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FABLES, CONTES et LEGENDES

Un joli conte ... les trois noix !

Publié à 13:54 par yvonne92110 Tags : fables contes légendes un joli conte les trois noix
Un joli conte   ...   les trois noix  !

LES TROIS NOIX ...

 

Il était une fois un homme très pauvre. Il n'avait rien, à part ses trois enfants orphelins de mère. Il n'avait rien à leur donner à manger.

Un jour, il leur dit  :

«Alors, mes enfants, partez où vous voulez parce que je ne peux plus subvenir à vos besoins. Je n'ai rien, je suis un homme pauvre.»

Les trois frères prirent la route et quand ils se trouvèrent à la croisée des chemins, ils se mirent d'accord que dans trois ans ils se rencontrent au même endroit et que chacun montre ce qu'il a obtenu pendant ces trois années.

Ils se séparèrent, et ils partirent dans des directions différentes.

Quand les trois ans furent passés, le plus jeune se dit qu'il devait rentrer à la maison. Il était au service d'un vieil homme. Il faisait très honnêtement son travail, souvent même mieux que ce qu'il lui était demandé.

 Un jour, il dit au vieil homme  :

«Eh bien, mon brave vieux, les trois années ont passé, je pars parce que je dois rencontrer mes frères. Donnes-moi le salaire que j'ai bien mérité.»

Le vieil homme se leva et sortit trois cents pièces d'or ainsi que trois noix et il les déposa sur la table. «Tiens, fiston, si tu prends les pièces d'or, saches que je ne te les donne pas de bon coeur. Mais si tu prends les noix, cela est bien, je te les donne de grand coeur».

Le jeune homme se dit : «S'il me donne les noix aussi volontiers que j'ai travaillé ici, alors je prendrai plutôt les noix».

Il dit alors au vieil homme  :

«  - Ne vous inquiétez pas, mon petit vieux ! Je prends les trois noix, parce que vous me les donnez de bon coeur et si nous sommes encore en vie, un jour je reviendrai peut-être chez vous.
- Que la paix et la chance t'accompagnent, fiston. 
Je sais que tu ne devras plus jamais revenir ici  !», dit le vieil homme.

Le jeune homme alla à la croisée des chemins et rencontra ses frères. Ils s'interrogèrent sur leurs gains.

Les deux aînés avaient beaucoup de pièces d'or.

Quand ce fut le tour du benjamin, il montra les trois noix et il fut immédiatement accablé d'injures par ses frères.

«Ce n'est pas grave, j'aime les noix. Elles me conviennent très bien parce qu'on me les a données de bon coeur», se dit-il.

Les deux aînés chassèrent leur petit frère pour qu'ils ne rentrent pas ensemble à la maison.Ils avaient peur de la colère de leur père qui ne pourrait pas s'empêcher de les réprimander en voyant les noix.

Le benjamin rentra dans la forêt pour laisser aller ses frères en premier, puis il les suivit.

Pendant la route, il eut subitement faim, mais il n'avait rien à manger.

Il arriva à un puits et se dit que puisqu'il manquait de nourriture, au moins il pourrait boire.Mais quelle idée lui vint-elle à l'esprit ? Il pourrait casser une noix, la manger et boire ensuite. Comme ça, il se sentirait quand même mieux. Il sortit une noix de sa poche, mais quand il la cassa, il eut peur :

 Un troupeau de moutons commença à en sortir.

Les moutons avaient des clochettes autour de leur cou. Il y avait tant de moutons qu'il n'arrivait pas à les compter.

«Oh! se dit-il, j'ai enfin quelque chose à rapporter à mon père  !»

Il oublia qu'il avait faim et soif ! Il voulait rentrer à la maison le plus rapidement possible.

Pendant la route, il pensa qu'il devrait casser une autre noix. Quand il la cassa, des vaches et des boeufs commencèrent à en sortir, et en dernier lieu, deux boeufs magnifiques attelés à une charrette.Il monta sur la charrette, et les moutons et les boeufs marchèrent doucement derrière lui comme s'ils le faisaient sur commande.

Ils étaient tout près de la maison quand le jeune homme pensa à la troisième noix.

