Date de création : 09.04.2012
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Bure (Meuse) : Signalisation
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Un festival contre «la poubelle atomique» à Bure | |||||||||||||||||||||||||||
A Bure, déchets nucléaires, risques d'expropriations | |||||||||||||||||||||||||||
Manifestation des antinucléaires à Nancy | |||||||||||||||||||||||||||
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Exploitation du canal
L'Office national de la navigation de Strasbourg détenait des statistiques de transport relatives au canal de la Marne au Rhin, établies entre 1856 et 1972 au droit de l'ecluse n° 51 de Schiltigheim
Années | Tonnage Ouest - Est | Tonnage Est - Ouest | Totaux |
1856 | 138916 | 92178 | 231094 |
1857 | 123525 | 72604 | 196129 |
1858 | 170800 | 44452 | 215252 |
1880 | 422541 | 46254 | 468795 |
1890 | 515321 | 42129 | 557450 |
1900 | 616123 | 69440 | 685563 |
1910 | 578572 | 138915 | 717487 |
1924 | 362166 | 170415 | 532581 |
1950 | 595975 | 368734 | 964709 |
1960 | 846660 | 553975 | 1400635 |
1970 | 711025 | 496272 | 1207297 |
1971 | 693077 | 436120 | 1129197 |
1972 | 675710 | 346084 | 1021794 |
Le trajet
Points traversés par le canal de la Marne au Rhin :
Vitry-le-François
Contrisson
Bar-le-Duc
le tunnel de Mauvages
Void-Vacon
Pagny sur Meuse
Lay Saint-Rémy
Foug
Toul
Liverdun où son ancien cours (avec une voûte et un pont-canal) est abandonné au profit de la Moselle canalisée
Frouard où il est connecté à la Moselle canalisée dont il emprunte le cours entre Toul et Frouard
Champigneulles
Maxéville
Nancy avec connexion au canal de l'Est par le Canal de jonction de Nancy.
Jarville-la-Malgrange.
Laneuveville-devant-Nancy.
Art-sur-Meurthe.
Varangéville.
Dombasle-sur-Meurthe
Sommerviller.
Crévic.
Maixe.
Einville-au-Jard
Bauzemont
Hénaménil
Parroy
Mouacourt
Xures
Lagarde
Bourdonnay
Maizières-lès-Vic
Moussey
Réchicourt-le-Château
Jonction avec le Canal des houillères de la Sarre
Gondrexange
Hertzing
Xouaxange
Imling
Hesse
Buhl-Lorraine
Héming
Hommarting
Schneckenbusch
Niderviller
Guntzviller
Arzviller
les tunnels de Niderviller, d'Arzviller et le plan incliné de Saint-Louis-Arzviller
Lutzelbourg
Saverne
Hochfelden
Souffelweyersheim
Strasbourg
Faits divers
En 1999 le canal fut au centre d'une affaire criminelle dit "le dépeceur du canal" qui jetait dans les eaux des morceaux de cadavres découpés.
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Le canal de la Marne au Rhin, long de 314 km et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie.
Construction
Les premiers projets de construction remontent aux années 1780, mais la mise à l'étude du canal fut réalisée par l'ingénieur des ponts et chaussées Barnabé Brisson à partir de 1826. Les travaux furent menés par l'ingénieur polytechnicien Charles-Étienne Collignon (1802-1885). Commencé en 1838, le canal fut mis en service en 1853. La traction humaine et animale fait place à la traction électrique à partir de 1895, sur rails ou sur route, et sur pneumatiques à partir de 1933, avant la généralisation des chalands automoteurs.
Modernisations successives
En plus de 150 ans, le canal de la Marne au Rhin a été transformé, amélioré et modernisé. Après la guerre de 1870 et la perte de l'Alsace et de la Moselle, il a fallu assurer les ressources en eau, en diminution avec la perte des étangs de Gondrexange, du Stock, de Réchicourt, et de la prise d'eau dans la Sarre ; l'étang de Parroy fut ainsi construit. Des escaliers d'écluses ont été remplacés par une écluse de haute chute (accès à la Moselle à Frouard, Saverne), des écluses ont été doublées, vers 1930, là où le trafic le nécessitait : à Foug, et de Jarville à Varangéville ; le pont-canal de Liverdun et celui de la Madeleine ont été élargis pour permettre la navigation à double sens, des sections sinueuses ont été abandonnées au profit de tracés plus direct, les écluses du versant Meurthe de Réchicourt jusque Dombasle (bief 23 dans lequel débouche la prise d'eau dans la Meurthe) ont été équipées dans les années 1950 de pompes électriques pour remonter l'eau de bief en bief. Sur les secteurs les plus fréquentés, les écluses ont été mécanisées puis automatisées par le système de la société Saxby, dès la fin de l'année 1977. De 2004 à 2008, quatre écluses du versant Meurthe, situées entre Lagarde et Bauzemont, ont servi de site test pour la mise au point de nouveaux systèmes d'automatisation, permettant notamment un contrôle des phases de l'éclusage depuis un terminal électronique embarqué sur le bateau.
Dans les années 1960, le mouillage a été porté à 2,60 mètres pour permettre un enfoncement à 2,20 mètres des bateaux, travaux inscrits aux IIIe, IVe et Ve « Plans de Modernisation et d’Équipement », s'échelonnant entre 1958 et 1970. Cette augmentation du mouillage de 40 centimètres s'est faite de plusieurs façons. La plus fréquente : élévation du niveau du plan d'eau par rehaussement des digues, des bajoyers et des portes d'écluses, ainsi que des ponts ; ces travaux peuvent être menés sans arrêter la navigation. Une autre technique d’augmentation du mouillage utilisait l'abaissement du plafond. L'exécution d'importants travaux de terrassements ne peut se faire que très rarement en eau, car ils détruisent l'étanchéité de la cuvette (corroie d'argile sur plafond et berges) ; les ponts ne sont pas modifiés, par contre les travaux d'abaissement du radier des écluses, de modifications des aqueducs et siphons passant sous le canal nécessitent des démolitions et reprises en sous œuvre délicates, exécutées en période de chômage : cette méthode n'est adoptée qu'en cas de force majeure, dans les biefs où l'on ne peut pas modifier l'altitude du plan d'eau (débouché de rigole alimentaire, aménagement trop coûteux de ponts, traversée à niveau de rivières. La méthode mixte, qui rassemble les inconvénients des deux précédentes. Cette méthode n'est utilisée qu'exceptionnellement. Par exemple, dans le bief de partage des Vosges, il fallait tenir compte de la présence de nombreux aqueducs ou siphons, le plafond n'a été baissé que de 10 centimètres. Les 30 centimètres restant ont été obtenus par élévation du plan d'eau, qui a entraîné des difficultés pour l'écoulement du débit de la rigole alimentaire de la Sarre.
