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Monde : France

Jonzac

Publié à 03:14 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center loisirs monde centerblog sur gif base merci france enfants histoire cadre
Jonzac

Une partie de la commune est intégrée à une zone protégée en raison de la richesse de son écosystème (prairies hygrophiles ou méso-hyprophiles, forêts alluviales, garrigues).

 

Les bords de Seugne constituent un espace d'une grande richesse écologique. Multitude de ponts et passerelles enjambent la rivière au cœur de la ville historique, et une promenade (mail de Seugne) a été aménagée le long de quelques-uns de ses bras. Elle se compose d'un parcours-santé, d'un arboretum et d'une aire de loisirs pour les enfants. La haute vallée de la Seugne, formée d'une série de biefs, est un site protégé dans le cadre du réseau de protection des espaces naturels de grande valeur patrimoniale Natura 2000 (classement en « site d'importance communautaire »). Le site abrite une communauté de visons d'Europe parmi les plus importantes de la région. La faune est également représentée par la loutre, le grand rhinolophe, l'agrion de Mercure et la cistude d'Europe. La haute vallée de la Seugne est en outre intégrée à une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de classe II (grands espaces naturels riches) couvrant 8 % du territoire communal.

Les carrières de Bellevue constituent un autre site protégé dans le cadre du réseau Natura 2000 (classement en « site d'importance communautaire »), par ailleurs inscrit dans une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de classe I (petits espaces homogènes). Le site se compose de cavernes (anciennes carrières), de maquis et de garrigues. L'endroit est apprécié des rhinolophes, qui viennent y hiberner

Plusieurs sentiers de promenade ont été aménagés dans la partie sud de la ville. Au gré des bras de la Seugne, des forêts et des prairies, ils conduisent à un parc floral et à la base de loisirs d'Heurtebise.

La commune a jusqu'à présent (2011) fait l'objet de treize arrêtés de reconnaissance de catastrophe naturelle, dont quatre pour des mouvements de terrain et neuf pour des inondations. La commune abrite sept établissements (non Seveso) susceptibles de présenter des risques technologiques potentiels

 

 

En latin médiéval Jonzac est nommé Joenzacus, Joenzazinsis vicaria, Joviniacum, Junctiacum, Jonzacum, Yonsium et plus tardivement Yonssac en français et Jhonzat en saintongeais.

Ce nom dériverait d'un gentilice gallo-romain, soit Jucundus, soit Juventius, associé au suffixe gaulois -acum . Jonzac serait donc à l'origine le «domaine de Jucundus» ou le « domaine de Juventius », faisant référence à un habitant du lieu, peut-être celui de la villa gallo-romaine découverte à l'est du bourg.

L'histoire de la Charente-Maritime suggère une autre étymologie. En 285, la Saintonge est intégrée à la province de l'Aquitaine Seconde par Dioclétien, qui prend en 286 le surnom de Jovius (de Jupiter), dont l'adjectif dérivé est jovianus. Jovianicum : «domaine de Dioclétien» ou «sanctuaire de Jupiter» c'est ainsi que le site de Jonzac aurait pu être nommé en l'honneur de l'empereur romain qui venait de restructurer la Gaule

 

 

 

Jonzac

Jonzac

Préhistoire

On a retrouvé dans la commune de nombreux vestiges préhistoriques. La découverte récente d'un site du Moustérienau lieu-dit Chez Pinaud prouve que les premiers hommes s'abritaient non loin des méandres de la Seugne. Des fouilles d'une grande ampleur sont actuellement en cours.

