Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
06.10.2024
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jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Par Anonyme, le 31.05.2024
Bure est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Ce village situé en zone rurale a été choisi pour être le lieu d'implantation du laboratoire de Bure destiné aux recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde.
Bure est située aux confins des départements de la Meuse, de la Haute-Marne et des Vosges. Par distance orthodromique, la localité se situe à 33 kilomètres de Bar-le-Duc et de Saint-Dizier, à 64 kilomètres de Nancy, et 54 kilomètres (non orthodromique) de Vittel et Contrexéville.
Bure est limitrophe de cinq communes, trois comprises dans le département de la Meuse et appartenant au canton de Montiers-sur-Saulx, à savoir : Mandres-en-Barrois, Montiers-sur-Saulx et Ribeaucourt ; et deux localités de la Haute-Marne (région Champagne-Ardenne) : Gillaumé et Saudron, sises dans le canton de Poissons.
Plus que l'habit du moine qui décore son blason, Bure tire son nom d'un lieu d'origine, assez fréquent dans les départements de la Meuse, Cote-d'Or, Calvados, Essonne, Orne. Issu du germanique bur, hutte, habitation. Cette étymologie a été imposée par un article de Jean Haust, paru en 1920 dans le Bulletin du dictionnaire wallon.
À la suite de fouilles réalisées par l'Inrap en 2015 et 2016, une enceinte néolithique datant de la première moitié du 4emillénaire avant notre ère a été découverte, à la limite de Bure, Saudron et Gillaumé
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Bure (Meuse) | |||||||||||||||||||||||||||
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Bure : expulsion en cours au bois Lejuc | |||||||||||||||||||||||||||
Bure (Meuse) : Opposition au laboratoire | |||||||||||||||||||||||||||
Un festival contre «la poubelle atomique» à Bure | |||||||||||||||||||||||||||
A Bure, déchets nucléaires, risques d'expropriations | |||||||||||||||||||||||||||
Manifestation des antinucléaires à Nancy | |||||||||||||||||||||||||||
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Inauguration du supercalculateur français Joliot-Curie. Actuellement 9,4 pétaflops pour la recherche française et européenne, puis 22 pétaflops dès 2020.
Troisième supercalculateur français (40e place mondiale) dans le dernier Top500 des supercalculateurs les plus puissants au monde, derrière Tera 1000-2 (16e) et Pangea (34e), Joliot-Curie vient d'être inauguré au Très Grand Centre de Calcul du Commissariat à l'énergie atomique à Bruyères-le-Châtel (Essonne).
Conçue par Atos, cette machine est mise à disposition de la recherche française et européenne, que ce soit dans des domaines comme le climat, l'astrophysique, la biologie, la dynamique moléculaire, les propriétés des matériaux, et prochainement la génomique et les neurosciences.
Basé sur l'architecture BullSequana d'Atos, le supercalculateur Joliot-Curie a une puissance de calcul de 9,4 pétaflops en crête (sa puissance théorique maximale) qui est comparée à celle de 75 000 ordinateurs de bureau. En 2020, elle atteindra 22 pétaflops (22 millions de milliards d'opérations par seconde), faisant de ce supercalculateur le premier en France et troisième le plus puissant en Europe, du moins pour ce qui concerne la recherche.
Le superordinateur embarque des processeurs Intel Xeon 8168 à 2,7 GHz avec 24 cœurs par processeur et des processeurs Intel Xeon Phi 7250 à 1,4 GHz avec 68 cœurs par processeur. Respectivement, c'est un total de 79 4888 cœurs de calcul pour une puissance de 6,86 pétaflops et 56 304 cœurs pour une puissance de 2,52 pétaflops.
Le supercalculateur Joliot-Curie a une capacité de mémoire vive de 400 téraoctets. En complément, un système de stockage de données de 5 pétaoctets dispose d'une bande passante de 300 Go/s.
En 2020, des processeurs AMD Rome Epyc à 2,5 GHz avec 64 cœurs par processeur viendront s'ajouter au système. Avec un total de 293 376 cœurs de calcul, ce sera l'apport d'une puissance de 11,75 pétaflops.
Par ailleurs, et notamment pour des traitements en intelligence artificielle, la machine pourra compter sur 128 GPU Nvidia V100. Avec des processeurs Intel Cascade Lake à 2,1 GHz avec 20 cœurs, il s'agira d'une puissance supplémentaire de 1,13 pétaflops.
Dans le cadre de l'initiative européenne EuroHPC, l'arrivée de supercalculateurs de classe pré-exaflopique est prévue pour début 2021, puis de classe exaflopique vers 2022-2023. Cette entreprise commune européenne pour le calcul à haute performance profite d'un budget d'un milliard d'euros.
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The Battle of the Rails ( Français : La Bataille du rail ) est un 1946 film de guerre réalisé par René Clément qui décrit les efforts déployés par les cheminots dans la Résistance française au sabotage des trains de transport militaire allemand pendant la Seconde Guerre mondiale,particulièrement lors l' invasion de la Normandie par Allied les forces.
Le film a été présenté au Festival de Cannes en 1946, où il a remporté le Prix international du jury et Clément, le prix du meilleur réalisateur . Le film a également remporté le premier Prix Méliès . Le film a été distribué aux États-Unis par Arthur Mayer et Joseph Burstyn .
Fiche technique
Titre français : La Bataille du rail
Titre anglais : The Battle of the Rails
Réalisation : René Clément
Scénario : René Clément, Colette Audry
Musique : Yves Baudrier
Photographie : Henri Alekan
Montage : Jacques Desagneaux
Production : Coopérative générale du cinéma français
Société de Distribution : LCJ Éditions et Productions
Pays d'origine : France
Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
Genre : film dramatique
Langue : français
Durée : 82 minutes
Dates de sortie :
France : 27 février 1946
États-Unis : 26 décembre 1949
Distribution
Charles Boyer : le narrateur
Jean Clarieux : Lampin, le mécanicien qui balance son train dans la vallée
Jean Daurand : un cheminot
Howard Vernon : le surveillant allemand à la pipe
Lucien Desagneaux : Athos
François Joux : un cheminot
Pierre Latour : un cheminot
Tony Laurent : Camargue
Robert Leray : le chef de gare
André Miller : un cheminot allemand de la Deutsche Reichsbahn
Léon Pauléon : le chef de la gare de Saint André
Pierre Lozach : un cheminot
Pierre Mindaist : un cheminot
Fernand Rauzena : un cheminot
Michel Salina : le directeur
Les cheminots de France
Suzanne Le Caer : la seule femme qui parle
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La mise en scène est selon la définition d’André Antoine (considéré en France comme le premier metteur en scène) « l’art de dresser sur les planchesl'action et les personnages imaginés par l’auteur dramatique ». C’est l’ensemble de toutes les dispositions relatives à l’action, aux mouvements isolés ou concertés des acteurs, aux incidents qui doivent se produire autour d’eux, aux meubles, objets, accessoires, etc. La mise en scène, réglant les moindres détails, a pour effet d’assurer le jeu de chaque acteur et l’harmonie générale de l’exécution. On n’arrive à ce résultat qu’au prix de beaucoup d’habileté et d’expérience, par de nombreuses répétitions et la confiance mutuelle que donne aux acteurs l’habitude de jouer ensemble.