Description
Le canal franchit la ligne des Vosges par la trouée du col de Saverne. À l'origine, le mouillage était de 1,60 m et la longueur des écluses de 34,50 m. Le programme Freycinet (loi du 5 août 1879) le classe en voie de 1re catégorie, son mouillage est alors porté à 2,00 m et les écluses à 38,50 m. En 1895, le mouillage fut porté à 2,20 m (essentiellement par élévation du plan d'eau). Ces dimensions permettent aux bateaux de 1,80 m d'enfoncement de porter 250 à 280 t de marchandises.
Sur tout son parcours, le canal de la Marne au Rhin est rattaché à d'autres voies navigables : nous avons vu le canal de la Marne à la Saône et le latéral à la Marne, il y a aussi le canal de l'Est (branches Nord et Sud), la Moselle et le canal des Houillères de la Sarre, et bien sûr le Rhin. De très nombreux ports se sont implantés au fil des ans sur son tracé, parmi lesquels : Vitry-le-François, Bar-le-Duc, Pagny-sur-Meuse, Nancy, Saint-Phlin (La Madeleine), Varangéville, Dombasle, Héming... et à son extrémité Est : Strasbourg.
L'ouvrage le plus remarquable est le plan incliné de Saint-Louis-Arzviller mis en service en 1967. Il double et remplace 17 écluses rapprochées. Le canal comporte aussi trois tunnels et plusieurs ponts-canaux dont le pont-canal de La Madeleine.
Un autre ouvrage remarquable est l'écluse de haute chute de Réchicourt-le-Château qui, avec 15,70 m est la plus haute écluse de gabarit Freycinet de France, et une des plus hautes tous gabarits confondus. Elle a remplacé, à la même époque que le plan incliné de Saint-Louis-Arzviller, six écluses rapprochées au début du versant de la Moselle.
Comprenant deux biefs de partage, l'un, à Mauvages, entre les bassins de la Marne et de Meuse-Moselle, et un, de Réchicourt à Saint-Louis-Arzviller, entre ce dernier et le bassin du Rhin, il est alimenté par un système complexe. Le premier seuil est alimenté par dérivation de l'Ornain et pompages dans la Meuse (Troussey), la Méholle et la Moselle (Valcourt), et une station de relevage à Vacon. Le second seuil est alimenté par les étangs-réservoirs de Gondrexange et du Stock (35 000 000 m3), eux-mêmes alimentés par la Sarre et ses affluents. Ceci est complété par pompage de bief en bief depuis la Meurthe à Dombasle et par de nombreuses prises d'eau sur les rivières longées ou croisées par le canal : Ornain, Saulx, Moselle, Sarre, Zorn.
La vallée des éclusiers
En 2007, les communes du pays de Phalsbourg ont créé la "vallée des éclusiers", un projet de cyclotourisme et randonnée pédestre destiné à rappeler l'importance économique et logistique de la trouée de Saverne, et en particulier les prouesses techniques réalisées au xixe siècle entre Arzviller et Lutzelbourg pour aménager les 17 écluses nécessaires pour passer cet endroit trop incliné. Entre la sortie du tunnel d'Arzviller et Strasbourg, le chemin de halage est aménagé en parcours cyclable. Il est revêtu sur toute sa longueur et fait partie de l'Eurovélo 5 (EV5 Via Francigena Londres - Rome/Brindisi). À Strasbourg, ce parcours cyclable rejoint la Véloroute Rhin (EV15 Rotterdam - Andermatt). Au sud de Strasbourg, l'EV5 et l'EV15 empruntent toutes deux le chemin de halage du canal du Rhône au Rhin - branche nord, revêtu jusqu'à la hauteur de Rhinau.
Le sentier balisé longe l'ancien et le nouveau canal au pied des falaises du conglomérat du grès vosgien. Entre les deux, il y a la ligne de chemin de fer Paris - Strasbourg, empruntée par les TGV à vitesse réduite jusqu'à la mise en service du second tronçon de la ligne à grande vitesse Est européenne qui traverse les Vosges gréseuses par un nouveau tunnel creusé à hauteur de Ernolsheim, un peu plus au nord, entre l'autoroute A4 et le col de Saverne. Sur le tronçon de l'ancien canal, la piste cyclable permet d'observer les maisons des éclusiers, dont certaines sont encore habitées et d'autres en ruine. Elles portent un numéro inscrit sur le pignon. L'ancien canal contraste avec le nouveau par son aspect vétuste, en partie à l'abandon. Les portes des écluses sont mi-ouvertes ou mi-closes, coincées par la rouille. Le fond du canal est envahi par les joncs, les plantes aquatiques et les algues qui profitent d'un écoulement plus ou moins stagnant de l'eau des anciens ruisseaux d'approvisionnement ou du trop plein du nouveau canal plus en amont. Certains tronçons de la piste cyclable ont été aménagés à l'intérieur même du canal asséché par des passerelles métalliques. L'ensemble confère une atmosphère qui veut rappeler un passé industriel révolu. À la jonction des deux canaux, la piste cyclable s'arrête. Un itinéraire cyclable (en partie sur route) permet de rejoindre Niderviller et Sarrebourg. Le sentier pédestre balisé, GR 532, forme une boucle et repart vers le plan incliné. Il longe le nouveau canal plus large que son prédécesseur et sans écluses intermédiaires. Le sentier de randonnée permet de réaliser la nature des travaux colossaux à l'origine des canaux. Il emprunte deux tunnels sous le canal.
