Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Adolfo Celi [aˈdolfo ˈt͡ʃeːli] est un acteur italien né le 27 juillet 1922 à Messine, en Sicile, et mort le 19 février 1986 à Sienne, en Toscane.
Il passe quinze ans de sa vie au Brésil, où il commence sa carrière théâtrale. À son retour dans le cinéma européen, il incarne souvent des personnages maléfiques et puissants, notamment dans L'Homme de Rio (1964) de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo, Opération Tonnerre (1965), de Terence Young avec Sean Connery en James Bond, Danger : Diabolik ! (1968) de Mario Bava avec Michel Piccoli et John Phillip Law en Diabolik ou L'Empire du crime (1972) de Fernando Di Leo avec Luciana Paluzzi, Henry Silva et Woody Strode. Il fait également partie de la bande de la comédie à l'italienne Mes chers amis (1975) et ses deux suites, à l'instar de Duilio Del Prete, Gastone Moschin, Philippe Noiret et Ugo Tognazzi.
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Lorenzo Corsini, né le 7 avril 1652 à Florence et mort le 6 février 1740 à Rome, est le 246e évêque de Rome, et donc pape de l’Église catholique qu'il gouverna de 1730 à 1740 sous le nom de Clément XII (en latin Clemens XII, en italien Clemente XII).
Biographie
Il est issu d'une célèbre famille dont était membre saint André Corsini. Après des études au 'Collegio romano' des Jésuites de Rome, Lorenzo Corsini obtient un doctorat en droit à l'université de Pise. Créé cardinal par Clément XI au titre de Santa Susanna et élu pape le 12 juillet 1730, succédant à Benoît XIII. Très âgé lors de son élection - il avait 78 ans - il devient presque totalement aveugle à partir de 1732 et paralysé. Cependant ses facultés intellectuelles intactes et un bon jugement sur les personnes lui font choisir un entourage compétent lui assurant un brillant pontificat. Clément XII commence par atténuer la corruption de certains bénédictins, et il améliore l'efficacité du gouvernement des États pontificaux, bien qu'on lui ait reproché la création d'une loterie comme moyen de lever des fonds.
Dans ses rapports avec les puissances politiques de l'époque, Clément reçoit les mêmes humiliations que la plupart des papes de ce siècle. Le prestige de la papauté est en déclin. Son droit de suzerain sur Parme est ignoré, et les Bourbons s'allient avec les Habsbourg contre la papauté.
Il refuse de revenir sur la bulle Unigenitus condamnant le jansénisme et canonise Vincent de Paul (1737), un opposant irréductible des jansénistes. Clément XII condamne également la franc-maçonnerie, en 1738, par la bulle In eminenti apostolatus specula. Par ailleurs, il reçoit dans l'Église catholique un grand nombre de chrétiens coptes qui ont voulu abjurer le monophysisme. Tout en soutenant le travail missionnaire en Extrême-Orient il renouvelle en 1735 la prohibition des Rites chinois édictée par son prédécesseur Clément XI, tout en ouvrant une nouvelle enquête à ce sujet.
Il continue la politique d'aménagement et modernisation de la ville de Rome initiée par ses prédécesseurs. On lui doit notamment la construction de la célèbre fontaine de Trévi, l’enrichissement de la bibliothèque vaticane et l'agrandissement du musée du Capitole et des musées du Vatican.
Il meurt le 6 février 1740 à 9 heures 30, au palais du Quirinal, de complications de la goutte. Il a 87 ans. Sa dépouille est inhumée le 20 juillet 1742 dans la chapelle Corsini de la basilique Saint-Jean-de-Latran. Son tombeau est l'œuvre des sculpteurs Maini et Monaldi.
Bulles
du 7 des Calendes de juin 1736 - Pourvoit François Jules de Novy comme abbé de l'Abbaye Notre-Dame de Valsaintes et qui était déjà en possession de l'Abbaye Sainte-Marie de Villelongue.
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Didius Julianus (Imperator Caesar Marcus Didius Severus Julianus Augustus) (30 janvier 133-1er juin 193) est un empereur romain qui régna du 28 mars au 1er juin 193.
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Romano Prodi, né le 9 août 1939 à Scandiano, est un économiste et homme d'État italien, membre du Parti démocrate (PD).
Ministre de l'Industrie entre 1978 et 1979, il dirige ensuite à deux reprises l'Institut de reconstruction industrielle (IRI), dont il assure avec succès le démantèlement. En 1995, il fonde la coalition de centre gauche « L'Olivier », qu'il conduit à la victoire aux élections anticipées de 1996.
