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Musique : Dico

Tourne disque

Publié à 20:38 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur musique sommaire

 

Tourne disque

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Tourne disque

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Mélodie

 

Dans un système musical, le mot mélodie désigne la dimension qui prend en compte les hauteurs émises par une source, individuelle ou collective, instrumentale ou vocale, au sein d'une réalisation musicale quelconque. La mélodie s'oppose principalement au rythme, autre composante de la musique.
Parce qu'elle fait se succéder des sons aux fréquences différentes, une mélodie est une succession d'intervalles. En effet, du point de vue de l'interprète, comme de celui de l'auditeur, chaque note d'une mélodie est déterminée par l'intervalle mélodique qui sépare celle-ci de la note précédente.
Dans la musique occidentale, chaque note d'une mélodie est en outre déterminée par l'intervalle mélodique qui sépare celle-ci de la note fondamentale — ou note de référence — appelée « tonique » dans la musique tonale.
Le mot mélodie s'oppose ainsi à la Polyphonie — ou Harmonie, ces deux termes pris dans leur sens le plus large de « procédé musical utilisant les simultanéités délibérées » —, cette technique d'écriture constituant l'une des singularités de la musique occidentale depuis le milieu du Moyen Âge. 
Au cours de la période qui va du XIIIe au XVIe siècle, la musique occidentale est plus précisément dite polyphonique et modale, et son procédé de composition est appelé contrepoint.
Une pièce musicale de cette époque, peut être considérée comme une « superposition de mélodies », chacune d'elles étant exécutée par les différentes parties de l'ensemble. 
Au cours de la période qui débute à la fin de la Renaissance, la musique est plus précisément dite harmonique et tonale, et son principal procédé de composition est appelé monodie.
Dans cette seconde technique, une partie se détache des autres pour exécuter la ligne mélodique principale, appelée tout simplement « mélodie » — généralement située à la partie supérieure de l'édifice. Dans ce nouveau sens, la mélodie s'oppose donc à la basse ainsi qu'aux différentes parties intermédiaires qui constituent l'accompagnement de la ligne principale — accompagnement pouvant être synthétisé en une série d'accords. On parle d'ailleurs à ce propos, de « mélodie accompagnée ».

 

Mélodie (genre)
En musique classique, une mélodie est dans la musique française, une forme musicale particulière, consistant en une brève composition pour voix accompagnée par un piano ou par un ensemble instrumental, sur des paroles généralement empruntées à des textes poétiques ou d'œuvres de grands poètes.
Les mélodies doivent beaucoup aux lieds.
Le lied (au pluriel, des lieds ou des lieder) est utilisé spécifiquement dans la musique savante de langue allemande. Le lied se distingue par sa volonté de puiser aux sources populaires et peut être daté de la première moitié du XVIIIe siècle. Les lieds puisent dans le romantisme allemand avec des situations sombres où toute l'intimité de l'âme peut s'épancher au travers des poètes : le lied tire sa notoriété de réputés compositeurs allemands, tels Franz Schubert, Robert Schumann, Johannes Brahms et Hugo Wolf. 
Le mot art song correspond en anglais aux mélodies ou lieder. 
La mélodie française naît vers le milieu du XIXe siècle, en France, bien sûr, mais en empruntant son nom aux Irish melodies de Thomas Moore. Cette forme musicale pour voix et piano (parfois pour voix et orchestre) se développe de manière autonome tout en empruntant à la romance dont elle est fille et au lied auquel on l'oppose fréquemment On prétend que le lied, d'essence germanique, serait plus populaire et plus proche de la chanson que la mélodie. Cette assertion est manifestement fausse quand on analyse bon nombre de lieder de Schumann, de Brahms,de Hugo Wolf, de Strauss... Cependant, la mélodie française est particulièrement attentive à la qualité et au sens des vers qu'elle met en musique et l'extrême raffinement de sa courbe vocale, de ses rythmes et de ses harmonies la distinguent incontestablement. Les deux livres majeurs qui éclairent l'histoire et l'esthétique de la mélodie française sont :
F. Noske, "La mélodie française de Berlioz à Duparc", Amsterdam, puis Paris, 1954 
M. Faure et V. Vivès, "Histoire et poétique de la mélodie française", Paris, 2000 
On s'accorde à considérer les Nuits d'été (1841) d'Hector Berlioz comme le premier exemple de ce genre. Néanmoins, certaines compositions de Charles Gounod peuvent prétendre au nom de mélodies.

 

Recueils majeurs
Hector Berlioz : Les Nuits d'été (1841), sur des textes de Théophile Gautier 
Gabriel Fauré : La Bonne Chanson (1870), sur des textes de Paul Verlaine 
Claude Debussy : Ariettes oubliées (1885), sur des textes de Paul Verlaine 
Maurice Ravel : Histoires Naturelles (1907), sur des textes de Jules Renard 
Francis Poulenc : La Courte Paille (1960), sur des textes de Maurice Carême. 

