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Musique : Dico

Disc jockey

Publié à 05:58 par dessinsagogo55 Tags : center disc jockey écran éléments sommaire monde centerblog sur musique
Disc jockey

 

Scratch : utilisation d'un Fader ou Crossfader pour découper le son enregistré sur le vinyle, de manière à le transformer et à le rendre plus rythmé et/ou incisif.



Fondu enchaîné : la fin d'un morceau de musique est mélangée avec le début du morceau suivant de manière à assurer une transition progressive.
Calage tempo : les rythmiques des deux disques sont superposées pour adopter le même tempo / BPM.
Le mixage : les disques sont synchronisés manuellement à l'aide des réglages de vitesse des platines et sont mélangés avec diverses variations, portant notamment sur les égalisations (niveau des fréquences graves, médium et aiguës), ainsi que sur l'utilisation des Faders et Crossfaders.
Les disques sont enchaînés de plusieurs façons :
soit en scratchant (principalement utilisé en Hip-Hop et en Rap) ;
soit en mélangeant (mixant) progressivement les deux titres : il est alors question d'un fondu-enchaîné (fade ou crossfading);
soit en mélangeant (mixant) progressivement les deux titres, et en calant le tempo du premier morceau (en réglant sa vitesse, il aussi question de pitch), il est alors question de mix dans le tempo (beatmix).
soit en jouant le deuxième titre juste après le premier (un cut) ; en fait, le premier battement du deuxième titre (premier beat) est joué en même temps que le dernier beat du premier.
Certains musiciens se disent également DJ du fait qu'ils utilisent les mêmes outils, bien que ce ne soit pas dans le but d'enchaîner des morceaux, mais bien d'en créer de nouveaux à partir d'éléments de plusieurs supports musicaux selon le principe du sampling.
Le DJ-ing ne se fait pas toujours en direct, ni face à un public. Par exemple, certains DJ utilisent des logiciels comme Cubase SX, Fruity Loops ou Reason pour créer leur propres tracks. Certaines maisons de disques ne publient rien d'autre que les réalisations en studio de DJ. Il existe aussi un championnat du monde des DJ, qui se rencontrent dans différents types de catégories.
Le concept du DJ-ing s'applique également à la vidéo. Le « VJ » (visual jockey ou vidéo jockey) enchaîne et superpose des images fixes et animées qui peuvent être projetées sur écran à l'occasion de soirées ou de concerts, mais également, sur les chaînes télévisées musicales. Le terme a d'ailleurs été élargi au simple présentateur d'émissions de telles chaînes du fait qu'il est censé choisir les clips vidéo qui passent. De la même manière, il est question de KJ (KaraJockey) pour les animateurs de karaoké.

 

Disc jockey

Disc jockey

Disc jockey

Disc jockey

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Comment ça marche ??? Aide

Disc jockey

Publié à 05:57 par dessinsagogo55 Tags : disc jockey center sommaire monde centerblog sur place musique création gain platine
Disc jockey


Si historiquement le vinyle a été le premier support des DJ (par le scratch), ce sont bel et bien les DJ qui ont permis au vinyle de résister à l'impact qu'a été l'arrivée du CD dans les années 1980.
La raison de cette résistance est la longue absence de platine CD à vitesse réglable, condition nécessaire pour mixer en discothèque. De ce fait en 30 ans la Technics 1200 MKII est devenue puis restée la platine vinyle la plus répandue dans les clubs.
Actuellement les labels sortent les nouveautés sous le format vinyle, à destination des DJ qui diffusent ainsi ces morceaux et permettent d'évaluer leur potentiel.


Le pressage en plus grand nombre peut alors suivre, et selon le succès du morceau, le public pourra ensuite le trouver dans des compilations CD ou sur les albums des artistes correspondants (si celui-ci est suffisamment productif).
Cependant, de moins en moins de platinistes mixent sur vinyles, ce format étant supplanté par le format numérique pour des raisons de gain de place (les DJ vedettes étant de grands voyageurs), d'ergonomie et de possibilités de création. L'utilisation combinée du format MP3 et des ordinateurs a ainsi révolutionné le monde du DJing :
grâce aux programmes qui permettent, à partir d'un ordinateur et de deux platines vinyles, de reproduire le mix sur vinyle tout en utilisant des MP3 contenus dans l'ordinateur ;
grâce aux programmes tel qu'Ableton Live, Virtual DJ, Serato Scratch Live ou encore Traktor Pro qui permettent de jouer des boucles, d'ajouter des effets et d'augmenter considérablement la complexité d'un mix (4 platines, effets...).
Le contrôle d'un logiciel prend maintenant un intérêt de plus en plus important pour des djs pros, grâce à l'apparition de contrôleurs de qualité ou de systèmes comme le Vinyl timecodé.

