Monde : France
Béatrice Cabarrou, dite Béatrice Dalle, est une actrice française, née le 19 décembre 1964 à Brest (Finistère). Elle a été révélée en 1985 pour son rôle de Betty dans 37°2 le matin de Jean-Jacques Beineix.
Biographie Famille et enfance
Béatrice Dalle est issue d'une famille modeste, elle est la fille d'un ancien fusilier marin devenu mécanicien et d'une femme au foyer. La native de Brest affirme qu'elle ne serait certainement pas devenue actrice si ses parents avaient eu assez d'argent : « Quand tu n'as rien, tu as forcément les crocs... J'ai tellement faim de tout... »
Procès
Le 14 octobre 1793, Marie-Antoinette comparaît devant le Tribunal révolutionnaire, mené par l’accusateur public Fouquier-Tinville. Si le procès de Louis XVI devant la Convention avait conservé quelques formes de procès équitable, ce n’est pas le cas de celui de la reine déchue. Le dossier est monté très rapidement, il est incomplet, Fouquier-Tinville n’ayant pas réussi à retrouver toutes les pièces de celui de Louis XVI. Pour charger l’accusation, il parle de faire témoigner le dauphin contre sa mère qui est alors accusée d’inceste par Jacques-René Hébert. Il déclare que l'ancienne reine de France et Mme Élisabeth ont eu des attouchements sur le jeune Louis XVII. Marie-Antoinette ne répond rien et un juré en fait la remarque. Marie-Antoinette se lève et répond « Si je n’ai pas répondu c’est que la nature elle-même refuse de répondre à une telle accusation faite à une mère. J’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici ! ». Pour la dernière fois, la foule (et surtout les femmes) applaudit la reine déchue. Une fois la séance terminée, celle-ci demande à son avocat « N’ai je pas mis trop de dignité dans ma réponse ? ». Selon Gaspard Louis Lafont d'Aussonne dans ses mémoires publiés en 1824, des personnes dans la foule dirent le matin du jugement « Marie-Antoinette s'en retirera : elle a répondu comme un ange, on ne fera que la déporter ».
On l’accuse également d’entente avec les puissances étrangères. Comme l'ancienne reine nie, Herman, président du Tribunal, l’accuse d’être « l’instigatrice principale de la trahison de Louis Capet » : c’est donc bien un procès pour haute trahison. Le préambule de l’acte d’accusation déclare également : « Examen fait de toutes les pièces transmises par l’accusateur public, il en résulte qu’à l’instar des Messaline, Frédégonde et Médicis, que l’on qualifiait autrefois de reines de France et dont les noms à jamais odieux ne s’effaceront pas des fastes de l’histoire, Marie-Antoinette, veuve de Louis Capet, a été, depuis son séjour en France, le fléau et la sangsue des Français. » Il ajoute « la cause des troubles qui agitent depuis quatre ans la nation et ont fait tant de malheureuses victimes. »
Les dépositions des témoins à charge s’avèrent bien peu convaincantes. Marie-Antoinette répond qu’elle n’était « que la femme de Louis XVI, et qu’il fallait bien qu’elle se conform[ât] à ses volontés ». Fouquier-Tinville réclame la mort et fait de l’accusée « l’ennemie déclarée de la nation française ». Les deux avocats de Marie-Antoinette, Tronçon-Ducoudray et Chauveau-Lagarde, prévenus au dernier moment et n’ayant ainsi pas eu le temps de prendre pleine connaissance du dossier, ne peuvent que lire à haute voix les quelques notes qu’ils ont eu le temps de prendre.
Quatre questions sont posées au jury :
« 1. Est-il constant qu’il ait existé des manœuvres et des intelligences avec les puissances étrangères et autres ennemis extérieurs de la République, lesdites manœuvres et des intelligences tendant à leur fournir des secours en argent, à leur donner l’entrée du territoire français et à leur faciliter le progrès de leurs armes ?
2. Marie-Antoinette d’Autriche (…) est-elle convaincue d’avoir coopéré à ces manœuvres et d’avoir entretenu ces intelligences ?
3. Est-il constant qu’il ait existé un complot et une conspiration tendant à allumer la guerre civile à l’intérieur de la République ?
4. Marie-Antoinette est-elle convaincue d’avoir participé à ce complot et à cette conspiration ? »
Aux quatre questions, le jury répond « oui ». Lorsque le jury rend son verdict, il n’existe aucune preuve de l’accusation de haute trahison que l’on impute à la reine déchue. Le dossier est vide de toute pièce.
Techniquement, au vu des pièces du procès, la condamnation n’est pas basée sur des faits avérés. On apprit plus tard que l'ancienne reine entretenait une correspondance avec le comte Hans Axel de Fersen où il apparaît que l'Autriche et les monarchies d'Europe se préparaient à la guerre contre la France, ainsi lit-on dans une lettre du 19 avril 1792 adressée au comte que l'ancienne reine écrivait : « Les ministres et les jacobins font déclarer demain au roi la guerre à la maison d'Autriche, sous prétexte que par ses traités de l'année dernière elle a manqué à celui d'alliance de cinquante-six, et qu'elle n'a pas répondu catégoriquement à la dernière dépêche. Les ministres espèrent que cette démarche fera peur et qu'on négociera dans trois semaines. Dieu veuille que cela ne soit point et qu'enfin on se venge de tous les outrages qu'on reçoit dans ce pays-ci! »
La reine déchue, captive, n'était pour autant personnellement pas en mesure d'organiser ou d'ordonner directement quelque directive militaire que ce fût. Sa correspondance avec le comte de Fersen indique néanmoins qu'elle y incite par divers courriers.
En réalité, il fallait condamner la « veuve Capet ». Robespierre a donc intégré au jury le médecin qui soignait la reine à la Conciergerie, Joseph Souberbielle, lequel a indiqué aux autres jurés que de toute façon Marie-Antoinette était médicalement condamnée à brève échéance, car elle avait de forts épanchements sanguins.
La condamnation à mort, pour haute trahison, est prononcée le 16 octobre 1793 vers 4 heures du matin.
