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Publié à 11:32 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci

 

 
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Idiophone

Publié à 21:10 par dessinsagogo55 Tags : éléments monde center mode soi centerblog musique sommaire

Un idiophone est un instrument dont le matériau lui-mêmeproduit le son lors d'un impact, soit par uninstrument extérieur (comme une baguette), soit par une autre partie de l'instrument lui-même.
Les idiophones (ou autophones) sont probablement plus anciens que les membranophones en raison de la simplicité de leur conception. Cette famille rassemble les instruments qui ne sont ni à corde/s (cordophones), ni à membrane/s (membranophones), ni à vent (aérophones). Les matières végétales, animales ou minérales comme le bois, le bambou, la corne, ou encore le plastique, le verre, le métal, et la pierre... sont utilisées comme telles. Le terme idiophone vient du grec idios qui renvoie à la notion de « soi-même ». Nombre de ces instruments présentent une structure simple et c'est la totalité de l'instrument même (idio-) qui vibre, qui produit le son (phone).
Les idiophones se subdivisent selon leur mode d'« ébranlement ». On distingue principalement sept modes : par frappement (implique un élément frappant et un élément frappé, en général immobile), par raclement, par entrechoc (les deux éléments frappé-frappant sont jumeaux et mobiles, l'un va à la rencontre de l'autre), par pilonnement (en général, élément frappé par plusieurs percuteurs), par secousse, par pincement, par frottement (certains idiophones à entrechoc peuvent momentanément se servir de cette catégorie, de par leurs mode de jeu : c'est le cas des cymbales qui peuvent tout autant être entrechoquées que frottées).
Les idiophones forment certainement la famille instrumentale la plus représentée et la plus jouée dans le monde.

 

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Sono : Gif

Publié à 22:19 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur musique sommaire

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Maxi 45 tours

Publié à 05:01 par dessinsagogo55 Tags : rock danse center centerblog sommaire sur france musique nuit

 

 

 

 