« Et si je la cassais et ne rentrais pas à la maison avec une noix entière  !» se dit-il. Ainsi fit-il... Une belle fille en sortait. Quand il l'aperçut, il s'en réjouit tellement, qu'il ne savait plus où il était.

Les deux aînés venaient de montrer leurs pièces d'or à leur père quand le benjamin rentra à la maison, avec un troupeau de moutons et de boeufs, avec une jolie fille sur la charrette, tirée par deux boeufs magnifiques.

Les deux aînés eurent peur quand ils le virent, car leur frère n'avait que trois noix quand ils s'étaient séparés à la croisée des chemins.

«Je vous ai bien dit qu'on m'avait donné les noix de bon coeur ! Il est impossible que l'argent seul soit capable de nous faire plaisir.Tout ce que vous voyez ici est sorti de trois noix. Maintenant riez, si vous pouvez  !», dit le benjamin à ses frères.

Les aînés partirent pour aller voir le vieil homme.

Mais ils ne le retrouvèrent jamais, et eux-mêmes ne rentrèrent plus jamais à la maison.

Le benjamin resta avec son père et s'occupa de lui.

Il vit encore aujourd'hui s'il n'est pas mort entre-temps, et il est en train de traire son troupeau de brebis.

(Publié par Andrea Molnàr  : Contes merveilleux)

La légende du Taj Mahal ... en Inde !

Publié à 15:48 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes le taj mahal en inde
La légende du Taj Mahal  ...  en Inde !

L’une des sept merveilles du monde …

Il a été construit par un maharadjah indien en l’honneur de sa défunte épouse, mais il souhaitait également faire construire juste en face le même édifice en pierre noire, pour lui-même, ce que ses héritiers ont dédaigné à cause du prix pharaonique .....  C'est en fait une histoire d' Amour : L'histoire d'un homme qui a marqué sa douleur à la face du monde, telle «une larme sur la joue de l'éternité», écrit Tagore, poète Nobel des lettres indiennes ... L'histoire d'un amour frappé du sceau de la tragédie, l'histoire d'un amour à mort ...

Ici, la réalité se mêle à la légende et le conte de fées se paient en vies humaines, en yeux crevés et mains tranchées. Un conte à l'indienne, où les repères volent en éclats, les extrêmes sont légion et l'improbable quotidien ... Une histoire où rien n'est simple ... mais d'une splendeur inouïe.
A l'image de la belle Mumtaz. Tombé fou d'amour pour cette sublime jeune femme de quinze ans, fille du premier ministre, l'empereur Moghol Shah Jahan l'épouse. Celui qui règne en tout puissant sur l'Inde de ce début de 17e siècle, et dont le nom signifie Maître du monde, rebaptise sa belle Mumtaz Mahal, l'Elue du Palais. Inséparables ils deviennent, inséparables, ils resteront ... Jusque dans la tombe ...

L'épouse assassinée :

C'est en l'an 1631 que le drame frappe l'empire. Mumtaz Mahal meurt en donnant naissance au quatorzième enfant du couple. Inconsolable, l'empereur s'enferme alors dans ses quartiers huit jours et huit nuits. Lorsqu'il en ressort, ses cheveux et sa barbe sont devenus gris. Mais surtout, il formule deux promesses  : ne jamais se remarier et offrir à l'Elue du Palais la plus belle tombe du monde, à la hauteur de leur défunt bonheur.

Pendant les deux ans qui suivent, ni festivités, ni musiques, le royaume se tait. Plongé dans la douleur, Sha Jahan n'a qu'une obsession  : honorer sa seconde promesse. Il lance son armée à la recherche du meilleur architecte du monde. Déniché en la personne d'un certain Isa Kahn, l'oiseau rare est séquestré. Turque, Perse ou de Lahore, sur son origine, les historiens divergent.

Alors, la légende prend le relais, d'une implacable cruauté  ... Shah Jehan fait froidement assassiner l'épouse de l'architecte devant ses propres yeux et lui lance  : «Maintenant que tu souffres de la même douleur que moi, projettes-la dans une tombe, construit dans cette ampleur ce qu'il y a de plus beau pour ma bien aimée, offres lui l'immortalité».