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Peintres français
A | |
Louise Abbéma (1853-1927) | Marcel Anselme (1925-1982) |
Sylvie Abélanet (1962-...) | Alexandre Antigna (1817-1878) |
Julia Abel-Truchet (1862-1935) | Suzanne Estelle Apoil (1825-1874) |
Louis Abel-Truchet (1857-1918) | Émile Appay (1876-1935) |
Michel Abonnel (1881-1915) | Béatrice Appia (1899-1998) |
Annette Abrard (1860-1938) | Adolphe Appian (1818-1898) |
Hugues Absil (1961-...) | Louis Appian (1862-1896) |
Georges Achille-Fould (1868-1951) | Monique Apple (1937-1998) |
Marcelle Ackein (1882-1952) | Sevan Arabian (1938-...) |
Raoul Adam (1881-1948) | Arcabas (1926-) |
Jules Adler (1865-1952) | Pierre Arcambot (1914-...) |
Françoise Adnet (1924-2014) | Lucien Ardenne (1914-1993) |
Lucien Adrion (1889-1953) | Yolande Ardissone (1927-...) |
Alfred Agache (1843-1915) | Georges Arditi (1914-2012) |
Georgette Agutte (1867-1922) | Maurice Ardouin (1932-1999) |
Auguste Aiguier (1814-1865) | Lydie Arickx (1954-...) |
Gilles Aillaud (1928-2005) | Arman (1928-2005) |
Simone Aillaud (1909-?) | Marcel Arnaud (1877-1956) |
Anne Aknin (1922-...) | Louis Arnoux (1913-2006) |
Aline Alaux (1813-1856) | Marguerite Arosa (1854-1903) |
Fanny Alaux (1797-1880) | Jean Arp (1886-1966) |
Jeanne Alaux (1854-1908) | Jean-François Arrigoni Neri (1937-) |
Jean-Marie Albagnac (1931-...) | Geneviève Asse (1923-...) |
Lou Albert-Lasard (1885-1969) | Antoinette Asselineau (1811-1889) |
Malvina d'Albufera (1822-1877) | Armand Assus (1892-1977) |
Yves Alcaïs (1938-...) | Louise Astoud-Trolley (1828-1884) |
Yvette Alde (1911-1967) | Edmond Astruc (1878-1977) |
Hugo d'Alesi (1849-1906) | Charles Atamian (1872-1947) |
Nicole Algan (1925-1986) | Jean-Michel Atlan (1913-1960) |
Yves Alix (1890-1969) | Augustin Aubert (1781-1857) |
Gaudensi Allar (1841-1904) | Jean-Ernest Aubert (1824-1906) |
Marguerite Allar (1899-1974) | Joseph Désiré Aubert (1824-?) |
Étienne Allegrain (1644-1736) | Joseph-Jean-Félix Aubert (1849-1924) |
Raymond Allègre (1857-1933) | Louis Aubert (1720-vers 1800) |
Thérèse-Mirza Allix (1816-1882) | Michel Aubert (1930-...) |
Eugène Alluaud (1866-1947) | René Aubert (1894-1977) |
Edmond Aman-Jean (1858-1936) | Albert Aublet (1851-1938) |
Amaury-Duval (1808-1885) | François Aubrun (1934-2009) |
Pierre Ambrogiani (1907-1985) | Jean-Luc Aubry (1961-...) |
Jeanne Amen (1863-1923) | Jean Francis Auburtin (1866-1930) |
Marie Louise Amiet (1879-1944) | Jean-Jacques Audubon (1785-1851) |
Beatrice Valentine Amrhein (en) (1961-...) | Claude Augereau (1927-1988) |
Anastaise (xve siècle) | Jules-Robert Auguste (1789-1850) |
Jean-Pierre Ancel (1941-...) | Jean Aujame (1905-1965) |
Émile Ancelet (1865-1951) | Georges Autard (1951-...) |
Virginie Ancelot (1792-1875) | Daniel Authouart (1943-...) |
Frédéric-François d'Andiran (1802-1876) | Pauline Auzou (1775-1835) |
Albert André (1869-1954) | Joseph Aved (1702-1766) |
Andrea (1958-) | Jules-Charles Aviat (1844-1931) |
Mathuren Arthur Andrieu (en) (?-1896) | Armand Avril (1926-...) |
Clément-Auguste Andrieux (1829-1880) | Paul Avril (1849-1928) |
Gaston Anglade (1854-1919) | Joseph Marius Jean Avy (1871-1939) |
Charles Angrand (1854-1926) | Alexis Axilette (1860-1931) |
Louis Anquetin (1861-1932) | Albert Ayme (1920-2012) |
Peintres français
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Peintres français
D | |
Antony Damien (1858-1943) | Pierre Deval (1897-1993) |
Isidore Dagnan (1788-1873) | Anatole Devarenne (1880-1954) |
Pascal Dagnan-Bouveret (1852-1929) | Achille Devéria (1800-1857) |
Albert Dagnaux (1861-1933) | Eugène Devéria (1805-1865) |
Pierre Emmanuel Eugène Damoye (1847-1916) | Miguel Devèze (1909-2000) |
Henri-Camille Danger (1857-1937) | Charles Devillié (1850-1905) |
Jacques Daniel (1920-2011) | Anatole Devosge (1770-1850) |
Henri-Pierre Danloux (1753-1809) | Jean Dewasne (1921-1999) |
Édouard Joseph Dantan (1848-1897) | Jean Deyrolle (1911-1967) |
David Daoud (1970-) | Théophile Deyrolle (1844-1923) |
Henri-Alfred Darjou (1832-1874) | Daniel Dezeuze (1942-...) |
Charles-François Daubigny (1817-1878) | Georges Dezeuze (1905-2004) |
Karl Daubigny (1846-1886) | Henry Déziré (1878-1965) |
André Dauchez (1870-1948) | François Diana (1903-1993) |
Fernand Dauchot (1898-1982) | Narcisse Virgilio Díaz (dit Narcisse Díaz de la Peña)(1807-1876) |
Gabriel Dauchot (1927-2005) | Émile Didier (1890-1965) |
Lucien Daudet (1878-1946) | Jules Didier (1831-1914) |
Honoré Daumier (1808-1879) | Pierre Didier (1929-...) |
Anatole Dauvergne (1812-1870) | William Didier-Pouget (1864-1959) |
Geoffroy Dauvergne (1922-1977) | Jean Didier-Tourné (1882-1967) |
Henriette Daux (1866-1953) | Léon Dierx (1838-1912) |
Adrien Dauzats (1804-1868) | Antoine Dieu (1662-1727) |
Hermine David (1886-1970) | Yves Dieÿ (1892-1984) |
Jacques-Louis David (1748-1825) | Gérard Di-Maccio (1938-) |
Adrien Dax (1913-1979) | Étienne Dinet (1861-1929) |
Georges Dayez (1907-1991) | Nicolas Dipre, ou Nicolas D'Ypres, rarement Nicolas d'Amiens, actif à Avignon de 1495 à 1532 |
Edmond Daynes (1895-1986) | Hervé Di Rosa (1959-) |
Édouard Debat-Ponsan (1847-1913) | Eliane Diverly (1914-2012) |
Bernard Prosper Debia (1791-1876) | Pierre Dmitrienko (1925-1974) |
Colette Deblé (1944-...) | Edouard Doigneau (1865-1954) |
Jean-François Debord (1938-...) | Noël Dolla (1945-...) |
Olivier Debré (1920-1999) | Jean-Gabriel Domergue (1889-1962) |
Jean-Baptiste Debret (1768-1848) | Kees van Dongen (1877-1968) |
Philibert-Louis Debucourt (1755-1832) | Amandine Doré (1912-2011) |
Christoff Debusschere (1962-...) | Gustave Doré (1832-1883) |
