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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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La trappe à souris !
Une souris regardait un jour à travers un trou dans un mur. Elle vit un paysan et sa femme en train de déballer un paquet.
La Légende du Glouton ...
Belphégor ... La légende du fantôme du Louvre !
Encore aujourd’hui, un nombre faramineux de mythes et de légendes, hérités des siècles passés, continuent d’hanter les murs de notre capitale. Leur résonance a été telle qu’ils ont désormais presque fait le tour du monde et suscitent toujours la curiosité des visiteurs. Après vous avoir conté la légende du fantôme des Tuileries et celle du fantôme de l’Opéra, il nous semblait intéressant de revenir sur celle du fantôme du Louvre, auquel on a prêté le terrifiant surnom de Belphégor.
Scène extraite de la série télévisée « Belphégor ou le Fantôme du Louvre » 1965.
Dans l’Ancien Testament, Belphégor est une divinité moabite (royaume anciennement situé dans l’actuelle Jordanie), adorée sur le mont Phégor. Mais, il apparaît également dans le christianisme comme un personnage démoniaque qui manipule ses victimes en leur inspirant des inventions ingénieuses censées leur rapporter de l’argent. S’il se met parfois dans la peau d’une jeune femme séduisante, il s’apparente plutôt dans la réalité à un monstre hideux dont les doigts sont crochus, la tête cornue et la barbe hirsute.
Le dieu barbare Belphégor, comme représenté dans la démonologie chrétienne.
Selon la légende, l’esprit de ce dieu barbare serait venu prendre possession du corps de l’une des momies du Louvre et prendrait un malin plaisir à se balader le long des galeries une fois la nuit tombée. Ce mythe est aujourd’hui si bien ancré dans l’imaginaire collectif que nombreux sont les badauds à vouloir admirer la fameuse momie lors de leur visite.
« Belphégor ou le Fantôme du Louvre », d’après la série télévisée. Claude Barma et Jacques Armand 1965.
Il faut dire que beaucoup ont été marqués par les nombreux livres et films réalisés à ce sujet. On peut notamment citer la série télévisée « Belphégor ou le Fantôme du Louvre » de Claude Barma et Jacques Armand, sortie en 1965 et adaptée du célèbre roman policier « Belphégor » d’Arthur Bernède paru en 1927. Sans parler du plus récent « Belphégor, le fantôme du Louvre », réalisé en 2001 par Jean-Paul Salomé, avec Sophie Marceau en tête d’affiche.
Scène tirée du film «Belphégor, le fantôme du Louvre», réalisé en 2001 par Jean-Paul Salomé, avec Sophie Marceau.
Fable d' Ethiopie : "La Lune au fond du Puits" !
Dans un petit village de la brousse, au moment où le soleil se couche un homme se rend au puits pour remplir une outre d’eau. La nuit est claire et paisible. L’homme se déplace à la lueur de la lune, arrivé au puits il regarde au fond du puits pour voir le niveau de l’eau.
Et là, surprise, il voit briller au fond du puits la Lune ... Il a peur qu’elle soit en train de se noyer, alors l’homme court chercher de l’aide auprès des villageois. Les gens du village se rassemblent et délibèrent un moment. Leur décision est de vider toute l’eau du puits pour sauver la Lune.
Ils puisèrent ainsi, sans s'arrêter, jusqu’au moment où la corde du seau se coince ... Ils se disent que peut-être la lune est accrochée au seau et du coup ils tirent de toutes leurs forces , si fort que la corde se cassa. Tout à leur effort les hommes tombèrent à la renverse sur le sol. Alors qu’ils sont fesses contre terre, leur regard est dirigé vers le ciel ! Ils virent alors la Lune briller, qui était bien à sa place et ils en furent tout heureux.
Le calvaire du XVIème siècle, conservé au Musée d'Archéologie de la ville de barcelos, est associé à la curieuse légende d'un coq, symbole de cette ville.D'après cette légende, un jour un crime fut commis dans ce village. Or, on ne retrouva pas le coupable, et les habitants de barcelos furent intrigués par cela. Cette histoire les préoccupait et les affolait.
Un jour apparut dans la ville un homme de Galice, sur qui se portèrent on ne sait pour quelles raisons, immédiatement les soupçons.
Les autorités l'arrêterent sans preuves.
L'homme eut beau protester et clamer son innocence, rien n'y fit.
Personne ne voulut croire que cet homme se rendait à saint jacques de compostelle pour accomplir un voeu, car il était un fervent adorateur du saint que l'on vénérait à compostelle, ainsi que de Saint Paul et de Notre-Dame. L'homme fut condamné à être pendu !
Au moment où on le conduisait à la potence, il demanda à être remis en présence du juge qui l'avait condamné. L'autorisation lui fut concédée et on l'emmena à la résidence du magistrat, qui était en plein banquet avec quelques amis.