Antiquité et Haut Moyen Âge

La villa gallo-romaine

La construction du nouveau complexe de loisirs aquatiques des Antilles de Jonzac a mis au jour une villa gallo-romaine, dans un méandre de la Seugne, lors des campagnes de fouilles des étés 2003 et 2004. L'ensemble des constructions d'une superficie de 3 000 m2 , daté des iiie et ive siècles de notre ère, comprenait notamment un équipement thermal, un mausolée funéraire, une cour agricole et un jardin d'agrément. La surface d'habitation de 1 500 m2 (100 x 15 m), suggère qu'il s'agissait d'une demeure aristocratique composée d'un corps de bâtiment principal allongé assorti d'une galerie à portiques en façade. Au nord étaient installées les salles de réception, dont une chauffée par le sol ; au centre et au sud, des pièces de servitudes étaient disposées en enfilade et aboutissaient à l'ensemble thermal, dont le décor était constitué d'enduits peints représentant des demi-cercles ornés de plumes de paon. D'autres pièces étaient ornées de vitrages et de mosaïques dont on a retrouvé des fragments.  Un deuxième bâtiment de 392 m2 (28 × 14 m) est disposé perpendiculairement, à une centaine de mètres de l'habitation. On suppose que le propriétaire du lieu pouvait s'appeler Juventius ou Jucundus, selon les étymologies proposées pour le nom de Jonzac (voir le paragraphe Toponymie)

Son plan est similaire à celui des villas du «Paradis» ou du «Grand Mur» à Romégoux, ou encore des bâtiments agricoles de la villa de Chiragan (Haute-Garonne).

La nécropole mérovingienne

Après l'abandon de la villa gallo-romaine, les habitants se sont installés sur la colline de Montguimar, plus près du cours de la Seugne, comme le suggère la nécropole datée de l'époque mérovingienne trouvée sous le parvis de l’église Saint-Gervais-Saint-Protais. Les sarcophages de calcaires contenaient de nombreux artefacts métalliques , des bijoux, des armes mais aussi des fragments de tissu, datés des VIe et VIIe siècles. Aucune habitation de cette époque n'a en revanche pu être identifiée du fait sans doute d'une architecture en bois

Moyen Âge

L'empire carolingien

 

À l'époque carolingienne, une partie au moins du site de Jonzac est incluse dans le domaine de Saint-Germain-de-Lusignan qui appartient au vaste patrimoine de l'abbaye de Saint-Germain-des-Près. En effet l'abbaye parisienne dispose d'un vaste réseau spirituel et économique le long des grandes voies de communications terrestres et fluviales de l'empire carolingien, depuis la vallée de la Seine jusqu'à la Belgique, la Suisse, en passant par la Bourgogne et le Morvan.

La villa du domaine de Saint-Germain-de-Lusignan est mentionnée pour la première fois vers 830, dans un acte de Pépin Ier roi d'Aquitaine, petit-fils de Charlemagne. Lusignan est la possession la plus méridionale de Saint-Germain-des-Près. Le réseau va être ébranlé lors des invasions normandes qui ruinent l'abbaye, puis progressivement et définitivement disloqué à partir du xie siècle sous l'effet du développement de la noblesse qui prend possession des fiefs régionaux.

Une œuvre littéraire du XIIIe siècle, la «Chronique saintongeaise», développe une tradition mettant en scène Charlemagne, l’archevêque Turpin ou encore Saint Anthème le Grec, évêque itinérant, apôtre du Poitou. La Chronique raconte qu'Anthème accompagna Charlemagne en Espagne et s'y fit tuer par les sarrasins. L'empereur ramena en Saintonge la dépouille de ce fidèle compagnon et le fit enterrer à Jonzac, près de l'autel de l'église qui lui fut d'abord consacrée avant de l'être à Saint Gervais et Saint Protais.

Il est aussi relaté dans la Chronique que la formation du bourg de Jonzac aurait débuté dès l’époque de Charlemagne autour de deux collines, celle de « Montguimar » sur laquelle sera bâtie l’église Saint-Gervais-Saint-Protais, et celle de « Balaguier » dominée par le château ou une tour de guet.


 
.

Un fief abbatial

Au xie siècle le site de Jonzac est essentiellement un fief abbatial, à la suite de donations de la part de familles nobles. Trois abbayes sont mentionnées : Saint-Germain-des-Près, Baignes, Saint-Jean-d'Angély.

La famille de Lusignan , en la personne de Hugues IV le Brun, lègue une partie de ses terres à l'abbaye de Saint-Germain-des-Près. Ces terres sont par la suite inféodées par les abbés aux seigneurs de La Rochandry (ou de La Roche-Chandry), à Mouthiers-sur-Boëme.

Vers l'an 1000, Foucher de Jonzac, sa sœur Emma et son frère Kalon (ou Charles) ont fait donation à l'abbaye de Baignes du quart d'un alleu qu'ils avaient à Barret. La même abbaye reçoit en 1081 la chapelle Notre-Dame du château de Jonzac de la part de Guillaume de la Roche-Chandry.