Par extension, une « mise en scène » est la préparation d'événements coordonnés avant leur accomplissement effectif.
Au sens large, on peut parler de mise en scène pour souligner l’aspect d’un événement qui n’est pas original
Le terme de « mise en scène » apparaît, semble-t-il, au début du XIXe siècle dans la brochure d'un spectacle intitulé Riquet à la houppe de Dubois et Hapdé, joué en 1802. Cependant, si le métier de metteur en scène date de la seconde moitié du XIXe siècle, l’organisation d’une mise en scène théâtrale est apparue dès la fin du XVIIIe siècle, lorsqu’il n’y eut plus de spectateur privilégié assis directement sur la scène
Auparavant, les acteurs devaient interpréter leur rôle selon des conventions établies. Chaque artiste élaborait individuellement sa gestuelle et sa déclamation, il fournissait lui-même le costume de son personnage, et les mouvements de scène étaient réduits au strict nécessaire. C’est avec l’idée d’unifier le style d’un spectacle, dans le jeu des comédiens, les costumes et l’espace des décors, que les dramaturgeset directeurs de théâtre ont commencé à élaborer des mises en scène
C'est au milieu du XIXe siècle que Richard Wagner formule ses principes dramaturgiques novateurs et les applique de manière concrète sur scène.
L'émergence de la mise en scène en France date du succès d'André Antoine et de son Théâtre-Libre en 1887. Cette émergence est influencée par plusieurs facteurs : l'avènement du mouvement naturaliste, la conscience des limites théâtrales actuelles dans une volonté de réalisme artistique et un climat profondément positif. Jules Renard travaille plusieurs fois en tant qu'auteur avec André Antoine. En 1900, il décrit ainsi son travail de mise en scène : « Répétition. Antoine est là et fait travailler, d'abord en scène, puis au foyer, avec une intelligence qui me rend modeste au point que je n'ose pas le contredire une fois. - Vous êtes indispensable, lui dis-je. - Je viendrai, dit-il, mais, quelquefois, ça m'embête. Il faut que je fasse deux métiers. Il joue, et c'est admirable de justesse, le rôle de Poil de Carotte sans dire une seule de mes phrases, mais il dit à « ses » femmes : - Ne touchez pas au texte. Si l'auteur a écrit ça, c'est qu'il a ses raisons. Il me dit, comme pour s'excuser : - Ne faites pas attention. Je leur indique là des choses de cabot. Quand c'est fini, je le remercie avec une joie enfantine. Guitry, c'est toute la diction, Antoine, toute l'action, je veux dire : le feu, la vie, le sens tout nu des phrases. »
Louis Becq de Fouquières publie, en 1884, le premier ouvrage théorique sur le sujet, L’Art de la mise en scène : Essai d’esthétique théâtrale
Vladimir Nijny publie, après la mort du réalisateur russe Sergueï Eisenstein, le livre Mettre en scène4, qui reproduit les cours donnés par Eisenstein dans les années 1930 à la Faculté de mise en scène de l'Institut Cinématographique d'État. Dans ce texte, Eisenstein exprime une conception de la mise en scène proprement cinématographique. Dans les travaux collectifs de mise en scène qu'il effectue avec ses élèves, Eisenstein s'appuie néanmoins sur la tradition théâtrale et utilise des textes littéraires à partir desquels il construit une mise en scène pour le cinéma. Eisenstein explique à ses étudiants : « La principale tâche du réalisateur lorsqu'il travaille à sa mise en scène est de rechercher les groupements possibles des personnages concernés. Une mise en scène n'est correcte que si elle manifeste les tendances des personnages en rapport avec le conflit moteur »
La problématique de la mise en scène est son rapport au texte, au respect plus ou moins strict de la pensée et des intentions de l'auteur. Historiquement se dégagent trois courant d'opinions.
Le premier s'appuie sur le respect scrupuleux du texte tant au niveau de la forme que de l'esprit. Se rattachent à cette tendance Firmin Gémier qui parle de « respect religieux et absolu », Jacques Copeau pour qui seul le texte compte, Georges Pitoëff qui estime que le premier devoir du metteur en scène est de « sacrifier tout le côté décoratif pour préserver le verbe », Louis Jouvet qui, en assimilant la mise en scène à une prière, parle de « l'aveugle dévotion du metteur en scène », Jean Vilar disant qu'« il faut s'en reporter à l'auteur, l'écouter, le suivre »
Le deuxième groupe qui s'articule autour du respect du théâtre et revendique la liberté totale du metteur en scène par rapport au texte de l'auteur regroupe Antonin Artaud, Vsevolod Meyerhold, Adolphe Appia.
Le dernier courant qui assimile le théâtre à un instrument esthétique au service d'une idéologie politique regroupe Leon Schiller, Bertolt Brecht, Erwin Piscator.
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Colette Castel est une actrice française née à Parisle 29 juin 1937.
Elle a joué dans de nombreux films et a travaillé notamment avec René Clair, René Clément, Henri-Georges Clouzot et Yves Robert .
Divorcée de José Artur, elle est la mère de la comédienne Sophie Artur.
Filmographie sélective
1953 : Mandat d'amener de Pierre Louis
1955 : Les Impures de Pierre Chevallier
1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair
1956 : La Famille Anodin (TV)
1957 : Fernand clochard de Pierre Chevallier
1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot
1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond.
1961 : Tout l'or du monde de René Clair
1962 : Nous irons à Deauville de Francis Rigaud
1962 : L'inspecteur Leclerc enquête
1962 : L'Affaire des Bons Enfants de Marcel Bluwal, avec Philippe Nicaud, Pierre Guillermo, Colette Castel.