L'accusé affirma de nouveau son innocence et devant l'incrédulité des assistants, il montra un coq rôti qui était sur la table et s'exclama ...
« Il est aussi sûr que je suis innocent, qu’il est sûr que ce coq chantera au moment où l’on me pendra ».
Cette déclaration ne fit que provoquer les éclats de rire de toute l'assistance ...
Mais personne ne toucha au coq rôti, qui resta donc entier dans son plat. On entraîna alors l'homme vers la potence.
Et ce qui semblait impossible arriva ! Au moment où le pèlerin allait être pendu, le coq rôti se dressa sur la table et chanta. Le juge et ses invités restèrent ébahis.
Personne ne douta plus de l'innocence du condamné. Le juge courut à la potence et quelle ne fut pas sa stupéfaction quand il vit le pauvre homme la corde au cou, mais le noeud refusant absolument de se serrer !
On le délivra immédiatement et on le renvoya en paix. Quelques années plus tard il revint à Barcelos, où il fit ériger un monument en hommage à la vierge et à Saint Jacques.
Le portugal adopta "le coq de Barcelos" comme symbole, sans doute car ce dernier symbolisait une histoire morale, optimiste et juste.
On doit ce dicton à un ancien apologue attribué à Esope ; il est question d’un homme possesseur d’une poule qui, tous les matins, pondait un œuf d’or. Il crut que l’oiseau renfermait dans son corps une mine du précieux métal ; il le tua et ne trouva dans les entrailles rien de ce qu’il espérait.
Notre fabuliste La Fontaine a reproduit et embellit ce récit dans sa fable intitulée : La Poule aux œufs d’or (Livre V, fable 13). Il a fait une leçon pour les gens cupides qui, séduits par des prospectus alléchants, risquent leur fortune présente dans l’espoir qu’on leur a donné de la doubler, de la tripler en très peu de temps, puis perdent ainsi le bien qu’ils possédaient. Voici comment La Fontaine a imité le fabuliste grec :
L’avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux pour le témoigner,
Que celui dont la poule, à ce que dit la fable,
Pondait tous les jours un œuf d’or.
Il crut que, dans son corps, elle avait un trésor :
Il la tua, l’ouvrit et le trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien,
Belle leçon pour les gens chiches !
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du matin au soir, pauvres devenus,
Pour vouloir trop tôt être riches !
© Susan-Winget "Hummingbird-Square"
(inspiré d'une légende des indiens Maya)
Il y a bien longtemps déjà, alors que le monde n’était pas tout à fait achevé, le Grand dieu Maya continua son oeuvre. Debout, devant le lieu sacré où il a conçu jadis les différentes espèces d’oiseaux, il remarqua des morceaux éparpillés çà et là : quelques restes de plumes grisâtres, un long bec mince, des os et des muscles minuscules.
Avec l’idée de récupérer ces restes laissés là depuis sa première création, inspiré, il les rassembla pour former un petite charpente d’oiseau auquel il ajouta un long bec. Puis il donna à sa nouvelle créature le cadeau de la vie.
*
L’oiseau ouvrit ses ailes minuscules, puis ses yeux noirs lumineux et regarda le Grand dieu Maya. Craignant que sa petite taille et son long bec lui soient défavorables, le Grand dieu lui donna le pouvoir de voler de toutes les manières. Cette polyvalence lui permettra d’aller vers le nectar des fleurs, une nourriture qu’aucun oiseau ne pouvait jusqu’alors atteindre aussi facilement.
D’un léger souffle, il poussa le petit oiseau à la découverte d’un lieu de vie sur la Terre. Avec le temps, le peuple maya a nommé ce plus petit oiseau le Dzunuume.
L’onomathopée concerne le son émis par l’oiseau en vol. L’air qui passait à travers ses plumes laissait entendre un bruit comme « dzu-nu-ume, dzu-nu-ume ».
*
Naturellement, le Grand dieu Maya savait bien qu’un seul oiseau de cette espèce n’était pas suffisant : chaque créature/être vivant doit avoir son compagnon, pensait-il. Il a donc fait appel à ses pouvoirs magiques et tout à coup, il est apparu des plumes plus grisâtres, des os minuscules et un long bec. Il les a assemblés eux aussi et pour ensuite donner à ce nouveau petit oiseau le cadeau de la vie. Une fois les deux oiseaux réunis, il demanda à Dzunuume et à sa nouvelle compagne de célébrer ce jour comme un jour de mariage et de vivre heureux pour toujours.
Des curieux accoururent pour voir les mariés et pour prendre part à la célébration. Quelques araignées dévouées ont tissé des toiles comme décoration de la voie nuptiale, ornement que la mariée qu’elle pourrait employer pour construire un nid. « Oh, tout sera si beau ! », gazouilla le pinson à la cape et la gorge aussi rouge que le piment de cayenne.
