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Date de création : 09.04.2012
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Monde : France

Jean Gabin

Jean Gabin

 



1930 : L'Héritage de Lilette ou Ohé! les valises court métrage muet de Michel du Lac - rôle inconnu 
1930 : On demande un dompteur ou Les lions court métrage muet réalisateur inconnu - rôle: Un clochard 
1930 : Chacun sa chance de Hans Steinhoff et René Pujol - rôle de Marcel Grivot, vendeur 
1931 : Méphisto d'Henri Debainet Nick Winter - rôle de L'inspecteur Jacques Miral 
1931 : Paris Béguin de Augusto Genina - rôle de Bob, un cambrioleur 
1931 : Pour un soir de Jean Godard - rôle d'un marin. 
1931 : Tout ça ne vaut pas l'amour de Jacques Tourneur - rôle de Jean Cordier, marchand de T.S.F. 
1931 : Cœurs joyeux de Hanns Schwarz, Max de Vaucorbeil - rôle de Charles, opérateur de cinéma 
1931 : Gloria d'Hans Behrendt, Yvan Noé - rôle de Robert Nourry, le mécanicien 
1932 : Les Gaietés de l'escadron de Maurice Tourneur avec Raimu et Fernandel - rôle du cavalier Fricot 
1932 : Cœur de lilas d'Anatole Litvak - rôle de Martousse, un mauvais garçon 
1932 : La Belle Marinière d'Harry Lachmann - rôle du capitaine de la péniche 
1932 : La Foule hurle de Jean Daumery - rôle de Joé Greer, coureur automobile 
1933 : Pour un soir de Jean Godard - Rôle de Jean, quartier maître en permission 
1933 : L'Étoile de Valencia de Serge de Poligny - rôle de Pedro Savreda, mécanicien du "Léone" 
1933 : Adieu les beaux jours de Johannes Meyer, André Beucler - rôle de Pierre Lavernay, jeune ingénieur 
1933 : Die Schönen Tage von Aranjuez - Version allemande du film précédent réalisé par Johannes Meyer - apparition de Jean Gabin à confirmer 
1933 : Le Tunnel de Kurt Bernhardt - rôle de Mac Allan, ingénieur. 
1933 : Du haut en bas de Georg Wilhelm Pabst - rôle de Charles Boulla, footballeur
1934 : Zouzou de Marc Allégret avec Joséphine Baker - rôle de Jean, l'orphelin électricien 
1934 : Maria Chapdelaine de Julien Duvivier avec Madeleine Renaud - rôle de François Paradis, trappeur 
1935 : Variétés de Nicolas Farkas - rôle de Georges ? trapéziste 
1935 : Golgotha de Julien Duvivier - rôle de Ponce Pilate, le gouverneur 
1935 : La Bandera de Julien Duvivier - rôle de Pierre Gilleth, le légionnaire 
1936 : La Belle Équipe de Julien Duvivier - rôle de Jean, un ouvrier 
1936 : Les Bas-Fonds de Jean Renoir - rôle de Pépé, dit « Waska », cambrioleur 
1937 : Pépé le Moko de Julien Duvivier - rôle de Pépé le Moko, chef de bande à Alger 
1937 : La Grande Illusion de Jean Renoir - rôle du lieutenant Maréchal 
1937 : Le Messager de Raymond Rouleau - rôle de Nicolas Dange dit « Nick » 
1937 : Gueule d'amour de Jean Grémillon - rôle de Lucien Bourrache dit « Gueule d'amour » 
1938 : Quai des brumes de Marcel Carné avec Michèle Morgan - rôle de Jean le déserteur 
1938 : La Bête humaine de Jean Renoir - rôle de Jacques Lantier, mécanicien loco 
1939 : Le Récif de Corail de Maurice Gleize - rôle de Trott Lennard, aventurier 
1939 : Le jour se lève de Marcel Carné - rôle de François, ouvrier sableur
1940 : Screen snapshots séries 19 numéro 6 court métrage de Ralph Staub - J.Gabin tient son propre rôle. 
1941 : Remorques de Jean Grémillon - rôle d'André Laurent, capitaine du "Cyclone". 
1942 : La Péniche de l'amour (Moontide) de Archie Mayo - rôle de Bobo, un aventurier 
1944 : L'Imposteur (The Impostor)ou (Strange confession) de Julien Duvivier - rôle de Clément le condamné, alias Maurice Lafarge. 
1946 : Martin Roumagnac de Georges Lacombe - rôle de Martin Roumagnac, entrepreneur en maçonnerie. 
1947 : Miroir de Raymond Lamy - rôle de Pierre Lussac, administrateur 
1949 : Au-delà des grilles (Le mura di Malapaga) de René Clément - rôle de Pierre, le passager clandestin etc. 
1950 : La Marie du port de Marcel Carné - rôle de Henri Chatelard, riche commerçant. 
1951 : Pour l'amour du ciel (È più facile che un camello...) de Luigi Zampa - rôle de Carlo Bacchi, industriel romain. 
1951 : Victor de Claude Heymann - rôle de Victor Messerand, inventeur. 
1951 : La Nuit est mon royaume de Georges Lacombe - rôle de Raymond Pinsard, mécanicien loco. 
1952 : La Vérité sur Bébé Donge de Henri Decoin - rôle de François Donge, industriel dauphinois. 
1952 : Le Plaisir -sketch : "La maison Tellier" de Max Ophuls - rôle de Joseph Rivet, menuisier. 
1952 : La Minute de vérité de Jean Delannoy - rôle du docteur Pierre Richard. 
1953 : Leur dernière nuit de Georges Lacombe - rôle de Pierre Ruffin, directeur de la bibliothèque. 
1953 : Fille dangereuse (Bufere) de Guido Brignone - rôle de Antonio Sanna, chirurgien. 