Disques microsillons (vinyle) Le Maxi 45 Tours (aussi appelé Maxi 45 ou même tout simplement Maxi ou encore Super 45 tours) est un format de disque microsillon (ou disque vinyle) très apprécié des disc-jockeys et des collectionneurs. Sa principale particularité est d'avoir environ un titre ou deux par face (comme les petits 45 tours, mais dans un format 30 centimètres (12 inch en anglais). Il contient généralement deux ou trois remixes, éventuellement accompagnés d'une ou deux chanson(s) inédite(s) (aussi appelée(s) "face B"). Depuis la fin des années 1980, pour les artistes de variété internationale, le contenu des Maxi-45 Tours paraît simultanément presque toujours en format CD maxi-single, notamment au Royaume-Uni et en Allemagne.
Le terme « super 45 tours » correspond au « 12-inch single » anglais, qui a également désigné des disques 33 tours.
Le maxi 45 tours, disque de 30 cm (12 pouces) de diamètre est né avec l'avènement de la musique disco dans les années 1970. Les chansons devenant plus longues que les chansons pop moyennes et que les DJ de boîte de nuit voulaient un bon niveau sonore, le format 45 tours de 17 cm (7 pouces) devait être changé. Puisque les coûts de production pour les disques de 17 cm (7 pouces), 25 cm (10 pouces), et 30 cm (12 pouces) étaient équivalents à l'époque, il n'y avait aucune raison pour utiliser les formats plus petits.
Le premier maxi 45-tours, en réalité d'un format de 25 cm, fut créé par hasard : Tom Moulton, célèbre DJ remixeur, avait besoin, un vendredi, d'un pressage test d'un morceau qu'il voulait essayer le soir même dans son club. Comme l'ingénieur du son, Jose Rodriquez, n'avait plus de support de 17 cm, il suggéra d'utiliser un support de 25 cm, en espaçant plus les sillons. Tom Moulton constata l'amélioration du niveau dynamique des basses, et généralisa le principe.
Les producteurs de disques ont cherché un niveau sonore d'enregistrement élevé pour compenser le pauvre rapport signal sur bruit, apparent en montant simplement le volume avec des 45 tours de 17 cm. Un niveau sonore d'enregistrement élevé exige plus d'espace vu que les sillons deviennent plus larges (surtout dans les basses, importantes pour la musique de danse). Beaucoup de compagnies de disque ont commencé à produire des disques de 30 cm (12 pouces) tournant à 33 1/3 tr/min, une vitesse plus lente améliorant les basses. Cependant, les disques tournant à 45 tr/min donnent une meilleure réponse dans les aigus et ont été utilisés sur beaucoup de "super singles", surtout au Royaume-Uni.
Au début, ces versions spéciales étaient les copies promotionnelles réservées aux DJs.
En 1976, avec la sortie de Ten Percent par Double Exposure, le nouveau format a été vendu au grand public. Le seul à être sorti en 30 cm mais pas en 17 cm en Angleterre est Blue Monday de New Order.
Dans les années 1980 de plus en plus d'artistes pop et même rock ont sorti des super 45 tours incluant des versions prolongées (extended, pour « étendu ») ou remixées des morceaux diffusés par le 45 tours simple. Ces versions étant appelées « Remix », « version longue », ou, selon la terminologie anglo-saxonne « 12-inch version », « 12-inch mix », « extended remix », « dance mix » ou « club mix ». Par la suite, les maxi comprenant plus d'un remix, chacun était nommé d'après le nom du remixeur, ou selon un nom propre.
Plus tard, des styles musicaux ont tiré avantage de ce nouveau format et les niveaux sonores sur vinyle 30 cm ont régulièrement augmenté, pour culminer dans les percutants morceaux de drum and bass des années 1990 et début des années 2000.
Ils font le bonheur des DJ et des collectionneurs (c'est d'ailleurs essentiellement grâce au maxi 45 tours que le vinyle perdure aujourd'hui). On trouve sur les maxis 45 tours ou CD une moyenne de trois ou quatre titres, mais cela peut monter jusqu'à neuf ou dix dans certains cas (comme beaucoup de maxis japonais ou américains).
Aujourd'hui, les maxi 45 tours intéressent :
Les DJ ou mixeurs en herbe, qui trouvent dans les milliers de maxis 45 T. des styles musicaux adaptés (techno, house, trance...). En effet, le maxi est le format privilégié de la musique électronique populaire (techno, house...). Parce qu'ils sont destinés à être mixés par un DJ, ces maxis sont principalement publiés sur support vinyle.
Les collectionneurs et les fans de groupes et artistes, qui considèrent les maxis des objets rares (beaucoup plus rares que les albums et singles car peu diffusés en France). Les Maxis contiennent en effet des titres rares, inédits, lives, remixés, et surtout des versions longues.
Dans les années 1980 de nombreux labels produisaient surtout des maxi 45 tours (en plus des albums), comme Factory Records qui n'a produit qu'une poignée de 45 tours 17 cm. Un des artistes de Factory Records, New Order, a obtenu la meilleure vente de maxi 45 tours au Royaume-Uni, avec plus d'un million de copies de Blue Monday vendues (certaines sources indiquent 3 millions), cela a été aidé par le fait que Factory Records n'a pas produit de version 17 cm. Pour comparaison, Blue Monday a été 76e meilleure vente de 45 tours de tous les temps au Royaume-Uni en 2002.

 