Compositeurs principaux
La mélodie française atteignit ses sommets par de nombreux compositeurs, tels :
Hector Berlioz 
Lili Boulanger 
Albert Cahen d'Anvers 
Emmanuel Chabrier 
Ernest Chausson 
Jean Cras 
Claude Debussy 
Maurice Delage 
Léo Delibes 
Henri Duparc 
Gabriel Fauré 
Paul Le Flem 
César Franck 
Charles Gounod 
Vincent d'Indy 
Charles Koechlin 
Édouard Lalo 
Guillaume Lekeu 
Albéric Magnard 
Olivier Messiaen 
Francis Poulenc 
Maurice Ravel 
Guy Ropartz 
Albert Roussel 
Camille Saint-Saëns 
Erik Satie 
Edgar Varèse 
Louis Vierne

 

On pourra remarquer, dans ce genre très particulier, une grande attention dans la clarté de l'expression, à la précision des formes. Cette concision découle souvent de la volonté de rendre le poème le plus intelligible possible et de le servir au mieux par la musique. Le poème est donc le point de départ de la composition d'une mélodie.
Si la relation très particulière qu'entretiennent texte et musique dans le genre de la mélodie requiert du compositeur une parfaite connaissance des règles poétiques et de la diction, il en est de même pour l'interprète, qui se doit d'avoir également une prononciation parfaite.
Le lied et la mélodie française demandant un style vocal particulier : des voix très souples, plus confidentielles, et donc s'y faisant moins fortes qu'à l'opéra, avec une diction irréprochable, pour exprimer mais sans emphases indues les subtils sentiments sous-tendus par l'œuvre. Le genre étant dès l'origine fait pour le salon plutôt que pour de très grandes salles, leurs interprètes s'y sont spécialisés par plusieurs années de formation pratique auprès d'un maître. Mais ils n'ont pas toujours nécessairement renoncé à tenir aussi en parallèle des rôles à l'opéra, où ils doivent déployer tout le volume de leur voix, qui s'y fait alors moins intimiste.

 

Femmes
Elly Ameling 
Juliane Banse 
Régine Crespin 
Claire Croiza 
Mireille Delunsch 
Véronique Gens 
Felicity Lott 
Sandrine Piau 
Christine Schäfer 

Hommes
Gabriel Bacquier 
Pierre Bernac 
Jean-François Gardeil 
Bernard Kruysen 
Bruno Laplante 
François Le Roux 
Louis Puthod 
Camille Maurane 
Charles Panzéra 
Gérard Souzay 

Accompagnateurs
La mélodie française n'est pas seulement affaire de voix : l'accompagnement (le plus souvent au piano) n'est pas à négliger. Là aussi, certains pianistes se sont spécialisés dans le genre.
Dalton Baldwin 
Jacqueline Bonneau 
Billy Eidi 
Graham Johnson 
Noël Lee 
Pierre Maillard-Verger 
Gerald Moore 
Francis Poulenc 
 

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Violon

Publié à 18:11 par dessinsagogo55 Tags : centerblog musique sommaire

Danseuse

Publié à 18:01 par dessinsagogo55

Motorola 1959

Publié à 15:56 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur musique sommaire

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Emerson 1953

Publié à 15:03 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur musique sommaire

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Woodstock 1969

Publié à 12:43 par dessinsagogo55

Fugue

Publié à 11:10 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur musique sommaire

( Italien fuga. fuite ). Composition contrapuntique pour instruments, orchestre ou choeur. Elle est écrite en trois parties ou voix. Les voix entonnent successivement un même motif musical, chacune en imitation de la précédente et se trouvent finalement plus ou moins mêlées. Les cenons et les rondeux sont des formes primitive de fugue

 

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Picture disc

Publié à 22:37 par dessinsagogo55 Tags : rock éléments center image centerblog sur photo mode musique sommaire

 