1962 : Affaire de famille de Georges Lacombe
1963 : Le Jour et l'Heure de René Clément
1966 : L'Étrangère de Sergio Gobbi
1968 : Puce de Jacques Audoir (téléfilm)
1969 : Qu'est-ce qui fait courir les crocodiles ? de Jacques Poitrenaud
1970 : Au théâtre ce soir : Deux fois deux font cinq de Gabriel Arout, mise en scène Pierre Dux, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1972 : Au théâtre ce soir : Charmante Soirée de Jacques Deval, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1972 : Le grand blond avec une chaussure noire d'Yves Robert : Paulette
1973 : Au théâtre ce soir : Jeux d'esprits de Noël Coward, mise en scène Jacques François, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1974 : Le Retour du grand blond d'Yves Robert : Paulette
1976 : Au théâtre ce soir : Le monsieur qui a perdu ses clés de Michel Perrin, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Édouard VII
1979 : Médecins de nuit de Bruno Gantillon, épisode : Léone
1981 : La Double Vie de Théophraste Longuet téléfilm en trois parties de Yannick Andréi
1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré
1990 : On s'en fout, nous on s'aime de Michel Gérard
1995 : L'Affaire Dreyfus d'Yves Boisset (TV)
Théâtre
1958 : Don Juan d'Henry de Montherlant, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre de l'Athénée
1961 : Le Repos du guerrier de Christiane Rochefort, mise en scène Jean Mercure, Théâtre de Paris
1962 : Les Cailloux de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1962 : Lieutenant Tenant de Pierre Gripari, mise en scène Jean-Paul Cisife, Théâtre de la Gaîté Montparnasse
1963 : Bonsoir Madame Pinson d'Arthur Lovegrove, adaptation André Gillois et Max Régnier, mise en scène Jean-Paul Cisife, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1964: Les Ailes de la colombe de Christopher Taylor, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre des Mathurins
1967 : La Promesse d'Alexei Arbuzov, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1968 : Le Knack d'Ann Jellicoe, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1968 : La Famille Tot d'Istvan Orkeny, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1969 : Le monde est ce qu'il est d'Alberto Moravia, mise en scène Pierre Franck, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'Œuvre
1971 : Sucre d'orge d'Israël Horovitz, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1972 : Le Tombeur de Neil Simon, mise en scène Emilio Bruzzo, Théâtre de la Madeleine
1975 : Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de l'Atelier
1980 : Une place au soleil de Georges Michel, mise en scène Étienne Bierry, Théâtre de Poche Montparnasse
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Christiane Martel, née Christiane Magnani le 18 janvier 1932 à Piennes en Lorraine, est une actrice et mannequin franco-mexicaine.
Elle a été élue Miss Univers 1953, représentant la France bien que ne portant pas le titre de Miss France
.
Issue d'une famille modeste d'origine italienne, Christiane Magnani naît à Piennes, dans le département de Meurthe-et-Moselle, et y vit jusqu’à ses 4 ans. Elle est la sœur cadette de Georgette Magnani, qui épousera en février 1954 le cinéaste américain Vincente Minnelli (1903-1986), avant de divorcer en 1957.
En 1940, la famille s’installe à Loudun dans le département de la Vienne.
Mannequin pour une maison de couture, Christiane Magnani remporte, à partir de 1952, plusieurs concours de beauté, notamment Miss Châtellerault, Miss Centre, puis celui de la « plus belle Italienne de France».
En 1953, elle quitte Châtellerault pour tenter sa chance à Paris comme actrice, elle prend alors le pseudonyme de Christiane Martel en l'honneur du chef des Francs Charles Martel car elle avait beaucoup aimé les villes de Châtellerault et de Poitiers dans son enfance. Elle est élue Miss Cinémonde (du nom de la revue hebdomadaire française de cinéma) par des metteurs en scène et des acteurs.
En janvier 1953, Sylviane Carpentier, Miss Picardie 1952, est élue Miss France 1953 puis devient la 2e dauphine de Miss Europe début 1953. Préparant son mariage, Sylviane Carpentier refuse de se présenter aux concours Miss Univers et de Miss Monde. Elle est donc remplacée pour le concours Miss Univers par Christiane Martel, récemment élue Miss Cinémonde (du nom de la revue de cinéma) et pour le concours de Miss Monde par Denise Perrier. Christiane Martel, ne portant donc pas le titre de Miss France, représente alors son pays lors du 2e concours de Miss Univers se déroulant au Long Beach Municipal Auditorium de Long Beach, en Californie aux États-Unis le 18 juillet 1953. Face à 25 concurrentes, elle est sacrée Miss Univers, succédant à la Finlandaise Armi Kuusela et devenant la première Française à obtenir le titre. Elle est couronnée par l'actrice américaine Julie Adams. Elle restera la seule Française à gagner le titre de Miss Univers jusqu'à Iris Mittenaere en janvier 2017.
Au moment de son couronnement, Christiane Martel mesurait 1,71 m, pesait 61 kilogrammes et ses mensurations étaient 83-52-85
Peu après l'obtention du titre de Miss Univers, Christiane Martel bénéficie d'un contrat avec les studios Universal à Hollywood et commence une carrière d’actrice internationale en 1954, jouant dans des films comme Yankee Pasha, So This Is Paris, film de 1955 avec Tony Curtis, Corazón salvaje, Viva el Amor!, Rosa Blanca et Lions au soleil.
En 1954, elle est brièvement l'épouse de Ronnie Marengo, un riche héritier américain
Le 28 juillet 1954, de nouveau à Long Beach en Californie, elle remet son titre de Miss Univers à Miriam Stevenson, Miss USA élue Miss Univers 1954, et elle poursuit sa carrière d'actrice.
En 1958, elle quitte la France pour s'installer au Mexique et épouse, en mars 1961, en deuxièmes noces, Miguel Alemán Velasco (es), fils de l'ancien président du Mexique Miguel Alemán Valdés, qui devient par la suite gouverneur de Veracruz. Ils ont par la suite quatre enfants
Le 24 juillet 1978, elle fait partie des juges de l'élection de Miss Univers qui a lieu au Centro de Convenciones d'Acapulco au Mexique. Elle apparaît aux élections de Miss Univers 1989, 1993 et 2007 qui ont lieu au Mexique.
Le 13 décembre 1996, elle est la présidente du jury de l'élection de Miss France 1997 se déroulant au Palais des congrès du Futuroscope et retransmise en direct sur TF1.
À l'initiative de la directrice générale de la Société Miss France Sylvie Tellier, Christiane Martel est, le 3 décembre 2011, l'invitée d'honneur de l'élection de Miss France 2012. Elle participe à l'annonce des douze demi-finalistes aux côtés de Sylvie Tellier et Jean-Pierre Foucault.
Filmographie
1955 : So This Is Paris de Richard Quine
1959 : Tipi da spiaggia (it) de Mario Mattoli
1961 : Lions au soleil (Leoni al sole) de Vittorio Caprioli
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Comme un homme à la mer (4 min 00 s)
Ô Compagnons (3 min 22 s)
Il ira loin (3 min 49 s)
La Mémoire des jours (4 min 15 s)
Il y a toujours (3 min 42 s)
Au temps des colonies (2 min 21 s)
Être Rimbaud (4 min 25 s)
1900 (3 min 10 s)
Sur la route (en duo avec Jean-Louis Aubert) (3 min 55 s)
La Réalité (3 min 37 s)
Des mots (3 min 36 s)
Suivez la musique (8 min 06 s)
Fin 2003, l'album La Réalité a été réédité avec 3 nouvelles chansons : Poste restante (2 min 53 s), Une journée particulière (3 min 04 s) et une nouvelle version de Ô Compagnons (2 min 30 s) (la version single), ainsi que le clip réalisé par Jacques Audiard.