Dernière lettre de Marie-Antoinette
À l'annonce de la sentence, Marie-Antoinette rédige une dernière lettre à l'attention de Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI.
Cette lettre, qui n'est jamais parvenue à sa destinataire, a été conservée par Robespierre, puis récupérée par le conventionnel Courtois, avant d'être saisie par Louis XVIII. Elle est aujourd'hui conservée dans « l'armoire de fer » des Archives nationales (cote AE/II/1384) et un fac-similé est exposé au Musée des Archives nationales.
Cette lettre, à usage privé, ne contient aucun message d'ordre politique. Marie-Antoinette l'a rédigée dans son cachot de la Conciergerie juste après l'annonce de sa condamnation. L'en-tête porte la mention « Ce 16 octobre, 4 heures 1/2 du matin. » Elle n'est pas signée et ne mentionne aucun nom propre même pas celui de sa destinataire la sœur de Louis XVI, qui partage la captivité des enfants royaux au Temple :
« C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois ; je viens d'être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments. Je suis calme comme on l'est quand la conscience ne reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux, et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J'ai appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas ! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre, je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra, recevez pour eux deux ici ma bénédiction. J'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins. »
Malgré son exécution très proche et son isolement, Marie-Antoinette récuse d'avance toute assistance d'un prêtre assermenté qui aurait prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé condamnée par Rome :
« Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée, n'ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s'il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop s'ils y entraient une fois. Adieu, adieu ! Je ne vais plus m'occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m'amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. »
Celle qui vient de vivre seule une captivité de deux mois et demi, sans pouvoir communiquer avec ses enfants, tente de leur faire passer ses dernières recommandations. Sa préoccupation essentielle concerne l'état d'esprit dans lequel ses enfants assumeront la mort de leurs parents, dans leur vie à venir dont elle ne veut pas douter, alors que le dauphin mourra en captivité. Sans un mot de plainte ni de regret, Marie-Antoinette ne songe plus qu'à laisser un héritage spirituel à ses enfants :
« Qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer : que les principes et l'exécution de leurs devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuel en fera le bonheur ; […] qu'ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union, qu'ils prennent exemple de nous : combien dans nos malheurs, notre amitié nous a donné de consolations, et dans le bonheur on jouit doublement quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille. »
Elle donne un dernier conseil : « Que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément, qu'il ne cherche jamais à venger notre mort. ».
Plus loin, elle écrit : « Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et (mots rayés) et à tous mes frères et sœurs. » Resteront sans doute de cette lettre retrouvée en 1816 ces mots : « Mon Dieu ayez pitié de moi ! Mes yeux n'ont plus de larmes pour pleurer pour vous mes pauvres enfants. Adieu, Adieu ! »
Exécution et inhumation
Marie-Antoinette est exécutée le même jour à midi et quart. Le matin du 16 octobre, Marie-Antoinette est menée, mains entravées et sur une charrette — alors que Louis XVI avait eu droit à un carrosse —, de la Conciergerie, jusqu'à la place de la Révolution (ancienne place Louis-XV, actuelle place de la Concorde). D'après certains historiens, elle subit avec dignité les sarcasmes et les insultes lancés par la foule massée sur son passage (elle mettra une heure pour traverser la place et monter à l'échafaud)50. Le peintre et révolutionnaire Jacques-Louis David, observant le cortège depuis la rue Saint-Honoré, en dessine un croquis resté légendaire. Selon ces mêmes historiens, c'est avec courage qu'elle monte à l'échafaud. En marchant sur le pied du bourreau Sanson, elle lui aurait demandé pardon. Ce seront ses dernières paroles.
Selon une légende, ses cheveux auraient entièrement blanchi (phénomène connu sous le nom de « syndrome de Marie-Antoinette ») les jours suivant son retour de Varennes.
Le jour de son exécution, la reine déchue aurait trébuché et perdu un escarpin, récupéré par un fidèle et conservé actuellement au musée des beaux-arts de Caen. Cette chaussure a fait l'objet d'une exposition en 1989.
Tout comme pour Louis XVI, il est ordonné que les cerceuils des membres de la famille royale soient recouvertes de chaux. Marie-Antoinette est inhumée avec la tête entre les jambes dans la fosse commune de la Madeleine, rue d’Anjou-Saint-Honoré (Louis XVIII fera élever à cet endroit la chapelle expiatoire située de nos jours sur le square Louis-XVI, seul endroit de Paris portant encore le nom du roi). Ses restes et ceux de Louis XVI furent exhumés le 18 janvier 1815 et transportés le en la basilique de Saint-Denis.
« Le premier crime de la Révolution fut la mort du Roi, mais le plus affreux fut la mort de la Reine » dit Chateaubriand.
Le comte de Mollien relate les propos de Napoléon sur l'exécution de la reine déchue (tiré des Mémoires d'un Ministre du trésor public 1780-1815) :
« Si ce n'est pas un sujet de remords, ce doit être au moins un bien grand sujet de regret pour tous les cœurs français que le crime commis dans la personne de cette malheureuse reine. Il y a une grande différence entre cette mort et celle de Louis XVI, quoique, certes, il ne méritât pas son malheur. Telle est la condition des rois, leur vie appartient à tout le monde ; il n'y a qu'eux seuls qui ne peuvent pas en disposer ; un assassinat, une conspiration, un coup de canon, ce sont là leurs chances ; César et Henry IV ont été assassinés, l'Alexandre des Grecs l'eût été s'il eût vécu plus longtemps. Mais une femme qui n'avait rien que des honneurs sans pouvoir, une princesse étrangère, le plus sacré des otages, la trainer d'un trône à l'échafaud à travers tous les genres d'outrages! Il y a là quelque chose de pis encore que le régicide ! »
Un vin tranquille est un vin qui ne forme pas de bulles lors de l'ouverture de la bouteille. Il est l'inverse de ce qu'est le vin effervescent. La plupart des vins sont tranquilles.