Le Picture-disc (ou disque image) est une variante du Disque microsillon, celui-ci a la particularité d'être en PVC transparent et arbore des éléments photographiques ou typographiques.
Apparu au début des années 1970, les premiers Picture-disc analogiques étaient imprimés sur des cartes en PVC monoface, c'est-à-dire qu'un seul sillon était gravé, mais plus tard les disques seront "gravés" sur chaque côté ainsi sur la face A le disque pouvait reprendre une pochette de disque habituelle alors que la face B pouvait servir aux crédits et aux criptions des pistes audio.
Depuis les années 1980, les picture-disc sont des éditions Albums, 45 tours et maxi 45 tours limitées des vinyls originaux destinés souvent au collectionneurs et aux fans, ceux-ci étaient disponibles auprès des disquaires spécialisés et dans certaines grandes surfaces, malgré la disparitions des disquaires indépendants, ce format est toujours disponibles actuellement (en 2007).
En général, les pays qui fabriquent ce genre de support sont le Royaume-Uni et L'Italie, les moins connus sont les États-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas. On notera d'ailleurs l'apparition de contrefaçons et de copies pirates et non-officielles d'œuvres d'artistes largement collectionnés tels que Madonna, Mylène Farmer, Michael Jackson ou des Beatles ou encore des disques comprenant des interviews et des concerts d'artistes connus.
Aujourd'hui, les disques numériques sont aussi appelés Picture-disc mais ceux-ci sont produit de façon tout à fait différente et non plus dans un nombre limité, ce qui les rends moins appréciable de par leur mode de fabrication.
Le Picture-disc "Uncut" est habituellement rond, comme tout autre disque vinyle. Certains peuvent même avoir un bord noir sur la circonférence du disque 
Le Picture-disc "Shaped" lui, est découpé, suivant le type de photo utilisée, le disque suit en général le contour de celle-ci et dans tous les cas sans bordure 
Le "test-pressing" est une version test d'un picture-disc (tout comme pour les vinyles normaux), ceux-ci ne sont généralement pas disponibles à la vente, ils sont en effet des disques tests destinés à vérifier la production de ceux-ci, cependant il en existe deux sortes distinctes, les premiers sont destinés à être des disques non découpés avec un bord noir, ils sont en général blancs avec un bord noir, quant aux autres qui seront à bords transparents et/ou découpés seront totalement transparents et sans label 
Le CD ou DVD Picture-disc est lui, tout simplement un disque numérique imprimé sur sa face non-lisible
Labels qui produisent des Picture-discs
10 Records
Airplay
Athomic Techno
BCM
Black Hole
Casablanca
CBS
C.H.R.
Chrysalis
Sony Music Entertainment
DFC
Distinctive
Djm
Ed Banger Records (pour le maxi "Pedrophilia" de Busy P.
EMI
Epic Records
Enigma
Future SOund
Hitland
Indépendance
Kick Fresh
Legato
Magik Muzik
MCA
NCB
Nuclear Blast
Parlophone
Pathé Records
Pickadoll
Philips
RCA Records
Roadrunner Records
Rock Machine
Saturn
Stone Throw
ULM
Universal
Vertigo
Vogue
Warner
Xprience
 
 

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A cappella

Publié à 13:57 par dessinsagogo55 Tags : center musique centerblog sur travail sommaire

Manécanterie chantant a cappella. A cappella (ou plus rare a capella et parfois alla cappella) est une expression de la musique vocale indiquant qu'un chant ou une partie d'un chant, à une ou plusieurs voix, est exécuté sans accompagnement instrumental.
Jusqu'au XVIIIe siècle, un chant a cappella désigne une œuvre vocale religieuse, écrite généralement pour quatre voix mixte, souvent extraite d'une messe ou d'un motet, utilisant le contrepoint rigoureux et l'imitation, d'harmonie simple évitant les dissonances, parfois soutenue par un orgue ou tout au moins par un positif ou tout autre instrument présent dans la chapelle où ont lieu les répétions (d'où l'expression a cappella : à la manière du travail fait dans la chapelle). Chaque partie peut être suivie par un instrument monodique, mais l'ensemble du chœur peut aussi être doublé par un consort d'instruments. Ce style d'écriture, propre à la musique religieuse, s'oppose aux autres écritures pour voix comme la mélodie accompagnée, le récitatif, la cantilène ou l'aria.
Le Kyrie de la Missa brevis de Lotti fait partie du répertoire a cappella,
il peut être doublé par un consort de flûte à bec.
La technique et son répertoire sont alors enseignés dans les maîtrises des écoles catholiques rattachées à de grandes paroisses, à des cours princières, royales ou celle pontificale de la Chapelle Sixtine de Rome. Les chants polyphoniques propres aux cérémonies liturgiques y sont cultivés, les choristes participants recevant, outre une éducation générale solide, une formation musicale et religieuse poussée.
Ce n'est qu'au XIXe siècle que l'expression a cappella est utilisée pour qualifier plus largement toute pratique vocale à plusieurs voix dénuée d'accompagnement et ensuite aussi, par extension, au chant à une voix seule ou d'inspiration profane (Chant grégorien, madrigal de la Renaissance française ou italienne, psaumes et hymnes des Églises réformées ou orthodoxes, "zemirot" judaïques, "anasheeds" musulmans... )
Depuis le milieu du XXe siècle, cette expression désigne également un genre musical étendu à la musique populaire.
L'utilisation du terme est associée au R&B des années 1950 et 1960, certains chanteurs ayant perfectionné leur technique vocaleet travaillé sur les harmoniques.

 

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