Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
12.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Don Salluste (Louis de Funès) est ministre du roi d'Espagne. C'est un être fourbe, hypocrite et cupide qui collecte lui-même les impôts, qu'il détourne en partie à son profit. Il est détesté par la population qu'il opprime.
Accusé par la reine, une belle princesse bavaroise, d'avoir fait un enfant illégitime à une de ses dames d'honneur, il est déchu de ses fonctions et condamné à se retirer dans un monastère. Décidé à se venger, il entre en contact avec son séduisant neveu, César, devenu brigand, mais ce dernier refusant d'entrer dans sa machination, il le fait capturer par ses sbires et l'envoie comme esclave aux Barbaresques. Il décide alors d'utiliser pour sa vengeance Blaze, son valet récemment congédié (Yves Montand) et dont il a découvert les sentiments pour la reine : il le fera passer pour César et l'aidera à séduire la reine.
Le jour même de sa présentation à la cour, Blaze déjoue un attentat ourdi contre le roi par les Grands d'Espagne. Il s'attire ainsi les faveurs du couple royal et devient rapidement ministre. Suivant de loin l'évolution de la situation, Salluste découvre que les Grands ont décidé de se venger de Blaze, ce qui risque de faire capoter sa machination. De son côté, Blaze, à la suite d'une méprise, déclare sa flamme non pas à la reine mais à son acariâtre duègne (Alice Sapritch) dont l'appétence sexuelle est ainsi attisée. La situation se complique encore avec le retour du vrai César, échappé des Barbaresques...
Fiche technique
Réalisation : Gérard Oury
Réalisation de la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario : Libre inspiration et parodie de Ruy Blas drame romantique de Victor Hugo
Adaptation et dialogue : Gérard Oury, Danièle Thompson, Marcel Jullian
Assistants réalisateurs : Roberto Bodegas, Jacques Bourdon, Jean-Claude Sussfeld, Miguel-Angel Rivas
Producteur délégué: Alain Poiré
Production : Gaumont (Paris), Coral Films (Madrid), Mars Films (Rome) & Orion Filmproduktion (Munich)
Chef de production : Ricardo Bonilla, Jean Pieuchot
Directeur de production : Robert Sussfeld, Henri Baum
Administrateur de production : Robert Demollière, Guy Azzi
Distribution : Gaumont International
Musique : Michel Polnareff (Éditions musicales Hortensia Méridian)
Arrangements musicaux : Hervé Roy
Images : Henri Decae et Wladimir Ivanov, pour la seconde équipe
Opérateurs : Alain Douarinou, Franck Delahaye
Son : Antoine Bonfanti, assisté de André Louis
Mixage : Jacques Maumont à Paris-Studio-Cinéma de Billancourt
Script-girl : Colette Crochot
Décors : Georges Wakhevitch, assisté de Pierre-Louis Thévenet, José-Maria Alarcon, Jean Taillandier, Jean Forestier
Costumes : Jacques Fonteray, Humberto Cornejo, Pierre Nourry, Jeanne Renucci, provenant des maisons Monty Berman (Londres) et Cornejo (Madrid)
Robes : Marie Gromtseff
Montage : Albert Jurgenson, assisté de Jean-Pierre Besnard, Martine Fleury, Catherine Kelber, Dominique Landmann
Effets spéciaux : Pierre Durin, Jacques Martin, Gérard Guenier, Claude Carliez (combats), Daniel Braunschweig
Conseiller équestre : François Nadal
Régisseur général : Jean Pieuchot
Régisseur extérieur : Jean Nassereau
Générique : Jean Fouchet (Eurocitel)
Carrosses : Manfred de Diepold
Chapeaux : Jean Barthet - Perruques : Bertrand
Chaussures : Galvin - Mobilier : Pierre Charron
Caméra : Samuelson-Alga - 105 minutes
Genre : Comédie, Historique, Aventure
Format : Couleur, procédé Eastmancolor
Tirage : Laboratoire G.T.C
Date de sortie : 8 décembre 1971 (France)
Distribution
Louis de Funès : Don Salluste de Bazan
Yves Montand : Blaze
Alice Sapritch : Doña Juana, la duègne (dite "la Vieille")
Karin Schubert: Marie-Anne de Neubourg, reine d'Espagne (non nommée)
Alberto de Mendoza : le Roi d'Espagne, Charles II (non nommé et sans rapport avec le personnage historique)
Gabriele Tinti : Don Cesar (voix doublée par Dominique Paturel)
Venantino Venantini : Del Basto (voix doublée par Jean-Pierre Duclos)
Don Jaime de Mora y Aragón : Priego, un Grand d'Espagne
Antonio Pica : De los Montès, un Grand d'Espagne (voix doublée par Jean Martinelli)
Eduardo Fajardo : Cortega, un Grand d'Espagne
Joaquín Solís : Sandoval, un Grand d'Espagne
Paul Préboist: le muet
Frédéric Norbert : le page
Salvatore Borgese : le borgne
Léopoldo Triestre : Giuseppe
Robert Le Béal : le chambellan
Astrid Franck : une dame d'honneur de la reine
La Polaca : la danseuse
Fernando Bilbao : le colosse (non crédité)
Clément Michu : le valet bègue de Salluste
Angel Alvarez : un notable
Claude Carliez : cascadeur
Sophia Palladium : doublure d'Alice Sapritch dans la scène de strip-tease (non crédité)
La bande originale du film La Folie des grandeurs a été composée par Michel Polnareff.
