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Musique : Dico

Blaupunkt

Publié à 20:39 par dessinsagogo55 Tags : center société voiture travail centerblog sur musique maison sommaire

Blaupunk GmbH est un fabricant allemand d'équipements électroniques , connu pour sa maison et la voiture de matériel audio. C'est une filiale à 100 % de Robert Bosch GmbH jusqu'au 1er mars 2009 (Date de clôture) lorsque sa branche de rechange et accessoires y compris le nom de la marque ont été vendus à Aurelius AG pour un montant non divulgué


Fondée en 1923 à Berlin comme « Idéal », la société changea son nom en « Blaupunkt » en 1938.

Pendant la seconde guerre mondiale , l'entreprise a utilisé du travail les esclaves de Groß-Rosen , camp de concentration.

Après la Seconde Guerre mondiale, Blaupunkt déménage son siège et la production de la ville d'Hildesheim. Aujourd'hui la majorité des produits Blaupunkt est fabriquée à l'étranger, avec des centres de fabrication gros en Tunisie (locuteurs) et en Malaisie (conférenciers et électronique).

Durant les années 1960 et 1970, Blaupunkt est devenu le premier fabricant allemand pour autoradios et de l'équipement audio de voiture

 

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Discomobile



Une discomobile est un ensemble comprenant :

Un exemple de discomobile Du matériel de sonorisation/diffusion, le minimum étant un amplificateur et des enceintes reliés par des câbles speakon ou autres, une table de mixage reliée à l'amplificateur par une connectique RCA, jack ou XLR, deux lecteurs CD et un micro.
Des jeux de lumière (stroboscope, PAR, lasers, lyres, jeux de lumière a leds...), servant à éclairer la piste de danse ainsi que les danseurs avec des faisceaux lumineux de différentes couleurs et formes, qui peuvent être amplifiés par l'usage d'une machine à fumée ou à brouillard.

Cet ensemble est opéré par un ou plusieurs DJ-animateurs dont le rôle est de divertir les personnes présentes en les faisant danser, et/ou en organisant des jeux divers.

Une discomobile, appelée aussi sono, est utilisée pour de multiples occasions :
Mariage
Crémaillère
Anniversaire
Communion
Repas-dansant
Bal de fête foraine
Toutes sortes de manifestations organisées par des associations, comités d'entreprise,... par exemple les discos.

Pour un organisateur, l'avantage de prendre une discomobile est que le coût est moins élevé qu'un orchestre.

 

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Hip hop

Publié à 01:02 par dessinsagogo55 Tags : center musique centerblog sur monde sommaire

Le hip-hop est un mouvement culturel et artistique apparu aux États-Unis à New York, dans le South Bronx au début des années 1970. Originaire des ghettos noirs et latinos de New York, il se répandra rapidement dans l'ensemble du pays puis au monde entier au point de devenir une culture urbaine importante. La culture hip hop connaît plusieurs disciplines : le rap (ou MCing), le DJing, le break dancing (ou b-boying), le graffiti, le beatboxing. Ces disciplines, apparues avant le hip hop, seront intégrées dès la naissance du mouvement. C'est néanmoins par son expression musicale qu'il est le plus connu et, de ce fait, souvent réduit à celle-ci.


Cette expression musicale est elle-même souvent appelée tout entière rap, ce qui est là aussi un raccourci dans la mesure où ce terme ne s'applique qu'à la parole, scandée et saccadée, propre au MCing. La musique hip hop peut en effet revêtir plusieurs formes : ou bien se limiter aux seuls beats du DJ (Disc Jockey), auquel cas le terme de rap ne convient pas. Le terme rap, et encore moins le terme hip hop, ne peut s'appliquer au slam. Le slam n'ayant aucun rapport de près ou de loin avec le hip hop.


Le mot « To hip » vient de « To hep » qui signifie être à l'aise, être cool, libre... Le mot « To hop » , lui, signifie avancer dans l'esprit de compétition. (Hypothèse)
Cependant, parmi les nombreuses suppositions possibles, la plus plausible serait, selon certains, le fait d'évoluer grâce à l'intelligence (hip signifiant en argot américain l'intelligence dans le sens de la débrouillardise et hop étant l'onomatopée du saut, par conséquent l'« intelligence qui bouge »).
Une anecdote à ce sujet est exprimée dans le documentaire Hip-Hop legends : les pionniers du rap américain : l'étymologie du mot hip hop pourrait provenir en fait de la façon de rapper de certains MC lors des Block party. Cela s'entend particulièrement sur un des maxis phares datant de 1979, Rapper's Delight de Sugarhill Gang. En effet, ceci est assez explicite en écoutant plus particulièrement les premières paroles de ce morceau qui ressemblent véritablement aux syllabes « hip hop ».
Une autre origine possible du terme « hip hop » pourrait provenir d'un membre du groupe Grandmaster Flash and the Furious Five, Cowboy, qui aurait utilisé pour la première fois le terme « hip hop » en taquinant un ami qui venait de rejoindre l'armée américaine. En effet, il aurait utilisé une onomatopée constituée des mots « hip / hop / hip / hop » d'une manière saccadée afin d'imiter la cadence rythmée des marches militaires réalisées par les soldats. Bref, tout ceci n'est qu'hypothèses...