100 millions de dollars :

Le chantier est gigantesque. 20 000 ouvriers sont recrutés aux quatre coins de l'Asie et 1000 éléphants asservis. Pas moins de 23 ans de travaux sont nécessaires à la construction du Taj Mahal. Planté sur la rive sud de la rivière Yamuna à Agra, jadis capitale de l'empire moghol, ce sublime chef-d'œuvre est un mausolée. Au chœur du joyau, hors deux corps, il n'y a rien.

Les sépultures trônent au centre d'une pièce octogonale entourée de deux sections de huit pièces, elles aussi toutes octogonales! La symétrie est parfaite. Les cercueils de marbre, visibles du public, ne sont que des répliques. Les originaux sont au-dessous, dans une crypte inaccessible qui ne s'ouvre que rarement à la ferveur populaire  
Tout autour, l'éblouissante blancheur du marbre du Rajasthan témoigne de la pureté et de l'éternité de cet amour meurtri. Des milliers de pierres précieuses parent les parois d'une dentelle de couleurs infinies. Cristaux, lapis et turquoises, du Tibet, de Chine et d'Afghanistan ; améthystes, agates et malachites, de Perse, du Yémen et de Russie  ... Ajoutés aux diamants d'Inde, il y en a pour près de 100 millions de dollars actuels. A l'époque, une inestimable fortune.

Un Taj Mahal noir  ...

Sur le malheureux architecte, la légende s'acharne. Pour s'assurer qu'il ne puisse jamais reproduire édifice de pareille beauté, le despote Moghol lui fait crever les yeux et trancher les mains  ... De même que celles de ses principaux contremaîtres !

Puis, pris d'une nouvelle lubie, Sha Jahan veut faire construire une réplique du Taj, en guise de tombe personnelle. Le sultan la veut de marbre noir,   face au Taj blanc, sur la rive opposée de la Yamuna. Dans ses plans mégalomaniaques, les deux mausolées seraient reliés d'un pont de marbre jeté en travers de la rivière.

La banqueroute menace les finances impériales, déjà saignées par le premier chantier. Pour Aurangzeb, fils du sultan, c'est la folie de trop. Il détrône de force son père et l'emprisonne au Fort Rouge. Ironique et triste sort, du fond de sa cellule, Sha Jahan le déchu voit le Taj Mahal, reflet éternel de sa défunte. Il y restera enfermé jusqu'à sa mort, huit longues années, avant de rejoindre sa bien-aimée les pieds devant ...

Unanimement considéré comme l'une des 7 merveilles du monde, le Taj Mahal fut l'un des premiers monuments inscrits au patrimoine de l'humanité par l'UNESCO en 1983. L'Inde célèbre en ce moment même et jusqu'en mars ses 350 ans.

Légende de la fée lavande ... Lavendula !

Publié à 12:36 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes lavendula la fée de la lavande
Légende de la fée lavande  ...  Lavendula  !

La fée aux yeux bleus !

Les histoires fabuleuses qui nous touchent se perpétuent tout naturellement de bouche à oreilles. La légende de Lavandula revêt évidemment un caractère particulier pour les gens de Bleu Lavande.

Une fée aux cheveux blonds et aux yeux bleus, prénommée Lavandula, aurait vu le jour au milieu des lavandes sauvages de la montagne de Lure. Les années passèrent et l’envie lui vint un jour de s’installer. Ne sachant pas où elle se voyait domiciliée, elle décida de feuilleter son cahier de paysages pour faire un choix éclairé. Son survol s’arrêta brusquement sur la page présentant les terres incultes de la Provence. Bouleversée par la tristesse du panorama, la fée se mit à pleurer. En tombant sur le livre, ses larmes de couleur lavande tachèrent la page de bleu. Dans l’espoir de réparer sa maladresse, Lavandula tenta en vain de sécher ses yeux bleus et d’essuyer la page, mais l’effet contraire se produisit. Les gouttelettes se répandirent sur le paysage de la Provence. Désespérée, la fée traça un grand pan de ciel bleu au-dessus du sol taché pour dissimuler son erreur.

C’est depuis ce jour que la lavande pousserait allégrement sur les terres de la Provence et que les jeunes blondes de la région auraient dans les yeux une étincelle bleu lavande, surtout devant le spectacle qu’offre le ciel bleuté tombant sur les champs de lavande en fin de journée.