1953 : La Vierge du Rhin de Gilles Grangier - rôle de Jacques Ledru, alias: Martin Schmidt. 
1954 : Touchez pas au grisbi de Jacques Becker - rôle de Max le menteur, un truand. 
1954 : L'Air de Paris de Marcel Carné - rôle de Victor le Garrec, entraîneur de boxe. 
1955 : Napoléon de Sacha Guitry - rôle du maréchal Lannes. 
1955 : Le Port du désir de Edmond T. Gréville - rôle du commandant Le Quevic 
1955 : French Cancan de Jean Renoir - rôle de Henri Danglard, directeur de cabaret. 
1955 : Razzia sur la chnouf de Henri Decoin - rôle du commissaire Henri Ferré dit: Le Nantais. 
1955 : Chiens perdus sans collier de Jean Delannoy- rôle du juge Julien Lamy. 
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier - rôle de Jean Chappe, camionneur. 
1956 : Des gens sans importance de Henri Verneuil - rôle de Jean Viard, routier. 
1956 : Voici le temps des assassins de Julien Duvivier - rôle de André Châtelin, traiteur aux halles. 
1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier - rôle de François Cardinaud, armateur. 
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara - rôle de Grandgil, artiste peintre. 
1956 : Crime et Châtiment de Georges Lampin - rôle du commissaire Gallet. 
1957 : Le Cas du docteur Laurent de Jean-Paul Le Chanois - rôle du docteur Laurent. 
1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier - rôle de Louis Bertain dit "Le Blond", garagiste. 
1958 : Les Misérables "film diffusé en deux époques" de Jean-Paul Le Chanois - rôle de Jean Valjean, forçat évadé. 
1958 : Maigret tend un piège de Jean Delannoy - rôle du commissaire Jules Maigret. 
1958 : Le Désordre et la nuit de Gilles Grangier - rôle de l'inspecteur Georges Vallois. 
1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara - rôle de maître André Gobillot, avocat. 
1958 : Les Grandes Familles de Denys de La Patellière - rôle de Noël Schoudler, banquier. 
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - rôle de Joseph, Hugues, Guillaume Boutier-Blainville, dit: Archimède. 
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy - rôle du commissaire Jules Maigret. 
1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière - rôle de Henri Neveux, ouvrier parisien. 
1960 : Le Baron de l'écluse de Jean Delannoy - rôle du baron Jérôme, Napoléon Antoine, aventurier. 
1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier - rôle de Jean-Marie Pejat, réparateur de vélos. 
1961 : Le Président d' Henri Verneuil - rôle de Émile Beaufort, ancien président. 
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier - rôle de Ferdinand Maréchal dit : "Le Dab" 
1962 : Un singe en hiver de Henri Verneuil - rôle de Albert Quentin, hôtelier. 
1962 : Le Gentleman d'Epsom (également sorti sous le titre Les Grands Seigneurs) de Gilles Grangier - rôle de Richard Briand-Charmery dit : "Le Commandant". 
1963 : Mélodie en sous-sol de Henri Verneuil -rôle de Charles, le vieux truand. 
1963 : Maigret voit rouge de Gilles Grangier - rôle du commissaire Jules Maigret. 
1964 : Monsieur de Jean-Paul Le Chanois - rôle de René Duchesne le banquier dit: "Monsieur". 
1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier - rôle de Émile Malhouin, contremaître. 
1965 : Le Tonnerre de Dieu de Denys de La Patellière - rôle de Léandre Brassac, vétérinaire. 
1966 : Du rififi à Paname de Denys de La Patellière - rôle de Paul Berger dit : "Paulo les diams". 
1966 : Le Jardinier d'Argenteuil de Jean-Paul Le Chanois - rôle de Monsieur Martin dit : "Père Tulipe", faux monnayeur. 
1967 : Le Soleil des voyous de Jean Delannoy - rôle de Denis Ferrand, un ancien truand. 
1968 : Le pacha de Georges Lautner - rôle du commissaire Joss, de la P.J. 
1968 : Le Tatoué de Denys de La Patellière - rôle du comte Enguerrand de Montignac dit : Legrain. 
1969 : Sous le signe du taureau de Gilles Grangier - rôle de Albert Raynal, inventeur.
1969 : Le Clan des Siciliens d'Henri Verneuil - rôle de Vittorio Manalèse, un truand. 
1970 : La Horse de Pierre Granier-Deferre - rôle de Auguste Maroilleur, le patriarche.
1971 : Le Chat de Pierre Granier-Deferre - rôle de Julien Bouin, ancien typographe. 
1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard - rôle de Victor Ploubaz, aventurier mythomane. 
1972 : Le Tueur de Denys de La Patellière - rôle du commissaire Le Guen. 
1973 : L'Affaire Dominici de Claude Bernard-Aubert - rôle de Gaston Dominici, le patriarche. 
1973 : Deux Hommes dans la ville de José Giovanni - rôle de Germain Cazeneuve, éducateur. 
1974 : Verdict d' André Cayatte - rôle de Maître Leguen, président du tribunal. 
1976 : L'Année sainte de Jean Girault - rôle de Max Lambert, le vieux caïd.
 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Gabin

