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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Djémila
(Unesco)
Djémila, ou Cuicul, avec son forum, ses temples et ses basiliques, ses arcs de triomphe et ses maisons, à 900 m d’altitude, est un exemple remarquable d’urbanisme romain adapté à un site montagneux.
Le site de Djémila est situé à 50 km au nord-est de la ville de Sétif. Connu sous son nom antique Cuicul, le site de Djémila est un établissement d'une ancienne colonie romaine fondée sous le règne de Nerva (96-98 de notre ère). La ville romaine occupait un site défensif remarquable. Cuicul est l'un des fleurons de l'architecture romaine en Afrique du Nord. S'étant remarquablement pliée aux contraintes du site montagneux, un éperon rocheux qui s'étire, à 900 m d'altitude, entre l'oued Guergour et l'oued Betame, deux torrents montagnards, la ville possédait son propre sénat et son forum. Vers le début du IIIe siècle, elle débordait de ses remparts par la création du temple de Septimius Severus, l'arc de Caracalla, le marché et la basilique civile.
Arc de carcalla
Temple de Septimus Severus
Le site a été aussi marqué par une empreinte chrétienne matérialisée par plusieurs édifices de culte : une cathédrale, une église et son baptistère considéré parmi les plus grands de la période paléochrétienne. Le site de Djémila comprend une collection remarquable de pavements en mosaïques, illustrant des récits mythologiques et des scènes de la vie quotidienne.
Djemila constitue un témoignage tout à fait exceptionnel de la civilisation romaine, dont elle présente un ensemble architectural remarquablement représentatif avec son forum, ses temples, ses basiliques, ses arcs de triomphe et ses maisons. C'est également un intéressant exemple de planification urbaine adaptée à un site montagneux.
La colonie romaine de Cuicul a probablement été fondée sur le site actuel de Djemila durant le court règne de l'empereur Nerva (96-98 apr. J.-C.). La ville la plus ancienne, dont le nom est d'origine berbère, occupe une position remarquablement bien défendue sur un éperon rocheux qui culmine à 900 m d'altitude, et que délimitent deux cours d'eau, le wadi Guergour et le wadi Betame.
La formule classique d'urbanisation romaine a dû être adaptée aux contraintes imposées par ce site : les deux extrémités du cardo maximus, véritable colonne vertébrale de la ville, sont fermées par deux portes.
Le Cardo Maximus
Le centre est occupé par le forum, espace clos entouré par les édifices essentiels au fonctionnement de la vie civique : le capitolium au nord, la curia à l'est, une basilique civile (la basilica Iulia) à l'ouest.
Le capitolium
Au cours du IIe siècle apr. J.-C., les maisons aristocratiques présentant de riches mosaïques, qui leur ont valu leur nom actuel (maison d'Amphitrite, d'Europe, etc.), se sont multipliées dans ce secteur central, où se trouvaient aussi le temple de Vénus Genitrix et le macellum. Toutefois, cette situation étriquée, bloquée à l'intérieur de ses murs, gênait le développement de la ville.
Temple de Venus Genetrix
C'est pourquoi, vers le milieu du IIe siècle, Djemila se développa en direction du sud où fut créé un nouveau quartier occupé par de nombreux bâtiments, publics ou privés. C'est là que fut construit l'arc de Caracalla, le temple de la famille des Sévères, un nouveau forum, un théâtre (achevé dès le règne d'Antonin le Pieux) et, au-delà, des thermes construits sous le règne de Commode.
Le théâtre
Les thermes
Parmi les édifices de la période classique, on notera en particulier la basilica Vestiaria (le marché aux vêtements) et une fontaine qui est un modèle réduit de la meta Sudans de Rome.
La basilique
Le christianisme s'implanta dans le quartier sud dès une haute époque. On y a en effet localisé les vestiges d'un groupe de bâtiments épiscopaux : deux basiliques, un baptistère, une chapelle et différentes maisons, dont la résidence de l'évêque et celle du prêtre.
Baptistère
Les Vandales n'occupèrent Djemila que peu de temps : la ville fut reprise par les Byzantins en 553. Les fouilles du site abandonné, qui offre l'un des exemples les plus profondément suggestifs de ruines romaines, n'ont commencé qu'en 1909.
