Monde : France
Par Le Figaro avec AFP
Mis à jour à 14:50
Publié à 14:34
Les invendus non alimentaires devront être donnés ou recyclés
Pour lutter contre le gaspillage, la France va interdire la destruction des vêtements, de l'électroménager et des produits d'hygiène d'ici deux à quatre ans, a annoncé Edouard Philippe.
La destruction des invendus non alimentaires (vêtements, électroménager, produits d'hygiène ou de beauté etc.), un des cas emblématiques du gaspillage, va être interdite d'ici deux à quatre ans en France, a annoncé mardi le premier ministre Edouard Philippe.
Cette mesure, présentée comme une «première mondiale» par le chef du gouvernement, vise à imposer de donner ces produits ou de les recycler, à partir de fin 2021 ou de fin 2023 suivant les cas, en complément aux mesures déjà adoptées ces dernières années contre le gaspillage alimentaire. Aujourd'hui, plus de 600 millions d'euros de produits non alimentaires neufs et invendus sont jetés ou détruits chaque année, selon Matignon.
Plus de 600 millions d'euros de produits non alimentaires neufs et invendus sont jetés ou détruits chaque année, selon Matignon. Reuters
Depuis 2015, les opposants ont choisi pour certains de s'exprimer par des voies de fait, dont certaines ont été condamnées par la justice telles que l'occupation du Bois Lejuc, qualifiée d'illégale par le tribunal de grande instance de Bar-le-Duc et qui perdure jusqu'à l'expulsion des derniers occupants par les gendarmes en février 2018, et pour d'autres par le recours à la justice : en 2017, par exemple, ils ont eu provisoirement gain de cause quant à la cession du Bois Lejuc par la commune de Mandres-en-Barrois à l'ANDRA, mais ils ont été déboutés par cour d'appel de Versailles quant à l'existence d'un potentiel géothermique exceptionnel sur le site du laboratoire ; de même en avril 2018, leur requête tendant à faire annuler l'arrêté pris en 2016 par Ségolène Royal pour fixer le coût du projet Cigéo a été rejetée par le Conseil d'État qui a considéré que l'arrêté en question n'était pas entaché d'erreur manifeste d'appréciation
https://www.sortirdunucleaire.org/Diaporamas
Le lavoir abrite aujourd'hui le CLIS (Comité local d'information et de suivi du laboratoire de Bure).
Laboratoire de recherche souterrain
Sur le territoire de la commune est implanté le laboratoire de Bure destiné aux recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde. Ce laboratoire souterrain est exploité par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA). La commune accueille également la « Maison de résistance à la poubelle nucléaire de Bure », animée par l'association Bure Zone Libre. Ce lieu est un espace d'information indépendante sur le projet de l'ANDRA et l'industrie nucléaire en général, de rencontres militantes, de promotions des énergies renouvelables et alternatives.
Potentiel géothermique
Selon le BRGM, le territoire de la commune de Bure est doté d'un fort potentiel géothermique dans la nappe aquifère du Tithonien (c'est-à-dire entre 0 et 10 mètres de profondeur). Les études menées par l'Andra ont montré qu'il n'existe pas de ressources géothermiques exceptionnelles dans la zone où est implanté le laboratoire souterrain, ni dans le reste du territoire communal. La Commission nationale d'évaluation aboutit aux mêmes conclusions.
