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Monde : Italie

Frédéric François

Publié à 04:55 par dessinsagogo55 Tags : center moi centerblog background sur vie merci enfants
Frédéric François

Francesco Barracato, dit Frédéric François, né le 3 juin 1950 à Lercara Friddi en Sicile (Italie), est un chanteur-compositeur italo-belge francophone.

 

Biographie

Origines et enfance

Né le 3 juin 1950 à Lercara Friddi en Sicile, dans une famille italienne très modeste, Francesco Barracato, dit Frédéric François, est le deuxième enfant de Giuseppe Barracato dit Peppino, et de Antonina Salemi dite Nina. Son père est d'abord mineur dans une mine de soufre à Lercara ; sa mère est couturière à Lercara. Le couple a huit enfants. Son père émigre en Belgique dans le bassin houiller de Liège où il décroche un contrat de trois ans en tant que mineur

En 1951, Nina et ses deux fils rejoignent le père à Tilleur dans un convoi de la Croix-Rouge. Peppino chante pour le plaisir des chansons napolitaines et des airs d’opéra en s’accompagnant lui-même à la guitare. Francesco n'a que dix ans quand il chante pour la première fois en public 'O sole mio dans un café majoritairement fréquenté par des Siciliens de Tilleur, Le Passage à niveau.

Son père l'encourage et le forme pour ses premières prestations, alors qu'il est encore adolescent

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_

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Char Fiat M13/40

Publié à 15:49 par dessinsagogo55 Tags : center 2010 blogs centerblog sur bonne base afrique merci monde coup mode air automne
Char Fiat M13/40

 

Le char Fiat-Ansaldo M13/40 était un char moyen italien, conçu afin de remplacer le Fiat L3, le Fiat L6/40 et le Fiat M11/39 dans l'Armée italienne au commencement de la Seconde Guerre mondiale. Il reposait sur un châssis modifié issu du Fiat M11/39 plus ancien. La production du M11/39 fut ainsi stoppée afin de lancer celle du M13/40. Bien que conçu comme un char moyen, le M13/40 était plus près à l'époque des standards d'un char léger en termes de blindage, mais pas en ce qui concerne sa puissance de feu. On comprend ainsi sa dénomination : « M » pour Medio (« moyen »), 13 pour son poids en tonnes (poids prévu initialement lors du lancement de la production) et 40 pour son année d'adoption (1940).

 

Caractéristiques

 

Le M13 était construit au moyen de plaques d'acier rivetées d'épaisseur variable, selon la répartition suivante : 30 mm à l'avant (comme pour le M11), 42 mm à l'avant de la tourelle (30 mm pour le M11), 25 mm sur les côtés (le M11 n'avait qu'un blindage de 15 mm), seulement 6 mm sous la caisse (ce qui le rendait très vulnérable aux mines) et 15 mm sur le dessus de la caisse. L'équipage était embarqué dans le compartiment de combat à l'avant, le moteur à l'arrière et la transmission à l'avant de la caisse. Le compartiment de combat accueillait quatre hommes, le pilote et le mitrailleur / radio dans la caisse, le tireur et le chef de char dans la tourelle.

 

Le train de roulement, inspiré de celui du Vickers, avait deux bogies avec chacun deux paires de petites roues de chaque côté de l'axe de la chenille, soit huit galets de roulement au contact du sol, utilisant des ressorts à lames. L'entraînement se faisait par un barbotin denté à l'avant, une roue tendeuse se trouvant à l'arrière. Les chenilles étaient constituées d'un classique squelette constitué de segments de plaques d'acier, relativement peu larges. Ce système était censé allouer au M13/40 une bonne mobilité dans les zones montagneuses, où les combats futurs devaient se dérouler. En réalité, les M13 n'ont principalement vu le combat que dans le désert, où du coup leur mobilité s'en trouvait réduite. Le char était propulsé par un moteur Diesel Fiat SPA de 125 ch. Il s'agissait alors d'une innovation, qui restait encore à intégrer à la conception des chars de combat de nombreux pays. Les moteurs Diesel représentaient en effet l'avenir de la motorisation des chars, moins coûteux, permettant une plus grande autonomie, et minimisant les risques d'incendie par rapport aux moteurs à essence.