La Kalâa des Béni Hammad
(UNESCO)
Dans un site montagneux d’une saisissante beauté, les ruines de la première capitale des émirs hammadides, fondée en 1007 et démantelée en 1152, nous restituent l’image authentique d’une ville musulmane fortifiée. Sa mosquée, avec sa salle de prière de 13 nefs à 8 travées, est l’une des plus grandes d’Algérie.
La Kalâa des Béni Hammad est un site archéologique remarquable qui se situe à 36 km au nord-est de la ville de M'Sila. Cet ensemble, constitué de ruines préservées à 1 000 m d'altitude, est situé dans un site de montagnes d'une saisissante beauté sur le flanc sud du Djebel Maâdid. La Kalâa des Béni Hammad a été fondée au début du XIe siècle par Hammad, fils de Bouloughine (fondateur d'Alger), et abandonnée en 1090 sous la menace de l'invasion hilalienne. C'est un des complexes monumentaux les plus intéressants et les plus précisément datés de la civilisation islamique. Elle fut la première capitale des émirs hammadites et a connu une grande splendeur. La Kalâa comporte, à l'intérieur d'une enceinte fortifiée de 7 km partiellement démantelée, un grand nombre de vestiges monumentaux, parmi lesquels la grande mosquée et son minaret, et toute une série de palais.
La mosquée, avec sa salle de prière de 13 nefs à 8 travées est la plus grande après celle de Mansourah et son minaret est le plus ancien d'Algérie après celui de Sidi Boumerouane. Les ruines de la Kalâa témoignent du grand raffinement de la civilisation hammadite, d'une architecture originale et de la culture palatiale de l'Afrique du nord.
Le plan du fort du Fanal, installé sur un piton rocheux qui domine toute la zone environnante, s'inspire de celui de palais orientaux. Le palais des émirs hammadides est un complexe formé de trois résidences séparées par des jardins, des pavillons ou des citernes.
Les fouilles ont mis au jour d'autres palais, ainsi qu'une grande quantité de mobilier qui est exposé dans les musées de Sétif, de Constantine et d'Alger.
Si tu es las
Si tu es las et que la route te paraît longue,
Si tu t’aperçois que tu t’es trompé de chemin,
Ne te laisse pas couler au fil
Des jours et du temps.
Si la vie te semble absurde,
Si tu es déçu par trop de choses
Et de gens,
Ne cherche pas à comprendre pourquoi.
Car l’arbre bourgeonne
En oubliant l’hiver,
Le rameau fleurit sans demander pourquoi.
Car l’oiseau fait son nid sans songer
À l’automne
Car la vie est espoir
Et recommencement.
(auteur inconnu)
Le costume masculin évolue peu dans la première moitié du siècle. Le costume féminin subit quant à lui plusieurs évolutions majeures qui seront dues à la guerre, au sport et à l'essor de l'automobile.
Années 1900
Les femmes portent d'immenses chapeaux, des boléros à cascade de dentelle, des jupes en corolle et des corsages ornés de perles ou de franges.
La tournure devient une robe à traîne qui sera le symbole de la Belle Époque.
À la Belle Époque, c'est aussi la mode des moustaches et des barbes pour les hommes qui se doivent d'avoir un pli parfait, pour se faire ils dorment avec un fixe-moustache.
Les femmes se doivent d'avoir une silhouette en S grâce à un corset ou une guêpière visant à faire ressortir la poitrine et d'accentuer la cambrure. Les éventails sont en vogue. C'est l'apparition des premiers manteaux de fourrure, l'apogée du haut-de-forme, et des manches gigot pour les femmes.
Années 1910
Après la Belle Époque, la guerre prend le pas sur la frivolité de la mode, l'industrie textile est mobilisée par l'effort de guerre, la mode ne réapparaît que dans les années 1920.
La Première Guerre mondiale paralyse le monde de la mode mais apporte des sous-vêtements plus confortables.
Pour les femmes
C'est le retour de la jupe-culotte ou jupe-pantalon sous une autre forme que celle lancée par l'essor de la bicyclette, la culotte ressemble plus à un large pantalon de satin et descend désormais en bas des jambes avec une jupe drapée par dessus.
La mode est à la silhouette allongée et dans cet esprit le sac à main se porte en bandoulière sur l'épaule tombant jusqu'aux chevilles.