Alfred Decaen (1820-1902) | Louis Dorigny (1654-1742) |
Alexandre-Gabriel Decamps (1803-1860) | Michel Dorigny (1617-1663) |
Théophile Henri Décanis (1847-1917) | Cécile Douard (1866-1941) |
Henri Déchanet (1930-) | Henri Doucet (1883-1915) |
Johan Stephan Decker (1784-1844) | Henri-Lucien Doucet (1856-1895) |
Alfred de Dreux (1810-1860) | Jacques Doucet (1924-1994) |
Alexandre Defaux (1826-1900) | Pierre Doye (1927-2006) |
Alfred Defossez (1932-) | Gabriel-François Doyen (1726-1806) |
Xavier Degans (1949-...) | Georges de Dramard (1838-1900) |
Edgar Degas (1834-1917) | Jean Dries (1905-1973) |
Jean Degottex (1918-1988) | Jean Droit (1884-1961) |
Anne Deguelle (1943-...) | Louise-Adéone Drölling (1797-1834) |
Auguste Delacroix (1809-1868) | Martin Drolling (1752-1817) |
Eugène Delacroix (1798-1863) | François-Hubert Drouais (1727-1775) |
Michel Delacroix (1933-...) | Jean-Germain Drouais (1763-1788) |
Alexis Auguste Delahogue (1867- environ 1935) | Hervé Dubly (1935-2005) |
Eugène Jules Delahogue (1867-1935) | Jean Dubois le Vieux (1604-1676) |
Paul-Louis Delance (1848-1924) | Louis-Alexandre Dubourg (1821-1891) |
Paul Delaroche (1797-1856) | Victoria Dubourg (1840-1926) |
Angèle Delasalle (1867-1941) | Pierre Dubreuil (1891-1970) |
Joseph Delattre (1858-1912) | Toussaint Dubreuil (1561-1602) |
Jules-Élie Delaunay (1828-1891) | Éric Dubuc (1961-1986) |
Robert Delaunay (1885-1941) | Édouard Dubufe (1819-1883) |
Sonia Delaunay (1895-1979) | Juliette Dubufe-Wehrlé (1879-1918) |
Étienne-Jean Delécluze (1781-1863) | Jean Dubuffet (1901-1985) |
Cécile Delessert (1825-1887) | Alexandre Dubuisson (1805-1870) |
François-Alfred Delobbe (1835-1920) | Pierre Duc (1945-...) |
Henriette Deloras (1901-1941) | Odette Ducarre (XXe) |
Charles Édouard Delort (1841-1895) | Marcel Duchamp (1887-1968) |
Hélène Delprat (1958-...) | Suzanne Duchamp (1889-1963) |
André Delpuch (1952-) | Jean-Louis Ducis (1775-1847) |
Lucien-Victor Delpy (1898-1967) | Joseph Ducreux (1735-1802) |
Bernadette Delrieu (1944-...) | Rose-Adélaïde Ducreux (1761-1802) |
Gabriel Deluc (1883-1916) | Ernest Ange Duez (1843-1896) |
Jérémie Delutel (1657-1728) | Clémentine-Hélène Dufau (1869-1937) |
Jean-François Delyen (1684-1761) | Bernard Dufour (1922-2016) |
Pierre-Antoine Demachy (1723-1807) | Émilien Dufour (1896-1975) |
Georges Demanche (1870-1941) | François Dufrêne (1930-1982) |
Jean-Louis Demarne (1752-1829) | Georges Dufrénoy (1870-1943) |
Adrien Demont (1851-1928) | Jean Dufy (1888-1964) |
Virginie Demont-Breton (1859-1935) | Raoul Dufy (1877-1953) |
Jacques Denier (1894-1983) | Gaspard Dughet (1615-1675) |
Maurice Denis (1870-1943) | Edmond Dulac (1882-1953) |
Auguste Denis-Brunaud (1903-1985) | Jeannie Dumesnil (1926-2000) |
Régis Deparis (1948-...) | Pierre-Louis Dumesnil (1698-1781) |
André Derain (1880-1954) | Natalia Dumitresco (1915-1997) |
Damien Deroubaix (1972-...) | Daniel Dumonstier (1574-1646) |
Isidore Laurent Deroy (1797-1886) | Pierre Dumonstier I (1545?-1610?) |
Jacques Derrey (1907-1975) | François Dumont (1751-1831) |
Charles Porphyre Alexandre Desains (1789-1862) | Pierre Dumont (1884-1936) |
Marcellin Desboutin (1823-1902) | Louis-Jules Dumoulin (1860-1924) |
Léopold Desbrosses (1821-1908) | Jean Dunand (1877-1942) |
Jean-Baptiste Descamps (1714-1791) | Clotilde Dunant (1821-1892) |
Auguste Desch (1877-1924) | Prosper Dunant (1790-1878) |
Alexandre Desgoffe (1805-1882) | Alexandre-Hyacinthe Dunouy (1757-1841) |
Blaise Alexandre Desgoffe (1830-1901) | Françoise Duparc (1726-1778) |
Jean-Baptiste Deshays de Colleville (1729-1765) | Jean Dupas (1882-1964) |
Antoine Desjardins (1955-...) | Joseph Siffrein Duplessis (1725-1802) |
Denise Desjardins (1923-2016) | Victor Dupont (1873-1941) |
Émilie Desjeux (1861-1957) | Jules Dupré (1811-1899) |
Cécile Desliens (1853-1937) | Julien Dupré (1851-1910) |
Marie Desliens (1856-1938) | Jean Dupuy (1925-) |
Victor Jean Desmeures (1895-1978) | Louis Jean-Jacques Durameau (1733-1796) |
Ferdinand Desnos (1901-1958) | Jean-Aimé-Roger Durand (1914-2001) |
François Desnoyer (1894-1972) | Hortense Dury-Vasselon (1860-1924) |
Jean-Baptiste Despax (1710-1773) | Jacques Duthoo (1910-1960) |
Alexandre-François Desportes (1661-1743) | Constant Dutilleux (1807-1865) |
Henriette Desportes (1877-1951) | Gilles Dutillieu (1697-1738) |
Henri Prosper Alfred Destailleur (1816-1901) | Rémy Duval (1907-1984) |
Édith Desternes (1901-2000) | Théophile Emmanuel Duverger (1821-?) |
Georges Desvallières (1861-1950) | René Duvillier (1919-2002) |
Édouard Detaille (1848-1912) | Véronique Duvillier (1967-) |
Marie-Thérèse Dethan-Roullet (1870-1945) | Julien Duvocelle (1873-1961) |
Maxime Dethomas (1867-1929) | Marcel Dyf (1899-1985) |
Eugène Deully (1860-1933) | Edmond Dyonnet (1859-1954) |
Ludwig Deutsch (1855-1935) | |
Marc Devade (1943-1983) | |
E | |
Edy-Legrand (1892-1970) | Patricia Erbelding (1958-...) |
Jean-Marc Ehanno (1942-...) | Max Ernst (1891-1976) |
Maurice Ehlinger (1896-1981) | Erté (1892-1990) |
Patrick Ehrhard (XXe-XXIe) | Michel Escale (1960-...) |
François-Émile Ehrmann (1833-1910) | Charles Eschard (1748-1810) |
Willy Eisenschitz (1889-1974) | Roger Eskenazi (1923-2003) |
Harry Eliott (1959-...) | Georges d'Espagnat (1870-1950) |
Ferdinand Elle (1580-1637) | Christian d'Espic (1901-1978) |
Louis Ferdinand Elle l'Aîné (1612-1689) | Maurice Estève (1904-2001) |
Louis Ferdinand Elle le jeune (1649-1717) | Henry d'Estienne (1872-1949) |
Maryse Eloy (1930-...) | Hubert-Denis Etcheverry (1867-1950) |
Catherine Empis (1796-1879) | Antoine Etex (1808-1888) |
Marius Engalière (1824-1857) | Eudaldo (1914-1987) |