Il est alors nommé président du Conseil des ministres, poste auquel il est contraint de renoncer au bout de deux ans seulement. Toutefois, en 1999, il est désigné président de la Commission européenne, en remplacement de Jacques Santer. Au cours de son mandat de cinq ans, il mène à bien l'élargissement de l'Union européenne de 2004, qui voit dix pays rejoindre l'UE.
Un an après avoir quitté cette fonction, il remporte les premières primaires citoyennes italiennes, organisées pour choisir le chef de file de L'Union, une vaste coalition de centre gauche et de gauche. L'alliance remportant, sur le fil, les élections générales d'avril 2006, il retrouve la présidence du Conseil. La fragilité de la coalition conduit le gouvernement à être mis en minorité au Sénat en février 2007, mais Prodi finit par conserver la confiance des deux chambres.
Élu président du nouveau Parti démocrate (PD) en octobre 2007, il est obligé de démissionner de la présidence du Conseil, en janvier 2008, après avoir perdu un vote de confiance à la chambre haute, du fait du retrait d'un petit parti de la majorité. Pour les élections anticipées d'avril, il laisse le leadership électoral à Walter Veltroni. À l'issue du scrutin, qui voit la défaite du centre gauche, il renonce à présider le PD et se retire du devant de la scène politique.
En 2013, désigné candidat à la présidence de la République par la coalition de centre gauche, il manque d'être élu chef de l'État lors du quatrième tour de scrutin. Après cet échec, Prodi quitte le PD et met un terme à sa carrière politique.
Son frère Vittorio Prodi est aussi un homme politique.
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Giovanni Battista Montini, né le 26 septembre 1897 à Concesio, près de Brescia, ville de Lombardie dans l'archidiocèse de Milan (Royaume d'Italie), et mort le 6 août 1978 à Castel Gandolfo, est un prélat catholique italien, élu pape le 21 juin 1963 sous le nom de Paul VI (en latin Paulus VI, en italien Paolo VI). En qualité d'évêque de Rome, il est le 262e pape de l'Église catholique, et son pontificat s'étend de 1963 jusqu'à sa mort en 1978.
Il est béatifié le 19 octobre 2014, puis canonisé le 14 octobre 2018. Il est fêté le 29 mai.
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Calixte III (Alonso de Borja i Llançol, plus connu sous le nom de Alfonso Borgia), né à Canals dans le royaume de Valence le 31 décembre 1378, mort le 6 août 1458 à Rome, est le 209e pape de l'Église catholique, élu le 8 avril 1455. Âgé de 76 ans, cardinal espagnol, évêque de Valence, candidat de compromis, il est couronné le 20. Il est généralement jugé comme faible, en particulier à cause de son népotisme.
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Silvio Berlusconi (/ˈsilvjo berlcoup ».">uˈskoːni/), surnommé il Cavaliere (« le Chevalier »), né le 29 septembre 1936 à Milan et mort le 12 juin 2023 dans la même ville, est un homme d'affaires et homme d'État italien, président du Conseil des ministres de 1994 à 1995, de 2001 à 2006 et de 2008 à 2011.
Entré dans le monde des affaires à la fin des années 1960, il s'implique dans les secteurs immobilier, télévisuel et sportif. Il fonde et dirige la société Fininvest puis le groupe de communication Mediaset. Pendant trente ans, il est également à la tête de l'AC Milan. Avec une fortune estimée à plusieurs milliards d'euros, il est l'un des hommes les plus riches d'Italie.
Son parti politique libéral-conservateur et populiste de centre droit Forza Italia, créé dans le contexte de l'opération Mains propres, remporte les élections parlementaires de 1994, ce qui lui permet d'être élu député et d'être nommé président du Conseil des ministres, sans avoir occupé aucune fonction politique auparavant. Son gouvernement tombe huit mois plus tard à cause de la défection de la Ligue du Nord.
En 2001, après la victoire de l'alliance de droite aux élections parlementaires, il est à nouveau appelé à la tête du gouvernement ; il dirige deux gouvernements successifs jusqu'en 2006, lorsqu'il est défait de justesse par la coalition de Romano Prodi. Les élections parlementaires de 2008 lui permettent d'accéder à la présidence du Conseil pour la troisième fois. Mais il est contraint de quitter ses fonctions en 2011, sur pression des marchés en pleine crise économique.
À l'issue des élections parlementaires de 2013, la coalition de centre droit qu'il conduit talonne le centre gauche, ce qui rend difficile la formation d'un nouveau gouvernement. Il est déchu de son mandat de sénateur cette même année, à la suite d'une condamnation pour fraude fiscale. Il relance alors Forza Italia, qui avait été dissoute dans Le Peuple de la liberté (PdL) en 2009.
