Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Charles V, dit le Sage, né le 21 janvier 1338 à Vincennes et mort le 16 septembre 1380 au château de Beauté (actuelle Nogent-sur-Marne), fils de Jean II le Bon, est roi de France de 1364 à 1380, troisième représentant de la dynastie des Valois, qui règne sur la France depuis 1328.
Son règne marque la fin de la première partie de la guerre de Cent Ans. Il parvient à récupérer la quasi-totalité des territoires perdus par son père Jean II et son grand-père Philippe VI, à restaurer l'autorité royale et à sortir le royaume d'une période difficile marquée par les défaites de Crécy (1346) et de Poitiers (1356), par un conflit avec le roi de Navarre Charles II le Mauvais et par l'épidémie de peste noire des années 1347-1351, qui touche la quasi totalité de l'Europe.
Très instruit, il est connu pour avoir fondé la première librairie royale, ancêtre de la Bibliothèque nationale de France.
En 1349, il est le premier prince royal à recevoir le titre de dauphin, en tant que fils aîné et héritier présomptif, à la suite de l'achat du Dauphiné de Viennois, jusque là fief du Saint-Empire romain germanique.
Il accède aux responsabilités dès 1357, lorsque Jean le Bon, prisonnier des Anglais depuis la défaite de Poitiers, est transféré en Angleterre (pour trois ans). Mais son pouvoir est contesté par le roi de Navarre, qui continue de revendiquer la couronne de France en tant que petit-fils de Louis X le Hutin, et par le prévôt des marchands de Paris, Étienne Marcel, qui souhaite un renforcement du rôle des états généraux du royaume.
Il réussit à conserver la couronne à la maison de Valois bien que le pays sombre dans la guerre civile. Sacré roi de France en 1364 après la mort de son père à Londres, il restaure l'autorité royale en la fondant sur l'État de droit et en poursuivant une politique de monnaie stable instaurée par les conseillers de son père. Un parallèle est très vite établi entre son règne et celui de Saint Louis, référence du bon gouvernement à l'époque.
Il dote ses frères d'apanages afin d'éviter qu'ils complotent contre lui. Le plus célèbre est celui qu'il cède en 1363 à Philippe le Hardi, le duché de Bourgogne, créant ainsi la maison de Valois-Bourgogne, avec laquelle ses successeurs seront souvent en conflit, notamment sous les ducs Philippe le Bon et Charles le Téméraire.
Il instaure des impôts durables qui lui permettent de doter la France d'une armée permanente, qui, associée à celles de ses frères, lui permet de débarrasser le royaume des Grandes Compagnies de mercenaires démobilisés, puis de vaincre les Anglais, victoire aussi acquise grâce à une action diplomatiques auprès de la noblesse de Guyenne (fief de France tenu par le roi d'Angleterre), et en isolant celui-ci du reste de l'Europe. Il promeut aussi l'idée de sentiment national, transformant les Anglais en envahisseurs.
Son règne est enfin marqué par le Grand Schisme d'Occident, qu'il n'a pas pu ou voulu empêcher.
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Xivray-et-Marvoisin est une commune française située dans le département de la Meuse en région Grand Est. En dialecte, le village se nommait Seuvraye Marvouzyin.
Géographie
La commune fait partie du Parc naturel régional de Lorraine.
