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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Ramlila - représentation traditionnelle du Ramayana
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Inde
(UNESCO)
Ramlila, littéralement « la pièce de Rama », met en scène l’épopée du Ramayana sous forme de tableaux associant chants, narrations, récitations et dialogues. Elle est représentée dans tout le nord de l’Inde pendant le festival de Dussehra qui se tient chaque année en automne selon le calendrier rituel. Les Ramlila les plus représentatifs sont ceux d’Ayodhya, Ramnagar et Benares,Vrindavan,Almora, Sattna et Madhubani.
Cette mise en scène du Ramayana s’appuie sur le Ramacharitmanas, une des formes de récit les plus populaires dans le nord du pays. Ce texte sacré à la gloire de Rama, le héros du Ramayana, a été composé par Tulsidas au seizième siècle, dans un dialecte proche du hindi, afin de mettre l’épopée sanscrite à la portée de tous. La plupart des Ramlila relatent des épisodes du Ramacharitmanas à travers une série de représentations qui durent entre dix et douze jours, voire un mois pour celui de Ramnagar.
Des centaines de fêtes sont organisées dans chaque localité, ville et village pendant la saison du festival de Dussehra qui célèbre le retour d’exil de Rama. Le Ramlila évoque la bataille qui l’oppose à Ravana et consiste en une série de dialogues entre les dieux, les sages et les fidèles. Il tire toute sa force dramatique de la succession d’icônes représentant les moments culminants de chaque scène. Le public est invité à chanter et à prendre part à la narration. Cette tradition réunit l’ensemble de la population, sans distinction de caste, de religion ou d’âge. Tous les villageois participent spontanément, jouant certains rôles ou s’associant à diverses activités connexes comme la fabrication des masques et des costumes, le maquillage, ou la préparation des effigies et des éclairages. Toutefois, le développement des médias, notamment des feuilletons télévisés, provoque une désaffection du public pour les représentations de Ramlila qui perdent de ce fait leur vocation principale, à savoir rassembler les gens et les communautés.
Personne ne doit oublier le vent...
Personne ne doit oublier le vent
quand il prépare ses voiles...
En premier, tenez vous à l'extérieur,
sentant le vent sur votre figure,
notez sa direction et sa force...
Puis, installez les voiles de votre bateau,
pour le diriger vers votre but.
N'oubliez pas de revérifier le vent,
car il change continuellement.
On aimerait marquer un temps d'arrêt,
après chaque progression de nos accomplissements.
Quand on pense que tout va,
quelque chose se produit:
les enfants grandissent,
on doit prendre sa retraite,
de nouveaux voisins arrivent...
Tel un bon marin,
nous devons constamment réajuster nos voiles.
Qu'un changement soit le bienvenu ou pas,
nous devons nous y ajuster.
A force de trop tenir à nos rêves,
nous pouvons passer outre à la réalité.
En faisant la paix avec le changement,
nous grandirons et serons transformés
au delà de toute espérance.
(auteur inconnu)
Les jardins du château de Villandry sont situés dans le département de l'Indre-et-Loire, non loin de Tours. Le site de Villandry a été achevé vers 1536, et constitue le dernier des grands châteaux de la Loire qui furent bâtis à l'époque de la Renaissance dans cette région.
En 1906, le Château fut acheté par le Docteur Joachim Carvallo, né en Espagne en 1869, et arrière-grand-père des actuels propriétaires. Il sauva ainsi le château qui était sur le point d'être démoli et créa, en pleine harmonie avec l'architecture Renaissance de ce dernier, les jardins que nous pouvons admirer aujourd'hui.
Les jardins regroupent plusieurs espaces : le jardin d'ornement appelé aussi "les jardins de l'Amour", le jardin d'eau, et le potager décoratif.
Le jardin potager de la Renaissance est composé de neuf carrés de même taille mais à l'intérieur desquels les motifs géométriques sont tous différents.
Ces carrés sont plantés de légumes dont les couleurs alternent entre elles (bleu du poireau, rouge du chou et de la betterave, vert jade des fanes de carottes) pour donner au regard l'illusion d'un damier multicolore.
L'origine du jardin de légumes remonte au Moyen-âge. En effet, les moines dans leurs abbayes, aimaient disposer leurs légumes selon des formes géométriques. Les nombreuses croix du potager de Villandry nous rappellent cette origine monacale. De plus, pour égayer son parterre, le moine y ajoute des rosiers-tiges. Ceux-ci, plantés de façon symétrique symbolisent, selon une vieille tradition, le moine en train de bêcher son carré de légumes.
Le jardin d'ornement ou "jardins de l'Amour" est situé au dessus du potager.
Il constitue la prolongation des salons du château et s'admire du belvédère. Il se divise en quatre carrés parfaits de broderies de buis. Le premier dénommé « l’Amour tendre » est symbolisé par des coeurs séparés par les flammes de l’amour dans les coins.
Au centre des masques rappellent qu'ici les mots doux s'échangeaient à couvert.
Le second carré est dédié à « l’Amour passionné ». On y retrouve des coeurs brisés par la passion. Les massifs de buis sont enchevêtrés et forment un labyrinthe.
Le troisième carré symbolise « l’Amour volage ». Il s'orne de quatre éventails dans les angles au creux desquels s'établissent les cornes de l’amour trompé. Le centre est occupé par des lettres d’amour.
Le quatrième et dernier carré symbolise « l’Amour tragique ». Les parterres prennent la forme de lames de poignards et de glaives.
Le jardin d'eaus'articule autour d'une grande pièce d'eau en forme de miroir Louis XV entourée d’un cloître de verdure. La perspective qui habite ce jardin se poursuit dans les forêts alentours. Chaque saison, les fleurs du jardin attirent une foule nombreuse dans ses allées.
Entre le potager et l'Église se trouve, comme dans tous les jardins du Moyen-âge, le Jardin des simples consacré aux herbes aromatiques, condimentaires et médicinales. Celui-ci comporte une trentaine de variétés de ces plantes bienfaisantes que l'on considérait alors comme indispensables à la vie familiale.
L'oeil du chat
Je vous offre un brin de muguet...
Juste un petit brin de muguet avec ses clochettes,
Un petit peu d'amitié et beaucoup de bonheur
C'est ce que veut vous dire cette petite fleur
A qui aujourd'hui, la coutume donne la vedette.
Mais ce brin de muguet, voudrait vous dire plus.
Vous dire, que quelqu'un a pour vous une pensée,
Et qui veut vous dire comme vous êtes aimée,
Et pour vous l'offrir, il ne faut pas être crésus.
Un fleur qui apporte le bonheur et annonce l'été,
Dont les clochettes blanches sont parfum et senteur.
Une fleur simple que l'on offre avec son coeur,
Par amitié, sans jamais tomber dans la banalité.
Fleur d'amour, d'amitié que j'ai plaisir d' offrir
Un geste simple, un geste de belle sympathie,
Des petites clochettes blanches en symphonie,
Pour nous proposer autant d' espoir que de plaisirs.
Sa vie est éphémère, son parfum est délicat.
Le premier mai, j'irai sur la route en acheter,
Car comme chaque année, je voudrais mugueter
Autour de moi, des dames dans l'anonymat.
Et comme pas loin de chez moi, il y a un bois
Où ont déjà fleurit, à foison, des jonquilles
Que sont allées cueillir des jeunes filles
Qui n'oublient pas que mai, du muguet, est le mois.
Alors, acceptez ce brin muguet de l'amitié
Et avec lui un peu de joie et de bonheur.
Un brin de muguet sans aucune odeur,
Qu'en mots, pour vous, j'ai transformé.
Aramis