Date de création : 09.04.2012
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08.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Hélène Boucher (Paris, 23 mai 1908 - Guyancourt, 30 novembre 1934) est une aviatrice française. Elle a battu de nombreux records de vitesse.
Hélène Antoinette Eugénie Boucher est la fille de Léon Boucher, architecte parisien, et de Élisabeth Hélène Dureau. Dès son enfance, elle reçut le surnom de Léno qu'elle gardera toute sa vie. À 22 ans, Hélène Boucher décide de devenir aviatrice et deviendra l'élève de Henri Farbos, pilote français (fondateur de l'aéroclub des Landes de Mont-de-Marsan en 1928). Elle passe son baptême de l'air le 4 juillet 1930, à l'âge de 22 ans.
En 1934, elle s'engage avec les aviatrices Maryse Bastié et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises au côté de Louise Weiss.
Elle prend son premier cours de pilotage en mars 1931 et obtient son brevet de pilote en juin 1932. Dès juillet 1932, elle participe au rallye aérien Caen - Deauville, son avion mal préparé tombe en panne et elle doit dans l'urgence se poser. L'avion reste accroché dans les branches d'un arbre, mais Léno s'en sort sans blessure.
Elle poursuit ses participations aux manifestations : le raid Paris - Saïgon au début de l'année 1933, les 12 heures d'Angers en juillet 1933 (avec Edmée Jarlaud comme passagère5) et le 2 août premier record du monde, celui d'altitude féminin, avec 5 900 mètres.
En septembre 1933, elle se lance dans l'acrobatie aérienne. Michel Détroyat, son moniteur, déclare au terme de sa formation : « Dans quelques mois, elle sera la meilleure acrobate du monde ! »
En juin 1934, Hélène Boucher signe un contrat avec la nouvelle société Caudron-Renault. C'est François Lehideux, patron de Renault de l'époque, qui décide de son embauche. Avec ce contrat elle obtient, outre un salaire assurant son indépendance financière, des moyens techniques lui permettant de donner le meilleur d'elle-même.
Le 8 août 1934, aux commandes d'un Caudron-Renault, Hélène Boucher enlève d'une part le record de vitesse sur 100 km à 412 km/h et d'autre part le record des 1 000 km à la moyenne de 409 km/h (Maurice Arnoux détenait l'ancien record avec 393 km/h). Le 11 août, elle s'adjuge le record du monde féminin à 445 km/h.
Par ailleurs, la société Renault est sous contrat avec Hélène Boucher pour promouvoir sa voiture sport de prestige, la Vivasport 6 cylindres. C'est Marcel Riffard, chef du bureau d'études Caudron-Renault et concepteur du Caudron Rafale, qui a dessiné la Renault Viva Grand Sport (appelée « Vivastella Grand Sport » avant 1935).
Le 30 novembre 1934, Hélène Boucher se tue lors d'un vol d'entraînement sur l'aérodrome de Guyancourt aux commandes d'un Caudron C.460 Rafale. La presse évoque une perte de vitesse à l'atterrissage, l'avion accroche la cime des arbres au-dessus du bois de la croix de Magny-les-Hameaux et s'écrase.
Ce sont les pilotes Raymond Delmotte, Fouquet et Goury, témoins de l'accident, qui arrivent les premiers sur les lieux. Hélène Boucher, gravement blessée, est évacuée vers l'hôpital de Versailles. Elle décède dans l'ambulance dans la côte de Satory à Guyancourt.
Première femme à recevoir un tel honneur, une cérémonie a lieu dans la chapelle Saint-Louis-des-Invalides où son cercueil est exposé pendant 2 jours. Hélène Boucher est décorée, à titre posthume, de la Légion d'honneur avec la citation suivante :
« Pilote aviatrice : 3 ans de pratique professionnelle. »
« Pilote de haute classe, a mis au service de l'aviation française sa foi ardente et son audace réfléchie. »
« A donné toute sa mesure au cours de sa brève carrière. »
« Victorieuse de nombreuses compétitions, a ramené six records à la France, en particulier le record international vitesse toutes catégories sur 1 000 km avec 409 km/h. »
« A donné sa vie à la cause qu'elle avait vaillamment défendue. »
« A été citée à l'ordre de la nation. »
Elle repose au cimetière de Yermenonville, où elle passa sa jeunesse.