1. La folie des grandeurs 02:38
2. Flamenco Blaze (interprété par Yves Montand) 04:39
3. Thème d'amour 02:09
4. Strip-tease de la duègne 01:21
5. Les barbaresques 01:10
6. La noria 02:37
7. L'arrivée du roi à l'escurial 01:23
8. La capture de César 01:25
9. Doña Salluste 03:08
10. Strip-tease de la duègne 01:23
11. Tango de l'arène 00:46
12. Thème myosotis et valse des courtisans 01:52
13. La fuite de Blaze / L'arrivée du taureau 02:19
L'édition remasterisée parue en CD en 2000 contient trois titres bonus et une interview du réalisateur Gérard Oury
Autour du film
La Folie des grandeurs a été tournée en Espagne (Barcelone, Grenade, Madrid, Ségovie, Séville, Tolède) et au studio Franstudio, à Saint-Maurice dans le Val-de-Marne (France). Les scènes dans le désert ont été tournées dans le Désert de Tabernas, dans la province d'Alméria.
Gérard Oury a confié la bande originale du film à Michel Polnareff. Le style musical est donc en décalage total avec l'époque à laquelle se situe l'intrigue.
Bourvil était initialement prévu pour le personnage de Blaze, mais son décès a contraint la production à lui trouver un remplaçant. Gérard Oury et Danièle Thompson rapportent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, que l'idée de faire jouer le rôle de Blaze par Yves Montand fut soufflée à Gérard Oury lors d'une soirée mondaine par Simone Signoret, épouse de l'acteur, et que les adaptateurs (Oury, Thompson et Jullian), d'abord circonspects, entreprirent alors de réécrire complètement l'adaptation en fonction de la différence de personnalités des deux acteurs successivement prévus pour incarner le personnage de Blaze.
Pour la célèbre scène d'effeuillage d'Alice Sapritch, celle-ci est doublée dans certains plans par la strip-teaseuse professionnelle Sophia Palladium, Gérard Oury signale d'ailleurs, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, le moment précis où l'on peut remarquer l'amincissement subit de la taille de la strip-teaseuse, dont on n'aperçoit plus le visage, mais seulement la « croupe » (selon les termes du réalisateur lui-même).
Les auteurs du film paient avec humour leur tribut à Victor Hugo en précisant dans le générique que même si « Toute ressemblance avec les personnages d'un célèbre drame ne serait que l'effet d'une fâcheuse coïncidence », ils le remercient pour sa « précieuse collaboration ». Gérard Oury et Danièle Thompson reviennent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, sur l'inspiration puisée chez Hugo, et l'on aperçoit des images tirées du Ruy Blas adapté au Théâtre-Français par Raymond Rouleau (de 1960 à 1962), adaptation dans laquelle Gérard Oury, pensionnaire de la Comédie-Française, incarnait le personnage de Don Salluste.
Deux acteurs jouant les Grands d'Espagne en sont véritablement : Don Jaime de Mora y Aragón, qui incarne Priego, et est l'authentique marquis de Casa Riera, le frère de Fabiola, reine des Belges, et Louis de Funès lui-même (de son vrai nom Luis de Funes de Galarza) qui descend des marquis de Galarza, de noblesse sévillane.
À l'origine, le film devait s'intituler Les Sombres Héros.
Le chien du Roi, qui fait de nombreuses apparitions tout au long du film est un chien de Saint Hubert.