Fin 2013, à la demande du comité local d'information et de suivi du laboratoire de Bure, le cabinet suisse d'expertise en géothermie Geowatt effectue une étude au terme de laquelle il conclut que « les ressources géothermiques peuvent être aujourd'hui exploitées de manière économique, avec l'emploi de technique et de matériel appropriés, et que l'enfouissement des déchets radioactifs rend inaccessible l’accès [sic] aux ressources géothermiques ». Plusieurs associations écologistes portent plainte contre l’ANDRA pour dissimulation, mais elles sont déboutées d’abord par le tribunal de grande instance de Nanterre qui ne reconnaît pas leur intérêt à agir, puis par la cour d'appel de Versailles qui considère que la communication de l'ANDRA sur la question est conforme à la réalité
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007
En 2016, la commune comptait 83 habitants, en diminution de 6,74 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Évolution de la population
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
295 | 309 | 313 | 343 | 353 | 341 | 333 | 333 | 346 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
366 | 356 | 348 | 314 | 290 | 273 | 251 | 249 | 220 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
225 | 225 | 199 | 196 | 184 | 149 | 149 | 147 | 170 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
135 | 119 | 106 | 105 | 92 | 85 | 91 | 92 | 86 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
83 | - | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Bure est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Ce village situé en zone rurale a été choisi pour être le lieu d'implantation du laboratoire de Bure destiné aux recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde.
Bure est située aux confins des départements de la Meuse, de la Haute-Marne et des Vosges. Par distance orthodromique, la localité se situe à 33 kilomètres de Bar-le-Duc et de Saint-Dizier, à 64 kilomètres de Nancy, et 54 kilomètres (non orthodromique) de Vittel et Contrexéville.
Bure est limitrophe de cinq communes, trois comprises dans le département de la Meuse et appartenant au canton de Montiers-sur-Saulx, à savoir : Mandres-en-Barrois, Montiers-sur-Saulx et Ribeaucourt ; et deux localités de la Haute-Marne (région Champagne-Ardenne) : Gillaumé et Saudron, sises dans le canton de Poissons.
Plus que l'habit du moine qui décore son blason, Bure tire son nom d'un lieu d'origine, assez fréquent dans les départements de la Meuse, Cote-d'Or, Calvados, Essonne, Orne. Issu du germanique bur, hutte, habitation. Cette étymologie a été imposée par un article de Jean Haust, paru en 1920 dans le Bulletin du dictionnaire wallon.
Au xviie siècle, les termes bur, bure, beûr (Liégois) sont fréquents à cette époque dans le sens "puits de mine" ; mais ils signifient parfois "trou", "fosse" (notamment pour enfoncer des piliers), "creux" (dans un arbre, un tronc). En gaumais et ardennais, on trouve la forme bore, "tronc, tige végétale" et bora, "très haut". Une expression, « fosse ou burres » figure dans le règlement des "ouvrages de hulhiers" datant de 1403 et reproduit par Jean de Stavelot.
À la suite de fouilles réalisées par l'Inrap en 2015 et 2016, une enceinte néolithique datant de la première moitié du 4emillénaire avant notre ère a été découverte, à la limite de Bure, Saudron et Gillaumé
Inauguration du supercalculateur français Joliot-Curie. Actuellement 9,4 pétaflops pour la recherche française et européenne, puis 22 pétaflops dès 2020.
Troisième supercalculateur français (40e place mondiale) dans le dernier Top500 des supercalculateurs les plus puissants au monde, derrière Tera 1000-2 (16e) et Pangea (34e), Joliot-Curie vient d'être inauguré au Très Grand Centre de Calcul du Commissariat à l'énergie atomique à Bruyères-le-Châtel (Essonne).
Conçue par Atos, cette machine est mise à disposition de la recherche française et européenne, que ce soit dans des domaines comme le climat, l'astrophysique, la biologie, la dynamique moléculaire, les propriétés des matériaux, et prochainement la génomique et les neurosciences.
Basé sur l'architecture BullSequana d'Atos, le supercalculateur Joliot-Curie a une puissance de calcul de 9,4 pétaflops en crête (sa puissance théorique maximale) qui est comparée à celle de 75 000 ordinateurs de bureau. En 2020, elle atteindra 22 pétaflops (22 millions de milliards d'opérations par seconde), faisant de ce supercalculateur le premier en France et troisième le plus puissant en Europe, du moins pour ce qui concerne la recherche.
Le superordinateur embarque des processeurs Intel Xeon 8168 à 2,7 GHz avec 24 cœurs par processeur et des processeurs Intel Xeon Phi 7250 à 1,4 GHz avec 68 cœurs par processeur. Respectivement, c'est un total de 79 4888 cœurs de calcul pour une puissance de 6,86 pétaflops et 56 304 cœurs pour une puissance de 2,52 pétaflops.
