animaux années 50 antiquité arbres archeologie astrologie astronomie au jardin boissons bonbons bonjour bonsoir
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Animaux - Oiseaux - (58)
· Mythologie Greco-romaine- (74)
· La(les)mode(s) - (17)
· Années 50 - (37)
· Arbres et arbustes (22)
· Préhistoire - (25)
· Au Jardin - (27)
· Parcs , réserves naturelles, zoos... (49)
· Bonjour + texte (589)
· Cadeaux de mes ami(e)s - (582)
Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Le Parc Astérix est un complexe comprenant un parc à thèmes et un hôtel géré par le groupe de loisirs CDA Parks depuis 2001. Le parc à thème est consacré à l’univers de la bande dessinée d'Uderzo et Goscinny : Astérix. Il est situé à Plailly, dans l’Oise, à une trentaine de kilomètres de Paris par l'autoroute A1.
Depuis son ouverture, le 30 avril 1989, le parc n'a cessé de gravir les échelons jusqu'à s'établir à la deuxième place des parcs français au regard de sa fréquentation. Il incarne l'exception culturelle française et est, à ce titre, régulièrement comparé à son concurrent américain Disneyland Paris, en déficit chronique. Néanmoins, depuis plusieurs années, la timidité des investissements a pesé sur la popularité du site, boudé par les ménages. La fréquentation s'érode en 2007 (1 620 000 visiteurs en 2007, soit - 4,7 %) et le complexe de loisirs est relégué à la troisième place du palmarès français, dépassé par le Futuroscope et Disneyland Paris.
Vue aérienne du parc Astérix
En 2008, le parc connait une hausse de la fréquentation de plus de 12 % et une progression du chiffre d’affaires de 7,54 %. Cette progression s’explique par une augmentation du nombre de jours d’ouverture (avec le lancement pour la première fois d’une saison d’hiver). Le site renoue ainsi avec une forte fréquentation, après trois années de baisse. Le parc est en train de construire un centre de conférences à destination d’une clientèle d’entreprises. Avec les vingt ans, démarrera également un vaste programme de rénovation des attractions.
Le parc se décompose en plusieurs parties, plus ou moins en rapport avec le monde d'Astérix.
Cette zone permet l’accès au cœur du parc. On y retrouve tous les services traditionnels, comme les points d’information, les caisses, etc. La « rue » contient également de nombreuses boutiques et points de restauration comme Le Grand Marché de Lutèce, Les Galeries Gauloises, Le Palais bonbon, Chez Rahazade, Numérobis, Gravédanlonix, Le Bon Légionnaire, etc.
La rue Via Antiqua vue depuis l'entrée du parc
Une fois sorti de la Via Antiqua, la zone se présente comme entièrement décorée sur le thème de l’Empire romain. Fidèle à la bande dessinée, on y retrouve panneaux et inscriptions humoristiques (dont un panneau indiquant Rome dans toutes les directions conformément au proverbe bien connu).
Romus et Rapidus : Un water-ride mouvementé à bord de grosses bouées, construit par Intamin (anciennement La Descente du Styx, renommée en 2007).
Les Espions de César : Circuit en hauteur, où les visiteurs embarquent à bord de petits véhicules et peuvent pédaler pour avancer plus vite.
Le Carrousel de César : Manège thématisé sur les principaux personnages de la BD.
Le petit train : Jeu pour enfant
le Défi de César : Mad House (Ouvert depuis 2008).
La Légion recrute : Spectacle humoristique mêlant numéros de cirque, de magie, et de trapèze-élastique au cœur des arènes. Anciennement Les Stars de l'Empire et toujours dans l'arène après la Via Antiqua.
La Grèce antique est une zone aux abords de l’Empire romain. Entièrement thématisée sur le monde hellénique et sa mythologie, présentée dans le style humoristique célèbre à la bande dessinée d’Uderzo et Goscinny.
Le Cheval de Troie : Attraction foraine de type tapis volant.
Le Vol d’Icare : Montagnes russes thématisées sur l’envol puis la chute du fils de Dédale, construit par Zierer.
La Rivière d'Elis : Paisible voyage à bord de petites bouées dans les typiques jardins grecs.
L'Hydre de Lerne : Attraction type octopus ou pieuvre.
Tonnerre de Zeus : Montagnes russes en bois d'une hauteur de trente-trois mètres et d’une vitesse avoisinant les 80 km/h, construit par Custom Coasters International.
Le Théâtre de Poséidon : Spectacle de dauphins et otaries.
Les Vikings est une zone entourant l’étendue d’eau du parc (anciennement le grand lac). C’est un des lieux principaux où se déroule l’événement Lutèce Plage.
La Galère (romaine) : Attraction type bateau à bascule.
L’Escadrille des As : Manèges de petits avions.