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
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    Jean Gabin (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Divorce : Dans le monde

Publié à 09:57 par dessinsagogo55 Tags : center divorce centerblog sur france monde
Divorce : Dans le monde



Nombre de divorces pour 100 mariages (2002)

Finlande 50,1 ;
Danemark 46,6 ;
Norvège 46,1 ;
Autriche 44,7 ;
Allemagne 41,8 ;
Hongrie 41,7 ;
Suisse 40,3 ;
P.-Bas 37,2 ;
Grèce 15,7 (en 1999).

Le plus fort taux de divorce pour 1 000 mariages est autour de la cinquième année, quelle que soit l'année étudiée.

 



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Création de la SPA

Publié à 18:11 par dessinsagogo55 Tags : monde spa center sommaire centerblog france sur merci animaux société création
Création de la SPA

 

La création de la SPA Francaise (Société Protectrice des Animaux) 
date de 1845 , soit 3 ans avant l'abolition de l'esclavage 
(décret du 27 avril 1848) .
 

 



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Nicolas Lebel

Publié à 17:12 par dessinsagogo55 Tags : photo fusil meuse nicolas lebel center mort centerblog sur merci saint création
Nicolas Lebel


Nicolas Lebel, né le 18 août 1838 à Saint-Mihiel (Meuse) et mort le 6 mai 1891 à Vitré (Ille-et-Vilaine), est un officier français, qui a contribué à la création du fusil de l'armée française qui porte son nom : le fusil Lebel.