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Sur les 38 ministres du gouvernement français actuel (décembre 2012) ,
seulement 10 ont déjà travaillé dans une entreprise ,
et souvent pour une courte durée ! ! !
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Ce billet polychrome gravé en taille douce appartient à la deuxième grande série des « créateurs et scientifiques célèbres » commandée par la Banque et dans laquelle l'on compte Berlioz, Debussy, Delacroix, Montesquieu et Pascal.
Il fut imprimé de 1976 à 1992.
Il est définitivement privé de cours légal le 30 novembre 2005, et, depuis cette date, il n'est plus échangeable contre des euros. Tirage total 1 850 000 000 exemplaires.
La vignette a été dessinée par Bernard Taurelle, d'après une œuvre de Lucien Fontanarosa (décédé en 1975) lequel s'est inspiré d'un autoportrait de Maurice Quentin de La Tour, un pastel exposé au Musée Antoine-Lécuyer ; elle fut gravée par Henri Renaud et Jacques Combet.
Les tons dominants sont bleu-gris et bistre.
Au recto : à droite le portrait de Quentin de La Tour avec en fond la façade principale du château de Versailles.
Au verso : à gauche, le même portrait du peintre avec en fond, la façade de l'hôtel-de-ville de Saint-Quentin, sa ville natale.
En filigrane apparaît la tête du peintre d'après un autre autoportrait.
Les dimensions sont de 150 × 80 mm
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Le sandwich est un aliment généralement composé de deux ou plusieurs tranches de pain avec un ou plusieurs ingrédients entre elles. Le terme « sandwich » tire son origine de John Montagu, 4e comte de Sandwich.
Émile Littré indique dans son dictionnaire que sandwich est un substantif féminin ; cependant le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse (paru à la même époque que le Littré) et le Dictionnaire de l'Académie française le citent comme étant du genre masculin. L'usage en a fait un substantif masculin en Europe, mais on retrouve l'utilisation des deux genres au Canada
Le pluriel adopté dans les pays francophones fut le pluriel anglais : sandwiches ; cependant la réforme orthographique de 1990 préconise d'écrire « des sandwichs »
Le sandwich, en tant qu'aliment, tient son nom de John Montagu, 4e comte de Sandwich. Le sandwich contenait à l'origine du bœuf salé, dont John Montagu était friand, et des tranches de concombre. Cependant, les circonstances de l'invention du sandwich ne sont pas claires.
D'après le récit de voyage contemporain de Pierre Jean Grosley John Montagu intitulé Tour to London, John Montagu était un grand joueur. Un jour de 1765, lancé dans une de ses parties de cartes interminables, un serveur lui apporta deux tranches de pain garnies de viande froide, de tranches de concombre et de fromage. Il trouva que ce plat revêtait deux qualités essentielles à ses yeux : premièrement il n'avait pas besoin de quitter la table de jeu pour s'alimenter et, deuxièmement, la conception du plat lui permettait de conserver les mains propres. Cependant, cette théorie est vraisemblablement une invention romanesque. Il est plus probable que le comte de Sandwich consommait ses sandwichs à son bureau, où il passait le plus clair de son temps, en particulier en 1765 où il occupait des fonctions gouvernementales qui ne lui laissaient guère de temps pour jouer. Il aurait pu mettre au point ces repas pour lui permettre de manger sans interrompre son travail.
Le sandwich est apparu en France dans les années 1830. Suite aux sondages récents des habitudes alimentaires des français, le sandwich arrive 3e dans le top des aliments favoris, derrière le couscous et la pizza.
Le sandwich est très populaire auprès des travailleurs qui le consomment pendant leurs pauses. Il ne nécessite pas d'être réfrigéré s'il est consommé assez rapidement et il n'a pas besoin non plus d'être réchauffé, ce qui se révèle être bien pratique dans certaines circonstances, comme sur les chantiers ou dans la nature.
Un sandwich est en général composé de pain et d'un assortiment simple tel que le jambon, le fromage ou le thon, accompagné ou non de beurre, de sauce, d'œuf ou de crudités. Il se mange sans utiliser de couverts. C'est le principal produit de la restauration rapide. On appelle « sandwicheries » les restaurants qui se sont spécialisés dans la vente de sandwichs.
Exemples de sandwichs
Thé et sandwichs au concombre, à l'Orangerie du Kensington Palace, Londres.
