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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
N'ABANDONNEZ PAS
Quand tout va mal, comme c'est parfois le cas.
Quand la vie semble dure et pleine de tracas.
Quand l'argent manque et que les dettes s'accumulent.
Quand vous voulez sourire mais que les larmes perlent.
Quand demain semble loin et que le moral est bas.
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas!
La vie n'est pas facile si l'on veut réussir,
c'est un combat sans fin qui ne fait que grandir.
Certains baissent les bras fatigués de lutter,
quand en persévérant ils auraient pu gagner.
Gardez toujours l'espoir et le succès viendra!
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas!
Le but est souvent plus proche qu'on ne le croît.
Celui qui capitule apprend toujours après,
qu'en s'acharnant encore une dernière fois,
il aurait pu se voir couronné de succès.
Rien ne s'obtient jamais sans en payer le prix,
Le succès ne dépend que de la volonté.
C'est le fruit du labeur et de l'assiduité.
Persévérez toujours, envers et contre tout.
Gardez la tête haute au plus dur du combat.
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas.
(Auteur inconnu)
Le boulanger et le fermier...
Le boulanger d'une petite ville achetait son beurre à un fermier de la localité. Un jour en rentrant chez lui, le boulanger pesa le beurre qui venait de lui être vendu, et se rendit compte alors que le fermier avait réduit la quantité de beurre tout en exigeant le même prix. Il accusa le fermier de fraude, lui intenta un procès, et tous deux se retrouvèrent devant le juge.
Celui-ci demanda au fermier :
- Pour peser votre beurre, avez-vous des poids à mesurer ?
- Ah non, Monsieur…Mais comment faites-vous alors pour mesurer le beurre que vous vendez ?
Le fermier répondit :
- Et bien, lorsque le boulanger a commencé à acheter son beurre chez moi, j'ai pensé qu'il était juste que j'achète mon pain chez lui. Depuis ce jour, j'utilise son pain d'un demi-kilo comme mesure pour le beurre que je vends…
Moralité… : la faute que nous voyons chez l'autre pourrait bien être le reflet de la nôtre…
(auteur inconnu)
La Samba de Roda de Recôncavo de Bahia
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Brésil
(UNESCO)
La Samba de Roda est une manifestation festive populaire mêlant musique, danse et poésie. Apparue au dix-septième siècle dans l’État de Bahia, plus précisément aux environs de Recôncavo, elle procède des danses et traditions culturelles des esclaves africains de la région. Elle a également intégré des éléments de la culture lusitanienne, notamment la langue, la poésie et certains instruments de musique. Initialement composante majeure de la culture populaire régionale des Brésiliens d’origine africaine, la Samba de Roda a été apportée par les migrants à Rio de Janeiro où elle a influencé la samba urbaine, devenue au vingtième siècle le principal marqueur de l’identité nationale brésilienne.
Elle rassemble les gens pour des occasions spécifiques telles que la célébration des fêtes catholiques populaires ou des cultes afro-brésiliens, mais aussi de façon spontanée. Toutes les personnes présentes, même les novices, sont invitées à se joindre à la danse, l’observation et l’imitation constituant le moyen privilégié d’apprentissage. L’une des principales caractéristiques de cette samba est qu’elle réunit les participants en cercle, le mot roda faisant référence à un cercle. Généralement, seules les femmes dansent l’une après l’autre au centre du cercle formé par les autres danseurs qui chantent en tapant dans leurs mains. La chorégraphie est souvent improvisée et basée sur des mouvements des pieds, des jambes et des hanches. L’un des mouvements les plus typiques est le fameux umbigada d’influence bantoue, signe par lequel la danseuse désigne celle qui lui succède au centre du cercle. Des pas spécifiques comme le miudinho, l’emploi d’instruments raclés et de la viola machete, petit luth à cordes pincées originaire du Portugal, ainsi que les chants à répons, sont d’autres traits distinctifs de cette samba.
L’influence des médias et la concurrence de la musique populaire contemporaine contribuent à dévaloriser cette samba aux yeux des jeunes. Le vieillissement des praticiens et la diminution du nombre d’artisans capables de fabriquer certains des instruments sont des menaces de plus pour la transmission de la tradition.