 

L'armement principal du M13 était un canon de 47 mm. Il pouvait percer un blindage de 45 mm à 500 m. Cela suffisait pour vaincre les chars britanniques qu'il allait rencontrer au cours des combats. À l'époque, la plupart des Panzers allemands n'avaient qu'un canon de 37 mm, ce qui apportait comparativement au char italien une plus grande puissance de feu. Le char embarquait jusqu'à 104 obus perforants. Le M13 avait aussi trois ou quatre mitrailleuses : une coaxiale, deux frontales montées sur balles, ainsi qu'une quatrième éventuellement disposée sur un affut de tourelle pour la défense antiaérienne. Deux périscopes, un pour le tireur, un pour le chef de char, ainsi qu'une radio faisaient également partie de l'équipement de base théorique du char.

 

La série du M13/40 a été la plus produite en Italie durant la guerre, si l'on inclut les variantes comme le M14/41, avec plus de 3 000 unités construites.

 

Engagements

 

Le M13/40 fut utilisé durant la campagne des Balkans en 1941 et pendant la Guerre du désert. Il n'a pas connu le Front de l'Est où les forces italiennes ne disposaient que de Fiat L6/40 et de Semovente L.40 47/32. Début 1942, l'Armée italienne dut admettre le manque de puissance de feu du M13/40 et passa au Semovente 75/18 pour l'ossature de ses bataillons de chars.

 

Premiers engagements

 

Les premiers des quelque 700 M13/40 construits furent produits à un rythme de l'ordre de 60 à 70 unités par mois, avant l'automne 1940. Ils furent envoyés en Afrique du Nord pour combattre les Britanniques. Leur premier engagement eut lieu au sein d'une unité spéciale, la brigade Babini. Arrivant trop tard pour prendre part à l'offensive de septembre, l'unité était prête en décembre 1940, lors de l'opération Compass menée par les forces du Commonwealth. Plus tard, à Derna, ce fut au tour du Ve bataillon, fraîchement arrivé, d'être engagé. Treize tanks du IIIe bataillon étaient également présents non loin, à Bardia. Durant les deux jours de combats (3 et 4 janvier 1941), les Australiens perdirent 456 hommes, mais capturèrent 45 000 Italiens. Les 6 février et 7 février suivants, l'offensive britannique pénétra si profondément le dispositif italien que la brigade Babini dut tenter de créer une brèche dans les lignes anglaises pour permettre aux troupes italiennes de se replier le long de la côte libyenne. L'action de la brigade fut empreinte de bravoure mais demeura finalement vaine, et tous ses chars furent perdus lors des combats. Les six derniers chars du bataillon avaient pénétré un champ, près du poste de commandement avancé anglais. Ils furent tous détruits, l'un après l'autre, par un unique canon de 2 pdr (40 mm). De nombreux chars furent perdus durant cette campagne à cause de tirs d'artillerie, et ce plus fréquemment que lors de combats de chars. Nombre de M11 et M13 capturés furent réutilisés par les Australiens (notamment dans le 6th Australian Division Cavalry Regiment) et par les Britanniques (6th battalion, Royal Tank Regiment), ce jusqu'au printemps 1941, lorsqu'il n'y eut plus de carburant disponible, moment où ils furent détruits. Les pertes italiennes durant la campagne s'élèvent à 130 000 hommes faits prisonniers, 400 avions, 500 chars (parmi lesquels presque la totalité des 72 M11 et au moins 113 M13), 1 000 pièces d'artillerie et 1 500 véhicules.

 

Les M13 combattirent également en Grèce, sur un terrain difficile. Plus tard, en avril 1941, les M13 de la division Ariete prirent part au siège de Tobrouk, sans grand succès face aux Matildas britanniques.

 

La première action de M13 véritablement couronnée de succès eut lieu lors de la bataille de Bir-el Gobi où, pour la première fois en 17 mois de combats en Afrique du Nord, les Italiens vainquirent les forces britanniques. De nombreuses raisons expliquent ce succès : l'Ariete y était nantie d'un fort soutien tant d'artillerie que d'infanterie, les Britanniques attaquaient (avec une unique brigade blindée), ne sachant pas qu'ils allaient faire face à toute une division blindée, et de fortes pluies étaient tombées récemment, rendant ainsi inopérant le principal avantage des chars britanniques, à savoir la vitesse élevée de leurs chars de cavalerie. Les pertes britanniques furent relativement lourdes, mais pas catastrophiques, tandis que les Italiens perdaient de nombreux chars et des pièces d'artillerie. Les chars anglais, après leur engagement contre les chars italiens, durent se replier, assaillis par les tirs d'artillerie.