Législation
La loi française, qui définit clairement le vin comme un produit issu de la fermentation des raisins, en vue de transformer le sucre de ces derniers en alcool, distingue les vins tranquilles des vins mousseux. Sont considérés comme vins tranquilles les vins de plus de 1,2 %, et de moins de 18 % de volume d'alcool, qui ne présente aucun dégagement de gaz carbonique lors de l'ouverture de la bouteille1. Cette distinction avec les vins mousseux est notamment essentielle pour le paiement d'un droit de circulation, prévu par le droit fiscal, dont le tarif est de 9,35 € par hectolitre pour les vins mousseux, contre de 3,78 € par hectolitre pour les vins tranquilles.
Vinification
La vinification d'un vin tranquille suit des procédés sans étapes de prise de mousse. La teneur en dioxyde de carbone naturellement dissout dans le vin par l'action de micro-organismes est égale à 2000 mg/L environ, après les fermentations et avant l'élevage du vin. Cette teneur est contrôlée afin de garantir des caractéristiques organoleptiques typiques d'un vin tranquille.
Fermentation
Alcoolique
Un vin tranquille est vinifié par une seule fermentation alcoolique. Le gaz produit par la fermentation s'échappe du vin à cette étape, la quantité de gaz dissoute dans le vin à ce stade varie en fonction de sa solubilité. Contrairement aux vins effervescents, le gaz n'est pas maintenu volontairement dans le vin par mise sous pression.
Malolactique
Lors de la fermentation malolactique, du gaz carbonique est également créé et se dégage naturellement.
Ajustement de la teneur en dioxyde de carbone
La teneur de CO2 est contrôlée avant la mise en bouteille et peut être ajustée, soit à la hausse soit à la baisse, respectivement par carbonication ou décarbonication.
La carbonication se fait par bullage de CO2 gazeux dans le vin, afin qu'il s'y dissolve. La loi l'autorise dans une limite maximum de 2000 mg/L.
La décarbonication, elle, se fait par bullage de N2 gazeux afin qu'il chasse le dioxyde de carbone déjà dissout.
Dégustation
La dégustation d'un vin tranquille doit être exempte d’effervescence.
Un vin peut être tranquille, mais avec une teneur en gaz élevée, un léger picotement se ressent alors en bouche sur la langue. Une haute teneur en gaz peut être recherchée pour apporter de la fraîcheur aux millésimes très chauds, dans les vins blancs, rosés et rouges. La limite de perception se situe autour de 1000 mg / L de CO2 dissout suivant la capacité du dégustateur.
Bandidas est un film franco-américano-mexicain réalisé par Joachim Roenning et Espen Sandberg, sorti en 2006
Mexique, 1880. Un américain de la New York Bank and Trust décide en toute impunité de construire une ligne de chemin de fer sur les terres mexicaines. Deux jeunes femmes, Sara et Maria, que tout oppose vont s'unir afin de faire respecter la loi ...et de braquer des banques...
Fiche technique
Titre : Bandidas
Réalisation : Joachim Roenning et Espen Sandberg
Scénario : Luc Besson et Robert Mark Kamen
Musique : Éric Serra
Photographie : Thierry Arbogast
Montage : Stéphanie Pedelacq et Frédéric Thoraval
Décors : Denise Camargo
Costumes : Olivier Bériot
Production : Luc Besson, Jean-Michel Lacor et Ariel Zeitoun
Société de production : EuropaCorp
Société de distribution : 20th Century Fox
Budget : 32 millions d'euros
Pays d'origine : France, Mexique, États-Unis
Langue : anglais, espagnol, français
Format : Couleurs - 2,35:1 - Dolby Digital - 35 mm
Genre : Western
Durée : 93 minutes
Dates de sortie : 18 janvier 2006 (Belgique, France), 3 février 2006 (États-Unis), 17 février 2006 (Mexique)
Distribution
| Penélope Cruz : Maria Alvarez Salma Hayek : Sara Sandoval (VF : Valérie Karsenti ) Steve Zahn : Quentin Dwight Yoakam : Tyler Jackson Denis Arndt : Ashe Audra Blaser : Clarissa Ashe Sam Shepard : Bill Buck Ismael 'East' Carlo : Don Diego Carlos Cervantes : Pedro José María Negri : Padre Pablo Lenny Zundel : Bernardo Edgar Vivar : Expl. Bank Manager Ernesto Gómez Cruz : Brujo Filiberto Estrella : Midget Yomo Tlazotlalli : Gordo Humberto Elizondo : Governor Justo Martínez : Cable Bank Manager Ana Ofelia Murguía : Consuelo Luis Orozco : Sheriff Julian Sedgwick : Regulator 1 Joseph D. Reitman : Regulator 2 Karl Braun : Regulator 3 Terence Strikman : Gate Keeper 1 Pedro Gamez : Old Peasant Daya Fernandez : Cleaning Lady Rodolfo Sean : Regulator Edgar Tebar : Regulator Pascal Greub : Regulator Vincent Torres : Regulator Eric Prats : Regulator |
Sergio Gonzalez : Regulator Armando Alarcon : Regulator Eduardo Karam : Regulator Christian Arrieta : Regulator Ernesto Mijares : Regulator Eduardo Corral : Regulator on roof Israel Gomez : Regulator with banjo Alain Pitrel : Deceased (wo) man Florentino Silva Torres : Gate Keeper #2 Carlos Palacios : Little Man 40's Andrea González : 100 years old Secretary Ofelia Herrera : 100 years old Secretary Alejandro Campa : Filly's owner #1 Guillermo Panuco : Filly's owner Jorge Ramirez : Filly's owner #2 Ricardo Arjona : Waiting Businessman Elena Gonzalez : Chief Secretary Constantino Blanco : Cave Musician #1 Manuel Ruiz : Cave Musician #2 Rosalindo Martinez : Cave Musician #3 Eusebio Reyes : Cave Musician #4 Robert Hoehn : (voice)
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Le tournage s'est déroulé à Durango et San Luis Potosí, au Mexique.
À noter, une apparition de l'acteur Sam Shepard.
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Notes et références | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
RUBRIQUE | Monde : France |
FILM | Bandidas |
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DATE | ../../2006 |
NAISSANCE | |
DECES | |
MISE A JOUR : | 2024 |
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Personnalités barisiennes
Naissance à Bar-le-Duc.