 

Disc jockey

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Comment ça marche ??? Aide

Disc jockey

Publié à 05:56 par dessinsagogo55 Tags : sommaire lecture extrait disc jockey center centerblog sur musique pouvoir platine
Disc jockey



Le vocabulaire du DJ utilise un certain nombre de termes techniques :
BPM : Battement par minute (mesure le tempo d'un morceau).
Calage tempo (ou beatmatching) : synchronisation des rythmes de deux morceaux.
Cellule : tête de lecture d'une platine vinyle.
Cross-fader : fader placé horizontalement sur une table de mixage permettant de basculer d'une voie à l'autre (la courbe de « fondu » peut être linéaire, exponentielle, « tout ou rien » et/ou réglable selon le modèle). Facilite le fondu enchaîné.
CUE : point de départ de la lecture sur un lecteur CD. Peut être le début de la chanson ou un point quelconque du morceau prédéfini sur platine CD.
Fader : bouton à glissière permettant de modifier le volume sonore d'une voie (aussi appelé potentiomètre linéaire).
Feutrine : sorte de tapis intercalé entre le vinyle et le plateau de la platine permettant de faire glisser le vinyle sans dommage. Ainsi pour faire Pause, un DJ jouant sur vinyles utilise rarement la touche Play/Stop. Pour arrêter un morceau il pose ses doigts sur le disque, qui doit donc pouvoir glisser sur la feutrine ou slipmat). Il peut alors le lancer (throwing) dans le rythme.
Hamster style : méthode utilisée par les DJ à platines ou la configuration du crossfader est inversée, c'est-à-dire que la platine droite est à gauche du crossfader.
Loop : boucle sonore composée d'un point d'entrée (loop-in) et d'un point de sortie (loop-out).
Pitch bend : mécanisme (potentiomètre ou boutons) d'une platine (vinyle ou CD) permettant de modifier la vitesse de lecture (modification exprimée en pourcentage par rapport à l'original). Son réglage permet ainsi de synchroniser les beats de deux morceaux (entrant et sortant).
Mashup ou versus : remix mixant la version a cappella d'un morceau avec l'instrumental d'un autre.
Sample' : en français échantillon. Le sample est un court extrait ou une partie d'un morceau de musique, joué en boucle ou par intermittence. Il peut être déformé pour atteindre l'effet recherché.
White label : vinyle ne portant pas d'étiquette : il s'agit généralement d'un morceau produit par un DJ peu connu, et pressé en faible nombre d'exemplaires. Il permet souvent d'évaluer le potentiel club du disque avant pressage sous un vrai label. La plupart des bootlegs sont pressés en white.
 

Disc jockey

Publié à 05:56 par dessinsagogo55 Tags : center disc jockey sommaire centerblog sur jeux musique
Disc jockey

 



Platines vinyles, platines CD ou console numérique
Table de mixage
Casque de pré-écoute
Microphone (optionnel)
Enceintes, Amplificateur
Jeux de lumière

 

Disc jockey

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Digital Audio Tape (DAT)

Publié à 05:39 par dessinsagogo55 Tags : photo digital audio tape bande sommaire musique centerblog mode center sur

La Digital Audio Tape (DAT) est un support d'enregistrement audio numérique sur bande magnétique 3.81mm conçu par Sony dans les années 1980 dans le but de remplacer la musicassette (K7). Le support, peu soutenu par les éditeurs, n'a jamais eu les faveurs du grand public et servit principalement comme support pour les sauvegardes de données de grande capacité (par générations : 4,8,24,40,72 & 160 Go), et comme master pour les enregistrements en studio d'enregistrement.

Les cassettes DAT, plus petites que les cassettes audio classiques, mesurent 73 X 54 X 10,5 mm. Pour les modèles les plus récents utilisés comme support d'enregistrement de données (DAT-DDS6), l'épaisseur passe à 12mm ce qui n'est pas compatible avec les DAT des générations précédentes.
La technologie du DAT est proche de celle des magnétoscopes, utilisant une tête rotative penchée pour enregistrer les données. Cela empêche les DAT d'être découpées puis recollées comme les cassettes classiques. Cela permet aussi de stocker une plus grande quantité de données sur une même longueur de bande magnétique. La norme DAT permet des qualités d'enregistrement de 32 kHz en 12 bits, et de 32 kHz, 44.1 kHz ou 48 kHz en 16 bits. Certains rares enregistreurs opèrent en dehors de la norme jusqu'à 96 kHz en 24 bits ; la vitesse de défilement de la bande est alors doublée (mode HHS) et la durée maximale d'enregistrement réduite, en conséquence, de moitié.