 

 

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Film musical : Sélection



Années 1920
1927 : Le Chanteur de jazz (The Jazz Singer) d'Alan Crosland

 

Années 1930
1933 : Chercheuses d'or de 1933 (Gold Diggers of 1933) de Mervyn LeRoy
1933 : 42e Rue (42nd Street) de Lloyd Bacon
1933 : Prologue de Lloyd Bacon
1934 : Joyeux garçons, par Grigori Aleksandrov, premier film musical soviétique
1934 : La Joyeuse Divorcée (The Gay Divorcee) de Mark Sandrich
1934 : La Veuve joyeuse d'Ernst Lubitsch (tourné en deux versions : anglophone The merry widow, et française)
1934 : Le Chant du Danube d'Alfred Hitchcock (Waltzes from Vienna)
1935 : Le Danseur du dessus (Top Hat) de Mark Sandrich
1935 : Gold Diggers of 1935 de Busby Berkeley
1936 : En suivant la flotte (Follow the Fleet) de Mark Sandrich
1936 : Gold Diggers of 1937 de Busby Berkeley
1936 : Sur les ailes de la danse (Swing Time) de George Stevens
1937 : L'Entreprenant Monsieur Petrov (Shall We Dance) de Mark Sandrich
1939 : Le Magicien d'Oz (The Wizard of Oz) de Victor Fleming
1939 : Place au rythme de Busby Berkeley
1939 : Broadway Serenade de Robert Z. Leonard

 

Années 1940
1940 : En avant la musique (Strike Up the Band) de Busby Berkeley
1941 : Débuts à Broadway (Babes on Broadway) de Busby Berkeley
1941 : L'amour vient en dansant (You'll never get rich) de Sidney Lanfield
1941 : La Danseuse des Folies Ziegfeld (Ziegfeld Girl) de Robert Z. Leonard
1941 : Lady Be Good de Norman Z. McLeod
1942 : Ô toi ma charmante (You were never lovelier), film de William A. Seiter
1944 : La Reine de Broadway (Cover girl), film de Charles Vidor
1944 : Le Chant du Missouri (Meet Me in St. Louis) de Vincente Minnelli
1944 : Le Bal des sirènes (Bathing Beauty) de George Sidney
1946 : Ziegfeld Follies de George Sidney
1946 : Carmen de Christian-Jaque
1947 : L'Étoile des étoiles (Down to Earth), film de Alexander Hall
1948 : Parade de printemps (Easter Parade) de Charles Walters
1948 : Le Pirate (The Pirate) de Vincente Minnelli
1949 : Un jour à New York (On the Town) de Stanley Donen et Gene Kelly
1949 : Match d'amour (Take Me Out to the Ball Game) de Busby Berkeley et Stanley Donen

 

Années 1950
1950 : Annie, la reine du cirque (Annie Get Your Gun) de George Sidney
1951 : Mariage royal (Royal Wedding) de Stanley Donen
1951 : Show Boat de George Sidney
1951 : Un Américain à Paris (An American in Paris) de Vincente Minnelli
1952 : La Première Sirène (Million Dollar Mermaid) de Mervyn LeRoy
1952 : Chantons sous la pluie (Singin' in the Rain) de Stanley Donen et Gene Kelly
1953 : Les hommes préfèrent les blondes (Gentlmen prefer blondes) de Howard Hawks
1953 : Tous en scène (The Band Wagon) de Vincente Minnelli
1953 : Donnez-lui une chance (Give a Girl a Break) de Stanley Donen
1954 : Une étoile est née (A star is born) de George Cukor
1954 : Carmen Jones d'après la comédie musicale de Hammerstein, film de Otto Preminger
1954 : Embrasse-moi, chérie (Kiss Me Kate) de George Sidney
1954 : Brigadoon de Vincente Minnelli
1954 : Les Sept Femmes de Barbe-Rousse (Seven Brides for Seven Brothers) de Stanley Donen
1955 : Ma sœur est du tonnerre (My Sister Eileen) de Richard Quine
1955 : Blanches colombes et vilains messieurs (Guys and Dolls) de Joseph L. Mankiewicz
1955 : Beau fixe sur New York (It's Always Fair Weather) de Stanley Donen et Gene Kelly
1956 : Le Roi et moi (film, 1956) (The King and I) de Walter Lang
1957 : Pique-nique en pyjama (The Pajama Game) de Stanley Donen et George Abbott
1957 :Drôle de frimousse (Funny Face) de Stanley Donen
1957 : La Blonde ou la Rousse (Pal Joey) de George Sidney
1957 : Mother India (film indien) de Mehboob Khan
1958 : Gigi de Vincente Minnelli
1958 : South Pacific. Rogers & Hammerstein
1959 : Orfeu Negro de Marcel Camus

 

Années 1960
1961 : West Side Story de Jerome Robbins et Robert Wise
1964 : A Hard Day's Night de Richard Lester avec The Beatles
1964 : Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy
1964 : Mary Poppins de Robert Stevenson (pour les studios Walt Disney)
1964 : My Fair Lady de George Cukor
1965 : La Mélodie du bonheur (The Sound of Music) de Robert Wise
1966 : Sweet Charity de Bob Fosse
1967 : Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy
1967 : Camelot de Joshua Logan
1967 : Le Livre de la Jungle (The Jungle Book) de Wolfgang Reitherman (pour les studios Walt Disney)
1968 : Oliver! de Carol Reed
1968 : Chitty Chitty Bang Bang de Ken Hughes
1969 : Easy Rider de Dennis Hopper