Jean Crocq (xve siècle), sculpteur sur bois et pierre.
Jean III de Lorraine (1498-1550), cardinal, intime du roi François Ier.
Louis de Lorraine (1500-1528), évêque de Verdun, comte de Vaudémont.
Marie de Guise (1515-1560), Reine consort d’Écosse.
Gilles de Trèves (1515-1582), doyen de la collégiale Saint-Maxe et seigneur de Ville-sur-Saulx, dote Bar-le-Duc d’un collège qui porte son nom.
François de Guise (1520-1563), duc de Guise, duc d’Aumale, pair de France et grand maître de France, militaire et homme d’État.
Jean Errard (1554-1610), mathématicien et ingénieur militaire.
Didier Dounot (1574-1640), juriste et mathématicien.
Jacques Houzeau (1624-1681), sculpteur, membre de l'Académie royale.
Jean-Henry d'Anglebert (1629-1691), musicien claveciniste et compositeur.
Louis Joblot (1645-1723), naturaliste.
Rémy Ceillier (1688-1763), bénédictin, historien de l'Église catholique.
Pierre Parisot dit Père Norbert (1697-1769), frère mineur capucin.
Jean-Antoine Louis (1742-1796), fonctionnaire municipal de Strasbourg, député de la Convention nationale.
Nicolas Champion de la Meuse (1756-1815), homme politique de la Révolution et du Premier Empire.
Florentin Ficatier (1765-1817), général de la Révolution et de l’Empire.
Nicolas-Charles Oudinot (1767-1847), duc de Reggio, maréchal d'Empire.
Jean-Joseph Regnault-Warin (1773-1844), romancier et pamphlétaire.
Rémy Joseph Isidore Exelmans (1775-1852), maréchal de France.
François Augustin Caunois (1787-1859), sculpteur et médailleur.
Frédéric Lanthonnet (1788-?), militaire, maréchal de camp.
Charles-Louis Moreau (1789-1872), homme politique et avocat, président de la cour d'appel de Nancy, député de la Meurthe.
Nicolas-Charles-Victor Oudinot (1791-1863), duc de Reggio, général de division.
Charles Desaux (1797-1882), homme politique, député de la Meuse, né à Bar-le-Duc.
Adolphe Moreau (1802-1879), homme politique, député de la Meuse.
Gaspard Launois (1806-1886), homme politique, député de la Meuse.
Émile Grignard (1807-1870), géomètre du cadastre puis fondateur et directeur de la Compagnie du chemin de fer de Lyon (la Croix-Rousse) au camp de Sathonay.
Edme Collot (1808-1860), homme politique, député de la Meuse.
Pierre Michaux (1813-1883), et son fils Ernest (1842-1882), inventeurs du vélocipède à pédales (michaudine).
Maurice de Vaines (1815-1872), artiste-peintre.
François Joseph Tronville (1817-1878), artiste-peintre.
Henri Bompard (1821-1906), homme politique et industriel dans la filature.
Henri de Beurges (1822-1912), homme politique.
Charles-Maurice de Moncets (1827-1096), général de brigade.
Claude Millon (1828-1887), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Edmond Laguerre (1834-1886), mathématicien, connu pour les polynômes qui portent son nom.
Auguste Vivenot (1835-1884), homme politique, sénateur de la Meuse.
Charles-Maurice Ernest Jacquelot de Moncets (1838-1906), général de division.
Albert Cim (1845-1924), romancier, critique littéraire et bibliographe.
Jules Develle (1845-1919), homme politique et avocat.
Marcel Hébert (1851-1916), philosophe.
Olivier Sainsère (1852-1923), homme politique et grand amateur d’art, collectionneur et mécène.
Jacques Onfroy de Bréville dit Job (1858-1931), dessinateur et illustrateur de livres d’enfants.
Georges Robineau (1860-1927), haut fonctionnaire, gouverneur de la Banque de France.
Raymond Poincaré (1860-1934), homme d'État, 10e Président de la République française de février 1913 à février 1920.
Pierre de Bréville (1861-1949), compositeur.
Émile Bréhier (1876-1952), écrivain, philosophe et historien.
Jules-Henri Desfourneaux (1877-1951), bourreau.
Marcel Ulrich (1880-1933), homme politique et ingénieur des mines.
Ernest Wickersheimer (1880-1965), bibliothécaire, directeur de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg.
Henri Royer (1885-1974), architecte, a contribué à la reconstruction de Reims.
Marguerite Eberentz (1895-1973), résistante.
Maurice Parisot (1899-1944), résistant, chef du Bataillon de guérilla de l'Armagnac.
Pierre Camonin (1903-2003), organiste, compositeur et improvisateur.
André Grandvalet dit Ded Rysel (1903-1975), chansonnier et acteur.
Jean Driesbach dit Jean Dries (1905-1973), peintre.
Gaston Floquet (1917-2001), artiste plasticien et traducteur.
Jennifer (chanteuse) (1942-2015), chanteuse.
Christian Pierret (1946-), homme politique socialiste, ministre, député des Vosges et maire de Saint-Dié-des-Vosges.
Michel Bernard (1958-), écrivain.
Marie-Anne Frison-Roche (1959-), professeur de droit économique à Sciences Po.
Jean-Michel Corillion (1964-), réalisateur et chef-opérateur.
Didier Gustin (1966-), imitateur et acteur.
Jean-Philippe Doux (1972-), journaliste et chroniqueur de télévision.
Magali Humbert-Faure (1972-), coureuse cycliste française.
Sophie Thalmann (1976-), animatrice et mannequin, Miss France 1998.
Ludovic Hubler (1977-), entrepreneur social et écrivain-voyageur.
Anaïs Delva (1986-), chanteuse et comédienne.
Benjamin Compaoré (1987-), athlète, spécialiste du triple saut.
Claire Jacquet (1988-), athlète, spécialiste du canoë-kayak.
Félix Bour (1994-), athlète, spécialiste en athlétisme.
Autres personnalités liées à la ville
Liste de personnalités qui sont décédées, ont vécu ou ont fortement influencé la ville de Bar-le-Duc.
