Date de création : 09.04.2012
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23.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Marc Aurèle (en latin : Marcus Aurelius Antoninus) est un empereur, philosophe stoïcien et écrivain romain né le 26 avril 121 à Rome et mort le 17 mars 180 à Sirmione (selon Tertullien) ou à Vindobona. Il est le dernier des souverains connus sous le nom des « cinq bons empereurs » et le dernier empereur de la Pax Romana, une époque de paix et de stabilité relatives pour l'Empire romain. Il est consul romain en 140, 145 et 161.
Marc Aurèle naît sous le règne d'Hadrien. Il est le fils du préteur Marcus Annius Verus et de l'héritière Domitia Lucilla Minor. Son père meurt alors qu'il est encore enfant et Marc Aurèle est élevé par sa mère et ses grands-pères. Après la mort du fils adoptif d'Hadrien, Lucius Aelius, en 138, l'empereur adopte l'oncle de Marc Aurèle, Antonin le Pieux, comme nouvel héritier. À son tour, Antonin adopte Marc Aurèle et Lucius Aurelius Verus, le fils d'Aelius. Hadrien meurt cette année-là et Antonin devient empereur. Alors héritier du trône, Marc Aurèle étudie les lettres grecques et latines sous la direction de tuteurs tels qu'Hérode Atticus et Fronton. Il entretient par la suite une correspondance étroite avec Fronton pendant de nombreuses années. Marc Aurèle épouse la fille d'Antonin, Faustine la Jeune, en 145. Après la mort d'Antonin en 161, Marc Aurèle accède au trône aux côtés de son frère adoptif Lucius.
Le règne de Marc Aurèle est marqué par des conflits militaires. En Orient, l'Empire romain combat avec succès un Empire parthe revitalisé et le royaume rebelle d'Arménie. Marc Aurèle défait les Marcomans, Quades et Sarmates Iazyges dans les guerres marcomanes. Cependant, ces peuples et d'autres peuples germaniques continuent à représenter une menace pour l'Empire, et les conflits armés reprennent très vite malgré une trêve signée. En outre, une grave pandémie connue comme la « peste antonine » éclate vers 166 et dévaste la population de l'Empire pendant plusieurs décennies.
Le co-empereur Lucius Verus meurt en 169. Contrairement à certains de ses prédécesseurs, Marc Aurèle choisit de ne pas adopter d'héritier. Parmi ses enfants se trouvent Lucilla, qui épouse Lucius, et Commode, dont la succession à Marc Aurèle fait l'objet de débats entre les historiens contemporains et modernes. La colonne et la statue équestre de Marc Aurèle se trouvent toujours à Rome, où elles ont été érigées pour célébrer ses victoires militaires. Dernier grand monument du stoïcisme, les Pensées pour moi-même sont une source importante pour la compréhension moderne des philosophes antiques.
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Eugène IV (né Gabriele Condulmer à Venise en 1383 - mort le 23 février 1447) était un moine augustin italien, avant de devenir le 207e pape de l'Église catholique de 1431 à 1447. Son pontificat fut marqué par le concile de Bâle qui affirma explicitement l'autorité des conciles sur le pape. Ce concile, transféré à Ferrare puis à Florence, fut également une ultime tentative de rapprochement des Églises d'Orient et d'Occident.
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Commode (en latin : Imperator Caesar Lucius Aelius Aurelius Commodus Augustus Pius Felix Sarmaticus Germanicus Maximus Britannicus), né à Lanuvium le 31 août 161 et mort à Rome le 31 décembre 192, est un empereur romain qui règne de 180 à 192. Il est le fils de Marc Aurèle et le dernier empereur de la dynastie des Antonins.
Arrivé sur le trône impérial en 177, il gouverne conjointement avec son père durant trois ans. À la mort de Marc Aurèle en 180, Commode commence à régner de manière plus autoritaire et hostile au Sénat, se livrant à un exercice autocratique du pouvoir. Il est rapidement surnommé le « Hercule romain » en raison de combats de gladiateurs auxquels il participe. Son règne est considéré comme marquant la fin de la Pax Romana, âge d'or de paix et de prospérité dans l'histoire de l'Empire romain.
Durant les douze années de son règne, et malgré la réputation de despote qu'il se forge, Commode est à l'origine de plusieurs grandes avancées de l'Empire romain. Pratiquant lui-même des cultes étrangers, il fait preuve d'une tolérance religieuse assez inédite, mettant fin aux persécutions contre les chrétiens qui recommenceront dès sa mort. Il fait également ériger divers monuments célébrant les exploits de son père Marc Aurèle, comme une statue équestre ou encore une colonne commémorative au cœur de Rome.
Globalement aimé du peuple et soutenu par l'armée, à laquelle il avait fait don d'énormes sommes d'argent, il réussit à se maintenir au pouvoir contre de nombreuses conspirations. Son assassinat en 192 provoque une guerre civile et la fin de la dynastie des Antonins. Soumis à la damnatio memoriae par le Sénat, il est postérieurement réhabilité par l'empereur Septime Sévère.