En 1934, elle fut lauréate du Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports, en tant que femme à la performance sportive la plus remarquable de l'année écoulée.
La Poste française a émis, en 1972, un timbre à l'effigie d'Hélène Boucher et de Maryse Hilsz (Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports en 1936).
De nombreux équipements publics, voies, établissements d'enseignement portent son nom.
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Maryse Bastié, née Marie-Louise Bombec, aviatrice française née le 27 février 1898, à Limoges (France), morte le 6 juillet 1952 à Bron. Elle fut la première aviatrice française à décrocher de nombreux palmarès. Ses exploits furent très rapidement médiatisés. Nombre d'établissements scolaires, rues et avenues portent aujourd'hui son nom.
Orpheline de son père à l'âge de 11 ans, la petite Marie-Louise Bombec fut une enfant difficile. Adolescente, elle est ouvrière dans une usine de chaussures comme piqueuse sur cuir. Elle se marie une première fois et a un fils qui meurt très jeune. Divorcée, elle se remarie avec son filleul de guerre, le lieutenant pilote Louis Bastié, originaire de Fiac, petit village proche de Toulouse. C'est à ses côtés qu'elle se découvre une passion pour l'aviation. Le 29 septembre 1925, elle obtient son brevet de pilote sur la station aérienne de Bordeaux-Teynac, qui deviendra plus tard l'aéroport de Bordeaux-Mérignac. Une semaine après, elle passe avec son avion sous les câbles du pont transbordeur de Bordeaux. Mais l'année suivante, son mari Louis Bastié, trouve la mort dans un accident d'avion. Loin de se décourager, Maryse Bastié devient monitrice de pilotage : l'aventure dure six mois et s'arrête avec la fermeture de son école de pilotage.
Affiche d'une réunion en faveur du droit de vote pour les femmes avec projection d'un film où Maryse Bastié apporte son concours à la campagne féministe.
Montée à Paris, elle donne des baptêmes de l'air et fait de la publicité aérienne. Elle décide d'acheter son propre avion, un Caudron C.109 à moteur de 40 ch. Comme elle n'a pas d'argent pour le faire voler, le pilote Drouhin va l'aider à financer sa passion. Le 13 juillet 1928, il lui offre le poste de premier pilote. Elle établit alors avec lui un premier record féminin homologué de distance (1 058 km) à Treptow, en Poméranie.
En 1929, elle établit un nouveau record de France féminin de durée de vol, de 10 h 30, et un record international féminin de durée avec 26 h 44. Ce record lui est repris le 2 mai 1930 par Léna Bernstein 35 h 45). Bien décidée à le récupérer, elle décolle le soir du 2 septembre 1930 et se pose le 4 après 37 h 55 de vol. Elle a lutté jusqu'à l'épuisement contre le froid et le manque de sommeil. Elle établit ensuite un record de distance avec 2 976 km sur le parcours Paris - Uring (URSS). Pour cet exploit, à son retour, elle reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur et le Harmon Trophy (en) américain décerné, pour la première fois, à une Française.
En 1935 elle crée, à Orly, l'école « Maryse Bastié Aviation ». Encouragée par Mermoz, qui lui a fait faire avec lui un aller-retour, elle s'attaque à la traversée de l'Atlantique Sud. Un mois à peine après la disparition de Mermoz, le 30 décembre 1936, elle traverse l'Atlantique de Dakar à Natal, seule à bord d'un Caudron Simoun.
Dès 1934, elle s'engagera avec Hélène Boucher et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises, en soutenant Louise Weiss qui se présentait aux élections législatives de 1936 dans le 5e arrondissement de Paris.