Le château de Jonzac est mentionné en 1059 dans le cartulaire de l’abbaye de Saint-Jean-d’Angély14 dans un acte précisant les détails d’un don fait par Kalon de Jonzac à l'abbaye pour le salut de son âme et de celle ses parents, en ces termes, selon la traduction résumée de Georges Musset :

« Kalon, fils de Fouchier du château de Jonzac, Arnaud, cousin de Kalon et ses fils Hébon et Guillaume, cèdent à l'abbaye la moitié des droits de l'église, la moitié des dîmes de toute espèce et enfin la moitié de tout ce qu'ils possèdent dans leur alleu de Charbonnières. Adémar qui ne rit, Sénégonde, sa sœur, abandonnent également leurs droits et possessions sis au même lieu. Ces dons sont souscrits par Guillaume, vicomte d'Aulnay, Cadelon son fils et d'autres.. »

Les seigneurs de Jonzac

La succession des seigneurs de Jonzac devient plus facile à établir à partir de Guillaume II de La Rochandry (mort vers 1182) qui néanmoins fait don lui aussi d'une partie de ses terres à l'abbaye de La Couronne.


 

Vers 1327, Bertrand de La Rochandry meurt sans postérité directe après avoir légué le fief de la Rochandry à son neveu Ybles, et ses autres biens, dont Jonzac, à ses nièces Marguerite et Pétronille (ou Péronnelle), filles de Guillaume Gardrade, seigneur de Mosnac.

En 1330, Marguerite, fille de Pétronille, dame de Mosnac, et de Foucaud, baron de Montausier, épouse Guy de Sainte-Maure. Les terres de Jonzac, Montausier, Chevanceaux, et Mosnac, passent ainsi dans la famille de Sainte-Maure, maison féodale de Touraine, connue depuis le xie siècle.

En 1470, Renaud de Sainte-Maure partage ses terres avec son frère et ses sœurs : il conserve pour sa part les terres, châtellenies et seigneuries de Jonzac, Mosnac, Cadillac, tandis que son frère Léon obtient les terres de Montausier et fonde ainsi la branche des Sainte-Maure de Montausier.

Renaud édifie en 1498 la chapelle de la Maladrerie de Jonzac. L'année suivante, alors que son fils aîné, Foucaud, se consacre à la prêtrise, Renaud transfère le droit d’aînesse à son second fils, Jean, à qui il lègue la seigneurie de Jonzac.

La Guerre de Cent Ans

Au cours de la guerre de Cent Ans, du fait de leur situation géographique, les seigneurs de Jonzac ont prêté successivement allégeance au roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine et au roi de France, comme d'autres seigneurs saintongeais, tels que Renaud VI de Pons.

Jonzac et les terres associées passent ainsi en 1327 à la Guyenne, alors sous le gouvernement du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine. En 1352, Pierre de Sainte-Maure prend les armes contre les Anglais, avant de prêter allégeance en 1363 au prince d'Aquitaine, Edouard de Woodstock, dit le « Prince noir » au château d'Angoulême.

En 1371, Pierre combat de nouveau pour le roi de France Charles V. À sa mort en 1376, sa veuve, Miramonde de la Mothe, tutrice de ses enfants mineurs, se met sous la protection de l'abbé de Saint-Germain-des-Prés.

En 1402, son fils Arnaud rend hommage à Louis Ier, duc d'Orléans, frère cadet et régent du roi Charles VI de France. Cette allégeance est contemporaine du Combat des Sept à Montendre.

Vers 1405, Arnaud de Sainte-Maure est fait prisonnier alors qu'il combat aux côtés du connétable Charles Ier d'Albretcontre les positions anglaises en Guyenne. Durant sa captivité d'une dizaine d'années en Angleterre, ses possessions, dont le château de Jonzac, sont confisquées et données à  un  seigneur anglais. Le château médiéval, sur les bords de la Seugne, est en grande partie détruit, et sera reconstruit sur la colline de Balaguier, quelques décennies plus tard.

Renaud, fils d'Arnaud, est rétabli dans tous ses biens en 1451 par lettre du roi Charles VII, après la capitulation de Bordeaux.