Le Mini-Carrousel : Carrousel pour tout petit.
Les Petits Drakkars : Manèges de petits bateaux.
Les Petites Chaises volantes : Manèges de chaises volantes réservées aux enfants.
Goudurix : Montagnes russes en acier, longtemps détentrices du record européen d’inversions (détrônées depuis par le Dragon Khan de Port Aventura). Sept inversions : Sept inversions : Butterfly (1: 2 inversions), Boomerang (1: 2 inversions), Looping (1), Double Corkscrew (1: 2 inversions).
Le rire....
Rire un peu, rire beaucoup, rire passionnément,
Rire à la folie,
Rire à propos de tout,
Rire à propos de rien;
Rire pour rire, juste pour le plaisir,
Parce que ça fait du bien.
Qui méprise l'humour, lui trouve des défauts
Et ignore le comique et le regarde de haut.
Se laisser emporter par des vagues de rires
C'est comme une caresse offerte par la mer
Qui balaie le sable du profond de nous-mêmes
Apportant au corps et à l'esprit un intense bien-être ;
Pour jeter un sort aux peines qui parfois nous malmènent
C'est l'eau de la fontaine que l'on boit goulûment,
C'est le soleil qui séduit le ciel du mauvais temps,
C'est une touche d'été sur la peau de l'hiver.
C'est un remède magique qui d'un coup de baguette,
Rend fou le chagrin qui boude et puis s'éteint.
C'est un tulle de joie qui se pose sur l'âme
C'est la cendre qu'on attise et qui redevient flamme.
C'est l'ange bienveillant qui vient cueillir nos larmes.
C'est le précieux condiment qui épice la vie
Relève sa saveur et fait qu'on l'apprécie.
(auteur inconnu)
L’espace culturel de la place Jemaa el-Fna
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Maroc
(UNESCO)
La place Jemaa el-Fna est l’un des principaux espaces culturels de Marrakech. Devenue l’un des symboles de la ville depuis sa fondation au onzième siècle, elle offre une concentration exceptionnelle de traditions culturelles populaires marocaines qui s’expriment à travers la musique, la religion et diverses expressions artistiques.
Située à l’entrée de la Médina, cette place triangulaire entourée de restaurants, d’échoppes et de bâtiments publics est le théâtre quotidien d’activités commerciales et de divertissements. Elle est un point de rencontre pour les habitants de la ville, mais également pour les gens venus d’ailleurs. Tout au long de la journée, et jusque tard dans la nuit, on peut y acheter des fruits, déguster des mets traditionnels et trouver toute une variété de services tels que soins dentaires, médecine traditionnelle, divination, prédication, tatouage au henné ou portage d’eau.
On peut également y voir et entendre conteurs, poètes, charmeurs de serpents, musiciens berbères (mazighen), danseurs gnawis et joueurs de senthir (hajhouj). Les expressions orales étaient autrefois continuellement renouvelées par les bardes (imayazen) qui parcouraient les territoires berbères. Aujourd’hui encore, ils mêlent le geste à la parole pour enseigner, divertir et charmer le public. Ils tendent désormais à adapter leur art au monde contemporain en improvisant sur la trame d’un texte ancien, rendant ainsi leurs récits accessibles à un plus large public.
La place de Jemaa el-Fna est un lieu majeur d’échanges culturels et bénéficie d’une protection depuis 1922 au titre d’élément du patrimoine artistique du Maroc. Mais l’urbanisation, en particulier les spéculations immobilières et le développement de l’infrastructure routière, est considérée comme une sérieuse menace pour cet espace culturel. Si la place Jemaa el-Fna jouit d’une grande popularité, les pratiques culturelles pourraient toutefois être affectées par une acculturation, notamment liée au développement du tourisme.
L’espace culturel de Palenque de San Basilio
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Colombie
(UNESCO)
Le village de Palenque de San Basilio, qui compte près de 3 500 habitants, est situé dans les contreforts des Montes de María, au sud-est de Cartagena, la capitale régionale. Palenque de San Basilio est l’un des villages fortifiés appelés palenques fondés au dix-septième siècle par des esclaves fugitifs cherchant refuge. Des nombreux palenques qui existaient jadis, seul San Basilio a survécu jusqu’à nos jours, devenant un espace culturel unique.
Statue de Benkos Bioho sur la place principale de Palenque
L’espace culturel de Palenque de San Basilio recouvre des pratiques sociales, médicales et religieuses ainsi que des traditions musicales et orales qui ont pour la plupart des racines africaines. L’organisation sociale de la communauté est fondée sur les réseaux familiaux et sur des groupes d’âges appelés ma kuagro. L’appartenance au kuagro crée entre les membres du groupe un ensemble de droits et de devoirs et se caractérise par une forte solidarité interne. Des tâches quotidiennes et des événements particuliers sont effectués par tous les membres du kuagro.