Delphin Enjolras (1865-1945) | Jean Even (1910-1986) |
Henri Epstein (1891?-1944) | |
F | |
François-Xavier Fabre (1766-1837) | Lionel Floch (1895-1972) |
Annette Faive (1911-1988) | Victor Flogny (1825-1879) |
Abel Faivre (1867-1945) | Lionel Florence (1958-...) |
Alexandre Falguière (1831-1900) | Arthur Foache (1871-1967) |
Louis Clément Faller (1819-1901) | Pierre Arthur Foäche (1871-1967) |
Antonin Fanart (1831-1903) | Sandrine Follère (1969-...) |
Pierre Faniest (1926-2010) | Gabriel Fontaine (1946-...) |
Henri Fantin-Latour (1836-1904) | Guy Fontaine (1936-...) |
Laurent Fauchier (1643-1672) | Léo Fontan (1884-1965) |
Jean Fautrier (1898-1964) | Lucien Fontanarosa (1912-1975) |
Philippe Favier (1957-...) | Robert Fontené (1892-1980) |
André Favory (1889-1937) | Horace Antoine Fonville (1832-1914) |
Antoine Favray (1706-1798) | Nicolas Victor Fonville (1805-1856) |
Ivan Fayard (1969-...) | Jean-Louis Forain (1852-1931) |
Catherine Feff (1954-...) | Henri Foreau (1866-1938) |
Hélène Feillet (1812-1889) | Henri-Joseph de Forestier (1787-1872) |
Odile Felgine (1960-...) | Marie-Anne-Julie Forestier (1782-1843) |
Paul Fenasse (1899-1976) | Claude Fossoux (1946-...) |
William Fenech (1946) | Guillaume Fouace (1837-1895) |
Serge Férat (1881-1958) | Anne Foudral (1953-...) |
Jean Fernand-Trochain (1879-1969) | André Fougeron (1913-1998) |
Louis Fernez (1900-1984) | Tsugouharu Foujita (1886-1968) |
Robert Fernier (1895-1977) | Consuelo Fould (1862-1927) |
Éloi Firmin Féron (1802-1876) | Jean Fouquet (1425-1481) |
Adèle Ferrand (1817-1848) | Michel Four (1945) |
Casimir Ferrer (1946-...) | Albert Fourié (1854-1937) |
Nino Ferrer (1934-1998) | Marie Fournets-Vernaud (1859-?) |
Gabriel Ferrier (1847-1914) | Alain-Adrien Fournier (1931-1983) |
Anne-Marie Feuchères (1892-1956) | Jean Fous (1901-1971) |
Raymond Feuillatte (1901-1971) | Alexandre Fragonard (1780-1850) |
Bernadette Février (1946-...) | Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) |
Jacques-Eugène Feyen (1815-1908) | Marie-Anne Fragonard (1745-1823) |
Augustin Feyen-Perrin (1826-1888) | Anne Français (1909-1995) |
Sophie Feytaud (XIXe) | François-Louis Français (1814-1897) |
Madeleine Fié-Fieux (1897-1995) | Alexandre Thomas Francia (1815-1884) |
Charles Filiger (1863-1928) | Guy François (1578-1650) |
Rosalie Filleul (1753-1794) | Frank-Will (1900-1951) |
Maurice Fillonneau (1930-2000) | Jean-Pierre Franque (1774-1860) |
Véronique Filozof (1904-1977) | Charles Frechon (1856-1929) |
Claude Firmin (1864-1944) | Martin Fréminet (1567-1619) |
François-Marie Firmin-Girard (1838-1921) | Charles-Théodore Frère (1814-1886) |
Charles-Antoine Flajoulot (1774-1840) | Pierre-Édouard Frère (1819-1886) |
François Flameng (1856-1923) | Edmond Freess (1938-2016) |
Léopold Flameng (1831-1911) | Émile Friant (1863-1932) |
Hippolyte Flandrin (1809-1864) | Othon Friesz (1879-1949) |
Jules Flandrin (1871-1947) | Bernard Frize (1954-...) |
Marthe Flandrin (1904-1987) | Gérard Fromanger (1939-...) |
Paul Flandrin (1811-1902) | Nicolas Froment (1435-1486) |
Camille Flers (1802-1868) | Eugène Fromentin (1820-1876) |
Fanny Fleury (1846-1923) | Monique Frydman (1943-...) |
Frédérique Fleury (1957-...) | Charlotte Eustache Sophie de Fuligny-Damas (1741-1828) |
François Antoine Léon Fleury (1804-1858) | Jean Fusaro (1925-...) |
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Tournage
L'ancienne mairie de Champeaux, transformée en gendarmerie pour le film.
Selon le roman de René Fallet, l'histoire est censée se dérouler à Jaligny-sur-Besbre dans l'Allier, mais le tournage du film s'est effectué en Seine-et-Marne. Il s'est déroulé du 6 juillet au 18 septembre 1981. Le village que l'on voit dans le film est celui de Champeaux (la mairie, la poste, la boulangerie, la place du village). Les maisons des deux protagonistes ont été construites pour le film à Évry-Grégy-sur-Yerre dans un champ situé non loin du prieuré de Vernelle9. Elles ont été démontées à l'issue du tournage. Le hameau fictif dit des Gourdiflots visible au début du film se situe près du château de Montjay (Les Trayants) à Bombon, les bâtisses sont désormais des ruines .
Le tournage du film s'effectua en Seine-et-Marne pour une autre raison, qui concernait les problèmes de santé de l'acteur Louis de Funès : celui-ci avait de gros problèmes cardiaques depuis 1974, année où il fit un premier infarctus. L'acteur était depuis très affaibli. Un tournage en région parisienne tranquillisait les assureurs et les producteurs, car l'acteur pouvait avoir accès rapidement à de grands centres hospitaliers en cas de problèmes cardiaques.
Comme pour L'Avare, Louis de Funès partage ouvertement la réalisation du film avec Jean Girault, le premier s'occupant de la mise en scène et de la direction d'acteurs tandis que le second s'occupe des aspects techniques. Contrairement à leur précédente collaboration, Louis de Funès n'est pas crédité en tant que co-réalisateur. L'Avare demeure donc le seul film officiellement co-réalisé par Louis de Funès.
Pour la première fois de sa carrière, Louis de Funès tourne avec écran de contrôle vidéo, qui permet de visionner immédiatement les prises, et s'avère être un outil de travail désormais indispensable pour l'acteur. L'acteur garde toujours sur lui le roman original, pour s'assurer de la fidélité des scènes tournées.
Durant le tournage, Louis de Funès soutient, conseille et rassure le jeune Jacques Villeret, en lui expliquant que l'acteur italien Totò, le plus grand acteur comique européen d'après-guerre, avait fait la même chose avec lui lorsqu'ils ont joué ensemble dans Totò à Madrid, à la fin des années 1950.