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Baladeur numérique MP3


Un baladeur numérique est un appareil portable de petite taille permettant de restituer des sons, des vidéos et des images stockés sous forme numérique. L'iPod d'Apple est un des baladeurs numériques les plus connus.
Les baladeurs audio numériques peuvent stocker et restituer uniquement des sons et de la musique. Ils sont communément appelés baladeurs MP3 ou même simplement MP3, en référence au premier format de fichiers audionumériques connu du grand public, le MP3. Plus rarement, ils peuvent aussi être appelés Jukebox MP3. Le MP3 est le format le plus répandu, lu par tous les baladeurs, mais il est loin d'être le plus efficace pour compresser les fichiers tout en gardant une bonne qualité d'écoute. Certains baladeurs permettent de lire les fichiers à des formats plus optimisés : le format AAC est recommandé pour l'iPod, d'autres baladeurs proposant la lecture du WMA et/ou des fichiers OGG.
Outre la lecture de fichiers sonores, les baladeurs audio numériques peuvent servir à écouter des émissions de radio (par exemple sous forme de podcasts), des livres audio et toute sorte de contenu audio numérisé, comme des exposés scientifiques ou des cours. Plusieurs contenus audio peuvent être téléchargés gratuitement sur Internet.
Les baladeurs numériques plus évolués peuvent reproduire, en plus de l'audio, d'autres types de contenus numérisés, comme les vidéos et les photos. On les désigne généralement sous le nom de baladeurs multimédias (ou PMP, Portable Multimedia Player en anglais) ou parfois encore de baladeurs MP4.
Certains baladeurs numériques disposent de fonctions annexes comme l'enregistrement audio (pour une utilisation comme dictaphone par exemple) ou le tuner FM (pour écouter la radio).
Les baladeurs munis de mémoire flash ou d'un disque dur peuvent se comporter comme des clés USB et servir de mémoire de masse (voir les autres types de mémoires de masse dans le tableau ci-contre). Il est alors possible d'utiliser un baladeur numérique comme unité de sauvegarde et pour transporter des fichiers d'un ordinateur à un autre.
Le baladeur Creative muvo avec 512 Mo de mémoire flash et radio FMLes principaux composants d'un baladeur sont :
Une unité de stockage destinée à sauvegarder les fichiers. Elle est constituée de composants de mémoire flash, d'un disque dur ou parfois d'un CD-ROM. Les baladeurs à mémoire flash sont plus compacts que les baladeurs à disque dur et ont généralement une plus faible capacité de stockage (habituellement entre 128 Mo et 32 Go, soit environ 30 à 8000 chansons). Les lecteurs à disque dur comptent entre 4 et 320 Go de mémoire. Ils sont généralement moins cher que ceux à mémoire flash à capacité égale mais ils consomment plus d'énergie, ce qui réduit l'autonomie de l'appareil, et leur temps d'accès aux données est plus long.
Un processeur spécialisé dans la conversion numérique-analogique associé à un amplificateur audio.
Un compartiment pour les piles électriques ou une batterie pour permettre un fonctionnement autonome.
Une interface de communication avec un ordinateur (connecteur USB ou FireWire, liaison Bluetooth ou Wi-Fi, etc.).
Des boutons de commande et généralement un écran de contrôle. Sur les baladeurs multimédia, l'écran est plus grand pour permettre la visualisation des vidéos et des images.
Une prise audio pour des écouteurs.
Pour certains, un petit microphone pour enregistrer des sons.
Le stockage musical numérique grand public apparaît en 1982, quand Philips et Sony commercialisent le disque compact (CD) et se partagent les royalties. Mais le mariage des deux géants est de courte durée, car au milieu des années 90, chacun veut imposer un nouveau support, qui est cette fois-ci enregistrable. Après l'échec de la cassette DAT de Sony, Philips tente de lancer le DCC, une autre cassette à bande avec son numérique (les cassettes traditionnelles sont analogiques). Dans le même temps, Sony essaye d'imposer un nouveau support : le MiniDisc. Ce simple petit disque magnéto-optique, enfermé dans un boîtier de protection, est encore commercialisé aujourd'hui alors que Philips a arrêté la commercialisation du DCC depuis quelques années.
Pour faire tenir autant de musique sur un MiniDisc que sur un CD classique, Sony a dû compresser le son, c'est-à-dire éliminer tout ce que l'oreille humaine ne peut entendre. Au final, on obtient un résultat très proche de la musique originale. Vendus chers, les lecteurs MiniDisc restent longtemps réservés à une « élite ». En outre, les albums à ce format disparaissent très vite des étalages. Mais le coup le plus dur contre ce support de Sony est l'arrivée du MP3. Ce format audio issu de l'informatique, qui, comme le format ATRAC du MiniDisc, compresse le son, permet à des millions d'internautes d'échanger de la musique par Internet, grâce à la taille des fichiers très réduite.