Sandwich BLT
Burrito
Canapés
Cheeseburger
Croque-monsieur
Croque-madame
Club sandwich
Dagobert (Belgique)
Fouée
Hamburger
Hot-dog
Kebab
Mitraillette
Pain suédois
Pan bagnat
Panini
Pita
Sandwich de crème à la glace
Sandwich à la viande fumée (Québec)
Sandwich au beurre de cacahuète et à la confiture
Sandwich jambon-beurre
Sandwich sous-marin
Tramezzino
Tuna ftira
Wrap
Ce sont des sujets de préoccupation, notamment pour les préparations contenant des viandes ou crudités.
Des normes et recommandations (guides de bonnes pratiques) existent pour les sandwichs commercialisés, avec des dates limites à ne pas dépasser, en veillant à la bonne conservation de la chaîne du froid.
Énergie | Coût |
---|---|
Electricité (tarifs kwh EDF) | 12 € |
Gaz propane | 11,20 € |
Fioul domestique | 7,20 € |
Gaz naturel | 5,90 € |
Bois bûche | 4,30 € |
Si les coûts de production de l'électricité nucléaire sont intéressants, les foyers français ne s'en rendent pas forcément compte en comparant leurs factures. L'électricité reste chère. Et lorsqu'elle est utilisée comme mode de chauffage, la facture passe mal. Pour les foyers qui ont la possibilité d'accéder au réseau GrDF, le recours au gaz naturel pour chauffer nos maisons et même nos appartements reste l'option la plus économique qui soit. Sans parler des sources d'énergies telles que la géothermie, l'aérothermie, mais dont les coûts d'installation nécessitent des budgets plus conséquents. Pour les foyers qui n'ont pas d'autre choix que de se chauffer à l'électricité, Jechange.fr les encourage à choisir un fournisseur d'électricité moins cher après avoir comparé ses tarifs avec tous ses concurrents. Seule cette action permettra de réaliser de véritables économies.
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Marion Cotillard, née le 30 septembre 1975 à Paris, est une mannequin et actrice française dont la carrière est internationale.
En 2008, elle remporte de nombreuses récompenses grâce à son interprétation d'Edith Piaf dans le film La Môme, dont un César, un Golden Globe, un BAFTA et un Oscar. Elle devient la troisième Française à être désignée « meilleure actrice » par la prestigieuse Académie hollywoodienne des Oscars, après Claudette Colbert en 1935 et Simone Signoret en 1960. Ce prix lui ouvre les portes des studios outre-Atlantique et lui permet de tourner avec de grands réalisateurs américains et britanniques (Michael Mann, Woody Allen, Rob Marshall, Christopher Nolan, Steven Soderbergh, James Gray).
La mère de Marion Cotillard, Niseema Theillaud, est comédienne, et son père, Jean-Claude Cotillard, est comédien, mime, metteur en scène et directeur pédagogique de l'école supérieure d'art dramatique de la ville de Paris. Elle a vécu une grande partie de son enfance à Puiseaux, près de Fontainebleau.
Elle est l'aînée de deux frères, les jumeaux Quentin (peintre et sculpteur) et Guillaume (scénariste et réalisateur), nés le 6 novembre 1977.
Elle étudie au lycée Voltaire d'Orléans, situé dans le quartier de La Source, où elle a notamment pris une option théâtre, puis au lycée Molière (Paris).
Sa première pièce, Y a des nounours dans les placards, est mise en scène par son cousin, Laurent Cotillard. En 1994, elle obtient le premier prix du conservatoire d'art dramatique d'Orléans. Elle est à la fin du siècle la petite amie de l'acteur Julien Rassam (fils de Claude Berri) qui se défenestre sous ses yeux.
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Golden Globes 2013 : les plus belles robes du tapis rouge
Publié le 14 janvier 2013 par Justine Feutry et Mélissa Brion
C'est l'anti-chambre des Oscars côté récompenses mais également une répétition sur le tapis rouge. A l'occasion de la 70e cérémonie des Golden Globes, les stars rivalisent d'élégance dans les plus belles robes des couturiers.
Marion Cotillard en Christian Dior Couture
La petite Frenchie, nommée pour De rouille et d'os , n'a pas récolté une deuxième statuette mais s'est tout de même fait remarquer sur le tapis rouge. Elle a fait une fois de plus confiance à la maison Dior dont elle est l'égérie. Marion Cotillard joue la carte de l'audace en optant pour une robe bustier asymétrique. Un modèle plutôt minimaliste par rapport aux robes volumineuses ou de forme sirène qu'affectionnent tant les actrices américaines.
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Marine Lorphelin
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