Jean-Louis Simien (1736-1803), général de brigade, mort à Bar-le-Duc.
Guillaume Latrille de Lorencez (1772-1855), général des armées de la Révolution et de l'Empire, mort à Bar-le-Duc.
Jean Landry Gillon (1788-1856), magistrat et homme politique, adjoint au maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Laurent-Charles Maréchal (1801-1887), dessinateur, pastelliste et maître-verrier, considéré comme le chef de file de l'École de Metz, mort à Bar-le-Duc.
Ernest Bradfer (1833-1887), maître de forges, homme politique, maire de Bar-le-Duc, mort à Bar-le-Duc.
André Theuriet (1833-1907), poète, romancier, académicien, passa sa jeunesse à Bar-le-Duc où il situe l'action d'un grand nombre de ses romans.
Paul Lardin (1844-1942), manufacteur d'armes.
Wlodimir Konarski (1852-1906), graveur, conseiller de préfecture et historien, mort à Bar-le-Duc.
Éloi Ragon (1853-1908), abbé, helléniste et latiniste, mort à Bar-le-Duc.
Rudolf Diesel (1858-1913), ingénieur thermicien allemand et industriel, créateur en juin 1897 de la Société française des moteurs Diesel à combustion interne, dont le siège est à Bar-le-Duc.
Pol Chevalier (1861-1935), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, sénateur de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Paul Henry Ferrette (1869-1933), homme politique, avocat et journaliste, conseiller municipal de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Charles Aimond (1874-1968), prêtre catholique, écrivain, historien et musicien, mort à Bar-le-Duc.
Georges Bernanos (1888-1948), écrivain, séjourne à Bar-le-Duc en 1920 où il écrit son premier roman Sous le soleil de Satan.
Lucien Polimann (1890-1963), clerc et homme politique d'extrême droite, mort à Bar-le-Duc.
Gaston Thiébaut (1898-1982), homme politique, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Jean Bernard (1923-2004), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Bertrand Pancher (1958-), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, président du conseil général de la Meuse.
Jean de Lorraine (né à Bar-le-Duc le 9 avril 1498 et mort semble-t-il à Nogent-sur-Vernisson, le 18 mai 1550) est un membre de la Maison de Lorraine, cardinal français et l'un des favoris les plus intimes du roi François Ier.
De 1536 à 1540, il devint, avec le connétable de Montmorency l'un des hommes les plus puissants du royaume, connu sous le nom de cardinal de Lorraine. En novembre 1549, il est candidat à l'élection du trône de Saint-Pierre, mais échoue de quatre voix face au futur Jules III.
Biographie
Fils du duc René II, de Lorraine et de Bar et de Philippe de Gueldre, il est le frère cadet du duc Antoine II et du duc de Guise. Destiné à une carrière ecclésiastique, il fut nommé dès l'âge de 3 ans, coadjuteur de son oncle Henri de Lorraine. Il grandit à la cour de France où il fut envoyé avec son frère Claude, futur duc de Guise.
À partir des années 1520 et jusqu'à la fin du règne, il fut le compagnon des plaisirs du roi François, le suivant partout dans ses activités et ses loisirs les plus intimes. Il participe aux nombreux bals costumés de la cour comme on peut le voir dans les dessins du Primatice :
en satyre aux côtés d'Henri d’Albret, roi de Navarre, le dauphin, futur Henri II, de Charles d’Angoulême, duc d’Orléans, du connétable de Montmorency, pour le bal des noces du duc de Nevers et de mademoiselle de Vendôme à Paris en janvier 1539. (Faune, Sylvain et Pan, Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en belle livrée de couleur et coiffé d'un turban, à la "turquerie" de Blois le 16 mars 1541, aux côtés de François Ier, et Charles d’Angoulême. (Un Turc, à la Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en costume de La Discorde, dessiné pour lui en 1545. (Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en Sphinge polygnaste, comme François Ier, aux noces de mademoiselle d’Avrilly (Nationalmuseum, Stockholm)
Prince typique de la Renaissance et mélomane, il est dédicataire de nombreuses œuvres musicales.
Carrière ecclésiastique
Il est fait cardinal en 1518, il a vingt ans, et fut nommé par la suite à de nombreux évêchés et archevêchés :
À 6 ans, évêque de Metz de 1505 à 1543, puis de 1548 à 1550
À 19 ans, évêque de Toul de 1517 à 1524
À 20 ans, évêque de Valence de 1521 à 1522
À 20 ans, évêque de Thérouanne de 1521 à 1535
À 22 ans, évêque de Verdun de 1523 à 1544
À 24 ans, évêque de Luçon de 1523 à 1524
À 25 ans, archevêque de Narbonne de 1524 à 1550
À 33 ans, de nouveau évêque de Toul de 1532 à 1537 puis finalement de 1542 à 1543
À 34 ans, archevêque de Reims de 1533 à 1538
À 36 ans, évêque d'Albi (Jean IV) de 1535 à sa mort
À 39 ans, archevêque de Lyon de 1537 à 1539
À 40 ans, évêque d'Agen (Jean VII) de 1538 à sa mort
À 44 ans, une dernière fois évêque de Toul de 1542 à 1543.
À 44 ans, évêque de Nantes (Jean V) du 18 août 1542 à sa mort.
Il ne conserva pas la totalité de ses diocèses et en abandonna quelques-uns, l'archevêché de Reims à son neveu Charles, celui de Lyon à Hippolyte d'Este. Il fut également pourvu de plusieurs abbayes : Gorze, Varangéville, Aurillac, Saint-Ouen de Rouen, Blanche-Couronne, Lay-Saint-Christophe, Fécamp, Cluny, Saint-Jean-de-Laon, Saint-Germer, Saint-Médard-de-Soissons, Marmoutier, Saint-Mansuy-les-Toul. En 1520, il assiste à l'entrevue du Camp du Drap d'Or. En 1549, il finance une expédition de l'explorateur André Thevet.