Le supercalculateur Joliot-Curie a une capacité de mémoire vive de 400 téraoctets. En complément, un système de stockage de données de 5 pétaoctets dispose d'une bande passante de 300 Go/s.
En 2020, des processeurs AMD Rome Epyc à 2,5 GHz avec 64 cœurs par processeur viendront s'ajouter au système. Avec un total de 293 376 cœurs de calcul, ce sera l'apport d'une puissance de 11,75 pétaflops.
Par ailleurs, et notamment pour des traitements en intelligence artificielle, la machine pourra compter sur 128 GPU Nvidia V100. Avec des processeurs Intel Cascade Lake à 2,1 GHz avec 20 cœurs, il s'agira d'une puissance supplémentaire de 1,13 pétaflops.
Dans le cadre de l'initiative européenne EuroHPC, l'arrivée de supercalculateurs de classe pré-exaflopique est prévue pour début 2021, puis de classe exaflopique vers 2022-2023. Cette entreprise commune européenne pour le calcul à haute performance profite d'un budget d'un milliard d'euros.
The Battle of the Rails ( Français : La Bataille du rail ) est un 1946 film de guerre réalisé par René Clément qui décrit les efforts déployés par les cheminots dans la Résistance française au sabotage des trains de transport militaire allemand pendant la Seconde Guerre mondiale,particulièrement lors l' invasion de la Normandie par Allied les forces.
Le film a été présenté au Festival de Cannes en 1946, où il a remporté le Prix international du jury et Clément, le prix du meilleur réalisateur . Le film a également remporté le premier Prix Méliès . Le film a été distribué aux États-Unis par Arthur Mayer et Joseph Burstyn .
Fiche technique
Titre français : La Bataille du rail
Titre anglais : The Battle of the Rails
Réalisation : René Clément
Scénario : René Clément, Colette Audry
Musique : Yves Baudrier
Photographie : Henri Alekan
Montage : Jacques Desagneaux
Production : Coopérative générale du cinéma français
Société de Distribution : LCJ Éditions et Productions
Pays d'origine : France
Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
Genre : film dramatique
Langue : français
Durée : 82 minutes
Dates de sortie :
France : 27 février 1946
États-Unis : 26 décembre 1949
Distribution
Charles Boyer : le narrateur
Jean Clarieux : Lampin, le mécanicien qui balance son train dans la vallée
Jean Daurand : un cheminot
Howard Vernon : le surveillant allemand à la pipe
Lucien Desagneaux : Athos
François Joux : un cheminot
Pierre Latour : un cheminot
Tony Laurent : Camargue
Robert Leray : le chef de gare
André Miller : un cheminot allemand de la Deutsche Reichsbahn
Léon Pauléon : le chef de la gare de Saint André
Pierre Lozach : un cheminot
Pierre Mindaist : un cheminot
Fernand Rauzena : un cheminot
Michel Salina : le directeur
Les cheminots de France
Suzanne Le Caer : la seule femme qui parle
La mise en scène est selon la définition d’André Antoine (considéré en France comme le premier metteur en scène) « l’art de dresser sur les planchesl'action et les personnages imaginés par l’auteur dramatique ». C’est l’ensemble de toutes les dispositions relatives à l’action, aux mouvements isolés ou concertés des acteurs, aux incidents qui doivent se produire autour d’eux, aux meubles, objets, accessoires, etc. La mise en scène, réglant les moindres détails, a pour effet d’assurer le jeu de chaque acteur et l’harmonie générale de l’exécution. On n’arrive à ce résultat qu’au prix de beaucoup d’habileté et d’expérience, par de nombreuses répétitions et la confiance mutuelle que donne aux acteurs l’habitude de jouer ensemble.
Par extension, une « mise en scène » est la préparation d'événements coordonnés avant leur accomplissement effectif.