Cet album est aussi sorti en version Vinyl dès mai 2003 avec les désormais inédits Amérique (3 min 46 s) et Féerie (4 min 06 s).
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Département | ||||||||
Arrondissements | Communes (nb) | Cantons (nb) | Circ. législ. (nb) | |||||
Code | Nom | Chef-lieu | Date création | Nb | Noms | |||
1 | Ain (m.s.) | Bourg-en-Bresse (préf. dép.) | 1790 | 4 | Belley Bourg-en-Bresse Gex Nantua | 408 | 23 | 5 |
2 | Aisne (f.s.) | Laon (préf. dép.) | 1790 | 5 | Château-Thierry Laon Saint-Quentin Soissons Vervins | 804 | 21 | 5 |
3 | Allier (m.s.) | Moulins (préf. dép.) | 1790 | 3 | Montluçon Moulins Vichy | 317 | 19 | 3 |
4 | Alpes-de-Haute-Provence (f.p.) | Digne-les-Bains (préf. dép.) | 1790 | 4 | Barcelonnette Castellane Digne-les-Bains Forcalquier | 198 | 15 | 2 |
5 | Hautes-Alpes (f.p.) | Gap (préf. dép.) | 1790 | 2 | Briançon Gap | 167 | 15 | 2 |
6 | Alpes-Maritimes (f.p.) | Nice (préf. dép.) | 1860 | 2 | Grasse Nice | 163 | 27 | 9 |
7 | Ardèche (f.s.) | Privas (préf. dép.) | 1790 | 3 | Largentière Privas Tournon-sur-Rhône | 339 | 17 | 3 |
8 | Ardennes (f.p.) | Charleville-Mézières (préf. dép.) | 1790 | 4 | Charleville-Mézières Rethel Sedan Vouziers | 452 | 19 | 3 |
9 | Ariège (m.s.) | Foix (préf. dép.) | 1790 | 3 | Foix Pamiers Saint-Girons | 331 | 13 | 2 |
10 | Aube (f.s.) | Troyes (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bar-sur-Aube Nogent-sur-Seine Troyes | 431 | 17 | 3 |
11 | Aude (f.s.) | Carcassonne (préf. dép.) | 1790 | 3 | Carcassonne Limoux Narbonne | 436 | 19 | 3 |
12 | Aveyron (m.s.) | Rodez (préf. dép.) | 1790 | 3 | Millau Rodez Villefranche-de-Rouergue | 285 | 23 | 3 |
13 | Bouches-du-Rhône (f.p.) | Marseille (préf. rég. et dép.) | 1790 | 4 | Aix-en-Provence Arles Marseille Istres | 119 | 29 | 16 |
14 | Calvados (m.s.) | Caen (préf. dép.) | 1790 | 4 | Bayeux Caen Lisieux Vire | 538 | 25 | 6 |
15 | Cantal (m.s.) | Aurillac (préf. dép.) | 1790 | 3 | Aurillac Mauriac Saint-Flour | 247 | 15 | 2 |
16 | Charente (f.s.) | Angoulême (préf. dép.) | 1790 | 3 | Angoulême Cognac Confolens | 383 | 19 | 3 |
17 | Charente-Maritime (f.s.) | La Rochelle (préf. dép.) | 1790 | 5 | Jonzac Rochefort La Rochelle Saintes Saint-Jean-d'Angély | 469 | 27 | 5 |
18 | Cher (m.s.) | Bourges (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bourges Saint-Amand-Montrond Vierzon | 290 | 19 | 3 |
19 | Corrèze (f.s.) | Tulle (préf. dép.) | 1790 | 3 | Brive-la-Gaillarde Tulle Ussel | 283 | 19 | 2 |
2A | Corse-du-Sud (f.s.) | Ajaccio (préf. de Corse)Note 4 | 1976 | 2 | Ajaccio Sartène | 124 | 11 | 2 |
2B | Haute-Corse (f.s.) | Bastia (préf. dép.) | 1976 | 3 | Bastia Calvi Corte | 236 | 15 | 2 |
21 | Côte-d'Or (f.s.) | Dijon (préf. rég. et dép.) | 1790 | 3 | Beaune Dijon Montbard | 704 | 23 | 5 |
22 | Côtes-d'Armor (f.p.) | Saint-Brieuc (préf. dép.) | 1790 | 4 | Dinan Guingamp Lannion Saint-Brieuc | 356 | 27 | 5 |
23 | Creuse (f.s.) | Guéret (préf. dép.) | 1790 | 2 | Aubusson Guéret | 258 | 15 | 1 |
24 | Dordogne (f.s.) | Périgueux (préf. dép.) | 1790 | 4 | Bergerac Nontron Périgueux Sarlat-la-Canéda | 520 | 25 | 4 |
25 | Doubs (m.s.) | Besançon (préf. dép.) | 1790 | 3 | Besançon Montbéliard Pontarlier | 578 | 19 | 5 |
26 | Drôme (f.s.) | Valence (préf. dép.) | 1790 | 3 | Die Nyons Valence | 367 | 19 | 4 |
27 | Eure (f.s.)Note 5 | Évreux (préf. dép.) | 1790 | 3 | Les Andelys Bernay Évreux | 602 | 23 | 5 |
28 | Eure-et-Loir (f.s.) | Chartres (préf. dép.) | 1790 | 4 | Chartres Châteaudun Dreux Nogent-le-Rotrou | 375 | 15 | 4 |
29 | Finistère (m.s.) | Quimper (préf. dép.) | 1790 | 4 | Brest Châteaulin Morlaix Quimper | 279 | 27 | 8 |
30 | Gard (m.s.) | Nîmes (préf. dép.) | 1790 | 3 | Alès Nîmes Le Vigan | 353 | 23 | 6 |
31 | Haute-Garonne (f.s.) | Toulouse (préf. rég. et dép.) | 1790 | 3 | Muret Saint-Gaudens Toulouse | 588 | 27 | 10 |
32 | Gers (m.s.) | Auch (préf. dép.) | 1790 | 3 | Auch Condom Mirande | 462 | 17 | 2 |
33 | Gironde (f.s.) | Bordeaux (préf. rég. et dép.) | 1790 | 6 | Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc Libourne Arcachon | 538 | 33 | 12 |
34 | Hérault (m.s.) | Montpellier (préf. dép.) | 1790 | 3 | Béziers Lodève Montpellier | 343 | 25 | 9 |
35 | Ille-et-Vilaine (f.s.) | Rennes (préf. rég. et dép.) | 1790 | 4 | Fougères-Vitré Redon Rennes Saint-Malo | 345 | 27 | 8 |
36 | Indre (f.s.) | Châteauroux (préf. dép.) | 1790 | 4 | Le Blanc Châteauroux La Châtre Issoudun | 243 | 13 | 2 |
37 | Indre-et-Loire (m.s.) | Tours (préf. dép.) | 1790 | 3 | Chinon Tours Loches | 273 | 19 | 5 |
38 | Isère (f.s.) | Grenoble (préf. dép.) | 1790 | 3 | Grenoble La Tour-du-Pin Vienne | 521 | 29 | 10 |
