Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Windows Media Audio aussi appelé WMA est un format propriétaire de compression audio développé par Microsoft. Le format WMA offre la possibilité de protéger dès l'encodage les fichiers de sortie contre la copie illégale par une technique nommée gestion numérique des droits (ou GND).
Le format existe sous quatre formes :
le WMA Standard, le premier à être sorti, le plus répandu sur Internet et le seul à être lisible (actuellement) sur de nombreux baladeurs numériques ;
le WMA Pro, théoriquement de meilleure qualité mais bien moins répandu.
le WMA Lossless qui offre une qualité sonore identique à l'original, un concurrent sérieux à des formats sans perte comme Monkeys Audio ou Flac
le WMA Voice, spécialement dédié à l'encodage de la voix et ce, à faible débit (inférieurs ou égaux à 20 kbit/s)
Le Standard et le Pro sont capables de coder en débit constant (Constant bit rate - CBR) ou en débit variable (VBR). Le lossless est totalement orienté VBR. Le codec WMA est parmi tous les formats d'encodage avec pertes disponibles l'un des plus rapides.
Avec le WMA encodé en mode VBR, on trouve les niveaux de qualité VBR 100, 98, 90, 75, 50, 25, 10. Les chiffres n'ont aucun rapport avec le débit. C'est en fait le pourcentage de qualité « théorique » par rapport au fichier original, mais il s'agit uniquement d'un repère arbitraire, une fraction de qualité musicale n'ayant aucune signification en soi.
100 correspond au fichier son non compressé et n'a pas d'équivalent CBR théorique
98 correspond environ à un CBR de 320 kbit/s ;
90 correspond environ à un CBR de 192 kbit/s ;
75 correspond environ à un CBR de 112-128 kbit/s ;
50 correspond environ à un CBR de 64-80 kbit/s.
Cette correspondance qualité théorique et débit en CBR vaut également pour les nouveaux codecs 9.1 et 9.2 sortis respectivement en 2004 et en 2006.
Formats de compression multimédia
Compression vidéo ISO/CEI MJPEG • Motion JPEG 2000 • MPEG-1 • MPEG-2 • MPEG-4 ASP • MPEG-4/AVC
UIT-T H.120 • H.261 • H.262 • H.263 • H.264
Autres AMV • AVS • Bink • Dirac • Indeo • Pixlet • RealVideo • RTVideo • SheerVideo • SmackerSmacker • Snow • Theora • VC-1 • VP6 • VP7 • WMV
Compression audio ISO/CEI MPEG-1 Layer III (MP3) • MPEG-1 Layer II • MPEG-1 Layer I • AAC • HE-AAC
UIT-T G.711 • G.719 • G.722 • G.722.1 • G.722.2 • G.723 • G.723.1 • G.726 • G.728 • G.729 • G.729.1 • G.729a
Autres AC3 • AMR • Apple Lossless • ATRAC • CELT • FLAC • iLBC • Monkey's Audio • µ-law • Musepack • Nellymoser • OptimFROG • RealAudio • RTAudio • SHN • Siren • Speex • TAK • Vorbis • WavPack •
WMA
Compression d'image ISO/CEI/UIT-T JPEG • JPEG 2000 • Lossless JPEG • JBIG • JBIG2 • PNG • WBMP
Autres BMP • GIF • ICER • ILBM • PCX • PGF • TGA • TIFF • JPEG XR / HD Photo
Format conteneur Général 3GP • ASF • AVI • Bink • DMF • DPX • FLV • Matroska • MP4 • MXF • NUT • Ogg • Ogg Media • QuickTime • RealMedia • Smacker • RIFF • Vob
Audio AIFF • AU • WAV • BWF • CAF
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Lancé en 1971 sur le réseau ARPANET (l'ancêtre d'internet), ce virus se nommait The Creeper. Bien entendu, à l'époque, la notion de virus informatique était inconnu et The Creeper avait pour simple but de démontrer la possibilité de mobilité d'une application à travers un réseau.