Montsec | Richecourt | |
Loupmont | Seicheprey Meurthe-et-Moselle | |
Bouconville-sur-Madt | Rambucourt |
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet2. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 8 km à vol d'oiseau, est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le 25 juillet 2019; la température minimale est de −17 °C, atteinte le 1er mars 2005.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Xivray-et-Marvoisin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. La commune est en outre hors attraction des villes.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), prairies (27,6 %), forêts (23,1 %), eaux continentales (0,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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La mairie
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
01/03/01 | 01/03/08 | Claudine Aarnink | ||
01/03/08 | En cours | Jean-Claude Vaucelle |
19 rue Principale
55300 Xivray-et-Marvoisin
Téléphone : 03 29 90 42 23
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Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 113 habitants, en augmentation de 16,49 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
319 | 421 | 446 | 456 | 515 | 540 | 535 | 504 | 516 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
440 | 423 | 436 | 402 | 395 | 381 | 356 | 366 | 347 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
312 | 288 | 286 | 162 | 189 | 200 | 195 | 186 | 173 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
180 | 130 | 115 | 94 | 103 | 108 | 85 | 81 | 89 |
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
97 | 111 | 113 | - | - | - | - | - | - |
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Jean Bouin, athlète de fond et demi-fond français, a perdu la vie lors des combats de septembre 1914 à Xivray.
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Alexandre François Étienne Jean Bouin, né le 21 décembre 1888 à Marseille et mort pour la France le 29 septembre 1914 à Xivray dans la Meuse, est un athlète français spécialiste de la course de fond. Outre une médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1912 sur 5 000 mètres, il a gagné trois fois de suite le Cross des nations, considéré alors comme le championnat du monde de la discipline. Il a également été le détenteur de sept records du monde sur différentes distances et durées. De nombreuses enceintes sportives portent son nom en France.
Il est d'abord inhumé au château de Bouconville-sur-Madt ; ses cendres sont rapatriées à Marseille en 1922, et reposent depuis au cimetière Saint-Pierre.
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Après des mois d’interrogation, le début des réponses. Des ossements, dont un crâne, ont été retrouvés tout près du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), le hameau où avait disparu Émile, deux ans et demi en juillet dernier. Une expertise ADN a été réalisée en urgence et a permis de confirmer que les ossements étaient bien ceux du petit garçon.
Organisation de nouvelles fouilles
Les analyses criminalistiques se poursuivent. Pour l’heure, toutes les hypothèses sont étudiées. "Émile a pu se perdre, il a pu être victime d’un accident, il y a eu, peut-être, une intervention humaine, ses ossements ont pu être transportés par des animaux", explique la colonelle Marie-Laure Pezant. De nouvelles fouilles vont être organisées avec des chiens et des hélicoptères. Cette semaine, déjà, la gendarmerie avait organisé une mise en situation avec dix-sept témoins clé : membres de la famille d’Émile, habitants et deux voisins qui auraient été les derniers à avoir vu l’enfant. Selon la gendarmerie, il n’y aurait aucun lien entre ces fouilles et la découverte des ossements. Les médecins légistes vont maintenant tenter de déterminer les causes précises du décès du petit Émile.
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Georges Wodli, né le 15 juillet 1900 à Schweighouse-sur-Moder (faisant alors partie de l’Empire allemand), et mort à Strasbourg sous la torture au cours de la nuit du 1er avril au 2 avril 1943, est un cheminot militant communiste, syndicaliste et résistant français.
Biographie
Apprenti ajusteur aux ateliers de Bischheim de la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine, ce fils de cheminot est mobilisé à 18 ans dans la marine allemande, où il prend part à un soulèvement spartakiste à Kiel. Après la fin de la guerre et l’Alsace-Lorraine redevenue française, il effectue son service militaire de 1920 à 1922 à Toulon. Puis il se rend en région parisienne où il apprend la langue française et se fait embaucher aux usines Renault, Farman, puis Hispano-Suiza. Il s'implique dans les luttes sociales et rencontre le cheminot Pierre Semard, qui l'incite à rejoindre le Parti communiste. Il en reste membre malgré la scission qui a lieu en Alsace en juillet 1929 et se voit promu au bureau régional Alsace-Lorraine du parti en 1930, année où il entreprend un voyage en URSS.
De retour en Alsace en 1925, il reprend son activité à Bischheim, s'installe à Schiltigheim et milite pour l'unification du syndicalisme cheminot et devient en 1930 secrétaire général de l’Union des syndicats des cheminots d’Alsace-Lorraine à la CGTU puis à la CGT, qui soutient activement le Front populaire, dans la seconde moitié des années 1930.
