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La chasse au canard :

  La saison de chasse au canard n’est pas encore ouverte, mais Gérard y va quand même.  Après deux heures, il tue un canard. Il s’assoit près de l'étang et il commence à le plumer.
Tout à coup il entend des pas. Alors de peur de se faire arrêter, il jette le canard à l’eau et il commence à siffler, comme si rien ne s'était passé.
Un garde-chasse arrive et dit :
- Bonjour monsieur !
- Bonjour, répondit l’autre !
- Je dois vous arrêter !
- Et pourquoi ?
- La saison de chasse au canard n’est pas encore ouverte !
- Mais je ne chassais pas !
- Ah non, et c’est quoi ce petit tas de plumes àvos pieds ?
- Ça ? C’est un canard qui est parti se baigner et qui m’a demandé de garder ses vêtements !

Au cimetière :

  Un paysan va sur la tombe de sa femme morte le mois précédent.
 - Ah, Marie ! pleurniche-t-il, tu n’imagines pas comme tu me manques !

Sans toi je ne suis plus rien, je n’ai goût à rien. Je m’occupe à peine des bêtes, j’ai perdu l’appétit, je ne vais même pas au bistrot ! Si seulement je pouvais te retrouver, si seulement tu pouvais revenir avec moi, je serais tellement heureux  …
 À ce moment là un léger tremblement de terre remue le sol et soulève de quelques centimètres la dalle funéraire. Alors le paysan s’écrie : Marie ! Arrêtes tes conneries !

Je disais ça pour rire …


Luigi Costello, le parrain de la Mafia de New York, s'est fait voler un million de dollars par un de ses larbins - Tony le sourd et muet - qu'il avait chargé de récupérer l'argent d'une livraison de drogue. fou de rage,  il lance tous ses hommes à sa recherche, et vingt-quatre heures plus tard ils découvrent sa planque et le ramènent devant le parrain. On fait venir Diego,  l'interprète qui connaît le langage des signes, et Costello dit d'un ton arrogant :
- Tony, qu'est-ce que tu m’as fait ? A moi, ton parrain ? Allez dis-moi où est l'argent et je passerai l'éponge...
L'autre fait non de la tête.
- Tony, ne me mets pas en colère. Dis-moi où tu as mis l'argent ...
L'autre, le visage fermé, fait à nouveau un signe négatif.
- Tony ! Si tu ne me dis pas tout de suite où est le fric, je te fais découper à la tronçonneuse
et je coule les morceaux dans le béton ! Traduis, Diego !
L'autre traduit. Tony comprend que le parrain ne plaisante pas et, paniqué, il répond par signes :
- L'argent est à la consigne de la gare, casier 252. La clé est dans ma chambre, au-dessus de la porte  ...
- Alors ? demande le parrain à Diego. Qu'est-ce qu'il dit ?
- Il dit que vous n'avez rien dans le pantalon, et que vous n'oserez jamais le faire exécuter !

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Quelques pensées ...

- La philosophie, c'est l'art de se compliquer la vie en cherchant à se convaincre de sa simplicité.

- Même l'avenir n'est plus ce qu'il était.

- Moi, je ne me pose jamais aucune question. Je me demande d'ailleurs pourquoi ?

- Hésiter ou ne pas hésiter, là est la question... Ou peut-être pas.

- L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible.

- Ne prenez pas la vie au serieux, de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant.

- L'humanité serait depuis longtemps heureuse si tout le génie que les hommes mettent à réparer leurs bêtises, ils l'employaient à ne pas les commettre.

- Une institutrice est une femme qui pensait aimer les enfants et qui a perdu ses illusions.

- Il importe peu de descendre du singe ; l'essentiel est de ne pas y remonter.

- Un principe c'est comme un pet, quand il gêne il faut le lâcher.

- Tout a été dit, mais comme personne n'écoute, il faut toujours répéter.

- Des fois, il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet.

- La sagesse des vieillards, c'est une grande erreur. Ce n'est pas plus sages qu'ils deviennent, c'est plus prudents.

les pires réponses du bac 2013 !