Le premier baladeur à tirer parti de la technologie MP3 est commercialisé sous le nom de Mpman en Asie et sous la marque Eiger Labs aux États-Unis, en 1998. Cependant, la même année, le constructeur de matériel informatique Diamond marque les esprits avec la sortie de son Rio PMP 300. Ce modèle comporte seulement 32 Mo de mémoire, soit environ 30 minutes de musique. Toutefois, un connecteur permet l'ajout de 16 Mo (1/4 d'heure de musique) au moyen d'une carte flash de même type que celles des appareils photo numériques. Concurrencé par le MiniDisc, et bien que proposé à un prix inférieur, de l'ordre de 150 à 230 € (1000 à 1500 FF à l'époque), il ne réussit pas à percer auprès du grand public. Très vite, de multiples marques copient ce concept et lancent d'autres lecteurs MP3 à mémoire flash. Le principal frein à leur succès est le coût des cartes mémoire, parfois aussi élevé que celui des baladeurs. Il existe cependant encore de nombreux modèles de lecteurs de ce type, pouvant embarquer plusieurs gigaoctets de musique.
Baladeur à disque dur ArchosEn 1999, une société californienne, Remote Solutions, annonce, dans l'indifférence générale, la sortie du premier baladeur à disque dur. Elle est très vite concurrencée par deux autres sociétés : Creative et Archos. Les juke-box de Creative ont des dimensions comparables aux lecteurs CD portables tandis que les Archos se rapprochent du gabarit des lecteurs à cassette. Ces lecteurs MP3, précurseurs, connaissent leur petit succès, essentiellement auprès de la communauté informatique. Malgré les tentatives de Thomson (RCA, aux USA) et de Philips, il faut, pour populariser le concept du baladeur à disque dur, attendre la venue d'un autre acteur de poids : Apple. La marque américaine lance l'iPod en 2001. Son design, sa simplicité et la notoriété de son fabricant ont beaucoup aidé au succès de ce baladeur ultra plat. Les premiers modèles embarquent 5 et 10 Go de musique, soit 83 à 170 heures !
Parallèlement, le lecteur CD portable connaît une de ses plus importantes évolutions, avec l'apparition de baladeurs pouvant décoder les CD gravés (CD-R et CD-RW) et remplis de fichiers MP3. Philips est l'une des toutes premières grandes marques à sortir un baladeur CD-MP3, mais des marques asiatiques inconnues du grand public, comme NAPA, sont les premières à lancer leurs propres modèles. Les lecteurs de CD étant encombrants, certaines marques essayent aussi d'imposer des lecteurs-graveurs de mini-CD, de diamètre deux fois inférieur à celui d'un CD classique.
D'un autre côté, l'industrie informatique cherche désespérément à remplacer la bonne vieille disquette de 1,44 Mo. Des sociétés comme Syquest ou Iomega connaissent un court succès, auprès des professionnels, avant d'abandonner, le grand public refusant de payer aussi cher pour des disquettes de 100 Mo ou plus. La clef USB met tout le monde d'accord. Pratique, facile, universelle, elle permet de sauvegarder et d'échanger plusieurs dizaines, centaines voire milliers de Mo de données... et donc plusieurs dizaines/centaines de minutes de musique ! Très vite les constructeurs font évoluer la clef USB en y ajoutant une prise casque et des touches de navigation... pour en faire un baladeur MP3 ultra-compact. Les clefs USB connaissent diverses déclinaisons, certaines n'intégrant pas la prise USB et nécessitant un câble pour les relier à l'ordinateur. Apple investit le marché avec le Shuffle, un baladeur sans écran, dont la version actuelle intègre un clip pour l'attacher aux vêtements.
Dans cette période, le téléphone mobile est doté d'une qualité de son et de suffisamment de mémoire pour devenir un nouveau type de baladeur. Son utilisateur, accédant à l'Internet via le même équipement, peut y charger en tout lieu un vaste choix d'écoute.
Si tous les baladeurs servent à écouter de la musique numérisée, et éventuellement à restituer des images ou des vidéos, les systèmes de protection et de gestion des droits (ou DRM) compliquent leur usage.
Des mesures techniques empêchent en effet les utilisateurs d'iPod de profiter de la musique protégée achetée sur d'autres services que iTunes Store, et les utilisateurs de baladeurs numériques autres que ceux d'Apple ne peuvent pas se procurer de titres sur iTunes Store.
En outre, le nombre de copies des œuvres téléchargées est limité