Élu député européen en 2019, il échoue à imposer sa candidature à l'élection présidentielle de 2022. La même année, il effectue son retour au Sénat après la victoire de la droite aux élections parlementaires. Il meurt quelques mois plus tard, à l'âge de 86 ans, des suites d'une pneumonie et d'une leucémie ; des funérailles d'État sont organisées et un deuil national décrété.
Avec plus de neuf ans en fonction, il est le troisième chef de gouvernement à la plus grande longévité depuis l'unification de l'Italie en 1861 et le détenteur du record sous la République italienne. Il a profondément marqué la vie économique, culturelle et politique italienne, que ce soit par son style de gouvernement, ses réseaux d’influence ou par les scandales et mises en cause judiciaires qui ont émaillé son parcours.
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Jules César (en latin : Caius Iulius Caesar IV à sa naissance, Imperator Iulius Caesar Divus après sa mort), aussi simplement appelé César, est un général, homme d'État et écrivain romain, né le 12 ou le 13 juillet 100 av. J.-C. à Rome et mort le 15 mars 44 av. J.-C. (aux ides de mars) dans la même ville.
Son parcours unique, au cœur du dernier siècle de la République romaine — bouleversée par les tensions sociales et les guerres civiles —, marque le monde romain et l'histoire universelle. Ambitieux, il s'appuie sur le courant réformateur et démagogue (populares) qui traverse la cité romaine pour favoriser son ascension politique. Stratège et tacticien, il repousse, à l'aide de ses armées, les frontières de la République romaine jusqu'au Rhin et à l'océan Atlantique en conquérant la Gaule, puis utilise ses légions pour s’emparer du pouvoir au cours de la guerre civile l’opposant à Pompée, son ancien allié, puis aux républicains.
Acclamé comme un imperator favorisé des dieux, seul maître à Rome après une suite de victoires foudroyantes sur ses adversaires, il entreprend de réformer l’État et de modifier l'organisation de la classe politique dirigeante afin de satisfaire les revendications de la mouvance des populares, dont il se revendique. Pour ce faire, il concentre progressivement — grâce à son contrôle sur le Sénat de Rome — de nombreux pouvoirs exceptionnels, adossés à une politique de culte de la personnalité inédite reposant sur ses ascendances divines et sa fortune personnelle.
Adoré du peuple, pour qui il fait montre de largesses frumentaires, économiques et foncières, il se fait nommer dictateur, d'abord pour dix ans avec des pouvoirs constitutionnels, puis à vie, étant autorisé à porter la toge et la couronne des triomphateurs en permanence. Soupçonné de vouloir instaurer par ces mesures une nouvelle monarchie à Rome, il est assassiné peu après par une conspiration de sénateurs dirigée par Brutus et Cassius.
Son héritage est rapidement l'objet d'une nouvelle guerre civile entre ses partisans et successeurs, son fils adoptif par testament, Octave, triomphant de ses adversaires. Jules César est divinisé et Octave, vainqueur de Marc Antoine, achève par sa victoire et par l'élimination des derniers républicains la réforme de la République romaine, qui laisse place au principat et à l'Empire romain en tant que régime de gouvernement de la cité. Son nom devient synonyme de pouvoir et l’un des titres de référence pour nombre de pouvoirs personnels en Europe occidentale. Sa personnalité et son parcours sont l'objet de nombreux récits plus ou moins légendaires au fil du temps, dans les cultures du monde entier ; de même, sont désignées par le terme de « césarisme » les attitudes politiques visant à faire reposer un pouvoir personnel fort sur l'approbation populaire et sur le plébiscite.
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Ludovic Marie Sforza dit le More (en italien Ludovico Maria Sforza detto il Moro), né le 27 juillet 1452 à Vigevano (entre Milan et Pavie) et mort le 27 mai 1508 à Loches en France. « Arbitre d’Italie », selon l’expression utilisée par Guichardin, il fut duc de Bari à partir de 1479, régent du duché de Milan de 1480 à 1494, enfin duc lui-même de 1494 à 1500.
Sous sa régence le duché connaît une période de tranquillité extérieure, sans aucun conflit, et Ludovic s'investit dans un mécénat actif en invitant à la cour ducale nombre d'artistes de renom tels que, par exemple, Léonard de Vinci à qui il demande de peindre La Cène pour le couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie.
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Catherine Corner italianisé en Caterina Cornaro, née le 25 novembre 1454 à Venise et morte le 10 juillet 1510 à Asolo, est reine de Chypre de 1474 à 1489.
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