Il y a fort à parier que la jolie Lavandula a un jour versé quelques larmes sur une représentation des terres du domaine Bleu Lavande, car depuis quelques années, ils ont pris la couleur de ses yeux …

La sardine qui a bouché ... le port de Marseille !

Publié à 12:47 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes la sardine du port marseille
La sardine qui a bouché  ...  le port de Marseille  !

Qui n'a jamais entendu parler de la sardine qui a bouché le Vieux-Port de Marseille ?
Non, non, vous ne rêvez pas, c'est bel et bien une histoire vraie. Tout commence en 1779, lorsque des prisonniers français sont libérés en vertu d'accords passés avec les anglais avec qui la guerre perdure, embarquent sur la frégate de la Sartine, nom donné à la frégate en hommage au nom du ministre de la Marine sous Louis XVI : Monsieur de Sartine. Cet hommage va rendre l'aventure de cette frégate mémorable.

En effet, naviguant vers la France, et plus précisément vers la cité phocéenne, la frégate navigue sous pavillon d'entente, garantissant de voyager sans risquer d'être attaqué par les navires anglais. Le pavillon d'entente est en fait un pavillon blanc plus imposant que le pavillon français, qui est placé au dessus de ce dernier. Malheureusement, dans des circonstances qui resteront toujours à établir, la Sartine se trouva attaquée, au large du Cap St Vincent, par une frégate anglaise. Le pavillon français fût alors immédiatement enlevé afin que la frégate anglaise se rende compte qu'il s'agisse d'un pavillon d'entente, mais le mal est fait. La Sartine est sérieusement endommagée et son commandant mort durant l'assaut anglais. La Sartine arrive alors le 17 mai 1780 dans la rade de Marseille.

Mais le navire, de part la taille de sa coque et de ses mâts, paralysa quelques temps l'entrée du port phocéen, bloquant le trafic maritime. L'histoire fit grand bruit et sur la Canebière, et se déforma, s'amplifiant au fil des discutions. Certains ne gardant que le côté humoristique de l'aventure afin de la rendre plus attrayante, notamment en déformant le nom de la frégate de Sartine en Sardine.

La légende ... du rocher percé !

Publié à 14:49 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes légende du rocher percé
La légende  ...  du rocher percé  !

Légende du Rocher Percé !
 


Blanche de Beaumont vivait en Normandie, dans un vieux château. C'était une belle jeune fille âgée d'à peine seize ans.Elle était fiancée au chevalier Raymond de Nérac dont elle était très amoureuse.

Sur les ordres du roi, le chevalier de Nérac dut se rendre  en Nouvelle-France pour combattre les féroces Iroquois. Adieu la douce vie en France, les plaisirs de la cour et la belle et adorable fiancée de Normandie.

Une fois en Nouvelle-France, le chevalier de Nérac n'eut pas la vie facile. Il dut combattre les Iroquois et affronter nos durs hivers tout en commandant des hommes qui n'étaient guère obéissants.Il se rongeait d'ennui et d'amour pour sa fiancée qui le hantait.

Pendant ce temps, Blanche de Beaumont se morfondait également dans l'attente de son bien-aimé. Elle prit un jour la décision d'aller rejoindre son fiancé en Nouvelle-France et de l'épouser. Blanche de Beaumont s'embarqua donc pour la Nouvelle-France avec son frère, que le roi avait prié de faire du service dans sa colonie.

A la mi-octobre, le navire arriva à la hauteur des côtes de Terre-Neuve.Soudain la vigie annonça un navire à bâbord, et on eut tôt fait de reconnaître un vaisseau pirate. Le capitaine ordonna à tous les hommes de se munir de leurs armes et assigna à chacun d'eux un poste en attente de l'abordage. Ce fut l'horreur!  Les Français offrirent une résistance farouche mais les pirates, plus nombreux et mieux armés s'emparèrent du navire et de son contenu. Ils firent plusieurs prisonniers dont Blanche de Beaumont qu'on enferma dans une cabine.