Malgré le conseil d'Yves Robert, Louis de Funès met bien dans le film la scène du concours de pets entre le Glaude et le Bombé, et juge qu'elle a été faite « d'une façon qui n'est grossière, elle est très drôle ». Les bruits de pets du Glaude et du Bombé ont été réalisés par des imitateurs en studio :
« La production du film, pour réaliser le son des diverses flatulences, avait engagé des imitateurs. Chacun son tour, ceux-ci faisaient des pets différents. Louis et moi étions là qui écoutions les différentes sonorités. Nous nous les disputions, trouvant que tel ou tel pet convenait mieux que d'autres. Ça donnait à peu près : « Celui-là est pour moi ! » — « Non, pour moi ! » — « Mais écoute, il est gras comme les miens ! » — « Il n'est pas gras, il est rond, il me convient mieux ! » — « Et celui-là ? » — « Celui-là est pour toi ! » — « Ah non, pas du tout ! » — « Mais si, il est sec »… »
— Jean Carmet.
Musique
Ce film est également connu pour le thème principal de sa bande originale, une mélodie folk électronique synthpop d'inspiration auvergnate, composée et jouée par Raymond Lefèvre sur des synthétiseurs (instrument dont il s'était servi une première fois pour la musique du film Le Gendarme et les Extra-terrestres). Près de 40 ans après sa création, ce thème identifie toujours le film et reste populaire en France.
Le thème accordéon joué par « le Bombé » dans le film est un extrait de La Valse brune. Pour la fête foraine, Jean Girault ré-utilise sans le moindre changement le morceau Parade à Saint-Tropez composée par Raymond Lefèvre pour la scène finale du film Le Gendarme et les Extra-terrestres.
Effets spéciaux
Guy Delécluse, responsable de la conception de la planète Krypton dans Superman, a créé la soucoupe volante dans La Soupe aux choux. Celle-ci nécessita quatre mois de travail pour environ cinq minutes à l'écran.
Accueil
Sortie et fréquentation
La Soupe aux choux sort en salle le 2 décembre 1981. Le producteur Christian Fechner a mis en place une publicité importante pour le film. Le film sort d'abord dans les « salles d'exclusivité » : 21 salles à Paris intra-muros, 23 salles en banlieue parisienne et 21 salles dans le reste de la France. Malgré l'insuccès de L'Avare (précédent film de Louis de Funès, sorti l'année précédente), le public est intéressé par le film puisque 198 001 tickets d'entrées sont vendus la première semaine, uniquement dans les 44 salles parisiennes. La projection dans ces salles d'exclusivité rapporte 6,6 millions de francs de recettes.
À la fin de sa première exploitation en salles, La Soupe aux choux a attiré un peu plus de 3 millions de spectateurs en France.
Critiques
À la sortie en salle du film, le producteur Christian Fechner n'organise pas de projection spéciale pour la presse — comme c'était le cas pour L'Aile ou la Cuisse — et refuse même que les critiques de cinéma puissent voir le film lors de sa première semaine d'exploitation. Dans Le Monde, le critique Jacques Siclier s'exprime sur cette interdiction rare :
« Les critiques de cinéma pour qui l'entrée dans les salles est gratuite, grâce à leur carte professionnelle, se voient, pour La Soupe aux choux, refuser ce droit pendant la première semaine d'exclusivité. Qu'ils en aient dit du bien ou du mal, ils n'ont jamais eu d'influences sur le succès commercial des films de Jean Girault avec Louis de Funès (la série du Gendarme, par exemple). Craindrait-on, cette fois, qu'ils ne détournent le public de ce brouet cinématographique en mettant les pieds dans la soupière ? »
— Jacques Siclier, Le Monde, 5 décembre 1981.
Les critiques paraissent à partir de la semaine suivante. Parmi les rares critiques positives, on trouve celle de Robert Chazal de France-Soir, soutien indéfectible de chaque film de Louis de Funès (il a écrit une biographie de l'acteur en 1977), qui évoque le « robuste comique — avec parfois un rire un peu amer — [qui] donne à Louis de Funès et Jean Carmet l'occasion de faire un duo de belle saveur ». La performance de Louis de Funès est saluée par quelques critiques. Dans L'Express, Danièle Heymann apprécie elle aussi la performance de Louis de Funès (« Matois, finaud, jubilatoire, il ajoute à sa classique panoplie de puncheur atrabilaire un élément inédit : la tendresse ») mais regrette la manque de caractère dans la réalisation de Jean Girault : « En chef, ce qui manque à La Soupe, c'est un chef. C'est-à-dire un metteur en scène. Jean Girault apparaît pour la douzième fois au générique d'un de Funès. Falot féal de Fufu, il a manifestement abdiqué toute autorité. Le rythme, le tonus, le ton s'en ressentent ».
Du reste, la majorité des critiques sont négatives, fustigeant la réalisation de Jean Girault, la trahison faite au roman original de René Fallet et la puérilité de certains gags16. Le Monde parle d'une « farce […] à la fois ennuyeuse et vulgaire »16. Parmi les critiques jugeant que le film est une très mauvaise adaptation de l'œuvre de Fallet, on trouve celles des Nouvelles littéraires et de Claude Baignères dans Le Figaro :
« Hélas, Jean Girault, non content de se prendre pour un réalisateur, a cette fois tâté de l'adaptation. Le gâchis est immense, la catastrophe sans mesure. Du roman, rien ne subsiste : la verve et le talent de Fallet sont balayés par une effrayante tornade de nullité, qui emporte jusqu'au métier pourtant consommé de Louis de Funès et de Jean Carmet »
— Les Nouvelles littéraires, 10 décembre 1981.
« La plume de Fallet dessinait à travers des péripéties colorées un véritable conte philosophique dont le film ne laisse rien subsister. Sauf peut-être dans le regard madré, méfiant, critique, ou tendre de Jean Carmet. Mais le reste se limite aux aboiements habituels, aux rages de roquets, aux roulements d'yeux et claquements de langue d'un de Funès qui paraît oublier son personnage pour se limiter à son numéro ordinaire. Pathétique ! »
— Claude Baignères, Le Figaro, 4 décembre 1981.
Enfin, avec une pointe d'humour, la plupart des critiques font référence aux flatulences qui ponctuent le film. Télérama dit « Jean Girault signe là un film nauséabond. Il respire la bêtise et la gauloiserie malsaine. À éviter. » et Le Canard enchaîné parle d'un « film qui ne vaut pas un pet ». Dominique Jamet du Quotidien de Paris conclut sa critique — intitulée « Navet » — ainsi : « Ce film, s'il faut mettre les points sur les i, ne peut plaire qu'aux hommes épris de pets ».