Années 1970
1970 : Peau d'âne de Jacques Demy
1970 : Woodstock de Michael Wadleigh
1971 : IXE-13 de Jacques Godbout
1972 : Cabaret de Bob Fosse
1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne
1973 : Jesus Christ Superstar de Norman Jewison
1973 : Godspell de David Greene
1974 : Phantom of the Paradise de Brian De Palma
1975 : The Rocky Horror Picture Show de Jim Sharman
1975 : Tommy, conçu par le groupe The Who et réalisé par Ken Russell
1976 : Oz de Chris Löfvén
1977 : New York, New York de Martin Scorsese
1977 : La Fièvre du samedi soir (Saturday Night Fever) de John Badham
1978 : Grease de Randal Kleiser
1979 : Hair de Miloš Forman



Années 1980
1980 : The Blues Brothers de John Landis
1980 : Quadrophenia, conçu par le groupe The Who et réalisé par Franck Roddam
1980 : Fame d'Alan Parker
1980 : Xanadu, de Robert Greenwald
1982 : Une chambre en ville de Jacques Demy
1982 : The Wall, conçu par le groupe Pink Floyd et réalisé par Alan Parker
1983 : Staying Alive de Sylvester Stallone
1983 : La Tragédie de Carmen de Peter Brook
1983 : Le Bal d'Ettore Scola
1983 : Carmen ballet de Carlos Saura
1984 : Purple Rain avec le chanteur et musicien Prince
1984 : Carmen de Francesco Rosi
1985 : Parking de Jacques Demy
1986 : Absolute Beginners de Julien Temple
1987 : Dirty Dancing de Emile Ardolino
1988 : Trois places pour le 26 de Jacques Demy
1988 : Moonwalker avec le chanteur et danseur Michael Jackson
1989 : La Petite Sirène (The Little Mermaid) de Ron Clements et John Musker (pour les studios Disney)


Années 1990
1990 : Cry-Baby, de John Waters
1991 : La Belle et la Bête (Beauty and the Beast) de Gary Trousdale et Kirk Wise (pour les studios Walt Disney)
1992 : Aladdin de Ron Clements et John Musker (pour les studios Walt Disney)
1994 : Le Roi lion (The Lion King), de Roger Allers et Rob Minkoff (pour les studios Walt Disney)
1995 : Pocahontas, une légende indienne (Pocahontas) de Mike Gabriel et Eric Goldberg (pour les studios Walt Disney)
1996 : Tout le monde dit I love you (Everyone Says I love You) de Woody Allen
1996 : Evita, d'Alan Parker
1996 : Le Bossu de Notre-Dame (The Hunchback of Notre Dame) de Gary Trousdale et Kirk Wise (pour les studios Walt Disney)
1997 : Hercule (Hercules) de Ron Clements et John Musker (pour les studios Walt Disney)
1997 : On connaît la chanson, d'Alain Resnais
1998 : Jeanne et le Garçon formidable d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau
1998 : Mulan de Tony Bancroft et Barry Cook (pour les studios Walt Disney)
1998 : Still Crazy : De retour pour mettre le feu de Brian Gibson
1999 : South Park, le film de Trey Parker et Matt Stone



Années 2000
2000 : Dancer in the Dark de Lars von Trier
2001 : Moulin Rouge ! de Baz Luhrmann
2001 : Lagaan (Lagaan: Once Upon a Time in India) de Ashutosh Gowariker
2001 : La Famille indienne (Kabhi Khushi Kabhie Gham...) de Karan Johar
2001 : Huit Femmes de François Ozon
2002 : Chicago de Rob Marshall
2002 : Devdas de Sanjay Leela Bhansali
2002 : Filles perdues, cheveux gras de Claude Duty
2003 : Interstella 5555: The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem
2003 : Pas sur la bouche d'Alain Resnais
2004 : Le Fantôme de l'Opéra (The Phantom of the Opera) de Joel Schumacher
2004 : Coup de foudre à Bollywood (Bride & Prejudice) de Gurinder Chadha
2004 : Reefer Madness de Andy Fickman avec Kristen Bell, Christian Campbell
2005 : Les Producteurs de Susan Stroman avec Nathan Lane, Matthew Broderick et Uma Thurman
2005 : Rent (Rent) de Chris Columbus
2006 : High School Musical de Kenny Ortega
2007 : Hairspray de Adam Shankman
2007 : Les Chansons d'amour de Christophe Honoré
2008 : Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street de Tim Burton
2008 : Mamma Mia! de Phyllida Lloyd
2008 : High School Musical 3 : Nos années lycée de Kenny Ortega
2008 : Agathe Cléry d'Étienne Chatiliez
2009 : Nine de Rob Marshall
2010 : Burlesque de Steve Antin avec Cher, Christina Aguilera et Stanley Tucci
 

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VCR ou Video Cassette Recording

Publié à 18:35 par dessinsagogo55 Tags : image photo bande center centerblog sur musique sommaire


Le VCR (ou Video Cassette Recording) est un standard pour l'enregistrement de vidéo sur bande magnétique de 1/2 pouce qui a été mis au point par Philips en 1972. Une version VCR LP (VCR-Long Play) a vu le jour en 1976.