À l'instar de Caligula, Néron et Domitien, son image reste celle d'un empereur cruel et sanguinaire, propagée par des auteurs latins qui, pour des raisons idéologiques et politiques, ont joué un rôle considérable dans le développement de sa légende noire. Cette image est cependant réévaluée par la recherche contemporaine.
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Giannangelo, comte Braschi, ou Giovanni Angelico Braschi à sa naissance, Jean Ange Braschy pour l'état civil français, né le 25 décembre 1717 à Cesena (Romagne) et mort le 29 août 1799 à Valence (France), est le 250e pape évêque de Rome et donc pape de l'Église catholique, sous le nom de Pie VI (nom latin : Pius VI ; nom italien : Pio VI) du 15 février 1775 à sa mort.
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Alessandro Ludovisi, né le 9 janvier 1554 à Bologne et décédé le 8 juillet 1623 à Rome, fut le 234e évêque de Rome et pape de l'Église catholique.
Élu le 9 février 1621, il prit le nom de Grégoire XV (en latin Gregorius XV, en italien Gregorio XV) en hommage à Grégoire XIII qui l'avait introduit dans les affaires ecclésiastiques. Son pontificat qui dura à peine 30 mois n'en fut pas moins fécond et décisif pour l'organisation interne de l'Église catholique.
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Tommaso Parentucelli, né le 15 novembre 1397 à Sarzana, est le 208e pape de l'Église catholique sous le nom de Nicolas V, du 6 mars 1447 au 24 mars 1455, et voit ainsi la chute de Constantinople. Il met fin au schisme de l’antipape Félix V et il fonde la Bibliothèque vaticane. Par sa bulle Romanus pontifex, Nicolas V est souvent accusé d'avoir légalisé la colonisation de l'Afrique et l'esclavage des Africains par Alphonse V, roi du Portugal.
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Giulio Andreotti, né le 14 janvier 1919 à Rome et mort le 6 mai 2013 à Rome, est un journaliste, écrivain et homme d'État italien. Dirigeant de la Démocratie chrétienne (DC), il est l'un des protagonistes les plus importants de l'histoire politique italienne du xxe siècle.
Proche d'Alcide De Gasperi, il devient progressivement l'un des animateurs de la DC tout en étant une figure familière du gouvernement italien : il est notamment deux fois ministre des Finances, cinq fois ministre des Affaires étrangères et huit fois ministre de la Défense.
Il dirige sept gouvernements comme président du Conseil des ministres, de 1972 à 1973, de 1976 à 1979 puis de 1989 à 1992. Sa longévité en fait l'un des hommes politiques italiens les plus importants du xxe siècle, d'autant qu'il est successivement membre de l'Assemblée constituante, de la Chambre des députés et du Sénat. Il est nommé sénateur à vie en 1991.
Sa personnalité, sa repartie et ses liens présumés avec la mafia lui ont valu de nombreux surnoms, flatteurs ou non. Il était notamment appelé Divo Giulio, une référence par le latin Divus Iulius au dirigeant de la Rome antique Jules César.
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Eugenio Pacelli (/euˈdʒɛnjo paˈtʃɛlːi/), né le 2 mars 1876 à Rome (Italie) et mort le 9 octobre 1958 à Castel Gandolfo (Italie), est le 260e pape de l'Église catholique sous le nom de Pie XII (en latin : Pius XII, en italien : Pio XII) de 1939 à sa mort.
Né dans une famille de la noblesse pontificale, il progresse dans la curie, en tant que juriste dans la diplomatie vaticane. Nonce apostolique pendant la Première Guerre mondiale en Bavière puis en Allemagne, où il assiste à une révolte communiste et à la naissance du parti nazi, négociateur de plusieurs concordats, il est créé cardinal en 1929 puis nommé en février 1930 cardinal secrétaire d'État du pape Pie XI. Il travaille avec lui au quotidien, en particulier sur les relations avec l'Allemagne où Hitler arrive au pouvoir, avec l’appui du catholique Von Papen, avec lequel il négocie un concordat.
Il travaille ensuite pour Pie XI à la lettre de condamnation du nazisme : Mit brennender Sorge. Ses capacités de diplomate et la confiance de Pie XI, qui meurt en 1939, en font le favori du conclave, qui l'élit peu avant le début de la guerre.
Tentant de maintenir la paix (au moins pour l'Italie), exposant sa vision du rôle du pape dans l'encyclique Summi Pontificatus, il maintient le Vatican dans une neutralité, qui condamne les excès de la guerre (en Pologne surtout) sans nommer explicitement le nazisme de peur, semble-t-il, d'aggraver la répression. Sous la surveillance de Mussolini d'abord, puis sous celle des Allemands, il maintient des liens diplomatiques avec tous les régimes, y compris ceux qui collaborent à l'antisémitisme et à la déportation des Juifs, tout en se refusant à condamner l'alliance des Alliés et de l'URSS.