Le savoir-faire du travail du bois des Zafimaniry
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Madagascar
(UNESCO)
La communauté des Zafimaniry est la dernière dépositaire d’une culture originale de travail du bois, autrefois très répandue dans toute l’île. Les Zafimaniry se sont établis au dix-huitième siècle dans une région boisée et reculée au sud-est de Madagascar, pour échapper à la déforestation qui ravageait à l’époque la majeure partie du pays. Aujourd’hui, quelque 25 000 Zafimaniry vivent dans une centaine de villages et hameaux dispersés dans les montagnes de la région.
Depuis des générations, les forestiers, charpentiers et artisans ont développé autour du bois un ensemble de connaissances et savoir-faire. Cette tradition artisanale témoigne du rôle central de ce matériau dans tous les aspects de la vie et de la mort. La maîtrise de la foresterie et de la sculpture sur bois transparaît dans les constructions et les objets de la vie quotidienne. Pratiquement toutes les surfaces en bois (murs, fenêtres, poteaux, poutres, tabourets, coffres, outils) sont richement travaillées.
Les Zafimaniry utilisent vingt espèces d’arbres endémiques, adaptées chacune à un type de construction ou à une fonction décorative spécifique. Les maisons et les tombeaux sont assemblés exclusivement par la technique traditionnelle du tenon et de la mortaise, sans clou ni charnière ni autre pièce métallique. Les greniers traditionnels, perchés sur des piliers ronds, sont une particularité du paysage de montagne. Les motifs géométriques extrêmement codifiés trahissent non seulement les origines austronésiennes de la communauté, mais aussi les influences arabes qui imprègnent la culture malgache. Si le nombre de motifs est limité, la créativité des artisans est telle qu’il n’existe pas deux objets identiques. La richesse symbolique de ces motifs est l’expression des croyances et valeurs des Zafimaniry. Par exemple, le tanamparoratra (toile d’araignée) symbolise les liens familiaux, tandis que le papintantely (rayon de la ruche) représente la vie communautaire. Les ornements renseignent également sur le rôle et la position sociale des individus au sein du groupe.
Depuis plusieurs décennies, les Zafimaniry vendent des statuettes et des objets décoratifs ou usuels dans les villes des alentours pour assurer leur survie. Mais cette communauté fragile risque d’être reléguée au rang de simple fournisseur d’objets d’artisanat pour le tourisme. De plus, la déforestation met en péril sa principale source de revenus.
Le funambule
Il était une fois un funambule célèbre. Tout le monde reconnaissait sa stupéfiante habileté : personne ne se souvenait l’avoir jamais vu vaciller ou tomber.
Un jour, le cirque dans lequel le funambule travaillait se trouva dans de sérieuses difficultés financières.
Afin d’attirer plus de monde, le directeur proposa au funambule de tendre plus haut le câble et d’allonger la distance du parcours.
Les employés du cirque avaient placé toute leur confiance dans leur funambule et étaient persuadés d’obtenir un succès retentissant. Se tournant vers ses collègues de travail, le funambule leur demanda : « Etes-vous sûrs que je réussirai ? »
Tous répondirent : « Nous avons confiance en toi et nous sommes absolument sûrs que tu réussiras. »
La prestation du funambule fut un grand succès. Chaque jour les gens faisaient la queue devant le guichet pour venir assister à cet extraordinaire spectacle de courage et d’adresse.
Après une année de réussite, le directeur voulut donner au cirque une renommée encore plus grande. Il proposa au funambule une prestation exceptionnelle afin d’attirer encore plus de monde. Il s’agissait de tendre un câble d’acier entre les deux bords d’une cascade vertigineuse, d’inviter toute la population ainsi que les journalistes et la télévision à cette exhibition sans précédent. Tous les membres du cirque renouvelèrent leur confiance au funambule qui accepta ce défi sans hésiter.
Le voilà tout prêt à se lancer sur le mince câble pour une traversée très dangereuse. Mais, auparavant, il demanda une dernière fois à tous ses compagnons s’ils étaient sincères quand ils l’assuraient de leur confiance illimitée.
« Oui », crièrent-ils tous, sans exception.
Le funambule partit et l’entreprise réussit parfaitement dans l’enthousiasme délirant de tous les spectateurs.
Tout à coup, le funambule leva la main et demanda la parole :
« Votre confiance en moi m’est très agréable », dit-il.