 

Autre important facteur ayant conduit les Italiens à la victoire, le déploiement de batteries de défense côtière, armées de canons de 102 mm montés sur de vieux camions, tirant des munitions semi-antiblindages utilisables pour les tirs de DCA. Leurs servants n'eurent pas trop de mal à suivre les chars : ils détruisirent au moins 15 chars ennemis.

 

Suite des combats

 

En avril 1941, quand arriva l'Afrikakorps, les Italiens alignaient environ 240 chars M13 et M14 en ordre de combat. L'apparition à la mi-1942 du M3 Lee-Grant armé de son canon de 75 mm, aux côtés du Crusader III (équipé de l'Ordnance QF 6 pounder de 57 mm), fut décisive quant au sort du M13/40. Les Britanniques dotèrent également leurs unités d'infanterie de l'Ordnance QF 6 pounder courant 1942. Cela contraignit les Italiens à solliciter de plus en plus leur artillerie, et à équiper au moins une compagnie par bataillon blindé de canons d'assaut Semovente 75/18, plus lourdement armés. Tentant d'améliorer la protection du char, de nombreux équipages empilaient des sacs de sable ou des segments de chenilles sur la coque de leur blindé, mais cela le rendait encore plus lent et augmentait le nombre de pannes.

La Seconde bataille d'El Alamein vit la première apparition du M4 Sherman, alors que 230 M13 étaient encore en ligne. Pendant quelques jours de combats, les divisions Ariete et Littorio furent utilisées afin de couvrir la retraite des forces de l'Axe, et elles furent étrillées. La division Centauro fut pratiquement détruite durant les combats en Tunisie.

 

Forces et faiblesses

 

Le M13/40 était un char léger tout ce qu'il y a de plus conventionnel au début du conflit, similaire en de nombreux points à d'autres modèles dérivés du Vickers 6-Ton, comme le 7TP polonais et le T-26 soviétique. Avec ses 13 tonnes, il présentait un blindage comparable à celui de ses adversaires de 1940-41, et sa puissance de feu était suffisante pour se confronter aux chars britanniques de cette période. Les munitions explosives de son canon principal étaient efficaces contre les canons et l'infanterie. La motorisation Diesel constituait un avantage, et la simplicité de son mode de production convenait à l'industrie italienne de l'époque.

 

Néanmoins, ce char avait aussi ses défauts. Le moteur Diesel lui conférait certes une bonne autonomie, mais sa fiabilité laissait à désirer. Le moteur du M13 était le même que celui du M11, mais le nouveau char était plus lourd, ce qui impliquait une vitesse plus faible et de plus gros efforts sur le moteur. Les suspensions et les chenilles étaient relativement fiables, mais pour des vitesses faibles, comparables à celles des chars d'infanterie comme le Matilda. Son armement, correct en 1940-41, devint rapidement insuffisant face à l'épaississement des blindages et à l'augmentation de la puissance de feu des chars alliés ou allemands. La méthode de construction, par rivetage de plaques d'acier, était dépassée. La plupart des chars de combat de l'époque étaient assemblée par soudure, les rivets étant susceptibles de sauter lors d'un impact, devenant des projectiles supplémentaires à l'intérieur de l'habitacle. La tourelle, prévue pour deux hommes, était en outre moins efficace que celles prévues pour trois hommes montées sur de nombreux autres chars de l'époque. De plus, la radio n'était pas montée de série, ce qui posait des problèmes pour la communication avec les autres chars ou l'infanterie.

 

Malgré les lourdes pertes et les nombreuses avaries, le M13 fut présent dans les rangs de l'Esercito durant toute la durée des opérations.

 

Variantes

 

Le M14/41 est une variante de ce char, équipée d'un moteur plus puissant (145 ch) et de meilleurs filtres à air, destiné aux combats en Afrique du Nord. Le Semovente Comando M40 (et pas "commando") était un M13/40 dont la tourelle avait été remplacée par une large écoutille en plusieurs segments. La coque abritait des radios supplémentaires et d'autres dispositifs de communication.

 

Dernière évolution, la production du M15/42 débuta en 1943 ; il était équipé d'un meilleur moteur à essence et d'un canon 47/40 plus long. Le canon automoteur Semovente 75/18 fut quant à lui conçu en utilisant le châssis soit du M13/40 soit du M14/41.

 

 

   
   
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Fiat 600 Multipla

Publié à 10:57 par dessinsagogo55 Tags : photo center sur centerblog background mer base merci place automne
Fiat 600 Multipla

La Fiat 600 Multipla est une automobile fabriquée entre 1956 et 1965 par le constructeur italien Fiat. Ce modèle ne sera jamais produit ailleurs qu'en Italie.