Mis au courant de l'existence des camps d'extermination, le pape condamne les actes, sans en préciser explicitement les victimes, ni les coupables (Noël 1942). Lors de l'occupation de Rome par les nazis, Pie XII agit pour éviter les bombardements de la ville, et pour protéger les Juifs menacés, ce qui n'empêche pas complètement leur déportation, mais lui vaut la reconnaissance de plusieurs personnalités et dignitaires juifs après la guerre.
Après la guerre, il s'oppose aux régimes communistes qui poursuivent la répression des catholiques et accompagne la décolonisation, par la mise en place de clergés locaux. Durant son long pontificat, Pie XII exerce un magistère d'autorité, utilisant l'infaillibilité pour affirmer le dogme de l'Assomption, publiant quarante-deux encycliques et effectuant trente-trois béatifications. Il affirme une vision hiérarchique de l'Église comme un corps mystique du Christ, insistant sur l'apostolat des laïcs et sur le rôle de la famille chrétienne dans l'éducation. Il encadre les innovations liturgiques et la recherche sur les écritures saintes, met fin à l'expérience des prêtres ouvriers, prend position sur les questions scientifiques, la contraception ou sur les évolutions politiques, utilisant les médias modernes (radio, télévision), et les grands rassemblements.
Après sa mort, en particulier à partir de 1963, à la suite de la parution de la pièce de théâtre Le Vicaire, il est l'objet d'une polémique (qui reprend au moment de l'enquête sur sa béatification) entre ceux qui louent son action charitable et déterminée contre Hitler et ceux qui lui reprochent ses « silences » (en particulier sur la Shoah, le génocide des Juifs d'Europe par le régime nazi et ses collaborateurs) et ses ambiguïtés face aux régimes d’extrême droite.
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Constantin Ier (en latin : Flavius Valerius Aurelius Constantinus, en grec : Κωνσταντῖνος (Konstantinos)), né à Naissus en Mésie le 27 février 272 et mort le 22 mai 337 près de Nicomédie, est un empereur romain majeur du ive siècle.
Bien qu'initialement proclamé Auguste de façon illégitime par ses troupes, à la mort de son père Constance Chlore en 306, son règne est entériné en 310 par l'empereur Galère, et se poursuit sans discontinuer jusqu'à sa mort en 337. Il parvient à unifier le pouvoir impérial en 324 en triomphant sur son co-empereur Licinius, mettant ainsi fin à trente-huit années de tétrarchie. Il a donc été seul maître de l'Empire romain pendant treize ans.
Il met provisoirement fin aux dissensions des Églises d'Orient en convoquant le premier concile de Nicée (325), et affirme son autorité dans le domaine religieux : c'est le césaropapisme. Il instaure une monnaie stable (le solidus, 312), développe l'administration centrale, défend les frontières de l'Empire contre les Francs, les Alamans, les Sarmates, les Goths et les Sassanides. Il fonde en 330 une capitale à son nom, Constantinople (actuellement Istanbul).
Ses réformes favorisent largement l'essor du christianisme, vers lequel il se tourne progressivement, et dont il est devenu l'un des saints pour l'Église orthodoxe et un saint local pour l'Église catholique, sous le nom de « Constantin le Grand ».
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Alexandre Farnèse (Alessandro Farnese en italien), né le 29 février 1468 à Canino, devient le 220e pape de l’Église catholique le 13 octobre 1534 sous le nom de Paul III (en latin Paulus III, en italien Paolo III) et règne jusqu'à sa mort, le 10 novembre 1549 à Rome.
Il accède au trône papal à une époque qui suit le sac de Rome (1527), avec de nombreuses incertitudes au sein de l'Église catholique après la Réforme protestante. Il initie la Contre-Réforme avec le concile de Trente qu'il convoque en 1545. Son pontificat connait les premières guerres de religion avec les campagnes militaires de l'empereur Charles Quint contre les protestants en Allemagne. Il reconnait de nouveaux ordres et sociétés religieux catholiques tels que la Compagnie de Jésus, les Clercs réguliers de Saint-Paul ou Barnabites et la Congrégation de l'Oratoire de saint Philippe Néri. Ses efforts sont détournés par le népotisme visant à faire progresser le pouvoir et la fortune de sa famille, y compris de son fils illégitime Pierre-Louis Farnèse. Il est parfois surnommé le « renard Farnèse ».
Il réorganise l'Inquisition, mettant en place l'Inquisition romaine et autorisant la création de l'Inquisition portugaise.
On lui doit également la Veritas ipsa, la condamnation officielle par l'Église catholique de l'esclavage des Indiens « ou de tout autre peuple qui viendrait à être découvert » en 1537.
Paul III est un mécène important d'artistes dont Michel-Ange ; Nicolas Copernic lui dédie son traité héliocentrique.
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