Son neveu Louis lui succédera en tant qu'archevêque de Sens et évêque d'Albi.
| Ali Baba et les Quarante Voleurs (stylisé Ali Baba et les 40 Voleurs) est un film français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1954. Il est tiré du célèbre conte anonyme issu des Mille et Une Nuits. Il fut tourné, pour les extérieurs, dans la ville marocaine de Taroudant dont on découvre les fortifications dés le début du film. | | | |
| | | Résumé court Ali Baba (Fernandel), serviteur et homme à tout faire du riche Cassim, tombe amoureux de la belle Morgiane (Samia Gamal) qu'il a acheté à son père pour son maître. Il découvre ensuite la cachette d'une bande de voleurs et décide de s'approprier leur trésor. Sa grande générosité entrainera un partage de cette richesse avec toute la population de la ville mais il gardera l'amour de la belle Morgiane | |
| Résumé long « Il était une fois, dans une petite ville d’Orient, un brave homme qui s'appelait Ali Baba ». C'est un brave homme, débrouillard et généreux, ami de tous les pauvres. Il est le serviteur de confiance d'un riche bourgeois, Cassim, dont il gère les affaires, la maison et le harem. Aujourd'hui, il a acheté la belle Morgiane, vendue par son propre père. Un amour protecteur naît chez Ali : un bon somnifère empêche Cassim de la posséder et puis comment faire disparaître chez cette nouvelle recluse la mélancolie. Le perroquet vert qu'on lui avait proposé au marché ferait un bon compagnon. Ali, pour retrouver le vendeur itinérant, doit se lancer à la poursuite d'une caravane, parvenue loin de la ville et dans une zone peu sûre. Mais il irait au bout du monde pour Morgiane. Une fois l'affaire conclue, la caravane est attaquée par une bande de quarante voleurs. Tous les marchands préfèrent fuir, quitte à abandonner les marchandises : le chef a l'air bien cruel. Mais Ali, empêtré dans une nacelle, est témoin de la prise du butin et de ce qui s'ensuit : tout est caché dans une cavité de la montagne dont l'entrée est protégée par des pierres mobiles qui s'ouvrent sur un magique Sésame ouvre-toi. Utilisant à son tour le formule magique, Ali pénètre dans la caverne : c'est un véritable amoncellement de richesses ! Ali Baba, n'ayant pu résister à la tentation, remplit sa besace de pièces d'or. De retour à la maison, il offre le perroquet à Morgiane - qui le boude -, et interpelle Cassim : « Je suis riche, et je rachète Morgiane ». Cassim veut savoir d'où Ali tire cette richesse, lui qui n'a jamais roulé sur l'or, quitte à l’enivrer avec un petit vin de Chypre. Et Ali mène Cassim à la grotte. Chacun puise dans les trésors. Des pensées meurtrières traversent l'esprit de Cassim : pourquoi partager !? Ali, sentant la menace, allègue qu’il a entendu du bruit et propose de déguerpir. Mais le chef des brigands est bien là, en hauteur de la colline et les voit s’enfuir. Sitôt à la maison, Ali prend Morgiane du harem et la ramène chez son père. Celle-ci ne semble pas si ravie de ce retour au foyer paternel et demande à Ali de venir la revoir. En chemin, il rencontre quatre de ses anciens amis, quatre mendiants. Il les questionne sur ce qu’ils aimeraient avoir en cas de richesse et déclare : « Le Bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire, vous aurez le nécessaire et le superflu » et d’en faire ses majordomes. Le lendemain, Ali achète la plus belle maison de la ville. De la terrasse, il voit que Morgiane est de nouveau proposée à la vente ; il se précipite, repousse un acquéreur et propose à Morgiane le mariage. La fête des noces se prépare. Toute la ville est invitée, le chef des brigands (déguisé) et Cassim sont présents eux aussi. Chacun fait entrer ses hommes et une terrible bagarre s'ensuit. Ali parvient à s'enfuir. Cassim et le chef des bandits sont enfermés dans des cages, mis au pilori. « Des pauvres il n’y en aura plus, je m’en charge » et Ali conduit la horde des pauvres à la grotte. Tous les habitants s'engouffrent dans la caverne. La grotte est vidée en quelques instants. Ali y reste seul, abattu. Mais Morgiane vient l'y chercher pour le ramener à la maison. | |
| Fiche technique Réalisation : Jacques Becker Scénario, adaptation : Jacques Becker, Marc Maurette, Cesare Zavattini, Maurice Griffe, Annette Wademant à partir des Mille et une nuits avec une collaboration momentanée de Roger Nimier et Antoine Blondin Dialogues : André Tabet Assistants réalisateurs : Marc Maurette, Jean-François Hauduroy, Jean Becker, Jacques Rivette et de langue arabe : Abdelkak Chraïbi et Mohamed Gabsi Images : Robert Lefebvre Opérateur : Roger Delpuech, assisté de Gilbert Sarthe, Gaston Muller Montage : Marguerite Renoir, assistée de Geneviève Vaury Son : Pierre Calvet Perchman : Maurice Dagonneau Recorder : Christian Gourmes, Jacques Gérardot Décors : Georges Wakhévitch, assisté de René Calviera, Jean Forestier, Pierre Thévenet et Savin Couëlle Script-girl : Charlotte Lefèvre Costumes : Jacqueline Moreau, Ferdinand Junker, Georges Wakhévitch Robes : Marcelle Desvignes Musique : Paul Misraki (Éditions Hortensia et Impéria) Orchestre sous la direction de Marc Lanjean Parolier : Jean Manse, pour la chanson Ali Baba Régie générale : Georges Testard, assisté de Louis Manella Régie extérieure : Robert Christidès Photographe de plateau : Gaston Thonnart Accessoiristes : René Albouze, Louis Charpeau Maquillage : Jean Ulysse, Lina Gallet Coiffure : Georges Stern Tapissier : André Guénier Habilleuses : Albertine Banquarel, Simone Gerber Production : Les Films du Cyclope Chef de production : Adry de Carbuccia et Ronald Girard Directeur de production : René-Gaston Vuattoux et Jean Goiran Administrateur de production : Yvonne Toumayeff Secrétaire de production : Micheline Robert Distribution : Cinédis Tirage : Laboratoire G.T.C de Joinville Pellicule 35 mm, couleur par Eastmancolor, développement Paris Studio Cinéma Système sonore : Western Electric Groupes électrogènes : Luxazur 30 vues stéréoscopiques tirées de scènes du film sont éditées en relief et en couleur par la société Stéréofilms Bruguière établie à Paris depuis 1946. Genre : Comédie orientale Durée : 89 minutes Première présentation | | | |