39 | Jura (m.s.) | Lons-le-Saunier (préf. dép.) | 1790 | 3 | Dole Lons-le-Saunier Saint-Claude | 509 | 17 | 3 |
40 | Landes (f.p.) | Mont-de-Marsan (préf. dép.) | 1790 | 2 | Dax Mont-de-Marsan | 330 | 15 | 3 |
41 | Loir-et-Cher (m.s.) | Blois (préf. dép.) | 1790 | 3 | Blois Vendôme Romorantin-Lanthenay | 276 | 15 | 3 |
42 | Loire (f.s.) | Saint-Étienne (préf. dép.) | 1793 | 3 | Montbrison Roanne Saint-Étienne | 326 | 21 | 6 |
43 | Haute-Loire (f.s.) | Le Puy-en-Velay (préf. dép.) | 1790 | 3 | Brioude Le Puy-en-Velay Yssingeaux | 257 | 19 | 2 |
44 | Loire-Atlantique (f.s.) | Nantes (préf. rég. et dép.) | 1790 | 3 | Nantes Saint-Nazaire Châteaubriant-Ancenis | 212 | 31 | 10 |
45 | Loiret (m.s.) | Orléans (préf. rég. et dép.) | 1790 | 3 | Montargis Orléans Pithiviers | 326 | 21 | 6 |
46 | Lot (m.s.) | Cahors (préf. dép.) | 1790 | 3 | Cahors Figeac Gourdon | 322 | 17 | 2 |
47 | Lot-et-Garonne (m.s.) | Agen (préf. dép.) | 1790 | 4 | Agen Marmande Villeneuve-sur-Lot Nérac | 319 | 21 | 3 |
48 | Lozère (f.s.) | Mende (préf. dép.) | 1790 | 2 | Florac Mende | 158 | 13 | 1 |
49 | Maine-et-Loire (m.s.)Note 6 | Angers (préf. dép.) | 1790 | 4 | Angers Cholet Saumur Segré | 186 | 21 | 7 |
50 | Manche (f.s.) | Saint-Lô (préf. dép.) | 1790 | 4 | Avranches Cherbourg Coutances Saint-Lô | 477 | 27 | 4 |
51 | Marne (f.s.) | Châlons-en-Champagne (préf. dép.) | 1790 | 4 | Châlons-en-Champagne Épernay Reims Vitry-le-François | 616 | 23 | 5 |
52 | Haute-Marne (f.s.) | Chaumont (préf. dép.) | 1790 | 3 | Chaumont Langres Saint-Dizier | 427 | 17 | 2 |
53 | Mayenne (f.s.) | Laval (préf. dép.) | 1790 | 3 | Château-Gontier Laval Mayenne | 255 | 17 | 3 |
54 | Meurthe-et-Moselle (f.s.) | Nancy (préf. dép.) | 1790 | 4 | Briey Lunéville Nancy Toul | 592 | 23 | 6 |
55 | Meuse (f.s.) | Bar-le-Duc (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bar-le-Duc Commercy Verdun | 501 | 17 | 2 |
56 | Morbihan (m.s.) | Vannes (préf. dép.) | 1790 | 3 | Lorient Pontivy Vannes | 253 | 21 | 6 |
57 | Moselle (f.s.) | Metz (préf. dép.) | 1790 | 5 | Forbach-Boulay-Moselle Sarrebourg-Château-Salins Sarreguemines Thionville Metz | 727 | 27 | 9 |
58 | Nièvre (f.s.) | Nevers (préf. dép.) | 1790 | 4 | Château-Chinon (Ville) Clamecy Nevers Cosne-Cours-sur-Loire | 309 | 17 | 2 |
59 | Nord (m.s.) | Lille (préf. rég. et dép.) | 1790 | 6 | Avesnes-sur-Helpe Cambrai Douai Dunkerque Lille Valenciennes | 648 | 41 | 21 |
60 | Oise (f.s.) | Beauvais (préf. dép.) | 1790 | 4 | Beauvais Clermont Compiègne Senlis | 687 | 21 | 7 |
61 | Orne (f.s.) | Alençon (préf. dép.) | 1790 | 3 | Alençon Argentan Mortagne-au-Perche | 394 | 21 | 3 |
62 | Pas-de-Calais (m.s.) | Arras (préf. dép.) | 1790 | 7 | Arras Béthune Boulogne-sur-Mer Montreuil Saint-Omer Calais Lens | 891 | 39 | 12 |
63 | Puy-de-Dôme (m.s.) | Clermont-Ferrand (préf. dép.) | 1790 | 5 | Ambert Clermont-Ferrand Issoire Riom Thiers | 467 | 31 | 5 |
64 | Pyrénées-Atlantiques (f.p.) | Pau (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bayonne Oloron-Sainte-Marie Pau | 546 | 27 | 6 |
65 | Hautes-Pyrénées (f.p.) | Tarbes (préf. dép.) | 1790 | 3 | Argelès-Gazost Bagnères-de-Bigorre Tarbes | 470 | 17 | 2 |
66 | Pyrénées-Orientales (f.p.) | Perpignan (préf. dép.) | 1790 | 3 | Céret Perpignan Prades | 226 | 17 | 4 |
67 | Bas-Rhin (m.s.) | Strasbourg (préf. rég. et dép.) | 1790 | 5 | Haguenau-Wissembourg Molsheim Saverne Sélestat-Erstein Strasbourg | 517 | 23 | 9 |
68 | Haut-Rhin (m.s.) | Colmar (préf. dép.) | 1790 | 4 | Altkirch Colmar-Ribeauvillé Mulhouse Thann-Guebwiller | 366 | 17 | 6 |
69 | Rhône (m.s.) | Lyon (préf. rég. et dép.)Note 7 | 1790 | 2 | Lyon Villefranche-sur-Saône | 280 | 13 | 14 |
70 | Haute-Saône (f.s.) | Vesoul (préf. dép.) | 1790 | 2 | Lure Vesoul | 542 | 17 | 2 |
71 | Saône-et-Loire (f.s.) | Mâcon (préf. dép.) | 1790 | 5 | Autun Chalon-sur-Saône Charolles Louhans Mâcon | 567 | 29 | 5 |
72 | Sarthe (f.s.) | Le Mans (préf. dép.) | 1790 | 3 | La Flèche Mamers Le Mans | 361 | 21 | 5 |
73 | Savoie (f.s.) | Chambéry (préf. dép.) | 1860 | 3 | Albertville Chambéry Saint-Jean-de-Maurienne | 285 | 19 | 4 |
74 | Haute-Savoie (f.s.) | Annecy (préf. dép.) | 1860 | 4 | Annecy Bonneville Saint-Julien-en-Genevois Thonon-les-Bains | 281 | 17 | 6 |
75 | Paris (m.s.) | Paris (préf. de Paris)Note 8 | 1982 | 1 | Paris | 1 | 18 | |
76 | Seine-Maritime (f.s.) | Rouen (préf. rég. et dép.) | 1790 | 3 | Dieppe Le Havre Rouen | 711 | 35 | 10 |
77 | Seine-et-Marne (f.s.) | Melun (préf. dép.) | 1790 | 5 | Meaux Melun Provins Fontainebleau Torcy | 510 | 23 | 11 |