« Bien sûr ! » s’écria, au nom de tous, un membre du cirque.
« Alors, je voudrais vous proposer un exploit encore plus extraordinaire ! »
« Magnifique ! Dis-nous de quoi il s’agit. Notre confiance en toi est illimitée : nous accepterons n’importe quelle proposition de ta part ! »
« Je propose donc de refaire sur ce fil un aller et un retour en poussant une brouette. Et comme votre confiance en mon habileté est sans limite, je demande que l’un d’entre vous monte dans la brouette pour faire la traversée avec moi. »
Personne ne voulut monter.
(auteur inconnu)
Aujourd’hui, les marsupiaux sont l’emblème de l’Australie. Sur les 332 espèces de marsupiaux actuels, la plupart vivent sur le continent australien. Le reste des espèces est réparti entre l’Amérique du Sud et l’Amérique du Nord.
L’origine exacte des marsupiaux est encore méconnue mais plusieurs découvertes ont permis d’améliorer nos connaissances sur cette origine ainsi que sur les voies migratoires des premiers mammifères marsupiaux.
Caractéristiques des marsupiaux
Un marsupial est un mammifère qui se distingue du mammifère placentaire par plusieurs caractéristiques :
Bébé kangourou dans la poche maternelle. Image Subhash Chandra
Les poches marsupiales différent énormément d’une espèce à l’autre. Elles peuvent être hermétiques comme chez le yapock, constituées de simples replis de peau, ou inexistantes. Dans ce cas, c’est dans une touffe de poils que les petits sont élevés.
Apparition des marsupiaux
En réalité, pour le moment, nul ne sait quand les marsupiaux sont apparus. Tout ce que nous pouvons en dire, c’est que les plus anciens fossiles datent du Crétacé inférieur.
Marsupiaux et Placentaires cohabitaient déjà à cette époque.
Diprotodon est un marsupial végétarien qui ressemble au wombat. Il vivait en Australie et s'est éteint au cours du Pléistocène.
Selon un rapport publié dans le Bulletin of the American Museum of Natural History, n°285, un fossile de marsupial a été mis au jour dans l’Utah. Ce fossile de Kokopellia est vieux de 100 millions d’années.
Mais, en Chine, en 2000, un fossile vieux de 125 millions d’années a été identifié comme étant un marsupial. Baptisé Sinodelphys szalayi, ce marsupial arboricole est le plus vieux fossile de marsupial connu.
Il vivait au Crétacé inférieur. Il mesurait environ 15 centimètres de long et pesait 30 grammes. Cette découverte a fait l’objet d’une publication dans la revue Nature en décembre 2003.
Sinodelphys szalayi.
C’est dans la même région qu’avaient été découverts les fossiles d'Eomaia, l'un des plus anciens mammifères placentaires connus, et qui vivait à la même époque.
Ces fossiles chinois nous permettent de savoir que la séparation entre Placentaires et Marsupiaux s’est produite en plein milieu du règne absolu des dinosaures.
Il reste à découvrir les fossiles du chaînon intermédiaire pour connaître la date exacte de cette divergence.
En 2009, une découverte très importante a été faite en Europe. En effet, un fossile de marsupial a été découvert en Charente-Maritime (France). Ce marsupial baptisé Arcantiodelphys marchandi est vieux de 99 millions d’années.
Nous devons cette découverte à une équipe du Muséum national d’Histoire naturelle, du CNRS et de l’Université de Rennes 1.
Cette découverte remet non seulement en cause l’origine des marsupiaux mais également les voies migratoires qui leur ont permis de coloniser différents continents.
Lycopsis longirostris fait partie des Borhyaenidae, une famille de marsupiaux sud-américains prédateurs présents tout au long du tertiaire. Image Ghedoghedo.
Il n’existe plus aucun marsupial en Europe de nos jours. Jusqu’à présent, l’Europe n’était jamais mentionnée dans l’histoire et l’évolution des marsupiaux. Il est vrai que les fossiles se font extrêmement rares.
La découverte effectuée en France prouve que l’origine des marsupiaux est beaucoup plus complexe que nous le pensions. Jusqu’à présent, les scientifiques penchaient pour une origine nord-américaine. Mais, les quelques dents récoltées en France montrent que des marsupiaux étaient présents en Europe et sur le continent américain à la même époque.