Lors de l'offensive allemande de mai 1940, elle offre ses services à la Croix-Rouge, notamment auprès des prisonniers français regroupés au camp de Drancy. Lors du départ d'un train vers l'Allemagne, elle est bousculée par une sentinelle allemande et se fracture le coude droit. Elle en garde une invalidité et ne pilote plus. Sous couvert de son activité à la Croix-Rouge, elle recueille des renseignements sur l'occupant.
En 1951, elle entre au service de relations publiques du Centre d'essais en vol. Lors d'une de ses missions, elle trouve la mort dans l'accident d'un Noratlas, après un meeting aérien à l'aéroport de Bron près de Lyon, le 6 juillet 1952.
Maryse Bastié est enterrée à Paris, au cimetière du Montparnasse. Elle était capitaine de l'armée de l'air et totalisait 3 000 heures de vol. De nombreux établissements scolaires français portent son nom. Un timbre-poste à son effigie a été émis. Elle s'est déclarée convaincue de l'utilité de l'espéranto dans l'aviation
Quelques records
En 1930, elle bat le record de durée féminin international en 37 heures 55 minutes.
En 1931, elle s'empare du record féminin international de distance, avec 2 976 kilomètres.
En 1936, elle réalise la traversée féminine de l'Atlantique Sud en 12 heures 5 minutes.
Honneurs
Croix d'honneur du Mérite Civique (1931)
Ordre de l'Étoile rouge (URSS, 1931)
Chevalier de l'ordre de la Croix du Sud (Brésil, 1937)
Officier de l'ordre national du Mérite (1937)
Médaille d'or du Progrès (ou médaille des pionniers, 1937)
Plaque de vermeil de l'Aéro-Club de France (1937)
Ordre de l'Étoile de Roumanie (1937)
Médaille d'or de l'éducation physique (1937)
Commandeur de l'ordre de l'éducation nationale (Palmes académiques, 1937)
Croix du Mérite du Chili (1938)
Croix de l'Aviation (Pérou, 1938)
Ordre de Simon Bolivar (Venezuela, 1938)
Croix de saint Olaf (Norvège, 1940)
Commandeur de la Légion d'honneur (1947, chevalier en 1931)
Croix de guerre 1939-1945 avec palme
Médaille de la Résistance
Médaille de l'Aéronautique
Commandeur de l'ordre royal du Cambodge
Citation à l'ordre de la Nation
Son nom est donné à un lycée de Limoges, à un collège de Nantiat et à un collège de Dole.
Un monument de Félix Joffre en son honneur est dressé dans le square Carlo Sarrabezolles à Paris.
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Le reçu pour solde de tout compte est un document remis, en France, par l'employeur à un salarié à la fin de son contrat de travail, et en même temps que le certificat de travail et l'« attestation pôle emploi ». Ce document récapitule les sommes qui restent à payer à l'employé avant son départ (salaire, heures supplémentaires, indemnités de congés payés...). Il est signé après avoir reçu les sommes qui y figurent ; les sommes étant versées après la notification de rupture du contrat.
Aspects juridiques
Selon le ministère du travail, le reçu pour solde de tout compte est obligatoire. Cette interprétation est contestable, et n'est pas partagée par tous. Le solde de tout compte, établi par l'employeur, et dont le salarié lui donne reçu, « fait l'inventaire des sommes versées au salarié lors de la rupture du contrat de travail. » . Ce reçu peut être dénoncé dans les six mois qui suivent la signature, délai au delà duquel il devient libératoire pour l'employeur des sommes qui y sont mentionnées, ce qui veut dire que le salarié considère que les sommes figurant sur le reçu à titre de salaires ou d'indemnités correspondent à ce qui lui est dû. Aucune réclamation n'est plus possible à ce titre après ce délai. Bien qu'aucune jurisprudence ne semble être encore intervenue sur ce point, il est vraisemblable que le salarié puisse encore réclamer après l'expiration du délai de six mois des sommes ne figurant pas sur le reçu (indemnisation de la clause de non-concurrence, indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse...).