 

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Coquille

Publié à 00:40 par dessinsagogo55 Tags : coquille center photo

Avec une <a class=

Lorsque la coquille dirige le saphir au raz du disque , 
il s'en dégage une mélodie douce comme le chant d'une sirène ...
Avec une <a class=
 

Piano

Publié à 04:56 par dessinsagogo55 Tags : piano center centerblog sur merci
Piano

 

Le son musical du piano est produit par la vibration de ses cordes tendues devant une table d'harmonie, à laquelle elles transmettent leurs vibrations par l'intermédiaire d'un chevalet.
Elles sont frappées par des marteaux couverts de feutre, actionnés par l'enfoncement des touches du clavier. La vibration des cordes est stoppée par un étouffoir lorsque la touche du clavier est relâchée.
Le piano possède le plus souvent un pédalier de deux ou trois pédales, quelquefois quatre sur de récents pianos, permettant d'augmenter son potentiel expressif. Les pédales étendent très largement la possibilité d'exprimer des nuances :
la pédale gauche est une sourdine (appelée aussi una corda) qui décale le clavier de façon que les marteaux ne frappent que deux cordes au lieu de trois sur les pianos à queue, tandis que sur les pianos droits cette même fonctionnalité s'obtient par un dispositif donnant moins d'ampleur au son en rapprochant les marteaux des cordes ;
la pédale du milieu (optionnelle) est
une sourdine (lanière de feutre mince qui vient se loger entre les quatre-vingt-huit marteaux et les cordes) pour diminuer le son au maximum. Ceci est un accessoire ajouté pour diminuer le son afin de ne pas déranger. Aucun répertoire ne demande cette option ;
un accessoire qui soulève les étouffoirs au-dessus des cordes de basses dans certains pianos droits et petits pianos à queue ;
une pédale tonale ou pédale sostenuto sur les pianos à queue. Elle permet de prolonger uniquement le son des notes déjà jouées au moment de son utilisation, en laissant levé l'étouffoir de celles-ci ;
la pédale de droite (pédale forte) permet de prolonger la vibration des cordes pour lier les harmonies entre elles ;
la quatrième pédale, plus rare que les autres, sert à prolonger les vibrations des cordes mais sans brouiller le son, car les étouffoirs ne se lèvent pas complètement, ce qui est très utile dans certaines pièces classiques.
 
 
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Piano moderne

Publié à 04:53 par dessinsagogo55 Tags : piano piano moderne photo center sur centerblog bonne merci place
Piano moderne

 

Photographie d'un piano moderne George Steck Le clavier

 

Le clavier du piano moderne est composé le plus souvent de 88 touches. Les 54 touches blanches correspondent aux sept notes de la gamme diatonique, et les 36 touches noires aux cinq notes restantes de la gamme chromatique.



Les touches du piano sont généralement faites en épicéa ou en tilleul, bois choisis pour leur légèreté ; sur les pianos de bonne qualité, l'épicéa est généralement préféré. Historiquement, les touches noires étaient recouvertes d'ébène et les touches blanches d'ivoire, la disponibilité de cette dernière matière ayant drastiquement chuté depuis la mise en place de programmes de sauvegarde à destination des éléphants, des matières synthétiques ont dû être créées pour la remplacer. Des facteurs de piano sont même allés jusqu'à proposer des matières plastiques imitant la sensation et/ou l'aspect de l'ivoire aux pianistes désireux de jouer sur un instrument plus authentique ; on notera aussi qu'en guise d'ersatz de l'os ou de l'ivoire fossile sont parfois employés.

 

Certains claviers peuvent atteindre ou dépasser les huit octaves comme par exemple le Bösendorfer Imperial et ses 97 touches, conçu selon une suggestion de Busoni. Ces touches supplémentaires peuvent être cachées sous un petit couvercle afin de ne pas troubler les pianistes habitués à la disposition à 88 touches. Une autre solution proposée pour éviter d'être désorienté est de colorer ces touches supplémentaires de manière inversée. Seul un très petit nombre de pièces utilisent ces notes, essentiellement des transcriptions d'orgue.