« Tout ce qu’il y a de plus beau pour une belle mariée et un bel époux. Le plus beau ». Il s’arrêta brusquement. Dzunuume et sa compagne n’étaient vraiment pas beaux. Leurs plumes étaient d’un gris mat et terne. Aucune jolie couleur ne les enjolivait. Le pinson regarda les autres oiseaux autour : « Nous devons faire quelque chose pour embellir ces deux petits oiseaux gris. »
*
Le Quetzal à longue queue, l’oiseau le plus splendide de tout le monde maya, fut le premier à parler : « Servez-vous de mes plumes », offrit-il, tout en répandant de longues plumes vertes de sa queue. « Prenez une partie des miennes », suivit l’Hirondelle à face blanche, en s’inclinant assez bas pour rendre accessibles les plumes blanche perle de sa poitrine.
« Maintenant vous avez besoin d’une écharpe de plumes rouges », lança le pinson. Il donna tant de plumes rouges à Dzunuume qu’il n’en resta qu’une ou deux pour la petite mariée.
Avant que quiconque n’ajoute une autre couleur, le Soleil, venu par derrière un nuage, annonça aux deux petits manteaux verts ???? qu’ils étaient mariés pour toujours.
Comme bénédiction, il leur lança un de ses rayons de lumière qui frappa directement la gorge de Dzunuume, la faisant briller de rouge et d’or, comme une flamme jaillissante. « Oh-h-h ! Ah-h-h ! », s’est écrié la bande d’amis. les oiseaux, les papillons, les araignées émerveillés.
Aussitôt, un autre rayon de soleil illumina les plumes vertes arrière, comme une pierre de jade poli. « Oh-h-h ! Ah-h-h ! », ont-ils tous répété en choeur.
*
Avant de partir, le Soleil s’engagea dans une promesse solennelle :
« Les plumes de tous les colibris brilleront toujours avec cette magie de feu et de jade », dit-il. « À la condition qu’elles regardent dans ma direction.
Mais toutes les fois qu’elles tourneront le dos à la lumière, leurs plumes s’obscurciront, pour leur rappeler leur origine : les plumes grises qu’ils avaient d’abord portées ». Et c’est depuis ce jour, qu’a chaque fois que les colibris se tiennent loin de la lumière du Soleil, certaines de leurs plumes brillantes s’obscurcissent, comme le feu qui se transforme en cendres.
La petite fille aux allumettes !
Il était une fois une pauvre petite fille qui vendait des allumettes aux passants .
C'était la fin de décembre, et les gens s'apprêtaient à fêter Noël ...
La petite fille avait très froid , car sa robe et son vieux châle étaient déchirés .
Ce jour-là , elle n'avait pas vendu une seule boîte d'allumettes .
Elle ne pouvait presque plus remuer les doigts , mais elle prit tout de même une allumette et la frotta contre la boîte.
Comme la flamme était chaude !
La petite fille approcha ses mains et , comme par enchantement , dans la lueur apparut un grand poêle allumé .
Elle allongea ses petits pieds vers la chaleur , mais à cet instant l'allumette s'éteignit
et la vision s'évanouit .
La nuit parut plus sombre encore et le froid plus vif .
Elle craqua une autre allumette en la frottant contre le mur et cette fois , la lumière fit apparaître des choses délicieuses à manger.
La petite fille tendit les bras vers les plats , mais cette fois encore , la flamme s'éteignit et tout redevint comme avant .
Pauvre petite fille ! Ses yeux se remplirent de larmes .
Elle leva le regard vers les fenêtres illuminées et pria pour qu'un peu de bonheur lui fût donné .
Elle craqua alors une troisième allumette , et le miracle fut encore plus surprenant.
Des milliers de petites bougies illuminaient un grand arbre décoré de guirlandes et de boules multicolores.
Comme il est beau ! sécria la petite, et elle leva l'allumette miraculeuse .
Elle sentit la brûlure de la flamme au moment ou cette dernière s'éteignait .
L'obscurité remplaça la merveilleuse vision .
Tout de suite, elle craqua une autre allumette et vit cette fois apparaître le doux visage de sa grand-mère .
Oh ! grand-mère , restes avec moi !
Pour l'empêcher de disparaître comme les autres visions , la petite fille se mit à craquer , l'une après l'autre , toutes les allumettes de la boîte .
Sa grand-mère la regardait tendrement.
Puis elle ouvrit les bras , et la petite fille s'y réfugia en disant :
Grand-mère , emmènes-moi avec toi !
Au petit matin , les passants découvrirent la petite vendeuse .
Elle était morte , mais son visage portait le plus beau des sourires .
Désormais , la petite fille se trouvait là où l'on ne connaît ni le froid , ni la faim , ni la souffrance ... (La Petite Fille aux allumettes est un conte écrit par Hans Christian Andersen et publié la première fois le 18 novembre 1845 dans le cinquième volume de ses Contes).