Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Les bains de mer furent d'abord thérapeutique (XVIIIème siècle) comme les cures thermales en montagne, puis l'immersion thérapeutique dans l'eau de mer devint un plaisir mondain pour l'aristocratie recherchant les bienfaits de l'eau de mer ainsi que pour la beauté des paysages marins. Par la suite si la mode n'est pas encore au bain de soleil, la pratique de la nage se répand. Le bain de soleil, sous l'influence américaine arrive dans les années 1920 sur nos cotes, le développement du réseau ferré et la création des congés payés mettent en place la popularité des bains de mer et c'est alors que les plaisirs de la plage vont être associés aux vacances.
L'histoire du maillot de bain suit cette évolution, d'abord la tenue de bain est une copie à peine moins couvrante que les vêtements quotidiens, la natation et le bronzage n'étant pas de mise, peu à peu la plage libère le corps et le maillot de bain devient de plus en plus court et collant, souvent rayé de bleu de blanc, il donne de plus en plus de liberté de mouvement et de surface au soleil ; il deviendra avec les progrès textiles une seconde peau... de plus en plus moulante et minuscule.
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L'alcoolodépendance, alcoolisme ou éthylisme est l'addiction à l'alcool éthylique (éthanol) contenu dans les boissons alcoolisées . L'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l'alcoolisme comme une maladie et le définit comme des « troubles mentaux et troubles du comportement » liés à l'utilisation d'alcool.
Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance), une dépendance psychique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).
La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction. L'usage sans dommage (appelé usage simple) précède l'usage à risque et l'usage nocif (sans dépendance), puis enfin la dépendance.
L'alcool est une substance psychoactive à l'origine de cette dépendance mais elle est également une substance toxique induisant des effets néfastes sur la santé. L'alcoolodépendance est à l'origine de dommages physiques, psychiques et sociaux.
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Les mots poivrot, soulard pochtron, arsouille ou ivrogne sont devenus en pratique relativement désuets pour désigner un alcoolique. Aujourd'hui, pour parler d'un malade alcoolique, les médecins préfèrent le terme d'alcoolodépendant. En langage médical, l'alcoolisme possède plusieurs synonymes moins connus n'ayant pas le même caractère péjoratif. Les personnels médicaux emploient ainsi les expressions œnolisme, éthylisme, exogénose ou encore intoxication OH.
Le médecin suédois Magnus Huss a été l'un des premiers en 1849 à situer l'alcoolisme dans le champ des maladies et à l'extraire de sa connotation de vice. Il l'introduit sous le terme d'alcoolisme chronique. Dans les années 1950, Pierre Fouquet décrit le malade alcoolique comme « celui qui a perdu la liberté de s'abstenir de boire ».
Alcool est un terme employé de façon courante pour désigner l'éthanol. L'éthanol étant un type (mais non le seul) alcool (au sens biochimique). La dépendance à l'alcool désigne in extenso la dépendance à l'éthanol contenu dans les boissons alcoolisées. La concentration en éthanol varie évidemment en fonction de la boisson et éventuellement de la dilution. Une concentration en alcool de X ° correspond à X centilitres d'éthanol par litre de boisson.
L'alcoologie est la science qui traite des effets de l'alcool sur la santé et des moyens d'y remédier.
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Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation régulière et chronique, plus ou moins excessive. L'OMS définit l'état de dépendance lorsque « certains symptômes du trouble ont persisté au moins un mois ou sont survenus de façon répétée sur une période prolongée ; au moins trois des manifestations [selon une liste de six items] sont présentes en même temps au cours de la dernière année. ».
La forme aiguë se manifeste par une consommation occasionnelle, plus ou moins intense (comme le « binge drinking ») et ne comporte pas en règle générale de phénomène de dépendance, contrairement à la dipsomanie et à l'alcoolisme chronique. La forme chronique se manifeste par une consommation répétée (quotidienne, de façon générale) et habituelle, au-delà des seuils de toxicité (deux à trois verres standards par jour), et n'a pas forcément comme objectif l'ivresse majeure.
Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) classe l'alcoolisme dans les troubles liés à l'utilisation d'une substance (l'alcool). Il caractérise la maladie alcoolique comme une dépendance. Selon le DSM-IV, la « dépendance est un mode d'utilisation inapproprié d'une substance, entraînant une détresse ou un dysfonctionnement cliniquement significatif, comme en témoignent trois (ou plus) manifestations [selon une liste de sept items], survenant à n'importe quel moment sur la même période de douze mois ». La classification du DSM-IV fait une distinction entre dépendance physique (signes de tolérance ou de sevrage) et sans dépendance physique (pas de signes de tolérance ou de sevrage).
D'autres formes de classifications de la maladie alcoolique existent : une forme associée à des conduites impulsives et antisociales, à des consommations de toxiques autres (héroïne, cocaïne), à début précoce, associée à des antécédents familiaux nombreux et probablement sous-tendue par des facteurs génétiques (type II de Cloninger) ; une forme à début plus tardif, sans conduites antisociales ni consommation de toxique et sans antécédents familiaux, probablement sous-tendue par des facteurs environnementaux (type I de Cloninger).
Aujourd'hui, la notion de maladie est de plus en plus remise en question, la personne alcoolique étant considérée comme sous l'emprise d'une drogue. Ce point de vue ouvre la voie à de nouvelles méthodes de sevrage qui ne déresponsabilisent pas la personne dépendante et ne considèrent plus l'alcoolisme comme une fatalité contre laquelle un individu doit lutter toute sa vie.
L'alcool est une substance psycho-active à l'origine d'une dépendance qui dépend de son usage :
L'usage simple : également appelé « usage d'alcool à risque faible ». Il peut être expérimental, occasionnel ou régulier, à condition qu'il soit modéré.
L'usage à risque : susceptible d'entraîner des dommages à plus long terme dont la dépendance.
L'usage nocif : est caractérisé par la consommation répétée d'alcool au-delà de la modération.
L'usage avec dépendance, avec perte de contrôle de sa consommation : par le sujet pouvant entraîner une tolérance plus ou moins marquée avec des signes de sevrage plus ou moins importants.
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La consommation excessive d'alcool et l'installation d'une dépendance est, dans la plupart des cas, facilitée par des facteurs psychologiques favorisants qui initient et entretiennent le comportement de consommation.
Des exemples plus fréquemment rencontrés chez les individus en difficulté avec l'alcool incluent : un ou plusieurs troubles anxieux, des déficits dans les capacités à gérer le stress et l'anxiété ; un état dépressif ; des déficits dans les habiletés de communication avec autrui (la consommation peut être amplifiée par des difficultés à refuser les incitations à boire ou les frustrations liées aux conflits interpersonnels) et une intolérance à la frustration plus ou moins marquée. Dans une moindre mesure, il existe également un trouble de la personnalité (personnalité borderline en particulier, mais également antisociale, dépendante, schizoïde, histrionique, trouble bipolaire), des troubles de perception et d'expression émotionnelle (alexithymie) et un état psychotique (schizophrénie).
Des facteurs psychosociaux peuvent exercer également une influence notable comme l'isolement ou le sentiment de solitude, le chômage, les violences conjugales. Des représentations cognitives de l'alcool comme symbole de convivialité, de plaisir ou de virilité sont aussi fréquemment retrouvées.
Au niveau du fonctionnement cognitif, un faible sentiment d'efficacité personnelle est perçu (donc une faible confiance à résister à l'envie d'alcool) et des attentes élevées envers l'alcool. Les attentes envers une substance représentent la prédiction que fait l'individu de l'effet qu'il va obtenir en la consommant.