Selon l'article D. 1234-7, le reçu pour solde de tout compte est établi en double exemplaire. Mention en est faite sur le reçu. L'un des exemplaires est remis au salarié.
Si le reçu pour solde de tout compte est dénoncé, il doit l'être par lettre recommandée D. 1234-8.
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Émile Gallé, né à Nancy le 4 mai 1846 et décédé dans la même ville le 23 septembre 1904, est un industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste français. Il est fondateur et premier président de l'École de Nancy en 1901.
Enfant de l'Art et du commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués à son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. C'est également un précurseur en matière de génétique et d'évolution concernant le monde végétal, ses travaux méconnus du grand public sont d'une grande pertinence puisqu'ils précèdent ceux de Mendel et en annoncent pourtant les grandes lignes. À la porte de son atelier de Nancy on pouvait lire cette devise : « Ma racine est au fond des bois. ».
Son père, Charles Gallé (1818-1902), est déjà d'une envergure peu commune. Artiste peintre, il maîtrise l'art délicat de l'émail mais, après son mariage avec Fanny Reinemer issue d'une famille de négociants en faïences et cristaux, il lance l'entreprise familiale dans une production propre et y rencontre le succès. C'est dans cette ambiance éclectique qu'Émile recevra une éducation à la fois attentive et audacieuse.
Après des études secondaires à Nancy couronnées du baccalauréat, il va en 1865 apprendre l'allemand à Weimar et y poursuit des études de minéralogie. C'est ensuite l'apprentissage des métiers du verre et de la céramique à Meisenthal. Son approche n'est pas simplement théorique et Émile ne craint pas de s'initier au soufflage. Il adjoint à cela de bonnes connaissances en ébénisterie et surtout la passion familiale pour les sciences naturelles et plus particulièrement pour les plantes qui l'amène au dessin.
Émile Gallé mène une vie simple, voire austère. Il effectue des études sur les plantes, les animaux, les insectes. Quelques fois, il seconde son père. Le soir, il lit des recueils de poésie. Cette influence sera notable surtout vers 1882, quand il aura assimilé les différentes expériences de sa jeunesse. De 1884 à 1889, il cristallise ses idées dans son livre Écrits pour l'Art.
Gallé est moins connu pour son engagement social, notamment avec son ami, le botaniste Georges Le Monnier. Humaniste convaincu, il est un des fondateurs de l'Université populaire de Nancy et devient trésorier de la Ligue française pour les droits de l'homme. Il condamne publiquement le génocide arménien, défend les Juifs de Roumanie et, malgré les risques commerciaux, est le premier à défendre publiquement Alfred Dreyfus.
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Le sport en France est caractérisé par une tradition sportive ancienne et une grande variété de disciplines pratiquées à haut niveau. La France a un rôle prépondérant dans l'organisation du sport modernenote 35 et son palmarès, depuis la fin du xxe siècle, en fait l'une des meilleures nations au monde dans de nombreux sports. Pour l'année 2010, la France est cinquième du classement mondial établi par Havas Sports & Entertainmentnote 36 qui comptabilise plus de 1 500 événements sportifs.
Le football est le sport le plus populaire, avec plus de 2,3 millions de licenciés (dont 97 % d'hommes), une popularité accrue par la double victoire de la France lors de la coupe du monde en 1998 puis du championnat d'Europe en 2000. Le tennis (deuxième sport en termes de licenciés), l'équitation, les arts martiaux, le basket-ball, le handball et le golf sont également très pratiqués, sans oublier le rugby et la pétanque, essentiellement dans le sud du pays.
Près de sept millions de Français pratiquent le ski chaque hiver, le plus souvent en dehors de toute organisation sportive. Quant à l'escrime et au cyclisme, il s'agit des disciplines dans lesquelles la France est la plus titrée (respectivement 44 et 41 titres olympiques après les Jeux de Vancouver en 2010).