 

Descriptif

Le Multipla est construit sur la base de la Fiat 600 berline deux portes et peut être considéré comme une version familiale puisque six personnes y trouvent place sur trois rangées de sièges. Il s'agit de la première voiture de série à s'essayer, au concept du monospace, tout comme Volkswagen qui proposait déjà un combi minibus dont la mécanique avait la même disposition, ou meme Renault proposant à l'époque son projet Renault 600.

 

Présentée au Salon de Bruxelles 1956, ce modèle connaît un beau succès commercial. Déclinée en trois versions : 4-5 places, familiale 6 places et Taxi, elle reprend la mécanique de la berline de 633 cm3 développant 21 ch, autorisant une vitesse maximale de 90 km/h pour une consommation de 6,7 litres aux 100 km.

 

Les places avant sont très avancées grâce à la position arrière du moteur. L'esthétique ne favorise pas vraiment l'aérodynamisme, bien que le Cx mesuré soit très avantageux par rapport à d'autres voitures comme la Renault 4. La voiture connaît un franc succès commercial en Italie, notamment comme taxi. Les campagnes publicitaires du constructeur, dans les années 1960, mettent en avant un nouveau concept révolutionnaire pour l'époque, le temps libre, le camping et autres hobbies.

 

Sa mécanique évolue à l'automne 1960 avec l'apparition de la Fiat 600D dont le moteur croît à 767 cm3 pour 39 ch autorisant une vitesse de pointe de 105 km/h. L'esthétique ne change pas, cette seconde génération du Multipla se distingue extérieurement par ses clignotants ronds. Au Salon de Turin de novembre 1964, Fiat présente un prototype 600 Familiale, disposant d'une carrosserie plus carrée et qui donne naissance, en 1965, à la Fiat 850 Familiale.

 
Carrosseries spéciales

Malgré l'engouement des automobilistes américains pour les voitures extra larges à cette époque, Fiat a immatriculé plusieurs centaines de ce véhicule outre-Atlantique, tout comme des versions de plage.

 

Plusieurs carrossiers italiens eurent le loisir de créer des modèles « transformés » comme les versions 600 Ghia Jolly ou Pininfarina Eden Roc.

 

La Carrozzeria Coriasco a développé un intéressant fourgon Fiat 600 M sur la base de la Fiat 600 Multipla qui donna naissance à la série Fiat 600T - 850T - 900T.

 

En 1956, au Salon de l'automobile de Turin, la Carrozzeria Fissore présente la Fiat 600 Multipla « Marinella ». Conçue par le carrossier italien Fissore, la Marinella décapotable était un véhicule de loisirs destiné aux plages d'Europe. La voiture est dotée d'une banquette arrière enveloppante en bois, parfaite pour les passagers mouillés qui viennent de se baigner dans la mer ou l'océan. Seuls quelques dizaines d'exemplaires de la Marinella ont été construits.

 

En 1958, le patron de FIAT, le sénateur Giovanni Agnelli, voulait disposer d'un véhicule spécial pouvant transporter 6 passagers pour faire visiter sa nouvelle usine Fiat Mirafiori à Turin. Le véhicule, intégralement conçu par la Carrozzeria Boano a été construit sur un châssis de Fiat 600 Multipla modifié, disposait de six places assises, d'un toit en verre transparent et de pare-chocs en chêne teinté. Conformément à la commande, seulement 5 exemplaires ont été construits. 4 ont été sauvegardés, 2 se trouvent en Italie et 2 font partie de la collection privée du célèbre animateur américain de “Jay Leno’s garage”

 
Curiosités

Le nom Multipla sera repris de nombreuses années plus tard, en 1998, par Fiat à l'occasion du lancement d'un nouveau modèle, le Fiat Multipla qui dispose également de six larges places, mais sur deux files de sièges uniquement.

