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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Déchets plastiques découverts à l'intérieur de l'estomac d'une baleine
Les poissons victimes de cette pollution
Bien que le plastique soit devenu une source majeure de pollution dans l'océan, la plupart des questions y ayant trait n'ont pas trouvé réponse. Les sources, les quantités, la répartition et le devenir de ce plastique dans l'océan demeurent pour l'instant des données inconnues pour les scientifiques.
Photo : Un poisson mahi-mahi pêché dans le nord de l'océan pacifique. La dissection du poisson révèlera une pièce de plastique implantée dans son estomac. Tête du mahi-mahi en gros plan avec la pièce de plastique retrouvée dans son estomac. Le stick à lèvres sert à indiquer l'échelle de taille.
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La durée de vie d'une bouteille plastique est environ 500 ans.
Sur les 100 millions de tonnes de plastique produites chaque année, près de 10% finissent dans les océans. Et 70% des plastiques qui s'aventurent en mer coulent tandis que le reste flotte, naviguant au gré des courants...
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par Cécile Coumau | Publié le 18 Avril 2013
De Steeve Mac Queen à Amy Winehouse
Pourquoi les célébrités meurent plus jeunes.
Les artistes et sportifs célèbres paieraient le prix de leur notoriété en années de vie perdues. Une espérance de vie un peu réduite qui devrait alerter les jeunes aspirant à la célébrité.
Amy Winehouse, Kurt Cobain, ou encore Marylin Monroe, Steeve Mac Queen... Les exemples de stars mortes jeunes ne manquent pas. Ce ne serait peut-être pas dû au hasard. Des chercheurs australiens viennent en effet de publier une étude internationale sur les liens entre célébrité et mortalité prématurée. Et l'analyse d'un millier de nécrologies parues dans le New-York Times entre 2009 et 2011. Et les chiffres sont clairs et nets. Les acteurs, les chanteurs et autres musiciens ont une espérance de vie réduite.
Globalement, les artistes meurent en moyenne aux alentours de 78 ans alors que les historiens, les économistes ou encore les professeurs atteignent les 82 ans. Les hommes d'affaires et les politiques frisent quant à eux les 83 ans. Ceux qui paient le plus lourd tribut au star system sont incontestablement des hommes et les causes les plus fréquentes de décès sont les accidents, les maladies infectieuses telles que le sida, et le cancer.
Les auteurs de cette étude parue dans l'International journal of medicine se gardent bien d'affirmer qu'il y a un lien direct entre popularité et décès précoce mais selon le Pr Richard Epstein, « cela soulève quand même des questions ». Est-ce que « la célébrité à un jeune âge ne prédispose pas à des comportements délétères pour la santé, quand le succès a disparu ? Autre hypothèse : « la pression psychologique, et notamment familiale, qui favorise un accomplissement public exceptionnel, pourrait mener à des aux tendances autodestructrices tout au long de la vie ». De même que la pression pour rester ensuite en haut de l'affiche. Enfin, dernière piste évoquée par les auteurs, ces personnalités qui consomment beaucoup d'alcool, de médicaments et de substances illicites améliorent leurs performances à court terme mais mettent leur vie en danger à plus longue échéance.
Difficile donc d'écrire la fin de cette histoire mais pour Richard Epstein, ces résultats doivent alerter les jeunes qui aspirent à devenir des stars. A l'heure de la « peoplisation », des émissions de télévision qui font accéder à la notoriété en un temps record, ces effets collatéraux de la célébrité prennent tout leur sens.
1 femme sur 3 néglige le dépistage du cancer du col de l'utérus
par Bruno Martrette | Publié le 19 Avril 2013
L'Institut du cancer rappelle l'importance de la vaccination contre le papillomavirus. Mais également l'intérêt du dépistage. Pourtant, de nombreuses femmes continuent toujours de négliger l'examen de frottis.
Plus d'une femme sur 3 ne fait pas de frottis réguliers et moins du tiers des adolescentes françaises est correctement vacciné contre le papillomavirus humains (HPV), c'est-à-dire avec les trois doses nécessaires. Face à ce constat inquiétant, l'Institut national du cancer (INca ) lancera en juin prochain une campagne radio et diffusera des documents d'information sur le dépistage et la prévention du cancer du col de l'utérus.
L'INca rappelle que « la vaccination anti-HPV et le frottis cervico-utérin sont les deux leviers efficaces et complémentaires pour se protéger contre le cancer du col de l'utérus ». Ainsi, l'institut relaie les recommandations des autorités de santé (DGS, InVS) en rappelant l'intérêt d'une vaccination préventive contre certains HPV pour les jeunes filles dès 11 ans (et non plus à partir de 14 ans) ou en rattrapage jusqu'à l'âge de 19 ans révolus (contre 23 ans auparavant). Une position également adoptée par le Haut Comité de santé publique qui préconisait à son tour en janvier 2013 d'avancer l'âge de la vaccination.