Intéressé par la carrière militaire, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1855. En 1857, il intègre le 58e régiment d'infanterie de ligne comme sous-lieutenant. Durant la guerre franco-prussienne de 1870, alors capitaine et commandant de compagnie, il combat avec courage mais, le 1er septembre, il subit le sort de toute l'armée de Sedan et part en captivité en Allemagne.
Libéré après le traité de Francfort, il retrouve un commandement à Tours, au 66e régiment d'infanterie de ligne, durant les années de réorganisation de l'armée française qui fait suite à la défaite. Nommé chef de bataillon en 1876, Lebel devient chef de l'école normale de tir et se passionne pour l'armement d'infanterie. Ses compétences sont vite reconnues et en 1883, le ministre de la Guerre (le général Jean Thibaudin) le nomme membre d'une commission des armes à répétition présidée par le général Tramond. Elle a pour objectif d'élaborer un nouveau fusil d'infanterie qui doit remplacer le fusil Gras. Nicolas Lebel est chargé de mettre au point la balle destinée à ce futur fusil d'infanterie. Cette balle doit, avant tout, fonctionner avec la nouvelle poudre sans fumée du chimiste français Paul Vieille qui assure des vitesses initiales très élevées. Ces dernières font fondre le plomb nu des balles conventionnelles de l'époque. Le Lt Col Lebel dessine alors une balle de 8mm qui est chemisée en maillechort et fonctionne parfaitement. Elle sera la première balle adoptée pour le futur fusil Mle 1886 : la balle "M" .
Finalement, la Commission finit par adopter les propositions des colonels Gras, Bonnet et Lebel concernant le nouveau fusil d'infanterie. Il sera donc officiellement adopté en tant que Fusil Mle 1886 puis, un peu plus tard, en tant que Fusil Mle 1886M93. Dans le langage courant la nouvelle arme fut vite baptisée fusil Lebel par ses utilisateurs.
Lebel est ensuite nommé colonel en 1887 et il devient ainsi chef de corps du 120e régiment de ligne, alors en garnison à Sedan. Mais à cause de problèmes cardiaques, il obtient sa retraite en 1890, se reconvertissant dans le civil comme inspecteur du Trésor à Vitré. Il décède l'année suivante, le 6 mai 1891.
Il a également été décoré comme commandeur dans l'Ordre national de la Légion d'honneur.

 

 
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Groseille

Publié à 16:12 par dessinsagogo55 Tags : center bar le duc groseille meuse extrait centerblog sur merci monde travail france sport

 

Groseille : Le « Caviar de Bar »

La confiture de groseilles épépinée à la plume d'oie, tradition unique au monde depuis 1344, est surnommée le “caviar de Bar".


Hier comme aujourd'hui, le travail de l'épépineuse demande un long apprentissage et beaucoup de patience : prenant un à un les grains de groseilles entre le pouce et l'index, elle perce légèrement la peau du fruit avec une plume d'oie taillée en biseau et extrait les pépins sans endommager la pulpe !

Aucune machine ne peut se substituer à ce travail et trois heures de labeur sont nécessaires pour obtenir un kilogramme de groseilles épépinées. Versées ensuite délicatement dans un sirop de sucre légèrement bouillonnant, elles conservent leur saveur et leur couleur. Après refroidissement, la confiture est présentée dans des verrines à facettes.

Groseille : Le « Caviar de Bar »

La ducale et tastépépineuse sénéchalerie des gousteurs de groseilles est une association loi 1901 inscrite le 30 octobre 1974 à la préfecture de la Meuse sous le n° 1267,elle a pour but le développement et la prospérité de la ville de Bar-le-Duc st de faire connaître et apprécier au delà des rives d'Ornain la véritable confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie de Bar-le-Duc, de conserver et de protéger la qualité de cette spécialité locale et unique au monde.

Groseille : Le « Caviar de Bar »

La confrérie se compose de membres d'honneur, et de grappilleurs, elle est dirigée par le grand conseil élu tous les 3 ans par tiers, elle s'interdit toutes discussions ou manifestations poli

 

 
 
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Téléphone rouge

Publié à 15:23 par dessinsagogo55 Tags : téléphone sur center monde maison centerblog merci
Téléphone rouge

 

 

Le téléphone rouge désigne une ligne de communication directe établie le 30 août 1963 entre les États-Unis et l'Union soviétique après que la crise des missiles a mené le monde au bord de la guerre mondiale en 1962. Cette dénomination est un raccourci lexical repris et popularisé par les médias, la ligne étant au départ une ligne de téléscripteur, sa supposée couleur rouge symbolisant simplement le fait qu'il s'agissait d'une ligne d'urgence. Ce téléphone rouge reliant la Maison-Blanche au Kremlin a permis, par la suite, de désamorcer des situations conflictuelles mettant aux prises le bloc de l'est et le bloc occidental. Le 5 novembre 2007, la Chine et les États-Unis ont décidé l'installation annoncée d'un téléphone rouge, à l'occasion de la visite en Chine du secrétaire à la Défense Robert Gates.


