bonne journée à tous...

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Bisous...

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merci qui ??? merci les cloches !!!!

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merci qui ??? merci les cloches !!!!
Régalez vous...
mais attention au foie !!!!


bon dimanche à tous

bonnes fetes de Paques

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bon dimanche

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Bonjour à tous...

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L'Egypte : Les Dieux - KHEPRI

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L'Egypte : Les Dieux - KHEPRI
Les ancêtres lointains avaient nommé « kheprer » cet insecte, or quand vint l’écriture le scarabée fut bien utile pour noter un terme aussi abstrait et complexe que « venir à l’existence » (= kheper). Pour les anciens « venir à l’existence », « être » et « devenir » furent associé aux idées de génération spontanée et de renouvellement dont le scarabée était étroitement associé.

Culte : Il fut particulièrement vénéré à Héliopolis, centre de culte solaire. Le culte de Khépri à toujours était célébré, il est figuré dans la tombe de Ramsès Ier et de Nefertari sous la forme d’un homme dont la tête est remplacée par un scarabée tout entier. Des milliers de scarabées de diverses tailles garnissent les vitrines des musées, des scarabées colossaux furent édifiés dont le plus connu aujourd’hui est celui d’Aménophis III prés du lac sacré à Karnak. De nombreux pharaons possèdent le scarabée dans leur deuxième nom, il exprime une manifestation : Kamosé, les Aménophis, les Thoutmosis, Akhénaton, Toutankhamon ainsi que des pharaons de la XXIème dynastie.

Iconographie : Scarabée stercoraire (scarabaeus sacer), ailé ou non ; les Égyptiens ont quelques fois représentées à l’arrière du scarabée le signe «chen» ou «chenou»; homme dont la tête est remplacé par un scarabée (ailée ou non); Homme qui porte sur la tête un scarabée. Selon Bonnet (1971), il peut, comme dieu primordial, sous la forme d'un serpent.

Histoire : On connaît Khepri depuis au moins de la 5ème dynastie (2494-2345 av J-C) des Textes des Pyramides, où l'on ordonne au soleil d'apparaître sous la forme de Khepri. Cependant, il peut avoir été l'un des premiers dieux Egyptiens. On a découvert des objets ressemblant à des scarabées datant de la période néolithique (7000-5000 av J-C).

Durant l’Ancien Empire, Khépri apparaît comme le dieu solaire tout au long de sa course, ce rôle sera modifié par la suite.
Khépri devient un dieu primordial; un démiurge qui s’est lui même créé, dans les textes des pyramides il est dit : «Salut à toi Khépri. Celui qui est venu à l’existence par lui même. Tu viens à l’existence en ce tien nom de Khépri»

Les croyances se modifièrent avec le temps sous l’impulsion des divers clergés, Khépri perdit aussi de son individualité pour ne plus être qu’un des aspects, un des « khéperou » du dieu solaire Râ (Amon par la suite). En effet, à l'Epoque Archaïque, Khépri était considéré comme une manifestation d'Atoum (dans ce cas-là, c'est un scarabée à tête de bélier) et plus tard, il fut identifié à Râ, dont il ne pouvait cependant représenter qu'une seule phase : bien que Khépri, durant l’Ancien Empire, apparut comme un dieu solaire tout au long de sa course, son rôle évoluera pour devenir uniquement le soleil naissant. Dans la course nocturne le soleil est Atoum, Khépri au matin et Râ dans la couse diurne. A la même époque que Khépri et également à Héliopolis apparaît Atoum, il était à l’origine un dieu chthonien. De dieu chthonien Atoum acquit un caractère solaire et son assimilation à Khépri fut faite pour devenir Atoum-Khépri. Dans les textes des pyramides il est dit: «Atoum-Khépri
tu as culminé sur la butte...».

Par la filiation Atoum-Khépri est très proche d’Osiris mais également par le mythe. Lorsqu’on découvrit la tête d’Osiris à Abydos un scarabée en sortit. Abydos porte le nom de «ville du scarabée», à Edfou un sanctuaire d’Osiris était appelé, «le château du scarabée». Dés les textes des pyramides il y a une assimilation entre le pilier «djed» et le scarabée : «puisse tu vivre comme le scarabée, stable comme le pilier djed».
Osiris tué par Seth fut dépecé en 14 morceaux et ceux ci éparpillés à travers l’Égypte. Le nombre 14 est en rapport avec les cycles lunaires, 14 est égal à une demi-lunaison, 28 évoque aussi le cycle mensuel féminin. Or, le démembrement naturel du scarabée se compose de 14 parties : la tête, le prothoron, le méso-métathorax, l’abdomen, les deux élytres, les deux ailes et les six pattes.