Le système VCR proposait un appareil contenant des caractéristiques aujourd'hui considérées comme classiques : un tuner, pour capter et enregistrer les programmes de télévision tout en regardant la télévision, un modulateur, pour le raccordement à un téléviseur, et une horloge pour l'enregistrement programmé.
Cela conduisit ce système à être diffusé auprès du grand public dès 1974.
La cassette avait l'originalité d'une disposition concentrique des deux bobines, leur donnant une forme carrée très caractéristique. La bande elle-même faisait 1/2" de largeur.


Trois variantes ont existé.
VCR (1972) : version originale, permettant un enregistrement de 60 minutes.
VCR LP ou VCR-Long Play (1976) : version permettant d'atteindre une durée d'enregistrement de 120 à 180 minutes grâce à une vitesse de défilement inférieure et des bandes plus fines, incompatible avec le format VCR.
SV (1980) : le Super Video était une version de Grundig permettant d'atteindre une durée d'enregistrement 5 heures grâce à une vitesse de défilement encore inférieure, incompatible avec les formats VCR et VCR-LP.
Successeur


Philips tenta d'imposer un successeur au format VCR, le V2000.
L'originalité de la cassette du V2000 était d'en faire une cassette retournable, sur le modèle de la cassette audio. La VHS, déjà bien implantée à l'époque, fit de ce format un échec commercial.
 

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Salut les copains (magazine)

Publié à 18:05 par dessinsagogo55 Tags : center artiste rock amis centerblog sur presse photo musique société bonjour extra sommaire

Salut les copains est un magazine pour les jeunes, lancé à l'été 1962 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi comme prolongement écrit de l'émission radiophonique éponyme, diffusée chaque jour sur Europe 1, depuis 1959. Il était centré sur les artistes de musique pop.
La revue a connu d'emblée un succès extraordinaire qui lui a permis à son apogée de dépasser le million d'exemplaires vendus et de donner son unité à la génération yé-yé en mettant régulièrement en avant des artistes fétiches comme Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Chantal Goya, Françoise Hardy, Sheila, Michèle Torr, Claude François, puis Jacques Dutronc et Michel Polnareff.
Le magazine aimait à publier des reportages détaillés sur les faits et gestes, parfois les concerts, des jeunes chanteurs français, plus rarement sur les chanteurs américains et anglais, à l'exception notable des Beatles et des Rolling Stones. Les principaux rédacteurs étaient Éric Vincent, Raymond Mouly, Guy Abitan, Régis Pagniez, Michel Taittinger... Les photographies étaient le plus souvent confiées à Jean-Marie Périer et à Tony Frank.
La plus ambitieuse tenta de regrouper sur une photo en double page, dite Photo du siècle, toutes les idoles de l'époque, véritable exploit en termes d'organisation.
Deux initiatives à relever : la publication chaque mois d'un poster de l'artiste en couverture et celle des paroles des chansons du moment (en français).
Salut les copains s'est inspiré au départ de Disco Revue, lancé en septembre 1961, sans cependant adopter son exigence "puriste" vis-à-vis du rock 'n' roll des pionniers. Il a préféré d'emblée afficher son intérêt pour les chanteurs les plus commerciaux, talentueux ou pas.
Son succès commercial a suscité le lancement de nouveaux concurrents : Age Tendre, Bonjour les amis, Best, Formidable (RTL), Extra et Nous les garçons et les filles... Le titre est revendu à la société Edi-Presse. Il existe alors sous le titre Salut, avec une formule différente.
Le titre arrête définitivement sa parution en avril 2006.

 

Salut les copains (émission)

Salut les copains (magazine)

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Salut les copains (émission)