Le téléphone rouge utilisé du temps de la présidence de Jimmy Carter

On pense que la ligne était chiffrée grâce au principe du masque jetable, avec des clés transportées par valise diplomatique. La clé était changée à chaque communication et détruite lorsque celle-ci était terminée. Ces informations n'ont jamais été confirmées mais l'utilisation du masque jetable est très probable pour plusieurs raisons.
C'est le seul chiffrement qui est théoriquement inviolable (si plusieurs conditions sont respectées) et les valises diplomatiques étaient une solution pratique pour un échange sécurisé des clés aléatoires. De plus, le principe de masque jetable était souvent utilisé par l'URSS et ses agents. Le masque jetable, système très simple et connu depuis 1917, évitait d'avoir à divulguer le fonctionnement d'un algorithme secret de chiffrement à une tierce partie. Les États ont toujours jalousement gardé secrets les rouages de leurs algorithmes même si cette pratique est potentiellement risquée (principe de Kerckhoffs).

La première génération ne transmettait pas la voix, car on estimait que les communications verbales spontanées pouvaient mener à de mauvaises interprétations. Il s'agissait d'une ligne télégraphique duplex. La ligne suivait le trajet Washington - Londres - Copenhague - Stockholm - Helsinki - Moscou. Au départ, la liaison Washington - Londres transitait par le câble TAT-1, le premier câble téléphonique transatlantique. Il existait une liaison radio secondaire, Washington - Tanger - Moscou.
Les chefs d'État formulaient leurs messages dans leur propre langue ; les messages étaient traduits par le destinataire.


En 1971, les deux camps décidèrent d'améliorer le système, car de nouvelles technologies étaient désormais disponibles. Un téléphone fut installé, et la première ligne télégraphique fut complétée par deux liaisons radio par satellite, l'une composée de deux satellites américains Intelsat, et l'autre de deux satellites soviétiques Molniya II. La mise à niveau du système dura de 1971 à 1978, et à l'occasion la liaison radio Washington - Tanger - Moscou fut éliminée.


La dernière modernisation eut lieu en 1986. L'Union soviétique utilisa des satellites géostationnaires du type Gorizont de la flotte Statsionar pour remplacer les satellites Molniya II. Des fonctionnalités de fax à haute vitesse furent ajoutées. Ceci permet aux chefs d'États des deux pays d'échanger rapidement des documents et d'autres informations en plus des messages textuels et des communications téléphoniques.

L'Inde et le Pakistan ont repris en 2004 le principe du téléphone rouge et cela en vue d'éviter un conflit. Ces deux pays, dotés chacun de la puissance nucléaire, sont en état de tension sur le Cachemire depuis les années 1940.

 



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Machine à laver

Publié à 12:57 par dessinsagogo55 Tags : machine à laver center france centerblog sur merci saint
Machine à laver


Machine à laver allemande Miele en 1923 avec le bac à agitateur, et ses rouleaux essoreurs au-dessus du bac.

 

 

Une machine à laver le linge est un appareil électroménager conçu pour nettoyer les vêtements, serviettes, draps et autres tissus ménagers. En général, cette appellation désigne les machines dans lesquelles l'eau constitue la solution principale de lavage. En France, on utilise également l'expression de lave-linge, et au Québec ainsi qu'au Nouveau-Brunswick, le terme de laveuse ou washer (par anglicisme).



Les machines effectuant un nettoyage à sec, c'est-à-dire ayant recours à des fluides de nettoyage alternatifs, ne sont pas qualifiées de machines à laver et sont l'apanage d'une industrie spécialisée.



La machine à laver semble être une invention de Jacob Christian Schäffer mais le premier brevet relatif à une machine à laver a été déposé le 31 mars 1797 par l'Américain Nathaniel Briggs dans le New Hampshire.