78 | Yvelines (f.p.) | Versailles (préf. dép.) | 1968 | 4 | Mantes-la-Jolie Rambouillet Saint-Germain-en-Laye Versailles | 262 | 21 | 12 |
79 | Deux-Sèvres (f.p.) | Niort (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bressuire Niort Parthenay | 293 | 17 | 3 |
80 | Somme (f.s.) | Amiens (préf. dép.) | 1790 | 4 | Abbeville Amiens Montdidier Péronne | 779 | 23 | 5 |
81 | Tarn (m.s.) | Albi (préf. dép.) | 1790 | 2 | Albi Castres | 319 | 23 | 3 |
82 | Tarn-et-Garonne (m.s.) | Montauban (préf. dép.) | 1808 | 2 | Castelsarrasin Montauban | 195 | 15 | 2 |
83 | Var (m.s.) | Toulon (préf. dép.) | 1790 | 3 | Draguignan Toulon Brignoles | 153 | 23 | 8 |
84 | Vaucluse (m.s.) | Avignon (préf. dép.) | 1793 | 3 | Apt Avignon Carpentras | 151 | 17 | 5 |
85 | Vendée (f.s.) | La Roche-sur-Yon (préf. dép.) | 1790 | 3 | Fontenay-le-Comte La Roche-sur-Yon Les Sables-d'Olonne | 267 | 17 | 5 |
86 | Vienne (f.s.) | Poitiers (préf. dép.) | 1790 | 3 | Châtellerault Montmorillon Poitiers | 274 | 19 | 4 |
87 | Haute-Vienne (f.s.) | Limoges (préf. dép.) | 1790 | 3 | Bellac Limoges Rochechouart | 200 | 21 | 3 |
88 | Vosges (f.p.) | Épinal (préf. dép.) | 1790 | 3 | Épinal Neufchâteau Saint-Dié-des-Vosges | 507 | 17 | 4 |
89 | Yonne (f.s.) | Auxerre (préf. dép.) | 1790 | 3 | Auxerre Avallon Sens | 428 | 21 | 3 |
90 | Territoire de Belfort (m.s.) | Belfort (préf. dép.) | 1922 | 1 | Belfort | 102 | 9 | 2 |
91 | Essonne (f.s.) | Évry (préf. dép.) | 1968 | 3 | Étampes Évry Palaiseau | 196 | 21 | 10 |
92 | Hauts-de-Seine (m.p.) | Nanterre (préf. dép.) | 1968 | 3 | Antony Nanterre Boulogne-Billancourt | 36 | 23 | 13 |
93 | Seine-Saint-Denis (f.s.) | Bobigny (préf. dép.) | 1968 | 3 | Bobigny Le Raincy Saint-Denis | 40 | 21 | 12 |
94 | Val-de-Marne (m.s.) | Créteil (préf. dép.) | 1968 | 3 | Créteil Nogent-sur-Marne L'Haÿ-les-Roses | 47 | 25 | 11 |
95 | Val-d'Oise (m.s.) | Pontoise (sous-préf.)Note 9 | 1968 | 3 | Argenteuil Sarcelles Pontoise | 185 | 21 | 10 |
971 | Guadeloupe (f.s.) | Basse-Terre (préf. dép.) | 1946 | 2 | Basse-Terre Pointe-à-Pitre | 32 | 21 | 4 |
972 | Martinique (f.s.) | Fort-de-France (préf. dép.) | 1946 | 4 | Fort-de-France La Trinité Le Marin Saint-Pierre | 34 | 4 | |
973 | Guyane (f.s.) | Cayenne (préf. dép.) | 1946 | 2 | Cayenne Saint-Laurent-du-Maroni | 22 | 2 | |
974 | La Réunion (f.s.) | Saint-Denis (préf. dép.) | 1946 | 4 | Saint-Denis Saint-Pierre Saint-Benoît Saint-Paul | 24 | 25 | 7 |
976 | Mayotte(f.s.) | Dzaoudzi Note 10,8 | 2011 | - | - | 17 |
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La Femme du boulanger est un film français réalisé par Marcel Pagnol, sorti en 1938, adaptation d'un épisode du roman Jean le Bleu de Jean Giono
Dans un village de haute Provence, un boulanger récemment installé découvre un matin que sa jeune femme est partie avec un berger. Il décide de faire la grève du pain tant que sa femme n'est pas revenue. Le village se mobilise afin de retrouver sa boulangère.
Fiche technique
Titre : La Femme du boulanger
Titre anglais : The Baker's Wife
Réalisation : Marcel Pagnol
Scénario et dialogues : Marcel Pagnol, d'après un épisode de Jean le Bleu de Jean Giono
Musique : Vincent Scotto
Photographie : Georges Benoît
Son : Marcel Lavoignat
Montage : Marguerite Renoir, Suzanne de Troye, assistées de Jeannette Ginestet
Photographe de plateau : Roger Corbeau
Production : Les Films Marcel Pagnol
Pays d'origine : France
Format : Noir et blanc - 1,37:1 - 35 mm
Genre : Comédie dramatique, mélodrame
Durée : 130 minutes
Dates de sortie :
France : 7 septembre 1938
États-Unis : 26 février 1940
Distribution
Raimu : Aimable Castanier, le boulanger
Ginette Leclerc : Aurélie, la femme du boulanger
Charles Moulin : Dominique, le berger piémontais
Fernand Charpin : le marquis Castan de Venelles, maire du village
Robert Vattier : le curé
Alida Rouffe : Céleste, la bonne du curé
Maximilienne : Mlle Angèle
Robert Bassac : l'instituteur
Édouard Delmont : Maillefer dit "Patience", le pêcheur
Charles Blavette : Antonin dit "Tonin"
Odette Roger : Miette, la femme d'Antonin
Paul Dullac : Casimir, le buraliste
Julien Maffre : Pétugue
Marcel Maupi : Barnabé
Jean Castan : Esprit, un berger
Charblay (Jean-Baptiste Chappe) : Arsène, le boucher
Yvette Fournier : Hermine
Adrien Legros : Barthelemy
Gustave Merle : le Papet
Marius Roux : un messager
José Tyrand : un messager
Histoire du texte et première adaptation par Pagnol
Marcel Pagnol avait écrit une historiette destinée au cinéma sous le titre Le Boulanger Amable. Amable est un boulanger ivrogne sauvé de la déchéance par l’amour d’une servante d’auberge qui devient sa boulangère.
