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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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La valeur réelle...
Un conférencier bien connu
commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 €. Il demande aux gens: "Qui aimerait avoir ce billet ?"
Les mains commencent à se lever alors il dit: "Je vais donner ce billet de 100 € à un de vous mais avant,
laissez-moi faire quelque chose avec."
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande: "Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?"
Les mains continuent à se lever.
"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."
Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande : "Qui veut encore avoir ce billet ?"
Évidemment, les mains continuent de se lever.
" Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 €. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements.
Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment. La valeur d'une personne ne tient pas à ce l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."
(auteur inconnu)
La mode en 1900 ou mode de la Belle Époque se caractérise, dans la silhouette féminine, par un goût pour les lignes souples, les courbes, les volutes et les dentelles, dans l'esprit direct de l'Art nouveau, tandis que la silhouette masculine reste très sobre, très sombre et mince, comme tout au long du XIXe siècle. Cette période de prospérité et de relative insouciance donne lieu à une mode qui oscille entre luxe abondant et désir de légèreté.
L'évolution de la silhouette masculine
Un homme du monde en 1895.
Il y a eu très peu d'évolution tout au long du XIXe siècle et au début du XXe siècle, dans le très simple costume trois pièces (pantalon, veste et gilet) noir ou sombre porté aussi bien par les hommes les plus aisés que par la bourgeoisie plus modeste. Les différences, subtiles, se font sur les accessoires : qualité des tissus, montre à chaînette d'or, canne à pommeau sculpté, gants de chevreau, etc. font la panoplie de l'homme du monde ou du dandy.
L'élégant Robert de Montesquiou, dandy et poète.
De même, les tenues des ouvriers et des paysans restent très figées, comme tout au long du siècle précédent.
Les cheveux étaient généralement portés courts ; ni favoris ni cheveux mi-longs n'étaient plus en faveur. La moustache était très à la mode, et dans une moindre mesure, une petite barbichette pointue.
L'évolution de la silhouette féminine
Gravure de mode en 1892.
Vers 1892.
En 1895 : le summum de la mode des manches gigot.
En 1897 : les manches redeviennent plus simples.
De façon générale, la jupe a perdu de l'ampleur de façon assez régulière, des années 1870 à 1910, tandis que le haut du corps, après avoir commencé à s'élargir pour compenser (manches gigot des années 1895), s'est mis lui aussi à s'amincir. À quelques exceptions près, la silhouette n'a cessé de perdre de l'ampleur et de la superbe, avant d'aboutir aux vêtements basiques et utilitaires du XXe siècle.
En 1901, la nouvelle silhouette en S
- Passage de la crinoline à la tournure des années 1870-1900, puis à une jupe de beaucoup moins d'ampleur portée sur de simples jupons.
- Évolution de la silhouette : grâce au nouveau corset droit devant élaboré par Inès Gaches-Sarraute, les hanches et fesses sont projetées en arrière, les reins très cambrés, tandis que la poitrine pigeonne. De profil, la femme a donc une silhouette dite en S.
Publicité d'un corsetier pour ses corsets nouveaux.
- Nouvelles tenues féminines conçues exclusivement pour le sport : la bicyclette, la natation, le corset permettant l'équitation ou le golf. Elizabeth Smith Miller, une Anglaise, a inventé au milieu du XIXe siècle des culottes bouffantes. Elles sont popularisées par Amelia Bloomer et vont porter son nom, les bloomers. Décriées comme inconvenantes et pratiquement pas portées à leur invention, celles-ci vont trouver leur usage à partir des années 1890-1900, dans la pratique de la bicyclette - même si certains les critiquent encore, pensant que seule la jupe longue puisse convenir à une femme, elles seront communément utilisées, mais pour cette seule activité, inaugurant ainsi, avec les tenues de bain, les vêtements spécifiques à un sport coutumiers de nos jours. Les bloomers disparaissent dans les années 1910-1920.
À bicyclette. La jeune femme porte des bloomers.
Envie de porter sa tenue de bicyclette à la ville.
Costumes de bain en 1898.
Pin-up sur la plage. (1903)
The winning girl (la gagnante). Corset facilitant le sport.
Les dessous de la Belle Époque mettent à l'honneur la dentelle, les rubans, et représentent un peu l'âge d'or du frou-frou.
La femme revêt, dans l'ordre : une longue chemise (en coton, en batiste, etc.), par-dessus laquelle elle lace son corset (qui n'est jamais placé à même la peau, ce qui le salirait trop vite et obligerait à des lavages et un rachat trop fréquents). Puis elle met, souvent, un cache-corset brodé (qui tend à disparaître au début du XXe siècle cependant), des pantalons au bas de dentelles, une tournure (descendante de la crinoline), un ou des jupons et enfin sa robe.