Succès à la télévision et reconnaissance actuelle
Après avoir attiré un peu plus de 3 millions de spectateurs à sa sortie dans les salles, c'est à la télévision que La Soupe aux choux a eu le plus de succès. Comme de nombreux films culte, il est souvent rediffusé, depuis sa première diffusion française qui a eu lieu le 10 janvier 1984 sur Antenne 2. Le 1er janvier 2008, France 2 est en première position en rediffusant le film en fin d'après-midi avec près de 5 millions de téléspectateurs, soit 29,6 % de part de marché. Lors de sa 15e diffusion à la télévision française le 18 avril 2013 sur France 3, plus de 4 millions de téléspectateurs ont regardé le film, soit 15,8 % de part de marché, permettant à la chaîne publique d'être deuxième juste derrière TF1. Le 4 juillet 2019, le film diffusé sur France 3, réunit 1 764 000 téléspectateurs, soit 9,5 % de part de marché, derrière M6 et TF1.
Analyse
Le film serait « une charge contre la désertification rurale » pour le journaliste Julien Jouanneau
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Fiche technique
Titre : La Soupe aux choux
Réalisation : Jean Girault
Scénario et dialogues : Jean Halain, d'après le roman La Soupe aux choux de René Fallet (éditions Denoël)
Adaptation : Jean Halain, Louis de Funès
Assistant réalisateur : Michel Leroy
Musique : Raymond Lefebvre
Directeur de la photographie : Edmond Richard
Son : Paul Laine
Décors : Sydney Bettex
Régisseur général : Bernard Bouix
Montage : Michel Lewin
Effets spéciaux : Guy Delécluse (création soucoupe volante), André Clément, Pierre Sarda
Générique : Les Films Michel François
Production : Christian Fechner
Producteur délégué : Bernard Artigues
Sociétés de production : Les Films Christian Fechner, Films A2
Année de production : 1981
Tournage : du 6 juillet 1981 au 18 septembre 1981
Pays d'origine : France
Langue originale : Français
Format : couleur par Eastmancolor – 35 mm – 2.35:1 Cinémascope – son monophonique
Genre : comédie, science-fiction
Durée : 98 minutes
Date de sortie : 2 décembre 1981
Distribution
Louis de Funès : Claude Ratinier, dit « le Glaude », paysan sabotier du hameau des Gourdiflots/la voix de la boîte quand la Denrée appelle Oxo (non crédité)
Jean Carmet : Francis Chérasse, dit « le Bombé » ou « Cicisse », paysan puisatier du hameau des Gourdiflots
Jacques Villeret: l'extraterrestre de la planète Oxo, dit « la Denrée »
Christine Dejoux: Francine, la femme de 60 ans décédée de Claude Ratinier, ressuscitée à l'âge de 20 ans
Claude Gensac : Amélie Poulangeard, la « bredine » du village, qui prétend avoir vu une soucoupe volante
Henri Génès : le maréchal des logis-chef de Jaligny
Marco Perrin : le maire capitaliste
Gaëlle Legrand : Catherine Lamouette, la nouvelle amie de Francine
Philippe Ruggieri : Robert, le nouvel ami de Francine
Max Montavon : le frère d'Amélie Poulangeard, incrédule
Thierry Liagre : le médecin, furieux d'apprendre que « le Glaude » boit 6 litres de vin par jour
Perrette Souplex : Aimée, la patronne de l'hôtel de France
Philippe Brizard : Guillaume, le facteur
Catherine Ohotnikoff : la patronne du restaurant où travaille Francine
Carole Nugue
Jean-Pierre Rambal : le narrateur au début du film
La Soupe aux choux est l'adaptation cinématographique du roman éponyme de René Fallet, publié en janvier 1980 en France, aux éditions Denoël. Louis de Funès découvre le livre rapidement après sa parution et « tombe amoureux de son chant d'amour à la terre et à ses générosités, de sa compassion envers les laissés-pour-compte de la modernité, de son ironie profonde envers toutes les tentatives de changer l'ordre séculaire des choses de la campagne ». Christian Fechner, producteur « attitré » de l'acteur depuis L'Aile ou la Cuisse en 1976, achète les droits d'adaptation du roman. Louis de Funès rencontre l'écrivain et entreprend lui-même l'adaptation du roman, avec l'aide de Jean Halain. Ce dernier, fils du réalisateur André Hunebelle et « bon artisan d'une certaine comédie à la française » selon Christian Fechner, a de nombreuses fois collaboré avec Louis de Funès à l'écriture de scénarios, dont celui de L'Avare.
Ensemble, ils suppriment certaines histoires périphériques présentes dans le roman afin de ne pas retarder l'intrigue principale.
Globalement, le film est assez fidèle au livre. De nombreuses répliques cultes y ont d'ailleurs été conservées mot pour mot.
Le réalisateur Yves Robert met en garde de Funès sur la complexité d'une adaptation de Fallet au cinéma, les précédentes étant rarement réussies, et, surtout, lui conseille de ne pas faire apparaître la scène de « pétomanie », absolument inmontrable
Dès le début du projet, Louis de Funès envisage Jean Carmet pour le rôle du « Bombé ». Ils avaient souvent joué ensemble à l'époque où Louis de Funès n'était pas connu (c'est-à-dire avant Le Gendarme de Saint-Tropez en 1964). Depuis, Jean Carmet est lui aussi devenu célèbre — tardivement, comme de Funès — avec des rôles importants à partir des années 1970.
Jacques Villeret incarne l'extraterrestre venu de la planète Oxo et surnommé « la Denrée » par « le Glaude ». Christian Fechner désirait que Louis de Funès tourne une nouvelle fois aux côtés d'un comédien de la jeune « génération montante », après Coluche dans L'Aile ou la Cuisse. Outre Villeret, un autre jeune acteur était pressenti pour tenir le rôle : Olivier Lejeune, qui avait déjà côtoyé Louis de Funès sur le tournage des Aventures de Rabbi Jacob. Celui-ci correspondait plus au physique du personnage du roman, « une grande asperge très mince », et était soutenu par Jean Girault. Après des essais passés devant le producteur, le réalisateur et Louis de Funès, le rôle est confié à Jacques Villeret. Louis de Funès l'avertit toutefois : « Cela peut être un très grand rôle pour vous, mais cela peut aussi être la fin de votre carrière », conscient des risques qu'il y a à tourner avec lui. Bien que n'étant pas son premier film, La Soupe aux Choux aura véritablement lancé la carrière de Jacques Villeret qui jusqu'alors « se cherchait » en tournant des films aux genres et ambitions très divers (notamment avec le réalisateur Claude Lelouch).
Le rôle d'Amélie Poulangeard, la vieille folle du village, est confié à Claude Gensac que Louis de Funès apprécie avoir à ses côtés lors de tournages et qui a souvent joué l'épouse de ses personnages au cinéma (dont Josépha, l'épouse du gendarme Cruchot à partir du Gendarme se marie). Tout comme dans L'Aile ou la Cuisse, où elle se voyait grimée en vieille secrétaire, l'actrice est une nouvelle fois presque méconnaissable.
Christine Dejoux est choisie pour jouer la Francine, la femme de Claude Ratinier, ressuscitée par la Denrée telle que sur sa photo de mariage. Elle s'était fait connaître en participant au sketch Le Schmilblick de Coluche, parodiant Simone Garnier.