La laveuse à rouleaux est inventée en 1843 par John E. Turnbull à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick. En 1830 apparaissent, en Angleterre, les premières machines à laver mécaniques, et, en France, on présente à la Foire de Paris de 1920 la première machine à laver à moteur électrique.



En 1937 est inventée la première machine automatique par Bendix. Les années 1950 voient apparaître les premières machines combinées, où l'essorage est obtenu par la force centrifuge au sein du tambour Ces machines se sont généralisées en Occident durant la seconde moitié du XXe siècle et ont contribué à supprimer l'usage des lavoirs où les blanchisseuses lavaient le linge dans l'eau froide et dans des positions qui devenaient vite pénibles. Avec la lessiveuse, la machine à laver a contribué à l'amélioration de la condition féminine.

 

 

 
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Lave-linge

 
     
     
     
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Madame de Pompadour

Publié à 12:46 par dessinsagogo55 Tags : madame de pompadour center paris france centerblog sur merci
Madame de Pompadour



Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, née le 29 décembre 1721 à Paris et morte le 15 avril 1764 à Versailles, fut une dame de la bourgeoisie française devenue favorite du roi de France et de Navarre Louis XV.

 



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Madame de Pompadour

Madame de Pompadour


Pendant l'éloignement de François Poisson, sa femme née Madeleine de La Motte, « belle à miracle », a eu entre autres amants, le riche fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, célibataire et amateur d'art. Celui-ci, après avoir veillé à l'éducation des deux enfants de sa maîtresse, Jeanne-Antoinette et Abel-François (né en 1725), fit épouser à la première dès qu'elle eut vingt ans, le 9 mars 1741 à Saint-Eustache, son neveu et héritier Charles-Guillaume Le Normant d'Étiolles, âgé de vingt-quatre ans.
Le couple eut un fils Charles Guillaume Louis, né le 26 décembre 1741, baptisé à l'ancienne paroisse Saint-Paul mais qui meurt dans sa première année. Le 10 août 1744 naît une fille Alexandrine, baptisée à Saint-Roch.
Ses contemporains considèrent Jeanne-Antoinette Le Normant d'Étiolles comme assez belle, d'une taille au-dessus de l'ordinaire, svelte, aisée, souple, élégante ; son visage était d'un ovale parfait, ses cheveux plutôt châtain clair que blonds. Ses yeux avaient un charme particulier, qu'ils devaient peut-être à l'incertitude de leur couleur. Elle avait le nez parfaitement bien formé, la bouche charmante, les dents très belles, un sourire délicieux, la plus belle peau du monde.
La beauté de Jeanne-Antoinette et son esprit la font connaître et elle devient l'hôtesse des salons cultivés et mondains de Paris. Elle donne des représentations intimes dans le petit théâtre qu'elle a fait construire dans son château d'Étiolles, à côté de Sénart où le couple s'installe et où le roi Louis XV vient souvent chasser. C'est au cours d'une de ses chasses que le roi la remarque.

 



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Madame de Pompadour

Madame de Pompadour

Proche du père de Jeanne-Antoinette, Joseph Pâris avait été exilé de 1726 à 1729 sous le gouvernement du cardinal de Fleury. La mort de celui-ci, en janvier 1743, donne l'occasion aux frères Pâris, au cardinal de Tencin, à sa sœur la marquise de Tencin et au maréchal de Richelieu de rentrer en grâce. Ce cercle dispose d'une occasion pour se placer auprès de Louis XV. La jeune Jeanne-Antoinette, qui est très proche des Pâris, paraît susceptible de plaire au roi. Le stratagème mis en place fonctionne et porte ses fruits en 1745.
Le 23 février 1745 est célébré le mariage religieux du fils du roi, le dauphin Louis-Ferdinand, avec l'infante Marie-Thérèse d'Espagne. Des fêtes sont organisées pendant huit jours pour cet événement. Le 25 février a lieu dans la Galerie des Glaces au château de Versailles, le bal des Ifs où est invitée Jeanne-Antoinette, sous l'apparence de Diane chasseresse. Toute la cour remarque que le roi s'entretient longuement avec cette belle inconnue. Trois jours plus tard, le 28 février, au cours du bal offert à l'Hôtel de ville de Paris par le corps municipal, nouvelle rencontre entre Madame d'Étiolles et le roi Louis XV.