Salut les copains était une émission de variétés (pop music), lancée le 19 octobre 1959 sur Europe 1 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi (inventée par Jean Frydman), qui était diffusée du lundi au vendredi entre 17 h et 19 h. Un sondage indique que 40% des 12-15 ans écoutaient cette émission.
L'émission gagna un vaste public, en partie par sa conception très structurée qui lui assura une audience plus fidèle que si elle n'avait été qu'une simple succession de chansons dans le désordre.
La pub était assurée par Vonny qui, par la suite, a été chargée de courts billets dans l'émission.
On a pris conscience de l'importance de ce public lors de la Nuit Salut les Copains, place de la Nation à Paris (22 juin 1963), premier spectacle gratuit avec la participation de tous les artistes de l'émission.
Lucien Morisse, le chanteur Carlos, Hubert Wayaffe dit HUBERT ont présenté cette émission.
Une partie du succès de l'émission, et de sa perception comme telle, venait du fait qu'on ne se contentait pas d'y passer simplement des disques à la suite comme sur les autres stations. Elle possédait une structure, un rituel qui finissait par devenir presque addictif chez les fans :
Diffusé en début et en fin d'émission, ainsi qu'à la reprise après la grande pause pub de milieu d'émission, il était assuré de 15 passages aux heures de plus grande écoute la semaine où il était choisi. Le passage en chouchou n'était toutefois pas une garantie de montée du disque au hit-parade. Ainsi, après l'énorme succès de Yeh yeh par Georgie Fame, sa chanson suivante Getaway fut programmée en chouchou, mais sans pour autant devenir un "tube" comparable.
Coup de projecteur sur un groupe ou un artiste dont on passait trois chansons successivement. Cette rubrique aida rapidement le public à se familiariser avec le "son" d'artistes moins connus, et ainsi à les apprécier.
Il arrivait dans certains cas (par exemple les Nashville Teens) que les artistes en question fussent présents sur le plateau et interviewés par Daniel.
Une même chanson exécutée dans trois versions, et parfois dans deux langues, différentes. Les reprises de "standards" du rock ainsi que les nombreuses traductions françaises de succès anglo-américains permettaient de fournir régulièrement cette rubrique. Exemple typique : trois versions de "Mercy" (la version blues originale, et deux contemporaines dont celle des Rolling Stones).
Le premier générique (le terme alors en vigueur étant "indicatif") de SLC a été "Rat Race", de Count Basie. Daniel Filipacchi était déjà le co-animateur d'une autre émission culte d'Europe no 1, "Pour ceux qui aiment le jazz". D'où le choix de ce morceau.
Le générique qui a marqué le plus les auditeurs de l'émission a été sans doute "Last night", instrumental des Mar-Keys. Les Mar-Keys étaient le premier groupe à développer le "Memphis Sound", le son des studios Stax de Memphis (Tennessee).
Une version plus "française" du riff des Mar-Keys est devenue l'indicatif de SLC en 1962 : "SLC twist" d'Eddie Vartan. Les breaks du début étaient conçus pour accueillir les voix de Petula Clark, Johnny Hallyday et Sylvie Vartan.
Les modes se succédant en France, l'indicatif suivait alors : après "SLC Twist", Les Gamblers (groupe de Claude François) a créé " SLC Surf"...
A suivi une période floue pendant laquelle l'indicatif a été joué par Bill Doggett ("Hold It"), Lonnie Mack ("Memphis"), avant 1966, date de l'arrivée à l'antenne des jingles packages historiques de SLC, composés par Michel Colombier. À partir de cette période, l'indicatif de SLC reprend le thème "SLC Salut Les Copains" développé en version longue.
Jingles
"Daniel, boîte postale 150, Paris 8e" (chanté) 
"C'est chouchouuuu !" (parlé)
Discographie
Coffret Salut les copains, 50e anniversaire, Les cent tubes de Salut les copains, 4 CD, Europe 1/Universal Music/éd. Montparnasse,sortie prévue le 3 novembre 2009. 
Box collector Salut les copains, 50e anniversaire, répliques en CD de vingt 45 tours mythiques, livret, poster de la photo emblématique réalisée par Jean-Marie Périer, Europe 1/Universal Music/éd. Montparnasse, sortie prévue le 30 novembre 2009.
Vidéographie
Coffret Salut les copains, 50e anniversaire, 3 DVDs, Europe 1/INA/éd. Montparnasse, sortie prévue le 3 novembre 2009. 
Jingles de l'émission, 120 chansons des idoles des années 60, interviews et actualités d'époque.

 

Salut les copains (émission)

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Remastering

Publié à 17:14 par dessinsagogo55 Tags : bande sur prix musique center place pouvoir travail cadre film centerblog sommaire

 