Sthenurus est un genre éteint de kangourou australien qui pouvait mesurer jusqu'à 3 m de haut. Image Nobu Tamura
Pour compliquer un peu plus le tableau, l’Asie est également en bonne place concernant le berceau originaire puisqu’elle détient le plus vieux fossile.
Si les marsupiaux sont actuellement majoritaires en Australie, il semble par contre, qu’ils ont colonisé ce continent plus tardivement.
Les plus anciens fossiles datent du début du Cénozoïque, soit peu après la grande extinction de la fin du Crétacé.
Voies migratoires de colonisation
Les Placentaires et les Marsupiaux étaient assez communs en Amérique du Sud, au début du Paléocène.
Des études d’ADN ont confirmé que l’opossum austral d’Argentine et du Chili, seul représentant actuel des microbiothériidés, est plus proche des marsupiaux australiens que des autres marsupiaux d’Amérique du Sud.
Avec les fossiles trouvés sur la péninsule Antarctique, ces résultats confortent la théorie selon laquelle les Marsupiaux se sont répandus, il y a 65 à 100 millions d’années, depuis l’Amérique du Sud jusqu’en Australie via l’Antarctique, alors que ces continents étaient réunis.
Thylacoleo ou lion marsupial vivait en Australie au Pléistocène. (Thylacoleo carnifex).
Les Marsupiaux ont prospéré en Australie, mais ont disparu de l’Antarctique, qui s’est détaché et a dérivé vers le sud.
Au Crétacé inférieur, l’Europe et l’Amérique du Nord constituaient la zone euraméricaine avec une faune assez homogène.
Au cours du Crétacé supérieur, l’élévation du niveau des mers a isolé l’Europe de l’Amérique du Nord. Cet isolement de l’Europe a conduit à une évolution endémique des espèces à partir essentiellement des formes euraméricaines.
Il est encore trop tôt pour réécrire l’histoire des Marsupiaux mais il semble évident que l’Europe a bel et bien joué un rôle. Nous savons que l’isolement de l’Europe a débuté il y a plus de 110 millions d’années.
Bébé wombat de 8 semaines. Image Percita
Ce qui nous ramène à l’échange euro-asiatique qui s’est produit au Crétacé inférieur. Durant le Barrémien (116-114 millions d’années), le niveau des mers a beaucoup baissé. Les espèces euraméricaines et mésoasiatiques, isolées depuis 50 millions d’années, se sont alors rencontrées sur l’ancien emplacement de la mer ouralienne.
L’étude de cet événement géographique d’une grande importance est assez récente. Mais peut-être qu’on peut envisager, grâce à la découverte française de 2009, une autre voie migratoire des Marsupiaux qui se serait effectuée d’Asie en Europe.
Femelle koala et son petit. Image Yvonne in Willowick Ohio
L’origine asiatique des Marsupiaux n’est pas confirmée mais il est possible qu’ils aient gagné l’Europe et l'Amérique du Nord avant de s'établir en Amérique du Sud et en Australie
Pourquoi les Marsupiaux ont-ils supplanté les Placentaires en Australie ?
Cette question peut sembler étrange car en principe, on a tendance à dire que les Placentaires ont éliminé les Marsupiaux sur la plupart des continents du fait d’un mode de reproduction considéré comme plus efficace.
En fait, le débat reste largement ouvert.
En Australie, on a longtemps pensé que les Marsupiaux ont pu s’y développer faute de concurrence des Placentaires.
Kangourou, emblème de l'Australie. Image safaris
Pourtant, les Placentaires ont bien cohabité avec les Marsupiaux au début de l’Eocène. Mike Archer et ses collègues de l’université de New South Wales ont mis au jour dans un gisement australien, situé à Tingamarra, une dent de Placentaire datée de – 55 millions d’années.
On ignore pourquoi ces premiers Placentaires se sont éteints en Australie alors que les Marsupiaux s’y sont largement développés.
Phalanger-renard qui vit en Australie (Trichosurus vulpecula). Image wollombi
Sur le continent américain, c’est la tendance inverse qui s’est produite. De nombreuses espèces de Marsupiaux se sont éteintes tandis que les Placentaires ont peu à peu occupé l’ensemble des niches écologiques. Là encore, la théorie la plus communément admise est que les grands carnivores ont supplanté les grands marsupiaux carnivores.