Il est candidat pour le Parti communiste aux élections législatives de 1932 à Molsheim, où il n'obtient que 1 330 voix contre 10 891 face au catholique Henri Meck (Union populaire républicaine). Quatre ans plus tard, 2 658 voix se portent sur lui face au même adversaire. Depuis 1933, il se consacrait à l'aide à la résistance allemande des communistes en participant à l'édition des journaux clandestins Die Rote Fahne et de Die Deutsche Volkszeitung, qu'il faisait parvenir en Allemagne par la Suisse ; il anime des campagnes pour les antifascistes victimes des nazis, comme Ernst Thälmann, Edgar André, Liselotte Herrmann et autres opposants au régime hitlérien.
Mobilisé dans l'armée, il est fait prisonnier lors de la débâcle. Il s'évade le 2 septembre 1940, fait pour lequel il est condamné par contumace pour désertion, et rejoint Paris. Le PCF, dont il a été membre du comité central de 1932 à 1937 (il devient suppléant au Congrès de 1937), étant alors interdit, il est chargé de rétablir la liaison avec les communistes de la zone annexée. Il revient en Alsace début 1941 sous le pseudonyme de « Jules » avec une moustache pour se rendre moins identifiable. Il participe à une édition bilingue clandestine de L'Humanité. Il dirige le réseau Wodli, organisant la résistance d'inspiration communiste dans la région, avec son adjoint Georges Mattern (pour le Haut-Rhin), et en liaison avec le groupe Mario (actif en Moselle). Le sabotage de l'exploitation ferroviaire, l'organisation de filières de passage entre les zones française et annexée, l'aide à l'évasion des prisonniers français, soviétiques, polonais dans les camps allemands installés en Alsace-Lorraine, la diffusion de tracts constituèrent des formes privilégiées d'action des groupes qu'il dirigea.
Sa famille est expulsée et se réfugie à Gretz en 1942. C'est en allant la rejoindre qu'il est arrêté par la police de Vichy à Chatou (Yvelines) le 30 octobre 1942. Il est livré à la Gestapo puis interné par les nazis au camp de Schirmeck-La Broque en janvier. Il succombe finalement à la torture au siège de la Gestapo, rue Sellénick, à Strasbourg. Son corps est aussitôt brûlé au four crématoire du camp de concentration du Struthof.
Postérité
Il est reconnu « Mort en déportation »
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Georges Jacques Danton, dit aussi d'Anton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube et mort guillotiné le 5 avril 1794 (16 germinal an II) à Paris, est un avocat au Conseil du Roi et un homme politique français, ministre de la Justice.
Danton est une des figures majeures de la Révolution française, comme Mirabeau, avec qui il partage un prodigieux talent oratoire et un tempérament impétueux, avide de jouissances (les ennemis de la Révolution l'appellent « le Mirabeau du ruisseau »), ou comme Robespierre, à qui tout l’oppose : le style, le tempérament et le type de talent. Il incarne la « Patrie en danger » dans les heures tragiques de l’invasion d’août 1792, quand il s'efforce de fédérer contre l'ennemi toutes les énergies de la nation et d'user de tous les expédients : pour vaincre, dit-il, « il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France est sauvée », et il n'hésite pas, par pragmatisme, à entamer des négociations secrètes avec les monarques coalisés pour négocier une paix rapide.
À l'instar de Robespierre, une légende s'est vite constituée autour de sa personne. Une polémique idéologique et politique entre historiens robespierristes et dantonistes s'est déchaînée et a culminé sous la IIIe République. Pour les premiers, Danton est un politicien sans scrupules, vénal, capable de trahir la Révolution ; pour les seconds, il est un ardent démocrate, un patriote indéfectible, un homme d’État généreux.
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