Ce récit devait devenir un film, mais Pagnol lut une nouvelle de Jean Giono, La Femme du boulanger, et décida de tourner plutôt l’histoire de ce « pauvre homme habité par un grand amour et qui ne faisait plus de pain parce que sa femme était partie ». C’est le fameux film de 1938, avec Raimu dans le rôle-titre, qui fit l’admiration d’Orson Welles.
Le scénario est assez différent du récit violent que Giono insérera dans Jean le Bleu. Les bergers de Giono sont des mâles fiers et sauvages qui dansent autour de grands brasiers ; les villageois en viennent aux poings ; le marquis est un seigneur mystérieux accompagné de créatures sensuelles.
Pagnol avait déjà adapté trois œuvres de Giono : Jofroi de la Maussan donna le film Jofroi en 1933, Un de Baumugnes devint Angèle en 1934 et Regain fut porté à l’écran sous ce même nom en 1937. La Femme du boulanger est donc le dernier film de la « période Giono ».
Choix des interprètes
À l'époque où Pagnol prépare le tournage de La Femme du boulanger, il est en froid avec Raimu. L'auteur envisage alors de confier le rôle du boulanger à un autre de ses interprètes habituels, Maupi, car celui-ci correspond à la description du boulanger par Jean Giono : « C'était un petit homme, et il était tellement maigre, que l'on ne trouvait jamais de maillots assez petits pour lui... ». Mais bientôt une évidence s'impose, et Maupi lui-même reconnait qu'« il n'y a qu'un comédien pour jouer le rôle du boulanger, c'est Jules [Raimu] ». Mais Raimu se fait prier, et Pagnol, agacé par son « numéro de coquette », décide d'engager Henri Poupon pour jouer le rôle du boulanger. Finalement, après beaucoup d'hésitations, de bouderies et de réconciliations entre l'auteur et son acteur fétiche, Raimu accepte d'interpréter le rôle d'Aimable.
Pour le choix de l'interprète d’Aurélie, le cinéaste-auteur hésite longuement. Pendant un moment, il pense engager l'actrice américaine Joan Crawford, dont l'agent est contacté ; mais comme elle ne parle pas le français, Pagnol réduit au minimum les répliques du personnage d'Aurélie. Raimu suggère alors le nom d'une comédienne qui a été sa partenaire sur scène et qu'il a remarqué dans Prison sans barreaux, Ginette Leclerc ; celle-ci accepte, elle est devenue une vedette grâce à ce rôle.
Le tournage a eu lieu dans le petit village du Castellet, près de Bandol
Réception du film
« [...] D'une nouvelle de Jean Giono, Pagnol a tiré un film tout simple, un film admirable, un film qui a de la noblesse et de la grandeur, un film déjà classique. Il a pris des personnages de tous les jours, un instituteur, un berger, un boulanger, un curé. Il a pris une anecdote éternelle et banale : l'anecdote du mari trompé. Il a pris un acteur : Raimu. Et il a pris son porte-plume. Voilà pourquoi son film n'est pas muet. Et voilà pourquoi son film est un chef-d'œuvre. Du cinéma ? Non, du Pagnol ! Pagnol n'a pas essayé de photographier la Provence, ce n'est pas son affaire. Il n'a pas essayé de trouver l'émotion dans sa caméra, ce n'est pas son métier. [...] Il a fait parler Raimu. Il a fait jouer Raimu. Il n'a pas quitté Raimu, il n'a pas cessé de tourner autour de Raimu. Il a pris Raimu en flagrant délit de talent. Et nous avons constaté que le Raimu pagnolisé était mille fois plus émouvant que tous les travellings du monde, mille fois plus passionnant que toutes les aventures du monde, mille fois plus suggestif que tous les artifices du monde [...]»
Autres adaptations
En 1943, Giono, en bisbille avec Pagnol, adapte sa nouvelle pour le théâtre. Le boulanger, abandonné par sa femme, tente au départ de se faire passer pour mort afin « d’effacer la vie » et il en profite pour dire ses quatre vérités à tout le village.
Après la Seconde guerre mondiale,Pagnol adapte son propre film pour la scène et une troupe de jeunes comédiens en donna une unique représentation.
En 1985, sa pièce est reprise par Jérôme Savary avec Michel Galabrudans le rôle du boulanger.
En 1998, une nouvelle version du film de Pagnol est tournée pour la télévision par Nicolas Ribowski avec Roger Hanin.
En décembre 2010, une pièce filmée en direct, version adaptée et mise en scène par Alain Sachs, est diffusée sur France 2, à nouveau avec Michel Galabru dans le rôle du boulanger. Philippe Caubère y est le marquis, Titoff le curé, Jean Galabru l'instituteur et Patrick Fiori le berger donnant la sérénade. Autres interprètes : Bernadette Lafont(Céleste), Laëtitia Milot (Aurélie, la boulangère), Bernard Larmande (Barnabé), Maxime Lombard (Maillefer), Roger Souza (Antonin), Jean-Claude Baudracco (Pétugue), Jean-Claude Bourbault (Casimir), Michèle Garcia (Miette), Jean-Marie Lecoq (Arsène, le boucher), Clémence Massart (Céleste), Julien Baudraco (Esprit) et Emmanuelle Galabru (Petite).
En 2012, la pièce est de nouveau jouée avec Michel Galabru au Théâtre Hébertot à Paris avec pour compagnons de scène Christophe Abrial, Julien Cafaro, Jean Galabru, Sylvie Genty, Marianne Giraud, Bernard Larmande, Maxime Lombard, Christophe Mondoloni, Dominique Régnier, Roger Souza et Philippe Uchan. Il s'ensuit une tournée en province à partir du mois d'octobre 2012 jusqu'à février 2013 pour plus de 200 dates jouées par Michel Galabru et sa troupe de Comédiens dans une mise en scène d'Alain Sachs.
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Les Barbouzes est un film franco-italien réalisé par Georges Lautner, sorti en 1964.