Quand le capitaine des pirates aperçut la jeune fille, il décida qu'elle devait lui appartenir. Mais au lieu de la violenter, comme c'était souvent son habitude, il voulut en faire sa femme, la patronne du navire et la mère de ses enfants.Les enfants qu'il aurait seraient de sang noble. Mais c'était sans compter la détermination de Blanche de Beaumont. 

Celle-ci, accepta la proposition du capitaine, mais au moment de la célébration, alors qu'on s'y attendait le moins, elle se retourna, se mit à courir et se jeta à l'eau avant que personne n'ait pu intervenir. Elle disparut dans les profondeurs de la mer. Par la suite, le navire glissa dans un épais brouillard.

Le lendemain, lorsque le soleil eut réussi à dissiper cette brume, l'équipage aperçut une masse énorme  : c'était le Rocher Percé.

Cet imposant rocher, semblant flotter près du rivage comme un navire ancré, dégageait une menace mystérieuse et impitoyable.Les pirates, figés de terreur, distinguèrent à son sommet une espèce d'apparition voilée dans laquelle ils crurent reconnaître Blanche de Beaumont.

Puis brusquement, cette apparition abaissa ses mains vers le vaisseau dans un geste de malédiction et ce dernier, avec tous ses occupants, fut changé en un rocher dont on retrouve encore des vestiges aujourd'hui.

Quant au chevalier de Nérac, il périt peu après aux mains des Iroquois.

Il paraît qu'à certains moments, lorsque le Rocher Percé est enveloppé de brouillard, on croit parfois entrevoir Blanche de Beaumont à la recherche de son amour perdu ...

Légende de la lune ... et du soleil !

Publié à 14:24 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes la lune le soleil sont fachés
Légende de la lune  ...  et du soleil  !

La légende de la lune et du soleil ...                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Autrefois, la lune et le soleil vivaient ensemble,
heureux d’être très liés l’un l’autre par un sentiment noble : l’amitié.
Les deux amis habitaient sous le même toit et leur existence était sans histoire.
Ils passaient une bonne partie de leurs journées à se promener côte à côte, savourant les délices de la nature. Cette vie sans histoire dura longtemps,
très longtemps.


Un jour, comme ils en avaient pris l’habitude, le soleil
et la lune se mirent à marcher. Leur but ? Ils n’en avaient pas. Ils sepromenaient simplement. Tout à coup, le ciel se couvrit et il se mit à pleuvoir, une pluie violente, comme on en connaît pendant la mauvaise saison.
Sa force était telle que les deux amis décidèrent de s’abriter un peu. Une maison s’offrait justement à eux. Bien vite, ils entrèrent. Et comme la pluie
avait rafraîchi l’atmosphère, ils décidèrent de faire du feu. Justement, quelques morceaux de bois sec traînaient par terre. Le soleil se mit en devoir  de les allumer. Le feu crépitait déjà, bien alimenté par le bois mort.


- J’ai faim ! dit tout à coup le soleil.


- Moi aussi ! J’ai faim ! répondit la lune comme
un écho.


En fouillant leur abri, les deux amis trouvèrent quelques ignames. Ils décidèrent de les faire cuire. C’est alors que l’irréparable se produisit.


- Je mangerai d’abord parce que j’ai très faim !
décréta subitement le soleil.


- Il n’y a pas de raison ! Je mangerai, moi d’abord,
parce que j’ai plus faim que toi ! répliqua la lune.


La dispute fut terrible. Ce fut même la guerre. Le soleil
attrapa la lune et il la jeta dans l’eau froide. La lune se redressa et elle jeta le soleil dans le feu. Le combat dura longtemps. Mais depuis ce jour mémorable, les deux amis sont brouillés.


Quand le soleil se lève le matin, la lune disparaît.
Quand la lune se lève le soir, le soleil disparaît. Les deux anciens amis nepeuvent plus être au même endroit en même temps. Vous ne les verrez jamais à la
même place ensemble. Et on dit que le soleil est très chaud parce que la lune l’a jeté dans le feu. La lune est, quant à elle, très froide parce que le  soleil l’a jetée dans l'eau !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      
    (auteur inconnu)
                                                

Une jolie légende ... le bossu et les korrigans !