Les attentes positives envers l'alcool concernent six domaines principaux : amélioration des relations sociales, diminution des sentiments et émotions négatifs, changements positifs globaux, plaisir social et physique, amélioration des performances sexuelles, agressivité et stimulation physique. Boire à l'excès peut résulter de l'évitement inconscient de l'affrontement des émotions liées à l'activation de certains schémas cognitifs fondamentaux[pas clair] .
L'alcoolisme est l'objet de nombreuses études en psychologie expérimentale avec l'approche cognitivo-comportementale. D'un point de vue simplifié, le comportement de prise d'alcool est facilité par certaines pensées caractéristiques liées à celui-ci (anticipatoires, soulageantes et permissives , et va se trouver renforcé par l'effet anxiolytique de l'alcool qui apaise un éventuel malaise émotionnel. Ces pensées sont généralement automatiques et échappent la plupart du temps à la conscience explicite de la personne. Selon ce modèle, les pensées anticipatoires représentent les attentes d'effets positifs de l'alcool ("Boire quelques verres va me rendre plus drôle"); les pensées soulageantes concernent les attentes d'apaisement apporté par l'alcool ("Je me sentirai plus détendu si je bois un coup"); et les pensées permissives autorisent la consommation ("Allez, juste pour un verre, je l'ai bien mérité après le boulot..."). Il est à noter que ces pensées relèvent de processus cognitifs normaux au départ et ne sont pas spécifiques de l'alcoolisme.
Il est nettement établi qu'une dépendance à l'alcool est fortement accompagnée d'un haut niveau d'anxiété et de dépression qui amplifient encore davantage la consommation. Elle s'accompagne aussi fréquemment de perturbations dans l'identification des expressions émotionnelles d'autrui, notamment d'une hypersensibilité à la colère.
La prise en charge psychologique cognitivo-comportementale, généralement proposée après sevrage, peut comprendre un programme de prévention de la rechute (identification des situations à risque, résolution de problème pour améliorer le sentiment d'efficacité personnelle), un entrainement à la relaxation, à l'affirmation de soi (apprendre à refuser l'alcool, à faire face aux critiques...) et un accompagnement psychologique individualisé.
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L'éthanol, une fois ingéré, est directement absorbé au niveau du tube digestif. Il passe directement dans le sang, diffuse dans le corps et atteint le cerveau. Il provoque donc une augmentation rapide de l'alcoolémie après l'ingestion.
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Une consommation chronique d'éthanol a des répercussions directes sur différentes fonctions et organes du corps :
système nerveux : neuropathie alcoolique, névrite (optique rétro bulbaire), encéphalopathie hépatique, démences alcooliques (Korsakoff, Maladie de Marchiafava-Bignami, Wernicke), hallucinose alcoolique) ;
foie : cirrhose avec insuffisance hépato-cellulaire ;
pancréas : pancréatite (aiguë ou chronique, insuffisance pancréatique exocrine (mal digestion) et endocrine (diabète) ;
système cardiovasculaire : hypertension artérielle, cardiopathie, hypertension portale avec varices gastriques et œsophagiennes, insuffisance veineuse.
appareil sexuel : perte du désir sexuel, impuissance, éjaculation précoce, anorgasmie, dyspareunies, aménorrhée ;
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L'alcoolisme chronique induit un dérèglement général de l'organisme, avec notamment :
atteinte hépatique (cytolyse hépatique) ;
macrocytose ;
augmentation des ?-GT ;
insuffisance hépatocellulaire comme l'hypoalbuminémie ;
baisse des facteurs de la coagulation ;
baisse de la thrombopénie) ;
atteinte du pancréas (augmentation des enzymes amylase et lipase, insuffisance pancréatique exocrine et endocrine) ;
hypertriglycéridémie ;
carences vitaminiques (groupe B) ;
augmentation de la Carbohydrate Deficient Transferrin (CDT) ;
une numération formule sanguine (les globules rouges sont globalement augmentés d ;e volume ; macrocytose) ;
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