Temps modernes

Le bourg de Jonzac, à proprement parler est né probablement au xve siècle de la fusion des deux zones d'urbanisation constituées sur les deux collines de Montguimar et Balaguier autour de l'église et du château, auxquelles s’est ajouté le site des Carmes. L’appellation de « ville de Jonzac » n’apparaît quant à elle que dans la première moitié du xviie siècle.

Dans les années 1570, Jonzac devient une place huguenote, et connaît un essor économique important (foire, marché aux porcs, halle aux grains). La révocation de l'édit de Nantes (édit de Fontainebleau) en 1685 a contraint de nombreux jonzacais à fuir vers Bordeaux et aux Antilles.

Au xviie siècle, un descendant de Léon de Sainte-Maure, Charles, duc de Montausier, Maréchal des camps et armées du roi, Gouverneur de Saintonge et Angoumois, sera le gouverneur du Grand Dauphin. Élevé dans la religion protestante, il abjure pour épouser Julie d'Angennes, gouvernante des enfants de France et dame d’honneur de la reine Marie-Thérèse. Ils eurent une fille, Marie-Julie, future duchesse d'Uzès.

Époque contemporaine

xixe siècle

Jonzac devint chef-lieu d'arrondissement en 1800 et la prospérité de la ville commence à se faire grâce au commerce du cognac.

Le chemin de fer arrive à Jonzac en 1870 depuis Saintes. La gare de Jonzac, est mise en service le 26 janvier 1870 par la Compagnie des chemins de fer des Charentes.

La fin du xixe siècle verra Jonzac subir une crise économique à la suite des ravages du phylloxera sur le vignoble de Cognac.

xxe siècle

Durant la Seconde Guerre mondiale, Jonzac, comme Saintes et Royan, accueille une Kreiskommandantur(Kommandantur d'arrondissement) de laquelle dépend un service de surveillance chargé de lutter contre les actes de malveillance à l'encontre des occupants. Une garnison allemande de 235 hommes et 5 officiers occupe Jonzac. À mi-chemin entre Brest et Bayonne, la ville dont la gare est desservie par la voie ferrée de Nantes à Bordeaux, est choisie par la Kriegsmarine pour entreposer d'énormes stocks de munitions qui doivent protéger le mur de l'Atlantique. Ce dépôt, le deuxième par la taille en France, est destiné à alimenter notamment les sous-marins de l'Atlantique, avec l'équivalent de 120 trains complets prêts à charger. L'arsenal est situé dans les anciennes carrières d'Heurtebise et est ainsi particulièrement bien protégé des bombardements et des attaques. Mais sa destruction est préparée par le groupe Alerte, groupe de sabotage de l'Organisation civile et militaire (OCM) basé à Bordeaux. Plusieurs tentatives ont lieu, les 8, 18 et 30 juin 1944  . Finalement, c'est en se sacrifiant en allumant directement une mèche qu'un jeune résistant venu d'Isère embauché au dépôt, Pierre Ruibet, réussit à produire la première des explosions, qui dureront trois jours, anéantissant le dépôt. Son compagnon d'action le jonzacais Claude Gatineau, qui a pu s'échapper, est arrêté, torturé et fusillé le lendemain. Cet acte de sabotage se révélera être une étape déterminante des actions facilitant le débarquement des forces alliées et menant à la Libération. Grâce à Henri Noguères, ce fait historique a été relaté dans l'épisode Alerte à Jonzac de la série Hommes de caractère, diffusé en 1967 par l'ORTF. À la fin de l'épisode, le réalisateur Jean Kerchbron interrogent des témoins principaux de l'époque pour qu'ils relatent leurs souvenirs.

Par la suite les actes de la résistance se multiplient dans la région bien que la situation soit particulièrement confuse du fait du démantèlement d'une partie du réseau de la zone B (sud-ouest) après l'exécution le 27 juillet 1944 de son chef, André Grandclément dit Bernard, par un autre résistant, Roger Landes dit Aristide, membre des services secrets britanniques (Special Operations Executive (SOE).

 

 

 

Jonzac

Publié à 03:10 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center monde centerblog sur gif merci france cadre
Jonzac

Par sa population, Jonzac est la 29e commune de la Charente-Maritime avec 3 552 habitants au 1er janvier 2008. Elle est cependant la première ville de l'arrondissement de Jonzac où elle exerce la fonction de sous-préfecture.