 

   
   
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Fiat Fiatagri

 

   
   
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Fiat 55 R

Publié à 10:29 par dessinsagogo55 Tags : centerblog background sur merci
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Fiat 1580 DT

Publié à 10:23 par dessinsagogo55 Tags : background centerblog sur chevaux merci four
Fiat 1580 DT

Années de fabrication du tracteur : 1979 – 1984

Chevaux : 157 ch


Fiat 1580

Tracteur agricole
série suivante : Fiat 1880
série d’avant : Fiat 1380


Production

fabricant : Fiat


Variantes

1880 : 2 roues motrices
1880dt : 4 roues motrices


Fiat 1580 moteur

 Fiat 8.1l 6-cyl diesel


Capacité

carburant : 280.1 litres


Attelage 3 points

type arrière : Iii
relevage arrière : 5397 kg


Prise de force (pdf)

prise de force arrière : Indépendant
tour par minute arrière : 540/1000


Dimensions et pneus

empattement : 289 cm
poids : 6570 kg
pneu avant : 14.9-28
pneu arrière : 18.4-38


1580 numéros de série

 numéros de série inconnu


Fiat 1580 power

moteur : 155 hp [115.6 kw]


Mécanique

châssis : 4×2 2 roues motrices
 4×4 mfwd 4 roues motrices (1580dt)
pilotage : Direction assistée hydrostatique
freins : Bain d’huile
cabine : Cabineine standard. four-post rops avec toît disponible.


Hydraulique

pompe flux : 55.6 litres par minute

   
   
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https://touslestracteurs.com/fiat/fiche-technique-fiat-1580/

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Giovanni Maria Angioy

Publié à 08:22 par dessinsagogo55 Tags : prix sur saint chez homme center centerblog background merci
Giovanni Maria Angioy

 

 

Giuannemaria (ou Zuannemaria) Angioy (Bono, 21 octobre 1751 - Paris, 23 février 1808) est un homme politique et patriote sarde de la fin du XVIIIe siècle.

 

Biographie

Angioy suit à Sassari des études chez les pères jésuites et en 1771, il est diplômé de l'université de Sassari. Ses parents l'envoient à Cagliari comme apprenti auprès du juriste Gavino Nieddu ; mais au bout de deux mois, Angioy abandonne son apprentissage et se lance dans l'étude du droit. En 1772, Angioy entame une carrière universitaire et l'année suivante, obtient la chaire d'institutions civiles. En 1789, il est nommé juge près la Reale Udienza, la cour suprême du royaume de Sardaigne.

 

Le 28 avril 1794, l'assassinat de deux fonctionnaires piémontais à Cagliari dégénère en rébellion ouverte. Ce sont les journées de s’acciappa (véritable chasse aux Piémontais encore en ville). La révolte se propage dans toute la Sardaigne. Les rebelles, s'appuyant sur les paysans pauvres, occupent Sassari, au nord de l’île, où s'était réfugiée une grande partie de l'aristocratie.

 

L'agitation anti-féodale s'étendant, le Parlement sarde envoie depuis Cagliari une armée avec à sa tête l'avocat Giovanni Maria Angioy. Celui-ci, sympathisant des idées de la Révolution française, prend à son arrivée le parti du peuple et soutient la rébellion.

 

À la tête de son armée et de diverses milices irrégulières, il marche contre les loyalistes qui, au même moment, rassemblent une nouvelle armée à Cagliari tout en demandant l’aide du vice-roi. Angioy est désavoué et, se mettant à dos les forces conservatrices, continue son avancée vers la capitale. Surpris à revers par une armée piémontaise (complétée de mercenaires suisses et corses) fraîchement débarquée et mieux équipée, il est vaincu près d'Oristano en 1796. Sa tête est dès lors mise à prix comme bandit. Sa famille doit fuir et changer de nom. Son village natal de Bono est bombardé et saccagé.

 

Angioy fuit sur le continent et se réfugie à Paris. On dit que jusqu’à son dernier jour il aura cherché à convaincre Napoléon d'envoyer une armée en Sardaigne pour y porter les idéaux de la Révolution. Il meurt à Paris, dans un état proche de l'indigence, au 3, rue Froidmanteau, au premier étage de l'Hôtel Carignan, en 1808, assisté par Catherine Dupont. Ses funérailles ont lieu en l'église de Saint-Germain-l'Auxerrois, à Paris. Le lieu de sa sépulture est inconnu.

 

   
   
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Giovanni_Maria_Angioy

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Galette des Rois : Tradition de « tirer les rois »

Galette des Rois : Tradition de « tirer les rois »
Tradition de « tirer les rois »
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La tradition se déroule en 4 étapes :

Le découpage de la galette et l'attribution des parts

D'origine romaine (voir section "Histoire/Origine"), la tradition stipule que le plus jeune présent à l'assemblée se glisse sous cette table et désigne la répartition équitable des parts entre les convives en annonçant leurs noms lorsqu'une part est coupée, hors de son champ de vision, par une main innocente.

Si la fève est découverte lors de la découpe, la main innocente demande aux convives de se retourner, et elle replace la fève dans la frangipagne d'une part au hasard. Les convives se retournent alors et peuvent faire tourner la galette de sorte que nul ne puisse douter que l'attribution par le cadet sous la table ne favorise un participant.