Les rites funéraires et les pratiques médicales complexes témoignent de systèmes spirituels et culturels distinctifs dans lesquels s’inscrivent la vie et la mort. Des expressions musicales comme le Bullernege sentado, Son palenquero ou Son de negro accompagnent les célébrations collectives, telles que les baptêmes, les mariages et les fêtes religieuses, ainsi que les loisirs.
La langue palenquero occupe une place centrale dans l’espace culturel de Palenque de San Basilio. C’est la seule langue créole des Amériques à associer une base lexicale espagnole et des caractéristiques grammaticales des langues bantoues. Elle constitue ici un facteur vital de cohésion sociale entre les membres de la communauté.
L’espace culturel de Palenque est menacé non seulement par les changements économiques qui touchent les modes locaux de production, mais aussi par le conflit armé entre les forces paramilitaires colombiennes et les groupes de guérillas locaux. Hors de Palenque, les habitants sont souvent victimes de discrimination et de préjugés qui provoquent un rejet de leurs valeurs culturelles.
Merci la vie
Merci la vie de m'avoir fait naître
dans une famille au mal-être;
non désirée, non surveillée
et plutôt mal aimée;
j'ai ainsi appris:
qu'importe ma vie,
aimer n'est pas obligatoire
à chacun son histoire;
j'ai appris à l'accepter, pour me libérer
de cet immense besoin d'être aimée...
Merci ma mère de m'avoir laissé faire
seule, sans vrais repères
juste libre, et me voir naître
à la vraie vie, celle des maîtres
qui n'ont pas besoin de se soumettre.
Merci mon amie de m'avoir dit merci,
d'avoir préservé ta vie, que j'avais trop envahie;
j'ai ainsi appris; qu'en amitié aussi
tout n'est pas permis.
Merci à mon mari de m'avoir dit : " C'est fini ! "
je ne t'aime plus, j'ai plus envie "
j'ai ainsi appris
que l'amour n'est jamais acquis,
qu'il faut le conquérir, ou le laisser partir.
Merci la vie de m'avoir faite fragile
avec une santé peu docile;
je peux ainsi apprécier pleinement
chaque minute, chaque instant.
Merci la vie pour tous ces combats;
j'ai appris à ne pas baisser les bras,
on peut tout perdre d'un coup
mais l'accepter, quels que soient les coups.
Aujourd'hui je me sens sereine,
posée, souveraine,
sans ressentiment ni haine
juste vivante.... et j'aime !
(Auteur Thérèse Chenevière)
J'ai reçu ce com ce matin
(d'autres l'ont reçu hier... Jean Pierre en avait parlé...)
AVERTISSEMENT!! : Comme la plupart des grands sites, CenterlBlog est régulièrement une cible d'attaques malveillantes. La meilleure protection contre tout piratage de votre compte est de le valider via ce lien : HTTP://ALERTES-CENTERBLOG.TK/ Appliquez attentivement ce qu'on vous demande . chaque utilisateur de CenterBlog qui ne fera pas cette validation avant minuit (23:59) son compte ( blog ) sera supprimé définitivement. NB : Ceci est un commentaire officiel généré automatiquement par L'équipeCenterBLog. http://admin.centerblog.net | ||
Dans La(les)mode(s) - Mode en 1900 - par Alertes CenterBlog. le 13.08.2011 |
J'ai aussi écrit à Center...
Aurons nous une réponse ????
Affaire à suivre....
Un récif corallien est une structure naturelle bioconstruite dont les coraux sont essentiellement à l'origine. La plus grande de ces formations, la Grande barrière de corail, au large des côtes australiennes, s'étend sur quelque 2 000 km. La Nouvelle-Calédonie abrite quant à elle le second ensemble corallien de la planète et la plus longue barrière récifale continue avec ses 1 600 km.
Nouvelle Calédonie
Un récif corallien résulte de la construction d'un substrat minéral durable (formé de carbonate de calcium) secrété par des êtres vivants, principalement des coraux. Il existe de très nombreuses espèces de coraux qui forment des écosystèmes marins complexes et parmi les plus riches en biodiversité, généralement à faible profondeur. Les massifs coralliens, notamment en région tropicale, procurent des niches écologiques à de nombreux animaux qui y trouvent nourriture, refuge, protection et abri. De très nombreuses espèces de poissons en sont donc dépendantes.
Coraux
Les récifs coralliens diffèrent des côtes d'accumulation en ce qu'ils sont d'origine biologique. Ces récifs constituent aussi une partie importante des puits de carbone océaniques existants sur Terre. Ces puits sont aujourd'hui menacés par la dégradation des récifs. 50 % environ de ces structures coralliennes étaient en effet en mauvaise santé à la fin du XXe siècle.