Pourtant, « le vaccin ne protège pas contre tous les types d'HPV oncogènes et ne prévient donc pas totalement contre le risque de cancer » indique l'Insititut. L'INca souligne donc l'importance d'un dépistage régulier par frottis. Ce dépistage est recommandé tous les trois ans, pour les femmes de 25 à 65 ans, qu'elles soient vaccinées ou non.
Le frottis permet il est vrai de détecter des lésions précancéreuses et cancéreuses du col et ainsi de traiter plus précocement ce cancer, voire d'éviter son apparition. Si près de 60% des femmes concernées réalisent des frottis régulièrement, de nombreuses femmes n'ont pas ou peu de suivi gynécologique et ne se font pas régulièrement dépister. « Des freins liés à l'âge (après 55 ans) ou à des facteurs socio-économiques et géographiques (faible densité en gynécologues) ont été identifiés », conclut l'INca.
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L'alcoolodépendance, alcoolisme ou éthylisme est l'addiction à l'alcool éthylique (éthanol) contenu dans les boissons alcoolisées . L'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l'alcoolisme comme une maladie et le définit comme des « troubles mentaux et troubles du comportement » liés à l'utilisation d'alcool.
Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance), une dépendance psychique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).
La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction. L'usage sans dommage (appelé usage simple) précède l'usage à risque et l'usage nocif (sans dépendance), puis enfin la dépendance.
L'alcool est une substance psychoactive à l'origine de cette dépendance mais elle est également une substance toxique induisant des effets néfastes sur la santé. L'alcoolodépendance est à l'origine de dommages physiques, psychiques et sociaux.
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Les mots poivrot, soulard pochtron, arsouille ou ivrogne sont devenus en pratique relativement désuets pour désigner un alcoolique. Aujourd'hui, pour parler d'un malade alcoolique, les médecins préfèrent le terme d'alcoolodépendant. En langage médical, l'alcoolisme possède plusieurs synonymes moins connus n'ayant pas le même caractère péjoratif. Les personnels médicaux emploient ainsi les expressions œnolisme, éthylisme, exogénose ou encore intoxication OH.
Le médecin suédois Magnus Huss a été l'un des premiers en 1849 à situer l'alcoolisme dans le champ des maladies et à l'extraire de sa connotation de vice. Il l'introduit sous le terme d'alcoolisme chronique. Dans les années 1950, Pierre Fouquet décrit le malade alcoolique comme « celui qui a perdu la liberté de s'abstenir de boire ».
Alcool est un terme employé de façon courante pour désigner l'éthanol. L'éthanol étant un type (mais non le seul) alcool (au sens biochimique). La dépendance à l'alcool désigne in extenso la dépendance à l'éthanol contenu dans les boissons alcoolisées. La concentration en éthanol varie évidemment en fonction de la boisson et éventuellement de la dilution. Une concentration en alcool de X ° correspond à X centilitres d'éthanol par litre de boisson.
L'alcoologie est la science qui traite des effets de l'alcool sur la santé et des moyens d'y remédier.
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Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation régulière et chronique, plus ou moins excessive. L'OMS définit l'état de dépendance lorsque « certains symptômes du trouble ont persisté au moins un mois ou sont survenus de façon répétée sur une période prolongée ; au moins trois des manifestations [selon une liste de six items] sont présentes en même temps au cours de la dernière année. ».
La forme aiguë se manifeste par une consommation occasionnelle, plus ou moins intense (comme le « binge drinking ») et ne comporte pas en règle générale de phénomène de dépendance, contrairement à la dipsomanie et à l'alcoolisme chronique. La forme chronique se manifeste par une consommation répétée (quotidienne, de façon générale) et habituelle, au-delà des seuils de toxicité (deux à trois verres standards par jour), et n'a pas forcément comme objectif l'ivresse majeure.
Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) classe l'alcoolisme dans les troubles liés à l'utilisation d'une substance (l'alcool). Il caractérise la maladie alcoolique comme une dépendance. Selon le DSM-IV, la « dépendance est un mode d'utilisation inapproprié d'une substance, entraînant une détresse ou un dysfonctionnement cliniquement significatif, comme en témoignent trois (ou plus) manifestations [selon une liste de sept items], survenant à n'importe quel moment sur la même période de douze mois ». La classification du DSM-IV fait une distinction entre dépendance physique (signes de tolérance ou de sevrage) et sans dépendance physique (pas de signes de tolérance ou de sevrage).
D'autres formes de classifications de la maladie alcoolique existent : une forme associée à des conduites impulsives et antisociales, à des consommations de toxiques autres (héroïne, cocaïne), à début précoce, associée à des antécédents familiaux nombreux et probablement sous-tendue par des facteurs génétiques (type II de Cloninger) ; une forme à début plus tardif, sans conduites antisociales ni consommation de toxique et sans antécédents familiaux, probablement sous-tendue par des facteurs environnementaux (type I de Cloninger).