 

Le découpage doit se faire de manière équitable pour que chaque convive ait une chance égale de trouver la fève. L’usage commande de partager la galette en autant de parts que de convives, plus une. Au Moyen Âge, cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre » est destinée au premier pauvre qui se présentera au logis. Cette coutume a traversé les siècles et est encore présente dans certains foyers.

 

Découverte de la fève

Celui qui découvre la fève dans son morceau de galette est proclamé roi ou reine de la journée.

Dans la bonne société du XIXe siècle, la personne qui trouve la fève ne doit pas immédiatement en avertir les convives, mais il faut qu'elle fasse discrètement tomber la fève dans le gobelet de l'élu de son choix. La découverte de la fève dans le gobelet marque la fin du jeu, et le gagnant révèle alors son identité. Le couple ainsi formé est désigné comme le couple régnant pour la journée.

Une variante burlesque consiste à ce que la personne qui découvre la fève dans sa part de galette soit désignée comme le roi ou la reine. Pour choisir la personne de son choix, le roi ou la reine lève son gobelet, tandis qu'une autre personne présente nomme les convives un par un. À chaque nom prononcé, le roi ou la reine fait tomber une gorgée de vin dans le gobelet. Lorsque le nom de l'élu est annoncé, le roi ou la reine cesse de verser du vin dans le gobelet, et le convive nommé peut alors boire le gobelet ainsi rempli.

 

La couronne

La personne qui a trouvé la fève se voit remettre une couronne en carton, en papier doré ou en tissu doré. Elle est alors couronnée ou peut donner la couronne au roi ou à la reine de son choix parmi les convives. Il n'est pas requis de porter la couronne tout le reste de la célébration.

 

La célébration

Traditionnellement, la personne couronnée et la personne élue ont le droit de diriger la célébration et même de donner des instructions légères aux autres participants. Les convives ne sont pas tenus de faire référence au titre royal quand ils s'adressent en retour au roi de composition et dont la nomination est parfois parodique.

Une coutume avérée dès le XVᵉ siècle est rapportée comme suit : « On s’asseyait en rond autour d’une immense galette et, lorsque la fève se trouvait enfin aux mains d’un des invités, on lui passait une couronne en papier et le gobelet en métal […] puis tout le monde se levait pour s’écrier : "Le Roi boit, le Roi boit, vive le Roi !" ».

 

Dans un contexte professionnel, certaines personnes cherchent à éviter d'être désignées par la fève devant leurs collègues en utilisant des astuces pour dissimuler sa présence, afin d'éviter un moment gênant. Ces astuces consistent à discrètement cracher la fève, échanger leur part avec une part sans fève, ou la dissimuler et en attribuer l'oubli au boulanger.

 

 

Désignation par la fève

Les gâteaux à fève ne sont pas uniquement associés à la fête des rois. L'utilisation de la fève remonte aux Grecs anciens, qui l'utilisaient pour l'élection de leurs magistrats. Les Romains utilisaient également ce moyen pour élire le maître des Saturnales. L'Église catholique, d'abord opposée aux coutumes païennes, prend le parti de se l'approprier sous le nom de Galette des Rois (en référence aux Rois mages). Ainsi, la fève est remplacée par une figurine représentant l'enfant Jésus, cachée dans la pâte du gâteau, et sa découverte désigne le "Roi".

Un poète du XIIIe siècle, racontant une partie de plaisir chez un seigneur, parle d’un gâteau à fève pétri par la châtelaine : « Si nous fit un gastel à fève ». Les femmes récemment accouchées offrent, à leurs relevailles, un gâteau de cette espèce.

Charlie Chaplin recourt au même principe dans la scène du pudding dans son film « Le dictateur », afin de désigner le héros choisi par le sort pour l'attentat suicide contre Hynkel : Schultz donne à chaque homme un pudding, dans l'un desquels se trouve une pièce. L'homme qui obtient le pudding avec la pièce est censé commettre l'acte. S'ensuit une scène humoristique alors que les hommes tentent désespérément de tricher pour éviter de faire le sacrifice ultime.

 

Tradition en France

Un sondage est réalisé en France en 2014 : 97 % des Français goûtent cette fête, mais 85 % selon une autre source. Ils mangent pour :

70 % une galette à la pâte feuilletée et à la frangipane, essentiellement dans les 3/4 nord de la France ;

11 % un gâteau à la pâte plus ou moins dense parfumée à l'eau de fleur d'oranger, principalement dans le sud de la France et en Franche-Comté ;

9 % en consomment plus de cinq ;

68 % trichent pour donner la fève aux plus jeunes.