est une technique de post-production utilisée dans les industries musicales et cinématographiques. L'objectif est d'améliorer la qualité d'enregistrements sonores ou audio-visuels vieillissants. Comme son nom l'indique, cette étape consiste à effectuer un nouveau mastering de l'enregistrement en question en partant des supports disponibles lors de la production de l'œuvre en vue de sa mise sur le marché. Plus anecdotiquement, un remaster peut aussi être l'occasion de rajouter des pistes supplémentaires à un morceau. On peut, dans ce cas, utiliser le terme remix, qui, bien que plus approprié techniquement que remaster, est principalement utilisé en musique électronique pour désigner un morceau modifié de façon substantielle, parfois jusqu'à en devenir méconnaissable.
Avec l'apparition du CD audio au début des années 1980 pour le grand public, (la technologie, développée par plusieurs entreprises dont principalement Philips, datant en fait de 1979) il est apparu nécessaire de proposer un catalogue d'albums important, susceptible de pousser les consommateurs à évoluer vers ce nouveau média.
Le principal argument de vente de ce type de support était à l'époque sa qualité sonore incomparable. Lors de la sortie du CD audio en 1982, les deux autres supports disponibles sur le marché de la musique enregistrée étaient la cassette audio et le disque microsillon, tous deux lus par des dispositifs analogiques. Pour sa part, le CD audio lit de la musique encodée sous forme de données numériques, donc sans perte de qualité dans le temps, à moins bien sûr que l'intégrité physique du support ne soit elle-même compromise.
Peu de studios disposant alors de l'équipement numérique nécessaire à la production de CD en tout numérique, de l'enregistrement à la gravure, les labels se sont tournés vers leur important catalogue d'œuvres tombées dans le domaine public, composé quasi-exclusivement de musique classique. Il était ainsi possible d'éviter les frais engendrés par la réalisation de nouveaux enregistrements en numériques, ces derniers étant de facto réservés à la production d'artistes contemporains. Ces enregistrements de classique, pléthoriques au début des années 1980, ont donc fait partie des tout premiers remasters disponibles dans le commerce.
Le remastering au cinéma et à la télévision
C'est principalement le lancement du support DVD qui a été le vecteur de la généralisation du remastering des œuvres cinématographiques et des émissions de télévision enregistrées à l'époque de l'analogique. Cependant, le prix extrêmement élevé de la restauration d'un film sur support pellicule a fait primer, dans ce domaine, la qualité sur la quantité. La restauration des bandes vidéo des émissions de télévision, quant à elle moins onéreuse, explique la présence sur le marché de très nombreuses séries télévisées enregistrées ces trente dernières années et remasterisées récemment.
Techniques employées en post-production
Le remastering consiste à réemployer des enregistrements effectués par le passé, et à améliorer leur qualité par l'emploi de technologies de post-production numériques. Pour ce faire, il faut disposer du master, autrement dit des supports employés en studio lors de l'enregistrement pour un morceau de musique, ou de la pellicule originale pour un film.
Pour les œuvres musicales, le master repart en studio de post-production. Si possible, les pistes sont séparées puis numérisées indépendamment avant d'être mixées à nouveau. S'il s'agit d'un enregistrement dont les bandes studio sont perdues, on se contentera des pistes gauche et droite pour un enregistrement en stéréophonie, ou de la piste monophonique pour les enregistrements les plus anciens.
Les améliorations les plus courantes avant gravure sur support numérique sont :
la suppression du souffle, très présent sur les bandes analogiques vieillissantes et sur les disques microsillon ; 
l'amélioration de la dynamique et du rapport signal/bruit, afin de pouvoir augmenter le volume de l'enregistrement sans souffrir des effets de distorsion ; 
l'application d'une nouvelle égalisation, utilisée pour mettre en valeur certaines fréquences, donc certains instruments peu audibles, ou encore pour rendre un son plus harmonieux, « chaud » ou « rond ». 
Une fois les améliorations apportées, les nouvelles pistes numériques obtenues sont resynchronisées et gravées sur un CD dit gold[2], qui sera utilisé par l'industriel chargé de la gravure en série de l'œuvre musicale.
Dans l'industrie cinématographique et en télévision [modifier]
Dans le cas du cinéma et des enregistrements télévisuels, on séparera tout d'abord les pistes audio et les images (pellicule ou bande magnétique) afin de les traiter séparément. La partie audio profitera du même genre d'améliorations que celles appliquées aux autres types d'enregistrements sonores (voir ci-dessus). Pour la partie images, on utilise des stations de travail particulièrement puissantes et généralement réservées à un tel usage. Selon l'ancienneté de l'enregistrement, les améliorations et modifications diffèrent. Elles consistent principalement à :
effacer les rayures physiquement présentes sur une pellicule ; 
raviver les couleurs, délavées par de trop nombreuses expositions à l'intense lumière du projecteur ; 
améliorer le contraste ; 
ajouter des scènes coupées lors du montage, ou tournées a posteriori, comme dans le cas de la trilogie originale de la Guerre des Étoiles de George Lucas. 
Lors du lancement du CD audio, en 1982, un système distinctif simple a été mis en place, permettant de reconnaître les différentes technologies utilisées lors de l'enregistrement, du mixage et du mastering du CD. Composé de trois lettres apposées dans un cadre rectangulaire sur le livret et/ou le disque lui-même, ce système fonctionne comme suit :
AAA : enregistrement, mixage et mastering réalisés sur matériels analogiques, le type de CD audio le plus courant sur le marché à la sortie de ce support ; 
AAD : enregistrement et mixage réalisés sur matériels analogiques, mastering numérique ; 
ADD : enregistrement sur matériel analogique, mixage et mastering numériques ; 
DDD : enregistrement, mixage et mastering réalisés sur matériels numériques. 
 

 

