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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Ouvre-toi au monde du bonheur
Aux gens qui t'offrent leur sourire…
Oublie de regarder derrière toi et pense toujours à l'avenir…
Vis ton présent chaque instant, sois optimiste et fier de toi….
(auteur inconnu)
Que je suis arrivée dans votre grande
famille !!!!
http://www.youtube.com/watch?v=8Lt60FcQZ7I
et c'est d'autant plus la fete que vous
m'avez fait ce jour un merveilleux cadeau....
belle et douce journée à tous...
La mienne le sera grace vous....
La sagesse, c’est l’art d’admettre la fragilité de ce que nous pensons, ainsi que la faiblesse des choses sur lesquelles nous fondons nos certitudes.
Gérard Brown
Les insectes peuvent être impuissants et faibles, mais ils ne détruisent ni leur environnement ni leurs semblables. Nous nous qualifions nous-mêmes d'humains et nous nous croyons très intelligents, mais à quoi utilisons-nous notre intelligence ?
A tromper autrui, à malmener et à abuser les autres.
En se comparant aux êtres sensibles, il faut tenter d'apprécier leurs qualités positives. En nous observant nous-mêmes, il faut essayer de reconnaître et de les corriger.
Pensée du Dalaï Lama
"Il est un état où l'âme trouve une assiette assez solide pour s'y reposer toute entière et rassembler là tout son être, sans avoir besoin de rappeler le passé ni d'enjamber sur l'avenir ; où le temps ne soit rien pour elle, où le présent dure toujours sans néanmoins marquer sa durée et sans aucune trace de succession, sans aucun sentiment de privation, ni de jouissance, de plaisir ni de peine, de désir ni de crainte que celui seul de notre existence, et que ce sentiment seul puisse la remplir tout entière ; tant que cet état dure, celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux, non d'un bonheur imparfait pauvre et relatif, tel que celui qu'on trouve dans les plaisirs de la vie, mais d'un bonheur suffisant, parfait et plein, qui ne laisse dans l'âme aucun vide qu'elle sente le besoin de remplir »
Extrait de Rêveries du promeneur solitaire, 5ème promenade, de Jean-Jacques Rousseau,
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés;
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient- il ? nous voguions en silence;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :
"Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
"Assez de malheureux ici-bas vous implorent;
Coulez, coulez pour eux;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent;
Oubliez les heureux.
"Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit;
Je dis à cette nuit : " Sois plus lente "; et l'aurore
Va dissiper la nuit.
" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive
Il coule, et nous passons ! "
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ? Quoi ! tout entiers perdus ?
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus ?
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux !
Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés !
Que le vent qui gémit le roseau qui soupire
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit et l'on respire,
Tout dise : " Ils ont aimé ! "
(Alphonse de Lamartine)
De l'amour...
Qu'est ce que l'amour ?
C'est ce que personne ne sait.
Mais qu'est ce que personne ?
C'est chacun de nous dans le secret de sa vie engloutie.
L'amour s'adresse en nous au plus intime,
à ce qui, dans le plus intime de nous,
est sans visage, sans forme et sans nom : personne.
Christian Bobin - Lettres d'or
Du coeur à l'ouvrage
Dans chaque petite parcelle
de votre vie,mettez ce en
quoi vous croyez.
Travaillez avec votre coeur
et exigez des autres
ce qu’ils ont de meilleur.
N’abandonnez pas votre
personnalité et vos valeurs,
le secret que vous
connaissez et que personne
d’autre ne connaît.Quant à
la vérité,ne la laissez pas
disparaître dans le
mâchonnement généralisé
de la complaisance.
Meryl Streep
Les étoiles s'apitoient
Là-haut, penchées sur nos peines,
Et laissent tomber alors
Sur terre une larme d'or.
Heinrich Heine
Goutte au gout salé,les larmes sont les messagères des peines et de la tristesse...
Mais pas de honte à les laisser couler,elles racontent bien des choses.
gros bisous à tous...
à demain...
Le chemin sur lequel je cours
Ne sera pas le même quand je ferai demi-tour
J’ai beau le suivre tout droit
Il me ramène à un autre endroit
Je tourne en rond mais le ciel change
Hier j’étais un enfant
Je suis un homme maintenant
Le monde est une drôle de chose
Et la rose parmi les roses
Ne ressemble pas à une autre rose.
Robert Desnos,
dans Destinée arbitraire