en avant la nécessité de lutter contre les émissions polluantes. De plus, "on ne peut pas dissocier une entrée en vigueur pour les grandes et les petites entreprises. C'est juridiquement risqué. Par ailleurs, c'est très compliqué à mettre en œuvre", a précisé à l'AFP l'entourage du ministre de l'Economie.

Quelles stations-services sont à sec ?

Le mouvement de blocage a atteint son apogée, juste avant la réunion avec le ministre, avec de nombreuses stations-services à sec. Le 3 décembre, au matin, la pénurie de carburant était surtout en cours en Bretagne et plus ponctuellement dans la région Pays de la Loire, d'après la carte du site participatif Penurie.mon-essence.fr

 
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Fusil Charleville Modèle 1777

Publié à 00:18 par dessinsagogo55 Tags : center chien sur centerblog prix mer base merci saint monde papier pouvoir platine livre
Fusil Charleville Modèle 1777

Le fusil Charleville Modèle 1777 est une arme de guerre française conçue pendant le règne de Louis XVI par l'ingénieur Gribeauval, réputée pour sa production et son emploi massif sur les théâtres militaires européens (Révolution française, Vendée, guerres napoléoniennes) et également américains (Guerre d'indépendance des États-Unis, guerre anglo-américaine de 1812) de la fin du XVIIIe siècle au début du XIXe siècle. Il est progressivement remplacé, au gré des déclassements, par un autre fusil à poudre noire et à silex, le Modèle 1816/1822, mais on trouve le fusil Charleville de 4,6 kg datant de 1777, encore largement en service lors de la prise d'Alger en 1830. Beaucoup d'exemplaires ont été modifiés à partir de 1840 pour devenir des fusils à percussion, et réutilisés comme armes civiles de chasse.

 

Comme pour l'artillerie, l'ingénieur Jean-Baptiste de Gribeauval s'efforça de parvenir à une interchangeabilité des pièces comparables pour le fusil modèle 1777, qui fut adopté par l'armée royale dès 1776. Devenu inspecteur général de l'artillerie et des manufactures royales, il institua même un système dit « de 1777 », comprenant de nombreuses armes destinées aux différentes spécialités de l'armée.

Le fusil modèle 1777 résulte de la longue évolution d'une arme apparue en 1717 à la Manufacture d'armes de Charleville1, destinée à remplacer les fusils de modèles pour le moins variés que les soldats français employaient au combat. Conçu de la manière la plus rationnelle qui soit, de façon à parvenir à une standardisation plus poussée, le fusil modèle 1777 dut être modifié en 1801. Dans l'intervalle, le système 1777, comptant quatorze types d'armes différents, avait été simplifié en étant porté à six modèles seulement.

Pour tirer avec ce fusil à poudre noire, un soldat devait déchirer le papier de la cartouche avec ses dents2, remplir un peu de poudre (de type pulvérin) servant d'amorce le bassinet, petite pièce creuse de la platine (le soldat devant s'assurer que la platine à silex était bien aiguisée), refermer le bassinet, verser le restant de la poudre dans le canon, la tasser avec la baguette de fer avant, pousser le papier ayant contenu la poudre et devenu la bourre, ensuite glisser ou cracher la balle dans le canon et la pousser jusqu'à la bourre, enfin, armer le chien, viser sans point de mire (le tireur se servant de son pouce gauche pour prendre sa visée) et presser la détente

Variantes

Le modèle 1777 a été décliné en pistolets d'infanterie, de cavalerie avec deux modèles (le mécanisme de platine à silex est enfermé dans un coffre en laiton), et de marine, et en mousquetons, avec des variantes de mousquetons de cavalerie, de grosse cavalerie (carabiniers), de hussards (dit modèle 1786, plus court), de dragons, de gendarmerie, mousquetons de marine (garnitures en laiton).

Il a été produit dans les manufactures royales puis impériales de Saint-Étienne, de Tulle, de Maubeuge, de Versailles, de Chatelleraut, de Mutzig, de Turin,.. et copié dans plusieurs pays comme l'Amérique (Model 1795 Springfield).

 

Les principales transformations apportées à cette arme concernèrent l'embouchoir, la grenadière et la forme de batterie. Le fusil modèle 1777 se révéla d'une robustesse peu commune, même si sa fiabilité fut assez souvent sujette à caution. Il connut beaucoup de problèmes d'amorçage, et son canon qui ne supportait pas la poudre de mauvaise qualité, employée pourtant à l'époque par l'armée française, était régulièrement encrassé (obligeant le canon à être lavé au chiffon puis séché et graissé après 50 ou 60 coups, chose impossible sur le champ de bataille et qui de fait, obligeait la plupart des soldats à y uriner afin de le décrasser et de pouvoir s'en resservir). En outre, l'obturation de la lumière était très fréquente (par des résidus de poudre, de papier, etc.) faisant que seule la poudre contenue dans ce dernier s’enflammait.