Aujourd'hui, la notion de maladie est de plus en plus remise en question, la personne alcoolique étant considérée comme sous l'emprise d'une drogue. Ce point de vue ouvre la voie à de nouvelles méthodes de sevrage qui ne déresponsabilisent pas la personne dépendante et ne considèrent plus l'alcoolisme comme une fatalité contre laquelle un individu doit lutter toute sa vie.
L'alcool est une substance psycho-active à l'origine d'une dépendance qui dépend de son usage :
L'usage simple : également appelé « usage d'alcool à risque faible ». Il peut être expérimental, occasionnel ou régulier, à condition qu'il soit modéré.
L'usage à risque : susceptible d'entraîner des dommages à plus long terme dont la dépendance.
L'usage nocif : est caractérisé par la consommation répétée d'alcool au-delà de la modération.
L'usage avec dépendance, avec perte de contrôle de sa consommation : par le sujet pouvant entraîner une tolérance plus ou moins marquée avec des signes de sevrage plus ou moins importants.
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La consommation excessive d'alcool et l'installation d'une dépendance est, dans la plupart des cas, facilitée par des facteurs psychologiques favorisants qui initient et entretiennent le comportement de consommation.
Des exemples plus fréquemment rencontrés chez les individus en difficulté avec l'alcool incluent : un ou plusieurs troubles anxieux, des déficits dans les capacités à gérer le stress et l'anxiété ; un état dépressif ; des déficits dans les habiletés de communication avec autrui (la consommation peut être amplifiée par des difficultés à refuser les incitations à boire ou les frustrations liées aux conflits interpersonnels) et une intolérance à la frustration plus ou moins marquée. Dans une moindre mesure, il existe également un trouble de la personnalité (personnalité borderline en particulier, mais également antisociale, dépendante, schizoïde, histrionique, trouble bipolaire), des troubles de perception et d'expression émotionnelle (alexithymie) et un état psychotique (schizophrénie).
Des facteurs psychosociaux peuvent exercer également une influence notable comme l'isolement ou le sentiment de solitude, le chômage, les violences conjugales. Des représentations cognitives de l'alcool comme symbole de convivialité, de plaisir ou de virilité sont aussi fréquemment retrouvées.
Au niveau du fonctionnement cognitif, un faible sentiment d'efficacité personnelle est perçu (donc une faible confiance à résister à l'envie d'alcool) et des attentes élevées envers l'alcool. Les attentes envers une substance représentent la prédiction que fait l'individu de l'effet qu'il va obtenir en la consommant.
Les attentes positives envers l'alcool concernent six domaines principaux : amélioration des relations sociales, diminution des sentiments et émotions négatifs, changements positifs globaux, plaisir social et physique, amélioration des performances sexuelles, agressivité et stimulation physique. Boire à l'excès peut résulter de l'évitement inconscient de l'affrontement des émotions liées à l'activation de certains schémas cognitifs fondamentaux[pas clair] .
L'alcoolisme est l'objet de nombreuses études en psychologie expérimentale avec l'approche cognitivo-comportementale. D'un point de vue simplifié, le comportement de prise d'alcool est facilité par certaines pensées caractéristiques liées à celui-ci (anticipatoires, soulageantes et permissives , et va se trouver renforcé par l'effet anxiolytique de l'alcool qui apaise un éventuel malaise émotionnel. Ces pensées sont généralement automatiques et échappent la plupart du temps à la conscience explicite de la personne. Selon ce modèle, les pensées anticipatoires représentent les attentes d'effets positifs de l'alcool ("Boire quelques verres va me rendre plus drôle"); les pensées soulageantes concernent les attentes d'apaisement apporté par l'alcool ("Je me sentirai plus détendu si je bois un coup"); et les pensées permissives autorisent la consommation ("Allez, juste pour un verre, je l'ai bien mérité après le boulot..."). Il est à noter que ces pensées relèvent de processus cognitifs normaux au départ et ne sont pas spécifiques de l'alcoolisme.
Il est nettement établi qu'une dépendance à l'alcool est fortement accompagnée d'un haut niveau d'anxiété et de dépression qui amplifient encore davantage la consommation. Elle s'accompagne aussi fréquemment de perturbations dans l'identification des expressions émotionnelles d'autrui, notamment d'une hypersensibilité à la colère.
La prise en charge psychologique cognitivo-comportementale, généralement proposée après sevrage, peut comprendre un programme de prévention de la rechute (identification des situations à risque, résolution de problème pour améliorer le sentiment d'efficacité personnelle), un entrainement à la relaxation, à l'affirmation de soi (apprendre à refuser l'alcool, à faire face aux critiques...) et un accompagnement psychologique individualisé.
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L'éthanol, une fois ingéré, est directement absorbé au niveau du tube digestif. Il passe directement dans le sang, diffuse dans le corps et atteint le cerveau. Il provoque donc une augmentation rapide de l'alcoolémie après l'ingestion.
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