Le tournoi de tennis international de Roland Garros à la porte d'Auteuil à Paris et le Tour de France cycliste sont des événements annuels importants, ainsi que l'Euro de football attendu en 2016.
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Mélissa Lauren (pseudonyme de Barbara Masvaleix), est une actrice et réalisatrice de films pornographiques française née le 16 octobre 1984 à La Rochelle, en Charente-Maritime.
Mélissa commence par étudier la cuisine pendant trois ans au lycée hôtelier de La Rochelle puis travaille au restaurant de l'hôtel George V comme pâtissière.
En lisant un journal, elle tombe sur une annonce du réalisateur John B. Root. Elle débute dans le cinéma pornographique six jours plus tard, en juin 2003. Elle est alors âgée de 18 ans et demi.
Elle tourne ensuite dans des productions Marc Dorcel et Blue One avant de partir pour les États-Unis.
En janvier 2006 elle met en scène une série intitulée Hellfire Sex ; la jeune hardeuse y propose un programme extrême fait de bondages, de SM, et de sexe agressif. En aout 2006, Melissa Lauren réalise son premier film pour Combat Zone, intitulé Plucked then fucked avec Samantha Sin comme performeuse notamment. Elle devient ensuite réalisatrice pour la compagnie américaine Diabolic.
Après trois années passées dans ce pays, elle revient en France pour signer, fin mai 2007, un contrat d'exclusivité d'un an renouvelable avec Marc Dorcel, devenant ainsi la sixième Dorcel Girl de la compagnie.
En avril 2008, Mélissa Lauren est à l'affiche du plus gros budget du X français (230 000 €) : Casino-No-Limit (consacré meilleur film X aux Venus Awards de Berlin en octobre 2008), réalisé par Hervé Bodilis et produit par Marc Dorcel.
Entre ses premiers pas en 2006 et 2007, Melissa est visible sous 3 apparences différentes. On peut ainsi dater ses vidéos :
d'abord blonde, avec déjà un piercing au nombril ainsi qu'un piercing à la langue (vidéos de 2003 et 2004) ;
puis brune avec un piercing sur chaque mamelon (vidéos de 2005) ;
puis cheveux noirs avec des implants mammaires (vidéos à partir de 2006).
L'actrice possède un tatouage en latin sur son avant-bras droit : Qvod Me Nvtrit Me Destrvit (« ce qui me nourrit me détruit »).
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L'Appartement de la marquise de Pompadour est situé au château de Versailles et a accueilli Madame de Pompadour de 1745 à 1750, qui était la favorite de Louis XV.
Panneau signalant le mécénat dont a bénéficié l'appartement.
L'appartement se trouve dans l'attique surplombant le Grand Appartement du Roi, au second étage du corps central du château de Versailles. L'appartement de la marquise se situe précisément au-dessus des salons de Mercure et d'Apollon. On peut accéder à l'appartement avec le degrés d'Épernon ou un escalier semi-circulaire, qui mène directement, deux étages plus bas, à l'appartement intérieur du Roi.
Les quatre pièces principales donnent directement une vue dégagée sur le parterre du Nord du jardin de Versailles.
L'appartement a d'abord été habité, en 1743 et 1744, par la duchesse de Châteauroux, Marie-Anne de Mailly-Nesle, ainsi que par sa sœur, la duchesse de Lauraguais. Ce n'est qu'après la mort de la duchesse de Châteauroux que Louis XV donne l'appartement à Madame de Pompadour. Cette dernière l'occupe de 1745 à 1750. En effet, en 1750, elle cesse peu à peu d'être sa maîtresse, tout en restant son amie, et quitte donc son appartement pour aller s'installer au rez-de-chaussée du château.
L'appartement a été conservé en l'état depuis son occupation par la Marquise de Pompadour, mais il a cependant été remeublé et restauré grâce à des donations, des legs et au mécénat de Verel de Belval, Swarovski et Houlès.
De nos jours, l'appartement n'est ouvert au public que dans le cadre de visites conférences.