 

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Bal

Le bal est une assemblée de personnes réunies pour danser.
À toute époque il y eut des bals. Ils sont attestés dès le Moyen Âge et leur vogue s'amplifie à la Renaissance. Pratiqués essentiellement à la cour jusqu'à la fin du XVIIe siècle, les bals deviennent « publics » à Paris en 1715, grâce au Régent.

Le 31 décembre, il prend une ordonnance qui autorise les bals publics à l'Opéra durant la période du carnaval, à raison de trois bals par semaine. Cahusac raconte que les directeurs de l'Opéra « firent faire une machine avec laquelle on élevoit le parterre et l'orchestre au niveau du théâtre scène. La salle fut ornée de lustres, d'un cabinet de glaces dans le fond, de deux orchestres aux deux bouts, et d'un buffet de raffraîchissemens dans le milieu ».
L'année suivante, en 1716, la Comédie-Française obtient la même autorisation, provoquant une forte concurrence entre les deux maisons, qui durera jusqu'en 1721.
Les jours de bal, la salle de spectacle est transformée : grâce à un cabestan, un plancher est hissé au niveau de la scène, recouvrant le parterre, pour livrer la totalité de la superficie du théâtre (à l'exception des loges) à la danse. On place parfois de grands miroirs le long de la piste de danse pour la faire paraître plus grande.
« Les bals de l'Opéra jouissent cette année d'une vogue extraordinaire. Jamais ces fêtes de nuit n'avaient été fréquentées par une société plus nombreuse et plus brillante. Le quadrille français avec costumes des quatre Nations est une des innovations chorégraphiques les plus heureuses qu'on ait trouvé depuis longtemps. Il a été exécuté aux derniers bals avec un ensemble, une précision et un entraînement qui font le plus grand honneur à l'orchestre de Jullien et à Jullien lui-même ».

Bal
Le Bal paré, gravure d'Augustin de Saint-Aubin (1773).