Avec une superficie communale de 1 309 hectares, la densité de population s'élève à 271 habitants par km², ce qui la classe parmi les communes les plus densément peuplées de la Charente-Maritime.

En 2008, l’unité urbaine de Jonzac qui comprend trois communes regroupe 5 242 habitants et son aire urbaine, qui inclut cinq communes périurbaines situées dans la zone d’influence forte de la ville, rassemble 6 265 habitants.

Ces différentes données font de Jonzac la 12e agglomération urbaine de la Charente-Maritime et son aire urbaine la classe au dixième rang dans le département.

Au niveau régional, elle occupe le 24e rang des aires urbaines picto-charentaises

         
Zones Population Surface
(km²)
Densité
(/km²)
croissance
1999-2008
Agglomération saintaise
Jonzac 3552 13 271 - 6,94 %
Unité urbaine 5242 34 155 - 1,47 %
Aire urbaine 6265 155 114 + 0,66 %
Démographie de la Charente-Maritime
Charente-Maritime 611714 6864 89 + 9,82 %
         

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.

En 2016, la commune comptait 3 442 habitantsNote 3, en diminution de 1,4 % par rapport à 2011 (Charente-Maritime : +2,64 %, France hors Mayotte : +2,44 %).

Évolution de la population

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2470 2509 2488 2465 2618 2514 2524 2591 2718
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2792 3005 3147 3260 3296 3210 3237 3431 3344
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3366 3287 3210 2896 3041 3142 3250 3771 3575
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4020 4022 4306 4494 3998 3817 3554 3511 3502
2016 - - - - - - - -
3442 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)

 

 

 

 

Jonzac : Gif dessinsagogo55

Publié à 02:56 par dessinsagogo55 Tags : sommaire france centerblog sur gif merci monde
Jonzac : Gif dessinsagogo55
 

 

Jonzac : Gif dessinsagogo55

Publié à 02:49 par dessinsagogo55 Tags : sommaire monde centerblog sur gif merci france
Jonzac : Gif dessinsagogo55
 

 

Les invendus non alimentaires

Publié à 16:14 par dessinsagogo55 Tags : sommaire sur france center centerblog
Les invendus non alimentaires

Par   

Mis à jour  à 14:50 

Publié  à 14:34

 

Les invendus non alimentaires devront être donnés ou recyclés

Pour lutter contre le gaspillage, la France va interdire la destruction des vêtements, de l'électroménager et des produits d'hygiène d'ici deux à quatre ans, a annoncé Edouard Philippe.

La destruction des invendus non alimentaires (vêtements, électroménager, produits d'hygiène ou de beauté etc.), un des cas emblématiques du gaspillage, va être interdite d'ici deux à quatre ans en France, a annoncé mardi le premier ministre Edouard Philippe.

Cette mesure, présentée comme une «première mondiale» par le chef du gouvernement, vise à imposer de donner ces produits ou de les recycler, à partir de fin 2021 ou de fin 2023 suivant les cas, en complément aux mesures déjà adoptées ces dernières années contre le gaspillage alimentaire. Aujourd'hui, plus de 600 millions d'euros de produits non alimentaires neufs et invendus sont jetés ou détruits chaque année, selon Matignon.

 

 

 

Plus de 600 millions d'euros de produits non alimentaires neufs et invendus sont jetés ou détruits chaque année, selon Matignon. Reuters

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Bure (Meuse) : Opposition au laboratoire

Publié à 13:44 par dessinsagogo55 Tags : background center sommaire france centerblog monde sur merci gain
Bure (Meuse) : Opposition au laboratoire