En comparaison, le fusil modèle 1777 fut certainement quelque peu inférieur au Brown Bess utilisé par les troupes britanniques, qui sans être le meilleur du monde comme certains le prétendirent en son temps (car beaucoup moins précis, étant même totalement dépourvu de tout organe de visée) s'avérait toutefois plus puissant et davantage dévastateur contre la cavalerie du fait de son calibre (19 mm) et de sa vitesse de tir de 3 à 4 tirs par minute contre seulement 2 à 3 trois pour le fusil français. La portée maximale du Brown Bess est toutefois limitée à 100 mètres, alors que le Charleville atteint 250 mètres.

 

Cependant, la longévité de cette arme en dit long sur ses qualités. Fabriquée jusqu'en 1822, elle fut produite à raison de 2 millions d'exemplaires, équipant tous les fantassins du 1er Empire qui combattirent sur l'ensemble des champs de bataille d'Europe et d'outre-mer.

La Garde Consulaire, puis Impériale, se servit du même fusil d'infanterie modèle 1777 que les autres Corps, mais cette arme se différenciait par un certain nombre de détails importants. La monture et les garnitures avaient été modifiées par rapport au modèle de base et le fusil en question disposait d'une platine de sécurité, destinée à empêcher que l'arme ne se déclenchât accidentellement ou que l'amorce fût atteinte par l'humidité.

Caractéristiques

 
Tableau tiré du Manuel d'infanterie, 1808

Fusil modèle 1777 corrigé an IX :

Poids du fusil : 4,6 kg

Longueur du fusil : 1,529 m

Longueur du canon : 1,1366 m

Calibre du canon : 17,48 mm

Diamètre de la balle : 16,54 mm

Longueur de la baïonnette : 0,4059 m

longueur de la lame de baïonnette : 0,38 m

Poids de la balle : 27,2 g (20 à la livre)

Poids de la charge de poudre : 12,24 g

Poids total de la cartouche : 39,44 g

Lumière : 0,94 mm

Prix du fusil : 25 à 34 francs (selon la manufacture)

 



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Chantal Goya au coeur d'une enquête

Publié à 22:38 par dessinsagogo55 Tags : news article mode center centerblog monde sur base merci france coup coeur
Chantal Goya au coeur d'une enquête

Soupçons d'escroquerie : Chantal Goya au coeur d'une enquête

 

6Medias , publié le lundi 02 décembre 2019 à 19h43

Le journal Sud Ouest révèle que la mythique chanteuse Chantal Goya fait partie d'une longue liste d'individus ayant obtenu un prêt bancaire suspects de la part du Crédit municipal de Bordeaux (CMB).

Chantal Goya se retrouve plongée dans la tourmente à la suite des révélations fracassantes du journal Sud Ouest. Selon les informations du quotidien régional, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Bordeaux pour tentative d'escroquerie sur plusieurs prêts accordés par le Crédit municipal de Bordeaux (CMB), anciennement connu sous le nom de Mont-de-Piété.

Une affaire qui pourrait concerner plusieurs millions d'euros accordés par celle qui est souvent décrite comme « la banque des pauvres ».

 
 

Dans le cas de l'artiste, l'affaire remonte au mois d'avril 2018. En compagnie de son époux, le compositeur Jean-Jacques Debout, elle serait parvenue à décrocher un prêt à hauteur de 2,2 millions d'euros. Une somme très conséquente quand on sait que le couple s'avère être sous le coup d'un interdit bancaire. Le Crédit municipal de Bordeaux aurait estimé qu'il pourrait le rembourser en se basant sur leurs revenus Sacem (droits d'auteur).

Un premier audit a été lancé durant l'été 2019. Cette transaction intrigue l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).  Elle cherche à comprendre « comment le CMB s'est assuré que les revenus du client Sacem couvriront les charges d'emprunt mensuelles dans la mesure où les revenus disponibles figurant dans le dossier datent de 2016. [...] Sur quelle base le CMB a projeté le remboursement du capital, compte tenu des dettes élevées ? »

Plusieurs prêts suspects

Si le cas du couple Chantal Goya - Jean-Jacques Debout est scruté de près par cet organisme rattaché à la Banque de France, des interrogations subsistent autour d'autres prêts. Sud Ouest évoque le cas d'une princesse persane ayant obtenu 750 000 euros en présentant des biens mis en gage dont la valeur s'élèverait à moins de la moitié du prêt total. Une surévaluation des biens qui concernerait plusieurs cas.

Ayant la tutelle de « la banque des pauvres », le maire de Bordeaux Nicolas Florian ne prendra pas la parole avant de disposer du rapport final de l'ACPR. Contacté par le quotidien, Christophe Leuret, directeur du Crédit municipal, a assuré qu'il « s'inscrivait en faux » contre ces « faits allégués ». Il estime que cette enquête de l'ACPR devait de toute façon arriver un jour. « Cela faisait sept ans qu'ils n'étaient pas venus », explique-t-il. « Nous essayons de prendre toutes les garanties nécessaires. »
 
 
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