Principe de laïcité

Lors de la préparation des cérémonies des galettes destinées aux écoles publiques en 2013 à Brest, la mairie décide de retirer toutes les couronnes. Les services expliquent que « Cette année, sur la couronne était inscrit le mot « Épiphanie ». À nos yeux, c'était faire rentrer le religieux à l'école, ce qui est interdit par la loi». Les années suivantes 2014 et 2015, la galette est offerte aux élèves sans problème. Une rumeur propagée par le site de France 3 annonçant l'annulation de cette fête en 2015 se révèle fausse.

 

Palais de l'Élysée

Une galette géante (40 fois plus grosse qu'une galette classique en 2018) est livrée chaque année au président de la République depuis 1975. Mais selon le même principe que la « galette de l'Égalité » de la période révolutionnaire, la galette offerte chaque année au président ne cache aucune fève, au nom du respect des principes de la République.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Galette_des_rois

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Galette des Rois : Histoire

Galette des Rois : Histoire
Histoire

Origine

 

L'historien romain Tacite écrit qu'il est d’usage de tirer au sort la royauté lors des fêtes consacrées à Saturne: les Saturnales étaient des fêtes romaines situées entre la fin du mois de décembre et le commencement de celui de janvier), durant lesquelles les Romains désignent un esclave comme « roi d’un jour ». Au cours d'un banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisent la fève d’un gâteau comme pour tirer au sort le « Saturnalicius princeps » (prince des Saturnales ou du désordre). Le « roi d’un jour » dispose du pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant de retourner à sa vie servile. Il faut préciser qu'il n'était permis d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel, ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine pendant les Saturnales.

 

Étienne Pasquier décrit dans ses Recherches de la France les cérémonies qui s’observent en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maître interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie, encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser ».

 

Moyen Âge

 

Le partage de la galette est associé à la célébration des rois mages lors de l'Épiphanie, pour les chrétiens. Au Moyen Âge, les grands nomment quelquefois le roi du festin, dont on s’amuse pendant le repasL’auteur de la vie du duc Louis II de Bourbon, voulant montrer quelle était la piété de ce prince de la fin du XIVe siècle, remarque que, « le jour des Rois (à l'Épiphanie), il faisait roi un enfant de huit ans, le plus pauvre que l’on trouvât en toute la ville. Il le revêtait d’habits royaux et lui donnait ses propres officiers pour le servir. Le lendemain, l’enfant mangeait encore à la table du duc, puis venait son maître d’hôtel qui faisait la quête pour le pauvre roi. Le duc de Bourbon lui donnait communément quarante livres, tous les chevaliers de la cour chacun un franc et les écuyers chacun un demi-franc »« La somme montait à près de cent francs que l’on donnait au père et à la mère pour que leur enfant fût élevé à l’école ».

 

Dans sa Vie privée des Français, Legrand d’Aussy écrit, que, dès 1311, il est question de gâteaux feuilletés dans une charte de Robert II de Fouilloy, évêque d’Amiens. Souvent même, on paye les redevances seigneuriales avec un gâteau de ce genre. Ainsi, tous les ans, à Fontainebleau, le 1er mai, les officiers de la forêt s’assemblent à un endroit appelé « la table du roi », et là, tous les officiers ou vassaux qui peuvent prendre du bois dans la forêt et y faire paître leurs troupeaux, viennent rendre hommage et payer leurs redevances. Les nouveaux mariés de l’année, les habitants de certains quartiers de la ville et ceux d’une paroisse entière ne doivent tous qu’un gâteau. De même, lorsque le roi fait son entrée dans leur ville, les bourgeois d’Amiens sont tenus de lui présenter un gâteau d’un setier de blé.