Le scarabée fut aussi lié au sphinx, lion à tête humaine, comme le sphinx de Guiza appelé « la grande statue de Khépri ». Du Nouvel Empire l’on connaît des « scarabées de cœur » en forme de sphinx avec des pattes ou des bras humains et tête humaine. Le lion est un animal solaire au même titre que le scarabée. Sur la stèle érigée devant le sphinx de Guiza le roi se qualifie de « héritier excellent de Khépri » reprenant le titre de « fils de Khépri » que se donnaient les pharaons de l’Ancien Empire.

Un dieu créateur, solaire, chtonien et funéraire ; la boule d'excrément : Le scarabée est un dieu créateur pour les Egyptiens du fait de leur sens de l'observation et de la projection faite à partir du sujet observé : le scarabée stercoraire (Scrabeus sacer) sort d'une boule d'excrément (protégeant l'oeuf et la larve), qu'il pousse ensuite. Cela rapelle à la fois l'insecte (et le dieu) qui s'est lui même crée, mais aussi le dieu qui pousse le soleil devant lui, d'où la vénération du scarabée sous le nom de Khépri "Celui qui sort de la Terre", nom ayant la même sonorité que le concept signifiant "venir au monde sous une forme donnée". A noter que la couleur noire du scarabée est celle de la terre fertile et évoque la vie jaillissant du néant. L’action de pétrir sa boule qui donnera la vie est un acte réalisé également par le dieu bélier Khoum, dieu créateur de la vie, générateur des espèces vivantes modelant sur son tour l’œuf dont toute vie doit sortir. Dans le chapitre LXXXV
du papyrus d'Ani, il est écrit : "Je me suis crée moi-même au milieu des eaux primitives (Noun) sous le nom de Khépri"

Dieu solaire par exellence, dès l'Epoque Archaïque, il est identifié à Atoum à Héliopolis, et en tant que dieu solaire naissant, il est doté d'ailes de faucon, ce qui le met en rapport avec toute la gent volatile et comme les oiseaux il occupa une place importante dans la mythologie égyptienne. Comme dans la plupart des traditions le vol est en rapport avec le ciel, donc avec le séjour des dieux. La boule du scarabée était appelée par les Égyptiens «Nehepet » ou « Nehepou», ce mot a pour racine nehep qui signifie, "tour de potier". Une fois la boule confectionnée celle-ci est détachée de la bouse et l’insecte adopte une attitude et une démarche particulière pour la pousser sur une courte distance. Il progresse à reculons poussant la boule à l’aide de ses pattes postérieures ayant ainsi l’arrière corps plus haut que la tête. Les Égyptiens dessinaient la boule du bousier comme le soleil, c’est à dire à l’aide d’un disque, d’un cercle.

L’enfouissement en terre de la boule après creusement d’un puits oblique et d’une chambre souterraine, donna au scarabée une nature en partie chthonienne.

Tout les matins, la naissance de Khépri était donnée par l'utérus ( c'est à dire l'horizon oriental) de la mère, Nout, déesse du ciel. Grâce à cette faculté lui permettant de renaître tous les jours, Khépri devint le symbole de la Resurrection. Ainsi, Khépri devint très tôt une divinité funéraire, représentant l'âme se relevant dans la mort, préparée à faire son voyage vers l'au-delà et à faire face à son jugement. Au Nouvel Empire, (1539-1070 av J-C), les textes funéraires des papyrus dépeignent le scarabée comme symbole de pouvoir et de victoire de la vie sur la mort.




L'Egypte : Les Dieux - MAAT -

Publié à 12:00 par acoeuretacris
L'Egypte : Les Dieux - MAAT -
Déesse surmontée d'une plume (Maât en hieroglyphe), elle personnifie la justice suprême en tant que fille de Râ.

Rien n'échappe aux rayons du soleil ni à l'omniscience de sa fille. C'est Maât, la plume, qui pèse dans la balance du Jugement contre le coeur du défunt. Chaque Pharaon, chaque prêtre et chaque vizir en est le vicaire.Dépositaire des valeurs de la justice, Maât est le fondement même de la monarchie.

Elle possède des équivalents dans tous les royaumes contemporain de l'Egypte ancienne, comme la déesse solaire Shapash en Mésopotamie.




L'Egypte : Les Dieux - HATHOR -

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L'Egypte : Les Dieux - HATHOR -
Dans la mythologie égyptienne, Hathor est à l'origine une déesse céleste confondue avec Nout. Son attribut est le collier à contrepoids. Considérée comme l'œil de Rê, c'est elle qui, dans la version de la création d'Hermopolis, châtie les humains.

Mais elle est plus connue en tant que déesse des festivités et de l'amour. Dans ce rôle elle était adorée à Denderah et, associée au dieu Horus, dans la ville d'Edfou. Elle était représentée sous les traits d'une vache, ou d'une femme portant le disque solaire entre ses cornes.