Depuis 2015, les opposants ont choisi pour certains de s'exprimer par des voies de fait, dont certaines ont été condamnées par la justice telles que l'occupation du Bois Lejuc, qualifiée d'illégale par le tribunal de grande instance de Bar-le-Duc et qui perdure jusqu'à l'expulsion des derniers occupants par les gendarmes en février 2018, et pour d'autres par le recours à la justice : en 2017, par exemple, ils ont eu provisoirement gain de cause quant à la cession du Bois Lejuc par la commune de Mandres-en-Barrois à l'ANDRA, mais ils ont été déboutés par cour d'appel de Versailles quant à l'existence d'un potentiel géothermique exceptionnel sur le site du laboratoire ; de même en avril 2018, leur requête tendant à faire annuler l'arrêté pris en 2016 par Ségolène Royal pour fixer le coût du projet Cigéo a été rejetée par le Conseil d'État qui a considéré que l'arrêté en question n'était pas entaché d'erreur manifeste d'appréciation

 

https://www.sortirdunucleaire.org/Diaporamas

 

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
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Bure (Meuse) : Lieux et monuments

Publié à 13:25 par dessinsagogo55 Tags : histoire merci sommaire center centerblog sur background gif monde photos
Bure (Meuse) : Lieux et monuments

 

 

Le lavoir abrite aujourd'hui le CLIS  (Comité local d'information et de suivi du laboratoire de Bure).

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bure_%28Meuse%29

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
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Bure (Meuse) : Économie

Publié à 13:17 par dessinsagogo55 Tags : gif background center france monde photos histoire sommaire centerblog sur merci maison
Bure (Meuse) : Économie

Laboratoire de recherche souterrain

 

Sur le territoire de la commune est implanté le laboratoire de Bure destiné aux recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde. Ce laboratoire souterrain est exploité par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA). La commune accueille également la « Maison de résistance à la poubelle nucléaire de Bure », animée par l'association Bure Zone Libre. Ce lieu est un espace d'information indépendante sur le projet de l'ANDRA et l'industrie nucléaire en général, de rencontres militantes, de promotions des énergies renouvelables et alternatives.

Potentiel géothermique

Selon le BRGM, le territoire de la commune de Bure est doté d'un fort potentiel géothermique dans la nappe aquifère du Tithonien (c'est-à-dire entre 0 et 10 mètres de profondeur). Les études menées par l'Andra ont montré qu'il n'existe pas de ressources géothermiques exceptionnelles dans la zone où est implanté le laboratoire souterrain, ni dans le reste du territoire communal. La Commission nationale d'évaluation aboutit aux mêmes conclusions.

Fin 2013, à la demande du comité local d'information et de suivi du laboratoire de Bure, le cabinet suisse d'expertise en géothermie Geowatt effectue une étude au terme de laquelle il conclut que « les ressources géothermiques peuvent être aujourd'hui exploitées de manière économique, avec l'emploi de technique et de matériel appropriés, et que l'enfouissement des déchets radioactifs rend inaccessible l’accès [sic] aux ressources géothermiques ». Plusieurs associations écologistes portent plainte contre l’ANDRA pour dissimulation, mais elles sont déboutées d’abord par le tribunal de grande instance de Nanterre qui ne reconnaît pas leur intérêt à agir, puis par la cour d'appel de Versailles qui considère que la communication de l'ANDRA sur la question est conforme à la réalité

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bure_%28Meuse%29

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Bure (Meuse)
    Bure (Meuse) : Autour de Bure
    Bure (Meuse) : Signalisation
    Bure (Meuse) : Économie
    Bure (Meuse) : Lieux et monuments
    Bure (Meuse) : Démographie
   
   
   
    Bure : expulsion en cours au bois Lejuc
    Bure (Meuse) : Opposition au laboratoire
    Un festival contre «la poubelle atomique» à Bure
    A Bure, déchets nucléaires, risques d'expropriations
    Manifestation des antinucléaires à Nancy
   
   
 
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Bure (Meuse) : Démographie

Publié à 12:56 par dessinsagogo55 Tags : sommaire histoire photos gif background monde center centerblog sur merci france cadre

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007

En 2016, la commune comptait 83 habitants, en diminution de 6,74 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).

Évolution de la population

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
295 309 313 343 353 341 333 333 346
 
1856
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
366 356 348 314 290 273 251 249 220
 
1901
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
225 225 199 196 184 149 149 147 170
 
1962
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
135 119 106 105 92 85 91 92 86
 
2016
- - - - - - - -
83 - - - - - - - -
 
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bure_%28Meuse%29

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Bure (Meuse)
    Bure (Meuse) : Autour de Bure
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    Bure (Meuse) : Lieux et monuments
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