Les dessous de 1895-1900
1901 voit la création du tout nouveau corset "droit devant".
Les accessoires de mode
Malgré les persécutions dont il a été victime, le loup est aujourd’hui présent dans la plupart des pays de l’hémisphère nord.
Le loup arctique (Canis lupus arctos), une sous-espèce du loup gris, est un bel exemple des formidables capacités d’adaptation des loups.
Comme son nom l’indique, ce loup vit dans toute la région arctique.
Il existe en réalité plusieurs sous-espèces que l’on désigne sous l’appellation « loup arctique ». En arctique, ce loup blanc, appelé amarok (ou amaruk) par les Inuits, est l’un des prédateurs du caribou ou du bœuf musqué.
Sous l’appellation, loup arctique, on trouve le loup arctique (Canis lupus arctos)
Loup arctique
le loup du Groenland (Canis lupus orion)
Canis lupus orion
et le loup de Terre Victoria (Canis lupus bernardi), une sous-espèce malheureusement éteinte.
Canis lupus bernardi
Portrait du loup arctique
La morphologie des loups varie considérablement en fonction de leur aire de répartition. Le loup arctique peut atteindre 80 kg pour les plus grands spécimens.
La hauteur au garrot varie de 60 à 75 cm.
Loup arctique.image Tambako the Jaguar
La couleur de sa robe varie en fonction des saisons et des individus. En hiver, elle est d’un blanc immaculé ce qui le rend difficile à observer.
Il se fond parfaitement dans le paysage glacé de l'archipel Arctique septentrional. Cependant, tous les loups arctiques ne sont pas blancs. Leur pelage varie du blanc au presque noir en passant par le gris et le roux.
Le loup du grand Nord n'est pas toujours blanc.
Plus on progresse vers le nord, plus les loups ont un pelage fourni, constitué d’une sous-couche de poils laineux, qui permet au loup arctique de supporter des températures de – 57°C.
Imperméabilisés par une sécrétion naturelle, le sébum, les poils du loup l’isolent totalement de la pluie et de la neige.
L’été, il perd son pelage supplémentaire et prend une allure hirsute.
image Arrr !/ Steve Gregory
La vie sociale du loup arctique n’est pas fondamentalement différente de celle des autres sous-espèces.
La seule différence est l’habitat et le peu de proies au km². Ce biotope assez pauvre oblige le loup blanc à de grands déplacements afin de pouvoir trouver de quoi nourrir la meute.
La survie en Arctique
On peut délimiter les régions arctiques par un caractère commun : leur température moyenne ne dépasse pas 10°C pendant le mois le plus chaud, en juillet.
L’Arctique est une région couverte d’une immense banquise, dont la partie centrale est une masse d’eau gelée en permanence.
Elle flotte sur l’océan arctique.
En hiver, la banquise couvre 15 millions de km².
Loup arctique.image Tambako the Jaguar
Le loup de l’Arctique passe l’automne et l’hiver à errer seul ou en petites meutes, en quête permanente de nourriture.
Pendant ces mois d’obscurité, il peut survivre à des températures extrêmes et connaître des semaines de jeûne.
Etant donné le peu de proies, leur territoire peut être immense, jusqu’à 3 000 km². Si une autre meute s’aventure sur ce domaine, les conflits sont inévitables.
Au nord du cercle polaire, on appelle « toundra », les terres souvent plates et sans arbres. Pendant le bref été, une végétation rase pousse sur le sol gelé.
Les carnivores comme l’ours, le renard polaire ou le loup en profitent pour varier leur menu, se nourrissant de baies, de poissons, de crustacés ou d’insectes.
Loup arctique en approche.image Ber'Zophus
Le loup arctique en profite également pour se nourrir des nombreux oiseaux migrateurs qui viennent nicher avant de repartir.
Seul, le loup s’attaque aux lièvres arctiques et aux lemmings. Pour les proies importantes, tous les membres de la meute collaborent.
Ils suivent alors les migrations des troupeaux de caribous ou de bœufs musqués. Intelligents, ils séparent les jeunes ou les plus faibles du reste du troupeau.
Ils savent bien que ces individus ne pourront pas les distancer.
Un caribou ou un bœuf musqué peut nourrir une meute pendant plusieurs jours.
La cellule de base est souvent un groupe familial composé d’un mâle, d’une femelle et de leurs petits.
Pour des raisons de survie, les meutes ne sont pas très importantes, jusqu’à 15 individus maximum.