Publié à 14:44 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes le bossu et les korrigans
Une jolie légende   ...  le bossu et les korrigans  !

On raconte qu'un jour, un bossu vint à passer près d'une clairière.

Il aperçut des korrigans qui s'amusaient à chanter :

« Lundi, mardi, mercredi ... lundi, mardi, mercredi ... »

« Ben alors les korrigans, elle est pas finie, votre chanson ? moi je peux vous donner la suite ! » se moqua gentiment le bossu !

« Attention, dirent les korrigans, si ce que tu nous promets n'est pas à la hauteur de nos souhaits, tu seras sévèrement puni de ton audace ! »

 

 Et le bossu de chantonner :

« Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi, et puis le dimanche aussi et voilà la s'maine est finie ! »

« Hourra ! crièrent les korrigans tellement ils étaient contents ! Notre chanson est plus longue à présent ! Dis-nous c' que tu souhaites : argent, beauté ? »

 

« Ben, si vous pouvez, j'aimerais bien me séparer de ma bosse. »

Sitôt dit sitôt fait, voilà les korrigans qui s'emparent du bossu, et le jettent dans un trou.Quand il réapparaît, le voilà tout droit, notre bossu ! Tout beau !

Souvent, les intrépides ont moins de chance :

Quiconque essaie d'entrer dans la ronde des korrigans se voit piégé toute la nuit jusqu'à épuisement.Ce sont des êtres facétieux qui peuvent se révéler dangereux."Vengeance de lutin, on n'en voit pas la fin" dit le proverbe. 

 

 (source : le Net)

Le petit clown est amoureux ...

Publié à 11:55 par yvonne92110 Tags : fables et contes le petit clown est amoureux
Le petit clown est amoureux  ...

Le petit clown est amoureux  !
 
  
Petit clown est bien triste !  
Pourquoi pleures-tu ?
Lui demande le trapéziste

Petit clown ne rit plus.

Petit clown a mal au cœur
Pourquoi pleures-tu ?
Lui demande le jongleur

Petit clown ne parle plus

Petit clown verse des larmes
Pourquoi pleures-tu ?
Lui demande l’hippopotame

Petit clown ne répond plus.

Petit clown a le cœur brisé
Pourquoi pleures-tu ?
Lui demande la belle Alizée
Dans son blanc tutu.

De toi je suis amoureux
Je sais dit la belle Alizée, 
et elle lui donne un baiser ... Petit clown est heureux !
                            

La jolie légende ... du Cerf-Volant !

Publié à 15:12 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes jolie légende du cerf volant
La jolie légende   ...   du Cerf-Volant  !

La légende du Cerf-Volant !

 

 

En Chine, au printemps, chaque année, le ciel au-dessous des toits s'emplit soudain de couleurs vives : c'est la fête du cerf-volant. Très tôt, ce dimanche matin, le jeune Dong-Dong et son grand père arrivent place de la Cité interdite, munis de leur cerf-volant à eux. Ils l'ont fabriqué de leurs mains, avec amour. Et ils l'ont baptisé Grand Dragon.

Tout l'hiver, Dong-Dong n'a vécu que pour cette minute exaltante, où son cerf-volant s'envolerait enfin. A présent, sa fierté est immense. Tout le monde, autour de lui, s'extasie sur le Grand Dragon, qui évolue là-haut avec maestria, dans toute sa splendeur.

 

Hélas ! Le fil ne résiste pas à la force du vent. Il casse et voilà le grand Cerf-Volant livré à lui-même, et qui s'en va en tournoyant dans les rafales, pour terminer sa course folle en se déchirant au toit du temple. Dong-Dong fond en larmes. « Quel malheur ! Nous avions mis si longtemps à fabriquer notre cerf-volant ! » Son grand-père le console : «Ne pleure pas, Dong-Dong, nous en ferons un autre et, cette fois, nous l'attacherons à un fil solide».