Le corset dit ligne normale fait son apparition.
En 1914, les perruques de couleurs sont de mise avec une tenue de soirée.
À La Parisienne, Hiver 1913-1914
Pour les hommes
L'avènement du complet révolutionne la mode masculine.
Années 1920
La mode réapparaît transformée par les privations : les jupes se portent courtes (en dessous du genou), le tailleur a été adopté : tenue de ville confortable et pratique.
Grâce aux grands paquebots qui relient l'Europe et les États-Unis, les deux continents s'influencent en termes de mode.
Le sport et l'automobile influencent de plus en plus les vêtements.
Pour les femmes
La silhouette est allongée et droite ; le buste est plat, la poitrine gommée et la taille très basse.
En été, les bras et le cou sont découverts ainsi que les jambes jusqu'au-dessous du genou.
Les costumes de bains prennent l'allure de véritable maillots de bain même s’ils restent encore très couvrants sur les cuisses ou les épaules.
En hiver, pour le ski notamment, c'est le retour de la culotte collante portée avec des guêtres.
Le manteau est croisé, long et fermé par un col roulé moulant.
C'est l'apparition de la coiffure dite garçonne et du chapeau dit cloche.
Le corset a définitivement été remplacé par le porte-jarretelles et le soutien-gorge, la lingerie disparaissant presque totalement.
Avec l'essor de l'automobile, le vêtement féminin a nettement évolué pour passer en à peine 20 ans du haut corset avec jupe traînante, chignon, ombrelle et chapeau lourdement orné à voilette au chandail échancré à bras nus avec jupe aux genoux et chapeau-cloche.
Pour les coiffures, c'est l'avènement de la Mise-en-pli qui restera en vogue aussi dans les années 1930.
Pour les hommes
L'allure sportive est de mise, le complet se porte avec des motifs à carreaux, le pantalon de golf est très tendance.
Peu d'évolution, la veste est devenu veston et le chapeau se porte mou. La tenue de soirée reste le smoking.
L'essor de l'automobile ayant aussi apporté quelques éléments à la tenue : cache-poussière, casquette, lunettes et gants de cuir.
Années 1930
Le sport fait évoluer les vêtements et la mode.
Pour les femmes
La gaine en latex redessine les contours de la femme.
La robe longue refait son apparition sous forme de robe de soirée, mais le tailleur reste de mise en tenue de ville.
En été 1933, le short apparaît massivement sur les plages parfois assorti avec un dos nu.
Le manteau se porte court, bordé de fourrure et porté avec une toque assortie ou en cape.
Le chapeau est un béret ou un feutre.
Le corsage est sanglé dans la ceinture.
La jupe remonte progressivement au-dessus du genou pour être alors qualifiée de très courte.
C'est en été 1939 que le pantalon s'impose dans la mode féminine avec une coupe large et des revers.
Le maillot de bain une pièce et son bonnet deviennent un véritable vêtement à nager.
Pour les hommes
Le costume de golf en Prince de Galles (tissu) avec casquette assortie est en vogue dont Tintin immortalisera le pantalon.
Années 1940
La guerre paralyse de nouveau l'industrie du textile, les matières premières sont rares et chères. Cette situation impose une mode de circonstance due aux privations : jupe courte (en dessous du genou), épaules carrées, petit chapeau bricolé avec des morceaux de rideau ou turban, chaussures à semelles compensées ou en bois. On peint une fausse couture sur les jambes pour imiter les bas, et puis on s'en passe : à la fin de la guerre, il n'est plus inconvenant de sortir en sandales avec des socquettes.
C'est aussi l'apparition des zazous.
C'est en 1947 que Christian Dior relance la mode en instaurant le New Look : ligne ample, taille fine et hanches marquées.
Années 1950
En 1954, Coco Chanel lance le tailleur comme une sorte de réaction au New Look.
Le duffle coat et le chignon choucroute deviennent populaires. Les jupes sont parfois gonflées de jupons en tulle.
Les chaussures à bride sont en vogue pour les femmes. Les hommes portent des jeans .
Tailleur Chanel
Années 1960
Les années 1960 marquent l'essor du prêt-à-porter.
Pour les femmes
Pour la soirée, la silhouette féminine se définit encore par une taille de guêpe et une jupe ou une robe longue (au-dessous du genou).