Au sens large, on peut parler de mise en scène pour souligner l’aspect d’un événement qui n’est pas original
Le terme de « mise en scène » apparaît, semble-t-il, au début du XIXe siècle dans la brochure d'un spectacle intitulé Riquet à la houppe de Dubois et Hapdé, joué en 1802. Cependant, si le métier de metteur en scène date de la seconde moitié du XIXe siècle, l’organisation d’une mise en scène théâtrale est apparue dès la fin du XVIIIe siècle, lorsqu’il n’y eut plus de spectateur privilégié assis directement sur la scène
Auparavant, les acteurs devaient interpréter leur rôle selon des conventions établies. Chaque artiste élaborait individuellement sa gestuelle et sa déclamation, il fournissait lui-même le costume de son personnage, et les mouvements de scène étaient réduits au strict nécessaire. C’est avec l’idée d’unifier le style d’un spectacle, dans le jeu des comédiens, les costumes et l’espace des décors, que les dramaturgeset directeurs de théâtre ont commencé à élaborer des mises en scène
C'est au milieu du XIXe siècle que Richard Wagner formule ses principes dramaturgiques novateurs et les applique de manière concrète sur scène.
L'émergence de la mise en scène en France date du succès d'André Antoine et de son Théâtre-Libre en 1887. Cette émergence est influencée par plusieurs facteurs : l'avènement du mouvement naturaliste, la conscience des limites théâtrales actuelles dans une volonté de réalisme artistique et un climat profondément positif. Jules Renard travaille plusieurs fois en tant qu'auteur avec André Antoine. En 1900, il décrit ainsi son travail de mise en scène : « Répétition. Antoine est là et fait travailler, d'abord en scène, puis au foyer, avec une intelligence qui me rend modeste au point que je n'ose pas le contredire une fois. - Vous êtes indispensable, lui dis-je. - Je viendrai, dit-il, mais, quelquefois, ça m'embête. Il faut que je fasse deux métiers. Il joue, et c'est admirable de justesse, le rôle de Poil de Carotte sans dire une seule de mes phrases, mais il dit à « ses » femmes : - Ne touchez pas au texte. Si l'auteur a écrit ça, c'est qu'il a ses raisons. Il me dit, comme pour s'excuser : - Ne faites pas attention. Je leur indique là des choses de cabot. Quand c'est fini, je le remercie avec une joie enfantine. Guitry, c'est toute la diction, Antoine, toute l'action, je veux dire : le feu, la vie, le sens tout nu des phrases. »
Louis Becq de Fouquières publie, en 1884, le premier ouvrage théorique sur le sujet, L’Art de la mise en scène : Essai d’esthétique théâtrale
Vladimir Nijny publie, après la mort du réalisateur russe Sergueï Eisenstein, le livre Mettre en scène4, qui reproduit les cours donnés par Eisenstein dans les années 1930 à la Faculté de mise en scène de l'Institut Cinématographique d'État. Dans ce texte, Eisenstein exprime une conception de la mise en scène proprement cinématographique. Dans les travaux collectifs de mise en scène qu'il effectue avec ses élèves, Eisenstein s'appuie néanmoins sur la tradition théâtrale et utilise des textes littéraires à partir desquels il construit une mise en scène pour le cinéma. Eisenstein explique à ses étudiants : « La principale tâche du réalisateur lorsqu'il travaille à sa mise en scène est de rechercher les groupements possibles des personnages concernés. Une mise en scène n'est correcte que si elle manifeste les tendances des personnages en rapport avec le conflit moteur »
La problématique de la mise en scène est son rapport au texte, au respect plus ou moins strict de la pensée et des intentions de l'auteur. Historiquement se dégagent trois courant d'opinions.