 

D'autres pianos, dits d'étude, peuvent quant à eux ne disposer que de 5 ou 6 octaves. L'immense majorité des partitions écrites pour le piano suppose l'utilisation d'un piano à 88 touches, bien que peu de pièces fassent usage de l'intégralité de cet ambitus.

 

Le piano jouet, quant à lui, ne comporte généralement qu'une octave de Do5 à Do6 ou de Do4 à Do5. Certains modèles de la marque Michelsonne possèdent 2 ou 3 octaves.
 
 
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Piano

Publié à 04:49 par dessinsagogo55 Tags : piano sur center article travail mort fille cadre centerblog merci
Piano

 

Créé au début du XVIIIe siècle par l'italien Bartolomeo Cristofori, à Florence, sous l'appellation de piano-forte, le piano naît de l'évolution d'un instrument appelé clavicorde (XVe siècle) et du tympanon (Moyen Âge).


La date de fabrication du premier piano-forte par Bartolomeo Cristofori est incertaine, mais un inventaire réalisé par ses employeurs, la famille Médicis, indique l'existence d'un instrument en 1698. Cristofori n'aura construit en tout qu'une vingtaine de piano-forte avant sa mort en 1731, et seuls trois d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous, datés des années 1720.


Les premiers piano-forte ont particulièrement profité des siècles de travaux et de perfectionnements apportés au clavicorde, notamment par le raffinement des méthodes de construction des structures (en bois à cette époque), ainsi que celles de la conception de la table d'harmonie, du chevalet et du clavier. Cristofori était lui-même un facteur de clavicordes et de clavecins, bien au fait des techniques de fabrication de tels instruments et des connaissances théoriques associées à celles-ci.



La découverte fondamentale de Cristofori est la résolution d'un problème mécanique intrinsèque aux pianos : les marteaux doivent frapper les cordes mais cesser d'être en contact avec elles une fois frappées afin de ne pas étouffer le son ; ils doivent, de plus, retourner à leur position initiale sans rebondir violemment, et cela rapidement pour permettre aux notes d'être répétées à une vitesse satisfaisante.


Les premiers instruments du facteur italien étaient construits avec des cordes fines, et, pour cette raison, beaucoup moins sonores que les clavicordes ou les clavecins de leur temps. En deux siècles on assistera à un renversement complet du concept d'instrument à cordes frappées : faible tension des cordes, corps sonore léger et audition de la table contre forte tension des cordes, corps sonore lourd et audition de la corde. Néanmoins, comparé au clavicorde, le piano forte amélioré permettait des nuances dynamiques et sonnait bien plus fort, avec une tenue de note plus longue.


Ce nouvel instrument restera peu connu jusqu'à ce qu'un écrivain italien, Scipione Maffei, écrive un article enthousiaste à son propos, y incluant un diagramme de ses mécanismes. Cet article fut distribué d'une manière très large, et la plupart des facteurs de piano-forte des générations suivantes mirent les découvertes de Cristofori en pratique après en avoir pris connaissance.


L'un de ces fabricants était Johann Gottfried Silbermann, connu comme facteur d'orgue. Les piano-forte de Silbermann étaient quasiment des copies conformes de ceux de Cristofori, à une exception importante près : ils possédaient l'ancêtre de la pédale forte, qui permet de relever en même temps tous les étouffoirs sur l'ensemble des cordes ; quasiment tous les pianos construits par la suite reprendront cette innovation. Silbermann montra à Bach l'un de ses premiers instruments dans les années 1730, mais ce dernier n'apprécia pas l'instrument, trouvant que les notes aiguës avaient un son trop faible pour permettre des dynamiques véritablement intéressantes. Si ces remarques lui valurent une certaine animosité de la part de Silbermann, il semble qu'elles furent prises en compte ; en effet, en 1747, Bach approuvera une version plus récente et perfectionnée de l'instrument.


La facture du piano-forte connut son essor durant la fin du XVIIIe siècle, avec le travail de l'école viennoise, comptant parmi ses membres Johann Andreas Stein et sa fille Nannette Stein ainsi qu'Anton Walter. Les pianos de style « viennois » étaient fabriqués sans cadre avec seulement un barrage en bois, deux cordes par note, et des marteaux recouverts de cuir. C'est pour des instruments de ce type que sont écrits les concertos et sonates de Mozart. Cet instrument avait un son plus doux et plus clair que celui des pianos modernes, et permettait aussi de tenir les notes plus longtemps.

 

 
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