En tenue de ville, les jupes vont progressivement remonter sur les jambes pour passer de dessous le genou au début de la décennie à la minijupe en fin de décennie (à partir de 1965), favorisant du même coup le port des collants. La première minijupe est en effet apparue en 1962 à Londres, créée par la styliste Mary Quant.
Les vestes ou les cardigans sont simplement fermés bord à bord sans moyen de fixation ou alors par un unique bouton près du col.
Les manches sont longues et collantes. Les motifs notamment à pois et rayures sont en vogue.
Les accessoires essentiels sont le chapeau en forme de toque, le bandeau ou le foulard dans les cheveux et les lunettes fantaisies voire futuristes. Les bijoux sont multicolores et en plastique.
Les bottes sont à la mode. Bouleversement radical à partir de 1965: le talon aiguille galbé cède la place au talon droit et carré (haut ou plat). Le bottier Durer innove dans la couleur des cuirs, lance la cuissarde et les sandales tressées main. La silhouette féminine devient géométrique (André Courrèges, Pierre Cardin), sans taille ni poitrine, et la coiffure courte et casquée (Mireille Mathieu à ses débuts).
André Courrèges
Années 1970
C'est l'apparition de nouvelles matières dont le plastique.
Pierre Cardin crée des robes en plastique moulé et des justaucorps en résille de vinyle. Paco Rabanne crée une robe en métal.
Pour les femmes
C'est l'essor du tee-shirt imprimé et du pantalon qui se porte désormais en toutes circonstances, notamment le blue-jeans.
L'androgynie commence son apparition via les coiffures : femmes à cheveux court, hommes à cheveux long ; les femmes portent de plus en plus facilement des costumes d'homme.
Les manteaux sont amples, coupé en forme de robes ou de capes. Les pantalons ont des pattes d'éléphant.
Les chaussures sont des bottes ou sont à plate-forme. Les cuissardes lancées par les plus grands stylistes, au départ en vinyle, deviennent très vite à la mode.
Les impressions textiles s'inspirent de motifs orientaux ou des fourrures (panthère ou ocelot dans des couleurs fantaisistes bleu, rose, etc.). Les couleurs qualifiées de couleur soleil sont mises en avant pour les tenues de ville, mais le noir garde un côté sophistiqué et distingué favorisé pour les tenues de soirées.
L'essor des matières plastiques pour les accessoires (bijoux, ceinture, etc.) accentue cette tendance multicolore.
Le sous-pull devient un basique, vu comme unisexe et non lié à une classe spécifique. Ce vêtement moulant, en particulier lorsqu'il est blanc, est alors un article standard de garde-robe, utilisé par les deux sexes pendant cette période.
Le brillant est très en vogue et s'exprime sur toute la décennie via des matières brillantes (satin, vinyl, etc.) ou par les paillettes présentent autant dans le vêtement que le maquillage. Cette tendance au brillant donnera naissance à la mode du strass en fin de décennie. Le maquillage évolue aussi des paillettes vers le nacre.
La silhouette de femme devient fuselée au milieu de la décennie et c'est le début des échancrures sur les cuisses pour les maillots de bain. Dès 1979, Thierry Mugler invente la silhouette des années 1980 : veste épaulée, jupe droite, escarpins fins.
Ancienne zone le Moyen Âge, assemblés maintenant avec la rue de Paris.
C’est la première zone ayant un thème précis en dehors d’Astérix. Elle est axée sur la vie du Moyen Âge, les chevaliers, etc. Une partie couverte regroupe plusieurs artisans comme un sculpteur sur pierre, un sculpteur sur bois, un maître verrier, un forgeron ou encore un potier, qui réalisent sous les yeux des visiteurs de véritables œuvres d'art. Zone un peu particulière, se fondant dans la zone du Moyen Âge. Évolution des décors entre deux âges : XVIIe et XVIIIe siècles. Dans la partie couverte appelée la rue de Paris, on retrouve diverses animations, projections de films, boutiques, et décors dans la pure lignée de Paris au début du XVIIIe siècle.
Transdemonium : Train fantôme thématisée sur l’an Mil.
Les Chevaux du Roy : Manège semblable à son grand frère, plus orienté sur un thème médiéval.