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Radio

L'histoire de la radio accompagne l'histoire de la fin du XIXe siècle et celle du XXe siècle, grâce à une suite de découvertes et d'inventions qui en se complétant, ont abouti aux télécommunications modernes.
Samuel MorseL'invention de la radio est une œuvre collective, qui part de la découverte des ondes électromagnétiques, de l'invention du télégraphe, et aboutit aux premiers matériels utilisables pour communiquer sans fil :
1840 : Samuel Morse invente le télégraphe, son assistant Ernest Vail invente le code dit Morse.
1866 : Mahlon Loomis revendique la première transmission sans fil en Virginie
1883 : Thomas Edison invente le tube à vide à deux électrodes ou diode, sans cependant en percevoir les bénéfices ou les usages notamment le redressement du courant alternatif. Edison était d'ailleurs beaucoup plus intéressé aux utilisations du courant continu dans l'éclairage.
1886-1888 : Heinrich Rudolf Hertz met en évidence les ondes radio par le biais de l'expérience de Hertz. Elles seront appelées « ondes hertziennes » en son honneur.
1889 : Tesla réalise un générateur hautes fréquences (15 kHz) ; en 1893, il expérimente la première communication radio.
1890 : Branly découvre le principe de la radioconduction et met au point le premier détecteur d'ondes sensible, le radioconducteur, qui prendra le nom de cohéreur contre l'avis de son inventeur. L'origine du mot cohéreur est purement anglophone où le verbe 'to cohere' signifie se rattacher ... exactement comme les grains de limaille de fer se rattachaient les uns aux autres dans le radioconducteur.
1891 et 1893 : Tesla brevette le système sans fil Tesla (radio télégraphe) et met au point des lampes électroniques froides.
1893 : Le professeur Alexandre Popov de Saint-Pétersbourg, découvre le principe de l'antenne qui va permettre des liaisons à grande distance. Plus tard il découvre sans y prêter attention la jonction et l'effet d'amplification par semi-conducteurs (environ 40 ans avant la découverte du transistor)
1895 : Guglielmo Marconi expérimente les premières liaisons hertziennes à la Villa Griffone en Italie et franchit une étape significative de la télégraphie sans fil à Salvan (Valais) dans les Alpes suisses, durant l'été 1895. Salvan a été reconnu par l'association mondiale des ingénieurs (IEEE) et honoré par l'UIT (Union internationale des télécommunications) comme l'un des berceaux des télécommunications en 2008.
1898 : Le 3 août, en présence du Ministre de la Marine, le lieutenant de vaisseau Camille Tissot établit la première liaison radio opérationnelle française en mer: 1 800 mètres entre le Borda et le sémaphore du Parc aux Ducs à Brest. Convaincu, le Ministre prescrit le 6 août au port de Brest, de financer à Camille Tissot l'achat de matériel pour lui permettre de poursuivre ses essais.
1898 : en octobre Eugène Ducretet établit la première liaison télégraphique hertzienne entre la tour Eiffel et le Panthéon de Paris, distant de quatre kilomètres.
1900 : En France, le capitaine Gustave Ferrié met au point le détecteur électrolytique. Plus sensible que le cohéreur de Branly, il permet l'écoute au casque des messages télégraphiques.
1901 : Marconi effectue la première liaison transatlantique entre Terre-neuve et la Cornouailles
1906 : Première transmission de la voix par radio réussie, aux États-Unis par Réginald Fessenden la nuit de Noël.
Le 30 août 1906 : Greenleaf Whittier Pickard posa un brevet qui fut approuvé le 20 novembre 1906 pour un détecteur de cristal plus simple que le détecteur de Gustave Ferrié. Puis avec Dunwoody, Pickard inventent le poste à galène, il permet de créer les premiers postes récepteurs de radiodiffusion.
1907 : L'Américain Lee De Forest invente la première lampe amplificatrice à cathode chaude (triode) qui sera le départ de toute l'industrie radio-électronique.
Les premières applications
Expérience de radio en 1918 à l'Université de New YorkLa première application spectaculaire fut la sécurité maritime. Les paquebots s'équipent de la radiotélégraphie, et des stations côtières sont opérationnelles dès 1904.
La première liaison commerciale transatlantique fonctionne en 1907 entre l'Irlande et Terre-Neuve.
En 1899, lieutenant de vaisseau Camille Tissot équipe la Marine nationale de la TSF. Puis la station Ouessant TSF effectue des transmissions sans fil avec la Marine nationale de Brest.
Dès 1904 : la station Ouessant TSF avec l'Indicatif (radio) FFU (station Française Fixe de Ushant), effectue des liaisons radiotélégraphiques
sur la longueur d'onde des 600 mètres avec une flotte de 80 paquebots.
Deux naufrages célèbres ont montré l'efficacité de la radio :
en 1909, 920 passagers sont sauvés lors de la collision République-Florida grâce à l'appel en TSF.
Le Titanic utilise pour la première fois le code SOS en 1912, 700 passagers sont sauvés par le Carpathia.
Les premières bandes radios partagées entre services font leurs apparitions.

La TSF
La TSF familiale Les premiers programmes quotidiens de radiodiffusion débutent en 1920 en Angleterre (Marconi company), aux États-Unis à Washington DC (KDKA) et Pittsburgh, ainsi qu'en URSS. En décembre 1921 Radio Tour Eiffel diffuse un premier concert avec un émetteur de 900 W à la longueur d'onde de 2 650 m.
En octobre 1922, la Société Française Radio-Électrique obtient l'autorisation d'effectuer, à titre expérimental, des émissions radiophoniques quotidiennes. À partir du 6 novembre 1922 sont organisés les concerts Radiola qui vont révéler la radiodiffusion au grand public. Les émissions Radiola sont effectuées par le poste radio-électrique de l'usine S.F.R. de Levallois avec une puissance antenne de 2 kilowatts.
La radio est utilisée pour la première fois pour une campagne électorale en 1925 par Herbert Hoover, et en 1938 Orson Welles diffuse une émission de science-fiction sur une attaque martienne, si réaliste que les auditeurs affolés descendent dans la rue.
La Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les laboratoires des belligérants perfectionnent des applications nouvelles :
Le radar développé par Allemands, Anglais et Américains, qui avertit des raids aériens. Il détecta l'attaque sur Pearl Harbor.
Article détaillé : Histoire du radar.La radionavigation, avec la gonio automatique à cadre croisé, le LORAN, le CONSOL puis le Decca
Le brouillage radio, appliqué systématiquement sur Radio Londres
Le cryptage avec le célèbre crypteur Enigma des sous-mariniers allemands.
Des milliers d'émetteurs-récepteurs mobiles équipent chars, avions et commandement. Le problème de l'alimentation en 12 V ou 24 V est résolu par le convertisseur tournant « dynamotor » ou par des convertisseurs à vibreurs et transformateurs.
Les radios servent de support à la propagande, comme la radio du Reich, la Großdeutscher Rundfunk, tandis que la BBC est écoutée pendant le couvre-feu, et transmet sur Radio Londres des informations codées vers la Résistance :
« Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand... »
« Ici Londres, les Français parlent aux Français... » et surtout le fameux « appel du 18 Juin 1940 », font définitivement entrer la radiodiffusion dans l'histoire.
Les années 1950
Radio 1950 Tandis que des milliers d'émetteurs et de récepteurs militaires déclassés permettent aux radioamateurs de s'équiper dans les « surplus », avec les « Fug » allemands et les « command set » américains, la radio se développe et le récepteur grand public se standardise :
Le récepteur « toutes ondes » couvrant GO PO et OC est dans toutes les familles. C'est un superhétérodyne à 5 ou 6 tubes avec cadre orientable interne, une entrée « pick-up » pour écouter les premiers microsillons, un « œil magique » pour le réglage, un cadran à aiguille et ficelle commandant un condensateur variable d'accord, une façade en tissus et bois vernis. Le cadran indique les noms des stations comme Radio Tour Eiffel, Paris Inter, BBC, Radio-Luxembourg...
Les récepteurs « tous courants », sans transformateurs, sont plus légers et surtout, grâce à un jeu de tubes spéciaux à filament en série, peuvent être alimentés en 110 V continu. Certains quartiers de Paris ont encore en 1950 un secteur en courant continu.
Les tubes miniatures remplacent les tubes octal, les auto-radio à tubes apparaissent, avec des mémoires mécaniques de stations.
Le transistor
Un des premiers « transistors » en 1959 Les premiers postes à dans les années 1960, vite appelés « transistors », permettent d'écouter la radio partout, en vacances, dans la rue, sur la plage, en « surboum », la radio n'est plus familiale mais individuelle.
Dans le monde professionnel, le transistor remplace d'abord progressivement les tubes, puis ouvre de nouveaux horizons : circuits intégrés, mobile, etc. L'histoire de la radio devient la radio moderne.