 

                                                                                          Dong-Dong voudrait au moins récupérer l'épave du Grand Dragon. Son grand-père l'en dissuade : « Comme tu sais, la Cité interdite était un lieu réservé à l'empereur. Aujourd'hui on n'a toujours pas accés au temple. » L'enfant ravale ses pleurs. Le vieillard lui caresse le front : « Sais-tu au moins pourquoi nous voyons aujourd'hui tant de cerf-volants au-dessus de nos têtes ? C'est une belle histoire, je peux te la raconter. » Dong-Dong oublie son chagrin. Ses yeux s'allument : « Oh ! Oui, grand-père. S'il te plait ! »

 

Eh bien voilà, dit le grand-père. Il y a très longtemps, dans une ville ancienne, vivait une famille dont le père était peintre et dont le fils s'appelait Ming-Ming. Le petit Ming-Ming aimait regarder son père au travail. A l'occasion, il l'aidait à préparer son encre ou à calligraphier. Ainsi élevé dans l'habitude du trait de couleur, Ming-Ming devint lui-même, très tôt, un peintre fort habile.

 

 Dans la maison voisine, vivait un médecin dont la fille, nommée Ying-Ying, était une de ces délicieuse petites créatures qui semblent nées pour faire la joie de leurs parents. Ming-Ming et Yin-Ying avaient à peu prés le même âge et ne se quittaient jamais. Ils jouaient ensemble, riaient ensemble et grandissaient ensemble, dans un climat de bonheur paisible.

Les années passèrent, Ming-Ming devint un beau jeune homme mais aussi un artiste célèbre, qui gagnait des fortunes avec ses paysages et ses portraits, que lui achetaient les riches notables de la ville.

 

De son coté, Ying-Ying embellissait de corps et d'âme. Elle secondait son père dans l'exercice de sa médecine, préparant et dosant des remèdes pour soulager les malades. Sa grâce et sa gentillesse lui attiraient l'admiration de tous et lui valaient aussi quantité de prétendants, qu'elle refusait l'un après l'autre, car elle aimait Ming-Ming d'un amour aussi exclusif que réciproque. Les deux jeunes gens, toujours inséparables, n'attendaient que l'occasion de s'unir. Finalement on fixa la date de leur mariage au printemps prochain.

Sur ces entrefaites, l'Empereur, en promenade, vint à passer devant la maison du médecin. Apercevant la ravissante Ying-Ying, il ordonna à son premier serviteur : « Tu m'amèneras cette jeune fille au palais, je veux l'avoir au nombre de mes concubines. » 
A l'annonce du malheur qui la frappait, Ying-Ying crut mourir de désespoir. « Je n'irai pas au palais. Je m'enfuirai. Je ne te quitterai jamais », sanglotait-elle auprés de son bien-aimé, dont le coeur s'était brisé.

Malgré sa tristesse, Ming-Ming cherchait une solution. « Fuir est impossible, nos maisons sont surveillées. Il faut que nous trouvions un autre moyens. » Finalement, un soir, Ming-Ming parut chez Ying-Ying avec un portrait qu'il avait fait d'elle, en pied, grandeur nature, d'une ressemblance à s'y méprendre, et qu'il avait découpé et collé avec soin.

 « Crois-tu que j'ai le coeur à plaisanter ? » lui reprocha la jeune fille en le voyant arriver le sourire aux lèvres.
Ming-Ming répondit : « Je ne plaisante pas. Jamais je n'ai été plus sérieux. J'ai trouvé le moyen que tu ne partes pas pour le palais : je t'apporte celle qui va s'en aller à ta place. »

 

Le triste jour arriva néanmoins où les gens de l'Empereur se présentèrent chez Yin-Ying pour l'emmener au palais. A peine leur palaquin s'était-il arrêté devant la porte de la jeune fille, Ming-Ming lança en l'air de toutes ses forces le portrait de sa bien-aimée, qui s'éleva comme un oiseau, à la stupeur générale.

« Regardez ! Ying-Ying s'envole ! Elle monte au ciel ! »
Les officiers de l'Empereur n'en coyaient pas leurs yeux.
« Rattrapez-la ! Rattrapez-la ! » criaient-ils à leurs hommes.

Mais Ming-Ming manoeuvrait adroitement et le portrait gagnait de la hauteur. L'escorte s'en retourna bredouille, très impressionnée.

 

Finalement les deux jeunes gens quittèrent la ville et s'enfuirent aussi loin qu'ils le purent, vers le sud. Là ils se marièrent, furent heureux et eurent un enfant, un fils qu'ils éduquèrent dans le respect de tout ce qui vole.