Buste d'Hathor, Musée de LouxorHathor est certainement une des divinités les plus anciennes de l'Égypte, car sa représentation est marquée sur la palette du roi Narmer. Son nom signifie « Demeure du dieu Horus » Ce qui fit d'elle l'épouse du dieu-faucon. Durant toutes les époques les pharaons craignirent et respectèrent la déesse et se mirent sous sa protection. Elle est considérée comme leur nourrice et représente la reine. Hathor peut être donc l'épouse de Behedeti (Horus d'Edfou) ou encore épouse des deux divinités d'Ombos, Sobek et Haroeris. Elle est la reine des pays étrangers; Dame de Nubie, Reine de Libye, Epouse de Syrie et Grande de Palestine. Elle est intégrée très tôt au phantéon phénicien en grande Dame de Byblos, mais aussi reine du pays de Pount.

Art. Wikipédia

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Dame de Gébéleïn, de Dendérah, de Cusae, d'Atfih, d'Imaou, Hathor du sycomore à Memphis, Hathor dans tous les lieux en qui les Grecs virent des « cités d'Aphrodite », dans le nord comme dans le sud, son nom signifie « demeure d'Horus ».
Régente et corps du ciel, nourrice du souverain d'Égypte, mère d'Horus comme Isis, déesse d'or, figure flamboyante qui revêt l'aspect d'une lionne et se confond alors avec Tefnout. La litanie des sanctuaires, surnoms et attributs d'Hathor s'allongerait interminablement, un même nom recouvrant en fait la personnalité initialement multiple de plusieurs divinités. On connaît même un groupe de « sept Hathor » qui jouait le rôle de nos fées, fixant dès la naissance les destins du nouveau-né. Déesse de l'amour et de la mort, mère et fille céleste.

Les différents aspects d'Hathor se résument dans son identification avec la vache. Sous les traits d'un bovidé ou d'une jeune femme, elle porte la couronne composée de deux cornes lyriformes encerclant le disque solaire. Dans les temples et les chapelles qui lui sont dédiés, elle orne les chapiteaux de son visage humain aux oreilles de vache. Ses emblèmes, le sistre et le menat, sont en rapport avec la fécondité.

Les égyptiens faisaient encore d'elle la maîtresse des pays lointains, Pount, Byblos, région minière du Sinaï. Sur la rive gauche, à Thèbes comme à Memphis, Hathor devient patronne de la montagne des morts et c'est dans ce rôle cosmique et familier que la montre la vache découverte dans la chapelle de Deir El-Bahari. Mais dans son grand temple de Dendérah elle nous apparaît dans ses aspects les plus classiques: elle y est à la fois déesse universelle, jeune femme aimable et souriante, déesse de la joie, de la danse et de la musique.

Hymne à Hathor

Qu'elle est belle! La dorée est fleurie!
La dorée est fleurie, brillante, toute en fleur!
Pour toi le ciel et les étoiles frappent le tambourin,
le soleil et la lune te louent, les dieux te glorifient,
les déesses entonnent des hymnes.
Qu'elle est belle! La dorée est fleurie!
La dorée est fleurie, brillante, toute en fleur!
Pour toi chante toute la terre pour toi danse tout ce qui vit.
Le Double-Pays et les nations te glorifient dans le ciel jusqu'à l'horizon.
Qu'elle est belle! La dorée est fleurie!
La dorée est fleurie, brillante, toute en fleur!
Aton dans sa course, la mer entière pour toi frappent le tambourin.
Les Grecs célèbrent tes louanges, les étrangers sont pour toi remplis de joie.
Qu'elle est belle! La dorée est fleurie!
La dorée est fleurie, brillante, toute en fleur!
Les hommes et les femmes pour toi frappent le tambourin.
Les dieux puissants dansent pour toi, toute l'Égypte te glorifie,
les deux déesses font tes louanges.


L'Egypte : Les Dieux - SEKHMET -

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L'Egypte : Les Dieux - SEKHMET -
Sekhmet (la puissante) est une déesse de la mythologie égyptienne. Elle est représentée par une femme à tête de lion portant le soleil; de sa bouche de lionne sortent les vents du désert.

Déesse guerrière personnifiant les ravages du soleil. Elle est l'intrument de la vengeance de Rê contre l'insurection des hommes. Son corps brûlant et ses flèches incandescentes détruisent les ennemis du roi.

Elle apporte les maladies par ses miasmes. Rê dut lui faire préparer un breuvage spécial pour apaiser sa soif de sang. Cependant, l'initié peut gagner ses faveurs à condition de vaincre ses propres peurs; car malgré sa violence, la déesse a le pouvoir de guérison, ce qui l'a consacrée déesse des médecins.

Épouse de Ptah et mère de Néfertoum dans la triade Memphite. La déesse chatte Bastet s'identifie parfois à Sekhmet.


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