| | | Distribution Fernandel : Ali Baba, serviteur de Cassim le riche marchand Samia Gamal : Morgiane Dieter Borsche (VF : Jean-Henri Chambois) : Abdul, le chef des voleurs Henri Vilbert : Cassim, le riche marchand Édouard Delmont : Le père de Morgiane Julien Maffre: un mendiant José Casa : un mendiant Edmond Ardisson : un mendiant Manuel Gary : un mendiant Gaston Orbal : Le mufti Bob Ingarao : Un bandit Yoko Tani Léopoldo Francès Fanfan Mignucci Piella Sorano Mohamed Gabsi Abdou Chraïbi El Bachir Laalej Luc Martial : Un enfant Said Moutaa Ben Ali | |
| Autour du film Réalisation et diffusion Diffusé dans les salles en 1954, la même année que son autre film Touchez pas au grisbi, sorti en mars, Ali Baba et les Quarante Voleurs, sorti pour la période de Noël, considéré comme issu d'une commande commerciale sera retenu par la critique comme ayant peu d'intérêt artistique et dissonant ainsi avec le film précédent et les autres réalisations de Jacques Becker. Lieux de tournage Le tournage se déroule du 12 avril au 14 juillet 1954. Les prises en extérieurs sont effectuées dans la vallée d'Agadir et à Taroudant, dans le sud marocain (notamment à Ouarzazate) et les scènes intérieurs sont tournées dans les studios de Billancourt. Le tournage s'est effectué sur une durée de treize semaines dont six au Maroc. Les acteurs principaux ont ainsi effectué le voyage de Paris à Billancourt, y compris le mulet Bouzouf, car selon Jacques Becker, « il n'existe pas deux mulets de couleur absolument semblable. ». Accueil critique François Truffaut dans les Cahiers du cinéma signe un article élogieux sur le film qu'il déclare avoir vu trois fois : « À la première vision, Ali Baba m'a déçu, à la seconde ennuyé, à la troisième passionné et ravi. (…) Il faut avoir dépassé le stade de la surprise, il faut connaître la structure du film pour que s'évanouisse la sensation de déséquilibre tout d'abord éprouvée. » Il concède des défauts au film (le fait d'avoir situé celui-ci dans un « Orient de Canebière » - il note que la plupart des acteurs sont marseillais - la musique de Paul Misraki qu'il trouve « très mauvaise », le jeu d'Henri Vilbert qu'il trouve trop « intérieur » pour ce rôle où il faut bouger, sauter et courir : « Quand il est dans le champ on a envie de refaire le cadrage ») mais en parlant de sa mise en scène il assure que Ali baba et les Quarante Voleurs est le film français « le mieux fait » de l'année avec Touchez pas au grisbi et souligne son charme. Truffaut trouve que le style de jeu de Fernandel est tout à fait adapté à la mise en scène choisie et que Jacques Becker réussit avec lui ce que Claude Autant-Lara ou Yves Allégret avaient raté avec L'Auberge rouge et Mam'zelle Nitouche. Pour lui le film est « un extraordinaire document sur (…) un monument nommé Fernandel ». La critique de ce film est le premier article où François Truffaut utilise l'expression Politique des auteurs. Il écrit « Ali Baba eût-il été raté que je l'eusse quand même défendu en vertu de la Politique des Auteurs (…) En dépit de son scénario trituré par dix ou douze personnes, dix ou douze personnes de trop excepté Becker, Ali Baba est le film d'un auteur, un auteur parvenu à une maîtrise exceptionnelle, un auteur de film. » | |
Émissions de télévision
Dans les années 1970, il anime des talk-show :
1971-1975 : Samedi soir (dans le restaurant Maxim's) sur la deuxième chaîne de l'ORTF
1975 : Bouvard en liberté sur Antenne 2
16 mai 1975 : avec Dalida, orchestre de Jean Morlier.
1975-1976 : Dix de der sur Antenne 2
1976-1977 : L'huile sur le feu sur Antenne 2
1977-1978 : Le dessus du panier sur Antenne 2
1978-1979 : Sur la sellette sur Antenne 2
1979-1982 : Passez donc me voir sur Antenne 2
1982-1985 : Le Théâtre de Bouvard sur Antenne 2
1985 : La 2500e des Grosses Têtes sur Antenne 2
1986 : Le Petit Bouvard illustré sur Antenne 2
1986-1987 : Le Nouveau Théâtre de Bouvard sur Antenne 2
1987 : 5 rue du théâtre sur La cinq
1987-1989 : Boulevard Bouvard sur La cinq
1989 : Bouvard et compagnie sur La cinq
1989 : Bar des ministères sur La cinq
1990-1991 : Les drôles de têtes sur Antenne 2
1992 : La 5000e des Grosses Têtes sur TF1
1992, il anime l'émission La Première Fois sur TF1 avec Christophe Dechavanne.
1992-1997, il adapte son émission phare Les Grosses Têtes en version télé sur TF1.
1993-1994 : Le Pied à l'étrier sur TF1
1994-1996 : Les Grosses Têtes en fête sur TF1
1997-1999 : Bouvard du rire sur France 3
2000 : Bouvard des succès sur France 2
2006-2014 : Les Grosses Têtes sur Paris Première
2013 : Les 30 ans du Petit Théâtre de Bouvard sur France 2
2014 : Grosses Têtes : Nos 37 ans de bonheur sur France 2
Sous-préfecture de la Meuse à Commercy.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Depuis le 1er janvier 2016, la commune fait partie de la région Grand Est, créée par la fusion des régions Alsace, Lorraine et Champagne-Ardenne. Auparavant, de 1982 à 2015, elle faisait partie de la région Lorraine. Elle fait également partie de la zone de défense et de sécurité Est.
La commune est le chef-lieu de l'arrondissement de Commercy du département de la Meuse.