Le film commence par la mort d'un marchand d'armes, Constantin Benard Shah, et son enterrement qui réunit, autour de sa veuve Amaranthe, un quatuor de barbouzes. Il y a son faux cousin français Francis Lagneau, son faux psychanalyste allemand Hans Müller, son faux frère de lait soviétique Boris Vassilieff et son faux confesseursuisse Eusebio Cafarelli. Tous sont là pour récupérer les secrets et l'héritage de l'industriel (des brevets sur des armes atomiques), mandatés par leurs gouvernements respectifs. Il faut aussi compter avec les dollars de l'Américain O'Brien et la présence de nombreux Chinois dans les passages secrets du château.
Fiche technique
Réalisation : Georges Lautner
Scénario : Albert Simonin et Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Assistants réalisateurs : Claude Vital, Paul Nuyttens, Tristan Fleurquin
Sociétés de production : Corona Cinematografica, S.N.E. Gaumont, Sicilia Cinematografica et Ultra Film
Directeur de production : Robert Sussfeld, Jean Mottet
Producteur délégué : Alain Poiré
Administrateur de production : Guy Azzi
Images : Maurice Fellous
Opérateur : Georges Pastier, assisté de Yves Rodallec et Roland Dantigny
Musique : Michel Magne - (éditions Hortensia)
Son : René Longuet, assisté de Pierre Davoust
Décors : Jacques d'Ovidio
Montage : Michelle David, assistée de Gina Pignier et Mireille Joly
Régisseur général : Robert Porte
Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli
Script-girl : Annie Morel
Conseiller technique pour les bagarres : Henri Cogan
Spécialiste karaté : Yuzuru Shoji
Ensemblier : Louis Germain
Accessoiriste : Jacques Martin
Maquillage et coiffures : Micheline Chaperon
Les chapeaux de Mireille Darc sont de Jean Barthet et les bijoux de René Llonguet
Les coiffures sont créées par Carita
Tirage : Laboratoire G.T.C Joinville - Mixages : Poste Parisien Franstudio
Format : 35mm - Noir et blanc - Ratio 1,66:1
Langue : français
Genre : Comédie policière, Film d'espionnage
Durée : 109 minutes
Date de sortie : France : 10 décembre 1964
Visa de contrôle cinématographique N° 28.664
Distribution
Lino Ventura : Francis Lagneau, dit « Petit Marquis », dit « Chérubin », dit « Talon rouge », dit « Falbala », dit « Belles Manières » ; mais aussi « Requiem », dit « Bazooka », dit « La Praline », dit « Belle Châtaigne » dans certains milieuxDistribution
Francis Blanche : Boris Vassilieff, dit « Trinitrotoluène »
Bernard Blier : Eusebio Cafarelli, dit « Le Chanoine »
Charles Millot : Hans Müller, dit « Le bon Docteur »
Mireille Darc : Amaranthe Benard Shah, née Antoinette Dubois (comme le précise le colonel Lanoix)
Jess Hahn : Commodore O'Brien
André Weber : Rossini, le « fidèle Rudolph », secrétaire de Benard Shah
Noël Roquevert: Le colonel Lanoix
Françoise Giret : Mme Pauline, la tenancière de la maison close
Violette Marceau : Lucienne dite Rosalinde, l'amie d'Amaranthe
Anne-Marie Blot : Une des filles de Mme Pauline dans les bras desquels Benard Shah meurt d'une crise cardiaque
Yves Elliot
Jean-Pierre Moutier : Un employé du colonel
Michel Duplaix :
Gérard Darrieu : L'agent Fiduc
Lutz Gabor : Le colonel allemand
Raoul Saint-Yves : L'employé des wagons-lits
Philippe Castelli : Le réceptionniste de l'hôtel d'Istanbul
Robert Secq : Constantin Benard Shah
Louis Arbessier : Le colonel suisse (dont le visage n'apparaît que lors du générique)
Jacques Balutin : Un douanier (à peine reconnaissable tant son apparition à la 82e minute est plus que fugace)
Robert Dalban : L'agent conduisant le camion transportant la dépouille de Benard Shah
Hubert Deschamps : Le douanier (rôle coupé au montage)
Dominique Valensi : Une des filles de Mme Pauline
Monique Mélinand : Mme Lagneau
Michel Dacquin : Le barbouze du train
Marius Gaidon L'espion poignardé
Georges Géret : le 2e agent français dans le train
Huong Ham-Chan : Le Chinois dans le train
Pierre-Jean Vaillard : Le narrateur
Marcel Bernier : Le chauffeur du commodore O'Brien
Sorti en décembre 1964, Les Barbouzes a totalisé 2 430 611 entrées, dont 698 499 entrées à Paris, se classant à la seizième place du box-office français de l'année. Le film resta durant huit semaines dans le top 10 hebdomadaire au box-office parisien, sans toutefois occuper la première place
À propos du film
Lautner a délibérément choisi de faire une comédie parodique, volontairement outrancière et sans aucun souci de vraisemblance (ne serait-ce que pour l'utilisation de tous ces couloirs du château, débordants d'une pléthore de Chinois agressifs). La réussite de l'agent français et les références au Général (de Gaulle) lui donnent un faux-semblant cocardier.
Le film a été tourné un an après Les tontons flingueurs et il sera suivi par Ne nous fâchons pas en 1966, tous trois mettant en grande vedette Lino Ventura
.
Le film contient d'ailleurs quelques clins d'œil aux Tontons flingueurs : lorsque l'abbé Cafarelli est présenté, des photos de Raoul Volfoni dans des situations délicates (affalé dans son bureau après un coup de poing de Lino Ventura, la tête bandée à l'hôpital...) sont montrées pour illustrer les propos ; au petit déjeuner après la première nuit, Amaranthe demande : « Vous ne trouvez pas que depuis hier il se passe quand même des choses bizarres ? » Vassilieff répond : « Écoutez je me connais en bizarre et je peux dire que tout est normal... jusqu'à présent... » en référence à l'alcool bizarre du Mexicain dans la scène de la cuisine. Plus tard, dans la chambre d'Amaranthe, Francis lui dit « je connais la vie Amaranthe » en référence à « je connais la vie Monsieur Paul », toujours dans la cuisine.
Les comédiens Jacques Balutin et Hubert Deschamps ont respectivement interprété lors du tournage un douanier et un gendarme, mais la prestation du premier a été réduite comme peau de chagrin et celle du second coupée au montage.
Louis Arbessier apparaît dans le générique, mais plus dans le film. Son rôle semble avoir lui aussi été coupé.
Le film a été tourné, en partie, au château de Vigny, Val-d'Oise.
Le texte en cyrillique sur la couronne funéraire de Boris Vassilieff comporte une erreur typographique : au lieu de l'inscription tronquée « МОЕМУ ДОРОГОМУ БР(АТУ) » (à mon cher fr(ère)) on lit « МОЕМЧДОРОГОМЧ БР » (confusion de la 21e et 25e lettre de l'alphabet cyrillique).
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