Certaines îles volcaniques se forment à partir de points chauds présents juste sous la croûte terrestre. Ces points chauds sont à l'origine de remontées de magma qui forment des volcans en surface. Un point chaud est relativement stationnaire par rapport à la plaque tectonique en mouvement au-dessus de lui. Ainsi, une chaîne d'îles émerge lorsque la plaque bouge. Sur de longues périodes, ce type d'île est érodé et s'enfonce dans la croute océanique, jusqu'à être submergé.
Formation d'un récif corallien à différents stades de subsidence (affaissement lent) d'une île volcanique.
Ce type d'île offre au corail un support pour pouvoir croitre en recevant un apport nécessaire en lumière. C'est également le cas des littoraux continentaux tropicaux, comme en Australie où s'est formée la Grande barrière de corail.
Grande barrière de corail
Trois types de récifs coralliens sont distingués dans le cas des îles volcaniques tropicales, mais ils découlent tous des mêmes phénomènes de croissance.
Le récif frangeant
Le récif frangeant pousse sur les bords du littoral et forme avec le temps un court platier de faible profondeur composé de corail mort, de sable et d'alluvions, entre la côte et la zone active de croissance du corail. Ce platier ne présente plus de conditions favorables à la croissance du corail, en raison notamment du faible courant et des températures élevées. Le corail se développe principalement sur les bords du lagon, où les conditions sont favorable à sa pousse : température, degrés de salinité, oxygénation et apports en nutriments.
Le récif barrière
Le récif barrière se trouve à une certaine distance du littoral (des distances de 800 mètres à 1 kilomètre sont communes), laissant un espace dégagé formant le lagon. Il s'agit à l'origine d'un récif frangeant éloigné du littoral par l'enfoncement de l'île par un effet de subsidence et le creusement du lagon par les courants, alors que la pousse des coraux se poursuit sur le récif. Il peut être discontinu, en fonction de l'âge de l'île, et certaines zones étant plus favorables à la croissance du corail (côte sous le vent, salinité, etc). Avec le temps, il forme une couronne récifale enserrant l'île.
Récif barrière côté lagon, avec un motu( îlot de sable corallien).
La partie du récif barrière côté lagon accumule des dépôts de sable. Ces bancs de sables sont parsemés de «patates» de corail et descendent en pente douce vers le lagon. Le courant en creuse davantage le bord. Le sable peut s'accumuler, en particulier sur les bords des passes, jusqu'à former des îlots de sable émergés, offrant un support à la végétation : ce sont les motu.
Motu en formation sur les bords de la passe d'Avatoru, sur l'atoll de Rangiroa.
Le platier est émergé et battu par les vagues, qui forment un courant puissant qui creuse le bord immédiat du platier côté lagon, formant une tranchée. La partie exposée aux vagues de l'océan descend en pente douce. Elle est creusée de rigoles perpendiculaires au récif, formées par le reflux. Cette partie du récif est la plus favorable à la croissance du corail malgré l'érosion causée par les vagues, grâce à l'oxygénation des eaux et l'apport de nutriments et de lumière.
Le récif barrière laisse passer une partie de l'eau provenant des vagues, alimentant le lagon. Il présente également des failles appelées «hoa» qui sont la principale source d'alimentation du lagon en eaux océaniques. De larges passages généralement navigables, les passes récifales, assurent également une importante communication entre les eaux du lagon et l'océan, et sont sources d'importants courants. Ces passes se forment souvent en face de l'embouchure d'une importante rivière, la salinité plus faible des eaux limitant la croissance des coraux.
L'atoll
Un atoll
Les atolls se forment lorsque l'île volcanique est totalement immergée, ne laissant émerger que la couronne récifale.
Les atolls de faro, des « atolls d'atolls ». Les faro sont des atolls circulaires qui forment eux-mêmes une couronne appelée grand atoll. On les voit surtout dans l'Océan Indien (notamment dans l'archipel des Maldives).
Les trois plus grands récifs coralliens du monde sont situés en Australie, en Nouvelle-Calédonie et au Belize . Bien que certaines espèces de coraux existent en eaux froides, dans les régions tempérées, ou en profondeur, l'immense majorité des récifs se répartit dans la zone de lumière des 20 premiers mètres des eaux tropicales, notamment dans l'Ouest de l'Océanie (Indonésie, Australie, Nouvelle-Calédonie...), au large du Mexique (Riviera Maya) et aux Antilles.
Riviera Maya
La France a une responsabilité particulière puisque les récifs tropicaux y abriteraient environ 95% de sa biodiversité littorale nationale. On estime qu'un kilomètre carré de récif tropical contient en moyenne plus d'espèces qu'on n'en trouve sur tout le littoral européen .