Jeanne-Antoinette devient une visiteuse régulière et Louis XV l'installe au château de Versailles dans un appartement situé juste au-dessus du sien, relié par un escalier secret.

En juillet, le roi lui fait don du domaine de Pompadour, récemment acquis par la Couronne, la créant ainsi marquise, tandis que Jeanne-Antoinette obtient de son mari une séparation légale. En effet, le Châtelet de Paris prononce le 15 juin 1745, un arrêt de séparation de corps et de biens. Le 14 septembre 1745, elle est officiellement présentée à la cour. Elle a 23 ans. Les milieux dévots d'une part et les milieux aristocratiques conservateurs d'autre part concentrent leurs attaques sur la nouvelle maîtresse du roi, certes pécheresse mais surtout parvenue puisque issue de la haute bourgeoisie et non de l'antique noblesse comme l'étaient les précédentes favorites du roi. La veille de Noël, le 24 décembre 1745, décède sa mère Louise Madeleine de la Motte à l'âge de quarante-six ans.

En 1746, Louis XV offrit à la Marquise de Pompadour une parcelle d'environ 6 hectares dans le petit parc de Versailles. Elle y fit construire par l'architecte Gabriel une demeure pleine de charme, avec des volières, qu'elle appela son Ermitage.

En 1748, la marquise acquiert le château de la Celle, à quelques kilomètres de Versailles. La reine et le Dauphin, appuyés par les milieux dévots, pressent le roi de faire cesser cette relation adultérine notoire et finissent par le faire céder après de nombreuses années de résistance.

Après 1752, si les relations entre le roi et sa favorite prennent un tour platonique, voire simplement amical, Jeanne-Antoinette ne quitte pas la cour pour autant et reste dans l'entourage immédiat de la famille royale, alignant sa conduite sur celle qu'avait eue en son temps la marquise de Maintenon. Mme de Pompadour excellait à distraire Louis XV, à organiser des fêtes, des représentations théâtrales, à entretenir le goût du souverain pour les bâtiments et les jardins.

Ne pouvant contenter la sensualité du roi et craignant d'être supplantée par une dame de la cour, elle fournit à son ex-amant des jeunes femmes ou jeunes filles, logées dans la maison du Parc-aux-cerfs, actuel quartier Saint-Louis, à Versailles. Les plus célèbres furent Anne Couppier de Romans, qui eut un fils, Louis Aimé, que le roi reconnut sans le légitimer (ce qui fit trembler la marquise), et Marie-Louise O'Murphy de Boisfailly, dite Morphyse, avec qui il eut une fille, Agathe Louise.

En 1753, Louis XV achète l'hôtel d'Évreux (actuel Palais de l'Élysée) et l'offre à son amie pour en faire sa résidence parisienne.

Le 15 juin 1754, la fille unique de la marquise, Alexandrine, née de son mariage, dont elle avait obtenu la garde et qu'elle élevait depuis telle une princesse royale, contracte une péritonite aiguë au couvent des Dames de l'Assomption, rue Saint-Honoré à Paris, où elle recevait son éducation. Madame de Pompadour, retenue à Versailles, n'est pas présente. Lorsque la nouvelle lui parvient, Louis XV dépêche en urgence deux de ses médecins personnels au chevet de l'enfant, mais ils arrivent trop tard. La jeune Alexandrine, âgée de neuf ans, a déjà succombé. La marquise, profondément affectée, ne se remettra jamais vraiment de ce drame. Quelques jours plus tard, le 25 juin 1754 décède son père, François Poisson .

Pendant son « règne » de vingt ans, elle maintient des rapports cordiaux avec la reine. Mme de Pompadour entretient également des relations avec les ministres qu'elle invite parfois dans ses appartements.

Elle appuie la carrière du cardinal de Bernis, du duc de Choiseul et soutient le renversement des alliances de la Prusse vers l'Autriche qui se concrétise par la guerre de Sept Ans et la perte de la Nouvelle-France. La légende veut que la marquise, pour consoler le roi très affecté par la déroute de Rossbach, l'aurait exhorté à ne pas s'affliger outre mesure, concluant par ces mots : « Au reste, après nous, le Déluge ».

 



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