Le frère de la vieille folle, hermétique aux dires de sa sœur, est interprété par Max Montavon, acteur dont Louis de Funès est très proche, qui joue des seconds rôles dans nombre de ses films (Le Grand Restaurant, Fantômas se déchaîne, Fantômas contre Scotland Yard, Le Petit Baigneur, Les Grandes Vacances, Hibernatus, L'Aile ou la Cuisse, L'Avare, etc.) et qui le côtoiera à nouveau dans Le Gendarme et les Gendarmettes l'année suivante.
Henri Génès joue le brigadier-chef de Jaligny, après avoir joué un gendarme carcassonnais dans Le Corniaud (en 1964) et le commissaire dans L'Avare. Il faisait aussi une apparition dans Le Gendarme et les Extra-terrestres, incarnant le patron du restaurant Le Cabanon.
Le petit ami de Francine, Robert, est interprété par Philippe Ruggieri, qui apparaîtra également dans un petit rôle dans Le Gendarme et les Gendarmettes.
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La Soupe aux choux est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1981.
Comédie mêlée de science-fiction, adaptation du roman du même nom de René Fallet paru en 1980, le film rassemble les acteurs Louis de Funès (dont c'est l'avant-dernier film), Jean Carmet et Jacques Villeret.
À sa sortie, le film est un succès commercial modéré — en comparaison des habituels succès de Louis de Funès — et reçoit des critiques majoritairement négatives de la part des professionnels. Cependant, il est considéré comme un film culte par le public et fait toujours un succès à la télévision.
Deux amis de longue date vivent l'un près de l'autre dans un hameau campagnard. Ils sont septuagénaires. Claude Ratinier, dit « le Glaude », est un sabotier veuf. Francis Chérasse, dit « le Bombé » fut un puisatier. Leur lieu-dit, les Gourdiflots, est très en retrait de la vie moderne, dans le Bourbonnais. En dehors de toute surveillance de leur santé, chacun consomme cinq à six litres quotidiens de pinard.
Une nuit, à la suite d'un concours de pets auquel se sont livrés les deux amis, un extraterrestre débarque en soucoupe volante de la planète Oxo dans le jardin du Glaude. L'extraterrestre a entendu les flatulences et a cru qu'il s'agissait d'un langage lui demandant d’atterrir ici. Le Glaude, comprenant que l'être est affamé, lui donne alors à manger de la soupe aux choux. L'extraterrestre apprécie le potage, il en emporte donc sur sa planète. Il sera surnommé « la Denrée ».
Le voisinage s'émeut des allers-retours du visiteur mais le Glaude et la Denrée se lient d'amitié. Peu après, l'extraterrestre lui propose de venir le rejoindre sur sa planète pour qu'il fasse bénéficier tous les Oxiens des bienfaits de la soupe aux choux, mais le Glaude refuse en mettant en avant son amitié avec le Bombé. La Denrée repart avec un louis d'or du Glaude et lui promet de faire revenir à la vie sa femme, « la Francine », morte dix ans plus tôt. Chose promise, chose due, sa femme est ressuscitée, revenant âgée de seulement vingt ans. Le décalage est flagrant entre les générations. La nouvelle Francine veut profiter de la vie au lieu d'avoir à trimer sans en profiter comme dans sa vie précédente. Elle s'en va au village et elle est prise en stop par la jeune Catherine Lamouette, du même âge qu'elle. Arrivées au village, elles font du shopping et la Francine s'habille à la dernière mode. De retour chez le Glaude, Francine prend un bain de soleil en petite tenue, ce qui exaspère le Glaude. La Francine lui révèle qu'elle l'a trompé avec le Bombé alors qu'il était prisonnier durant la guerre à Berlin. Le Glaude s'en va faire avouer le Bombé en le menaçant avec un fusil. Ce dernier avoue, le Glaude lui pardonne. Pendant ce temps, Francine mène une vie de jeune fille de vingt ans : elle s'entiche d'un nouvel amoureux et quitte le Glaude.
La Denrée revient sur terre et annonce que la soupe aux choux a été considérée comme une source de plaisir. La Denrée a pris de l'avancement et propose au Glaude de venir sur la planète Oxo pour y planter des choux, faire de la soupe, vivre jusqu'à 200 ans comme lui, le Bombé et leur chat blanc et noir de treize ans. De plus, la Denrée ramène le louis d'or après l'avoir multiplié par centaines. La Denrée repart. Durant ce temps, au village, le maire annonce la construction d'un parc d'attractions et d'une ville nouvelle. Il rend visite au Bombé et au Glaude pour leur exposer sa théorie sur « l'expansion économique » : parking, chaises longues, « rocher aux singes ». Rattrapés par les péripéties de la vie moderne, le Glaude expose au Bombé les plans de la Denrée et lui révèle l'existence de ce dernier et de la planète Oxo. Ils décident d'émigrer vers Oxo. Avant de partir, le Glaude envoie à la Francine, qui est devenue serveuse, les louis d'orj oints d'une lettre. La Francine se met à sangloter pensant que le Glaude va mettre fin à ses jours suite à leur séparation. Le film se termine avec la Denrée, le Glaude, le Bombé et le chat s'exilant vers Oxo et un autre vaisseau emportant dans les étoiles les Gourdiflots.
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Henri de Vauquelour, chevalier de l'ordre du Temple, avant-dernier maître de la baillie de Lorraine (1304) et aumônier du duc Thiébaud II de Lorraine en 1306
Robert de Baudricourt, gouverneur de Vaucouleurs et compagnon de Jean d'Arc,
Jeanne Bécu de Vaubernier, comtesse du Barry, née à Vaucouleurs en 1743,
Jehan Leclerc de Pulligney défend les intérêts des habitants de Domrémy et de son seigneur lors d'un procès en 1428. Il remplace comme procureur Jacques d'Arc. Vaucouleurs et Robert seigneur de Baudrecourt et de Bloise, capitaine de Vaucouleurs sont souvent cités dans un acte le concernant,
Jeanne d'Arc, qui rencontra le seigneur Robert de Baudricourt à Vaucouleurs et d'où elle prit son départ pour Chinon. Elle est toujours très présente dans l'esprit des Valcolorois du XXIe siècle,
Joseph Boyer de Rébeval (1768-1822), général français de la Révolution et de l’Empire, combattit à Waterloo.
Pierre Alexis de Pinteville (1771-1850), général français de la Révolution et de l’Empire né dans cette commune.
Jean-Louis Soye (1774-1832), général français de la Révolution et de l’Empire mort dans cette commune.
Jacques Thuillier, (1928-2011), historien de l'art français. Professeur au Collège de France,
Henri Bataille (1908-2008), historien, archéologue et écrivain d'une rare ténacité dans ses recherches sur Jehanne d'Arc et Vaucouleurs auxquels il a consacré plusieurs ouvrages.
Les Justes parmi les Nations dans la commune :
Alfred Pinck
Lucie Pinc
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