Nationale 7 : Circuits de tacots au travers d’une petite campagne évoquant la Route bleue.
Les Chaises volantes : Manèges de chaises volantes, réservées aux plus grands.
L'Oxygénarium : Descente de bouée dans un grand toboggan. « Ferdinand de Teffélé, à l’occasion de la Foire aux inventions de Paris, propose une machine pour prendre un bol d’air. Décontamination, expiration, arrivée aux sommets des cimes… et c’est la chute ! ». Design conçu par Farmer Studios.
Main basse sur la Joconde : Spectacle de cascades. Une course poursuite entre voleurs et gendarmes, avec effets pyrotechniques.
Le spectacle de la rue de Paris : Spectacle d'animatronics.
Ce spectacle a été supprimé de la programmation du parc en 2010. Mais un nouveau spectacle devrait le remplacer.
Zone reconstituant partiellement le village d’Astérix vu dans la bande dessinée. Depuis 2004, le village ouvre à partir de 12 h 30, avec une mise en scène. C’est le principal lieu où l’on peut retrouver les personnages pour les prises des photos.
Epidemaïs Croisière (ex-Balade d'Astérix) : Circuit de petits bateaux faisant le tour du village, où l’on retrouve les personnages des principales aventures d'Astérix (Astérix chez Rahàzade, Astérix chez les Helvètes, etc.). Attraction à l’origine avec des automates, remplacé par des mannequins fixes en 1999.Les automates font tout de même en partie leur retour en 2010.
La Forêt des druides : Zone de jeux pour enfants avec toboggans, grotte magique... conçue par les deux architectes Catherine Rannou et Isabelle Devin (à l'origine du jardin des vents et des Dunes au Jardin de la Villette à Paris). Elles ont imaginé et créé les objets dynamiques (bain à brumisateur, Champignon crachant de la fumée...) et ont aménagé le jardin.
Les Chaudrons : Manège de type tasses avec des chaudrons.
Menhir Express : Attraction type flume. Voyage mouvementé à travers la forêt pour finir sur une chute d’environ quinze mètres.
La Trace du Hourra : Montagnes russes Bobsleigh construite par MACK Rides. Neuf cent mètres de descente pour une vitesse approchant les 60 km/h. Attraction visible depuis l’autoroute.
Le Grand Splatch : Circuit aquatique sur les hauteurs du rocher d’Astérix (emblème du parc, visible depuis l’autoroute) se terminant par une chute (type River Splash). Attraction remaniée en 2002 devant l’absence de tout thème et décoration durant le parcours. Ajout de jets d’eaux et autres explosions aquatiques par la société Aquatic Show. Ces effets posent de nombreux problèmes au niveau fiabilité, leur fonctionnement optimal est très rare sur l’attraction. En 2007, les fontaines tournantes ont de ce fait étés retirées. Des effets (bombes,brume...) font aussi leur retour en 2010.
Périférix : Mini montagnes russes construites par Zierer d'une longueur de deux cents mètres.
La Ronde des Rondins : Mini montagnes russes réalisées par Zierer composées d'un parcours en cercle d'une soixantaine de mètres.
La Petite Tempête : Bateaux tournant, montant, descendant à une vitesse folle sous l'effet de la force centrifuge. Attraction similaire aux Caravelles de Jacques Cartier à Nigloland.
Les Petits Chars Tamponneurs : Petite auto-tamponneuse
Bernard Bilis : - Nouveau spectacle de magie se déroulant dans le théâtre de Panoramix.
Coeur d'enfant
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir quitter des choses:
Quitter ses rêves, quitter ses roses
qui embaumaient tous nos printemps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir pleurer des choses:
Pleurer les pertes que la vie cause,
pleurer et rire en même temps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir briser des choses:
Ces carapaces que l'on pose
pour protéger nos sentiments.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut surtout être soi-même:
Tel que l'on vit, tel que l'on sent,
dessous nos masques de ciment.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut mourir tout doucement:
Mourir à soi, mourir au temps
qui passe et passe, en s'en allant.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut étreindre sa faiblesse
et l'embrasser bien tendrement
et pardonnant nos manquements,
ouvrir ses bras et sa tendresse
à ce qu'on est tout simplement.
(Auteur inconnu)