Les appartements sont peu spacieux, mais très intimes comparés à la majorité des pièces du château ; est détaillé ci-dessous leur agencement.
On entre dans l'appartement par une garde-robe depuis laquelle on pouvait accéder à une chambre entresolée où dormait Mme du Hausset, la femme de chambre de la marquise. On passe ensuite dans le Grand cabinet qui fut jusqu'en 1745 la chambre de Mme de Pompadour. Ce n'est que vers 1747-1748 qu'il devint un grand cabinet (c'est-à-dire un salon de réception). Ce dernier donne accès au Petit cabinet (au-dessus du salon d'Apollon), mais mène également à l'antichambre.
Celle-ci possède une cheminée datant de Louis XIV et possède également un accès vers le reste du château. L'antichambre et la chambre qui suit ne furent créées qu'en 1748, à l'emplacement d'une unique grande pièce qui était probablement le grand cabinet de Mme de Châteauroux.
La chambre à coucher a été installée en 1748 par Gabriel ; le lit est placé dans une alcôve, entourée de deux petits cabinets permettant un accès au lit par derrière. Elle possède toujours son mobilier original, bien que celui-ci ait été restauré.
Il y a également eu deux antichambres qui ont aujourd'hui disparu ; l'une des deux constituait alors une salle à manger.
L'appartement possédait enfin un cabinet des bains et une chaise percée.
Pierre Barrois, comte d'Empire, né le 30 octobre 1774 à Ligny-en-Barrois, Meuse et mort le 19 octobre 1860 à Villiers-sur-Orge, était un général d'Empire.
Fils de Jacques-François Barrois,de Ligny, et de Marguerite Gérard,de Velaines.
Il servit dans l'armée du 12 septembre 1793 au 12 avril 1848. Entré au service le 12 septembre 1793 dans le bataillon des éclaireurs de la Meuse; lieutenant le 12 septembre, même année ; commandant le même corps à la bataille de Wattignies.
Le bataillon de la Meuse, amalgamé avec les chasseurs des Cévennes, étant devenu le 9e régiment d'infanterie légère, il combattit dans les armées du Nord et de Sambre et Meuse, à la 9e demi-brigade sous les ordres de Marceau puis sous les ordres du général Hoche. Barrois se trouva aux batailles de Fleurus, de la Roër. Il avait été nommé capitaine adjudant-major pendant le second blocus de Mayence.
Son régiment s'étant distingué à la bataille de Marengo, reçut le nom d'incomparable, que le premier consul fit inscrire sur son drapeau, tandis que Barrois recevait la Légion d'Honneur. Il fut envoyé en Vendée puis en Italie. Il fut ensuite muté au 96e régiment d'infanterie de ligne.
Le jeune Barrois, nommé colonel du 96e de ligne, se rendit au camp de Mont-Cenis, sous les ordres de Ney. Il y fut nommé officier de la Légion d'honneur et eut la croix de commandeur après la bataille d'Austerlitz.
Il participa au procès du duc d'Enghien. Il fut le seul à voter pour un sursis à son exécution.
Le 14 février 1807, le colonel Barrois fut promu au grade de général de brigade. Ses actions d'éclat se succédèrent, et après la bataille de Friedland, l'Empereur nomma les généraux Barrois et Labruyère grands officiers de la Légion d'honneur. Un an après la paix de Tilsitt, sa division se rendit en Espagne. Le général Barrois se couvrit de gloire aux affaires d'Espinosa, du Somo-Sierra, d'Ucler, de Medellin, de Talavera, de Chiclana, et fut nommé général de division le 27 juin 1811.
Il quitta le commandement de cette division pour se rendre à Vilnius, où il arriva après la campagne ; on lui confia alors une division de la jeune garde, avec laquelle il se trouva à la Bataille de Bautzen, au combat de Reichenbach et de Gorlitz, et à la bataille de Dresde. Après s'être battu avec courage à Wachau (16 octobre) et à Leipzig, il fut chargé, avec la division Roguet, de faire l'arrière-garde de l'armée jusqu'au Rhin. Lorsque sa division repassa le Rhin, elle était réduite à 2 500 hommes. Il continua la campagne de Belgique avec le comte Maison, et eut une part active à la bataille de Courtrai, le 31 mars 1814.