 

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Prise RCA

Publié à 17:09 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center centerblog sur musique centre bleu
Prise RCA

 

Extrémité d'un câble audio/vidéo RCA (prises mâles)Une prise RCA (également appelé connecteur RCA ou prise CINCH ou connecteur CINCH) est un connecteur électrique couramment utilisé dans le domaine audio/vidéo. Le nom «RCA» provient de Radio Corporation of America.
Dans de nombreuses utilisations, ce connecteur est utilisé en substitut à la traditionnelle fiche téléphonique de l'époque des centraux téléphoniques manuels depuis les années 1970 où les lecteurs de cassettes audios de salon compacts devinrent populaires.
Sur la plupart des câbles, chaque extrémité possède un connecteur RCA mâle. Ces prises sont constituées d'un doigt central, entouré d'un anneau métallique. L'anneau est souvent sous forme de sections, pour des raisons de flexibilité. Les connecteurs RCA femelles, que l'on trouve sur les appareils sont constituées d'un trou central entouré d'un cylindre métallique. Ce cylindre de la même taille que la partie mâle, permet une connexion mécanique résistante et une connexion électrique parfaite. Pour brancher un connecteur RCA, il suffit d'appuyer sur la prise. Pour le retirer, il s'agit de tirer sur la prise.
Entre l'anneau externe et le doigt central de la prise mâle, se situe une partie remplie en général de plastique. Les prises sont souvent colorées de la façon suivante :
jaune pour la vidéo composite, 
rouge pour le canal droit stéréo, 
blanc ou noir pour le canal gauche stéréo. 
Ce trio (ou couple) de prise se retrouve sur la plupart des appareils vidéo et audio.
Un des problèmes avec le système de connexion RCA est que chaque signal électrique nécessite son propre câble. Même dans le cas simple de la liaison d'un lecteur cassette, 4 câbles sont nécessaires, 2 pour l'entrée et 2 pour la sortie. Dans une installation courante, on aboutit rapidement à une jungle de câbles; c'est encore pire lorsque l'on veut transférer des signaux plus complexes comme de la vidéo à composantes séparées (3 câbles dans chaque sens). Plusieurs essais de connecteurs combinés ont été fait, aussi bien dans le domaine de l'audio que de la vidéo, mais aucun d'eux n'est devenu vraiment universel. Cependant, le connecteur SCART(Péritel) a eu beaucoup de succès en Europe.
Code de couleur des connecteurs selon les équipements 
Vidéo composite Composite Jaune 
Audio analogique Gauche/Mono Blanc 
Droite Rouge 
Centre Vert 
Ambiance gauche Bleu 
Ambiance droite Gris 
Ambiance arrière droite Brun 
Ambiance arrière gauche Tan 
Caisson de basse Mauve 
Audio numérique S/PDIF Orange 
Vidéo en composantes (YPbPr) Y Vert 
Pb Bleu 
Pr Rouge 
Vidéo en composantes/VGA (RGB/HV) R Rouge 
G Vert 
B Bleu 
H/Synchronisation horizontale Jaune 
V/Synchronisation verticale Blanc

 

Les connecteurs et receptacles des équipement sont codés au moyen d'un code de couleur qui permet d'identifier les différents signaux. Les différents standards sont décrits dans le tableau suivant :
Dans le cas de signaux audio stéréo les combinaisons noir/rouge ou blanc/rouge sont possibles. Le connecteur rouge représente l'audio du coté droit et l'autre celui du coté gauche. Aussi, dans le cas de signaux audio, un connecteur mauve peut être parfois remplacé par un connecteur noir.
 
 

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