Baladeur numérique MP3. Un baladeur numérique est un appareil portable de petite taille permettant de restituer des sons, des vidéos et des images stockés sous forme numérique. L'iPod d'Apple est un des baladeurs numériques les plus connus.
Les baladeurs audio numériques peuvent stocker et restituer uniquement des sons et de la musique. Ils sont communément appelés baladeurs MP3 ou même simplement MP3, en référence au premier format de fichiers audionumériques connu du grand public, le MP3. Plus rarement, ils peuvent aussi être appelés Jukebox MP3. Le MP3 est le format le plus répandu, lu par tous les baladeurs, mais il est loin d'être le plus efficace pour compresser les fichiers tout en gardant une bonne qualité d'écoute. Certains baladeurs permettent de lire les fichiers à des formats plus optimisés : le format AAC est recommandé pour l'iPod, d'autres baladeurs proposant la lecture du WMA et/ou des fichiers OGG.
Outre la lecture de fichiers sonores, les baladeurs audio numériques peuvent servir à écouter des émissions de radio (par exemple sous forme de podcasts), des livres audio et toute sorte de contenu audio numérisé, comme des exposés scientifiques ou des cours. Plusieurs contenus audio peuvent être téléchargés gratuitement sur Internet.
Les baladeurs numériques plus évolués peuvent reproduire, en plus de l'audio, d'autres types de contenus numérisés, comme les vidéos et les photos. On les désigne généralement sous le nom de baladeurs multimédias (ou PMP, Portable Multimedia Player en anglais) ou parfois encore de baladeurs MP4.
Certains baladeurs numériques disposent de fonctions annexes comme l'enregistrement audio (pour une utilisation comme dictaphone par exemple) ou le tuner FM (pour écouter la radio).
Les baladeurs munis de mémoire flash ou d'un disque dur peuvent se comporter comme des clés USB et servir de mémoire de masse (voir les autres types de mémoires de masse dans le tableau ci-contre). Il est alors possible d'utiliser un baladeur numérique comme unité de sauvegarde et pour transporter des fichiers d'un ordinateur à un autre.
Le baladeur Creative muvo avec 512 Mo de mémoire flash et radio FMLes principaux composants d'un baladeur sont :
Une unité de stockage destinée à sauvegarder les fichiers. Elle est constituée de composants de mémoire flash, d'un disque dur ou parfois d'un CD-ROM. Les baladeurs à mémoire flash sont plus compacts que les baladeurs à disque dur et ont généralement une plus faible capacité de stockage (habituellement entre 128 Mo et 32 Go, soit environ 30 à 8000 chansons). Les lecteurs à disque dur comptent entre 4 et 320 Go de mémoire. Ils sont généralement moins cher que ceux à mémoire flash à capacité égale mais ils consomment plus d'énergie, ce qui réduit l'autonomie de l'appareil, et leur temps d'accès aux données est plus long.
Un processeur spécialisé dans la conversion numérique-analogique associé à un amplificateur audio.
Un compartiment pour les piles électriques ou une batterie pour permettre un fonctionnement autonome.
Une interface de communication avec un ordinateur (connecteur USB ou FireWire, liaison Bluetooth ou Wi-Fi, etc.).
Des boutons de commande et généralement un écran de contrôle. Sur les baladeurs multimédia, l'écran est plus grand pour permettre la visualisation des vidéos et des images.
Une prise audio pour des écouteurs.
Pour certains, un petit microphone pour enregistrer des sons.
Le stockage musical numérique grand public apparaît en 1982, quand Philips et Sony commercialisent le disque compact (CD) et se partagent les royalties. Mais le mariage des deux géants est de courte durée, car au milieu des années 90, chacun veut imposer un nouveau support, qui est cette fois-ci enregistrable. Après l'échec de la cassette DAT de Sony, Philips tente de lancer le DCC, une autre cassette à bande avec son numérique (les cassettes traditionnelles sont analogiques). Dans le même temps, Sony essaye d'imposer un nouveau support : le MiniDisc. Ce simple petit disque magnéto-optique, enfermé dans un boîtier de protection, est encore commercialisé aujourd'hui alors que Philips a arrêté la commercialisation du DCC depuis quelques années.
Pour faire tenir autant de musique sur un MiniDisc que sur un CD classique, Sony a dû compresser le son, c'est-à-dire éliminer tout ce que l'oreille humaine ne peut entendre. Au final, on obtient un résultat très proche de la musique originale. Vendus chers, les lecteurs MiniDisc restent longtemps réservés à une « élite ». En outre, les albums à ce format disparaissent très vite des étalages. Mais le coup le plus dur contre ce support de Sony est l'arrivée du MP3. Ce format audio issu de l'informatique, qui, comme le format ATRAC du MiniDisc, compresse le son, permet à des millions d'internautes d'échanger de la musique par Internet, grâce à la taille des fichiers très réduite.