Le premier s'appuie sur le respect scrupuleux du texte tant au niveau de la forme que de l'esprit. Se rattachent à cette tendance Firmin Gémier qui parle de « respect religieux et absolu », Jacques Copeau pour qui seul le texte compte, Georges Pitoëff qui estime que le premier devoir du metteur en scène est de « sacrifier tout le côté décoratif pour préserver le verbe », Louis Jouvet qui, en assimilant la mise en scène à une prière, parle de « l'aveugle dévotion du metteur en scène », Jean Vilar disant qu'« il faut s'en reporter à l'auteur, l'écouter, le suivre »
Le deuxième groupe qui s'articule autour du respect du théâtre et revendique la liberté totale du metteur en scène par rapport au texte de l'auteur regroupe Antonin Artaud, Vsevolod Meyerhold, Adolphe Appia.
Le dernier courant qui assimile le théâtre à un instrument esthétique au service d'une idéologie politique regroupe Leon Schiller, Bertolt Brecht, Erwin Piscator.
Colette Castel est une actrice française née à Parisle 29 juin 1937.
Elle a joué dans de nombreux films et a travaillé notamment avec René Clair, René Clément, Henri-Georges Clouzot et Yves Robert .
Divorcée de José Artur, elle est la mère de la comédienne Sophie Artur.
Filmographie sélective
1953 : Mandat d'amener de Pierre Louis
1955 : Les Impures de Pierre Chevallier
1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair
1956 : La Famille Anodin (TV)
1957 : Fernand clochard de Pierre Chevallier
1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot
1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond.
1961 : Tout l'or du monde de René Clair
1962 : Nous irons à Deauville de Francis Rigaud
1962 : L'inspecteur Leclerc enquête
1962 : L'Affaire des Bons Enfants de Marcel Bluwal, avec Philippe Nicaud, Pierre Guillermo, Colette Castel.
1962 : Affaire de famille de Georges Lacombe
1963 : Le Jour et l'Heure de René Clément
1966 : L'Étrangère de Sergio Gobbi
1968 : Puce de Jacques Audoir (téléfilm)
1969 : Qu'est-ce qui fait courir les crocodiles ? de Jacques Poitrenaud
1970 : Au théâtre ce soir : Deux fois deux font cinq de Gabriel Arout, mise en scène Pierre Dux, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1972 : Au théâtre ce soir : Charmante Soirée de Jacques Deval, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1972 : Le grand blond avec une chaussure noire d'Yves Robert : Paulette
1973 : Au théâtre ce soir : Jeux d'esprits de Noël Coward, mise en scène Jacques François, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1974 : Le Retour du grand blond d'Yves Robert : Paulette
1976 : Au théâtre ce soir : Le monsieur qui a perdu ses clés de Michel Perrin, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Édouard VII
1979 : Médecins de nuit de Bruno Gantillon, épisode : Léone
1981 : La Double Vie de Théophraste Longuet téléfilm en trois parties de Yannick Andréi
1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré
1990 : On s'en fout, nous on s'aime de Michel Gérard
1995 : L'Affaire Dreyfus d'Yves Boisset (TV)
Théâtre
1958 : Don Juan d'Henry de Montherlant, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre de l'Athénée
1961 : Le Repos du guerrier de Christiane Rochefort, mise en scène Jean Mercure, Théâtre de Paris
1962 : Les Cailloux de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1962 : Lieutenant Tenant de Pierre Gripari, mise en scène Jean-Paul Cisife, Théâtre de la Gaîté Montparnasse
1963 : Bonsoir Madame Pinson d'Arthur Lovegrove, adaptation André Gillois et Max Régnier, mise en scène Jean-Paul Cisife, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1964: Les Ailes de la colombe de Christopher Taylor, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre des Mathurins
1967 : La Promesse d'Alexei Arbuzov, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1968 : Le Knack d'Ann Jellicoe, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1968 : La Famille Tot d'Istvan Orkeny, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1969 : Le monde est ce qu'il est d'Alberto Moravia, mise en scène Pierre Franck, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'Œuvre
1971 : Sucre d'orge d'Israël Horovitz, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1972 : Le Tombeur de Neil Simon, mise en scène Emilio Bruzzo, Théâtre de la Madeleine
1975 : Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de l'Atelier
1980 : Une place au soleil de Georges Michel, mise en scène Étienne Bierry, Théâtre de Poche Montparnasse