Elle était depuis 1793 du canton de Commercy. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Commercy réduit de 19 à 14 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Meuse.
Intercommunalité
Commercy était le siège de la communauté de communes du Pays de Commercy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1998 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le 1er janvier 2017, la communauté de communes de Commercy - Void - Vaucouleurs, dont Commercy est demeuré le siège.
La ville est aussi le siège du Pays du Haut Val de Meuse, dont est membre l'intercommunalité de Commercy depuis 2004, avec deux autres EPCI (Void et Val des Couleurs). Ce pays est un syndicat mixte qui devrait devenir Pôle d'équilibre territorial et rural (PETR) à la suite de la loi MAPTAM de janvier 2014.
Tendances politiques et résultats
Commercy se trouve plutôt ancrée à gauche, mais la droite et l'extrême droite ont remporté toutes les dernières élections locales.
Élections municipales et communautaires
De 1977 à 2008, François Dosé (PS) est vainqueur de toutes les élections municipales. En 2008, Bernard Muller (PS) lui succède en remportant la mairie avec 74,08 % des voix face à Daniel Eymann (UMP).
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Meuse, la liste DVD menée par Jérôme Lefevre obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 147 voix (53,10 %, 22 conseillers municipaux élus dont 15 communautaires), devançant de plus de cent voix celle PS menée par le maire sortant Bernard Muller, qui a recueilli 1 013 voix (46,89 %, 7 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires.
Lors de ce scrutin, 36,43 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans la Meuse, la liste DVD menée par le maire sortant Jérôme Lefevre obtient à nouveau la majorité des suffrages exprimés, avec 838 voix (55,02 %, 23 conseillers municipaux élus dont 11 communautes), devançant largement celle DVG menée par son prédécesseur Bernard Muller, qui a recueilli 685 voix (44,97 %, 6 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 53,85 % des électeurs se sont abstenus.
Autres élections
À l'élection présidentielle de 1995, Lionel Jospin (PS) obtient 52,28 % des suffrages commerciens, mais c'est Jacques Chirac (RPR) qui est élu par les Français à 52,64 %. Au premier tour, Chirac n'était arrivé que quatrième derrière Lionel Jospin (PS), Édouard Balladur (UDF) et Jean-Marie Le Pen (FN). En 2002, le président sortant Jacques Chirac (UMP) est réélu avec 80,28 % des voix face à Jean-Marie Le Pen (FN). Il faut noter qu'au premier tour c'est Lionel Jospin (PS) qui est arrivé en tête dans la ville (22,46 %)68. En 2007, Ségolène Royal (PS) obtient 52,71 % des suffrages commerciens, mais c'est Nicolas Sarkozy (UMP) qui est élu par les Français à 53,06 %. En 2012, François Hollande (PS) remporte le scrutin commercien à 59,25 % face au président sortant, un score bien plus élevé que celui national (51,64 %). Cela ne fit que confirmer la tendance du premier tour qui avait vu le candidat socialiste (32,95 %) devancer largement la candidate du FN Marine Le Pen (21,36 %) et le président sortant de droite (20,73 %).
L'élection présidentielle de 2017 marque un tournant dans l'histoire politique de Commercy : pour la première fois depuis plus de vingt ans, la candidate arrivée en tête du premier tour n'est pas de gauche. Marine Le Pen (FN) obtient 26,27 % des suffrages, devant le candidat de la La France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui recueille quant à lui 21,39 % des voix. Si le candidat libéral Emmanuel Macron (EM) et le candidat libéral-conservateur François Fillon (LR) obtiennent un score plus faible qu'à l'échelle nationale (totalisant respectivement 19,83 % et 15,76 % des voix commerciennes), ce n'est pas le cas du candidat socialiste Benoît Hamon qui, malgré son score très faible (7,73 %), obtient un meilleur résultat que pour l'ensemble de la population française (6,36 %), ce qui témoigne les restes de l'héritage socialiste de la commune de Commercy.
Administration municipale
L'hôtel de ville est installé depuis le xxe siècle dans le château de Commercy.
La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 10 000 habitants, son conseil municipal est composé de 29 membres, y compris le maire et ses adjoints,
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité |
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12/05/00 | 1804 | Claude François Denis | | |
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vers 1851 | | Christophe Louis Liouville | | |
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01/05/84 | 1923 | Auguste René Grosdidier74 | Républicain | Maître de forges Conseiller général du canton de Commercy(1898-1923) Député de la Meuse (1903 → 1913) Sénateur de la Meuse (1913 → 1923) Mort en fonction |
1923 | 1941 | Jules Edmond Morelle | | Conseiller général de Commercy (1923 → 1941) |
1941 | 1944 | Ferdinand Marchand | | |
1944 | 01/05/45 | André Lombard | | |
01/05/45 | 01/10/47 | Maurice Charlier | DVD | Conseiller général de Commercy (1945 → 1958) |
1947 | 1955Note 4 | André Lombard | | Démissionnaire |
1955 | 01/03/71 | Pierre Santoni | RPF | Professeur d’Histoire-Géographie |
01/03/71 | 01/03/77 | Daniel Gaussin | DVD | |
01/03/77 | 01/03/08 | François Dosé | PS | Instituteur Conseiller général de Commercy (1976 → 1998) Conseiller régional de Lorraine (1986 → 1997) Député de la Meuse (1re circ) (1997 → 2007) |
01/03/08 | 01/04/14 | Bernard Muller | PS | Ancien officier de gendarmerie Président de la CC du Pays de Commercy (2008 → 2014) |
avril 201477 | En cours (au 18 septembre 2023) | Jérôme Lefèvre | DVD | Kinésithérapeute Réélu pour le mandat 2020-2026 Le maire de Commercy a présenté sa démission |
Jumelages
Au 1er mars 2017, Commercy est jumelée avec :
Hockenheim (Allemagne) depuis le 18 avril 1970 ;
Communauté rurale de Ronkh (Sénégal) depuis 1989, regroupant les villages de Mbagam, Khor et Ndiathène.
Le maire de Commercy a présenté sa démission au Préfet de la Meuse