Fort du succés de son stratagème, Ming-Ming se consacra désormais à la décoration des cerf-volants, art dont il transmit les finesses à de nombreux disciples, pour le plus grand charme des fêtes aériennes dont l'habitude s'est perpétuée jusqu'à nos jours.

 

C'est ainsi qu'aujourd'hui encore la tradition chinoise veut que le ciel s'anime de cerf-volant dans toutes les grandes occasions : pour le plaisir de l'oeil, pour la joie de l'esprit et aussi pour le jeu d'adresse : s'en servir demande beaucoup de savoir-faire. Et de nos jours, les cerf-volants sont partout, dans tous les ciels du monde ...

Pour finir, le grand-père dit à Dong-Dong : « Si tu fais bien attention, tu remarqueras qu'il y a toujours un cerf-volant, parmi les autres, qui représente un belle jeune fille. En voyant celui-là, pense à Ying-Ying et à son envol fabuleux. »

Dong-Dong a beaucoup aimé l'histoire :  "Merci, grand-père. Demain, à l'école, je la raconterai à tous mes amis. Mais maintenant rentrons. Il faut que nous fabriquions un nouveau cerf-volant" ...   

Légende et symbolisme de ... la fleur de lotus !

Publié à 15:38 par yvonne92110 Tags : fables contes et légendes symbolisme fleur de lotus
Légende et symbolisme de  ...  la fleur de lotus !

Légende et Symbolisme de la Fleur de Lotus !

 


 

La fleur de lotus est considérée comme l’une des plus belles fleurs du monde et son parfum est subtil.
En 1951, l’une des trois graines d’un lotus vieux de 2.000 ans découvert dans la région Kemigawa de la Préfecture de Chiba (Japon) a fleuri.
Depuis, elle est connue pour être « la plus ancienne fleur du monde » ; symbole de fécondité oblige .

 

Le lotus serait originaire du sous-continent indien. Il est largement représenté dans l'architecture et l'art indien, notamment les temples jaïne du Rajasthan. Il est la fleur nationale de l'Inde et du Viêt Nam.

 

 

Dans le symbolisme bouddhique, le lotus représente la pureté du corps, de la parole et de l'esprit, comme flottant au-dessus des eaux boueuses de l'attachement et du désir. Le Bouddha est souvent représenté assis sur une feuille ou un bouton de lotus géant. Selon la légende, il serait né avec la capacité de marcher et partout où il mettait le pied, des fleurs de lotus s'épanouissaient.

 

S'inspirant à son tour de ces croyances hindoues et bouddhistes, la communauté Bahá'í a adopté ce symbolisme dans la conception du Temple du lotus à New Delhi, en Inde.


 

 


 

Dans le bouddhisme la fleur de lotus est emblématique de Bouddha. Dans tout le monde indien on compte de très nombreuses peintures, sculptures et représentations de la fleur de lotus. Ceci est dû à la particularité unique du lotus qui est la seule plante aquatique dont la fleur est au-dessus de l'eaucontrairement aux nénuphars et autres cousins dont la fleur flotte sur l'eau. Cette image, connotant la légèreté, de la fleur s'élevant au-dessus de la surface de l'eau rejoint celle de Bouddha si léger qu'il repose comme un chat au-dessus du sol.


 


 

La symbolique du lotus en bouddhisme relève encore du fait que la graine et la fleur apparaissent ensemble, il s'agit de la simultanéité de la cause (la graine) et de l'effet (la fleur) dans la loi de causalité de l'univers qui est l'un des concept majeur de la philosophie bouddhique. À cela il faut rajouter que le lotus puise sa substance vitale dans la boue pour s'épanouir, en effet, au-dessus de l'eau. Ainsi "la boue" représente les souffrances, les troubles, les désirs, qui sont le terreau même de notre épanouissement. Il est donc possible de transformer son karma par l'illumination, l'atteinte de la boddhéité, grâce à notre éveil à la loi de causalité.

Toujours présent dans les autels domestiques et dans les temples, le lotus est à la fois ornementet offrande religieuse.

 

 

 

 

(source : www.almeea.com)