 

Monarchie

On « tire les rois » même à la table

de Louis XIV. Dans ses Mémoires, Françoise de Motteville écrit, à l’année 1648, que : « Ce soir, la reine nous fit l’honneur de nous faire apporter un gâteau à Mme de Brégy, à ma sœur et à moi ; nous le séparâmes avec elle. Nous bûmes à sa santé avec de l’hypocras qu’elle nous fit apporter ». » Un autre passage des mêmes Mémoires atteste que, suivant un usage qui s’observe encore dans quelques provinces, on réserve pour la Vierge une part qu’on distribue ensuite aux pauvres. « Pour divertir le roi, écrit Françoise de Motteville à l’année 1649, la reine voulut séparer un gâteau et nous fit l’honneur de nous y faire prendre part avec le roi et elle. Nous la fîmes la reine de la fève, parce que la fève s’était trouvée dans la part de la Vierge. Elle commanda qu’on nous apportât une bouteille d’hypocras, dont nous bûmes devant elle, et nous la forçâmes d’en boire un peu. Nous voulûmes satisfaire aux extravagantes folies de ce jour, et nous criâmes : La reine boit ! » Avant Louis XIV, les grandes dames qui tirent la fève deviennent reines de France d’un jour et peuvent demander au roi un vœu dit « grâces et gentillesses » mais « le Roi-Soleil » abolit cette coutume.

Louis XIV conserve l’usage du gâteau des rois, même à une époque où sa cour est soumise à une rigoureuse étiquette. Le Mercure galant de janvier 1684 décrit la salle comme ayant cinq tables : une pour les princes et seigneurs, et quatre pour les dames : « La première table était tenue par le roi, la seconde par le dauphin. On tira la fève à toutes les cinq. Le grand écuyer fut roi à la table des hommes ; aux quatre tables des femmes, la reine fut une femme. Alors le roi et la reine se choisirent des ministres, chacun dans leur petit royaume, et nommèrent des ambassadrices ou ambassadeurs pour aller féliciter les puissances voisines et leur proposer des alliances et des traités. Louis XIV accompagna l’ambassadrice députée par la reine. Il porta la parole pour elle, et, après un compliment gracieux au grand écuyer, il lui demanda sa protection que celui-ci lui promit, en ajoutant que, s’il n’avait point une fortune faite, il méritait qu’on la lui fit. La députation se rendit ensuite aux autres tables, et successivement les députés de celles-ci vinrent de même à celle de Sa Majesté. Quelques-uns même d’entre eux, hommes et femmes, mirent dans leurs discours et dans leurs propositions d’alliance tant de finesse et d’esprit, des allusions si heureuses, des plaisanteries si adroites, que ce fut pour l’assemblée un véritable divertissement. En un mot, le roi s’en amusa tellement, qu’il voulut le recommencer encore la semaine suivante. Cette fois-ci, ce fut à lui qu’échut la fève du gâteau de sa table, et par lui en conséquence que commencèrent les compliments de félicitation. Une princesse, une de ses filles naturelles, connue dans l’histoire de ce temps-là par quelques étourderies, ayant envoyé lui demander sa protection pour tous les évènements fâcheux qui pourraient lui arriver pendant sa vie. « Je la lui promets, répondit-il, pourvu qu’elle ne se les attire pas. » Cette réponse fit dire à un courtisan que ce roi-là ne parlait pas en roi de la fève. À la table des hommes, on fit un personnage de carnaval qu’on promena par la salle en chantant une chanson burlesque ».

En 1711, le Parlement de Paris décide, à cause de la famine, de le proscrire afin que la farine, trop rare, soit uniquement employée à faire du pain« Au commencement du XVIIIe siècle, les boulangers envoyaient ordinairement un gâteau des rois à leurs « pratiques »(terme ayant ici le sens de « client »). Les pâtissiers réclamèrent contre cet usage et intentèrent même un procès aux boulangers comme usurpant leurs droits ». Sur leur requête, le Parlement rend, en 1713 et 1717, des arrêts qui interdisent aux boulangers de faire et de donner, à l’avenir, aucune espèce de pâtisserie, d’employer du beurre et des œufs dans leur pâte, et même de dorer leur pain avec des œufs. La défense n’a d’effet que pour Paris et l’usage prohibé continue d’exister dans la plupart des provinces.

 

Révolution française

Quand vient la Révolution, le nom même de « gâteau des rois » devient un danger et Pierre-Louis Manuel, du haut de la tribune de la Convention, tente sans succès d’obtenir l’interdiction du gâteau des rois, mais la galette triompha du tribun. Peu après, un arrêté de la Commune ayant changé, dans la séance du 31 décembre 1791, le jour des rois en « jour des sans-culottes », le gâteau n’a plus sa raison d’être. Cette disparition n'est néanmoins que momentanée, car les sans-culottes ayant renommé l’Épiphanie en « fête du Bon Voisinage », et un décret du 4 nivôse an III (24 décembre 1794) ayant recommandé de partager la « galette de l’Égalité », il reparait bientôt sur toutes les tables familiales.

 

   
   
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