Après l'abdication, le général Barrois se retira à la campagne. En mars 1815 il fut mis à la tête d'une division de six régiments. À Fleurus et à Waterloo, il commandait une division de la jeune garde. Il fut blessé à Waterloo à l'épaule gauche.
Il fut mis en disponibilité le 1er janvier 1825. Reprit du service en 1830, nommé au commandement de la 3e division militaire à Metz. il prit part en 1831 à la campagne de Belgique à la téte de la 1re division de l'armée du Nord. Devint successivement inspecteur Général et président du comité de la guerre. Marié en 1803 à Adélaide Jeanne Victoire Lévéque de Vilmorin, ils eurent deux filles : Adélaide Blanche et Ermance Victoire Adélaide Barrois.
Noms gravés sous l'Arc de Triomphe de l'Étoile : pilier Ouest, 37e et 38e colonnes.
Il fait partie des 558 officiers à avoir son nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile.
Grand officier de la Légion d'Honneur le 11 juillet 1807, il fut promu Grand croix .
Chevalier de Saint-Louis le 1er septembre 1819.
Créé Baron d'Empire le 19 mars 1808.
Fait Comte de l'Empire le 28 novembre 1813.
Armes du comte Barrois et de l'Empire (décret du 21 février 1814)
Écartelé : au 1er, des comtes militaires ; au 2e, d'azur à un casque grillé et taré de profil d'argent ayant pour cimier un lion naissant d'or ; au 3e, de gueules à un chevron d'or, accompagné de trois étoiles d'argent ; au 4e, d'azur à trois besants d'argents.
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Coluche, né Michel Gérard Joseph Colucci le 28 octobre 1944 dans le 14e arrondissement de Paris et mort le 19 juin 1986 à Opio (Alpes-Maritimes), est un humoriste et comédien français.
Fils de Honorio Colucci (originaire d'un petit village italien dans la région de Frosinone, Casalvieri) et de Simone Bouyer, il adopte le pseudonyme « Coluche » à l'âge de 26 ans, au tout début de sa carrière.
Revendiquant sa grossièreté mais selon lui-même « sans jamais tomber dans la vulgarité », l'humoriste donne très tôt un style nouveau et sarcastique par sa liberté d'expression, dans le domaine du music-hall, en s'attaquant notamment aux tabous, puis aux valeurs morales et politiques de la société contemporaine. En 1974, il devient célèbre en parodiant un jeu télévisé : le Schmilblick.
Avant 1976, il occupe des rôles de second plan au cinéma avant de camper des personnages plus centraux puis de tenir le haut de l'affiche durant les années 1980, essentiellement pour des comédies. En 1984, il obtient un César du meilleur acteur pour son rôle dramatique dans Tchao pantin.
Tour à tour provocateur ou agitateur par ses prises de positions sociales, il se présente à l'élection présidentielle de 1981 avant de se retirer.
Devenu très populaire et apprécié des médias, il fonde en 1985 l'association Les Restaurants du cœur, relais d'aide aux plus pauvres, quelques mois avant de mourir dans un accident de moto.
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Les hommes de sa vie
Mariages
21 décembre 1952 : Roger Vadim
11 juin 1959 : Jacques Charrier
14 juillet 1966 : Gunter Sachs
16 août 1992 : Bernard d'Ormale
Vie amoureuse
Bardot et Sami Frey en Saint Tropez, 1963.Ces personnes sont celles que Brigitte Bardot cite et relate à travers ses mémoires :
Roger Vadim
Jacques Charrier
Jean-Louis Trintignant
Gilbert Bécaud
Raf Vallone
Sacha Distel
Sami Frey
Bob Zagury
Serge Gainsbourg
Laurent Vergèz
Mirko Brozek
Allain Bougrain-Dubourg