En Amérique du Sud, seuls les petits marsupiaux omnivores auraient pu survivre à l’invasion.
Thylacosmilus, un marsupial carnivore, a vécu du Miocène au début du Pléistocène en Amérique du Sud. Ce borhyénoïde ressemble aux félins à dents de sabre mais sans lien de parenté. Image Claire Houck. Unforth
La théorie est plausible mais non totalement confirmée. Certes, la voie placentaire présente de sérieux avantages mais aussi des inconvénients. Toute gestation démarrée doit être menée à terme quelles que soient les conditions extérieures. La protection des jeunes, quand il y en a une, demande beaucoup d’énergie et donc de ressources alimentaires.
Par contre, les nouveau-nés placentaires se développent beaucoup plus vite et donc la reproduction s’effectue à un rythme plus rapide.
La colonisation actuelle des Marsupiaux
Les Marsupiaux se répartissent entre le continent américain et l’Australie. Tous les Marsupiaux sont classés dans l’infraclasse des Metatheria (Syn : Marsupialia). Les espèces sont réparties en 7 genres.
En Amérique du Sud et en Amérique Centrale, on trouve :
En Amérique du Nord, il n’existe qu’une seule espèce de mammifère marsupial, l’opossum de Virginie (Didelphis virginiana).
Opossum de Virginie. Image Jess, Beemouse Labs
De nombreuses espèces vivent en Australie, en Tasmanie et en Nouvelle-Guinée:
Etre Jeune...
La jeunesse n’est pas une période de la vie,
Elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
Une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
Une victoire du courage sur la timidité,
Du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années :
On devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
Sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
Et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille.
Il demande, comme l’enfant insatiable : Et après ?
Il défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi.
Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-mêmes.
Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeunes tant que vous serez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.
D’après le général MAC ARTHUR (1945)
belle-fleur coucou à tous,je souhaite offrir Deux mâles ou deux femelles inséparables mais je ne sais pas du tout qu'elle espèce serait la mieux adaptée pour ma grand-mère,pouvez vous me renseigner s'il vous plaît avec les prix et quel câge prendre?Merci de m'aider
turbot j'aimerais savoir ou trouver une tortue petite qui ne grandit pas tellemnt meci d'avance
j'aime bcp les tortue =)
Merci de votre visite...
Pour avoir ce genre de conseil, je
pense que vous devriez vous
adresser à une animalerie...
L'idéal quand on veut acheter
des petits compagnons !
J'espère que vous trouverez ce
que vous souhaitez...
Le défi
En ce temps-là, Dieu habitait sur terre.
Un drôle de bonhomme, un fermier, arriva et dit à Dieu :
"Écoute, mon vieux, tu as peut-être créé l'univers mais tu n'es pas fermier. Je vais t'apprendre un peu."
"Dis-moi !, fit Dieu (tout en souriant discrètement dans sa barbe).
"Donne-moi un an, dit le fermier, et fais comme je te dis. Tu vas voir : finie la pauvreté !"
Pendant un an, Dieu accorda au fermier tout ce qu'il voulait.
Plus de tempête, plus de foudre, plus aucun danger pour le bétail.
C'était le grand confort. Le blé poussait dru.
Si le fermier voulait du soleil, il faisait soleil ; s'il voulait de la pluie, il pleuvait autant qu'il voulait.
Cette année-là, tout arriva à point.
Le blé poussait tellement haut que le fermier alla trouver Dieu et lui dit :
"Regarde, mon vieux. Encore dix ans comme ça et il y en aura assez pour nourrir tout le monde sans que personne ne travaille !".
Mais lorsqu'on fit la récolte, il n'y avait rien à l'intérieur des grains de blé. Des cosses vides. De l'air. Le blé, qui avait poussé si haut, ne contenait rien.
Surpris, le fermier demanda à Dieu ce qui s'était passé.
"Parce qu'il n'y avait ni défi, ni conflit, ni friction, parce que tu as évité tout ce qui était mauvais, le blé, qui avait poussé si haut, ne contenait rien.
Il faut toujours se battre un peu.
Il faut la nuit entre les jours. La tempête, la foudre, le tonnerre, il en faut.
Ils secouent l'âme du blé."
(auteur inconnu)