Que faisait-il? Rien de bien méchant en fait! Il passait d'un ordinateur à l'autre sur le réseau. Arrivé sur une nouvelle machine, il se contentait d'afficher "I'm the Creeper, catch me if you can!" (Je suis une plante grimpante, attrapez-moi si vous le pouvez). The Creeper lançait ensuite une impression puis l'arrêtait (juste de quoi démontrer qu'il pouvait en prendre les commandes). Il ouvrait alors un port et "sautait" vers une autre machine, en principe sans laisser de traces sur la première. Pour les plus curieux, sachez que ce virus s'attaquait alors
aux ordinateurs DEC PDP-10 utilisant le système d'exploitation TENEX TOPS-20.
Une petite note de culture toutefois : en réalité, un virus informatique est souvent utilisé comme terme générique pour désigner un logiciel malveillant. Toutefois d'un point de vu technique, "virus" désigne une application infectant un programme existant appelé hôte.
The Creeper est du genre vers informatique. C'est un programme autonome qui, comme un vers, rampe d'ordinateur en ordinateur.
Enfin, il faut savoir que le premier virus pour PC est apparu en 1986 et que l'on en comptait,
4 ans plus tard -en 1990- 1300 différents. A l'heure actuelle, plus de 200 millions de virus différents sont en circulation et ce nombre ne fait qu'augmenter. Bientôt, l'anti-virus deviendra obligatoire même sur votre téléphone portable
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Actuellement, le combat contre le feu demeure l'attribution de volontaires et de professionnels. Typiquement, les services du feu des secteurs ruraux ou à faible densité de population se composent essentiellement de volontaires tandis que les pompiers professionnels dominent dans les villes et les secteurs urbains, même s'il y a parfois des exceptions locales.
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En Europe, la lutte contre l'incendie était à la charge des habitants eux-mêmes ou bien des corps non spécialisés (moines et religieux puis artisans et marchands et enfin corporation du bâtiment), Clotaire II rendant un édit au VIe siècle réglementant le service des gardes de nuit, Charlemagne créant un service obligatoire de veilleurs de nuit, mettant à l'amende ceux qui ne le remplissent pas. En France, cette tâche fut confiée successivement au guet royal, au guet bourgeois, aux magistrats communaux. Des ordonnances de police imposaient aux propriétaires d'avoir en permanence un muid d'eau près de leur porte, mais ne donnaient aucune indication quant aux dispositions à adopter en cas d'incendie.
Une cité de grande taille qui connut un tel besoin d'organisation pour lutter contre les incendies est la ville de Londres, qui connut d'importants incendies en 798, 982 et 989 ainsi que le grand incendie de Londres en 1666. Cet incendie, qui commença dans la boutique d'un boulanger consuma une surface d'environ 5 km² de la ville, laissant dix mille personnes sans habitations.
Les premiers tuyaux d'incendie furent mis au point par l'inventeur néerlandais Jan Van der Heiden en 1672. Ils étaient fabriqués en cuir souple et assemblés tous les 15 mètres à l'aide de raccords en laiton. La longueur et les raccords ont donné naissance aux normes actuelles.
À la même époque, aux États-Unis, la ville de Jamestown, Virginie, a été complètement détruite par un incendie au mois de janvier 1608. Un système de « surveillants » des incendies fut mis en place dans la ville de New York en 1648. Les surveillants avaient pour mission de patrouiller à travers la ville en inspectant les cheminées des bâtiments. Les tours de garde étaient réalisés par huit personnes, qui réveillaient les habitants pour combattre l'incendie, si nécessaire avec de simples seaux d'eau. À Boston, les importants incendies qui eurent lieu en 1653 et 1676 ont incité la ville à prendre d'importantes mesures pour lutter contre les incendies.
À la fin du XVIIe siècle apparaît la pompe à bras hippo-attelée ou tirée par plusieurs pompiers, les habitants devant organiser une chaîne humaine pour alimenter la pompe depuis un point d'eau (rivière, fontaine, puits).
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