Couple de loups de l'Arctique.image Ber'Zophus
Après une période de gestation de neuf semaines, la femelle met au monde environ cinq petits.
Elle ne se reproduit qu’une fois par an. Pour donner à ses petits els meilleures chances de survivre.
Ils naissent dans une tanière creusée par la femelle. En Arctique, les tanières servent d’une année sur l’autre.
Les louveteaux, qui naissent aveugles, dépendant du lait de leur mère pendant les quatre premières semaines, puis la meute participe à l’alimentation, en régurgitant la viande ingérée.
Les jeunes sont les premières victimes du premier hiver. Nomades, ils doivent suivre la meute coûte que coûte. Maladies, famine, blessure sont les principales causes de mortalité.
Leur longévité dans un tel environnement dépasse rarement 10 ans.
Malgré tout, les populations, bien que faibles, restent à peu près stables. L’homme continue à chasser le loup, même en Arctique.
Les Inuits les chassent pour leur peau qui sert notamment à fabriquer des vêtements. Globalement, on estime la population à environ 10 000 loups.
Le plus gros danger est la fonte des glaces. En 50 ans, les scientifiques estiment que la banquise de l’Arctique a perdu 40% de son épaisseur et 10% de sa superficie. Les nouvelles sont pessimistes puisque la fonte des glaces s’accélère. Il se pourrait bien que dans 100 ans, la banquise ait totalement disparu.
Nous dépendons de l’équilibre des pôles car nous sommes reliées aux régions polaires par tout un réseau de courants marins.
De plus, que deviendront les animaux qui y vivent ?
Le chemin qui nous mène...
Le week-end dernier fut particulièrement beau.
Tôt le matin, je décidais d'aller à pied rendre une visite à des amis que je n'avais pas vus depuis longtemps.
Je n'ai pas encore fait installer le téléphone dans ma maison de campagne et je ne pouvais pas m'assurer que mes amis étaient chez eux avant de les rejoindre.
Tant pis, j'ai chaussé mes tennis et me suis mis en route.
Sur le chemin, je n'ai rencontré personne. J'ai pu marcher tranquillement m'enivrant des senteurs de la nature en fleur et appréciant le calme de la campagne baignée de soleil. Je me demandais tout de même si mes amis seraient chez eux.
Le chemin était long et j'ai eu le temps d'aborder tranquillement les idées de mon prochain livre : j'ai pensé au titre, j'ai décrit plus précisément le plan, j'ai peaufiné les idées.
J'ai également eu l'occasion de faire le vide, de ne pas penser, de vivre ce qui s'offrait à moi: des choses simples comme la chaleur sur ma peau, le plaisir de ressentir l'appétit qui faisait gargouiller mon ventre, la soif, la douleur que je parvenais à surpasser pour avancer...
Arrivé à l'entrée du village, je me suis dirigé vers la maison de mes amis. J'ai sonné 3 fois. Personne n'a répondu. J'aurais dû me douter qu'avec un soleil pareil ils étaient eux aussi partis en ballade. Et pourtant... je n'ai pas été déçu un seul instant !
J'ai marché jusqu'au port, je me suis assis sur un banc en pierre et j'ai souri en repensant aux kilomètres que j'avais parcourus... pour rien !
Vous aussi, vous avez certainement eu l'impression un jour ou l'autre, d'avoir fait des efforts, d'avoir donné sans retour, d'avoir marché vers un but que vous n'étiez pas certain d'atteindre.
Mais le but est-il plus important que le chemin parcouru ? Trop souvent, concentrés sur le but, nous oublions de jouir de l'instant et d'apprécier le voyage.
(auteur inconnu)
Ce qui est important
« Je me sens triste ! » dit une vague de l'océan en constatant que les autres vagues étaient
plus grandes qu'elle.
« Les vagues sont si grandes, si vigoureuses,
et moi je suis si petite, si chétive. »
Une autre vague lui répondit : « Ne sois pas triste.
Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches
à l'apparent,
tu ne conçois pas ta véritable nature. »
« Ne suis-je donc pas une vague ? »
« La vague n'est qu'une manifestation transitoire
de ta nature.
En vérité tu es l'eau. »
« L'eau ? »
« Oui. Si tu comprends clairement que ta nature
est l'eau,
tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vagueet ton chagrin disparaîtra. »
Avoir à l'esprit que l'humanité fait partie d'un ensemble est important.
Car l'être humain se considère souvent comme le centre des choses
en s'arrogeant des droits particuliers
qui n'ont pas de raison d'être.
Ainsi il ne voit que chez son prochain
ce qu'il n'a pas,
sans voir ce qu'il a déjà, et se cause
les plus inutiles soucis.
Texte zen