Le premier baladeur à tirer parti de la technologie MP3 est commercialisé sous le nom de Mpman en Asie et sous la marque Eiger Labs aux États-Unis, en 1998. Cependant, la même année, le constructeur de matériel informatique Diamond marque les esprits avec la sortie de son Rio PMP 300. Ce modèle comporte seulement 32 Mo de mémoire, soit environ 30 minutes de musique. Toutefois, un connecteur permet l'ajout de 16 Mo (1/4 d'heure de musique) au moyen d'une carte flash de même type que celles des appareils photo numériques. Concurrencé par le MiniDisc, et bien que proposé à un prix inférieur, de l'ordre de 150 à 230 € (1000 à 1500 FF à l'époque), il ne réussit pas à percer auprès du grand public. Très vite, de multiples marques copient ce concept et lancent d'autres lecteurs MP3 à mémoire flash. Le principal frein à leur succès est le coût des cartes mémoire, parfois aussi élevé que celui des baladeurs. Il existe cependant encore de nombreux modèles de lecteurs de ce type, pouvant embarquer plusieurs gigaoctets de musique.
Baladeur à disque dur ArchosEn 1999, une société californienne, Remote Solutions, annonce, dans l'indifférence générale, la sortie du premier baladeur à disque dur. Elle est très vite concurrencée par deux autres sociétés : Creative et Archos. Les juke-box de Creative ont des dimensions comparables aux lecteurs CD portables tandis que les Archos se rapprochent du gabarit des lecteurs à cassette. Ces lecteurs MP3, précurseurs, connaissent leur petit succès, essentiellement auprès de la communauté informatique. Malgré les tentatives de Thomson (RCA, aux USA) et de Philips, il faut, pour populariser le concept du baladeur à disque dur, attendre la venue d'un autre acteur de poids : Apple. La marque américaine lance l'iPod en 2001. Son design, sa simplicité et la notoriété de son fabricant ont beaucoup aidé au succès de ce baladeur ultra plat. Les premiers modèles embarquent 5 et 10 Go de musique, soit 83 à 170 heures !
Parallèlement, le lecteur CD portable connaît une de ses plus importantes évolutions, avec l'apparition de baladeurs pouvant décoder les CD gravés (CD-R et CD-RW) et remplis de fichiers MP3. Philips est l'une des toutes premières grandes marques à sortir un baladeur CD-MP3, mais des marques asiatiques inconnues du grand public, comme NAPA, sont les premières à lancer leurs propres modèles. Les lecteurs de CD étant encombrants, certaines marques essayent aussi d'imposer des lecteurs-graveurs de mini-CD, de diamètre deux fois inférieur à celui d'un CD classique.
D'un autre côté, l'industrie informatique cherche désespérément à remplacer la bonne vieille disquette de 1,44 Mo. Des sociétés comme Syquest ou Iomega connaissent un court succès, auprès des professionnels, avant d'abandonner, le grand public refusant de payer aussi cher pour des disquettes de 100 Mo ou plus. La clef USB met tout le monde d'accord. Pratique, facile, universelle, elle permet de sauvegarder et d'échanger plusieurs dizaines, centaines voire milliers de Mo de données... et donc plusieurs dizaines/centaines de minutes de musique ! Très vite les constructeurs font évoluer la clef USB en y ajoutant une prise casque et des touches de navigation... pour en faire un baladeur MP3 ultra-compact. Les clefs USB connaissent diverses déclinaisons, certaines n'intégrant pas la prise USB et nécessitant un câble pour les relier à l'ordinateur. Apple investit le marché avec le Shuffle, un baladeur sans écran, dont la version actuelle intègre un clip pour l'attacher aux vêtements.
Dans cette période, le téléphone mobile est doté d'une qualité de son et de suffisamment de mémoire pour devenir un nouveau type de baladeur. Son utilisateur, accédant à l'Internet via le même équipement, peut y charger en tout lieu un vaste choix d'écoute.
Si tous les baladeurs servent à écouter de la musique numérisée, et éventuellement à restituer des images ou des vidéos, les systèmes de protection et de gestion des droits (ou DRM) compliquent leur usage.
Des mesures techniques empêchent en effet les utilisateurs d'iPod de profiter de la musique protégée achetée sur d'autres services que iTunes Store, et les utilisateurs de baladeurs numériques autres que ceux d'Apple ne peuvent pas se procurer de titres sur iTunes Store.
En outre, le nombre de copies des œuvres téléchargées est limitée

 

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Enceinte

Publié à 07:12 par dessinsagogo55 Tags : photo centerblog sur musique sommaire

 

 

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Sono

Publié à 08:21 par dessinsagogo55 Tags : musique sur centerblog sommaire

deephouseclassics: So pretty

 

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Tourne disque

Publié à 05:24 par dessinsagogo55 Tags : sommaire musique sur centerblog

 

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Publié à 04:37 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur musique sommaire

 

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